Un agréable voyage sous les cocotiers(FE Joyce)

Cela faisait quatre heures , seulement quatre heures que Joyce et Davis étaient partis de la ville de Londres. Pour se rendre oû ??? Quelque part ??? Certes oui , et quand vous le saurez vous ne pourrez vous empêcher d'être rouges ou verts de jalousie , cela dépendra de votre humeur journalière. Allant dans la direction d'îles exotiques à bord du jet privé de mademoiselle Heir , nos deux amoureux auraient des souvenirs inoubliables de ce lieu. Regardant par le hublot de l'avion , le vert et argent voyait une mer bleu foncé s'étendre à perte de vue sous le vol éffréné du courageux avion conduit par un pilote expert. Dans le coin privé des deux jeunes gens il y avait un capané ouvrable et une minie-télé. Joyce, habillée d'une magnifique robe de chambre rose fushia reposait sur le doux divan invitant son compagnon à la rejoindre. Après tout il y a avait encore bien trois heures de vol et ils pourraient en profiter pour se détendre un peu. Encouragé par les appels de Joyce , Davis vitn à son tour se mettre sur le lit plaquant en prenant ses mains dans les siennes avant de lui donner quelques baisers dans le cou , et de suggérer cette phras en lui faisant cadeau d'un baiser fièvreux.

- Et si ma charmante demoiselle nous en profitions pour nous faire quelques calîns??? Cela ne vous dérangerait t'il point???

Dit-il d'un ton malicieux et ennivrant en caressant la soie du dos de la jeune femme tandis qu'une nouvelle fois ses lèvres s'unissaient aux siennes tels des danseurs de samba enflammés n'yant que le rythme dans la peau. Toujours habillé notre ami jouait aussi avec la ceinture de la jeune femme la coinçant entre ses dents tel un lion indomptable ( ) qui meurt de désir face à sa compagne. Ainsi face aux ardentes caresses de son chérie , la jeune femme se torilla de tout coté , mais attendez mademoiselle vous croyez que délicieux supllice va s'arrêter là??? Enlevant son tee-shirt(causes : le reflet du soleil passant par le forme cylindrique de la fenêtre et l'envie que Joyce pose ses lèvres sur son torse , ses pectoraux et lui fasse un massage capable de réveiller tout les diables.( ). Pendant que des sourires et de rires amourachés s'échappaient de la cabine particulière , il serait juste de vous racconter les événements passés avant cette situation.

FLASH BACK

Remontons de quelques heures , 6 heures pour être précis. Une ruelle de la capitale britannique , des passants , des jeunes , des vieux , des fous, des alcooliques , des déprimés , des droguées, des vagabonds, des mandiants , des fans de tectonik , bref un peu de tout et j'en oublie encore... Mais les personnes qui nous intéressent le plus ce sont ceux là : Joyce et Davis. Les longs cheveux de la jeune femme montant la garde dans son dos , tandis que les cheveux bruns de Davis partaient en bataille contre je ne sais quel ennemi invisible (après mure réfléxion peut-être le vent). Marchant main dans la main , nos amis avançaient d'un pas tranquille portés par les ailes légères de l'Amour (Leur ange gardin spécial , vu que leur Amour est avec un grand "A" ). Après de multiples observations , nos deux tourteraux arrivèrent devant un magasin de vêtements. Pourquoi ??? Pour y faire des emplettes bien sûr... Non sérieusement , ils allaient chercher des vêtements pour célébrer leur voyage un lieu à l'ombre des cocotiers. C'est pas tous les jours qu'on va vers Tahiti ( sauf pour Davis , car étant avec Joyce , il va habiter avec elle donc lui seul et elle pourront profiter de ce brûlant panorama , avouez là vous vous dites que ce sont des veinards.^^ ). Entrant à l'intérieur de l'échoppe "Rebirth of looking" , les verts et argents arborant des vêtements de moldu en publique . Secret de la vie des sorciers oblige , ils vagabondèrent jusqu'à se trouver des vêtements chacun l'un pour l'autre??? Mais attendez vous vous demandez quelle sorte de vêtement , leurs couleurs , les motifs dessinés dessus. Vous le saurez bientôt. Mais avavant notre Davis , sous le regard tendre essayait les dessus et dessous que Joyce lui avait choisi avec son accord afin de voir quelle tenue conviendrait le mieux un fois au soleil. Et ce fut des choix corneliens entre plusieurs chemises pour commencer (ben quoi faut s'habituer au climat non??? ) , et le jeune couple opta pour que Davis en prenne une jaune avec des palmiers et une belle ferrari dessus , une autre plus foncée de couleur rouges avec des fleurs jaunes , Une blanche à carreaux , mais réservée pour des journées plus habituelles dirons nous , puis ils achetèrent un stock de 5-6 blue jeans pour monsieur , car il n'en avait que trois-quatre à la maison , au moins sa garde robe ne manquerais pas de pantalons. Puis vint le tour des sous vêtements , avec plusieurs çaleçon bleu qui iraient parfaitement avec la couleurs des mers corayennes. Et trois boxers foncés pour mettre son bas et ses abdominaux en valeurs. Qui vous dit qu'ils ne nous réserveraient pas un strip-tease pour plus tard ces deux là (à l'abri des regards indiscrets bien entendu :heart: )??? Ah ne me posez pas la question , je n'ai aucune garantie sur leurs idées moi , je ne suis qu'un humble narrateur et même pas payé pour racconter leurs aventures.

-J'espère qu'il te donneront envie de me mordre.

Déclara Davis avec un air coquin. Tandis qu'en passant vite fait une vendeuse devint rouge comme une tomate en entendant les provocations du jeune homme envers sa dulcinée... Ce qui eut pour effet de lui faire arborer un des ouirs les plus brillants de cette planète . Offrant un baiser langoureux à sa Joyce d'amour pour lui prouver qu'elle était le sel de son existence , de son monde unipolaire. La déesse qu'il adorait et adorerait toute sa vie.Vînt le tour de madame de choisir ses vêtements , et autant dire elle était craquante dans tous . Mais me direz vous à quoi ressemblent-ils??? Vous devrez attendre encore un peu , je laisse la main oû plûtot la parole à ma chère collègue narratrice pour en faire le plus exact récit.

In the plane, direction le paradis en compagnie de l'homme de sa vie, le rêve absolue... Envolés tout les deux, dans le jet privé de Miss Heir, ils voguaient déjà des jours heureux... Pour plusieurs heures... Parce qu'un vol de ce genre, ça ne dure pas 4 minutes et 10 secondes, mais plutôt des heures... et des heures... Mais, quand on passe ces heures là avec l'homme qu'on aime, on ne les compte même plus... Alors, ce n'est pas avec agacement, qu'elle constata qu'il venait de se passer 6 heures de vol, mais avec béatitude, heureuse de croquer la vie... Avec son lion d'amour... L'avion, était lui même conduit par un pilote très compétent, qui leur assurerait un excellent voyage... Sans les déranger... Du moins, c'est ce que nous verrons... Il y a encore du temps avant d'atterrir... (Hein Davis ? mdr) Affalée sur un canapé, dans une robe rose fushia qui embellissait son corps, d'une façon divine, Joyce jubilait d'impatience, elle invita Davis à la rejoindre en lui offrant un regard provocateur qui voulait tout dire, et le lion ne tarda pas à rejoindre sa lionne, qui le désirer déjà... Elle se laissa embrasser, savourant la douceur de ses lèvres, qu'elle avait quittés il y quelques temps... Et profita de son baiser fiévreux, pour ensuite écouter la proposition de son chéri... Elle avait envie de lui sauter dessus, et de lui arracher ses vêtements, mais se retint un peu parce qu'il devait entendre ce qu'elle avait à lui dire...

- Comme si j'allais refuser tes câlins Davis...

Ses lèvres dessinèrent un sourire malicieux, qui voulaient tout dire avant qu'elle ne viennent rejoindre celles de Davis... Dans un baiser des plus fiévreux, mmh elle en avait envie de se baiser, elle y met toute la passion dont elle était capable, donc énorme pour tout vous dire, ces lèvres et cette langue, dont elle ne pourrait jamais plus se passer... A cause bien évidemment du faire, qu'elle en était complètement folle...
Prenant, ses désirs aux mots, la jeune femme se vautra sur Davis, qui commença à jouer avec sa ceinture, comme un sauvage lion d'amour... Ce qui excita Joyce, qui se mit à faire des mouvements brusques, en se tortillant comme un serpent cherchant à amadouer sa proie... Elle aida Davis à se débarrasser de son tee shirt, qu'elle trouvait trop encombrant et inutile dans ce genre de situations... Et l'envoya à l'autre bout de l'avion... Aller voir ailleurs, si elle y était... Joyce précipita des lèvres expertes sur ce torse si parfait, qu'elle commençait à connaître, dans les moindres recoins, et se saisit de la chair musclée de son homme, en l'embrassant sauvagement... Alors que tout deux s'esclaffait de manière en peu infantile, il est vrai qu'ils sont tout les deux adultes, mais ils sont encore jeunes, et conservent une part de gaminerie dans leurs ébats... Ce qui ne pouvait pas leurs déplaire... Quelques temps plutôt aussi, ils avaient montrés qu'ils étaient encore jeunes dans leurs peaux, et dans leurs têtes... Lors de leurs splendide virée shopping... Dans le Londres moldus... Entourés de personnes typés évidemment moldus... Donc, parfois un peu spécial, mais Joyce connaissait ce monde peuplé d'étranges êtres humains...

Flash Back

C'était donc il y a 6 heures... 6 heures exactement qu'il étaient dans cet fameuse ville, et pour y faire quoi ? Et bien les préparatifs de leur voyage en amoureux, bien sûr... Soit, en clair du Shopping... Une des activités préférés de la jolie demoiselle, et cette fois, elle en ferais avec son amoureux, elle lui choisirais ses sous vêtements, pour qu'il soit au top du top de l'excitation la plus totale... En tant qu'experte en la matière cela ne devrais pas lui poser trop de problèmes, je pense... Ils trouvèrent plusieurs chemises, plus au moins colorés et exotiques, du moins le genre de fringues qui mettent dans l'ambiance avec leurs couleurs chaudes... Puis des caleçons, et des boxers couleurs foncés qui allaient merveilleusement bien avec Davis... Il ressemblait à une bombe sexuel, complètement irrésistible... Et hyper craquant... Il lui donnait vraiment envie de lui sauter dessus, avec ces formes parfaitement moulés... Et si flagrantes... Si elle avait envie de le mordre ? Non, plus que ça Davis...

- J'ai déjà envie de te dévorer...

Lui répondit t-elle très sauvagement... Alors qu'il s'approchait d'elle pour lui dévorer la bouche, avec un baiser langoureux... dont elle jubilait de par la passion qu'il y mettait... Absolument divin...
Puis se fut à son tour de faire sa "bombe"...(même si elle l'était déjà rappelons le) Davis, lui choisit merveilleusement bien quelque débardeurs, de couleurs roses, bleu, rouge, blanc, qui soulignait superbement sa poitrine, des tee shirt tout aussi moulant, s'arrêtant en dessous de sa poitrine, laissant donc une bonne partie de son ventre sans protection textile, plusieurs mini jupe, une en jean, super courte, une autre blanche, et une autre rose et une dernière noire, toutes lui allant à merveille, superbement coupés, courtes et sexy... Lui mettant cette fois, ces fesses et ces jambes de déesse, très en valeurs... Côté chemisier aussi, plusieurs à rayures, ou unies, ou avec des carreaux, permettant l'usage d'une ceinture... Mais ce n'est pas tout, question sous vêtements féminins, il assura encore plus, en lui proposant des soutiens gorges, multicolores, arc en ciel, exotiques, avec des palmiers, des noix de cocos, des fleurs, des étoiles... La totale... Une panoplie de soutiens gorge et petite culotte volèrent en éclats.. Et Joyce fut ravie de lui faire le plus grand défilé de toute sa vie... Les hommes de la boutique moldus, restaient subjugués et bavaient devant sans doute la plus belle femme qui leur fut donné de voir dans leur vie... Mais n'oublions pas, que Joyce, elle octroyait ses sourires tombeurs et ravageusement sexy, à l'homme de sa vie, c'est à dire... Davis... aller vous rhabiller les autres, c'est pas pour vous... Même, si elle ne pouvait pas les empêcher de regarder... Elle observa le sourire coquin de Davis, qui appréciait beaucoup de la voir si peu habillée, mais moyennement ravi de voir tous ces regards tournés sur elle... Que voulez vous, quand on est une femme fatale, c'est ça qui se passe... Et on n'y peut rien en plus...(évidemment) Côté accessoires de plage ? Ils pensèrent bien évidemment aux lunettes de soleil, paréo, maillot de bain... Et j'en passe... Ils avaient l'air de deux fous amoureux sortis de l'asile, car l'attraction qu'il provoquait tout les deux, allait jusqu'à en faire rougir certaines... Et en faire baver certains... Les sex symbols sont fait pour s'aimer... Vous ne le saviez pas ? Maintenant... Si...

Back to the plane...

Il ne leur restaient que 3 heures de vol, juste trois heures de vol, et ils seraient arrivés à destination du plus beau paradis terrestre, l'île privé de la famille Heir... Ou ils couleraient des jours voirs des semaines, heureuses... Ne se souciant que de leur bonheur à eux... Joyce se mordit la lèvre inférieur, en observant ce corps si masculin et si parfait... Comment avait t-elle put passer à côté de lui, pendant toute ces années... Comment avait t-elle put ? Maintenant, qu'elle y pensait, elle trouvait que cela était la faute du destin, et qu'il fut génial de l'emmener dans les cuisines de poudlard, ce soir là... Sinon, elle n'aurait put en être là aujourd'hui...
La belle jeune femme, déboucla la ceinture de jean de Davis, et l'envoya avec son tee shirt à l'autre bout de l'avion, puis elle déboutonna le bouton, assez sauvagement, et se saisit de son jean, pour l'envoyez à son tour, hors de sa vue... Elle s'occupa aussi de ses chaussettes, qui cette fois partirent toutes les deux dans des directions opposés... Davis s'était retrouvé en un rien de temps, en caleçon... A la merci, de sa Joyce d'amour, toujours vêtue il faut le re préciser de sa robe rose fushia... Divinement belle...
Elle s'approcha du visage de son adoré, et lui fit une petite déclaration, amoureuse... formulés à la Joyce, évidemment... Petite question rhétorique oblige...

- Je t'ai dit que je t'aimais à la folie Davis ?

Elle le regarda malicieusement, alors qu'elle descendait plus bas, voulant maintenant s'attaquer à l'ultime partie de tissus qu'il lui restait mais avant... Elle le laisserais lui enlever ce qui lui restait à elle, de vêtements... Pour ne pas qu'il se retrouve nu comme un ver, avant elle... Elle vint s'allonger sur son torse, pour lui compliquer la tâche... Une vrai coquine, cette Joycounette...

Un voyage première classe , ce n'était jamais de refus et qui plus est avec la femme de sa vie. Davis était donc heureux de faire ce voyage avec son coeur , sa Joycounette d'amour. Il illumina (métaphoriquement ) l'appareil de son sourire ravaguer adressé à sa femme , en réponse à sa phrase . Oui , elle avait entièrement raison , pourquoi refuserait t-elle ses calaîns alors qu'il était l'un des couples pour ne pas dire le couple le plus amoureux de cette planète bleue qu'on nomme la terre (et qui au passage n'est pas totalement sphèrique... , mais vous vez raison de me reprendre car ça n'a en feet aucun rapport avec la situation présente). L'un sur l'autre , içi pour le moment c'est Davis qui est en dessus et Joyce forcément en dessous. S'embrassant avec une passion dévorante tandis que leurs bouches qui avaient étaient trop éloignées l'une de l'autre par une séparation de deux minutes , leurs mains ne tardèrent pas à palper le corps de l'autre qui les attiraient tel un aimant avec le métal. Et là , renversement total de situation(avouez que je l'annonce super bien , non??? ) c'était à Joyce d'être la dominatrice et de faire subir ses envies exquises à son compagnon.Puis la jeune blonde ôta avec vélocité , le tee-shirt du jeune brun qui se retrouva à terres quelques mètres plus loin. Joyce sauta sur le ventre de son lion pour le couvrir d'une pluie de baisers capables de faire évaporer l'eau la plus froide à leurs contacts. Autant dire que le torse de Davis se levait avec régularité (à un rythme accéléré) face au traitement de choix auquel il avait le droit en particulier. A part lui , personne ne méritait autant d'attention de la part de Joyce. Sous ses caresses , ses doigts s'animèrent telles des lianes autour du seigneur de la jungle et vinrent se poser avec tendresses sur la nuque de la jeune femme afin d'attirer son visage contre le sien pour lui donner un baiser plus long que précédément. En comptant le bruit de contact des lèvres plus le jeu des langues , ça fait bien trois minutes. (ben oui , il ne falait pas encore se fatiguait c'était juste le début) . Mais avant de savoir la suite. retournons dans le passé. (c'est énervant non??? ).

Flash Back

Eut donc lieu la séance d'habillage de Davis et autant le dire il dépassait de beaucoup les mannequins de par le regard malin de Joyce qui était fière de son homme. C'est pas tous les jours qu'on à un Davis musclé , galant , poli , serviable , et qui sait en plus se comporter vis à vis de sa dulcinée à l'inverse des hommes qui se laissent aller à partir de quarante ans en délaissant leur hygiène quotidienne par exemple ou en buvant des pots tous les soirs avec leurs potes hisotire de s'enfuir de leurs ménages. Il compris l'amusement de sa petite amie qui n'avait pas envie seulement de le mordre mais plûtot de le croquer en entier. Avec un humour débordant de perles de joie , notre ami ajouta avec panache.

- Je te laisserais faire ce que tu veux de moi charmante jeune femme , car je suis à toi Joyce et rien qu'à toi .

Après cette déclaration flagrante d'amour de leur Amour , le jeune homme passa des vêtements à la jeune femme (qui essayait les tenues dans les cabines prévues pour) , et ils lui allaient à ravir. Rien à dire à eux d'eux , ils rendraient plus riche l'île oû il débarquerait de couleurs grâce à leurs tenues finement sélectionnées et de vie avec leurs occupations de jeunes gens(à vous d'essayer de trouver de quoi il s'agit). Cependant dans la petite boutique , Joyce avait fait sensation du coté des hommes qui n'arrêtait pas de la fixer. Chose qu'ils arrèterent de faire quand une regard juvenile les tranperça instantanément d'ondes de haine. Là ils ne firent plus les hauts les choeurs mais plûtot les fuyards... En devenant rouges de honte face au regards durs lancés par des yeux noisettes. Enfin , le vert et argent n'avait pas laissé non plus les jeunes femmes du magasin indifférent , ils étaient donc quittes tous les deux. Et les bras chargés de colis et sacs plstiques en tout genre , ils allèrent payer leurs articles avant de ressortir dans le centre-ville de Londres... Arrivés par taxi à l'aéroport (quoi vous ne pensiez pas qu'ils allaient s'y rendre à pieds avec tout ces paquets quand même???), ils marchèrent jusqu'au jet privé de mademoiselle Heir , portant tout deux des lunettes de soleil sur le nez pour ne pas être éblouis par la lumière intense du soleil. Le pilote en profita pour les aider à mettre leurs affaires dans l'espace privé retenu exprès pour eux. Espace maintenant oû ils étaient partis pour des galipettes.

Retour dans le présent

Et là ils éteient bien partis pour des moments intenses de plaisir nos deux amants. Aussitôt pensé par Joyce , aussitôt fait , les vêtements de Davis partirent vite fait de l'autre coté de la pièce à la vitesse d'un ovni en reconnaissance pour observer la Terre. Tout y passa , enfin presque tout , tee-shirt(déjà dit mais bon pas grave), ceinture de pantalon , pantalon , chaussettes. Restait juste le çaleçon à notre beau serpentard qui ne tarderait pas à prendre avec bonne humeur sa revanche en déshabillant Joyce. Mais avant il profiter du câlin que sa princesse lui offrait. Avec délécetation , il la fixa d'un regard revolver (pour ne pas la tuer , n'ayez pas peur) mais pour mieux prendre possession d'elle. Face à sa question murmurée , Davis répondit.

- Tu as du me le répéter plusieurs fois mon amour , mais je ne m'en lasserais jamais.

Puis avec une certaine hardiesse , il mordit le lobe de l'oreille de la jeune femme avec douceur.

-Viens à moi , Joyce que je puisse me réveiller à tes cotés.

Quelle belle opposition. Ca valit beaucoup mieux , qu'un "je veux dormir/coucher avec toi" . Non l'a c'était dit d'un style détourné , plus sensuelle. Plus digne d'une invitation que d'un ordre. Car pour faire l'amour il faut bien l'accord de l'autre. . Et avec empressement , Davis passa l'une de ses mains à l'intérieur de la robe de chambre de Joyce , lui massant les cuisses avant d'enlver la robe de la jeune femme qui ne recouvrait qu'un soutien gorge noir et une petite culotte assortie. Avec maestria , notre ami , caressa la gorge de la jeune femme avec aisance et tact afin qu'elle puisse être aux anges , et l'embrassait dans le cou en même temps , lui murmurant ces quelques mots adorables.

- Ne voudrais tu pas qu'on teste les draps de ce lit flexible Joyce???

Déclara t-il avec des yeux pétillants tel un enfant proposant à une amie de jeu de réaliser une action interdite. Un sourire s'étirant avec fougue sur son beau visage pâle qui prenait avec le soleil une teinte plus dorée , se répercutant sur le reste de son corps. (A près tout en vacances on est là pour bronzer ,non??? :xa: ). Avec une force presque herculéenne , il souleva (en faisant attention tout de même à ne pas âbimer la magnifique plastique de Joyce) la verte et argent , et avec calme s'introduisit dans le lit la mettant entre lui et le drap. Enfin avec des dougts chercheurs , il se mit à dégraffer le fin vêtement de soie qui gardait la poitrine de Joyce close. Maintenant il était tout les deux avec le dernire linge les séparants de l'union ultime de leurs corps. Et oui , on pouvait de parlait de parité sexuelle(comprenez par là le fait qu'elle soit en petite culotte et lui en caleçon. Pourquoi pas après tout. Mais au diable les discours. Notre Davis était trop bien content de retrouver sa Joyce pour se préoccuper de ses détails. Pendant qu'il lui produiguait des échanges buccaux. Ses mains s'amusaient à aller faire un tour du coté des fesses de la jeune femme , descendant ou remontant au grès de l'envie de leurs propriétaire. Et mademoiselle Hei bougeait de plaisir face à tant de soins donnés à son égard par l'homme auquel elle tenait le plus au monde. Son prince charmant. Un détail doit être dévoilé dans cette afaire , car après beaucoup de guilis et autres signes d'affection entre amoureux , la culotte de la jeune femme arriva à deux mètres de distance de la porte.. Lancé par un bras sortant d'un des cotés du lit. Mais à qui appartenait t-il ? Mystère.

Sous la pluie de baisers qu'elle lui prodiguait à lui et à lui seul, dans l'unique but de réveiller chaque parcelle de sa peau, depuis trop longtemps endormi, et séparé de la bouche brulante d'ivresse de Joyce, le torse de Davis montrait des signes d'approbation en s'élevant un peu, et laissant apparaitre encore plus visiblement ses abdominaux, et ses pectoraux... Un vrai corps de rêve... Idéalement proportionnée et musclée, aucun doute là dessus, Davis savait parfaitement s'y prendre avec son corps, ni trop ni pas assez... Juste assez pour satisfaire pleinement sa déesse... Les lèvres et les mains de la jeune femme, s'enivrèrent de la peau si délicieusement masculine, de Davis, et sa bouche vint rejoindre la sienne, pour un baiser langoureux, dont ils avaient le secret... L'art d'embrasser n'est pas donné à tout le monde, mais quand on s'est le maitrisé à la perfection comme nos deux tourtereaux, on se rend compte, qu'il nous ait difficile de s'en passer... Selon Joyce, ou l'a ou l'a pas, et avec tout les baisers qu'elle a reçu ou donné à Davis, elle confirme que Monsieur l'irrésistible sait embrasser... Sa main est posé sur son poignet, celui qui est relié à la main, derrière sa nuque, pour l'empêcher de s'en aller trop vite... 3 minutes, d'un baiser subtile et doucement; le contact flancha, leur arrachant un sourire à tout les deux, Joyce avait un regard malicieux, tout en fixant la boucle de sa ceinture qui aurait put se traduire par un : Tu penses à ce que je penses ?

Re Flash Back...

Son mannequin d'amour eut donc le loisir de lui montrer à quel point, ses vêtements lui allaient bien. Et qu'il ferait surement une super carrière dans le mannequinât, sérieusement il était à tombé à la renverse par terre dans tout ce qu'il portait... Une vraie bombe attractive…. Hyper sexy… Ce qui attira bien évidemment les convoitises, des autres femmes, arrivées en masse pour le regarder... Joyce arracha un sourire amusé, ces pauvres potiches immondes qui croyaient rivaliser avec elle, olala, n'importe quoi... Ou va le monde, si une pauvre femme tout ce qui a de plus banale lui arrive au dessus de la cheville… Il va sérieusement à l’envers, c’est moi qui vous le dit… Et il y a de grandes chances que j’ai raison…
Suite à la déclaration de son Davisounet d'amour... Elle répliqua en jetant un coup d'œil sur les côtés...

- D'accord monsieur l'irrésistible... Craquant, et que à moi…

Elle jeta un rapide coup d’œil rempli de fierté, et d’arrogance parce que Davis lui avait encore dit qu’il était à elle, eh oui il lui avait déjà dit, si je ne m’abuse, et là en plus en public… Joyce ne manqua pas non plus de discrétion… Elle avait tout l’air du genre de femme, dont il ne vaut mieux pas rivaliser, parce que non seulement vous risquez de vous prendre la plus cinglante des remarques, mais en plus, vous risquez de vous prendre un refus monumental de la part de l’homme que vous pensiez avoir… Alors, vous perdez dans les deux cas, et en plus de cela ça vous met un gros coup sur la conscience… On ne s’attaque pas à notre reine des cœurs, sauf si l’on veut crever de honte, ou que l’on a envie de prouver à quel point on est stupide… Aussi, toutes les femmes finirent par lever le camp, sans demander leur reste, préférant ne pas se frotter de trop près, à l’irrésistible sexy bomb… Qui les dépassaient largement dans tous les critères possibles et inimaginables…
Et après, qu’elle est fait son petit défilé et qu’il est tout les deux trouvés une paire de lunettes, pour le soleil, ils purent regagner un tout autres espace, plus privé et personnel… J’ai nommé, le jet privé de mademoiselle Heir… Où, ils étaient bien partis pour une partie de galipettes…

Present time...

Après, la petite séance de déshabillage de Davis, et quant il se retrouva peut couvert, si l’on peut dire, il reçu de sa lionne, des traitements plus que passionnés dont il ne pouvait que se délectait, car la belle n’y allait pas par quatre chemin pour montrer son envie de prendre possession de son homme le plus vite possible… Et lui faire profiter, de moments intenses, sensationnels, qu’elle savait, et avait déjà partagés avec lui… Elle le fixa aussi de son regard de tigresse, alors qu’il lui offrait un regard revolver, hyper sexy… Et sourit, en même temps…
Sentant, qu’il lui mordait le lobe de l’oreille, avec douceur, pour ne pas non plus lui arracher l’oreille, elle décrocha un sourire coquin… Les dents de Davis, étaient chatouilleuses aussi… (xd)
Elle se coucha sauvagement sur lui, en l’écoutant lui demander de venir se réveiller à ses côtés, ce qui sous entendait, bien sûr un but bien précis, qui vous l’aurez compris, n’était autre que viens, je veux coucher avec toi, mais dit comme ça c’était plus subtile… Et la belle jeune femme, n’oublia pas de lui faire remarquer avec un sourire sournois… Lui signifiant qu’elle avait tout de suite, compris ou il voulait en venir… Avec un esprit, aussi détourné que le sien, difficile de faire abstraction d’une telle phrase, qui veut tout dire… Et impossible de penser qu’il voulait seulement dormir, pour se réveiller tranquillement après une nuit, ou il ne fit que dormir, absolument impossible quand on est en compagnie de Joyce, et pas très normale pour une jeune couple, qui je le rappelle adore ce genre de contact…

- Subtile demande… Davis… Evidemment que je suis d’accord pour que tu te réveille avec moi…

Elle ajouta à son air sournois, un petit clin d’œil adorable… Elle se rapprocha encore plus de Davis, quand elle sentit qu’il passait avec empressement une main à l’intérieur de sa robe de chambre, son buste collant presque le sien… Lui massant les cuisses, et arrivant à lui enlever, la soie rose glissa doucement sur la peau douce de Joyce, et tomba, laissant apercevoir, un ensemble de sous vêtements noirs… La jeune femme, posa ses mains, sur la nuque de Davis, alors qu’il embrassait son cou… Elle ferma les yeux, avant de déclarer sauvagement…

- Testons, les tout de suite… J'en meurs d'envie depuis tout à l'heure...

Un ordre, qui ressemblait à une proposition alléchante, et ivre de désir… Oh oui, la sauvage lionne, avait envie de les tester, et ne pas attendre trois mille ans pour ça… Elle se laissa soulevait, et emmenait sous les draps… Décidemment, Davis avait la manie de savoir superbement la transporter sans lui faire mal, comme si elle était une plume… Davis, qui devait en avoir envie déjà depuis plusieurs minutes, enleva le soutien gorge, qui soutenait la poitrine de la jeune femme, et l’emmena voir ailleurs… Maintenant, il était à arme égale, tout les deux vêtus du dernier morceau de tissus, séparant, leurs parties intimes respectives… LA bouche de Joyce, joigna celle de Davis, et ses mains se baladèrent sensuellement quelque part dans le dos de Davis… Elle eut quelques mouvements répétitifs, quand elle sentit que des mains aventureuses s’étaient emparées de ses magnifiques fesses… Mais quel coquin, ce petit Davis… Elle adorait ça… Après, quelques échanges, non seulement sa petite culotte vola dans les airs, à cause de son homme, évidemment le bras mystérieux n’était autre que le sien, mais le fameux caleçon ne fit pas long feu non plus, et ne tarda pas à rejoindre sa petite copine, de lingerie, par un arrachement sauvage de la part d’une lionne de plus en plus impatiente… Elle décrocha un sourire victorieux, avant d’embrasser langoureusement son lion d’amour… Juste avant de s’enfoncer sous les draps… Avec son Adam préféré…

Censure…

Il semblait que le temps était devenu statique parce notre énergumène de lionne enragé, semblait inépuisable… Car se ne fut qu’après plusieurs heures, de folies intenses et magiques, que les deux fauves émergèrent enfin des draps… Joyce allongée dans les bras de son lion d’amour… Il ne leur restait plus beaucoup de temps de vols, après leurs sauvageries juvéniles, au combien génial… Le pilote, tiens on l’avait oublié celui là… Que faisait t-il ? Bonne question, mais il devait prévenir Joyce, qu’ils allaient bientôt atterrir… Il amorça le pilotage automatique, comme un vrai pro, et décrocha sa ceinture, pour aller prévenir sa maitresse… Seulement voilà, il ignorait totalement qu’elle avait découvert les draps, et qu’elle était complètement nue… Il oublie malencontreusement de frapper à la porte, comme un véritable idiot… C’était dans ce genre de situation, qu’il perdait son sang froid… aussi, il ouvrit violemment la porte, et brisa l’intimité du couple… Qui venait de se donner l’un à l’autre, dans une authentique passion…

- Mademoi'… Il ne finit pas la fin de son mot, la vue de la jeune femme allongée sur le dos, découverte des draps, le cloua sur place, son sang fit plus d'un tour, et il eut du mal à se détacher de cette vision de rêve, jamais au cours de sa courte vie de pilote, il n'avait vu pareille, corps... Il en était tout simplement subjugué, il savait, et avait imaginé plusieurs fois dans sa petite tête d'obsédé, le corps de mademoiselle Heir, mais telle qu'il la voyait elle était encore mieux que dans ses rêves les plus fous, une beauté fatale, tant de troubles en même temps... C'était trop pour lui... Il laissa une trace blanche dans son caleçon, qui ressemblait beaucoup à une substance bien connu des hommes, Il avait eut droit à sa première vision du paradis... Qu'il n'allait peut être pas tardé à rejoindre, parce que la demoiselle qui était en train d'embrasser sauvagement son homme, n'avait pas tellement apprécié...
Elle se décala furtivement de Davis, et se couvrit avec les draps, qu'elle emporta avec elle, parce qu'elle avait 2/3 trucs à lui dire... Elle lui lança un regard noir, et enchaina avec des paroles cassantes...

Depuis quand tu as le droit d'ouvrir une porte sans la moindre permission de ma part ? Et en plus, pour t'en mettre plein la vue ? Tu veux pas que je t'aide t'es sûr ? Tu as intérêt à sortir dans les trois secondes qui suivent, parce que tu es viré...

Mais le pauvre idiot était incapable de bouger, Joyce était tellement belle quand elle était en colère... Davis, allait peut être l'aider...

Présent et rien que le présent maintenant

Comment ne pas être aux anges quand vous étiez dans la même pièce et surtout dans le même lit qu'une femme surpassant ces chérubins célestes de par sa grâce , sa beauté et (oui même si ça va en étonner certains ) , sa douceur , sa tendresse et sa gentilesse (mais que réservées à Davis ces qualités là de Joyce). Ainis donc nos amis fêtait de nouveau leurs retrouvailles en caressant l'épiderme soieuse de son partenaire tandis que leurs vêtments étaient un peu éparpillés (beaucoup) dans la cabine du jet privé. Sous les draps deux formes enroulés dans des draps bougeaint un peu dans tous les sens , tandis que parfois arrivait à s'échappait des bouts de chevelure de leur protection de satin( les draps quoi ) . Et pendant que les jeunes gens étaient bien partis pour s'amuser dans les bras l'un de l'autre totalement nus. Un panneau "Ne pas déranger " placardé sur la porte permettant accesoirement de repousser les géneurs pendant que nos deux tourteraux redécouvrait le physique de l'autre qui lui avait tant manqué. Le pilote quand à lui faisait son travail c'est à dire manoeuvrer d'une main d'expert le coco de métal jusqu'à son nid , donc le conduire jusuq'à l'île appartenant à Mademoiselle Heir , reçu de ses défunts parents en héritages en tant que dernière descendante de la famille.

Pourtant , pourtant (répétitions pour bien marqué l'énervement du narrateur) , notre cher monsieur , oublia momentanément de regarder ce qu'il y avait écrit sur la porte oû logeait le couple (qu'on le mette au bûcher , ou un qu'on lui donne un bon coup de batte ) et voulant prévenir sa patronne de leur arrivée imminente sur l'île(dans une bonne demi-heure exactement) , le pilote brisa l'intimité du couple en plein bizouillage , le corps de Joyce sortant à moitié des couvertures... Et là notre ami s'en mit plein la vue , pas pour longtemps car les paroles de Joyce pour le renvoyer à son poste ne se firent pas attendre. Davis de son coté était assez énervé d'une telle intrusion , (ayant passé un caleçon avant que l'homme n'intervienne pour les déranger) , le serpentard n'allait pas se servir de sa baguette pour punir l'homme bien qu'il le méritait , seulement zieuter devant lui sa lionne d'amour à poil était un crime impardonnable. se levant de toute sa magnificiance , torese et jambe nue (jueste en caleçon) . Davis lui parla d'une voix grondante et puissante.

- Il faudrait peut-être que vous retourniez vous occupez de l'avion tout de suite. Car là vous êtes en train de lorgner ma petite amie et je ne sais pas ce qui me retiens de vous balançer par dessus bord. Après tout si vous êtes là c'est que l'avion est en pilote automatique.

Le pilote commença à revenir parmi nous , le visage devenant rouge de honte et de stupeur face au bel étalon qui se dressait devant lui et qui semblait prêt à le dévorer sur le champ s'il restait une minute de plus dans cette chambre improvisée.

- Vous allez me faire le plaisir de déguerpir en vitesse , de nous amener sur l'île comme prévu et de repartir ensuite vite fait bien fait pour l'Europe avant que vous ayez une trace de chaussure sur votre postérieur .

Se calmant un peu , Davis déclara d'un ton narquois.

- Et sans indiscrétion vous feriez mieux d'essuyer votre pantalon au niveau de la braguette... Car vos coulées intimes on s'en passerait bien.

L'homme baissa les yeux , il ne s'était pas rendu compte qu'il s'était oublié d'une façon fantasmagorique et il repartit vite fait bien fait. Davis le poussa à moitié dans le dos afin qu'il aille faire son travail.Lui claquant la porte au nez , avant de la fermer à clé afin d'être tranquille. Non mais. Soufflant un peu avec toutes ses paroles dites àune vitesse folle sur un rythme de colère intenable notre ami s'approcha de Joyce , et avec le dos de sa main toucha sa joue gauche avant d'approcher ses lèvres de celles qui serait sa future femme. Il en avait envie , c'était elle qu'il désirait , celle avec laquelle il avait envie de vivre toute sa vie , celle devant laquelle il s'emporterait avec excès face aux pervers et qui retrouverait son état normal avec son amour. Celle qui le supporterait quand il douterait de lui , celle qu'il encouragerait dans ses rêves. Bref un avenir flamboyant qui devenait concret de jours en jours. Rhabillée précipitament dans sa robe de chambre rose fuschia , Joyce profitait du baiser aéré de son amoureux pour se remttre également de ses émotions. Rigolant après cette avnture ,notre ami dit d'un faux air grognon.

- Il la méritait bien son eugeulade . Foi de nous.

Après tout il n'avait pas de raison de continuer à s'emporter contre un stupide pilote obsédé , sûrement abonné à des magasines cochons et qui n'avait jamais vu un corps aussi radieux que celui de sa Joycounette. Ainsi , il était toalement calmé , et avec sagesse déclara.

- Tu as bien fait de le renvoyer mon coeur , un gars comme lui ne mérite pas sa place dans l'avion. Mais s'il est venu ça devait être pour nous prévenir de notre arrivée sur l'île.

Le bonheur dont il avait rêvé un jour ensemble était à portée de leurs mains (enfin quand ils seraient descendus de l'avion bien sûr). Après quelques baisers échangés pour continuer leurs fous instants passés au lit , nos deux amoureux étaient presque totalement habillé. Vétu d'une chemise rouge et d'un short noir , le vert et argent , enfilait ses sandales(Quoi vous pensiez vraiment qu'il allait rester en basket pour marcher sur du sable???) afin d'être fin prêt pour attérir dans le lieu paradisiaque sur lequel Joyce avait vécu de beaux souvenirs d'enfance jadis. Dans un endroit oû leur maour ne pourrait qu'être plus grand encore qu'il ne l'était déjà le jour de leur rencontre et découverte. Complétement habillés maintenant il sentirent une secousse , signe que l'avion s'était posé correctement au sol malgré les pensées brumeuses du pilote. Mais laissons le à sa place celui là , renvoyé de force en Europe pour ne pas déranger le couple avec un ticket d'avion première classe (alors qu'il ne vienne pas se laindre , c'est déjà pas offert... :arrow: Simple constatation d'auteur ). Et guidé par sa femme , marcahnt l'un à coté de l'autre main dans la main , il était sur une plage oû l'eau était transparente , chaque poisson qui passait dans ls deux -trois mètres du bord était visible aux yeux du jeune couple. Cette eau claire qui ferait pâlir celle de nos continents européens avec une eau bleue foncée , cachant ses moindres secrets. Avec un air joueur , Davis demanda.

- Que préfère que l'on fasse chérie? Q'uon aille chez toi pour me faire découvrir les lieux , ou qu'on prenne d'abord une petit baignade pour célébrer notre arrivée avec des coupes de champagne?

Oui il fallait au moins ça pour que les deux amoureux se remettent de la mauvaise arrivée du pilote dans l'avion dans leur nid douillet. Attendant la réponse de Joyce , le vert et argent jouait avec les doigts de la main gauche de la jeune femme pour détendre un peu ses muscles (ben quoi 7-8 heures d'avions c'est harassant pour les membres) et la faire encore plus sourire , il n'y avait d'ailleurs aucune chose égalable à l'expression de joie de la demoiselle et de la blancheur de ses dents. Ainsi que des yeux brillants , heureuse , d'avoir fait découvrir l'existene d'un tel panorama à celui qui était son lion. Tandis que sa main gauche touchait le flanc de sa reine de coeur. Avant de déposer avec une forte sérénité ses lèvres sur celles de Joyce et d'animer l'organe principale de ses papilles gustatives.

Avec un regard reconnaissant , une dit d'une voix chaude en bizouillant le cou de la jeune femme.

-Merci de nous avoir emmené içi. C'est magnifique , je comprends mieux pourquoi tes parents ont voulu que tu y passes des instants inoubliables.

Il ne s'était pas passé beaucoup de temps entre la réaction de Joyce, et celle de Davis, à l'encontre du pilote, un peu trop maladroit au gout du jeune couple... Non, mais c'est vrai, quel incapable de première classe, et encore il n'est que viré, Joyce se retint de lui foutre une grosse baffe saignante sur la joue, pour garder un peu d'énergie, après ces heures de vols, chaudes en sensations...
Et puis son homme avait suffisamment était clair... Mais, au yeux de Joyce se n'était que le commencement de l'humiliation...

- Tu as bien compris ce qu'on vient de te dire ? Ou tu veux des sous titres pour sourds et malentendants ? Tu l'ai peut être après tout... J'ai du omettre que je voulais un pilote avec des capacités auditives plus élevé que la normal... Mais, tant pis, je suis sûr qu'il y a des centaines d'autres hommes qui se battrait pour avoir ton job... Tu ne vas pas me manquer...

Le pilote, bouillonnait de chaleur, et commençait à perlé de sueur; tout en étant rouge feu... Il baissa la tête, ne sachant pas comment s'excuser, il commença par bredouiller quelques mots, puis prenant une grand inspiration, il balbutia des paroles, en s'agenouillant sur le sol de l'avion...
Davis broncha encore, et lui parla de l'envoyer en Europe...

- Je... je suis navré... Vraiment... Je... Je... ne savais pas... Veuillez m'excusez mademoiselle Heir... ça n'arrivera plus... je vous le promet... Mais ne m'envoyez pas en Europe... Par pitié... Je désire...

Joyce l'interrompit alors qu'il allait continuer de parler......

- Tu ne désires rien, et on ne discute pas mes ordres, ou ceux de Davis maintenant si tu ne veux pas être envoyé par dessus bord avant de finir tes jours en Europe... Tu sors de cet chambre, tu nous déposes... Et ensuite je ne veux plus jamais te revoir...

Baissant la tête, il essuya des larmes qui commençait à couler sur ses joues chaudes... Alors que de son pantalon il sentait toujours ce liquide qui lui échappait totalement...
Il avait compris qu'il ne pourrait rien faire, et que ça ne servait à rien d'essayer... enfin, il parla pour la dernière fois à mademoiselle Heir...

- Je... Très bien, je retournes à mon poste...

Joyce n'ajouta rien d'autres, mais euh un petit sourire, en constatant qu'il avait aussi coulé au niveau des yeux... Davis se chargea de le pousser pour que ça prenne moins de temps, et aussitôt il se retrouva dehors, seul, désespéré, et incompris, comme un pauvre petit pilote solitaire...
Il sécha ses larmes, et prit la résolution de toujours frapper avant d'entrer quoiqu'il arrive, et comme cela il s'évitera des ennuis...
Il désactiva le pilotage automatique, et reprit le contact de l'avion... Une dernière pensée perverse s'évada de son esprit... Et il ne pensa plus à rien... Comme si il se mettait à rêver éveillé, dans ses pensées, au moins personne ne l'embêterais...

La jeune femme, oublia peu à peu cet événement, qui n'était pas si grave que cela après tout... Des centaines et des centaines d'hommes l'avaient déjà vu nue... Mais, là quand même c'était un pilote... Et de plus, un pilote vieux et pas très attirant... Ce qui était un peu désagréable pour Joyce...
Enfin, il n'y avait pas mort d'hommes non plus...
Elle détacha la ceinture rose fushia qui la serrait au niveau de la taille, et laissa entrevoir une petite parcelle de sa peau dorée... Avant de se laisser embrasser par son homme, qui lui aussi commençait à oublier ce pilote de malheur...
Sa robe de chambre s'ouvrit plus, et bientôt l'ombre de la poitrine de Joyce fit surface, alors qu'elle bascula sur Davis, pour se retrouver au dessus de lui, et l'embrasser avec une passion dévorante, comme si ne rien était...
Elle rompit cependant le contact, se rendant compte qu'ils ne fallait pas qu'ils recommencent tout de suite... Davis suggéra alors, une excuse surement très plausible, pour cette arrivée si inattendue de la part du pilote... Joyce qui avait retrouvé toute sa sérénité, déclara avec un petit sourire...

- Oui, surement... Mais peut importe, on ne rentre pas comme cela dans ma chambre, et surtout lorsque je suis accompagnée...

Joyce s'écarta doucement, de son homme et enleva sa robe de chambre fushia pour commencer à s'habiller... Elle lança quelques regards coquins, alors que lui pouvait agréablement la regarder sans retenue...
Elle enfila un soutien gorge, une petite culotte, puis un haut blanc qui lui soulignait la poitrine, et ne recouvrait pas ses bras ni ses épaules et un short jean, court et un peu déchiré sur les bords... Bah oui, il fait chaud quand même... Mais resta pieds nus, pour pouvoir marcher directement sur le sable...
L'avion atterrit sans difficulté, il faut dire que même en étant obsédé le pilote était un professionnelle... Et il actionna l'ouverture des portes... Et mit sa tête dans ses bras, pour pleurer un bon coup, toutes ses larmes qu'ils avaient retenu, pendant ces quelques années, semblaient ne plus s'arrêter de couler... Il venait de perdre son boulot... Et craignait de ne plus jamais rien trouver, avec son âge... Plus personne ne voudrait de lui... Mais passons, on ne va pas parler de lui toute la soirée si ? Non.
Joyce sortit la première, tenant la main de son Davisounet, et une fois les deux pieds sur le sable, elle ressentit un agréable frisson de bonheur la parcourir... Elle déposa un doigt sur les lèvres de Davis...

- Chut... tu ne fais rien, et tu me laisses faire... On vient d'avoir 8heures de Vols, alors j'estime que l'on a le droit d'avoir notre part de détente tout de suite...

Elle regarda en direction de l'avion, et cria à l'encontre du pilote avec une voix forte et autoritaire...

- Alfred !!!! Viens ici !!! (Eh oui, il s'appelle Alfred qui l'eut cru ?)

Il s'exécuta de suite, sortant de son cockpit, son apparence était douteuse, et très flagrante de ce qui venait de faire, des yeux rouges, des joues rouges, et humides, la déduction est simple : il a pleuré... Il s'approcha néanmoins de la jeune femme, l'air méfiant, mais penaud à la fois...

- Il est incroyable que j'ai à crié pour t'appeler, pauvre incapable pleurnichard... Tu vas nous prendre les valises, et les monter jusqu'au Palais. Ensuite, tu reviendras ici, prendras ton avion, et feras ce qu'on t'a déjà dit de faire...

Il hocha simplement de la tête, et partit aussi vite qu'il était venu... Joyce prit la main de son Davisounet d'amour, et se retourna pour le regarder dans les yeux... Et elle se laissa embrasser, adorant encore cette sensation si particulière qu'elle ressentait quand ses lèvres entraient en contact avec celles de Davis... Ses bras l'enlaçaient alors qu'il embrassait son cou, en la chatouillant...

- Ce n'est pas mes parents, mais moi qui voulait Davis... Mais, il faut avouer qu'ils étaient heureux eux aussi, je pense... Mais assez parlez d'eux... Tu me suis et cela sans discuter mon petit Davis... Je t'emmène, et toi tu ne fais rien... Sauf peut être... Fermes tes yeux...

Elle s'approcha de Davis, l'embrassa avec douceur, et lui prit les deux mains en marchant à l'envers....

- Ne triches pas Davis, je te surveille...

Elle lui fit un sourire coquin qu'il ne pouvait voir, si il avait les yeux bien fermés, et Joyce l'entraina à travers les bancs de sable... Elle attendrait un peu avant de lui montrer la maison, d'abord... Visite de l'extérieur... Après quelques longues minutes ou Davis devait surement s'impatientait... Elle emprunta un chemin arpenté de roches, et arriva dans une petite crique, ou ils étaient absolument seul au monde... Au paradis...
L'eau était magnifique, et le soleil reflétait sa lumière dessus, une lumière vive et orangée, signe que l'astre du jour n'allait surement pas tardé à se coucher... Le ciel lui était tellement beau, qu'une simple description de quelques lignes, ne suffirait pas à ressembler à cette étendue de couleur rose, orange, ahurissante de beauté...
Joyce se précipita sur Davis, pour l'embrasser comme un missile, une furie, une tarée, complètement malade, avec une passion et une excitation, et un amour incomparable... Subtile, sauvage, passionné... Dévorant... Et cela pendant plusieurs longues minutes, comme si elle ne l'avait pas vu depuis 4 siècles, comme si le temps les avaient séparés, alors qu'elle venait de passer 8heures de vols avec lui, qui étaient loin de s'être passer à jouer aux échecs...
Elle le décoiffa, et lui dévora la bouche... Et reprit son souffle pour lui dire...

- C'est bon... tu peux ouvrir les yeux, maintenant...

Après l'incident du pilote bouclé et le pauvre homme renvoyé ( Pauvre il n'avait cas pas mater Joyce en train de dormir à moitié déshabillé , ce pervers ). Notre couple de héros était arrivé sur l'île sur laquelle ils avaient tant rêvaient d'être depuis déjà quelques jours. Le temps d'organiser leurs faiires et de s'y rendre en avion , et là ils y étaient . A peine les pieds posés dans le sable qui s'avérait d'une haute température. Oui quelques grains étaient passés entre la semele et le pied de Davis et lucela suffit au jeune homme pour piger qu'il faisait extrêment chaud. Mais en plein tropiques c'est assez normal en cette saison de l'année. Les embruns de l'océan caressaient les visages de nos deux adultes juvéniles qui exprimaient leur joie par des longs ca^lins et baisers récirpoques. Baisers qui étaient les plus doux et tendres de cette terre d'après les points de l'un sur la façon de l'embrasser de l'autre. Et les deux adoraient ce rituel de s'embrasser pendant plusieurs instants pour mettre au jour les sentiments qui faisait battre leur deux coeurs . Le coeur de Joyce s'exprimant par sa voix , et qui était le son que Davis aimait le plus au monde , partageait , sa bonne humeur avec elle , la faire rire , léamouvoir , voir la flamme du désir dans ses yeux... Bref voilà ce qu'aimait le serpentard dans sa compagne . Une juene femme vivante , pleine d'énergie à revendre et qui irait avec son homme aux quatre coins du monde s'il le fallait. Etre entouré de ses bras était le plus merveilleux des délices , oubliant tout au creu de ses bras , apaisé par ses langoureux baisers . Rt pendant que notre ami donnait des bisous dans le cou à sa lionne , celle-çi resserait son étrente autour de son torse musclé et qui n'était pas velu au contraire de certains hommes de son âge ,une qualité qu'aimait sa Joycounette chez lui. Enfin passons , toujours est-il que nos deux rossignols(oui il faut changer un peu les désignations il n'existe pas que des " tourtereaux" :mrgreen ) commencèrent leur chant érotique (par érotique comprenait amoureux , veut qu'Eros signifie amour en grecque et n'est pas que le sens restreint de sexe , même si les deux sont fréquement complémentaires). Cependant madmeoiselle semblait vouloir faire une surprise à monsieur et lui ordonna de fermer les yeux. Etant donné que Joyce tenait à lui faire probablement découvrir un paysage merveilleux , Davis ferma les yeux , enthousisate en répondant d'un air coquin irrésistible.

- Mais je vous obéis , princesse . Avoir tes mains et,tes lèvres pour guide me suffisent à être en confiance Joyce.

Déclara t-il tandis que ses mains se laisser prendre par celle de Joyce et que le contact de ses doigts était souple et d'une légereté incroyable , tel une plume tombant lentement sur le sol et qui ne suscite aucun bruit , aucun dérnagement. Leur doigts étaient en parfaite hamronie comme le reste de leurs corps. D'ailleurs à chauqe fois que Joyce le touchait , le vert et argent ne pouvait échapper à un frémissement de plaisir. Avec elle s'était simple il semblait plus léger qu'un papillon même s'il se sentait existait . C'était comme vire dans la terre de leur monde à eux , d'un monde en rapport avec le monde mais qui peut aussi en être écarté. Une pause bien plus qu'agréable , leur île , leur nid douillet. ils marchèrent pendant un instant , sur un chemin semble t-il car les sandales sont moins maniables que des chaussures , mais quand elles heuretent même ne seraient-ce qu'un petit rocher , elle s'esquintent un peu et on le sens. Il devraient bientôt arriver. Etant patient Davis profitait à fond de cette promenade certes coupée de vue , mais avec Joyce à ses cotés ce n'était pas important. Il aimait son contact plus que tout au monde. Puis un goût de miel vînt se poser sur ses lèvres sans acun doute , Joyce l'embrassait et avec fougue et passion , ils étaient arrivés à destination. Mais le gentleman attendrait le signal de sa dulcinée pour poser ses iris marron sur l'environnement qui les entouraient . Aux bruits des vagues nos amis devait être près de la mer... La maison attendrait et cela ne serait certainement pas plus mal , car pourquoi ne pas profiter un peu de cette île luxieuse (à tous les sesn du terme).
Enfin il pû ouvrir les yeux , sur un spectacle saisissant , il était au bord d'une crique , oû l'on pouvait voir au loin quelques îles voisines. Joyce l'avait choisi avec soin , il y avait de la végétation , plus de coctiers que là oû ils avaient débarqué. Peut-être n'était-ils pas très loin de la dmeuere de Joyce , qui serait la leur un jour à tous les deux??? Se tournanyt vers Joyce , Davis souira d'un air ravi . C'était une belle vision que lui offrait encore sa femme.

- Merci mon amour .

Ajoutat-il en la serrant plus fort contre lui et en lui faisant cadeau baiser de la mort. Biaser qui dura 14 minutes , 20 s exactement (quoi vous ne me croyez pas , regardez le chronomètre , un narrateur se doit d'être très précis). Leurs langues s'amusèrent à s'enrouler et à se dérouler au grès des lèvres de leurs propriétaires , c'était tellement bon. On aurait dit une sorte de Rock n'roll des années 80 , sauf qu'il se passait dans la bouche de nos amis. Et en parlant de surprise , Mister Burningham en avait une pour Joyce.

-Ferme les yeux mon amour. Moi aussi j'ai une surprise pour toi.

Tandis que Joyce s'éxcutait notre ami lâche avec précaution une main de sa petite amie , en cherchant une boîte bleue , carrée. posant sa main gauche dans la main de sa petite amie , posant un genou au sol , Davis prsenta la bôite en l'ouvrant libérant une bague dorée contenant un rubis taillée en rond , psur laquelle était grévée à l'intérieur , " A la femme qui s'est emparé de mon coeur" , signé d'un D majuscule .

- Tu peux ouvrir les yeux .

Puis après que Joyce voit la bague et sa position , notre ami demanda :

- Mademoiselle Heir voulez vous m'épouser???

Pourquoi attendre les fiançailles comme le ferait le commun des mortels??? Après tout Joyce était unique , il n'y en aurait pas d'autre , et il voulait lui montrer à quel point elle compte pour lui , quel est le rayon de soleil qui lui permettra d'axister , de se lever , de se coucher en sa compagnie , fidèle à son homme et qui n'a d'autre enive que d'être avec lui. Ils sont inséparables , un couple que l'on aimerait voir de partout de nos jours. Attendant sa réponse , Davis sentait son coeur battre encore plus que qaund il était avant avec son amour. Le temps de respirer , il prononça encore quelques mot.

- Je t'aime Joyce , et en ta compagnie je suis le plus heureux des sorciers.

Néanmoins avec ce suspens vous vous demandez sûrement quand Davis à t-il acheter la bague... C'est simple , le jeune homme l'avait commandé à l'avance et il attendait la bonne occasion pour l'offrir à sa petite amie. Prétextant l'achat d'un autre bijou pour Joyce , Davis alla pendant dix minutes récupérer le précieux anneau ornementé spécialement pour la demoiselle qui si tout ce passait bien serait bientôt une dame.

La jeune femme avait donc emmené Davis dans un endroit de rêve total, hallucinant, complètement ouf, juste pour lui donner un avant goût de ce que son île, et bientôt leur île est… Entourés de cocotiers, tout près de l’eau, presque seul au monde… L’endroit parfait pour… S’en donner à cœur joie… Et juste vivre, pleinement comme des fous, sans se soucier de rien du tout… Baigner dans un océan de bonheur absolu avec la personne qui vous donne toujours des frissons alors que vous connaissez son corps mieux que quiconque… C’est pas le rêve ?
Joyce était aux anges… Davis, apparemment aussi, ce qui rendait la jeune femme peut être encore plus excitée…
Et il lui montra en lui offrant un baiser de la mort, mmmh Joyce l’adorait celui là… Il y allait vraiment par les sentiments… La langue de Joyce s’entremêlant avec sa jumelle masculine, dans un tourbillon dont seule elle avait le secret… Elle l’aimait trop ce baiser, si intense, long et passionnés… Cette fois, elle eut du mal à s’arrêter… Mais l’air n’est pas infinie Mademoiselle Heir, et ils durent rompre le contact doucement après ces longues minutes qui auraient put paraître des siècles si on avait changé les aiguilles du temps… Mais ne rêvons pas, cela n’est pas possible…
Davis lui ordonna de fermer les yeux, elle le fit en se pinçant les lèvres d’excitation… Elle se demandait bien ce qu’il préparait… Encore un petit truc qui lui échappait…
Elle sentit une forme carrée sur la paume de sa main… Une boîte ? Oui ça devait être ça… Mais qu’est-ce qu’il y a dedans ? Surement un bijou ou quelque chose comme ça…
Elle ouvrit les yeux pour le savoir… Et là, c’est le drame… (mdr) Non, et là, elle ouvrit des yeux comme jamais elle ne les avait ouvert de sa vie… Davis lui présentait une bague de mariage ? Whaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa…. Bon ok, maintenant je fais la réaction de Joyce après la fameuse phrase de Davis…

_ Davis… Elle est magnifique…

Ses yeux brillent, comme ils n’avaient jamais brillé avant… Elle ne comprend pas vraiment pourquoi d’ailleurs, parce que on le lui avait déjà fait le coup de la bague de mariage, ou de fiançailles, mais ça n’avait jamais été réciproque… Elle se reprend vite pour ne pas avoir l’air d’une gamine à qui on offre pour la première fois de sa vie une sucette à la banane et surtout pour faire sa petite blague pas drôle…. Mais là C’était la première fois de sa vie, qu’on la demander en mariage et qu’elle était sur le point de dire…

_ Je m’y attendais pas, c’est vrai c’est magnifique mais je pense pas que ce soit… (Elle ne finit pas sa phrase elle ne veut pas dire le bon moment…) Je vais devoir te dire…

Elle laissa un petit suspense exprès, pour voir le visage de Davis qui devrait se décomposer littéralement… Ouuuh la sadique… Elle est horrible hein ? Et son cœur qui battait de plus en plus vite, elle le regarda fixement, et se jeta littéralement sur lui, en pleurant et en l’embrassant à moitié… Dévorant ses lèvres, et l’entourant de ses bras, roulant sur lui… Alors là, si c’est pas une femme heureuse, je sais pas ce que c’est…

_ Oui… Ouii, Ouiiii, Davis, Oui je veux t’épouser… Ooooh oui… Je le veux monsieur Burningham…

Elle repris peu à peu ses esprits, et contempla le visage de son homme, celui qui deviendra son mari… Elle l’aime, elle l’aime, à un point inimaginable… Elle se met à rire comme une femme heureuse, un rire clair et doux… presque farceur…

_ Ahaa… Avoues que je t’ai fais peur hein ?

Elle regarde Davis, avec un magnifique sourire, et des yeux brillant d’émotion, de bonheur et de tendresse… Autant dire, qu’il y a des sentiments dans ses yeux… Elle est ravie…
Elle se vautre sur lui, en le prenant dans ses bras, l’embrassant comme si sa vie en dépendait, comme si encore elle ne l’avait pas embrassé depuis trois mil ans… Ses mains, baladeuses avaient déjà rencontré son dos, quand elle lui murmura sensuellement avec un sourire provoquant :

_ J’ai très envie de toi, monsieur Davis Burningham…

Un nid d'amour aurait-on pû surnommé communément cet endroit même si le mot de templs aurait plus convenu à leur amour , car il brûlait d'un feu vif , inépuisable , et qui se ne cessait de se consummait sans disparaître . Un regard fièvreux , un sourire narquois de l'autre suffisait à conserver le contrôle de l'un sur le coeur de l'autre. Le cadre était tout simplement merveilleux. En plus quelques animaux c'était inté pour ouvrir la marche des amoureux , car sans s'en apercevoir(trop occupés à être l'un avec l'autre ) trois -qutre perroquets multicolores observait de leur abre , l'océan infini , enfin qui leur semblait infini de leurs yeux d'animaux qui ne connaissaient pas de limite , ce qui faisaient un drôle de parallèle avec l'amour imperturbable de nos amis. Un amour prodigieux , diraient certains , non un vrai amour , qui vous touche aux points de vues des pulsations vitales en les accélérant mais aussi du point de vue de l'esprit , vous savez ce grand éclat de bonheure qui vous permet de supporter toutes les difficultés , même si eux n'avaient vraiment aucun problème . La seule chose qui pouvait les préoccuper c'était le bonheur, leur bonheur qu'ils auraient dans leur île . Car Joyce sembalit bien disposée à garder son Davis sur cette île et notre serpentard ne changeait pas à y partir , pourquoi faire , il avait déjà tout la femme de ses rêves et des jours à ses cotés??? C'était suffisant , bien sûr il avait aussi des amis , une famille , mais rien n'empêcheraient le couple de faire des escales dans le monde entier pour voir leurs proches. Leur paradis serait cette terre prise dans des euax verts bleutés clair , d'où l'on voyait des coraux, de toutes diversités , jaunes , roses tels un arc en ciel sous-marin. Pendant que nos amis se cajolaient buccalement , leurs coeurs battant à ne plus s'arrêter , ne voulant plus se quitter , mais sans oxygène hélas nos amis ne pvouaient pas vivre , ainsi ils se séparèrent un braf instant . Instant plus diffusé pour Davis , car avec la proposition qu'il allait faire à Joyce cet instant scellerait leur relation pour toujours. Posant avec une grande délicatesse la bôite dans la main de la jeune femme , le coeur du jeune homme battait à son paroxysme. Quelle serait sa réaction??? Découvrant une bague , Joyce sembla surprise , elle ne s'attendait peut-être pas aussi rapidement à une demande en mariage. Mais vous connaissez le caractère imprévisible de Davis non???

- Elle te plait alors???

Demanda Davis d'une voix émue. Et comment ne pas l'être dans ces moments , mais rester encore à entendre la réponse de Joyce pour être fixez sur le sort de nos deux flamboyants protagonistes. Allez t-elle lui donner son nihil obstat , pour une vie conjuguale (comprenez carte blanche ) ??? Où resteraient-ils des fiançés sans engagement , jusqu'au dernier moment une lueur d'inquiétude perla dans les yeux marronés de notre sorcier de septième année . Jusqu'à comprendre le oui formulé par sa fiancée , et plus exactement pour celle qui deviendrez bientôt sa femme. En tout cas maintenant elle avait la fameuse bague au doigt (attention il peut y avoir aussi usage de la formule concernée ^^) .

- Alors vieux dans mes bras Madame Burningham.

Il y eut un vrai surcrôit de joie avant que tous les deux ne finissent par se retrouver dans une accolade tendre et passionée. D'ailleurs leurs deux bouches ne tardèrent pas à envahir l'autre de sa langue pour lui faire part de leur joies à être victime d'une si belle retrouvaille.

- Moi aussi Joyce , j'ai très envie de te croquer. Mais avant n'oublierais-tu pas quelque chose???

Demanda Davis d'un air coquin en amenant les mains de sa petite amie sur ses fesses , mais ce n'était pas encore pour faire la chose à laquelle vous pensez chers lecteurs , où la chose à laquelle moi narrateur je vous suspecte de penser. Il prit la main gauche de sa petite amie , la droite portant à son annulaire la bague de mariage. . Mais pour cherchez quoi , he bien une autre bôite. Quoi il s'en était acheté un autre pour lui-même. Etrange ??? Non , car la bague qui était dans cette bôite rouge était certes un anneau d'or simple d'apparence , mais qui se transformerait vis à vis de l'envie de Joyce d'améliorer cet bague en l'honneur de son mari.

- Tu sais ce que c'est , une bague métamorphosable. Comme mon projet était une surprise je voulais que tu puisses assister à ta demande en mariage et m'orffir la bague de tes rêves que tu aurais chois pour moi. Ces propriétés magiques suivront tes goûts . Je te laisse faire ma douce.

Ajouta t-il avant de l'embrasser brièvement , promesse d'un baiser plus long après que Joyce se soit concentrée pour donner la forme qu'elle désirait ornementé à souhait pour la mettre ensuite à la main droite de Davis , et plus en détail à son annulaire.

- J'ai même une idée ??? Si on allait se marier immédiatement , on a les bagues il ne nous manque que les sacrements. En plus dans ce cadre ça serait parfait non??? Et en rentrant dans notre demeure , on pourrais prendre un beau repas , avant de danser dans un lieu plus restraient qu'on appelle communément lit( attention à la fonction du verbe danser , prenez en note les amis) . Qu'en penses-tu??? En tout cas je t'adore Joycounette.

S'exclamat-il , ses bras autour de la taille de sa dulcinée , attendant ses réponses.

On dit souvent que « trop de bonheur, tue le bonheur » eh bien, je suis ravie de vous informer que cette petite phrase très clichée, est absolument fausse… Et je crois, que vous avez compris pourquoi… Le bonheur de Joyce était trop grand, trop intense pour être décrit par des mots, le flot de joie lui remontant jusqu’aux entrailles, n’était qu’un aperçu de l’épine euphorique lui traversant le cœur de mil picotements d’excitation joviale… (Qu’est ce que tu fous là Cupidon ? ) Et cela depuis sa rencontre avec Davis, cette étrange sensation de dépendance, et de bonheur était si unique, qu’elle imaginait mal devoir s’en passer, enfin elle ne cherchait même pas à concevoir cette idée grotesque, parce que maintenant que son cœur avait rencontré son « jumeau » elle ne contait pas le laisser filer à l’anglaise, par le premier train qu’il trouvera dans le wagon bar…
Ce qui était d’autant plus surprenant, c’est qu’elle avait complètement changé, elle qui était la « voleuse de cœur » était désormais une autre personne… Peut être qu’elle n’avait attendu que cela, que quelqu’un lui prenne son cœur, cette personne aujourd’hui était Davis… Et elle savait qu’elle pourrait vivre avec lui, sans jamais s’en lasser, elle ne savait pas vraiment comment, ni pourquoi mais c’était un fait, une fois que vous découvrez le véritable amour, pas celui qui dure un soir et un matin, ou un mois et une semaine, mais celui qui dure des années et des années… Vous ne pouvez plus vous en passez… Vous vous réveillez le matin, avec l’étrange sensation d’être heureux de vivre avec la personne qui vous connait sans doute le mieux… Joyce savait que cette personne, était Davis… Et que si un jour, elle devait avoir des enfants, ils seraient de lui… Voilà, sans doute un des raisons de son « oui », à sa demande si imprévisible de mariage… Elle savait que ça arriverait un jour, qu’il lui demanderait…Même, si ils n’en avaient jamais parlé entre eux… Le fait qu’il est décidé de cela tout seul, pour lui faire la surprise, l’avait vraiment fait craquer… Elle le vit ému et ne put contenir une pointe de malice dans son regard, et au coin de ses lèvres… Elle lui lança alors, avec ce petit sourire espiègle qui lui allait bien et qui était bien représentatif de sa façon d’être…

« _ Evidemment qu’elle me plait… »

Un baiser ne tarda pas à joindre ses paroles, les lèvres de Davis lui avaient un peu manqué quand même… Et un nouveau tourbillon de langues s’entremêlant et jouant ensemble, vint leur apporter encore un échange savoureux qui ne se lassaient pas de goûter…
Cependant, ils ne pouvaient pas s’embrasser, et parler en même temps, il faut faire un choix, et doucement, ils rompirent le contact, avec un regard complice, se promettant presque de recommencer bientôt…
Qu’avait t-elle donc pût oublier ? Elle qui faisait attention justement a ne pas oublié de choses importantes, elle le questionna du regard et le laissa poursuivre, le laissant prendre ses mains les amenant vers sa propriété, alias les fesses de Davis, se demandant ce qui avait put lui passer par la tête…
Elle ne tarda pas à comprendre, quand il lui expliqua où il voulait en venir… Ainsi, donc il avait tout prévu, et même une bague pour lui qu’elle pouvait modifié à volonté… Pas mal, là pour le coup il avait fait fort…
Joyce se saisit de l’anneau, lui donna un aspect plus lumineux pour faire ressortir sa brillance, choisit une épaisseur ni trop grosse, ni trop fine, pour qu’elle s’ajuste parfaitement au doigt de Davis, et que ça ne lui fasse pas un espèce de truc énorme qui lui déformerait complètement le doigt… L’anneau était simple, mais beau… Et Joyce y ajouta enfin, une petite personnalisation, en y gravant : « Jusqu’au bout de la vie avec toi mon lion d’amour… »
Elle prit ensuite avec délicatesse la main droite de Davis, et lui mit la bague au doigt… Euuh, l’anneau au doigt, et plus précisément à son annulaire…
Joyce le regarda, et sur le ton de la plaisanterie, mais qui révélait quand même une once de sérieux, elle déclara avec assurance :

« _ Monsieur Burningham voulez vous m’épouser ? »

Elle se jeta ensuite dans ses bras et s’en suivit, une myriade de baisers, passionnés, forts et intenses… Maintenant que lui aussi avait son anneau, ils avaient chacun le symbole de leur union… qui est et restera le plus fort de tous, pour les siècles des siècles… Amen … (xd)
Elle garda son petit sourire taquin, et poursuivit pour répondre aux questions de Davis :

« _ Non… Faisons l’amour d’abord… Le cadre est parfait, et j’ai trop envie de toi. On se mariera après… (Elle l’attire contre elle, et lui embrasses les lèvres, recule doucement et le regarde comme le ferait une petite fille innocente, alors que c'était tout le contraire...)
Juste après... (elle le ré-embrasse...)

Pas très raisonnable la petite Joyce, enfin elle ne l'a jamais été de toute façon... Hors là, il s'agissait quand même, de quelque chose d'important...
Davis, aurait intérêt à l'empêcher d'aller plus loin, si il ne voulait pas se retrouver sans chemise, dans les quelques secondes qui vont suivre son prochain baiser... C'est à dire... Maintenant...
Joyce s'empara des lèvres de Davis, et l'embrassa tout en ouvrant les premiers boutons de sa chemise....

C'est cela l'amour pur , agir sans réfléxion où plûtot avec une réfléxion parallèle au contexte de vos sentiments face à votre âme soeur , voilà pourquoi Davis n'avait pas hésité à faire sa demande devant celle qui serait d'après sa confirmation sa femme. Il avait longuement étudié la question comme tout homme se respecte et franchement il ne voayait personne capable de lui offrir le même amour que sa chère et tendre reine de coeur. Un sourire de joie et de coquinerie (hin hin vous en avez maintenant l'habitude chers lecteurs avec eux non??? :heart: ) s'étala sur le visage étincelant de Joyce qui admirait sa bague avant de sautez dans les bras de son conjoint . Scellant leur bonheur dans un nouveau baiser , mais le bonheur est quelque chose d'immortel , ainsi nos amis aureint encore de bons moments , et maintenant toute leur vie pour profiter de leurs existences en commun , avoir des enfants , voyager dans différents pays , se souhaiter leurs anniversaires en amoureux ... Bref faire une liste de tout leurs désirs serait un peu long. Les langues se retrouvèrent sur un air de tango , se suivant dans la bouche de l'un et l'autre de leurs propriètaires , tandis que leurs lèvres étaient finement collées les unes aux autres. Hum , un extase qu'un baiser de mademoiselle Heir où plûtot de notre future madame Burningham . Car il manquait encore la famuse parole sacramentale pour les unir au niveau officiel du terme , car de tout le reste pour eux ils l'étaient déjà . Mais quelque chose me dit que Monsieur Burningham ne nous à pas tout dit sur sa surprise , enfin bon vous comprendrez plus tard. Profitant d'un baiser langoureux de sa chérie , il retrouva encore une fois le doux parfum de miel qui s'échappait de ses lèvres pulpeuses et pourtant si douces et fines , comme le caresse de l'eau sur votre peau , vou savez cette sensation inégalable , sauf quand vous êtes avec la personne qui vous cotoieras pour toujours en prenant soin de vous au quotidien , qui vous dira je t'aime sans zieuter d'autres filles , qui vous gardera contre lui au moindre signe de doute , qui vous couvrira quand vous aurez froid. Chacun d'eux avait rencontré sans ange gardien et son amour dans la même personne. Interloquée par l'attitude de Davis qui aurez pû faire penser à une invitation discrète à une affaire plus développée en matières de câlins. Quel ne fut pas sa surprise en découvrant sa propre bague pour lui afin qu'elle puisse la changer d'après sa volonté pour lui offrir. Oui , Davis avait tout calculé , et elle était encore loin de ces surprises , ils étaient allés ensemble au paradis et ne tardeaient pas à y retourner bientôt , c'est à dire dans quelques instants , le temps que l'anneau de Davis soit adapté à son annulaire , ce qui se fit assez brièvement , ses reflets dorés étaient bien plus brillant , on aurait dit un mini-soleil accroché au doigt du serpentard. Puis Joyce le regarda avec un air de le manger des yeux (normal me direz vous un moment aussi magique ça donne pas mal d'idée pas vrai chère collègue narratrice??? ) , tout en disant sur un air blagueur , si notre ami voulez l'épouser , ainsi avec tendresse il répondit.

- Ca ne me viendrais jamais à l'esprit de refuser , Madame Burningham.

Déclara t-il avec bonne humeur , tandis que leurs lèvres s'amusaient de nouveau ensemble , en reculant , en avançant , laissant se cacher la langue de l'autre dans leur bouche . Une fois que nos amis avait tenté cette expérience bucale depuis leur première fois , il ne l'avait plus quitté. Comment le faire lorsque vous embrasser un réelle divinité en face de vous. Je vous le résumé en cinq mots simples: Vous êtes fou d'elle . Mais Joyce bouillonait vraiment de désir , sans savoir que son lion lui préparait une autre surprise. Tandis que sa petite amie s'occuper de sa chemise qui ne tarderait pas à prendr la poudre d'escampette accompagnée du haut de Joyce , Davis tourbillona avec sa chérie dans ses bras pour une autre destination. Si bien , que nos amoureux , s'embrassaient un peu partout toujours habillés l'un contre l'autre sur un autre plage , seulement celle-çi était de l'autre coté du monde. Il n'y aurait pas à s'inquiéter , maintenant que le vert et argent avait vu l'île de son épouse il la retrouverait facilement. Et à quelques mètres deux , se trouvait une sorte de coupole doré , vous savez les petits kiosques qu'on trouve dans les parcs , où joue généralement les mucisiens , celui-là était pareil à quelques différences , prêts , il était immense , tel une église , mais en version sorcier et doré. D'ailleurs un petit homme trapu semblait attendre le couple , avec joie il s'approcha du jeune couple et déclara.

- Ainsi donc vous avez déjà échangés vos alliances. Je vous déclare donc mari et femme . Bonne journée.

Et dans un clin d'oeil le prêtre sorcier disparut aussi mystérieusement qu'il était venu tandis que Joyce était étonnée et jetait des regards d'interrogations à Davis sans cesser pour le moins de déboutoner sa chemise. Apercevant les yeux de sa compagne , Davis murmura:

- Bienvenue sur le lieu de notre mariage. Même si en un temps si court ça a été dur à organiser.

Et à ces mots , des confetis multicolores tombèrent du ciel en se métamorphosant ensuite en petites boules de feu devenant un grand coeur de braise avant d'éclater en reproductions de phénix dorés , et de venir ensuite un puissant cheval qui les améneraient tout deux vers le dernier site à visiter de leurs épousailles. Avec fierté , Davis porta sa femme dans ses bras et lui demanda en lui déposant un fouguex baiser sur ses lèvres vermeilles.

- Prête à faire un tour sur le destrier de votre prince charmant chère épouse???

L'émotion avait fait couler des larmes de joie sur les joues de la jeune femme qui dans les bras de son homme ne risquait plus rien , à part partager une vie formidable avec lui et des souvenirs impérissables , de son coté la monture était très docile et attendait qu'on veuille la monter.

Un agréable voyage sous les cocotiers(FE Joyce)

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