Enfin...(PV Tout ceux qui veulent)

Toujours blottie contre lui, la jeune et belle princesse des îles, (d’où je sors ça moi ?) était vraiment si le mot est approprié : happy, oui, elle était vraiment heureuse, elle aimait sa façon de réagir et de parler, il était d’un naturel craquant, et drôle… Ce qui bien sûr, constitué le fait que Joyce craque, pour lui… Et le fait qu’il ne pourrait pas la perdre pouvait tout aussi bien le charmé… Il n’avait donc pas à s’inquiéter pour ça, celui là, elle ne l’abandonnerait pas de si tôt… Même si la belle ne pouvait pas tout contrôler, elle savait très bien que rien ne la tuerait incessamment sous peu et qu’elle avait envie de passer son temps avec lui… Et puis autant profiter de la vie le plus possible sans se poser de questions, horribles comme « Quand est que je vais mourir ? Et comment ? Je vais souffrir ou pas ? » Non, ce genre de débilités n’est là que pour détruire tout désir de vivre heureux… En fait, ce genre de questions servent à stresser et à paniquer… Mais bien sûr ce n’est en aucun cas ce qui peut traverser l’esprit farouche de la belle jeune fille qu’étais Joyce ; croqueuse de la vie, oh que non… Elle, elle vit uniquement dans le bonheur et ne se torture jamais l’esprit… Ce qui est une qualité, parmi tant d’autres qui font partie de sa personnalité…

- Bien sûr que ton tee-shirt me plait, tu es craquant avec, et très excitant, j’ai presque envie de te l’arracher tout de suite…

Elle regarda mieux son le haut de son amoureux, tout en prononçant ses paroles, puis en l’écoutant, ses yeux se baissèrent automatiquement, et regardèrent son entre jambes…

- Cela, dit ton jean n’est pas mal non plus… Très joli…

Tant pis pour le pauvre couple complètement coincés qui étaient en train de les regarder, de toute façon, Joyce les avaient complètement oublié, alors qu’il soit là ou pas, ça ne changeait rien, la belle ne s’en préoccupait pas du tout… Elle les ignorait, naturellement, et se focaliser sur Davis, et ses fringues… A vrai dire, Joyce n’avait pas vraiment envie de le quitter, voir pas du tout, même si la cloche sonnait, elle ne put s’empêcher de mettre ses mains dans les poches du jean de Davis, ainsi elle était encastré avec lui, elle en profita pour balader ses mains partout, et à explorer l’intérieur de ses poches…

- T’inquiètes pas, il ne m’arrivera rien de grave, et on se retrouveras demain matin, et je te raconterais tout si tu le veux… Et pour ta gouverne, je prendrais bien un rendez vous avec ton caleçon tout de suite, mais j’ai peur qu’il ne puisse être disponible, alors tu me reportes ce rendez vous à demain…

Elle souleva le tee-shirt du jeune homme, et regarda par-dessus son épaule, la couleur de son caleçon qui dépassait légèrement, bah oui, un caleçon de mec ça remonte forcément un peu sur le bas du dos non ? Tiens, la même que son soutien gorge… Bizarre… Coïncidence ou Incident ?

- Très flamboyant la couleur de ton caleçon dis moi… J’ai hâte de le retrouver… A notre rendez vous…

Elle se voulait ironique la belle jeune femme, ce qu’elle avait dit après avoir mis ses mains sans ses poches, (les poches de Davis), étaient plutôt drôle, ou amusant, et se voulait avant tout, attirant, ou encore provocant, elle ferais tout pour l’exciter… Ainsi leurs sous vêtements avaient rendez vous ensemble… Plutôt sympa comme rendez vous non ?
Et pour rompre le contact ça risque d’être très dur, surtout que les deux mains de Joyce sont idéalement bloquées, ce qui rend la tâche encore plus difficile, elle savait que dans quelques minutes elle devrait partir, et qu’elle serait obligé de laisser en plan son homme, mais ce ne serais que pour mieux le retrouver après… Alors pourquoi avait t-elle tant de mal à s’en séparer ? Elle ignorait ce petit détail à cette question existentielle… Tant pis, dans la vie, il y a des choses qui restent mystérieuses…
Elle approcha ses lèvres des siennes, et l’embrassa, elle se sentit un peu déséquilibré parce que ses mains ne pouvaient pas s’appuyer sur le jeune homme, mais elle ne voulait pas s’en décoller, pas tout de suite… Son baiser fut donc, mouvementé… Et dans tout ça, elle pensa à comment le retrouver, ce soir, et pas demain matin…Ses pensées vagabondèrent donc vers des horizons torrides, et l’aidèrent à surmonter la difficulté de se séparer de lui, doucement elle enleva ses mains des poches de Davis, et lui murmura à voix basse…

- C’est dur de t’quitter… Joli, garçon…

Rompant, le contact qui les liaient, par la bouche, elle s’éloigna progressivement, à reculons, son bras toujours tendu, elle touchait du bout des doigt, la main de Davis… Plus qu’un petit pas, et ils ne se toucheraient plus…

Oui rien se servait de se tracasser. D'ailleurs Davis ne s'occupait pas du tracas. Il était juste heureux d'être avec celle qui comptait le plus au monde pour lui et qui lui avait donné le plus beau cadeau: Son amour. C'est ce qui lui suffit pour vivre ( ben oui ... Pourquoi utiliser l'imparfait vu qu'ils s'aiment au présent.). Sa raison de vivre , d'exister c'est elle . Joyce la femme auquel il souhaite offrir les plus beaux moment de sa vie. Elle avait été aussi frivole qu'un papillon durant sa folle jeunesse, mais le pendentif qu'elle lui avait donné était le signe d'un changement de vie sérieux. Et cela avait touché au plus au point le vert et argent qui ne cesse de l'embrasser en ce moment. Elle voulait donc vivre une vraie histoire d'amour pas l'une de ses amourettes passagères , non elle souhaitait construire une vraie hisoire , leur histoire. Des moments d'amour extraordinaires dépassant toute les habitudes des petits couples trop civilisés par la société dans laquelle ils sont nés et ont été éduqué durant leur enfance. Bien que le serpentard avait grandi dans cet esprit il était arrivé à être la plupart du temps distant vis à vis de ses règles , après tout la vie pouvait être de l'improvisation sans chercher à respecter à la lettre des codes à la noix. Voilà pourquoi il était sans gène par rapport à l'autre couple d'amis présent dans la pièce. Il demeurait dans les bras de sa blonde (traduction: sa chérie , ben quoi , je n'allait pas la désigner par ses cheveux ça ne se fait pas... Merci Québec , pour ce mot formidable cassant la routine ) et c'était ça le plus important , le reste ben ... Il n'en avait rien à faire .

A la petite remarque coquine de Joyce , nôtre ami ne put réprimer un sourire malicieux. D'un regard qui voulait dire: " Mais n'hésite pas je te pris de me débarasser de mon tee-shirt". Puis les yeux de sa dulcinée descendirent un peu plus bas pour mieux observer ... son jean (Tadda). Oui il était d'une beule couleur bleue , bien que le noir le mettait aussi en valeur.

-Je suis content que mon jean te plaise , à vrai dire , il est assez spacieux pour que tu puisses toucher ma musculature postèrieure.

Répondit t-il en lui donnat un rapide baiser dans le cou. Mademoiselle Heir vous êtes en train d'exciter la bête , calmez vous ou il va tous nous dévorer. (A vous de vous faire l'idée de l'animal féroce. Ce n'est ni un lion , ni un serpent... C'était le seul indice pour vous aider). En explorant le fond de ses poches la jeune femme en profita pour caresser les fesses de son chéri . Ben oui il ne faut pas une autorisation pour cela ,non??? ^^ . L'image que renvoyait leur couple de loin montrait qu'ils étaient parfaitement unis de part leur position avant coureur d'une nuit ou d'une matinée d'amour corporel. (Rappelez vous que Davis n'est pas au courant de sa surprise). Ils étaient en mode "câlin avancé" si vous me permettez l'expression , ce qui veux dire un intense moment de joie , de plaisir et d'une envie folle de ne quiter l'autre sous aucun prétexte. Seulement Joyce était arrivée à le trouver ce prétexte.(Quand on vous disait qu'elle était la perfection. Voyez , elle est très très maligne). Ce qui eu pour conséquence que Davis ne voulait plus la lâcher. Pour relacher la tension de tristesse qui commençait à s'insinuer dans la salle , notre ami répondit d'un air ironique à l'humour de Joyce.

- Voyons , je vais voir ce que je peux faire. Vous savez il est très très occupé durant la semaine...Deux minutes , je jette un oeil sur son emploi du temps. Demain , non il n'a rien prévu , ce sera une parfaite occasion de lui rendre visite dans son bureau. Il sera bien aise de rencontrer votre soutient gorge.

Il rigola de plus belle , allala ces deux là quand ils étaient ensemble on sentait leur complicité aussi bien au lit que dans d'autres événements bein entendu. Il ne font pas que ça je vous le rassure , n'oublions pas qu'ils sont étudiants à Poudlard ... Même s'il est vrai que faire l'amour est leur activité favorite.

-Tu veux dire notre petite incartade d'amants.

Ne vous inquiétez pas à ce sens d'amants. Eh oui savez vous que ce mot est l'équivalent d'amoureux sans maris trompés etc... Hors pour être amants il faut s'aimer réciproquement , et içi c'est bien le cas d'ôu ce terme mais concentrons nous sur l'action. Les propositions de Joyce avait résussi à exciter son homme qui n'avait qu'une idée , lui faire passer l'un des plus splendides jour dans sa vie de demoiselle . Mais avec leur position les lèvres de Joyce s'avançaient et reculer perpétuellement frottant ses lèvres contr les siennes. La chaleur et la vitesse de battements du coeur de Davis (facilement du 200 à la minute) , ne l'aidait pas à se retirer du contact établi entre eux d'eux. Cependant elle en vînt à arriver à lui donnait un bon baiser , pour le réveiller et lui faire sentir son désir de lui appartenir et vice verça. Il fut quand même désemparé de la voir partir. Une déesse , c'est dur de la voir s'éloigner de vue. Mais ne t'en fais pas mon petit elle reviendra te voir et même te toucher ta Joyce. Et même plus tôt que tu ne le pense , mais-suis je bête tu ne peux pas le savoir évidemment , tu n'es pas au courant de son projet de ballade nocturne du coté de ton dortoir et plus spécialement de ta couche ( Ne pas confondre avec un faus sens , içi couche renvoie à notre petit lit douillet. ). Le baiser n'était plus là , comme sa propriétaire il s'échappait en même temps qu'elle , ses mains sortièrent de son jean, tandis que ses doigts glissaient tout doucement de ses mains à lui. Un dernier lien les tenait l'un à l'autre. Tandis que les paroles de Joyce restaient gravées dans son âme et son coeur " C'est dur de te quitter , joli garçon". Une réplique plus forte encore que celle de certains films. A cela il ne répondit qu'une chose.

- A bientôt maîtresse fatale.

Avant le petit pas , il sortit son pendentif de moitié de coeur et pensa au souvenir qui resterait lié à jamais dans cette mémoire portative que lui avait donné Joyce. Un objet qui valait plus cher que des vies humaines , de par sa valeur sentimentale. L'entré de la salle commune se referamit sur Joyce , dans un grincement habituel. N'ayant plus rien à faire qu'attendre le retour de la femme de sa vie , le septième année remonta dans son dortoir. La soirée risquait d'être intéressante et chargée de rebondissements. Soit patient , Davis ... Sois patient , elle ne t'oublie pas.

» Le Mariage [Shin + Ceux qui veulent]

Enfin...(PV Tout ceux qui veulent)

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