Tient !! Le soleil se couche. C’est bizarre, parce que quand même il est que huit heures du matin. Ah non c’est le soleil qui se couche, c’est une chose pas identifiée qu’est passé devant… Une sorte de vaisseau spatial… enfin vaisseau spatial qui est aussi gros qu’un pigeon. Si, si, un truc gros comme un pigeon peux cacher le soleil. En bon militaire, moi l’adjudant Poilaudent j’attrape ma paire du jumelles et je me met en tête d’observer l’objet perturbateur. Je vous l’avoue, d’ailleurs, je n’en crus pas mes yeux. L’OVNI se rapprochait à vue d’œil du bateau dans lequel nous nous trouvions, mes hommes et moi. Un cri se fit entendre, c’était le capitaine Saldégaine qui hurlait :
-Par le Général Jemfaitdublésurledodupopulo, notre bien aimé président, c’est… c’est … des lapins !! Dans une ballerine géante qui grossit à vue d’œil !!
Ma parole, mais c’est que ce vieux bougre de Saldégaine disait vrai. Je ne saurais sans doute jamais comment il fit pour comprendre aussi rapidement que les Lapins revenaient se venger de la bataille de la plaine Pleinedechoux.
-AUUUXX ARMMMMESSS !!!
C’était moi qui venais de crier. Aussitôt je bondis dans ma cabine en hurlant une deux une deux pour mieux me concentrer en silence. Sous mon oreiller, j’avais bien sur mon revolver avec lequel je n’avais jamais rien fait d’autre que d’assassiner les ennemis de la Patrie. Et ce même quand ces ennemis n’avaient que trois ans et demi. Non, je ne recule devant rien pour mon pays !! Ils veulent nous priver de notre Liberté d’obéir ou de mourir, de notre Eglise qui nous offre des maisons en bois. Car bien entendu la pierre est maudite, puisque Satan aime la pierre, vous ne savez donc rien, qu’est-ce qu’on vous apprend au catéchèse ? Comment vous n’allez pas au catéchèse tous les jours… ne me dite pas que vous n’allez pas à la messe tous les dimanches. Mais bon sang, vous devez absolument rendre hommage à notre dieu, celui qui nous offre le droit de le vénérer !
Enfin, vous devez être stupide ! Je pris mon fusil qui ne tirait jamais sur des innocents. Enfin seulement quand je n’avait pas encore pressé la gâchette. Et je me rendis sur le pont en chantant une chanson qui prônait la gloire du Général Jemfaitdublésurledodupopulo. Et je me mis en tête de tirer sur la ballerine qui semblait avoir décidé puisqu’ils avaient fait sortir des parlementaires avec des drapeaux blancs. Nan, nan la patrie ne se ferait point avoir, ah tenez ça vils lapins ! L’ogive d’un missile passa près de mon crâne rasé. Oui, parce que j’ai bien entendu fais don de mes cheveux à l’adjudant-chef Chauvecommeuncul. Cependant, je ne connais pas la peur. Je suis un militaire moi ! Non mais ! La ballerine sortit alors des canons qui nous envoyèrent du fenouil en pleine tête. Mais quelle horreur, ils nous attaquaient alors que nous n’avions pas montré d’hostilité !
-Attention, une deux, une deux ! Diviser vous en un groupe pour mieux leur envoyer des plateaux en or. Héhé, ils les mangeront et s’étoufferont avec !
La stratégie que venait d’énoncer le colonel Fachoamort était parfaite ! La ballerine se posa alors sur notre bateau et il en sortit un trio de jeunes humanoïdes. L’un d’eux, rouquin aux cheveux roux comme la mer, agita un bois de bois et envoya paître le Colonel à l’autre bout du rafiot. Il fut suivit d’une jeune demoiselle qui m’envoya un jet rouge comme une chaussure rouge. Une voix s’éleva alors avant que je perde conscience, c’était notre bon capitaine Saldégaine :
-Je vous ordonne de lâcher vos trucs et de nous suivre en opposant une résistance qui nous forcera à commettre une bavure ! Non, d’ailleurs, donnez les moi et je le ferais expertiser pour vérifier qu’ils ne sont pas dangereux. Cela bien sur pour… la Patrie.
Les derniers mots furent répétés en échos. Juste avant de m’évanouir, une autre voix se mit à parler avec une voix qui ressemblaient à une voix qui était une voix de femme ou de femme.
-Harry… vient, je crois qu’on s’est trompé, ce n’est pas ici les toilettes.

Il était de bonne heure, le soleil commençait à faire son ascension dans le ciel comme un vaisseau spatial quittant son orbite. Harry dormait encore dans son lit, bien emmitouflé dans ses couvertures chaude, rêvant à la défaite cuisante de son ennemis juré, Voldemort! Durant ce temps, à l’extérieur, il faisait un temps radieux. L’on pouvait entendre le champs des oiseaux dans les arbres et voir les lapins qui dansaient les uns avec les autres autour de fenouils. Comme quoi que l’on en vois de toute les couleurs à Poudlard. Quelques heures, le jeune adolescent ouvrit les yeux brusquement. Celui se leva d’un bon et couru le long du dortoir en direction des toilettes. Arrivé là bas, il entra dans une cabine avant de dire avec un air soulagé.

- Quelle ogive! Je ne mangerai plus chez Ron.

Après cette petite course, il s’habilla et se dirigea à l’extérieur pour profiter du beau temps. Près de l’entrer, il aperçu un bateau de plaisance. C’était une nouvelle sortie pour les élèves. Cela leur permettait de profiter de la richesse aquatique. Harry si dirigea donc et embarqua. L’espace près de la proue avait été divisé en deux pour mettre des tables et ainsi laisser un corridor entre celles-ci. Sur chacune des tables, il y avait un plateau de fruits, d’on certains auraient à demander une expertise pour juger de leur fraîcheur. Sinon, l’on pouvait assister à un spectacle de ballerine en mangeant notre repas...

La journée prométait...

Quel poisse… marre, marre, marre des cours de Potion!! De toute façon Harry n’avait pas vraiment le choix et c’était accompagné de Ron et d’Hermione qu’il pénétra dans la salle du sous sol où le professeur Rogue les attendaient déjà. Il leur expliqua qu’aujourd’hui les élèves devraient préparer une potion hallucinogène. Les ingrédients étaient déjà sur la table et tout le monde ouvrit son livre à la page que Rogue avait indiqué.

« N’oubliez pas pour limiter les effets de la potion il faut diviser le nombre de poils de lapin par deux… »

Harry avait déjà mit le fenouil dans le chaudron et il prit la moitié des poils qu’il versa aussi. Quand tout le monde eu finit Ron regarda la potion de Harry et dit:

« Elle est pas un peu trop clair ta potion? »

Le professeur s’empressa d’arriver pour lui dire:

« Puisque vous vous y connaissez tant que ça vous allez la goûter comme ça vous pourrez nous expertiser le tout… en espérant que Monsieur Potter ne se soit pas tromper!! »

C’était bien sa veine… il prit une louchette du chaudron d’Harry et la mit dans sa bouche. Quelle sensation bizarre… il avait l’impression de basculer en arrière tout en restant droit… la classe paraissait bien flou et un autre paysage faisait son apparition.

Il était sur la mer ça c’est sûr car il entendait les vaches faire tanguer ce qui devait être un bateau plutôt bizarre… On aurait plutôt dit un vaisseau spatiale. Oui un bateau en fer ça n’existe pas!! Il se regarda et eu comme un sursaut de recul quand il vit quelle sorte de chaussure il portait à ses pieds : des ballerine. Pourquoi? Pourquoi est-ce que c’était tombé sur lui? Il avait encore perdu une occasion de se taire. Il y avait une porte entre ouverte et Ron décida de s’y aventurer. Il ouvrit. Pas grand-chose à part une table au milieu sur laquel était posé un plateau. Plateau sur lequel était posé une ogive nucléaire. Pourquoi est-ce qu’une bombe se trouvait en plein milieu d’un bateau? Et surtout pourquoi était-il en ballerine? Soudain tout redevint flou et la classe fit son apparition. Tout le monde était autour de Ron qui était allongé par terre. Il se tourna vers Harry et lui dit:

« Je crois que tu as trop mit de poils de Lapin. »