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Lorsque William jetta un dernier coup d'oeil à travers la fenêtre de la salle commune des gryffondors le soleil disparaissait derrière la forêt interdite, Il eu un petit sourir en repensant à sa dernière excursion ( cf : ici) ,
Il passa sa main droite dans sa robe et on entendit un tintement de verre, il fit l'inventaire de ses flacons, il avait tout ! Il avança vers la porte et tambourina, le portrait de la grosse dame pivota et lorsqu'il se faufila à l'exterieur il remarqua le regard noir qu'elle lui fit. Il lui tira la langue avant de descendre les éscaliers 4 à 4 . Après 10 minutes de galère avec les éscaliers il arriva enfin en bas des marches. Il entendit des bruits et des rires qui venaitent de la grande salle, apparament il restait encore pas mal de personnes qui n'étaient pas dans leur chambres, tant mieux il pourrait se faufiler plus discretement que si il était seul.
Il jetta rapidement un coup d'oeil aux quatres sabliers dans le hall et constata que gryffondor était loin derrière surtout à cause de ses bêtises, tant pis se dit-il ça vallait le coup... Il s'arreta devant la grille encore ouverte et profita des derniers rayons de soleil, il ferma les yeux et laissa la chaleur du soleil l'envahir. Il observa sa montre et remarqua qu'il était plutôt en avance sur son horaire.
Il fit donc quelque chose d'imprevu : Il s'assit au milieu du hall, et se mis en position du lotus, il posa ses mains sur ses genoux, il se mis à méditer, les rayons de soleil sur son visage rendait cet instant particulièrement agréable, William vida totallement son esprit et il se rendit compte que de millions de perspective s'offrait à lui, la vie lui paraissait beaucoup plus belle qu'auparavant et même en ces temps difficile il arriva à trouver la paix interieur. Il passa plusieurs minutes assis, jusqu'à ce que le dernier rayon de soleil s"eteignit, c'est alors qu'il rouvrit les yeux et se leva lentement.
Les rires venant de la grande salle s'était évaporé, le soir arrivait... Il repris sa marche et arriva devant un escalier en colimasson qu'il decendit en courant.
Arrivé en bas une grande porte en bois avec des gonds en fer rouillés lui faisait face, il y avait un grand serpent en fer sur la partie superieur : Il était arrivé au cachot.
Il chuchota :

Alo Homora

Dans un cliqueti sonore la porte se dévérouilla, William tourna doucement la poignée puis ouvrit pruudement la porte qui grança, il passa la tête par cette dernière et constata avec soulagement que la pièce était vide. Il rentra et referma derrière lui.
Il sortit de sa robe un morçeau de parchemin roulé et tout en regarda les inscriptions il se dit, on va voir si ça marche vraiment. Il posa le parchemin sur une table et sortie les fioles et les potions qu'il avait emporté. Il lu rapidement la liste des ingredients et alla chercher dans l'armoire ce qui lui manquait, cela faisait plusieurs moi qu'il préparé cette potion et il était éxité à l'idée de lui donner vie. William alluma un feu sous un chaudron;
Il lu à haute voie les inscriptions et le mode operatoire en même temps qu'il le faisait.
Après quelques minutes sa potion avait déjà pris une teinte violette gluante, faisant des grosses bulles de gaz. Après envirion une demi heure le nez dans son chaudron, william avait le front transpirant, et il arriva au bout du parchemin ou était écrit les 9 dernierts mots.
Il se redressa et eut un petit sourir, sa potion avait exactement la couleur qu'elle devait avoir, un bleu visqueux, il pris alors une fiolle au contenu argentée qu'il avait aporté et il versa quelques gouttes dans le chaudron, un PAF sonore se fit entendre et la potion changea totallement de couleur elle devint vert boueux, William souria, il pointa sa baguette sur le mélange, pris un air dramatique et cria :

- Via Glua Monstru, via incarcera Imonditus : VIA A MIA !!!!!

William recula, et... Il ne se passa rien... Deçu se dernier se pencha sur sa potion qui n'avait strictement pas changer, William relu plusieurs fois le mode operatoire, il était certain d'avoir suivit toute les étapes à la lettre, alors pourquoi cela n'avait pas marché... Il resta assis la à contempler sa potion pendant plusieurs minutes sans changements, il rassembla ses affaires... Dépité... Alors çela ne marchait pas le livre n'avait pas la version correcte de cette potion si difficile a créer... Il s'avança vers la porte au moment ou une bulle éclata plus fort que les autres... William fit volte face et couru vers sa potion, cette dernière auparavant calme était à présent en train de tourbilloner dans le chaudron, La potion commença alors à emettre un sifflement continu, C'était bon signe mais mieux ne valait pas rester près, William recula de quelques metres, la potion se figea pendant un instant avant de se mettre à lever, elle pris du volume et commença a degouliner partout autour du chaudron, elle grandit... Puis des contours de dessinèrent, enfin apparut sur cette étrange forme des yeux... Verts... Deux trait en guise de narine et une feinte pour la bouche... William fit un rire démoniaque, il pensait que c'était le meilleur rire à adopter pour la situation. Alors il avait réussi, il avait devant lui non plus une potion mais un petit monstre d'envirion un mètre d'un vert gluant... Le monstre cria alors :

Groablablubluuuublaaaaaaaaa

William rigola alors que le monstre éssayé de parler des bulles sortaient de sa bouche... Puis il se rapella des indications du livre : le monstre était très agressif et dangereux... William marcha donc lentement vers la porte, avant de la fermer derrière lui, hihi se dit-il, Ce bon vieux profs de potion aura du soucis à se faire demain, alors que william commença à remonter les escaliers du cachot, il entendit un bruit de feraille... Soudain il se rapella avec stupeur les vieux gond rouillé et usagé qui était au cachot... Des gonds surement trop faible pour retenir Shtroumphfi c'était le nom qu'il avait donné au petit monstre...
Alors que William tendait l'orreil, Shtroumphfi emit un crie qui se raprochai... William compris qu'il avait reussi à sortir, Il monta les escaliers 4 à 4 en criant :

AAAAAAAAAAAAAAH

Au moment ou il passa devant le hall en criant il jetta un regard en arrière et Shtroumphfi le poursuivait en hurlant laissant derrière lui une trainée verdatre, William éssayait de réfléchir mais ce n'était pas facile en étant poursuivit par un monstre gluant tout vert...
Il fallait qu'il trouve un endroit pour se cacher et le meilleur qu'il puisse y avoir était la bibliothèque avec toutes ses rangées. Il grimpa les éscaliers en courrant et en profitant pour viser le monstre et lança :

Stupefix

Comme il s'y attendait sans résultat... Il couru à travers le couloir du première étage et juste avant de rentrer dans la bibliothèqe aperçu une jeune fille, à peine eut-il le temps de ralentir Shtroumphfi avec un autre stupefix, qu'il saisit le poignée de la jeune fille et l'entraina avec lui dans sa course folle, il fit voler les portes de la bibliothèque et entraina la jeune fille dans un coin caché par plusieurs rangées de livre...
C'est à peine à ce moment là qu'il osa enfin respirer et évaluer la situation :
Shtroumphfi s'était évadé... C'était la catastrophe !!!

Saki marchait tranquillement dans les couloirs. C'était assez tard dans la soirée et elle commeçait à être fatiguée. En fait c'était surtout qu'elle venait de passer trois très longues heures sur un devoir ennuyant...mais au moins elle était sûre qu'il était parrrrrrfait! L'avantage c'était que comme les cours étaient finis elle se permettait de s'habiller "normalement" et d'enlever ce foutu uniforme qu'elle trouvait de plus en plus inconfortable. Pourquoi avait-elle l'impression que la jupe devenait de plus en plus courte???

Bref...elle était vêtue d'une jupe cadrillée rouge assez courte mais sans pour autant l'être trop, de ses chaussettes longues qui chachaient une bonne partie de ses jambes, de ses chaussures achetés spécialement au Japon l'hiver dernier et de ses nombreux accessoires. Sa chevelure brune foncée de longueur moyenne était coiffé de deux minis "queues de cheval", une de chaque coté et ce avec de jolis rubans noirs. Comme haut elle avait une camisole très simple noir sur laquelle quelques mots étaient écrit mais elle n,y avait jamais vraiment porté attention.

Mais bon...elle était toujours heureuse. Fatiguée mais heureuse. La japonaise marchait donc, avec dans ses bras son devoir fait à la perfection et réfléchissait à ce qu'elle ferait le lendemain...après tout sa soeur commençait à s'intégrer de plus en plus et elles se voyaient de moins en moins. La brune avait bien sur rencontré un garçon bien sympathique dans la salle commune de sa maison...mais elle ne savait pas s'ils allaient se revoir. Après tout ils étaient deux Serdaigle et tenaient beaucoup à leur études...même si pour la jeune fille c'était plus un passe temps pour boucher les trous d'ennui...

Soudain elle sursauta. Quelqu'un avait saisi son pognet et l'ammenait dans un lieu inderminé pour une raison tout aussi indéterminée. Elle fit de son mieux pour ne pas chuter ou échapper quelque chose. Elle était déjà maladroite en général, vous imaginez quand elle venait de passer trois heures à lire et transcrire dans ses mots? De plus le talon épais de sa chaussure ne l'aidait pas et elle faisait de son mieux pour éviter d'avoir à courir avec ses chaussures là. Elle suivit quand même la personne qui n'avait pas l'air d'avoir de mauvaises intentions.

* Génial la bibliothèque...-.- encore... *

Bah quoi? C'était là ou elle l'avait fait ce devoir. Ou d'autre? Quand ils s'arrêterent enfin de courir elle regarda l'inconnu en reprenant son souffle. C'était un garçon...et il avait l'air...inquiet...pour ne pas dire effrayé. Qu'est ce qui lui avait donné le goût de l'emmener ici? Elle était peut-être timide mais là elle pouvait pas s'en empêcher.

" Pourquoi on est ici? Tu peux me le dire? "

Bien sûr elle avait chuchoté étant donné le lieu ou ils étaient. Des élèves qui entrent à cette heure là ça devait déranger la responsable de la bibliothèque et s'ils parlaient fort encore plus. Elle serait fort ses affaires...si ce garçon là était paniqué il devait bien avoir une bonne raison. En fait elle commençait à plus vraiment voiloir le savoir.

William rassembla ses esprits, il ne pouvait pas se permettre de paniqué maintenant, il mis la main dans sa robe et constata avec stupeur que le parchemin n'était plus là... C'était le seul endroit ou la formule de rédenption était inscrite !
Il essaya de sonder sa mémoire pour sans souvenir mais il n'arrivait pas à se concentrer, il était essoufler et son esprit ne repondait plus.Il s'assis alors par terre, pris la position du lotus, et malgrès la situation alarmante il fit un break, il fit abstraction de tout ce qu'il se passai autour de lui, de tous ses sens, et se focalisa sur le parchemin, il se revoyait en train de le lire, et soudain un détail le frappa, l'antique formule de redemption n'était pas marqué ! A sa place il y avait une déchirure ! Quelqu'un l'avait arraché ! Cela compliquait énormement les choses, William se rememora les quelques personnes a qui il avait parlait de son projet et se rappela d'une des personnes en particulier qui lui avait demander de voir son papier. Alors c'était lui ! Lui qui avait déchiré cette partie !!! Quels étaient ses buts ? Savait-il que la porte de tiendrai pas et que Shtroumphfi s'évaderai... Trop de question auxquels il falait trouver une reponse et vite... Il ouvrit les yeux et se releva rapidement, ce qui lui donna un vertige, son coeur battait à tout rompre et on entendait les cris de Shtroumphfi en dehors de la bibliothèque, les élèves intruigués tournaient la tête vers la porte, un groupe de première année près de la porte jettaient des regards inquiets autour d'eux.
Le monstre se rapprochait mais apparament il ne savait pas qu'ils étaient caché ici, William abandonna quelques instants la jeune fille et se mit entre la porte qui était fermé, et les élèves, il esseya de parler à tous le monde en même temps sans faire de bruit :

Il y à un problème, une chose malfaisante est sur le point d'entrée alors sortez par la porte de derrière s'il vous plait.

Il avait essayer de le dire calmement mais on pouvait lire la peur dans ses yeux, après tout il ne savait pas de quoi Shtroumphfi était capable, Pourtant, personne ne bougea, de nombreuse tête le dévisageaient mais personne ne semblait le croire. Il tendit l'oreille mais il n'entendait rien, Shtroumphfi était peut-être partie, il se rapprocha doucement de la porte,
Soudain, un crognement surpuissant se fit entendre et le monstre defonça la porte, William se la pris de plein fouet et voltigea sur plusieurs mètre, le choc fut violent lorsqu'il retomba sur le sol, Il était à moitié sonné lorsqu'il se releva mais il cria :

Courreeeezzzzzzz

Cette fois ci comme par magie tous le monde se leva en hurlant et ils partirent tous dans toutes les directions, apparament Shtroumphfi ne faisait pas attention à eux, il voulait seulement William, Mais ce derniere ne savait pas comment le battre alors il se mis a courrir dans tous les sens à travers les rayons de la bibliothèque en criant un aaaaaaah continue, il esperait ainsi créer la confusion dans la tête de Shtroumphfi. Après plusieurs minutes de course folle, il s'arreta, Shtroumphfi l'observait, il semblait consterné... William lui tira la langue pointa sa baguette sur un bureau et cria :

Wingardium Leviosa

Le bureau s'éleva dans les airs, d'un rapide mouement de baguette il fit foncer le bureau droit sur Shtroumphfi, Il le percuta de plein fouet mais le monstre ne bougea pas d'un poil, William reflechissait rapidement à sa prochaine action lorsque Shtroumphfi fonça sur le premier rayons de la bibliothèque, sous la puissance du monstre le rayon flancha avant de tomber sur le suivant et Shtroumphfi créa ainsi une serie de domino géant mortel pour celui qui se trouve dessous, vu le rire que fit le monstre William comprit qu'il avait fait exprès, cela faisait un moment qu'il n'avait pas vu la fille de tout à l'heure et si se surprit à s'inquieter de l'avoir laisser, puis il se dit qu'elle se débrouillerait seulement toute seule.
Il devait à présent isoler Shtroumphfi et retrouver l'antique formule de redemption,
Alors que les rayons étaient à présent tous par terre, William regarda autour de lui, ce qui était il y à quelques minutes un bibliothèque était à présent un champ de ruine totale...
On se croyait pendant la 4eme guerre de l'ordre noir avant la proclamation de la république magique. C'était catastrophique !!!
Il allait donc partir de la bibliothèque pour retrouver grendel, l'homme qui possedait la formule... Lorsqu'un craquement l'arreta, il fit volteface.

[HJ : finalement pas de troisieme personne j'ai inventé un personnage fictif, le craquement c'est pour pas que je parte sans toi ça serait pas drole Razz

tu peut l'interpreter comme tu veux !]

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