Magnifique rencontre

Stéphanie marcha tranquilement dans Prè au Lard quand elle s'apperçut qu'elle se trouvait devant le salon de thé de Madame Pieddodu, elle s'arréta et entra dans le magnifique établissement.
Elle regarda partout autour d'elle et s'aperçu que seulement une table était libre c'est ainsi qu'elle alla s'assoir et qu'elle commanda un thé au jasmin.
Toute les tables étaient prise par des couples qui s'étreignaient et qui s'embrassaient, elle voulu se lever et partir avant même qu'elle ai été servi, mais c'est à ce moment exact que la porte s'ouvrit sur un jeune homme d'un charisme à couper le soufle.
L'infirmière bien qu'assez timide regarda le nouveau venu qui cherchait une table seule, elle l'interpella:

Excusez moi mais vous attendez quelqu'un? Je sais que je ne devrais pas vous importuner mais comme tout le salon est plein, je voulais juste savoir.

Stéphanie ne se reconnaissait plus, elle qui était si timide la voilà qui aborde un inconnu, mais dans sa tête elle se disait que cet homme était peut- être lui aussi célibataire et qu'il était venu içi pour faire une rencontre. Elle s'accrocha à cette pensée quand le jeune homme parla d'une voix douce.

Ce n'était pas vraiment l'habitude de Merwan de venir chez Mme de Pieddodu
et lorsqu'il y fut entré, il fut bien tenté de s'enfuir a toutes jambes en voyant
tous ses couples...

Parce que oui, le beau perse était célibataire, il y aurait de quoi se le demander,
car il était incroyablement beau, avec ses cheveux noirs et lissés qui lui
tombaient dans les yeux, des memes yeux d'une couleur éttonante, presque
blanche, tintée de quelques diamants verts.

Le jeune homme regarda la jeune femme qui venait de l'interpeller et s'approcha
d'elle, le sourire aux lèvres.

-Non, je n'attends personne...Mais il n'y a plus de place. Puis je
m'asseoir ?

Stéphanie fut agréablement surprise losque le jeune homme lui demanda si il pouvait s'assoir avec elle, elle espérait bien une réponse dans ce genre.
L'infirmière afficha un sourire comme elle ne l'avait plus fait depuis un certain temps et à l'interieur d'elle tous commença à trembler, elle était très heureuse car elle allait enfin faire une rencontre qui allait surement changer sa vie.

Oui bien sûr que vous pouvez vous assoir, je suis mademoiselle Stéphanie AUBRY et je suis la nouvelle assistante infirmière de poudlard.
Vous prendrez bien un café ou quelque chose d'autre?

Voilà Stéphanie commença la discussion avec cet homme magnifique, elle regarda sa tasse de thé et au moment ou elle leva ses yeux d'un bleu profond leurs regards se croisa et elle ressenti à ce moment des picottement dans les doigts et un peu partout ailleur.

-Que me conseillez vous ? Dans mon pays, nous ne consommons pas de
café, alors je n'y connais rien.

Il s'assit tranquillement, et ses mèches d'un noir naturel et d'une profondeur
impressionante retombèrent parfaitement sur son front un peu humidifié par
les flocons de neige, ses yeux étaient aussi percant que ceux d'un aigle, il
lui offrit un joli sourire en coin.

Il prit sa main,et comme un vrai gentleman, y déposa ses lèvres fines et
froides.

Stépahanie était décontenancé lorsque le jeune homme lui pris la main et l'embrassa, elle ne savait pas si c'était à cause du froid qui reignait au dehors mais elle avait soudain très chaud.
Elle regarda intensément son interlocuteur et lui dit:

Heu.......... et bien je vous conseil le thé au jasmin il est délicieux sinon vous pouvez prendre un Wisky pur feu c'est un alcool très fort c'est merveilleux pour se réchaufer.

L'infirmière regarda autour d'elle et s'apperçut que tous les couples étaient blotit l'un contre l'autre surement pour se réchauffer, elle était à ce moment un peu géné de les voir ainsi.

Le jeune homme aimait mettre les gens mal a l'aise, surtout quand cette
personne est la plus belle créature de tout Poudlard. Il lui sourit largement,
un sourire rayonnant de gentillesse et de douceur.

-Au fait, enchanté Stéphanie, je m'appelle Merwan.

Il fit signe a la serveuse qui le dévorait des yeux depuis qu'il était entrée, et
lui offrit son plus beau sourire de charmeur.

-Je prendrai un thé au Jasmin.

Elle acquiesa, et partit, rouge comme une tomate bien mure.

Stéphanie s'aperçut à ce moment que Merwan était un charmeur mais qu'il était un peu timide tout comme elle, elle trouvait qu'il avait un regard ravageur et que si il voulait il pouvait faire succomber toutes les personnes qu'il voulait.
Mais d'un certain côté elle pensait qu'il n'était pas ce genre d'homme à faire succomber une femme sous son charme et après la laisser en plan, non Stéphanie savait au fond d'elle que c'était un homme très romantique comme elle les aime et qu'il ne fairait pas de mal intentionellement.

Je suis heureuse de te conaitre Merwan, je voudrais savoir quel est ton métier?..... Non attends ne me dit rien je vais essayer de deviner alors vu ton charisme et ta musculature je dirai que tu es un joueur de quidditch professionel?

L'infirmière dévorait du regard Merwan il avait dans le regard quelque chose de magique.

-Raté, je suis musicien, et chanteur. Mais c'était bien joué.

Il rit doucement, amusé. Son rire était aussi doux que du miel, sucré.
Ses yeux étaient trés pales, presque blancs, seulement tintée d'un bleu vert
scintillant. Sous cette apparence si jolie et calme, qui aurait pu croire qu'il
était gravement malade.

-J'ai arrété mes études de médicomage il y a quelques temps déja.
L'appel de la musique était trop fort.

Moi j'ai fais des études de médicomages et j'en suis très fière car j'ai contribué à sauver la vie de bien des gens et je trouve que être musicien et chanteur c'est un tès beau métier, en plus tu as une voix très douce tu devais faire de la musique romantique non?
Moi je ne pourrais pas chanter car si je le faisais je pense que la pluie se mettrait à tomber comme jamais.

Stéphanie se mit à rire avec bon coeur, elle était si contente d'avoir renconter un garçon aussi merveilleux mais elle voulait le conaitre encore mieux, mais pour le moment elle vivait l'instant présent personne ne pourrait lui faire perdre sa bonne humeur.
Elle regarda Merwan encore et toujours elle n'arrivait pas à défaire son regard de lui il était si gentille, aimable et aussi elle n'aurait su dire pourquoi mais elle était envouté par sa beauté.

-J'évolue plutot dans le style pop, pop-rock. Alors les chansons
romantiques...Oui c'est sur que je compose beaucoup de balades sur
l'amour.

Il sourit avec une certaine tendresse en la voyant rire. Il ne put s'empecher la
beauté de son visage, la finesse de ses traits et ses belles boucles dorées.
La serveuse revint, tout en dévorant toujours le jeune homme des yeux, elle
déposa sa tasse de thé qu'il prit délicatement.
Il en but une gorgée, et sourit :

-Vous aviez raison...C'est délicieux.

C'est vrai que le thé au jasmin est très bon et tu sais c'est un des meilleur dans la région et je pourrais te poser une question indiscrète si bien sûr cela ne te dérange pas?

Stéphanie voulait avoir des renseignement sur Merwan elle commençait à le connaitre un peu mieux et avant de lui poser la quesion, elle devenait de plus en plus rouge, la chaleur lui montait au visage, elle avait les mains moites, mais il failait qu'elle sache.
Le salon de thé commença à se vider de ses amoureux en pagaille et bientôt il ne resterait plus que eux deux.

-Bien sur que non ca ne me déranges pas, vas y.

Il l'encouragea d'un joli sourire et passa tranquillement sa main dans ses mèches
ébènes. Qu'avait elle donc a lui demander pour se mettre dans cet état.Il croisa
son regard et se sentit tout chose. Etait ce cela l'amour ? Un besoin irréprésible
de l'autre ? Une envie de l'embrasser plus que tentante ? Le coeur qui bat un
peu trop vite ? Si c'était cela, Merwan était donc fou amoureux. Comment était
ce possible, alors qu'ils ne se connaissaient que depuis une demie-heure ?

Le coup de foudre...

Et bien voilà je voulais savoir si.. si tu était célibataire car un homme si beau que toi doit être marié non?

Stéphanie voulait savoir et croisa les doigts sous la table de toutes ses forces pour que ce jeune homme soit bel et bien célibataire.
Le soleil commença à se coucher à l'horizon et la couleur de la neige prit une teinte orangé d'une magnifique beauté.
Elle détourna son regard de la fenêtre et remarqua que Merwan la regardait avec des yeux intense, son coeur se mit à battre la chamade, elle savait au fond d'elle qu'elle avait sucombé à son charme et aurait bien voulu qu'il la prenne dans ses bras musclés.
Stéphanie revint à la réalité et laissa ses pensés de côtés, elle attendait sa réponse avec impatiente.

Sa question le fit sourire, il resta étrangement calme, les yeux
presque mi clos, ils lisaient en elle comme dans un livre ouvert.

-Les femmes me fuient comme la peste, car je ne suis pas
quelqu'un de volage et que j'ai envie d'une relation durable.
Peut etre aussi parce qu'elles ont peur de me voir mourir,
vu que je suis trés malade. Je suis bien célibataire.

Il avait laché cette information avec une lègèreté tremblante,
qui dissimulait mal son inquiétude face a sa réaction. Allait elle
fuir, comme toutes les autres ? Ou alors allait elle au contraire
l'aider a se guérir ?

Stéphanie essaya de trouver les mots elle était si heureuse d'entendre ce qui lui disait qu'elle faillit tomber de sa chaise.

Tu sais moi aussi je suis célibataire et comme toi les hommes me fuis, je suis comme toi je cherche quelqu'un pour partager ma vie et c'est vrai que c'est rare de trouver quelqu'un qui ressent la même chose que soit, je te comprend à 100% ce que tu ressens et si tu es malade moi je peux te soigner je suis médicomage et je suis sûr que tous les deux nous pourrons vaincre cette maladie, tu vas peut être me trouver un peu entreprenante mais je suis tombé sous ton charme, et....

Stéphanie n'arrivait plus à parler elle était devenu d'une couleur rouge vif et ne pouvait même plus regarder Merwan en face, c'était la première fois de sa vie qu'elle étalait ses sentiments comme ça.

En l'entendant le jeune homme perse se mit a rire. Ce n'était pas un rire
moqueur mais plutot terriblement soulagé et amusé. Il se tut pendant un
moment, se balancant sur sa chaise d'avant en arrière. Sans répondre, il
lui demanda.

-Crois tu que l'on peut vivre avec des regrets...?

Il pencha lègèrement la tete sur le coté dans une attitude toute
mignonne attendant calmement sa réponse.

L'infirmière ne comprenait pas du tout pourquoi il posait une telle question mais lui répondit avec franchise.

Je pense que l'on peut vivre avec des regrets oui mais c'est très difficile, tu sais j'ai perdu ma mère très jeune et je regrette beaucoup de ne pas lui avoir dit que je l'aimais, mais je vis avec et quelque fois je me demande si elle savait vraiment ce que je ressentais pour elle avant de mourrir nous étions en froid, car elle voulait que je sois quelqu'un d'autre une fille parfaite mais je ne l'était pas.

En parlant ainsi de sa mère Stéphanie se mit à pleurer, elle était si sensible à l'évocation de ses souvenirs

En la voyant fondre en larmes, il se taxa d'idiot et se leva. La salle était
déserte, le gérant était sorti, et seul les bruits que provoquaient les pas
de Merwan trahissaient une présence.

Il se baissa a sa hauteur et de ses doigts délicats, il essuya les larmes de
la jeune femme avant de lui dire de sa voix douce :

-Je te posais cette question parce que...J'ai peur que tu changes d'avis
a mon sujet et que tu prennes tes jambes a ton cou, alors je ne veux pas
vivre avec le regret de ne jamais t'avoir embrassée.

Il déposa tout simplement ses lèvres sur les siennes, puis il lui donna un
baiser a la fois doux mais fièvreux et passioné. Un baiser qui ferait chavirer
le coeur de n'importe qui.

Stéphanie sentait son coeur faire des bonds dans sa poitrine lorsque Merwan l'embrassa elle l'entoura des se bras et lui rendit son baissé avec une fougue passionnée lorsque leur étreinte se ressera, elle sentit de l'amour et de la fougue.
Après avoir décollé ses lévres de Merwan elle le regarda dans les yeux et lui dit à l'oreille:

Jamais je ne changerais d'avis tu est quelqu'un de formidable et je suis tombée amoureuse de toi dés l'instant ou je t'ai vu et je veut te guérrir et pouvoir t'embrasser autant de fois que possible.

Pour me guérir, je doute que tu puisse le faire, puisque ma maladie est
moldue. Pour ce qui est de m'embrasser autant de fois que possible, je
ne suis pas contre.

Il rit doucement, et carressa doucement sa joue veloutée avant de l'embrasser
encore une fois, moins timidement et plus fièvreusement. Il passa habilement
ses mains sur ses hanches.

Et si on allait chez moi ?

Stéphanie était sur un petit nuage, ce matin lorsqu'elle s'est levé elle n'aurai jamais pensé qu' elle fairait une rencontre pareil c'est comme si elle était dans un rêve un songe merveilleux, elle regarda Merwan avec des yeux amoureux et lui dit:

Avec plaisir je n'ai rien à faire et je serais enchanté de voir ou tu habite et la décoration de ta demeure, même si je sais que soit doit être un endroit magnifique comme tu l'es. Et un peu d'intimité m'irrais très bien.

C'est sur les paroles de l'infirmière que le nouveau couple sortie du salon de thé dans le froid de l'hiver, mais Stéphanie n'avait pas froid du tout car son coeur se réchauffa au contact des bras musclés de Merwan.

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