Le jeune homme était venu quelques jours sur le chemin de traverse pour avant la rentré, il avait une chambre au chaudron baveur, sa mère étant très occupé, lui avait le loisir de se laisser débrouillé pour trouver tout son matériel, indiquant les boutiques ou il fallait se rendre et tous les petits trucs utiles qu’il fallait savoir.

Il avait donc fait le tour, et avait déjà acheté quantité de son matériel pour Poudlard, il fit un tour dans la boutique de Quidditch, il savait qu’il n’avait pas le droit d’avoir un balais en première année. Il avait un Brossdur sur lequel il s’amusait chez lui. Mais rien de plus. Il faisait donc le tour.

Il s’arrêta devant le Nimbus 2001, il trouvait vraiment très beau ce balais, il le regardait à chaque fois qu’il y allait. Il souriait, le monde de la magie savait quand même faire de très belles choses.

Il fut tout d’abbord émerveillé d’observer ce balais sous toutes ses coutures, il le trouvait magnifique, il le reposa délicatement. Il avait décidé que pour aujourd’hui, ils auraient les yeux couleurs d’un bleu aussi pur que l’océan, il avait des cheveux blonds, un peu en bataille au-dessus de sa tête. Et il regardait cette merveille de la nature sorcière. Il mourait d’envie un jour de monter sur un de ses engins volant, qui c’est entré dans l’équipe de quidditch, cela pourrait être vraiment sympathique.

Il allait repartir de la boutique, pensant que maintenant il était temps de la quitter. Mais fut bousculé par un jeune homme, tout aussi blond que lui, il portait une cape noire. Il l’observa un instant et finalement décida de s’excuser.

« Monsieur excusez moi…Je ne voulais pas vous bousculez mais je vous ais vu qu’en dernier moment… »

Il disait cela avec un petit sourire innocent, en espérant qu’il ne serait pas en colère contre lui, ses joues avaient pris une couleur rouge. Il se demandait comment on pouvait être aussi beau que lui. Mais préféra mettre au fond de son cerveau de telles pensées.

« Je peux me faire pardonner par un moyen ou un autre ? »

Il disait cela avec une voix très masculine pour son âge, de toute façon il faisait l’âge d’une quinzaine d’années alors qu’il n’en avait que 11.

-Monsieur excusez moi…Je ne voulais pas vous bousculez mais je vous ais vu qu’en dernier moment…

Drago ne prêta pas attention aux paroles de l’enfant (=p) et fit quelque pas avant de se retourner et de s’arrêter devant les nimbus. Eux qui généralement était entreposer un peut plus loin, beaucoup plus en valeur, il ne pensait vraiment pas que les minables a qui appartenait la boutique aurait osé placer ses fabuleux objets dans la catégorie « ANCIEN ». :cmala: Tsss, tous des imbéciles et des minables. Même si ce balais avait été créé il y a quelques années a présent, personne n’avait le droit dans le mettre dans une telle rangée ! Ca le mettait hors de lui. Tellement qu’il voulait, a cet instant précis, honorer la marque sombre qui ornait son avant bras !

Pourtant il chassa bien vite l’idée de pouvoir commettre un meurtre devant tant de personnes qui aurait put lui mettre la main dessus en un rien de temps. Il tenait tout de même a sa vie. Sinon, pourquoi porterait-il cette cape en un cuisant été. Cape qui, au passage, le faisait dégouliner de sueur. Sueur peut être mais qui n’a pas d’odeur ! C’est quand même pratique non ? Comment ne pas être fier de son anatomie après ?

Cette pensé le fit rire intérieurement. Pensé qui fut vite écartée de son esprit lorsqu’il entendit derrière lui, la voix masculine de la personne qu’il avait bousculer.

-Je peux me faire pardonner par un moyen ou un autre ?

Il se retourna lentement, prenant soin de na pas faire glisser le capuchon qui recouvrait sa jolie bouille d’ange. L’ombre dissimulait parfaitement son visage, chance pour notre Ex Serpentard qui n’avait put réprimer une expression de surprise qui fut très vite remplacer par une expression moqueuse mélangée a une expression de dégoût. Les gens sont fou d eplus en plus jeune .
Il ignora cependant le remarque, regardant de haut en bas la dite personne pour finir par reprendre sa marche vers les nouveaux modèles de balais, en silence. Silence qui ne dura pas tellement de temps, au grand désespoir de notre beau blond.

Il n’avait pas compris de la façon dont il venait d’être snobé par le jeune homme, il n’en revenait absolument pas. Il avait envie de le battre, il n’avait pu voire que ses yeux pour le moment, des yeux tellement attirant.

Il ne bougea pas d’un poil, restant à sa place, et il avait l’impression que quelque chose ne tourner pas rond, il c’était excusé, et avait essayer de faire quelque chose pour réparer sa faute, mais rien ne pouvait y faire.

Il s’approcha encore de cet homme en cape, comme attiré par quelque chose, il avait envie d’entendre le son de sa voix, ou quelque chose, une manifestation qui ne marquerait alors aucune indifférence.

« Monsieur….Désolé de vous déranger mais vous avez fait tomber cela de votre poche ? »

Il était plutôt honnête, et avait remarqué la petite bourse de cuivre au sol qu’il avait alors ramasser, c’était sûrement quand il l’avait bousculé. Il se demandait si il n’allait pas se faire tuer dans ce magasin de balais.

Il se stoppa une fois de plus devant le second rayon. Il gardait cependant son expression de marbre, même si, personne ne pouvait le voir. Mais, au cas où il y aurait un imprévu, autant garder cette expression. Les sons qu'emettait la voix du garcons commençait vraiment a lui donner la migraine. Et cette phrases n'arangea rien.

- Monsieur….Désolé de vous déranger mais vous avez fait tomber cela de votre poche ?

Une fois encore Drago se retourna pour faire face à ce blondinet, qui tenait effectivement dans sa mains, la bourde de cuire que lui avait offert sa mere pour ses 6 ans. Cette petite chose ne devait pas avoir une grande valeur mais pour Drago, c'était quelque chose que personne ne pouvait comprendre. Il fit donc demi tour et recupera son bien, très cher a ses yeux. Et murmura ensuite un petit :

- Merci.

Qui lui brulait la gorge. Il n'avait jamais apprit les politesses envers les personnes qui ne lui servirait certainement a rien pour avancer dans la vie. Ca mère avait pourtant essayer mais Lucius était de loin le pire entre les deux, du coup, le choix ce faisait presque n'aturellement. Autant eviter les chatiments.

Il regarda un instant le garcon qui afficha un expression d'etonnement suivit d'un grand sourire. Quoi encore ?