Eden mes parents,les parents eden(Fe)

Louise-Ana et Eden s'était donc retrouvait il y a aujourd'hui un mois et vivait à nouveau le parfait amour. Le jour de leur retrouvailles ils avaient eut LEUR premières fois, puis ils avaient eut très peur qu'elle soit enceinte,avaient donc courus à l'infirmerie et voilà. Depuis ils vivaient une des plus belles histoires d'amours,après tout,il avait fuit la France pour la retrouver.

Puis Louise-Ana avait décidé de présenter Eden à ses parents et à sa sœur: Cherry. Durant un des nombreux week end q'ils avaient de ibres et s'etait rendu à Londres. Ils etaint devant la porte,elle dit

-Je t'aime,t'es pret?

Peu à peu, Eden s’était adapté à Poudlard. La vie estudiantine n’était pas pour lui déplaire et la présence quasi perpétuelle de Louise-Ana à ses côtés lui facilitait grandement la tâche.
Les cours ne l’ennuyaient pas autant qu’il l’avait redouté, il y prenait même goût.
Evidemment, c’étaient ses escapades avec la jeune fille qui retenaient surtout son attention. Il avait aussi entendu des choses sur un Ordre et escomptait bien en apprendre plus là-dessus… à condition que sa fiancée soit d’accord.
Un week-end, sans crier gare, cette dernière décida de lui présenter sa famille.
Dire qu’il était ravi serait présomptueux. Il savait devoir surmonter cette étape tôt ou tard mais la redoutait néanmoins.

*s’ils ne m’acceptent pas, ça va compliquer notre histoire.*

Ne pouvant quasi rien refuse à Louis-Ana, il l’accompagna donc jusqu’à Londres. Là, face à la porte, il soupira, résigné.
L’accueil des parents fut… mitigé. S’ils embrassèrent chaleureusement leur fille, ils ne saluèrent qu’assez froidement le jeune homme, très mal à l’aise.
A peine assis, les questions plurent :
Quel âge avez-vous ? Que font vos parents, que comptez-vous faire en sortant de l’école, etc.
Il se débrouilla pour répondre le plus naturellement possible, espérant que Louise-Ana le soutienne dans cet examen de passage.

Elle deposat un doux baiser au jeune homme avant d'entrer,elle fut acceuillit comme une princesse rentrant dans son royaume,mais Eden n'était pas le Prince qu'avait choisi ses parents. A peine furent ils installaient sur le sofa que les question fuserent:quel age,que font vos parents,que comptez vous exercer comme metier...
Elle aidat Eden à repondre de façon à ce que cela plaise à ses parents

Elle l'embrassat ce qui deplus ofrtement àà sa mere et dit

-On pourrai voir Cherry?

Sa soeur representait ennromement aux yeux de Louise-Ana

L’ambiance n’était pas au beau fixe, pas à dire. M et Mme de l’Oranger le pressaient de questions. La mère n’avait pourtant pas une physionomie de dragon en jupons. Elle était même assez jolie avec un chignon blond dont aune mèche ne s’échappait. Le paternel, lui, affichait des sourcils broussailleux dénotant un caractère ombrageux voire colérique.
Eden se débrouilla comme il le put afin de satisfaire la curiosité, somme toute naturelle, de ces personnes. Louise-Ana avait pris sa main et, Merlin pourquoi ?, ne trouva rien de mieux que d’embrasser la bouche de son fiancé ce qui n’eut pas l’heur de plaire à Madame qui détourna la tête, la mine dégoûtée.
Louise-Ana s’enquit :

Où est Cherry ?

Le jeune homme se rappela qu’effectivement, il manquait une sœur au tableau familial.
Il suffit que l’on parle d’elle pour qu’elle apparaisse.
De deux années plus jeune que Louise-Ana cette petite blondinette semblait posséder un caractère bien trempé. Elle salua Eden d’un sourire ironique avant de lancer à la cantonade :

C’est toi Eden ? Ben, je croyais que ma sœur aurait plus de goût.

De quoi mettre le jeune homme tout à fait à l’aise.

* Qu’est-ce que je fous dans cette galère.*

Ce fut l’aînée qui réclama que l’on serve des boissons comme il se devait chez les gens civilisés. Peu amateur de boissons fortes, Eden dut s’avouer qu’un whisky serait le bienvenu mais il n’osa, évidemment pas, en réclamer un, se contentant d’un soda. Cherry n’arrêtait pas de le détailler avec effronterie, au point qu’il se demanda s’il avait une souillure sur le nez. En d’autres circonstances il l’aurait rembarrée avec une réplique acerbe mais là… il était plutôt coincé.

Bien que très proche,Cherry et Louise-Ana n'avait pas du tout le même caractère,Cherry ressemblait à son père,un anglais,alors que Louise-Ana à sa mère,une sorcière française très calme e attentionnée.

-Cherry,je ne crois pas t'avoir demander de juger celui que j'aime, juste de nous saluer,ou de boire un verre avec nous.

La plus jeune lançat une grimace à sa soeur et un sort que bien heureusement Louise-Ana reussit à contrer. Sa soeur elle l'aimait beaucoup mais entre Cherry et Eden,le choix etait fait,et ce n'etait pas la blondinette qui l'emportait sur le beau brun

-Tu sais Cherry,Eden fait du rock,comme moi.

Le père de Louise-Ana donnat à boire à chacun,Louise-Ana sourit à son petit ami et posat sa tete contre lui pour le rassurer,Mais là la mere de Louise-Ana eut la delicieuse idée de poser une question qui eut pour effet de faire avalait de travers à Louise-Ana

-Depuis quand coucher vous avec ma fille Eden?

Louise-Ana n’avait pas sa langue dans sa poche. Elle remit sa sœur à l’ordre avec une réplique bien sentie.
Les verres furent servis mais Eden se sentait aussi pire qu’un animal de foire. Manquerait plus qu’on lui jette des cacahuètes. En lieu d’arachides, il eut droit à la question la plus déplacée qu’il eut cru possible venant de la bouche de Mme De L’oranger, cette Française très digne.
Son » depuis quand couchez-vous avec ma fille » fit s’étrangler Louise-Ana qui, elle non plus ne s’attendait pas à cette indélicatesse. Tapotant doucement le dos de sa fiancée afin qu’elle se remette, Eden sentit son nez frémir. A tout le moins, c’était là un signe annonciateur de courroux. D’un naturel calme, il était de ces choses qu’il ne tolérait pas, l’inconvenance en était une. Il expira un grand coup avant de déclarer posément :

Madame, ce que Louise-Ana et moi faisons ou non, ne vous regarde en rien. Nous nous aimons, c’est tout ce que vous être en droit de savoir. Peut-être auriez-vous souhaité un parti plus glorieux pour votre fille aînée ? Je crains que vous ne deviez vous contenter de moi.

D’un bond, il se redressa, entraînant Louise-Ana dans le mouvement :

Viens ! Cette comédie a assez duré.

D’un pas décidé, il se dirigea vers la porte non sans lancer un méprisant :

Merci pour votre accueil chaleureux.

Il n’avait pas atteint la sortie que la voix de M De l’Oranger résonnait, un soupçon affolée :

Attendez ! Vous n’avez donc aucun sens de l’humour, jeune homme ?

Circonspect, Eden se retourna pour toiser le père de sa fiancée. Deux regards s’affrontèrent. Le plus âgé sourit :

C’était un test, excusez-nous. Marthe adore jouer les troubles fêtes, n’est-ce pas, ma chérie ?

Mme mère rit franchement de la tête des jeunes gens qui s’entreregardèrent en hésitant entre le rire et la colère. Eden prit la première option, il sourit :

J’avoue avoir marché à fond. Sincèrement, vous devriez monter sur scène.

Ramené à de meilleurs sentiments, Eden consentit à se rasseoir. Cette fois, l’atmosphère était merveilleusement détendue, ce qui agréa tout le monde.

Oui,ce que venait de dire Eden était entierrement vraie,elle faisait ce qu'elle veut avec qui elle veut et elle serai prete à abandonner sq famille comme lui l'avait pour elle si il lui demandait.
Puis,alors qu'ils allaient partir, le pere de Louise-ana james les retint et expliquat que c'etait une simple mascarade,pourtant quelque chose deranger Louise-Ana,la tete avec laquelle Cherry regardait Eden,elle le devorait des yeux,eh bien ça poussat Louise-Ana à rester tres proche d'Eden sur le canapé et de l'embrassait sans crier gard.

-Vous savaient papa et maman,j'aime profondemment Eden,il a quitté la France pour me rejoidnre et je ne peux donc rien lui refuser.

Elle lui adressat un joli sourire plein d'amour suivit d'un baiser

Elle dit d'une voie reveuse

-Je pourrai montrer ma chambre à Eden non?

Sa fiancée accepta de rejoindre le divan. Quelle mouche la piqua ? Voilà qu’elle se collait à nouveau à lui, comme par… défi ?
Il est vrai que la petite sœur, maintenant débarrassée de son rôle d’enquiquineuse, cherchait plutôt à attirer les regards d’Eden. Elle le dévorait des yeux, lui lançant comme un appel muet qui le troubla. Il se contenta de serrer plus fort la main de Louise-Ana qu’il n’avait pas quittée.
Décidément, c’était le jour des surprises. Sans crier gare, voilà que sa fiancée demandait à lui montrer sa chambre. Ce fut au tour d’Eden de s’étrangler avec son soda. Il s’attendit à une rebuffade sévère des parents, pourtant…

Pourquoi pas, ma chérie ? Seulement, ne soyez pas trop long, le déjeuner sera bientôt prêt.

Docile, Eden suivit Louis-Ana à l’étage où elle ouvrit la seconde porte à droite. Au passage, il avait faillit pouffer de rire devant la mine dépitée de Cherry qui, discrètement, osa néanmoins lui envoyer un baiser du bout des lèvres. La pièce reflétait assez bien le caractère de sa fiancée. Un peu de chichi dans le décor mais surtout des partitions de musique et guitare dans les coins.
Sitôt la porte refermée, il ne put résister. Il enlaça étroitement sa compagne en murmurant :

Tu as une famille étonnante. Heureusement, je possède la meilleure du lot.

Aussitot elle eut envie de taper sa soeur qui envoyat un baiser à son petit ami. Elle lui lançat un regard noir que personne n'avait jamais vue. Puis ils grimperent dans la chambre,dans les couleurs noirs et blanches baroque. Quelques chichi style lit à baldaquin mais surtout des guitares et partition trainnant dans tous les sens

-Et Ma soeur qui soit disant de te trouvait pas à son gout..

Puis elle le regardat en le devorant des yeux et l'embrassat amoureusement. Elle le poussat sur son lit

-T'es prissonier!

L’humeur de sa belle le fit rigoler. C’est qu’elle avait l’air jaloux, la tigresse !
Eden se laissa pousser sur le lit. Il l’y attira aussitôt.

Je ne demande pas mieux que d’être ton prisonnier, mon amour. Tu sais que personne ne comptera autant que toi pour moi.

La meilleure façon de le lui prouver était tout indiquée. Un coup de baguette à la porte qui devint hermétique, un « assurdiato » de précaution, hop, le voici qui passait à l’action.
A leur première fois un peu maladroite, en avait succédé beaucoup d’autres. La menace d’une éventuelle grossesse étant contrée, ils s’en donnaient à cœur joie chaque fois que c’était possible. La salle sur demande leur offrait souvent un confortable refuge mais là, avec la proximité des parents de la jeune fille, Eden était encore plus émoustillé. Rapidement, il s’attaqua aux boutons du chemisier de la jeune fille.

Elle sourit et l'embrassat passionement et chastement. C'était si agréables d'etre avec l'etre que l'on aime,un sentiment de bonheur,de plaisir et d'amour! Elle dit amusé

-Je suis très jalouse,désolée.

Elle enlevat le t-shirt du jeune hommeetant pour sa part deja en soutien gorge. Elle commençat à carreser le torse de celui ci Elle etait si bien avec lui,rien que sa presence la comblait de bonheur,alors ses caresses...était pour Louise-Ana,son paradis,son Eden....

Depuis que leur relation s’était approfondie, Louise-Ana savait se montrer coquine. En un clin d’œil elle avait débarrassé Eden de son T-shirt. Lui, s’était occupé des agrafes du soutien-gorge et maintenant ses doigts faisaient glisser le pantalon de la jeune fille qui, elle, visitait le sien. Ils ne tardèrent pas à en venir à des caresses et soupirs éloquents quand, soudain, des coups redoublés frappèrent le panneau. Si, du dehors, ils ne pouvaient entendre, eux perçurent très bien les exclamations réclamant leur présence en bas.
Leur jeu devrait attendre… Avec regret, ils se rhabillèrent en vitesse afin de répondre à cette sollicitation.
Une fois en bas, une énorme surprise attendait Eden : ses parents ! Mr et Mrs McLinch se tenaient au salon. Ils accueillirent leur fils avec un enthousiasme qui rendit le jeune homme très heureux. Bien sûr il leur avait écrit régulièrement mais là… pour une surprise, c’en était une bonne. Les effusions des retrouvailles achevées, on passa à table. M et Mme De l’oranger avouèrent avoir organisé cette petite réunion afin, n quelque sorte, d’officialiser l’union de leurs rejetons respectifs. Tant de compréhension ravit Eden. En voisines Louis-Ana et Cherry se « disputaient » son attention. Cette dernière ne cacha pas son intérêt pour le garçon qui eut toutes les peines du monde à chasser la main qui s’aventurait sur sa cuisse. L’œil courroucé de sa fiancée l’aurait amusé en d’autres circonstances. Là… le malaise le reprit.

Bien que leur petit jeu plaisiat beaucoup(ennormement xd) à la jeune femme,des bruits attirerent son inttention. Ils se rabhillerent et decendirent,et là:les parents d'Eden,ce fut au tour de Louise-Ana de repondre au question. A table elle etait à cote de sa soeur et d'Eden,sa soeur ne se genait pas pour poser sa main sur la cuisse du jeune homme malgre le regard de sa soeur. Elle embrassat Eden et lançat un sort à Cherry pour que sa main quitte le bas du corps d'Eden

-Euh,j'aimerai porte un toast,a Notre Amour

Sur ce,les amoureux s'embraserent avec fougue et amour,malgre la tete de Cherry faisant rire Louise-Ana et Eden

Louise-Ana était impayable ! D’un coup de baguette elle força la main de sa sœur à cesser ses caresses inopportunes. Afin de prouver à tous sa connivence avec lui, elle ne se gêna pas pour l’embrasser publiquement. Eden en fut à la fois ravi et embarrassé. Le regard de sa mère le dérangeait un peu. Le toast « à l’amour » fanfaronné par sa fiancée demandait une réplique à laquelle Eden se plia avec ardeur. Il se leva, et plongea son regard dans celui de la jeune fille :

A toi, celle qui sera bientôt ma femme.

Cela ne rata pas, les mères sortirent leur mouchoir, les pères toussotèrent et Cherry poussa un profond soupir dépité alors qu’Eden s’emparait des lèvres de sa bienaimée.
Le repas se passa dans la bonne humeur. La cuisine des De l’Oranger était raffinée, le jeune homme se régala. Après le gâteau, les mères se retirèrent pour papoter dans un coin, invitant Louise-Ana à les rejoindre. Demeuré seul avec les aînés, Eden se douta de ce qui allait suivre : des questions.
Heureusement, pas un des deux hommes ne parut s’opposer à ce projet de mariage. Ils s’inquiétaient surtout de l’intimité du jeune couple et des conséquences éventuelles.
Le Poufsouffle les rassura, même jeunes, ils n’étaient pas idiots.

Il te faudra un bon travail pour faire vivre ta famille, mon fils ! insista Mr McLinch.

Ça, le jeune homme s’y attendait aussi. Jamais son père ne considérerait sa musique comme une activité convenable. Il n’avait pas envie de discuter sur ce sujet, aussi admit-il soi-disant la chose en promettant de devenir un sage boutiquier, ce qui convint parfaitement aux aînés. On le laissa enfin en paix. Louise-Ana avait dû subir à peu près un discours identique ; il lui trouva une petite mine. Les adultes les cernant à nouveau, Eden se promit d’approfondir la question dès qu’ils seraient seuls.

Louise-Ana prolongeat un maximum ce abiser,instant de plaisir profond et fut demandé aupres des meres des deux jeunes tourteraux. Les questions fuserent dont l'ultime

-Combien voulez vous d'enfant?

Elle répondit assez amusée

-Je sais pas,on en a que parler legerement avec Eden.
Ou encore

-Quel metier comptez vous exercer

Elle repondit amusée encore une fois

-Musicienne

Cette reponse fit rirent les deux mere. Elle lançat un doux regard à son aimé. Puis se retirat de la conversation ain que sa soeur ne profite pas du moment pour coller Eden. Une fois à cote de lui elle l'embrassat et dit amusée

-C'est tellement dommage que nous n'aillons pas pu finir ce qui a etait commence, il faudrai que tu compense...

Peu de temps après qu’ils furent libérés des questions gênantes, Eden sourit largement en entendant Louise-Ana se plaindre de leur jeu interrompu. Oh oui, il se rattraperait… si les conditions s'y prêtaient. Or là… Pas moyen d’avoir deux minutes d’intimité. Si ce n’était pas le père de l’une c’était la mère de l’autre à remettre le couvert… de la conversation.
Curieusement Cherry avait cessé son manège de fausse séduction. Ce n’était pas Eden qui s’en plaindrait. Il ne pensait qu’à une chose : fuir.

Etourdi par les questions banales de ces conversations sans fin, il eut soudain une révélation :

Lou ! J’ai une intro pour notre prochain tube ! Il faut que je l’écrive en vitesse. On monte ?

Sans attendre de réponse, il entraîna sa compagne au pas de course jusque dans sa chambre. Cette fois, même le diable ne les dérangerait pas.

Je n’ai pas que de la musique en tête, rit-il.

D’emblée, il porta la jeune fille sur le lit.

Lous lançat un drole dr regard(en core hein lol) à sa petite soeur qui draguait tres mal. Puis Eden eut la delcieuse idée de trouvée le pretexte de la musique pour la montait dans sa chambreavec verroux bloque. Il l'a mit dans son lit. Elle dit amuse

-Qui a t-il mr le justicier,j'ai pas etait sage?

Elle commençar à enlever le-t-shirt d'Eden en esperant que l'on ne les derangeraient pas,car ele semlait prete à prendre une longue punissiononné par son beau justicier

Elle désirait une punition ?

Oui, ma douce, elle sera très longue !

Depuis le temps qu’ils s’étaient pris à ce jeu, Eden et Louise-Ana ‘accordaient mieux que leurs guitares. D’abord, le jeune homme poussa le volume de la sono à fond, histoire qu’en bas, la famille croie à une répétition. C’était pourtant sur un autre air que désirait vibrer le couple.
Dès que sa compagne fut dévêtue, Eden se chargea de l’amener au diapason de ses propres émotions. Jamais il ne se lasserait de ce corps aussi souple qu’une liane qui répondait si bellement à ses sollicitations. Caresses précises, joie en crescendo, il la guida lentement à l’harmonie parfaite jusqu’à l’explosion du plaisir total. Elle le mordit et le griffa ; il en rit.
Nobles blessures que celles acquises sur un tel champ de délicieuses batailles. Les sens apaisés, ils reprirent leur souffle, blottis l’un contre l’autre en attente d’un nouvel assaut.
La couvant des yeux, Eden ne pouvait s’empêcher d’admirer les courbes idéales de sa partenaire. Ses mains d’ailleurs vagabondaient gaiement sur l’épiderme velouté.

Prête pour un second round ? demanda-t-il, fripon.

La jeune fille lui sourit style"moi?!" Puis,elle se laissât totalement à la merci d'Eden,il l'a dévêtu et elle fit de même avec lui en restant comme toujours particulièrement douce. Bien que la sono était à fond,ce n'était pas sur cette mélodie que valser le jeune couple,mais sur quelques chose,remplit de désir et d'amour. Qu'il etait agréables d'etre puniquand c'etait par l'etre aimé,elle serai toujours là,avec Eden,le temps apssait tellement lentement,qu'on ne se rendait pas compte qu "il passait.
Ils arreterent quelques minutes leurs ebats d'amoureux qui etait en parfait harmonie avec la melodie qui se passait entre Eden et Louise-ana pour reprendre leur souffle. la main d'Eden carresait le beau corps de la jeune femme en etant avide de le decouvrir plus en detaille. La chevelure blonde de la jeune femme etait assez "decoiffes" du moisn autant que celle d'Eden. Quand il lui demandat sielle etait prete elle fit un air de ste nitouche et dit

-A t'on avis beau jeune homme?

Le jeune homme prit un malin plaisir à allonger la séance. Ses doigts habiles titillèrent les secrets délicats de Louise-Ana qui dut le supplier, quasi pleurer, pour qu’il conclue l’estocade. A nouveau l’ivresse les submergea, les emportant dans un tourbillon de pur bonheur.
Il fallait, hélas, revenir à la réalité. En bas… nul ne serait tout à fait dupe de ce qui s’était passé dans la chambre de la jeune fille mais le couple s’en moquait éperdument.
Un bref passage à la douche les rendit présentables, main dans la main ils descendirent rejoindre les adultes.
Avec un clin d’œil complice, Mr McLinch s’enquit :

Bonne répétition ?

Excellente, répondit Eden sans se démonter. On devra remettre ça de nombreuses fois avant de trouver l’accord parfait.

L’après-midi était maintenant bien entamée. Cherry avait disparu de la scène, boudait-elle dans son coin ? Puisque les choses étaient officialisées et que nul ne s’y opposait, Eden surprit l’assemblée en déclarant :

Avec votre autorisation, Louise-Ana et moi souhaiterions habiter ensemble dès que possible. J’ai déjà obtenu un petit pécule en faisant divers jobs. D’ailleurs… si vous êtes d’accord, nous pourrions même nous marier avant la majorité de votre fille, M et Mme De l’Oranger.

La balle était dans leur camp, qu’allaient-ils répondre ?

Leurs ebats en parfait harmonie musicaux durent cesse,eh bien oui,on ne pouvait pas rester eternellement dans la chambre de la jeune anglaise aussi agreable cela puissent etre.
Ils prirent ensuite une bonne douche tout deux dans la salle de bain privée de Lou ce qui fut fort agreable car agremmenter de moult caresses.
Puis ils descendirent devant leur parent, la mere de Lou avait surement deviné ce qui s'etait passé,car une larme perler au coin de son oeuil style"ma fille est une femme". Puis elle vit que Cherry avait disparu,peut etre sorti?.
Eden fit alors une declaration qui fit tres plaisir à Lou. Ses parents se regarderent et dirent

-Pour l'appartemment nous possedons notre anciennes petites maison de vacances dans un petit endroit tranquille de l'Irelande,tant que vous etes à Poudlard,encore pour deux ans,il me semble si ce son les meme année que en France,vous pourriez y passer vos vacances ensemble,quand vous sortirez de l'ecole,nous verrons pour soit vous donnez la maison,soit à ce que vous prendriez un appartement sur ondre,pour etre proche de vos amis

Puis Mme de l'oranger prit la parole

-Pour le mariage,moi je suis pour,si vous etes heureux,je ne vois pas le probleme,nous nous sommes marié à l'age de 15 ans alors....

C’était donc une affaire conclue. Eden sentit un immense soulagement le transporter d’allégresse. Fou de joie, sans souci des regards des adultes, il enlaça Louise-Ana dans une étreinte à couper le souffle.

Je te veux pour épouse et mère de nos enfants, dit-il, ardent.

Le baiser qui s’échangea provoqua certaines larmes chez les parents émus.
Ensuite, des toasts et félicitations fusèrent. Le jeune couple, radieux, se couvait des yeux. Ils étaient faits l’un pour l’autre et le savaient. Un avenir grandiose les attendait, ils en étaient persuadés.

Lou sauta de joie,son mariage compris et accepté par ses parents si conventionnelle d'habitude. Lou et Eden echangerent de nombreux baisers amoureux, sans qe cela ne gene personne,cela les faisaient plutôt pleuré,surtout les maman voyant leur poussin grandir. Elle lui dit

-Personne d'autres ne pourrai(il s'embrasse) etre meilleur pere et meilleur epoux

Lou ne cessait d'admirer le visage d'Eden,ils vivraient de la musique avec enfant et maison
Mais,dieu qu'il était tard,20h00 et le lendemain ils avaient cours ensemble à 8h00 e temps de prendre le train. Elle dit

-Je crains qui nous devions vous quitter prematuremment

» Eden, un paradis qui nous manque(OU)
» Un dragon blanc qui me manque tellement(Fe Eden)

Eden mes parents,les parents eden(Fe)

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