Bureau officiel de l'infirmière[ou]

Il était bientôt 7h30 du matin et nous étions lundi. Je parcourais les couloirs pour me rendre à mon bureau pour recevoir comme à l'habitude le flot d'élève qui venait me voir pour diverse raison. J'étais presque rendu à mon bureau que je me suis rappelé que je n'avais toujours pas déjeuner, je me suis donc rendu à la Grande salle enfin de prendre un bon repas.

*Cela ne me fera pas de tord que de prendre un bon repas avant le début de la journée*

En effet, la fin de semaine avait été plus que tranquille, aucun cas était à l'infirmerie. Je pris donc un croissant et quelques fruits ainsi que mon café avant de me rendre à mon bureau. Rendu sur place, je pris le temps de refaire les lits, de les aérés et de tassé les rideaux pour que le soleil puisse entrer. Je fit allez ma baguette pour que les draps se replace seul. D'un autre coup de baguette et l'infime quantité de poussière qui avait sur les 4 tableaux ornant l'infirmerie disparue. Enfin, la semaine pouvait commencé en beauté. Je me rendis à mon bureau au fond pour m'y asseoir tout en lisant ma gazette et en attendant mes premiers cas de la journée.

Stéphanie, l'assistante de Pompom se leva, prit une bonne douche et rejoignit sa collègue à l'infirmerie, passant la porte elle se rendit compte que tout les lit étaient vide, qu'allait-elle faire aujourd'hui ?
La jeune femme se dirigea vers le fond de la salle, ou se trouvait son bureau ainsi que celui de Pompom, elle la regarda un instant avant de prendre la parole :

-Bonjour, comment vas-tu aujourd'hui ? Je vois qu'il n'y a pas grand monde, nous allons nous ennuyer ferme, si personne ne vient nous voir !!

Stéphanie était à Poudlard depuis maintenant deux ans, elle s'entendait à merveille avec tout le monde, quand madame Pomfresh prenait quelques jours de congés, c'était Stéphanie qui la remplaçait, en ce moment elles étaient toutes les deux dans l'infirmerie à attendre des patients.

Alors que j'étais tout bonnement en train de lire la dernière page de la Gazette, j'entendis la porte de l'infirmerie s'ouvrir.

Citation :: -Bonjour, comment vas-tu aujourd'hui ? Je vois qu'il n'y a pas grand monde, nous allons nous ennuyer ferme, si personne ne vient nous voir !!

Tiens bonjour Stéphanie, oui j'avoue. Je sens que cette journée va être passionnante

Me dis-je en regardant le plafond. En effet, depuis quelques temps les élèves avaient la fâcheuse tendance à ne plus venir à l'infirmerie.

Alors, qu'as-tu fais pendant le week-end. Moi j'en ai profité pour refaire le plein de plante et de produits pour nos potions. Oh et en plus tiens, je t'ai acheté cette nouvelle plume. J'ai remarqué que la tienne était quelque peu usé.

Je lui tendis la plume avec un sourire rempli de tendresse. Je l'aimais bien cette assistante.

Pompom était comme Stéphanie, elle s'ennuyait, c'est vrai que d'un côté ne pas avoir de patients c'était bien car tout se passait bien pendant les cours et qu'il n'y avait pas eut d'accident, mais d'un autre, les deux femmes étaient là à l'infirmerie à attendre que quelque chose se passe, en attendant que le porte se décide enfin à s'ouvrir elles discutèrent entre elles. Stéphanie écouta Pompom avec attention :

Alors, qu'as-tu fais pendant le week-end. Moi j'en ai profité pour refaire le plein de plante et de produits pour nos potions. Oh et en plus tiens, je t'ai acheté cette nouvelle plume. J'ai remarqué que la tienne était quelque peu usé.

La jeune assistante tendit la main pour prendre le cadeau et afficha un grand sourire.

-Merci beaucoup, elle est très belle...... Oh, tu sais moi tout mes week-end se ressemblent, je me suis un peu reposé et j'ai fabriqué quelques potions que nous n'avions plus, comme tu sais je suis célibataire et je penses que je le resterai encore longtemps. Ce n'est pas ici, à Poudlard que je vais rencontrer le grand amour !! Et je penses encore à Merwan, je sais que je devrai l'oublier, il est mort depuis maintenant plus de six mois, mais c'est comme si il était toujours là et qu'il m'attend à Pré-au-lard..

Stéphanie était fiancée à un homme très gentil, musicien de surcroit, mais une maladie moldue l'avait emporté loin d'elle, et la jeune femme avait encore du mal à s'en remettre.

Stéphanie était plus qu'heureuse du cadeau que je lui avais faite. Je le savais qu'elle lui remonterait le morale. Par contre, la souvenir du décès de son fiancé fut péniple à mes yeux. Le souvenir de la voir elle, en larme, inconsolable. Ce n'était pas pour rien que je lui avait dit de prendre tous les congés qu'elle voulait, tant qu'elle pouvait se reposé et s'en remettre. Elle était un peu comme ma fille que j'avais jamais eu, je ne suis pas capable de la voir souffrir.

Tu sais ma belle, il n'y a rien qui arrive pour rien dans la vie. Je suis sur que tu va rencontré quelqu'un de bien prochainement. Il faudrait que tu sorte un peu. Je sais qu'il te manque terriblement, mais je suis sure que lui ne voudrait pas que tu te morphonde.

Je ne voulais que son bonheur à elle, je la voulais heureuse et souriante. Mais elle a toujours su gardé le sourire même dans des moments sombres.

Avec une voix réconfortante Pompom regarda Steph et lui parla :

Tu sais ma belle, il n'y a rien qui arrive pour rien dans la vie. Je suis sur que tu va rencontré quelqu'un de bien prochainement. Il faudrait que tu sorte un peu. Je sais qu'il te manque terriblement, mais je suis sure que lui ne voudrait pas que tu te morfonde.

S'approchant un peu plus prés de sa supérieur, la jeune assistante lui fit un grand sourire, mais les larmes coulèrent quand même sur ses joues :

- Je te remercie de ta sollicitude, et c'est vrai tu as raison Merwan ne voudrait pas que je m'apitoie sur mon sors, il faut que je trouve un homme qui me fasse oublier toutes mes peines.

Stéphanie prit un mouchoir dans sa poche, se moucha doucement et enleva les larmes qui lui brûlaient les yeux, c'était formidable d'avoir une amie comme Popom qui sache la réconforter et la soutenir, pour rien au monde Steph ne partirait de Poudlard, elle se sentait bien dans ce château.
Pour le moment elle n'avait pas vu encore les nouveaux professeurs, mais peut-être que l'un d'eux serait lui convenir, il ne fallait pas qu'elle ait peur de montrer ses sentiments.

Pendant que Stéphanie essuyait ses larmes. Une idée me vint à l'esprit. Je sais qu'elle ne sort pas souvent à l'extérieur de l'enceinte de l'école, mais à l'intérieur, elle ne l'a pas visité complètement. J'avais besoin de me rendre en urgence au Chemin de Traverse samedi pour prendre ma livraison de matériel d'infirmerie haute gamme. Je voulais qu'elle m'accompagne.

Écoute moi bien, samedi je dois me rendre au Chemin de Traverse et je vais surement faire un détour par Ste-Mangouste. J'aimerais bien que tu vienne avec moi, du coup, j'aurais un coup de main pour le nouveau matériel que nous allons recevoir et je te ferai visité le bureau de mon père qui est toujours intact à Ste-Mangouste. Ça te dit ?

J'attendais sa réponse avec impatience...

Écoute moi bien, samedi je dois me rendre au Chemin de Traverse et je vais surement faire un détour par Ste-Mangouste. J'aimerais bien que tu vienne avec moi, du coup, j'aurais un coup de main pour le nouveau matériel que nous allons recevoir et je te ferai visité le bureau de mon père qui est toujours intact à Ste-Mangouste. Ça te dit ?

Stéphanie savait que Pompom voulait lui remonter le morale, pourquoi pas ? C'était peut-être une bonne idée pour oublier ses déboires amoureux et en plus elle reverrait sans doute ses anciennes collègues, oui car la jeune femme avait travaillé à Sainte Mangouste avant de venir à Poudlard, elle était chef du service de Pathologie des sortilèges, mais ne voyant pas ce qu'elle pouvait faire pour ces personnes, Steph avait demandé de travailler avec madame Pomfresh.

-Oui, ça me ferai vraiment plaisir de t'accompagner las-bas et en plus de ça je n'ai pas grand chose à faire ici.

Stéphanie s'éloigna de sa collègue et partie faire les lits vide de l'infirmerie, elle n'aimait pas qu'il y ai du désordre. Au moins à présent elle avait un grand sourire sur le visage.

Toute heureuse d'entendre la réponse de ma chère Stéphanie. Je me leva et alla chercher une plume et un parchemin pour écrire à l'ancien élève de mon père ma présence et celle de mon assistante samedi prochain. Du coup, je la vis en direction des lits pour en refaire les draps.

Je n'en reviens tout simplement pas. Il est quasiment l'heure de la pause et toujours personne. Il ne font plus de pratique en classe ou quoi ? Il va falloir que j'en glisse un mot au directeur.

Avant de partir vers l'armoir pour y faire un peu de ménage.

*Hmmm je vais devoir demandé à mes collègues de potion et botanique quelques objets.*

Stéphanie était en train de faire les lits quand elle entendit sa collègue parler dans la pièce à côté :

Je n'en reviens tout simplement pas. Il est quasiment l'heure de la pause et toujours personne. Il ne font plus de pratique en classe ou quoi ? Il va falloir que j'en glisse un mot au directeur.

-C'est vrai, je suis d'accord on a vraiment l'impression qu'ils ont peur de nous, pourtant nous sommes douces, même si parfois j'en étranglerais bien un de temps en temps, les élèves de nos jours se comportent comme des enfants gâtés.

La jeune femme tourna la tête pour regarder Pompom ouvrir l'armoire à potion elle entendit ensuite dire qu'elles avaient besoins de quelques échantillons en plus.
Stéphanie avait fini de faire les lit et s'installa sur une chaise, elle ne supportait pas l'inaction, il fallait qu'elle fasse quelque chose sinon elle deviendrait folle d'ennuis, elle souffla et déclara :

-Je crois que je vais descendre faire un tour dans la grande salle, j'ai envie de voir du monde, je ne supporte pas de rester cloîtré entre ses murs.

Comme pour liée ses paroles à l'action, la jeune infirmière se leva et posa sa main sur la poignée de porte.

-C'est vrai, je suis d'accord on a vraiment l'impression qu'ils ont peur de nous, pourtant nous sommes douces, même si parfois j'en étranglerais bien un de temps en temps, les élèves de nos jours se comportent comme des enfants gâtés.

Ne m'en parle pas. Je m'ennuie de l'époque du jeune Potter, au moins, nous avions du travail sur les bras. Bien que la plupart du temps, ce fut désastreux, troublant et blessant de voir ces jeunes enfants blessés par des êtres immondes.

Je crois que je vais descendre faire un tour dans la grande salle, j'ai envie de voir du monde, je ne supporte pas de rester cloîtré entre ses murs.

Hmm oui tu as raisons. Je crois que je vais t'accompagner. Un bon verre de jus de citrouilles ne me ferais pas de mal. De plus, je vais pouvoir en profité pour allez voir le professeur de potion, il me manque certaines potions très importantes. Tu veux bien que je t'accompagne.

Juste avant de passer la porte de l'infirmerie Pompom se précipita vers Stéphanie :

-Je crois que je vais t'accompagner. Un bon verre de jus de citrouilles ne me ferais pas de mal. De plus, je vais pouvoir en profité pour allez voir le professeur de potion, il me manque certaines potions très importantes. Tu veux bien que je t'accompagne.

Se retournant pour faire face à sa collègue Stéphanie fit oui de la tête, elle était contente que Pompom l'accompagne dans la grande salle, et de plus elle pourrait aussi parler avec le professeur de potion et surtout avec le nouveau professeur de soins aux créatures magiques.
Stéphanie l'avait aperçut quelques jours auparavant et le trouvait vraiment très charmant, mais pour le moment son estomac criait famine, il fallait qu'elle aille manger.

-Si tu veux je pourrai aussi t'accompagner chez le professeur de potions, au moins à nous deux il ne diras pas non pour nous donner des potions.

Avec assurance les deux infirmières de Poudlard descendirent les marches pour se retrouver dans la grande salle où le bruit et l'agitation régnait.

» Au bureau des offices noires

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