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 Concours #69 : l'histoire sans fin.

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MessageSujet: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Ven 11 Jan - 15:26

Du 11/1 au 15/1 inclu

Partie 1 : Rp l’histoire sans fin.

Je vous donne un début de situation que vous poursuivrez l’un après l’autre en restant dans la logique du texte ( 5 lignes minimum 10 maxi) précédent le vôtre. Je suis très curieuse de voir ce que ça va donner.
Gains : cette fois à la fin du concours (le 15/1 soir) vous serez d’office crédités de 400.000 points et de 200 gallions sauf si votre texte ne rempli pas les conditions. Si vous postez plusieurs fois ( pas à la suite de vous-même) vous gagnerez 50.000 points + 25 Gallions + 1 chocogrenouille en plus à chaque intervention.

Création :

Allez les graphistes montrez-nous de quoi vous êtes capables. Sur une bannière, j’aimerais voir 1 héros de la saga Potter côtoyer un héros d’une autre saga ( seigneur des anneaux, Alien, Charmed, Manga, etc.. au choix) Plus ce sera cocasse mieux ce sera.

Gains : 50. 000 points par créa + 25 Gallions
Gagnant : 300.000 points + 200 gallions


Début du rp: " De catastrophe en catastrophe"

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant, je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la salle commune pour aller…

( pour poster faites un copier coller du texte et ajoutez le vôtre ; puis ainsi de suite)

bon amusement ; bonne chance !
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Ven 11 Jan - 16:14

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller…

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier decide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Dernière édition par le Ven 11 Jan - 16:54, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Ven 11 Jan - 16:43

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller…

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux , me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin ,je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos , une vive lumière inondant toute la pièce . Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans se lieu inconnus , l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table
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Kiara Ellinger
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Ven 11 Jan - 17:33

Moi j'ai fait les deux...

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller…

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux , me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin ,je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos , une vive lumière inondant toute la pièce . Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans se lieu inconnus , l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drole de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regarda d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toast, des pan cake, des saucisse et des oeufs. De qouoi se régaler et se renplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...


Et voilà la création:
Concours #69 : l'histoire sans fin. Signya8
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Ven 11 Jan - 18:07

( j'ai reçu l'autorisation de participer aussi à ce concours. Mon 1er rp, ne compte pas)



Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller…
Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux , me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin ,je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos , une vive lumière inondant toute la pièce . Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans se lieu inconnus , l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table


Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drole de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regarda d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toast, des pan cake, des saucisse et des oeufs. De qouoi se régaler et se renplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû ! Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table. N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise. N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..

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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Ven 11 Jan - 20:20

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller… Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux , me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin ,je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos , une vive lumière inondant toute la pièce . Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans se lieu inconnus , l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drole de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regarda d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toast, des pan cake, des saucisse et des oeufs. De qouoi se régaler et se renplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû ! Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table. N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise. N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..


Des desserts. Je les voyais, devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je commença alors par une mousse au chocolat qui trainait, puis enchaîna sur tout plein d'autres patisseries bourratives... Je n'avais plus faim mais devait me lerver, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes, je n'avais même plus la force de me lever. MAis je voyais bien que j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me dépêcha de la manger, coùute que coûte, tant pis de se qui en résulterai. Après avoir repris un peu de force, je décida de me lever mais....
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Sam 12 Jan - 0:27

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller… Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû ! Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table. N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise. N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais, devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes, je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié. J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu, je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin… Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Sam 12 Jan - 1:29

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller… Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû ! Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table. N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise. N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais, devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes, je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié. J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu, je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin… Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Sam 12 Jan - 1:47

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller… Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû ! Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table. N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise. N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais, devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes, je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié. J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu, je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin… Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade. Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Sam 12 Jan - 10:57

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller… Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû ! Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table. N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise. N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais, devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes, je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié. J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu, je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin… Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade. Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...


"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième épreuve ??? Je courrut alors vers la deuxième porte. J'en avais marre, je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ? Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me trouvaius dans une forêt normale a fortiori. MAis en fesant le premier pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseau quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient normaux, et pas magique. Je décida alors de m'avancer un peu plus et quand je fit un deuxième pas ....
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Sam 12 Jan - 11:05

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller… Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû ! Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table. N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise. N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais, devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes, je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié. J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu, je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin… Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade. Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre, je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ? Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon. Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure. Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée de...
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Sam 12 Jan - 19:47

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller… Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû ! Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table. N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise. N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais, devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes, je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié. J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu, je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin… Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade. Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre, je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ? Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon. Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure. Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier. Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère. Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette, fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Sam 12 Jan - 20:46

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller… Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû ! Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table. N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise. N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais, devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes, je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié. J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu, je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin… Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade. Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre, je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ? Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon. Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure. Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier. Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère. Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette, fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais. J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches, j'aperçu...
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Sam 12 Jan - 20:56

Partie création :

Concours #69 : l'histoire sans fin. Harry-frodon

J'en referais peut-être d'autres
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Sam 12 Jan - 22:55

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de
ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression
de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné
mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche
arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai
glissé. Vlam ! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever
seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la
salle commune pour aller… Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis, l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide et m'engage dans un long couloir sombre...


Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû ! Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table. N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise. N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais, devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes, je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié. J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu, je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin… Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade. Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre, je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ? Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon. Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure. Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier. Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère. Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette, fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais. J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches, j'aperçu...

un lion, un serpent, un blaireau et un aigle: les emblèmes de Poudlard. Le lion me fixa; sorcière de serdaigle, je n'avais rien à craindre de l'aigle, mais le lion? Il avait un drôle d'air, je ne savais pas s'il me regardait avec l'envie de me dévorer ou de me cajoler. Puis s'avança le serpent, il m'allait me sauter dessus mais il n'en eut pas le temps: l'aigle le prit entre ses serres et l'emmena au loin. Allais-je avoir de la chance ou était ce juste pour que la grosse voix s'amuse encore un peu ? Ce fut au tour du blaireau. Mais lui ne fit rien.. Le lion revenait vers moi, je le vis prendre son élan et sauter sur moi avec un rugissement incertain et.. tout s'évanouit. Je me retrouvais devant une porte en bois. La voix grogna:
- Te voilà à la troisième épreuve, avoue que la deuxième était sympathique?
J'eus envie de crier "non" mais une rafale de vent m'en empêcha, elle me poussa vers la porte. Je croyais qu'elle s'ouvrirait par magie, je m'écrasai contre elle. La porte s'ouvrit, j'entrai et découvris alors ....
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Sam 12 Jan - 23:36

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai glissé. Vlam! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la salle
commune pour aller…

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un
bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser
et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas
dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que
mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier
décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis,
l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier
inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide
et m'engage dans un long couloir sombre...

Alors que je
progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de
prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main
tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière
inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac
dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect
sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense
table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que
faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de
plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer
de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il
n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand
repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et,
avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce
qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais
jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines
avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des
toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et
se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je
ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant
moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu
as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû !
Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table.
N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise.
N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette
table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était
impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon
postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle
était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à
tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle
piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en
chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable
de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai
quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais,
devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je
commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna
sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim
mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes,
je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que
j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me
dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en
résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever
mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je
reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié.
J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides
éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les
breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu,
je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre
de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore
m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin…
Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie
allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était
certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait
totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des
fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de
fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le
fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait
m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en
prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du
chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade.
Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je
pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je
ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de
l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette
voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième
épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre,
je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ?
Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me
trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier
pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages
apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un
peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux
quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient
normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et
quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il
encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était
pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon.
Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je
constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir
ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure.
Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en
sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien
employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je
devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée
de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus
étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier.
Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même
situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère.
Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette,
fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange
que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on
en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon
m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des
oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils
baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais.
J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer
jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il
me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et
descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en
marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de
m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée
entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches,
j'aperçu...


un lion, un serpent, un blaireau et un aigle: les emblèmes de Poudlard. Le lion me fixa; sorcière de serdaigle, je n'avais rien à craindre de l'aigle, mais le lion? Il avait un drôle d'air, je ne savais pas s'il me regardait avec l'envie de me dévorer ou de me cajoler. Puis s'avança le serpent, il m'allait me sauter dessus mais il n'en eut pas le temps: l'aigle le prit entre ses serres et l'emmena au loin. Allais-je avoir de la chance ou était ce juste pour que la grosse voix s'amuse encore un peu ? Ce fut au tour du blaireau. Mais lui ne fit rien.. Le lion revenait vers moi, je le vis prendre son élan et sauter sur moi avec un rugissement incertain et.. tout s'évanouit. Je me retrouvais devant une porte en bois. La voix grogna:
- Te voilà à la troisième épreuve, avoue que la deuxième était sympathique?
J'eus envie de crier "non" mais une rafale de vent m'en empêcha, elle me poussa vers la porte. Je croyais qu'elle s'ouvrirait par magie, je m'écrasai contre elle. La porte s'ouvrit, j'entrai et découvris alors ....
[/color]
Un pré d'un vert éclatant et au loin, une forêt!...Je me frottai les yeux, encore en ce point je voulais croire d'être entrain de faire un rêve farfelu, mais la bosse qui croissait sur mon front et un arrière goût à chocolat dans ma bouche, me confirmèrent que j'étais bel et bien éveillé. Par les barbes blanches de Merlin et les sabots de Belzebuth! Un lapin blanc venait de croiser mon chemin...rien d'étonnant voir un lapin dans un pré, mais celui ci portait un haut de forme, penché coquettement entre ses longues oreilles et consultait une montre à gousset!
Le délire allait bon train...et comme Alice au pays des Merveilles je restai interloqué lorque la bestiole parla...

[/color]
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Dim 13 Jan - 0:51

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai glissé. Vlam! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la salle
commune pour aller…

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un
bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser
et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas
dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que
mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier
décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis,
l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier
inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide
et m'engage dans un long couloir sombre...

Alors que je
progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de
prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main
tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière
inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac
dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect
sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense
table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que
faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de
plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer
de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il
n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand
repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et,
avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce
qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais
jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines
avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des
toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et
se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je
ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant
moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu
as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû !
Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table.
N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise.
N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette
table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était
impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon
postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle
était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à
tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle
piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en
chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable
de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai
quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais,
devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je
commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna
sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim
mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes,
je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que
j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me
dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en
résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever
mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je
reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié.
J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides
éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les
breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu,
je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre
de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore
m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin…
Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie
allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était
certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait
totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des
fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de
fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le
fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait
m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en
prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du
chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade.
Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je
pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je
ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de
l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette
voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième
épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre,
je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ?
Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me
trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier
pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages
apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un
peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux
quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient
normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et
quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il
encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était
pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon.
Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je
constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir
ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure.
Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en
sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien
employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je
devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée
de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus
étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier.
Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même
situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère.
Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette,
fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange
que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on
en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon
m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des
oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils
baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais.
J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer
jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il
me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et
descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en
marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de
m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée
entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches,
j'aperçu...

un lion, un serpent, un blaireau et un aigle: les emblèmes de Poudlard. Le lion me fixa; sorcière de serdaigle, je n'avais rien à craindre de l'aigle, mais le lion? Il avait un drôle d'air, je ne savais pas s'il me regardait avec l'envie de me dévorer ou de me cajoler. Puis s'avança le serpent, il m'allait me sauter dessus mais il n'en eut pas le temps: l'aigle le prit entre ses serres et l'emmena au loin. Allais-je avoir de la chance ou était ce juste pour que la grosse voix s'amuse encore un peu ? Ce fut au tour du blaireau. Mais lui ne fit rien.. Le lion revenait vers moi, je le vis prendre son élan et sauter sur moi avec un rugissement incertain et.. tout s'évanouit. Je me retrouvais devant une porte en bois. La voix grogna:
-Te voilà à la troisième épreuve, avoue que la deuxième était sympathique?
J'eus envie de crier "non" mais une rafale de vent m'en empêcha, elle me poussa vers la porte. Je croyais qu'elle s'ouvrirait par magie, je m'écrasai contre elle. La porte s'ouvrit, j'entrai et découvris alors ....

Un pré d'un vert éclatant et au loin, une forêt!...Je me frottai les yeux, encore en ce point je voulais croire d'être entrain de faire un rêve farfelu, mais la bosse qui croissait sur mon front et un arrière goût à chocolat dans ma bouche, me confirmèrent que j'étais bel et bien éveillé. Par les barbes blanches de Merlin et les sabots de Belzebuth! Un lapin blanc venait de croiser mon chemin...rien d'étonnant voir un lapin dans un pré, mais celui ci portait un haut de forme, penché coquettement entre ses longues oreilles et consultait une montre à gousset!
Le délire allait bon train...et comme Alice au pays des Merveilles je restai interloqué lorque la bestiole parla...


"En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part. Je n'ai pas le temps de dire au revoir je suis en retard, en retard !"

Mais qu'est ce que c'était que ce lapin qui courait en s'exclamant qu'il était en retard ? Depuis quand les lapins ça chantait ? Un lapin qui avait un rendez-vous...Mais où étais-je tombé ? Evidemment vous vous doutez bien que la tentation de suivre cet énergumène étrange était immense. N'étant qu'un être humain, je ne pus résister très longtemps. Certes la curiosité est un vilain défaut, mais que voulez vous c'était ainsi. Je me mis donc à courir derrière ce lapin. Mais avez -vous déjà couru après un lapin ? Je peux vous dire que ce ne fut pas de tout repos, et malgrès tous mes efforts, je ne parvint pas à le rattraper. Par chance j'avais eu le temps d'apercevoir par où était passé notre homme-lapin. Un tronc d'arbre...Il était passé dans un tronc d'arbre qui jonchait sur le sol...
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Dim 13 Jan - 13:28

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai glissé. Vlam! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la salle
commune pour aller…

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un
bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser
et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas
dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que
mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier
décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis,
l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier
inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide
et m'engage dans un long couloir sombre...

Alors que je
progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de
prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main
tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière
inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac
dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect
sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense
table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que
faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de
plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer
de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il
n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand
repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et,
avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce
qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais
jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines
avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des
toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et
se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je
ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant
moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu
as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû !
Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table.
N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise.
N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette
table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était
impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon
postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle
était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à
tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle
piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en
chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable
de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai
quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais,
devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je
commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna
sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim
mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes,
je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que
j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me
dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en
résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever
mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je
reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié.
J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides
éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les
breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu,
je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre
de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore
m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin…
Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie
allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était
certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait
totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des
fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de
fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le
fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait
m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en
prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du
chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade.
Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je
pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je
ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de
l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette
voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième
épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre,
je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ?
Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me
trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier
pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages
apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un
peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux
quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient
normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et
quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il
encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était
pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon.
Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je
constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir
ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure.
Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en
sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien
employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je
devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée
de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus
étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier.
Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même
situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère.
Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette,
fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange
que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on
en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon
m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des
oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils
baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais.
J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer
jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il
me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et
descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en
marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de
m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée
entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches,
j'aperçu...

un lion, un serpent, un blaireau et un aigle: les emblèmes de Poudlard. Le lion me fixa; sorcière de serdaigle, je n'avais rien à craindre de l'aigle, mais le lion? Il avait un drôle d'air, je ne savais pas s'il me regardait avec l'envie de me dévorer ou de me cajoler. Puis s'avança le serpent, il m'allait me sauter dessus mais il n'en eut pas le temps: l'aigle le prit entre ses serres et l'emmena au loin. Allais-je avoir de la chance ou était ce juste pour que la grosse voix s'amuse encore un peu ? Ce fut au tour du blaireau. Mais lui ne fit rien.. Le lion revenait vers moi, je le vis prendre son élan et sauter sur moi avec un rugissement incertain et.. tout s'évanouit. Je me retrouvais devant une porte en bois. La voix grogna:
-Te voilà à la troisième épreuve, avoue que la deuxième était sympathique?
J'eus envie de crier "non" mais une rafale de vent m'en empêcha, elle me poussa vers la porte. Je croyais qu'elle s'ouvrirait par magie, je m'écrasai contre elle. La porte s'ouvrit, j'entrai et découvris alors ....

Un pré d'un vert éclatant et au loin, une forêt!...Je me frottai les yeux, encore en ce point je voulais croire d'être entrain de faire un rêve farfelu, mais la bosse qui croissait sur mon front et un arrière goût à chocolat dans ma bouche, me confirmèrent que j'étais bel et bien éveillé. Par les barbes blanches de Merlin et les sabots de Belzebuth! Un lapin blanc venait de croiser mon chemin...rien d'étonnant voir un lapin dans un pré, mais celui ci portait un haut de forme, penché coquettement entre ses longues oreilles et consultait une montre à gousset!
Le délire allait bon train...et comme Alice au pays des Merveilles je restai interloqué lorque la bestiole parla...


"En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part. Je n'ai pas le temps de dire au revoir je suis en retard, en retard !"

Mais qu'est ce que c'était que ce lapin qui courait en s'exclamant qu'il était en retard ? Depuis quand les lapins ça chantait ? Un lapin qui avait un rendez-vous...Mais où étais-je tombé ? Evidemment vous vous doutez bien que la tentation de suivre cet énergumène étrange était immense. N'étant qu'un être humain, je ne pus résister très longtemps. Certes la curiosité est un vilain défaut, mais que voulez vous c'était ainsi. Je me mis donc à courir derrière ce lapin. Mais avez -vous déjà couru après un lapin ? Je peux vous dire que ce ne fut pas de tout repos, et malgrès tous mes efforts, je ne parvint pas à le rattraper. Par chance j'avais eu le temps d'apercevoir par où était passé notre homme-lapin. Un tronc d'arbre...Il était passé dans un tronc d'arbre qui jonchait sur le sol...

Je m'arrêta un instant devant le tronc d'arbre pourtant je n'avais pas tellement le temps, il fallait que je fasse mon choix rapidement, autrement je perdrais la trace de ce foutu lapin. Le choix se fit vite, à croire que par le danger mon cerveau réfléchissait beaucoup plus vite. Je pris donc le même chemin que ce lapin, et vint alors une longue, longue descente. Je ne savais pas ce qui se passait à côté de moi mais je ne pensais qu'à sortir vivant de cette épreuve... Vraiment aujourd'hui ce n'est vraiment pas mon jour... J'atteris d'une façon brutale sur un sol qui me semblait mou par un toucher rapide de la main. Et en effet, quand j'essaya de me lever, je remarqua que ce ne serait pas si facile que cela. J'avais l'impression d'être dans une de ces fêtes foraines moldues, sur des montagnes russes... L'enfer allait donc continuer ainsi mais pour combien de temps encore? Je sentais déjà que mon corps se lassait de tout mouvements...
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Dim 13 Jan - 13:41

c'est très bien! je suis ravie de votre imagination délirante. Poursuivez !! :o
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Dim 13 Jan - 13:48

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai glissé. Vlam! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la salle
commune pour aller…

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un
bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser
et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas
dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que
mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier
décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis,
l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier
inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide
et m'engage dans un long couloir sombre...

Alors que je
progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de
prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main
tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière
inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac
dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect
sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense
table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que
faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de
plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer
de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il
n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand
repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et,
avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce
qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais
jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines
avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des
toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et
se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je
ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant
moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu
as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû !
Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table.
N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise.
N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette
table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était
impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon
postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle
était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à
tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle
piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en
chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable
de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai
quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais,
devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je
commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna
sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim
mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes,
je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que
j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me
dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en
résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever
mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je
reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié.
J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides
éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les
breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu,
je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre
de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore
m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin…
Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie
allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était
certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait
totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des
fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de
fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le
fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait
m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en
prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du
chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade.
Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je
pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je
ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de
l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette
voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième
épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre,
je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ?
Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me
trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier
pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages
apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un
peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux
quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient
normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et
quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il
encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était
pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon.
Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je
constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir
ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure.
Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en
sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien
employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je
devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée
de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus
étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier.
Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même
situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère.
Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette,
fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange
que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on
en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon
m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des
oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils
baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais.
J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer
jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il
me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et
descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en
marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de
m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée
entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches,
j'aperçu...

un lion, un serpent, un blaireau et un aigle: les emblèmes de Poudlard. Le lion me fixa; sorcière de serdaigle, je n'avais rien à craindre de l'aigle, mais le lion? Il avait un drôle d'air, je ne savais pas s'il me regardait avec l'envie de me dévorer ou de me cajoler. Puis s'avança le serpent, il m'allait me sauter dessus mais il n'en eut pas le temps: l'aigle le prit entre ses serres et l'emmena au loin. Allais-je avoir de la chance ou était ce juste pour que la grosse voix s'amuse encore un peu ? Ce fut au tour du blaireau. Mais lui ne fit rien.. Le lion revenait vers moi, je le vis prendre son élan et sauter sur moi avec un rugissement incertain et.. tout s'évanouit. Je me retrouvais devant une porte en bois. La voix grogna:
-Te voilà à la troisième épreuve, avoue que la deuxième était sympathique?
J'eus envie de crier "non" mais une rafale de vent m'en empêcha, elle me poussa vers la porte. Je croyais qu'elle s'ouvrirait par magie, je m'écrasai contre elle. La porte s'ouvrit, j'entrai et découvris alors ....

Un pré d'un vert éclatant et au loin, une forêt!...Je me frottai les yeux, encore en ce point je voulais croire d'être entrain de faire un rêve farfelu, mais la bosse qui croissait sur mon front et un arrière goût à chocolat dans ma bouche, me confirmèrent que j'étais bel et bien éveillé. Par les barbes blanches de Merlin et les sabots de Belzebuth! Un lapin blanc venait de croiser mon chemin...rien d'étonnant voir un lapin dans un pré, mais celui ci portait un haut de forme, penché coquettement entre ses longues oreilles et consultait une montre à gousset!
Le délire allait bon train...et comme Alice au pays des Merveilles je restai interloqué lorque la bestiole parla...


"En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part. Je n'ai pas le temps de dire au revoir je suis en retard, en retard !"

Mais qu'est ce que c'était que ce lapin qui courait en s'exclamant qu'il était en retard ? Depuis quand les lapins ça chantait ? Un lapin qui avait un rendez-vous...Mais où étais-je tombé ? Evidemment vous vous doutez bien que la tentation de suivre cet énergumène étrange était immense. N'étant qu'un être humain, je ne pus résister très longtemps. Certes la curiosité est un vilain défaut, mais que voulez vous c'était ainsi. Je me mis donc à courir derrière ce lapin. Mais avez -vous déjà couru après un lapin ? Je peux vous dire que ce ne fut pas de tout repos, et malgrès tous mes efforts, je ne parvint pas à le rattraper. Par chance j'avais eu le temps d'apercevoir par où était passé notre homme-lapin. Un tronc d'arbre...Il était passé dans un tronc d'arbre qui jonchait sur le sol...

Je m'arrêta un instant devant le tronc d'arbre pourtant je n'avais pas tellement le temps, il fallait que je fasse mon choix rapidement, autrement je perdrais la trace de ce foutu lapin. Le choix se fit vite, à croire que par le danger mon cerveau réfléchissait beaucoup plus vite. Je pris donc le même chemin que ce lapin, et vint alors une longue, longue descente. Je ne savais pas ce qui se passait à côté de moi mais je ne pensais qu'à sortir vivant de cette épreuve... Vraiment aujourd'hui ce n'est vraiment pas mon jour... J'atteris d'une façon brutale sur un sol qui me semblait mou par un toucher rapide de la main. Et en effet, quand j'essaya de me lever, je remarqua que ce ne serait pas si facile que cela. J'avais l'impression d'être dans une de ces fêtes foraines moldues, sur des montagnes russes... L'enfer allait donc continuer ainsi mais pour combien de temps encore? Je sentais déjà que mon corps se lassait de tout mouvements...

Mais c'est pas possible...C'était un coup à se péter les chevilles... J'vous jure y'en a ils ont vraiment un grain... Bref, donc j'essayais tant bien que mal de me sortir de cette guimauve rebondissante, mais mon corps n'en faisait réellement qu'à sa tête. Bras et jambes semblaient vouloir partir dans des directions opposées...Pratique. Mais comment faire ? Je ne pouvais me résoudre à rester éternellemnt dans cet espèce de Marshmallow géant. Dans quelques minutes s'était le claquage de plusieurs de mes mebres assuré. Et puis imaginez un peu, avec ce que j'avais avalé, si je ne trouvais pas rapidement une solution ça ne tarderait pas à se déloger de mon estomac d'une façon peu appétissante...
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Dim 13 Jan - 15:31

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai glissé. Vlam! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la salle
commune pour aller…

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un
bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser
et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas
dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que
mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier
décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis,
l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier
inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide
et m'engage dans un long couloir sombre...

Alors que je
progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de
prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main
tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière
inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac
dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect
sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense
table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que
faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de
plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer
de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il
n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand
repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et,
avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce
qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais
jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines
avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des
toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et
se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je
ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant
moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu
as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû !
Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table.
N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise.
N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette
table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était
impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon
postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle
était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à
tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle
piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en
chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable
de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai
quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais,
devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je
commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna
sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim
mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes,
je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que
j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me
dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en
résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever
mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je
reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié.
J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides
éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les
breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu,
je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre
de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore
m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin…
Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie
allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était
certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait
totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des
fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de
fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le
fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait
m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en
prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du
chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade.
Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je
pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je
ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de
l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette
voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième
épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre,
je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ?
Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me
trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier
pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages
apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un
peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux
quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient
normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et
quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il
encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était
pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon.
Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je
constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir
ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure.
Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en
sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien
employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je
devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée
de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus
étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier.
Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même
situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère.
Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette,
fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange
que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on
en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon
m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des
oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils
baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais.
J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer
jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il
me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et
descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en
marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de
m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée
entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches,
j'aperçu...

un lion, un serpent, un blaireau et un aigle: les emblèmes de Poudlard. Le lion me fixa; sorcière de serdaigle, je n'avais rien à craindre de l'aigle, mais le lion? Il avait un drôle d'air, je ne savais pas s'il me regardait avec l'envie de me dévorer ou de me cajoler. Puis s'avança le serpent, il m'allait me sauter dessus mais il n'en eut pas le temps: l'aigle le prit entre ses serres et l'emmena au loin. Allais-je avoir de la chance ou était ce juste pour que la grosse voix s'amuse encore un peu ? Ce fut au tour du blaireau. Mais lui ne fit rien.. Le lion revenait vers moi, je le vis prendre son élan et sauter sur moi avec un rugissement incertain et.. tout s'évanouit. Je me retrouvais devant une porte en bois. La voix grogna:
-Te voilà à la troisième épreuve, avoue que la deuxième était sympathique?
J'eus envie de crier "non" mais une rafale de vent m'en empêcha, elle me poussa vers la porte. Je croyais qu'elle s'ouvrirait par magie, je m'écrasai contre elle. La porte s'ouvrit, j'entrai et découvris alors ....

Un pré d'un vert éclatant et au loin, une forêt!...Je me frottai les yeux, encore en ce point je voulais croire d'être entrain de faire un rêve farfelu, mais la bosse qui croissait sur mon front et un arrière goût à chocolat dans ma bouche, me confirmèrent que j'étais bel et bien éveillé. Par les barbes blanches de Merlin et les sabots de Belzebuth! Un lapin blanc venait de croiser mon chemin...rien d'étonnant voir un lapin dans un pré, mais celui ci portait un haut de forme, penché coquettement entre ses longues oreilles et consultait une montre à gousset!
Le délire allait bon train...et comme Alice au pays des Merveilles je restai interloqué lorque la bestiole parla...


"En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part. Je n'ai pas le temps de dire au revoir je suis en retard, en retard !"

Mais qu'est ce que c'était que ce lapin qui courait en s'exclamant qu'il était en retard ? Depuis quand les lapins ça chantait ? Un lapin qui avait un rendez-vous...Mais où étais-je tombé ? Evidemment vous vous doutez bien que la tentation de suivre cet énergumène étrange était immense. N'étant qu'un être humain, je ne pus résister très longtemps. Certes la curiosité est un vilain défaut, mais que voulez vous c'était ainsi. Je me mis donc à courir derrière ce lapin. Mais avez -vous déjà couru après un lapin ? Je peux vous dire que ce ne fut pas de tout repos, et malgrès tous mes efforts, je ne parvint pas à le rattraper. Par chance j'avais eu le temps d'apercevoir par où était passé notre homme-lapin. Un tronc d'arbre...Il était passé dans un tronc d'arbre qui jonchait sur le sol...

Je m'arrêta un instant devant le tronc d'arbre pourtant je n'avais pas tellement le temps, il fallait que je fasse mon choix rapidement, autrement je perdrais la trace de ce foutu lapin. Le choix se fit vite, à croire que par le danger mon cerveau réfléchissait beaucoup plus vite. Je pris donc le même chemin que ce lapin, et vint alors une longue, longue descente. Je ne savais pas ce qui se passait à côté de moi mais je ne pensais qu'à sortir vivant de cette épreuve... Vraiment aujourd'hui ce n'est vraiment pas mon jour... J'atteris d'une façon brutale sur un sol qui me semblait mou par un toucher rapide de la main. Et en effet, quand j'essaya de me lever, je remarqua que ce ne serait pas si facile que cela. J'avais l'impression d'être dans une de ces fêtes foraines moldues, sur des montagnes russes... L'enfer allait donc continuer ainsi mais pour combien de temps encore? Je sentais déjà que mon corps se lassait de tout mouvements...

Mais c'est pas possible...C'était un coup à se péter les chevilles... J'vous jure y'en a ils ont vraiment un grain... Bref, donc j'essayais tant bien que mal de me sortir de cette guimauve rebondissante, mais mon corps n'en faisait réellement qu'à sa tête. Bras et jambes semblaient vouloir partir dans des directions opposées...Pratique. Mais comment faire ? Je ne pouvais me résoudre à rester éternellemnt dans cet espèce de Marshmallow géant. Dans quelques minutes s'était le claquage de plusieurs de mes mebres assuré. Et puis imaginez un peu, avec ce que j'avais avalé, si je ne trouvais pas rapidement une solution ça ne tarderait pas à se déloger de mon estomac d'une façon peu appétissante...

J'essayais donc tant bien que mal de me relevé mais à chaque fois, je retombais sur cet espèce de matelas gonflable. J'essayais de réflechir en même temps à un sortilège mais quand je sortis ma baguette, celle ci me glissa des mains et alla se loger environ trois mètres plus loin! Et avec tout ce remus ménage, je ne pouvais pas avancer très loin! Mais qu'allais-je donc faire pour me sortir d'ici sans ma baguette?? Sous la reflexion, je sentais mon cerveau bouillonné, une légère nausée due surement à touts ses mets que j'avais dû manger m'envahit. Ma baguette était toujours loin de portée de main et mon estomac tourbillonait. La situation ne pouvait pas être pire.. Mais qu'est ce que j'avais bien pu faire pour mériter ça??
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Dim 13 Jan - 15:52

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai glissé. Vlam! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la salle
commune pour aller…

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un
bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser
et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas
dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que
mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier
décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis,
l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier
inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide
et m'engage dans un long couloir sombre...

Alors que je
progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de
prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main
tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière
inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac
dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect
sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense
table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que
faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de
plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer
de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il
n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand
repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et,
avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce
qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais
jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines
avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des
toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et
se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je
ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant
moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu
as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû !
Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table.
N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise.
N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette
table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était
impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon
postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle
était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à
tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle
piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en
chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable
de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai
quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais,
devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je
commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna
sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim
mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes,
je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que
j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me
dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en
résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever
mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je
reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié.
J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides
éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les
breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu,
je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre
de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore
m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin…
Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie
allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était
certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait
totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des
fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de
fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le
fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait
m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en
prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du
chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade.
Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je
pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je
ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de
l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette
voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième
épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre,
je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ?
Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me
trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier
pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages
apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un
peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux
quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient
normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et
quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il
encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était
pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon.
Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je
constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir
ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure.
Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en
sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien
employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je
devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée
de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus
étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier.
Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même
situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère.
Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette,
fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange
que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on
en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon
m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des
oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils
baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais.
J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer
jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il
me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et
descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en
marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de
m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée
entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches,
j'aperçu...

un lion, un serpent, un blaireau et un aigle: les emblèmes de Poudlard. Le lion me fixa; sorcière de serdaigle, je n'avais rien à craindre de l'aigle, mais le lion? Il avait un drôle d'air, je ne savais pas s'il me regardait avec l'envie de me dévorer ou de me cajoler. Puis s'avança le serpent, il m'allait me sauter dessus mais il n'en eut pas le temps: l'aigle le prit entre ses serres et l'emmena au loin. Allais-je avoir de la chance ou était ce juste pour que la grosse voix s'amuse encore un peu ? Ce fut au tour du blaireau. Mais lui ne fit rien.. Le lion revenait vers moi, je le vis prendre son élan et sauter sur moi avec un rugissement incertain et.. tout s'évanouit. Je me retrouvais devant une porte en bois. La voix grogna:
-Te voilà à la troisième épreuve, avoue que la deuxième était sympathique?
J'eus envie de crier "non" mais une rafale de vent m'en empêcha, elle me poussa vers la porte. Je croyais qu'elle s'ouvrirait par magie, je m'écrasai contre elle. La porte s'ouvrit, j'entrai et découvris alors ....

Un pré d'un vert éclatant et au loin, une forêt!...Je me frottai les yeux, encore en ce point je voulais croire d'être entrain de faire un rêve farfelu, mais la bosse qui croissait sur mon front et un arrière goût à chocolat dans ma bouche, me confirmèrent que j'étais bel et bien éveillé. Par les barbes blanches de Merlin et les sabots de Belzebuth! Un lapin blanc venait de croiser mon chemin...rien d'étonnant voir un lapin dans un pré, mais celui ci portait un haut de forme, penché coquettement entre ses longues oreilles et consultait une montre à gousset!
Le délire allait bon train...et comme Alice au pays des Merveilles je restai interloqué lorque la bestiole parla...


"En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part. Je n'ai pas le temps de dire au revoir je suis en retard, en retard !"

Mais qu'est ce que c'était que ce lapin qui courait en s'exclamant qu'il était en retard ? Depuis quand les lapins ça chantait ? Un lapin qui avait un rendez-vous...Mais où étais-je tombé ? Evidemment vous vous doutez bien que la tentation de suivre cet énergumène étrange était immense. N'étant qu'un être humain, je ne pus résister très longtemps. Certes la curiosité est un vilain défaut, mais que voulez vous c'était ainsi. Je me mis donc à courir derrière ce lapin. Mais avez -vous déjà couru après un lapin ? Je peux vous dire que ce ne fut pas de tout repos, et malgrès tous mes efforts, je ne parvint pas à le rattraper. Par chance j'avais eu le temps d'apercevoir par où était passé notre homme-lapin. Un tronc d'arbre...Il était passé dans un tronc d'arbre qui jonchait sur le sol...

Je m'arrêta un instant devant le tronc d'arbre pourtant je n'avais pas tellement le temps, il fallait que je fasse mon choix rapidement, autrement je perdrais la trace de ce foutu lapin. Le choix se fit vite, à croire que par le danger mon cerveau réfléchissait beaucoup plus vite. Je pris donc le même chemin que ce lapin, et vint alors une longue, longue descente. Je ne savais pas ce qui se passait à côté de moi mais je ne pensais qu'à sortir vivant de cette épreuve... Vraiment aujourd'hui ce n'est vraiment pas mon jour... J'atteris d'une façon brutale sur un sol qui me semblait mou par un toucher rapide de la main. Et en effet, quand j'essaya de me lever, je remarqua que ce ne serait pas si facile que cela. J'avais l'impression d'être dans une de ces fêtes foraines moldues, sur des montagnes russes... L'enfer allait donc continuer ainsi mais pour combien de temps encore? Je sentais déjà que mon corps se lassait de tout mouvements...

Mais c'est pas possible...C'était un coup à se péter les chevilles... J'vous jure y'en a ils ont vraiment un grain... Bref, donc j'essayais tant bien que mal de me sortir de cette guimauve rebondissante, mais mon corps n'en faisait réellement qu'à sa tête. Bras et jambes semblaient vouloir partir dans des directions opposées...Pratique. Mais comment faire ? Je ne pouvais me résoudre à rester éternellemnt dans cet espèce de Marshmallow géant. Dans quelques minutes s'était le claquage de plusieurs de mes mebres assuré. Et puis imaginez un peu, avec ce que j'avais avalé, si je ne trouvais pas rapidement une solution ça ne tarderait pas à se déloger de mon estomac d'une façon peu appétissante...

J'essayais donc tant bien que mal de me relevé mais à chaque fois, je retombais sur cet espèce de matelas gonflable. J'essayais de réflechir en même temps à un sortilège mais quand je sortis ma baguette, celle ci me glissa des mains et alla se loger environ trois mètres plus loin! Et avec tout ce remus ménage, je ne pouvais pas avancer très loin! Mais qu'allais-je donc faire pour me sortir d'ici sans ma baguette?? Sous la reflexion, je sentais mon cerveau bouillonné, une légère nausée due surement à touts ses mets que j'avais dû manger m'envahit. Ma baguette était toujours loin de portée de main et mon estomac tourbillonait. La situation ne pouvait pas être pire.. Mais qu'est ce que j'avais bien pu faire pour mériter ça??

Que faire... Mais que faire ? Avec ma baguette à plusieurs mètres de moi, et ces bonds incessants... Il fallait réfléchir. Se concentrer, faire le vide, et réfléchir. C'est là que me vint une idée. Bon d'accord je l'avoue c'était pas un truc de génie mais comme on dit chez nous, Qui ne lance pas de sort, ne battera pas son adversaire. Il fallait essayer. Je me mis donc dans la bêtise la plus totale à tenter d'orienter mes bonds vers la baguette logée dans un orifice de ce truc. Vous vous doutez bien que ce n'était pas si simple, et dès mes premiers éssais, le chamallow me renvoya dans l'autre sens au lieu de m'approcher de ma cible. Super, j'étais encore moins avancé, mais il me restait une dernière chose à tenter. Un sortilège informulé. Qui sait, même sans ma baguette cela pouvait peut-être marcher... ?
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Concours #69 : l'histoire sans fin. Empty
MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Dim 13 Jan - 16:04

Il est de ces jours où l’on ferait mieux de ne pas se lever. Ainsi, ce matin-là, je sortis du lit avec l’impression de ne pas avoir dormi. La tête aussi lourde que les pieds, j'ai traîné mes pantoufles jusqu'à la salle d'eau, croyant qu’une douche arrangerait les choses : il n’en fut rien. De plus, tout en m'essuyant,
je n’ai pas fait attention au sol mouillé de la salle de bains, et j’ai glissé. Vlam! Direct, sur le carrelage. Je sus pourtant me relever seul mais j’avais très mal au dos. Ensuite, habillé, j’ai quitté la salle
commune pour aller…

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un
bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser
et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas
dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que
mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier
décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis,
l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier
inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide
et m'engage dans un long couloir sombre...

Alors que je
progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de
prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main
tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière
inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac
dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect
sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense
table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que
faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de
plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer
de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il
n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand
repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et,
avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce
qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais
jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines
avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des
toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et
se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je
ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant
moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu
as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû !
Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table.
N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise.
N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette
table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était
impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon
postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle
était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à
tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle
piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en
chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable
de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai
quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais,
devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je
commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna
sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim
mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes,
je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que
j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me
dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en
résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever
mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je
reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié.
J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides
éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les
breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu,
je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre
de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore
m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin…
Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie
allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était
certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait
totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des
fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de
fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le
fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait
m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en
prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du
chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade.
Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je
pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je
ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de
l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette
voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième
épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre,
je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ?
Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me
trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier
pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages
apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un
peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux
quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient
normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et
quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il
encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était
pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon.
Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je
constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir
ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure.
Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en
sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien
employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je
devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée
de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus
étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier.
Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même
situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère.
Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette,
fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange
que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on
en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon
m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des
oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils
baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais.
J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer
jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il
me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et
descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en
marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de
m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée
entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches,
j'aperçu...

un lion, un serpent, un blaireau et un aigle: les emblèmes de Poudlard. Le lion me fixa; sorcière de serdaigle, je n'avais rien à craindre de l'aigle, mais le lion? Il avait un drôle d'air, je ne savais pas s'il me regardait avec l'envie de me dévorer ou de me cajoler. Puis s'avança le serpent, il m'allait me sauter dessus mais il n'en eut pas le temps: l'aigle le prit entre ses serres et l'emmena au loin. Allais-je avoir de la chance ou était ce juste pour que la grosse voix s'amuse encore un peu ? Ce fut au tour du blaireau. Mais lui ne fit rien.. Le lion revenait vers moi, je le vis prendre son élan et sauter sur moi avec un rugissement incertain et.. tout s'évanouit. Je me retrouvais devant une porte en bois. La voix grogna:
-Te voilà à la troisième épreuve, avoue que la deuxième était sympathique?
J'eus envie de crier "non" mais une rafale de vent m'en empêcha, elle me poussa vers la porte. Je croyais qu'elle s'ouvrirait par magie, je m'écrasai contre elle. La porte s'ouvrit, j'entrai et découvris alors ....

Un pré d'un vert éclatant et au loin, une forêt!...Je me frottai les yeux, encore en ce point je voulais croire d'être entrain de faire un rêve farfelu, mais la bosse qui croissait sur mon front et un arrière goût à chocolat dans ma bouche, me confirmèrent que j'étais bel et bien éveillé. Par les barbes blanches de Merlin et les sabots de Belzebuth! Un lapin blanc venait de croiser mon chemin...rien d'étonnant voir un lapin dans un pré, mais celui ci portait un haut de forme, penché coquettement entre ses longues oreilles et consultait une montre à gousset!
Le délire allait bon train...et comme Alice au pays des Merveilles je restai interloqué lorque la bestiole parla...


"En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part. Je n'ai pas le temps de dire au revoir je suis en retard, en retard !"

Mais qu'est ce que c'était que ce lapin qui courait en s'exclamant qu'il était en retard ? Depuis quand les lapins ça chantait ? Un lapin qui avait un rendez-vous...Mais où étais-je tombé ? Evidemment vous vous doutez bien que la tentation de suivre cet énergumène étrange était immense. N'étant qu'un être humain, je ne pus résister très longtemps. Certes la curiosité est un vilain défaut, mais que voulez vous c'était ainsi. Je me mis donc à courir derrière ce lapin. Mais avez -vous déjà couru après un lapin ? Je peux vous dire que ce ne fut pas de tout repos, et malgrès tous mes efforts, je ne parvint pas à le rattraper. Par chance j'avais eu le temps d'apercevoir par où était passé notre homme-lapin. Un tronc d'arbre...Il était passé dans un tronc d'arbre qui jonchait sur le sol...

Je m'arrêta un instant devant le tronc d'arbre pourtant je n'avais pas tellement le temps, il fallait que je fasse mon choix rapidement, autrement je perdrais la trace de ce foutu lapin. Le choix se fit vite, à croire que par le danger mon cerveau réfléchissait beaucoup plus vite. Je pris donc le même chemin que ce lapin, et vint alors une longue, longue descente. Je ne savais pas ce qui se passait à côté de moi mais je ne pensais qu'à sortir vivant de cette épreuve... Vraiment aujourd'hui ce n'est vraiment pas mon jour... J'atteris d'une façon brutale sur un sol qui me semblait mou par un toucher rapide de la main. Et en effet, quand j'essaya de me lever, je remarqua que ce ne serait pas si facile que cela. J'avais l'impression d'être dans une de ces fêtes foraines moldues, sur des montagnes russes... L'enfer allait donc continuer ainsi mais pour combien de temps encore? Je sentais déjà que mon corps se lassait de tout mouvements...

Mais c'est pas possible...C'était un coup à se péter les chevilles... J'vous jure y'en a ils ont vraiment un grain... Bref, donc j'essayais tant bien que mal de me sortir de cette guimauve rebondissante, mais mon corps n'en faisait réellement qu'à sa tête. Bras et jambes semblaient vouloir partir dans des directions opposées...Pratique. Mais comment faire ? Je ne pouvais me résoudre à rester éternellemnt dans cet espèce de Marshmallow géant. Dans quelques minutes s'était le claquage de plusieurs de mes mebres assuré. Et puis imaginez un peu, avec ce que j'avais avalé, si je ne trouvais pas rapidement une solution ça ne tarderait pas à se déloger de mon estomac d'une façon peu appétissante...

J'essayais donc tant bien que mal de me relevé mais à chaque fois, je retombais sur cet espèce de matelas gonflable. J'essayais de réflechir en même temps à un sortilège mais quand je sortis ma baguette, celle ci me glissa des mains et alla se loger environ trois mètres plus loin! Et avec tout ce remus ménage, je ne pouvais pas avancer très loin! Mais qu'allais-je donc faire pour me sortir d'ici sans ma baguette?? Sous la reflexion, je sentais mon cerveau bouillonné, une légère nausée due surement à touts ses mets que j'avais dû manger m'envahit. Ma baguette était toujours loin de portée de main et mon estomac tourbillonait. La situation ne pouvait pas être pire.. Mais qu'est ce que j'avais bien pu faire pour mériter ça??

Que faire... Mais que faire ? Avec ma baguette à plusieurs mètres de moi, et ces bonds incessants... Il fallait réfléchir. Se concentrer, faire le vide, et réfléchir. C'est là que me vint une idée. Bon d'accord je l'avoue c'était pas un truc de génie mais comme on dit chez nous, Qui ne lance pas de sort, ne battera pas son adversaire. Il fallait essayer. Je me mis donc dans la bêtise la plus totale à tenter d'orienter mes bonds vers la baguette logée dans un orifice de ce truc. Vous vous doutez bien que ce n'était pas si simple, et dès mes premiers éssais, le chamallow me renvoya dans l'autre sens au lieu de m'approcher de ma cible. Super, j'étais encore moins avancé, mais il me restait une dernière chose à tenter. Un sortilège informulé. Qui sait, même sans ma baguette cela pouvait peut-être marcher... ?

Cela foira, hélas. Pourquoi moi? La voix narquoise me l'expliqua:

Tu te demandes pourquoi tu es dans la semoule depuis le matin. Rappelle-toi. Hier, n'as-tu pas fait quelque chose d'inhabituel?
Je me creusai la cervelle alors que mes tripes remontaient à une vitesse folle. Difficile de se concentreter dans ces conditions.

J'ai... J'ai eu une retenue avec Rusard. J'ai poli des coupes pendant des heures.


Eh bien c'est ça. L'une d'elle me contenait: je suis un mauvais génie qui dormait gentiment quand tu m'as dérangé. Tu n'as plus qu'à payer pour ton forfait

Un rire diabolique accompagna la répartie. Je vomis.
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MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Dim 13 Jan - 16:32

Prendre mon petit déjeuner. Je marchais comme un
bossu parce que mon dos endolori ne me permettait pas de me redresser
et c'est avec cette allure de victime de guerre que j'engageais mes pas
dans les escaliers...grand mal m'en prit...à moitié chemin, alors que
mon estomac gargouillait misérablement de faim, ce damné escalier
décide d'aller Merlin sait où...puis, tout à coup, sans préavis,
l'engin démoniaque s'arrête et me voilà, qu'il me dépose sur un palier
inconnu...je ne sais pas quoi faire au premier abord...puis me décide
et m'engage dans un long couloir sombre...

Alors que je
progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de
prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main
tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière
inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac
dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect
sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense
table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que
faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de
plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer
de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il
n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand
repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et,
avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce
qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais
jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines
avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des
toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et
se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je
ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant
moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu
as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû !
Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table.
N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise.
N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette
table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était
impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon
postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle
était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à
tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle
piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en
chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable
de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai
quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais,
devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je
commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna
sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim
mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes,
je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que
j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me
dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en
résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever
mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je
reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié.
J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides
éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les
breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu,
je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre
de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore
m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin…
Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie
allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...


C'était
certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait
totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des
fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de
fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le
fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait
m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en
prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du
chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade.
Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je
pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je
ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de
l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette
voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième
épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre,
je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ?
Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me
trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier
pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages
apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un
peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux
quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient
normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et
quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il
encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était
pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon.
Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je
constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir
ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure.
Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en
sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien
employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je
devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée
de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus
étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier.
Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même
situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère.
Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette,
fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange
que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on
en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon
m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des
oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils
baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais.
J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer
jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il
me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et
descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en
marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de
m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée
entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches,
j'aperçu...

un lion, un serpent, un blaireau et un aigle: les emblèmes de Poudlard. Le lion me fixa; sorcière de serdaigle, je n'avais rien à craindre de l'aigle, mais le lion? Il avait un drôle d'air, je ne savais pas s'il me regardait avec l'envie de me dévorer ou de me cajoler. Puis s'avança le serpent, il m'allait me sauter dessus mais il n'en eut pas le temps: l'aigle le prit entre ses serres et l'emmena au loin. Allais-je avoir de la chance ou était ce juste pour que la grosse voix s'amuse encore un peu ? Ce fut au tour du blaireau. Mais lui ne fit rien.. Le lion revenait vers moi, je le vis prendre son élan et sauter sur moi avec un rugissement incertain et.. tout s'évanouit. Je me retrouvais devant une porte en bois. La voix grogna:
-Te voilà à la troisième épreuve, avoue que la deuxième était sympathique?
J'eus envie de crier "non" mais une rafale de vent m'en empêcha, elle me poussa vers la porte. Je croyais qu'elle s'ouvrirait par magie, je m'écrasai contre elle. La porte s'ouvrit, j'entrai et découvris alors ....

Un pré d'un vert éclatant et au loin, une forêt!...Je me frottai les yeux, encore en ce point je voulais croire d'être entrain de faire un rêve farfelu, mais la bosse qui croissait sur mon front et un arrière goût à chocolat dans ma bouche, me confirmèrent que j'étais bel et bien éveillé. Par les barbes blanches de Merlin et les sabots de Belzebuth! Un lapin blanc venait de croiser mon chemin...rien d'étonnant voir un lapin dans un pré, mais celui ci portait un haut de forme, penché coquettement entre ses longues oreilles et consultait une montre à gousset!
Le délire allait bon train...et comme Alice au pays des Merveilles je restai interloqué lorque la bestiole parla...


"En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part. Je n'ai pas le temps de dire au revoir je suis en retard, en retard !"

Mais qu'est ce que c'était que ce lapin qui courait en s'exclamant qu'il était en retard ? Depuis quand les lapins ça chantait ? Un lapin qui avait un rendez-vous...Mais où étais-je tombé ? Evidemment vous vous doutez bien que la tentation de suivre cet énergumène étrange était immense. N'étant qu'un être humain, je ne pus résister très longtemps. Certes la curiosité est un vilain défaut, mais que voulez vous c'était ainsi. Je me mis donc à courir derrière ce lapin. Mais avez -vous déjà couru après un lapin ? Je peux vous dire que ce ne fut pas de tout repos, et malgrès tous mes efforts, je ne parvint pas à le rattraper. Par chance j'avais eu le temps d'apercevoir par où était passé notre homme-lapin. Un tronc d'arbre...Il était passé dans un tronc d'arbre qui jonchait sur le sol...

Je m'arrêta un instant devant le tronc d'arbre pourtant je n'avais pas tellement le temps, il fallait que je fasse mon choix rapidement, autrement je perdrais la trace de ce foutu lapin. Le choix se fit vite, à croire que par le danger mon cerveau réfléchissait beaucoup plus vite. Je pris donc le même chemin que ce lapin, et vint alors une longue, longue descente. Je ne savais pas ce qui se passait à côté de moi mais je ne pensais qu'à sortir vivant de cette épreuve... Vraiment aujourd'hui ce n'est vraiment pas mon jour... J'atteris d'une façon brutale sur un sol qui me semblait mou par un toucher rapide de la main. Et en effet, quand j'essaya de me lever, je remarqua que ce ne serait pas si facile que cela. J'avais l'impression d'être dans une de ces fêtes foraines moldues, sur des montagnes russes... L'enfer allait donc continuer ainsi mais pour combien de temps encore? Je sentais déjà que mon corps se lassait de tout mouvements...

Mais c'est pas possible...C'était un coup à se péter les chevilles... J'vous jure y'en a ils ont vraiment un grain... Bref, donc j'essayais tant bien que mal de me sortir de cette guimauve rebondissante, mais mon corps n'en faisait réellement qu'à sa tête. Bras et jambes semblaient vouloir partir dans des directions opposées...Pratique. Mais comment faire ? Je ne pouvais me résoudre à rester éternellemnt dans cet espèce de Marshmallow géant. Dans quelques minutes s'était le claquage de plusieurs de mes mebres assuré. Et puis imaginez un peu, avec ce que j'avais avalé, si je ne trouvais pas rapidement une solution ça ne tarderait pas à se déloger de mon estomac d'une façon peu appétissante...

J'essayais donc tant bien que mal de me relevé mais à chaque fois, je retombais sur cet espèce de matelas gonflable. J'essayais de réflechir en même temps à un sortilège mais quand je sortis ma baguette, celle ci me glissa des mains et alla se loger environ trois mètres plus loin! Et avec tout ce remus ménage, je ne pouvais pas avancer très loin! Mais qu'allais-je donc faire pour me sortir d'ici sans ma baguette?? Sous la reflexion, je sentais mon cerveau bouillonné, une légère nausée due surement à touts ses mets que j'avais dû manger m'envahit. Ma baguette était toujours loin de portée de main et mon estomac tourbillonait. La situation ne pouvait pas être pire.. Mais qu'est ce que j'avais bien pu faire pour mériter ça??

Que faire... Mais que faire ? Avec ma baguette à plusieurs mètres de moi, et ces bonds incessants... Il fallait réfléchir. Se concentrer, faire le vide, et réfléchir. C'est là que me vint une idée. Bon d'accord je l'avoue c'était pas un truc de génie mais comme on dit chez nous, Qui ne lance pas de sort, ne battera pas son adversaire. Il fallait essayer. Je me mis donc dans la bêtise la plus totale à tenter d'orienter mes bonds vers la baguette logée dans un orifice de ce truc. Vous vous doutez bien que ce n'était pas si simple, et dès mes premiers éssais, le chamallow me renvoya dans l'autre sens au lieu de m'approcher de ma cible. Super, j'étais encore moins avancé, mais il me restait une dernière chose à tenter. Un sortilège informulé. Qui sait, même sans ma baguette cela pouvait peut-être marcher... ?

Cela foira, hélas. Pourquoi moi? La voix narquoise me l'expliqua:

Tu te demandes pourquoi tu es dans la semoule depuis le matin. Rappelle-toi. Hier, n'as-tu pas fait quelque chose d'inhabituel?
Je me creusai la cervelle alors que mes tripes remontaient à une vitesse folle. Difficile de se concentreter dans ces conditions.

J'ai... J'ai eu une retenue avec Rusard. J'ai poli des coupes pendant des heures.


Eh bien c'est ça. L'une d'elle me contenait: je suis un mauvais génie qui dormait gentiment quand tu m'as dérangé. Tu n'as plus qu'à payer pour ton forfait

Un rire diabolique accompagna la répartie. Je vomis.


Le liquide hideux se deversa devant moi, j'étais devenue verte, je ne pensais plus qu'à une chose: partir d'ici, loin de ce génie diabolique! Après tout, était-ce ma faute? Je n'avais pas voulu déloger un génie diabolique!! Une nouvelle porte se présenta à moi, elle était complétement noire. Je m'avança prudemment et l'ouvrit en tirant la poignée le plus délicatement possible. Je passa ma tête par l'entrebaillement et cette fois, je vis une cascade avec de l'eau transparente, autour se trouvait à perte de vue de l'herbe fraiche accompagné de jolies fleurs. Des oiseaux chantaient, un cerf vint même boire dans le petit lac où l'eau de la cascade se déversait. Enfin un endroit paradisiaque? Alors que je comtemplais tout cela, le soleil fit place à la lune, l'eau transparente devint rouge sang, les oiseaux se transformèrent en corbeau noir et le cerf devint diforme et au lieu de brâmer, il lâcha un rire satanique.

(désolé j'ai du enlever le début, le message dépassant la limite autorisé!!)
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Concours #69 : l'histoire sans fin. Empty
MessageSujet: Re: Concours #69 : l'histoire sans fin.   Concours #69 : l'histoire sans fin. Play211Dim 13 Jan - 18:46

Alors que je progressais dans la noirceur étouffante de ses lieux, me vint l’idée de prendre ma baguette afin d’éclairer mon chemin, je la pris et la main tremblante je fis surgir en marmonnant un vague lumos, une vive lumière inondant toute la pièce. Le dos courbaturé de toute part et l’estomac dans les talons je voyais devant moi , une vielle porte a l’aspect
sinistre , je m’approcha d’elle et je l’ouvris , devant moi une immense
table ou un véritable festin étais installé !
Bien que peut désireuse de manger dans ce lieu inconnu, l’odeur alléchante des victuailles me poussait malgré moi vers la table

Que faire? Je ne le savais pas. D'un côté l'odeur du repas m'attirait de
plus en plus et de l'autre je me méfiais car l'école pouvait nous jouer
de drôle de tour. Tant pis, je décidais de m'approcher de la table. Il
n'y avait qu'une seule et unique chaise... bizarre pour un si grand repas. Sans me poser de véritable question je décidais de m'asseoir et, avant de prendre quoi que se soit, je regardai d'un peu plus près ce qu'il y avait sur la table. Un petit déjeuner comme je n'en avais jamais vu... du café, du thé et même du chocolat au lait, des tartines avec de la confiture, du beurre ou du chocolat. Il y avait même des toasts, des pancakes, des saucisses et des oeufs. De quoi se régaler et se remplir le ventre pour la journée. Regardant tous ça avec envie je ne pouvait plus me retenir, je saisis la fourchette qui était devant
moi quand...

une voix terrible résonna dans la pièce. Elle vociférait :

Tu as pris la fourchette, espèce de gnome répugnant. Tu n’aurais pas dû !
Te voilà contraint d’avaler de tous les mets qui sont sur cette table.
N’en oublie aucun sinon jamais tu ne sauras te décoller de ta chaise.
N’essaye même pas, tu y es fixé jusqu’à ce que tu honores toute cette
table ou… que mort s’en suive.

J’étais terrorisé. C’était impossible un truc pareil ! Pourtant, lorsque je tentai de lever mon postérieur, je n’y parvins pas. A croire que de la glu perpétuelle était dessus. Déjà écoeuré, je réalisai l’ampleur du défi : goûter à tout !. Tremblante, ma fourchette se dirigea vers une saucisse qu’elle piqua. Je ne dus même pas l’amener à ma bouche, la fourchette s’en chargea en me la fourrant presque de force. J’étouffais déjà, incapable de mastiquer à la vitesse d’exécution de l’objet diabolique. J’avalai quand même puis, ce fut le tour..

Des desserts. Je les voyais, devant mes yeux. Ils étaient immenses, mais surtout nombreux. Je commença alors par une mousse au chocolat qui traînait, puis enchaîna sur tout plein d'autres pâtisseries bourratives... Je n'avais plus faim mais devait me lever, quitte à en vomir.. Après les tartes aux pommes, je n'avais même plus la force de me lever. Mais je voyais bien que j'avais tout mangé. Puis j'aperçu une salade de fruit oubliée. Je me dépêcha de la manger, coûte que coûte, tant pis de se qui en
résulterait. Après avoir repris un peu de force, je décidai de me lever
mais....

Je m’aperçus que j’étais toujours soudé à mon siège. Je reportai mon regard sur la table, certain de n‘avoir rien oublié. J’observai attentivement chacun des plats, bols et assiettes vides éparpillés sur la table quand soudain, je me m’arrêtai sur les breuvages situés à ma droite. Comment avait-je pus les oublier? Abattu, je poussai un soupir interminable avant d’ingurgiter mon premier litre de liquide. Le lait, le jus, l’eau, le café, le thé et plus encore m’attendaient quand il me prit une urgente envie d’aller au petit coin… Plus j’avalais, plus j’avais la désagréable impression que ma vessie allait éclater. Je commençai à me tortiller quand…

La voix résonna à nouveau.

Tu y es presque. Allez, je te laisse un peu de répit.

Je ne compris pas tout de suite. Pourtant il me sembla qu'un vide se créait sous moi.
* Une chaise percée?* pensais-je.
Chic! je me soulageai immédiatement avec un plaisir immense. Puis la voix reprit:

Tu as oublié certaines choses, regarde bien où tu resteras là... jusqu'à la fin des temps.
Misère! Qu'avais-je omis. Je cherchai partout et découvris...

C'était certain je n'avais pas pus oublier ça et pourtant cele m'avait
totalement échapé... La table était magnifiquement décorée avec des
fleurs... pleins de fleurs qui étaient en chocolat... des dizaines de
fleurs en chocolat et de taille pratiquement réelle. Il fallait que le
fasse ou sinon... je n'osais même pas penser à ce qui pourrait m'arriver! Le fait d'être en danger m'ouvrait l'estomac et c'est en prenant mon courage à deux mains et je croquai la fleur. Le goût du chocolat, que je trouvais merveilleux en temps normal, me parut fade.
Il fallait quand même finir...

"C'est très bien, tu as réussi la première épreuve..."

Je pouvais enfin me lever et je courus vers la porte qui était fermée, je
ne pouvais sortir. Je me rendis compte qu'il y avait une autre porte de
l'autre côté et je compris le sens des mots "première épreuve"...

"Maintenant, tu devras accomplir la deuxième tâche..."

Cette voix commençait à m'énerver.. Une deuxième épreuve, quelle deuxième épreuve ??? Je courrus alors vers la deuxième porte. J'en avais marre, je voulais rentrer, pourquoi étais-je allée manger ce matin ?
Qu'avait-il pu me passer par la tête ? J'ouvris donc la porte. Je me
trouvais dans une forêt normale a fortiori. MAis en faisant le premier
pas, les arbres s'avancèrent vers moi, et des animaux sauvages
apparurent, comme par magie. Normal ! Mais bon, c'était quand même un
peu inquiètant. On entendait par ailleurs le cri et l'envol des oiseaux
quand les arbres s'approchèrent de moi. Apparemment, ceux-là étaient
normaux, et pas magique. Je décidai alors de m'avancer un peu plus et
quand je fis un deuxième pas ....

Houla! Que se passait-il encore? J'avais l'impression que le sol était mou! Non,non, ce n'était pas une impression, mes pieds s'enfonçaient bel et bien dans ce gazon. Je tentai de lever le pied plus haut, rien n'y fit. Avec horreur, je constatai que j'étais déjà enfoncé jusqu'aux genoux. Je devais réagir ou je serais englouti Merlin sait où. Je réfléchis à toute allure.
Après tout, j'étais sorcier, non? Donc je fouillai ma poche et en sortit ma baguette. Ce n'était pas le tout. Que pouvais-je bien employer comme sortilège pour me sortir de là. Je réalisai que je devais aller très vite, la terre me montait au nombril. J'eus l'idée de...

M'élever dans les airs afin de quitter ce sol des plus étranges. Voilà la solution. Quelle chance j'avais d'être un sorcier. Eh oui, pensez un peu à ce qu'il serait advenu d'un Moldu dans la même situation. Je fermais les yeux. Une telle vision ne me plaisait gère. Il fallait que je me reprenne. Ni une ni deux je brandis ma baguette, fidèle compagon, en direction de moi-même... Quelle sensation étrange que de se viser soi-même avec sa propre baguette...Beurk ! Vite, qu'on en finisse. En effet, il fallait se dépêcher, ce maudit gazon m'arrivait déjà jusqu'à la taille...

- Wingardium Leviosa ! lançais-je vers mon corps prisonnier de cette herbe maléfique.

C'est alors que...

Des oiseaux morts commencèrent à tomber du ciel. J'étais dégoutée. Ils
baignaient dfans le sang. Un tomba sur moi, malgré que je lévitais.
J'avais donc une tâche de sang sur mon t-shirt. Je me dépêcha d'avancer
jusqu'à arriver sur ce qui semblais du béton. Mais c'tait bizarre. Il me soulevais et me redescendais, tel des marches qui monterais et
descenderais en permanence. C'est horrible. Je m'élançais de marches en
marches, espérant ne pas tomber à chaque fois, car je risquait de
m'écraser d'une hauteur de 100 mettres, mais surtout d'être coincée
entre deux "marches". Tout à coup, au bout de la fôrêt de marches,
j'aperçu...

un lion, un serpent, un blaireau et un aigle: les emblèmes de Poudlard. Le
lion me fixa; sorcière de serdaigle, je n'avais rien à craindre de l'aigle, mais le lion? Il avait un drôle d'air, je ne savais pas s'il me regardait avec l'envie de me dévorer ou de me cajoler. Puis s'avança le serpent, il m'allait me sauter dessus mais il n'en eut pas le temps: l'aigle le prit entre ses serres et l'emmena au loin. Allais-je avoir de la chance ou était ce juste pour que la grosse voix s'amuse encore un peu ? Ce fut au tour du blaireau. Mais lui ne fit rien.. Le lion revenait vers moi, je le vis prendre son élan et sauter sur moi avec un rugissement incertain et.. tout s'évanouit. Je me retrouvais devant une porte en bois. La voix grogna:
-Te voilà à la troisième épreuve, avoue que la deuxième était sympathique?
J'eus envie de crier "non" mais une rafale de vent m'en empêcha, elle me
poussa vers la porte. Je croyais qu'elle s'ouvrirait par magie, je m'écrasai contre elle. La porte s'ouvrit, j'entrai et découvris alors
....

Un pré d'un vert éclatant et au loin, une forêt!...Je me frottai les yeux, encore en ce point je voulais croire d'être entrain de faire un rêve farfelu, mais la bosse qui croissait sur mon front et un arrière goût à chocolat dans ma bouche, me confirmèrent que j'étais bel et bien éveillé. Par les barbes blanches de Merlin et les sabots de Belzebuth! Un lapin blanc venait de croiser mon chemin...rien d'étonnant voir un lapin dans un pré, mais celui ci portait un haut de forme, penché coquettement entre ses longues oreilles et consultait une montre à gousset!
Le délire allait bon train...et comme Alice au pays des Merveilles je restai interloqué lorque la bestiole parla...

"En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part. Je n'ai pas le temps de dire au revoir je suis en retard, en retard !"

Mais qu'est ce que c'était que ce lapin qui courait en s'exclamant qu'il
était en retard ? Depuis quand les lapins ça chantait ? Un lapin qui
avait un rendez-vous...Mais où étais-je tombé ? Evidemment vous vous
doutez bien que la tentation de suivre cet énergumène étrange était
immense. N'étant qu'un être humain, je ne pus résister très longtemps.
Certes la curiosité est un vilain défaut, mais que voulez vous c'était
ainsi. Je me mis donc à courir derrière ce lapin. Mais avez -vous déjà
couru après un lapin ? Je peux vous dire que ce ne fut pas de tout
repos, et malgrès tous mes efforts, je ne parvint pas à le rattraper.
Par chance j'avais eu le temps d'apercevoir par où était passé notre
homme-lapin. Un tronc d'arbre...Il était passé dans un tronc d'arbre
qui jonchait sur le sol...

Je m'arrêta un instant devant le tronc d'arbre pourtant je n'avais pas tellement le temps, il fallait que je fasse mon choix rapidement, autrement je perdrais la trace de ce foutu lapin. Le choix se fit vite, à croire que par le danger mon cerveau réfléchissait beaucoup plus vite. Je pris donc le même chemin que ce lapin, et vint alors une longue, longue descente. Je ne savais pas ce qui se passait à côté de moi mais je ne pensais qu'à sortir vivant de cette épreuve... Vraiment aujourd'hui ce n'est vraiment pas mon jour... J'atteris d'une façon brutale sur un sol qui me semblait
mou par un toucher rapide de la main. Et en effet, quand j'essaya de me
lever, je remarqua que ce ne serait pas si facile que cela. J'avais
l'impression d'être dans une de ces fêtes foraines moldues, sur des
montagnes russes... L'enfer allait donc continuer ainsi mais pour
combien de temps encore? Je sentais déjà que mon corps se lassait de
tout mouvements...

Mais c'est pas possible...C'était un coup à se péter les chevilles... J'vous jure y'en a ils ont vraiment un grain... Bref, donc j'essayais tant bien que mal de me sortir de cette guimauve rebondissante, mais mon corps n'en faisait réellement qu'à sa tête. Bras et jambes semblaient vouloir partir dans des directions opposées...Pratique. Mais comment faire ? Je ne pouvais me résoudre à rester éternellemnt dans cet espèce de Marshmallow géant. Dans quelques minutes s'était le claquage de plusieurs de mes mebres assuré. Et puis imaginez un peu, avec ce que j'avais avalé, si je ne trouvais pas rapidement une solution ça ne tarderait pas à se déloger de mon estomac d'une façon peu appétissante...

J'essayais donc tant bien que mal de me relevé mais à chaque fois, je retombais sur cet espèce de matelas gonflable. J'essayais de réflechir en même temps à un sortilège mais quand je sortis ma baguette, celle ci me glissa des mains et alla se loger environ trois mètres plus loin! Et avec tout ce remus ménage, je ne pouvais pas avancer très loin! Mais qu'allais-je donc faire pour me sortir d'ici sans ma baguette?? Sous la reflexion, je sentais mon cerveau bouillonné, une légère nausée due surement à touts ses mets que j'avais dû manger m'envahit. Ma baguette était toujours loin de portée de main et mon estomac tourbillonait. La situation ne pouvait pas être pire.. Mais qu'est ce que j'avais bien pu faire pour mériter ça??

Que faire... Mais que faire ? Avec ma baguette à plusieurs mètres de moi,
et ces bonds incessants... Il fallait réfléchir. Se concentrer, faire
le vide, et réfléchir. C'est là que me vint une idée. Bon d'accord je
l'avoue c'était pas un truc de génie mais comme on dit chez nous, Qui
ne lance pas de sort, ne battera pas son adversaire. Il fallait essayer. Je me mis donc dans la bêtise la plus totale à tenter d'orienter mes bonds vers la baguette logée dans un orifice de ce truc. Vous vous doutez bien que ce n'était pas si simple, et dès mes premiers éssais, le chamallow me renvoya dans l'autre sens au lieu de m'approcher de ma cible. Super, j'étais encore moins avancé, mais il me restait une dernière chose à tenter. Un sortilège informulé. Qui sait, même sans ma baguette cela pouvait peut-être marcher... ?

Cela foira, hélas. Pourquoi moi? La voix narquoise me l'expliqua:

Tu te demandes pourquoi tu es dans la semoule depuis le matin. Rappelle-toi. Hier, n'as-tu pas fait quelque chose d'inhabituel?
Je me creusai la cervelle alors que mes tripes remontaient à une vitesse
folle. Difficile de se concentreter dans ces conditions.


J'ai... J'ai eu une retenue avec Rusard. J'ai poli des coupes pendant des heures.


Eh bien c'est ça. L'une d'elle me contenait: je suis un mauvais génie qui dormait gentiment quand tu m'as dérangé. Tu n'as plus qu'à payer pour ton forfait

Un rire diabolique accompagna la répartie. Je vomis.

Le liquide hideux se deversa devant moi, j'étais devenue verte, je ne pensais plus qu'à une chose: partir d'ici, loin de ce génie diabolique! Après tout, était-ce ma faute? Je n'avais pas voulu déloger un génie diabolique!! Une nouvelle porte se présenta à moi, elle était complétement noire. Je m'avança prudemment et l'ouvrit en tirant la poignée le plus délicatement possible. Je passa ma tête par l'entrebaillement et cette fois, je vis une cascade avec de l'eau transparente, autour se trouvait à perte de vue de l'herbe fraiche accompagné de jolies fleurs. Des oiseaux chantaient, un cerf vint même boire dans le petit lac où l'eau de la cascade se déversait. Enfin un endroit paradisiaque? Alors que je comtemplais tout cela, le soleil fit place à la lune, l'eau transparente devint rouge sang, les oiseaux se
transformèrent en corbeau noir et le cerf devint diforme et au lieu de
brâmer, il lâcha un rire satanique.

Génial! J'étais de plus en plus enfocé dans le délire d'une génie sadique! Que voulait il de moi à la fin? Enfin, j'avais bien une idée sur ses intentions..soit il voulait me tuer soit me rendre fou! Bien entendu il n'y avait pas de quoi sauter de joie mais je refusais à me laisser avoir si vilement. Par la grâce des Grands Sages, j'avais tout de même pu recuperer ma baguette...peut être que tout n'était pas perdu. Fouillant dans ma mémoire je cherchai un sortilège qui m'aiderait à rendre un peu plus supportable cette hideuse situation et la seule chose qui me vint à l'esprit fut:
RIDDIKULUS!!!...

(le message complet ne peut pas être posté..sorry!)
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