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 Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]

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MessageSujet: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Dim 5 Avr - 19:40

Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] 082Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Iconkristenbellmi15
Edwyna and Joyce.
For every street of any scene
Any place you've never been
I'll be your guide.

Aaron U-Turn Lili.


    C'était une de ses mâtiné ou les Flash de Joyce revenait la hanter. Pas moyen pour la jeune fille de fermer les yeux sans qu'elle ne revoit sa maison déserte, son père à terre, son frère qui se tenait devant elle. Son frère, son protecteur, celui qui était tombé pour ne plus jamais se relever. Comme si toute ses images ne la faisait pas assez souffrir, elle se revoyait pleurant toute les larmes de son petit corps d'adolescente, pleurant la mort de ceux qu'elle aimé tant. Devait-elle se sentir responsable ? Assurément non. Alors pourquoi était-elle rongé par ses souvenirs ? Était-ce sa punition ? Mais elle n'avait aucune raison de replonger dans son passé, bloquant sa vie et son avenir. La jolie blonde, les bras derrière la tête, se mit à penser à ce qu'elle avait laisser derrière elle. Sa famille, ses frères qui avaient la vague impression que leur cadette voulait couper le ponts, alors qu'elle avait juste besoins de recule. Et ses amis. Surtout sa meilleure amie. Tamara. Toute les deux avaient formé un duo inséparable depuis leur plus tendre enfance. Puis elles avaient rencontré Tim. Ce garçon tellement mignon qui ferait craquer les minettes les plus exigeantes. Le trio d'enfer ! Jamais Joyce n'aurait penser qu'un jour il seraient séparé, qu'un jour il ne se verraient plus. Où était passé Tamara ? C'était une excellente question qui rongeait la demoiselle depuis que son amie avait disparut de la surface de la Terre, il y à de cela un an déjà. Quand à Tim, il était partit en France. Pour combien de temps, ça, personne ne le savait. Et personne n'avait plus de nouvelle de lui non plus. Une question s'imposa alors asn l'esprit de Miss Johanson : "Où est passé ma vie ?" Qu'avait-elle fait de ces belles années où son seul soucis était de s'amuser le plus possible ? C'était sa grandir ? Pourtant les autre continuer de vivre comme si ed rien n'était. Et pourtant, Joyce le sentait bien, ce danger impalpable qui planait au dessus du monde entier. Cette chose instable qui manquait d'exploser à la moindre petite secousse, cette bombe à retardement qui finirait par ce déclencher quand personne ne s'y attendra. La jolie blonde poussa un profond soupir et fermé les yeux. Quand elle les réouvrit, une larme coula sur sa joue. Elle l'essuya d'un revers de mains, pleurer n'était pas digne d'une Johanson, de quelqu'un aussi fière que la lady. Elle contempla le vide pendant un instant puis finit par se lever. Elle jeta un coup d'oeil à son calendrier. Samedi. C'était une mâtiné chaude, même si le ciel était couvert et le soleil cachait par de gros et épais nuage gris. L'air était lourd et Joyce ne voulait voir personne. Pas même ses amies, ces filles qui la regardait inquiète, en silence, sans que la vert et argent ne remarque quoi que se soit. Elle se dirigea en silence vers la salle de bain, ignorant les coup d'œil inquiet que se lancer ses amies entre elle. Toute savait que parfois, la blondinette tait prise de ce qu'elles apellaient des "crises de solitude". Elles savaient aussi que pendant ces moment, il valait mieux respectait l'isolement de la jeune sorcière qui reviendrait aussi joyeuse qu'avant. Les filles avec qui Joyce partageait son dortoir prenait plutôt bien le caractère lunatique de la jeune sorcière, et c'était une chance pour tout le monde. C'était peut-être car elle savait à quel point son passé était troublant qu'elle la comprenaient si bien. La Serpentard resta un bon moment sous la douche puis finit par sortir, ses long cheveux blonds humides éparpillés sur ses épaules. Elle était vêtue d'une jupe courte et d'un chemisier puis elle enfila rapidement une veste courte couleur chocolat. Elle sortit de la salle commune sans faire attention à personne, de sa démarche souple, féline, la tête haute et l'air indifférent. Cet air indifférent qui vexait les gens. Mais aujourd'hui, ce n'était pas le principale soucis de la jolie blonde. Elle passa sans y faire plus attention que ça, devant la grande salle, comme d'habitude pleine de bruit, d'ambiance, d'élève qui riaient et parler trop fort... De toute façon elle n'avait pas faim, que serait-elle allait y faire ? Se montrer, juste pour le plaisir de dire "J'existe encore !" A quoi bon ? De les gens se fichaient pas mal de ce qui les entourait tant que ce n'était pas leur bien matériel. Ce n'était pas dans les habitudes de la demoiselle d'être si pessimiste, mais aujourd'hui qu'elle était d'humeur morose, la vie semblait tellement noir... La jolie blonde sortit du château, traversa le parc encore désert malgré l'heure avancé de la mâtiné. Elle se demanda une seconde où elle pourrait aller. Rester dans le parc ? A tout les coup on viendrait la voir. Pré-au-lard, elle risquait d'y croiser des connaissance, il y aurait du bruit. Non, Joyce voulait du calme, de la tranquillité et de la sérénité, pour pouvoir aire le point, effacer de sa tête ses visions néfaste et se recentrait. Elle passa donc la grille de l'école. Elle avait apprit à transplaner l'année dernière. Et elle avait était une des première à réussir. Comme pour tout ce qu'elle faisait, la Miss se donnait à fond et avait pour unique but d'être la meilleure. Elle inspira en pensant à un petite coin de la campagne Anglaise où elle était allée avec ses frère il y à tellement longtemps de cela. Elle visualisa ce coin de paradis, inspira profondément et tourna sur elle même. Elle se sentit aussitôt happé dans les ténèbres.

    Joyce cligna plusieurs fois des yeux pour chasser la désagréable impression qu'elle avait a chaque fois qu'elle venait de transplanter. Elle regarda alors autour d'elle pour vérifier qu'elle était bien dans le bon endroit. Elle se trouvait à lauré d'un petit bois. Le soleil commençait à percer à travers les nuages, laissant parfois entrevoir ses rayons chaleureux. Elle se souvenait du coin. Et elle savait aussi qu'elle parviendrait à retrouver son chemin sans difficulté. De toute façon, même sans ça, elle pourrait quand même revenir sans aucun soucis à Pré-au-lard et rentré ensuite au château. La demoiselle s'enfonça alors dans ce petit bois qu'elle connaissait comme sa poche. Elle n'y était pourtant venu qu'une seule fois, quand elle était petite. Elle ne devait pas avoir plus de huit ans et déjà, ses frère l'avait entraîné dans une de leur escapade. Tout les quatre c'était perdu et leur père les avaient retrouvé, tellement soulager de les voir encore en vie. Joyce avait passer tant de temps à tourner et à retourner dans ce bois pour toujours revenir à son point de départ qu'elle le connaissait aujourd'hui par coeur. Elle marcha droit devant elle, ou tout du moins en contournant les arbres, pendant un instant. Elle prenait enfin le temps de respirait, de ne plus penser à rien. Loin des autres, loin du bruit, loin des souvenirs. La belle avait le sentiment de revivre enfin. Mais elle n'était pas encore prête à retrouver Poudlard. Elle jeta un coup d'œil à sa montre. Elle avait marcher plus longtemps qu'elle ne l'aurait cru. Il était déjà midi passé et le soleil commençait enfin à prendre le dessus sur les nuages, même si ceci résistait plutôt bien. La blondinette se hissa sur la branche basse d'un gros arbre et, les pieds pendant dans le vide, elle balança ses jambes en fredonnant une vieille chanson qu'elle se souvenait avoir entendu durant ses vacances à New York. La voix douce et claire de la jeune fille était le seul son qu'on pouvait entendre dans ses bois et, perdu dans ses pensée, elle ne pensa plus à rien et un léger sourire s'étira sur ses lèvres. Ses yeux bleu pétillant scrutaient la forêt devant elle, si bien qu'elle en oublia de vérifier si il n'y avait personne derrière elle.
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Lun 6 Avr - 18:50

Le mois de mars et son temps incertain. Ed ne savait jamais si elle devait mettre une parka ou un t shirt. Aussi avait elle optée, en cette matinée, pour un compromis ou un vêtement mi cape mi manteau noir recouvrait un pull léger et un pantalon de la même couleur, faisant du coup ressortir le roux de ses cheveux qui descendaient en cascade dans son dos et sur ses épaules. Seule deux étranges chignons circulaires empêchaient que les mèches ondulées ne la gênent dans son labeur.
Quel labeur me direz-vous ? La médicomage était présentement en train d’écarter des feuilles de fougères d’une étrange couleur orange qu’elle coupait à la base pour les mettre dans une grande giberne qu’elle portait en bandoulière. En regardant bien, on pouvait y voir , pêle mêle, des champignons, des fleurs, des racines, des bulbes, et même certain éléments dont il fallait peut être ignorer la provenance.

Ed écarta de son choix une pousse trop mature pour couper une feuille plus jeune. Ce genre de plantes devait être cueillie avec discernement, leur mode de reproduction et leur temps de maturation étant extrêmement long et quasiment impossible à reproduire hors de leur habitat sauvage. Les mains gantées de noir pesaient, tâtaient, coupaient avec dextérité ce qu’elles cherchaient sans jamais hésiter.

Satisfaite de sa trouvaille, la rouquine se releva et posa son sac à terre, en tirant d’une poche qui n’aurait jamais du se trouver la une bouteille au contenu couleur de jus de pomme. Ed l’ouvrit et en avala quelques gorgées avant de la ranger et de laisser vagabonder ses pensées. Son regard allait d’un arbre à l’autre, d’une futaie à l’autre, d’une plante à l’autre, en se disant que finalement, la ville, c’était bien. Comme beaucoup de citadines, elle aimait la campagne le week end et avec tout le confort magique. Son frère s’était assez souvent moqué d’elle et de ses tendances à se méfier des bêtes qui hantaient le monde campagnard. Al vivait tranquillement avec sa petite famille dans une maison proche du village familial, avec tout un tas d’animaux dont raffolaient les enfants mais dont Ed se tenaient précautionneusement à l’écart des qu’ils dépassaient le mètre cinquante au garrot. La seule exception était un âne qu’elle avait elle-même recueilli et nourri étant plus jeune et qui, malgré l’age, continuait à la reconnaitre et dont elle s’occupait des qu’elle pouvait.
La jeune femme lança un regard autour d’elle et appela doucement son familier. Un chat sortit de l’ombre et s’avança, se frottant à sa jambe dans un ronronnement satisfait.


- Toi, tu as encore fait un festin. Ce soir tu dormiras dehors, je ne veux pas retrouver les pelotes sur le plancher !

Elle caressa le chat qui tendait le menton, quémandant davantage de caresses, quand un son incongru au milieu de la forêt se fit entendre. Un chant. Ed avança de quelques mètres avant de s’arrêter. La dernière fois qu’elle avait laissé sa curiosité s’exprimer, elle s’était retrouvée dans une bataille rangée entre l’ordre et le ministère. Et c’était quelque chose, en dehors du fait qu’elle ait fait la connaissance de Sirius Black, qu’elle préférait ne pas réitérer.
L’anglaise sortit donc sa baguette de sa poche, remit son sac en bandoulière et fit signe à son chat de reprendre la chasse dans les bosquets, alors qu’elle-même s’avançait vers la source du chant. Elle mit quelques secondes avant de comprendre que le son venait de plus haut. En fait, elle venait sans doute de ce qui devait se trouver au dessus de ces pieds qui pendaient dans le vide, la silhouette nettement féminine qui chantait de cette voix claire était assise sur une branche basse et semblait croire que la forêt était à elle.


- Drôle d’idée de donner un récital ici. Essayez plutôt Carnegie Hall, l’acoustique est meilleure !

La médicomage rangea sa baguette et remit en place une mèche rousse.

- De plus les lieux ne sont pas surs. On en sait jamais sur quoi au va tomber.
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Lun 6 Avr - 21:51

    Joyce respira à plein poumon cet air pur. Une odeur simple, de nature venait lui chatouiller les narines. La belle ferma les yeux, se retirant ainsi dans les coulisse de ses paupière, dissimulant les deux diamants bleus de ces yeux, où danser une belle flamme. Miss Johanson avait rarement l'occasion d'être un peu seule et de pouvoir penser à ce qu'elle voulait. Quand elle était à Poudlard, les gens venait la voir pour des choses aussi futile que les révisions. Parfois, il lui parlait de fête, de vacances et d'avant. Quand elle était chez elle, ses frères lui lançaient sans cesse des regard entier. Tout les deux ne comprenait pas le besoins de recul soudain de leur petite soeur. Ils voudraient tant l'aider et le fait qu'elle se ferme comme une huître ne les aidaient pas, ils en étaient peiné. Et la Serpentard s'en voulait de chagriner ainsi ceux qui étaient là pour elle de jour comme de nuit et à tout moment de sa vie, ceux qui acceptaient ses idées, son destin... Mais perdue dans se souvenir, Joyce se raidit en entendant une voix en dessous d'elle. Elle ouvrit brusquement les yeux et baissa la tête.

    « - Drôle d’idée de donner un récital ici. Essayez plutôt Carnegie Hall, l’acoustique est meilleure ! »

    La femme qui avait parler semblait ne pas comprendre ce que la demoiselle faisait, percher ainsi sur un arbre. Elle avait de long cheveu roux, un visage pâle et deux grand yeux de couleur métallique mais qui ne semblait pas froid. En revanche, la baguette qu'avait sortit l'inconnue ne fut pas spécialement du gout de la jeune sorcière. Elle avait déjà trop souffert pour se laisser menacer ainsi. D'un mouvement ample, elle sortit à son tour sa baguette d'une poche intérieure de sa veste. Elle sauta souplement à terre, atterrissant sur ses deux pieds et se releva sans aucun mal. Longtemps, Joyce avait fait de la danse, plus pour être avec ses amis moldus que par réelle nécessité. Mais elle c'était prise d'affection pour se sport délicat et plein de grâce et de légèreté, jusqu'à devenir douée. Su aujourd'hui elle ne dansait plus, elle avait garder ses réflexe de ballerine. La Lady leva quelque peu sa baguette sans pour autant viser son interlocutrice. Cette femme ne semblait pas vouloir de mal à qui que se soit. Une belle aura émanait même d'elle. D'ailleurs, comme pour confirmer ce que penser Joyce, elle rangea sa baguette. La jeune fille scruta les alentour et la position de la rousse une seconde. Elle ne pensait pas courir de risque en ce moment. Mais prudence étant mère de sureté, elle finit par ranger à son tour sa baguette dans la poche de sa veste tout en restant un minimum sur ses gardes. On était jamais à l'abri d'un mouvement trop vif, d'un sort lancé trop vite et d'une souffrance venue trop tôt.

    « - De plus les lieux ne sont pas surs. On en sait jamais sur quoi au va tomber. »

    Un léger sourire se dessiné doucement sur les lèvres rosé de la belle Serpentard. Effectivement, personne ne pouvait deviner ce qui l'attendait au tournant. Et ceux qui prétendaient le contraire étaient bien stupide. Et miss Johanson se considérait comme tout sauf stupide. C'était pour ça qu'elle se méfiant encore de cette inconnus qui lui faisait face. Ce n'était pas dans les habitude de la jolie blonde que de faire confiance aux autres,a lors faire confiance à quelqu'un qu'elle ne connaissait pas... Le visage calme de la sorcière resta impassible. Elle finit par sourire et dit d'un ton calme et très polit, comme si elle était dans un diner mondain.

    « - Sur quoi... ou sur qui. A ce propos, qui êtes vous ? Je vos donnerez mon nom quand vous m'aurait donner le votre. »

    Oui, Joyce ne craignait pas d'être un peu autoritaire, tout en restant courtoise. C'était d'ailleurs une de se grande qualités. Elle était capable d'exiger beaucoup de chose dans gens sans pour autant les brusquer. La finesse était une arme indispensable pour qui voulait gagner ses combats.

    « - Ne soyez pas offusquer de la formulation. J'ai prit 'habitude d'être prudente. »



Dernière édition par Joyce S. Johanson le Jeu 9 Avr - 14:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Mar 7 Avr - 21:03

Ed avait rangé sa baguette, non sans remarquer la méfiance de la jeune femme qui lui faisait face. La blondinette avait sorti elle aussi son petit morceau de bois personnalisé, en réponse à l’éventuel danger que pouvait représenter celui de la médicomage. Elle avait quitté son perchoir ave une grâce et une souplesse qui ne laissaient pas de doute sur sa formation artistique de danseuse. Les filles, et les garçons, qui pratiquaient cet art en gardaient une façon de se tenir et de bouger très particulière. Si la rouquine n’avait jamais touché un tutu, elle savait en revanche en reconnaitre les attitudes.
La jeune fille, elle ne devait pas avoir plus de 18 ans, rangea à son tour sa baguette, non sans regarder autour d’elle si le terrain était sur. Il y avait quelque chose à la fois d’amusant et de triste dans cette façon de passer de l’inconscience la plus totale, chantant tranquillement dans son arbre sans même apercevoir l’arrivée d’un quidam, à une méfiance quasi paranoïaque. Enfin n’exagérons. Mais la méfiance était tout de même la, même une fois que la baguette fut rangée. Qu’est ce qui avait pu lui arriver pour la rendre aussi méfiante ? Ed ne croyais pas à l’hypothèse « maman m’a dit de menacer tout les inconnus de ma baguette »

Néanmoins la répartie de la jeune fille lui arracha un sourire amusé. Elle ne lui dirait son nom qu’après avoir entendu celui de son interlocutrice ? Amusant. Ed remit en place une mèche rebelle, inclinant légèrement la tête dans son mouvement, par ailleurs gracieux, sans quitter des yeux la blondinette.


- Ha oui ? Mais pourtant il ne me semble pas vous avoir demandé votre nom … à moins que vous ne soyez pressée de me le donner ?

La scène avait à présent quelque chose d’amusant qui n’échappait pas à la médicomage. Une jeune fille, sans doute une élève de Poudlard vu son âge et sa baguette, lui intimant de révéler son identité, au milieu d’une forêt ou normalement aucune des deux n’avait rien à faire.

- Ceci dit, n’étant ni en fuite, ni recherchée, ni même particulièrement connue, et de plus mon nom se trouvant dans l’annuaire magique, je suis le docteur Edwyna Applestorm. Medicomage de son état et parfois ramasseuse de champignons.

La médicomage remit son sac en position plus pratique sans se départir de son sourire amusé.


- Mais vous avez raison. En ces temps troublés, la méfiance est la mère de la survie. Faites quand même attention à ne pas malefiser quelqu’un par inadvertance ! C’est toujours embêtant à expliquer.
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Mar 7 Avr - 22:44

    L'inconnue en face de la jeune sorcière sourit d'un air amusé. Cependant la lady préférait rester sur ses gardes. Elle ne savait pas qui était cette femme.

    « - Ha oui ? Mais pourtant il ne me semble pas vous avoir demandé votre nom … à moins que vous ne soyez pressée de me le donner ? »

    Le sourire de Joyce s'élargit à la réponse de son interlocutrice. C'était rassurant de voir quelqu'un qui lui répondait ! La jolie blonde était las de tout ces gens moues qui obéissaient sans protester ! Parfois, elle avait besoins que quelqu'un est autant de répartit qu'elle. Les gens qui tenait tête aux autres se faisait de plus en plus en plus rare. C'était d'ailleurs navrant du point de vue de la blondinette. Rien de mieux qu'une bonne prise de tête avec une personne au fort caractère ! Il n'y avait rien de tel pour se sentir en forme après ! Même si, de toute façon, Miss Johansn n'avait absolument pas besoins d'une querelle pour avoir la pêche, puisqu'elle l'avait naturellement. Mais la forme physique de la demoiselle n'était pas en cause. Elle ne répondit pas à la femme en face d'elle, préférant attendre qu'elle donne son prénom. Joyce avait bien trop souffert depuis un an pour que quiconque puisse à nouveau lui faire du mal. Elle doutait pouvoir le supportais, surtout depuis la disparition de celle qui sera toujours sa meilleure amies, et la meilleures des amies au monde.

    « - Ceci dit, n’étant ni en fuite, ni recherchée, ni même particulièrement connue, et de plus mon nom se trouvant dans l’annuaire magique, je suis le docteur Edwyna Applestorm. Medicomage de son état et parfois ramasseuse de champignons »

    Une médicomage... Joyce ravala sa fierté et se releva un peu plus le menton. C'était une habitude qu'elle avait prise quand elle se trouvait en présence de personne pour qui elle éprouvait le plus grand respect. Mais pourquoi respecter une inconnue ? Tout simplement parce que cette inconnue était une médicomage ! La blondinette donnerais n'importe quoi pour réussir ses études et être à son tour ce qu'elle avait toujours voulut être depuis sa plus tendre enfance : une médicomage renommé ! Depuis qu'elle était entré à Poudlard quand elle avait onze ans, elle se donnait à fond dans ses études pour pouvoir réussir ses examens ! Le petit sourire en coin de la demoiselle disparut pour laisser place à un sourire plus franc. Ce sourire que seuls les amis de Joyce se voyait offrir. Tamara, Tim... et trop peu d'autre. De l'admiration brillait à présent dans les beaux yeux bleu de la sorcière. Elle était pourtant peu impressionnable et admirer rarement les gens. Mais ceux qui avait réussit là où elle avait si peur d'échouer mériter son respect et son admiration.

    « - Mais vous avez raison. En ces temps troublés, la méfiance est la mère de la survie. Faites quand même attention à ne pas malefiser quelqu’un par inadvertance ! C’est toujours embêtant à expliquer. »

    Un petit rire fêlé s'échappa d'entre les lèvre de la Serpentard. Elle ne connaissait que trop bien ce problème. Qui accusait quand on était le seul témoins d'une scène plutôt loufoque est quand plus on riait aux éclat devant les malheur d'un autre ? C'était une très bonne question. En générale, Joyce mentait plutôt bien. Mais parfois le regard accusateur était trop lourd. On le remord rongeait la Miss. Mais il était tout de même plutôt rare qu'elle soit collé pour ce qu'elle avait fait.

    « - Ne m'en parlez pas... C'est toujours dur d'expliquer pourquoi un Gryffondor c'est retrouvé collé au mur du château tout en disant que vous n'y êtes pour rien alors que vous êtes seule dans les parages et que le Gryffondor en question hurle "Joyce ! Si je descend de là je te tue !" »

    Une étincelle de joie dansa une seconde dans le regard de la belle à ce souvenir. Cette scène avait était tellement comique que pendant des nuits des fous rires silencieux avaient secoué la verte et argent. Ce benêt de septième année qui se pavanait dans les couloirs du château en défiant le monde entier du regard avec son ridicule air supérieur... il avait jeter le coup d'oeil de trop à l'imprudente disciple de Salazar Serpentard. Comme si la vipère allait se laisser regarder de haut ! Ce prétentieux avait vite perdu son air supérieur quand il c'est rendu compte qu'il était bien collé au mur du couloir du troisième étage dans une position tout à fait ridicule ! Là où elle avait eut plus de mal, c'est quand un professeur était arrivé, attiré par les injures que le lion lançait à sa "congénère" de Serpentard, elle même pliés en deux par le comique de la scène. D'accord elle avait était collé mais sa maison n'avait pas perdue de point et elle c'était tellement amusé à ridiculiser le rouge et or dans toute l'école que le jeux en valait la chandelle. Elle revint à la réalité, un sourire lointain flottant toujours sur ses lèvres. Comme à son habitude, elle planta son regard bleu, profond comme l'océan, dans les yeux de la dénommé Edwyna, sans ciller, mais sans être "cru" non plus.

    « - Mais cet abrutis à eut ce qu'il méritait. Je suis Joyce Johanson. Élève de septième année à Serpentard. Et je l'espère futur médicomage. »

    C'était plutôt rare quand la sorcière se révélait ainsi. Mais elle ne pensait pas le regretter. Ses pensée allaient pourtant contre sa position toujours un peu tendu malgré sa souplesse, et surtout contre sa main qui était prête à se saisir de sa baguette en une fraction de seconde. "Tu ne sera jamais à l'abri maintenant, nul part." Liam lui avait dit ses mots avant qu'elle ne parte pour sa dernière année à Poudlard. Alors elle réstait méfiante même si elle s'amuser toujours comme elle pouvait.
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Jeu 9 Avr - 21:35

La rouquine mit quelques secondes a comprendre le soudain changement d’attitude de la jeune fille qui lui faisait face. Sans se départir de son attitude assurée, presque hautaine, qui semblait être une sécurité pour la blondinette, quelque chose d’autre semblait avoir illuminé son regard. Le menton fin de la blondinette s’était relevé dans une posture respectueuse assez étonnante pour la position. Ed n’aurait jamais cru que l’on puisse montrer du respect en relevant ainsi le menton. Sans doute était ce la lueur dans son regard associée à ce geste qui donnait cette impression, mais la médicomage était sure d’avoir vu quelque chose comme ça dans la jeune fille. Impression qui se précisa quand le sourire en coin se transforma en un franc et délicat sourire, et le respect en admiration.
La rouquine sourit en retour en comprenant que son nom n’avait sans doute pas autant d’impact sur la jeune fille que son statu social. La blondinette semblait vouer une admiration sans borne aux médicomages, même sans connaitre leurs antécédents.

Un petit rire échappa a l’élève alors qu’elle évoquait de façon fort vague un épisode qui trouva dans l’ancienne serpentard un écho. La guerre gryffondor / Serpentard était apparemment toujours aussi présente et la jeune fille semblait y tenir son rôle.


- Ne m'en parlez pas... C'est toujours dur d'expliquer pourquoi un Gryffondor c'est retrouvé collé au mur du château tout en disant que vous n'y êtes pour rien alors que vous êtes seule dans les parages et que le Gryffondor en question hurle "Joyce ! Si je descend de là je te tue !"

Un sourire à la fois amusé et nostalgique vint flotter sur les lèvres de la rouquine en se rememorant ses propres réglements de comtes avec les rouge et or, les embuscades, les plaisanteries de plus ou moins bon gout (comme faire des trous dans les cache oreille des gryffys juste avant le cour sur les mandragores), les disparitions de devoirs, les élèves retrouvés statufiés en caleçon devant le portrait de la grosse dame …. Elle-même avait eu à déjouer ou subir le même genre de fines plaisanterie de la part des camarades de l’autre camp. La guerre ente les deux maisons était déclarée et en fait, personne ne songeait réellement à y mettre un terme. Il fallait avouer qu’elle aurait pu avoir des amis chez les gryffondor si ça n’avait pas été quelque chose de très mal vu à l’époque. Et puis il y avait la réputation des serpentard.
La façon de parler de la petite blonde ne laissait pas énormément de doute sur sa maison d’affectation, et la suite prouva à Ed qu’elle avait raison.


« - Mais cet abrutis à eut ce qu'il méritait. Je suis Joyce Johanson. Élève de septième année à Serpentard. Et je l'espère futur médicomage. »


Johanson. Le nom ne lui disait rien. Pourtant elle connaissait une bonne partie des familles de Serpentard , mais le nom de celle-ci lui était inconnu. Peu importait en fait. Elle balaya cette ignorance aussi vite qu’elle s’en était aperçu pour ramener son attention à l’élève.

- Enchantée Miss Johanson. C’est un très bon choix de carrière. Ca demande du travail, de l’abnégation et une certaine résistance, mais c’est très gratifiant. C’est vraiment un beau métier.

Les années d'études, le tavail et les sacrifices qu'elle avait du consentir pour arriver la ou elle en était ne lui avait jamais paru être un fardeau. Ed avait toujours voulu faire ce métier, et elle retrouvait dans la jeune fille l'enthousiasme qui l'animait au même âge pour la même raison. La même raison? l'impression de tristesse - à la réflexion était ce de la peur? de la détresse? - qu'elle avait ressentie lorsque Joyce était descendue de l'arbre lui revint en mémoire.

- Et ça demande aussi de croire en ceux que vous soignez.
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Ven 10 Avr - 15:54

    Joyce vogua un instant encore dans es souvenirs. Elle ressentait tout le temps une douce tristesse quand elle pensait à avant. Si revoir la mort dans ses rêves n'était jamais agréable pour la jeune fille, elle aimait la mélancolie qu'elle ressentait quand elle repensait à la complicité qu'elle avait avec ses frères. Mais cette époque était révolue. Ils avaient tous grandit et murit. Peut-être bien que la demoiselle se retrouverait seule un jour. Liam parlait déjà fiançailles, pour le plus grand déplaisir de sa cadette. Elle ne voulait pas attendre parler de la petite amie de son frère, avec qui elle ne s'entendait vraiment pas bien. Cette pimbêche ne supportait même pas les glaçon fait avec de l'eau du robinet, elle n'avait absolument rien à faire dans la famille. Quand la verte et argent avait exposé son point de vue à Liam, celui-ci avait hurlé contre sa soeur que sa vie sentimentale ne la regardait pas et qu'il avait le droit de sortir avec qui il voulait, que Joyce n'était qu'une enfant, et que pouvait-elle comprendre à ses choses là ? Bien trop attaqué à son frangin, la jolie blonde n'avait pas insisté même si elle avait était grandement peinée de sa réaction. Mais peut-être avait-il raison... La sorcière chassa toute ses sombres pensée de sa tête pour écouter les remarques d'Edwina sur la carrière qu'elle voulait entreprendre.

    « - Enchantée Miss Johanson. C’est un très bon choix de carrière. Ça demande du travail, de l’abnégation et une certaine résistance, mais c’est très gratifiant. C’est vraiment un beau métier. »

    Oui, un beau métier. La Lady n'en doutait pas une seule seconde. Miss Johanson travaillait dur pour réussir. Son père n'avait pas approuvé son choix de carrière. Il aurait voulut qu'elle travail au ministère, comme lui, et qu'elle devienne une grande auror. Mais elle, elle ne voulait pas tuer des gens, elle voulait les aider et les soigner. Faire naître la douleur et la souffrance chez les autres, ça n'était définitivement pas la passion de Joyce. Du moins pas de cette façon. C'était une peste qui avait toujours de bonnes idées pour se venger des autres, mais elle n'était pas cruelle non plus. Elle était juste dans ce qu'elle faisait. Équitable. Si ses frères avait compris que leur cadette ne suivrait pas leur trace, son père avait mit plus de temps.

    « - Et ça demande aussi de croire en ceux que vous soignez. »

    Un petit rire fêlé s'échappa d'entre les lèvres de la Serpentard. Croire les autres. Ce n'était pas vraiment son genre, de faire confiance aux gens. Et c'était grâce à cette méfiance qu'elle en était arrivée là aujourd'hui. Elle avait l'habitude de soupçonner les autres, et elle considérer comme normal que les gens soient ainsi. Ne pas se livrer, c'était se protéger. Ne pas croire aveuglément, c'était survivre. De toute évidence, la médicomage avait compris qu'avoir confiance en les autres n'était pas dans la nature de la belle. Elle faisait rarement confiance. A sa famille, à Tamara, et ce n'était guère tout.

    « - J'ai du mal à faire confiance aux gens. Je ne crois pas facilement ce qu'on me raconte. Il parait que je suis trop méfiante. C'est vrai, mais c'est une précaution indispensable dans ma vie. »

    A peine Joyce avait-elle dit ses mots qu'elle sentit très nettement le changement d'atmosphère. L’air était devenu plus lourd, le ciel plus sombre, le soleil avait à présent complètement disparut. Un nœud se serra dans le ventre de la demoiselle. Elle avait toujours eut un sixième sens plus développé que la moyenne. Et là, elle sentait la catastrophe. Une seconde plus tard, d’un discret mouvement, rapide, elle avait sortit sa baguette et sa serrer entre ses doigts pâles. Elle jeta des coups d’œil furtif autour d’elle. L’ambiance était pesante, comme si quelque chose allait exploser à la figure des deux sorcières. Soudain, le sang de la blondinette ne fit qu’un tour. Elle le vit apparaître soudainement. Les traits de son visage fins se figèrent d’horreur. Celui qui hantait ses cauchemars venait de transplaner à quelques mètres d’elle. Un sourire malveillant se dessina sur son visage. D’autres ombres apparurent aussi. Ils étaient cinq. Mathiew était venu avec son escorte. La jeune fille aurait voulut crier, elle aurait voulut s’enfuir avec Edwyna, très vite et très loin d’ici. Elle n’en était pas capable. Immobile, silencieuse. Elle était l’agneau, et les cinq hommes étaient des loups. D’énorme loup qui avait apparemment prévus un festin. La présence de la médicomage ne sembla pas les gêner, mais quelque part, elle rassurait Joyce. Ils s’avancèrent lentement vers les deux sorcières. Edwyna avait, elle aussi sortit sa baguette. Mais à 2 contre 5... Mathew et ses hommes se stoppèrent, pointant leur baguette sur Joyce qui avait levé la sienne. La Serpentard retrouva enfin la parole.

    « - Joyce, enfin...
    - Partez. Vous n’avez rien à faire ici ! »

    Sa voix était étranglée par la peur. Mathew et es acolyte éclatèrent de rire. Elle essaya de paraître plus assuré qu’elle ne l’était, raffermit sa voix et se tourna vers la médicomage. Sa voix était tranchante, dure. Elle était bien moins assurée qu’elle ne le laissait paraître.

    « - Je vous présente la principale raison de ma haine des Gryffondors. Mathew. Un incapable lâche qui compense son manque de talent magique par de la cruauté stupide en abattant un homme qui à le dos tourné par exemple. »

    Les traits de l’ancien Gryffondor changèrent en une seconde. Son rire avait disparut et il semblait sur le point de se jeter sur la jolie blonde pour la déchiqueter de ses prpres mains. Quand elle se tourna vers lui, Joyce lui a dressa un sourire narquois. Si un regard pouvait tuer, tout les deux seraient mort depuis longtemps.
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Lun 13 Avr - 2:50

Ed allait répliquer que croire en ceux que l’on soignait n’impliquait pas forcement de leur vouer une confiance aveugle quand soudain quelque chose avait changé dans l’atmosphère. Bien sur, le fait que le soleil ai disparu – elle se demanda d’ailleurs ce qui lui avait pris de rester si tard – c’était autre chose qui s’était abattu sur l’élève et la médicomage. Comme une lourde Chappe posée sur l’air. Pourtant, en dehors des aiguilles de sa montre qui avançaient, rien n’avaient changé dans le bois. A part peut être … la jeune blonde qui avait sorti sa baguette magique et jetait autour d’elle des regards nerveux.
Ed fronça les sourcils. Quelque chose n’allait pas, et c’était sensible jusque dans l’air ambiant. Sa main se posa nonchalamment dans sa poche, se doigts frôlant le contact rassurant de la baguette.
UN craquement caracteristique retentit soudain, brisant le silence qui s’était installé, du moins tel que le percevait la rouquine dans l’ambiance spéciale qui planait, accompagnant l’apparition d’un homme. Non en fait, pas d’une seul. Ils étaient 5. Et tous s’étaient avancés vers la blondinette sans sembler accorder la moindre attention à la rouquine.


« - Joyce, enfin...
- Partez. Vous n’avez rien à faire ici ! »

La voix et le regard de la jeune fille laissaient apparaitre sa peur. Elle se tourna soudain, vers la médicomage, alors que les hommes laissaient éclater un rire qu’elle devinait malsain, pour les présenter. Elle semblait avoir vaincu sa peur, mais Ed devinait, ou plutôt imaginait, que ce n’était qu’une façade.

« - Je vous présente la principale raison de ma haine des Gryffondors. Mathew. Un incapable lâche qui compense son manque de talent magique par de la cruauté stupide en abattant un homme qui à le dos tourné par exemple. »

Ed avait sortit sa baguette pour s’avancer à hauteur de la jeune fille. Elle n’était pas très grande, mais savait parfois en imposer.

- Ca suffit. Je ne sais pas ce qui se passe mais ça va s’arrêter immédiatement. IL n’est pas question que vous vous en preniez à une élève de Poudlard.

Elle se tourna vers la jeune fille.

- Quand à toi, range cette baguette. Haine ou pas, un médicomage n’est pas la pour se battre. Du moins pas comme ça. Son but est de sauver des vies, pas d’en prendre. La haine est un sentiment que tu ne peux pas te permettre.

Son regard revint au groupe qui avait gentiment écouté. Du moins pour l’instant.

- Allez vous en et nous ferons de même.


La en revanche, elle avait un doute. Les premiers mots de l’homme montraient qu’il cherchait le jeune fille, il n’était donc pas certain qu’il la laisse partir.

- Et malgré mon discours, sachez que je ne ferai pas l’économie de moyen de défense si c’était nécessaire.
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Mar 14 Avr - 17:23

    La médicomage s’avança à la hauteur de Joyce qui ne bougeait pas. Elle avait planté ses beaux yeux bleus dans les yeux si sombres de Mathew, le défiant en silence. Tout les deus se jetaient des regards noirs.

    « - Ca suffit. Je ne sais pas ce qui se passe mais ça va s’arrêter immédiatement. IL n’est pas question que vous vous en preniez à une élève de Poudlard. »

    De toute évidence, les hommes ne comptaient pas écouter Edwyna. Ils étaient venu jusqu’ici pour Joyce, et elle le savait, c’était d’ailleurs ce qui l’effrayait tant, et il ne repartiraient pas comme ça, sur les simples conseils d’une femme qui ne leur faisait sûrement pas peur. La rousse se tourna alors vers la verte et argent qui campait sur ses positions.

    « - Quand à toi, range cette baguette. Haine ou pas, un médicomage n’est pas la pour se battre. Du moins pas comme ça. Son but est de sauver des vies, pas d’en prendre. La haine est un sentiment que tu ne peux pas te permettre. »

    Un rire sans joie s’échappa des lèvres de la demoiselle. La haine était un sentiment qu’elle avait en elle, qu’elle le veuille ou non. Elle aurait préféré passer l’éponge, mais comment oublier un odieux meurtre ? Comment oublier que l’homme qu’elle avait en face d’elle lui avait mit une telle claque qu’elle en était tomber à terre et que là, elle avait vu le corps de son père et, plus loin le corps de son chère frère qu’elle aimait tant ? Comment aurait-elle put oublier ça ? Personne ne le pouvait, même ave la meilleure volonté du monde ! La jolie blonde savait que, vu ses ambitions, elle devait sauver des vies et pas tuer des gens. Mais après tout, elle n’avait aucunement l’intention de tuer l’auror. Elle ne comprenait pas pourquoi il l’a poursuivait ainsi. Il avait déjà ruiné sa vie, alors pourquoi ne pas la lâcher ?! C’était un malade, un tordu ! Jamais il ne la laisserait en paix, jamais elle ne pourrait faire un deuil digne de ce nom ! Mais le voulait-elle vraiment après tout ?

    « - Je voudrais ne pas le haïr, je voudrais ne pas avoir envie de cogner sur tout ce qui bouge quand je revois son visage dans mes pensées. Mais on n’oublie pas ce qu’il à fait. Et moi, je ne veux surtout pas l’oublier. Je veux qu’il paye !! »

    En disant les denier mots, la demoiselle avait fait un pas en avant. Elle savait qu’elle n’était pas prête pour un combat Mathew avança à son tour et Joyce fut saisit d’une incroyable envie de lui sauter dessus et de le cogner jusqu'à ce que mort s’en suive.

    « - Allez vous en et nous ferons de même. »

    Les hommes éclatèrent de rire. Un rire froid et cruel qui fit froid dans le dos de Miss Johanson. Un frisson parcourut son échine. Elle ne l’avouerait jamais, mais elle était morte de peur. Cette peur était mélangeait à la haine. Son sang bouillait dans ses veines, elle voulait le tuer, elle voulait qu’il paye enfin pour ce qu’il avait fait, et elle ne laisserait rien ni personne ne l’empêchait d’accomplir enfin sa vengeance. Ils ne partiraient pas, et apparemment, Edwyna le savait aussi bien que la jeune sorcière.

    « - Et malgré mon discours, sachez que je ne ferai pas l’économie de moyen de défense si c’était nécessaire. »

    Mathew et ses sbires firent un nouveau pas en avant. Il lâcha enfin Joyce des yeux pour tourner le regard vers la médicomage.

    « - J‘aurais presque peur, c’est vrai qu’a cinq contre deux... et encore, la gamine n’est pas considéré comme une sorcière à part entière. »

    L’insinuation sur les pouvoirs et le talent de Joyce ainsi que le regard malveillant dont il fixait Edwyna donne à Joyce la force d’agir. Comme si elle ne pouvait pas rester là, sans rien faire, avec le sentiment d’attendre la mort, sans prévenir personne, et en une fraction de seconde, elle leva sa baguette, la dirigea vers Mathew et lança le sort.

    « - Stupéfix ! »

    Comme si il c’était attendus à cette réaction et avec une rapidité surprenante, presque inhumaine, l’auror dévia le sort. Il se tourna une nouvelle fois vers la Jolie blonde qui rageait intérieurement. Ce n’était pas dans ses habitudes d’échouer et là, elle ne pouvait pas vraiment se le permettre. Il s’avança vers elle, ils n’étaient séparés que part quelques mètres, trois tout à plus. Sans qu’elles ne s’en rendent comptes, les deux femmes étaient à présent encerclées, il n’y avait pas de possibilité de fuite. Elles allaient mourir toute les deux et personne ne saurait comment. La jolie blonde se tourna vers la médicomage.

    « - Je suis tellement désolé... si vous ne m’aviez pas rencontré, vous ne seriez pas dans cette situation. »

    Bien que l’heure ne se prêtait guère aux excuses, c’étaient peut-être la dernière chance que Miss Johanson pourrait avoir pour le faire donc pas le temps de lambiner. Mais que faire ? Elle ne baissa pas sa baguette pour autant.

    « - Qu’est-ce que tu me veux Mathew ? Tu a détruit ma vie ! Je ne vos pas ce que je peux te donner de plus !
    - Je crois que tu ne m’aura jamais assez donner. Je ne vois pas sur qui je pourrai rejeter a faute, à part toi, alors je vais te faire payer tout ce que j’ai endurer...»

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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Sam 18 Avr - 3:21

« - Je voudrais ne pas le haïr, je voudrais ne pas avoir envie de cogner sur tout ce qui bouge quand je revois son visage dans mes pensées. Mais on n’oublie pas ce qu’il à fait. Et moi, je ne veux surtout pas l’oublier. Je veux qu’il paye !! »

Ed n’aimait pas la tournure que prenait la conversation. Elle n’était pas du genre à se jeter tête baissée dans la bagarre, non plus que de se mettre inconsidérément en danger, mais la réponse sibylline de l’étudiante dévoilait une histoire ancienne … et dangereuse. L’homme était visiblement aussi haineux que la jeune femme, et ses acolytes ne le laisseraient pas pour un duel fair-play. Quoi que, ce pouvait être une idée.
Une petite voix, sous la chevelure de la médicomage, répétait sans cesse de sans aller en vitesse et d’emmener la jeune fille avec elle. Mais un pressentiment lui disait que ce n’était pas la bonne solution. La façon de se comporter des hommes, leur attitude hautaine et sure d’eux, tout cela rappelait à la sorcière les manières des mangemorts. Se pouvait il que la jeune fille ou sa famille se soit mis sur la liste noire des partisans du mage noir ? Raison de plus pour ne pas laisser les choses aller plus loin. D’ailleurs, l’eut elle voulu qu’elle n’était pas sure d’y être autorisée. De plus, elle s’en serait voulu toute sa vie.
La médicomage avait fait vœux de sauver des vies, et cela incluait apparement les jeunes filles devant faire face à un groupe de furieux de la baguette. D’autant que les hommes en questions n’avaient apparement pas été impressionné pour son discours pourtant extraordinairement terrifiant.


« - J‘aurais presque peur, c’est vrai qu’a cinq contre deux... et encore, la gamine n’est pas considéré comme une sorcière à part entière. »

Un sourire moqueur naquit sur les lèvres de la sorcière qui toisa l’homme de toute sa taille. Sans être très grande, Ed pouvait regarder les gens de haut en levant les yeux.


- Je dois vous reconnaitre cet extraordinaire courage de venir à 5 pour vous en prendre à « une demie sorcière », et ce en pensant qu’elle serait seule. C’est extrêmement dangereux, ça, de venir attaquer à 5 contre 1 une élève. J’envie votre extraordinaire mépris de votre vie pour remplir votre mission. Et à part ça ? Combien de veracrasse avez-vous écrasez dans le mois qui vient de s’écouler ?

Visiblement une tirade dont l’homme avait su tirer tout le mépris. Il toisa d’un regard particulièrement malveillant la médicomage. Étonnamment, même pour elle, Ed n’avait pas peur. C’était d’ailleurs ce qui lui causait le plus de craintes. Si elle commençait à ne pas avoir peur, elle allait faire des bêtises. Mathew allait sans doute dire (ou faire) quelque chose, quand la jeune blonde intervint. Elle lança un stupéfix parfaitement exécuté aux yeux de la rouquine. Mais l’agresseur le para d’un geste rapide.
Ed fronça les sourcils. Cette façon de faire n’était pas celle des mangemorts. Ils auraient immédiatement répliqué.
Les comparses de Mathew en avaient profité pour les encercler.


« - Je suis tellement désolé... si vous ne m’aviez pas rencontré, vous ne seriez pas dans cette situation. »

La medicomage s’était instinctivement mise de dos par rapport à Joyce, et se tourna avec un sourire rassurant qu’à vrai dire elle ne sentait pas vraiment. C’était un don chez elle que de montrer un sourire sincère, même quand elle avait des doutes sur l’issue. Elle n’avait pas peur, certes, mais n’en était pas pour autant rassurée sur leur avenir immédiat.
Tout en se tournant vers la jeune fille, elle passa la sangle de son sac au dessus de sa tête et le laissa tomber au sol. Il génerait moins. La mini lady revint à son ennemi apparement intime
.

« - Qu’est-ce que tu me veux Mathew ? Tu a détruit ma vie ! Je ne vos pas ce que je peux te donner de plus !
- Je crois que tu ne m’aura jamais assez donner. Je ne vois pas sur qui je pourrai rejeter a faute, à part toi, alors je vais te faire payer tout ce que j’ai endurer...»

Encore une phrase à double sens. Visiblement, chacun reprochait à l’autre quelque chose de nature a faire naitre entre eux une haine réelle et durable. Mais Joyce semblait ignorer de son coté ce qui l’avait motivé chez son ennemi.

Pendant qu’ils discutaient, Ed, qui n’avait pas lâché son sac, le lança d’un geste sec vers l’un des comparses. Comme prévu, l’homme pensa d’abord à éviter l’objet, pendant que la médicomage lançait sur son voisin, tout en fonçant épaule en avant et en saisissant le bras de l’élève, un expelliarmus qui parti a peine une fraction de seconde avant le protego. L’homme fut propulsé en arrière pendant que l’épaule de la médicomage faisait connaissance avec elle ne savait quoi de l’anatomie supérieure de l’homme qui avait reçu son sac. Elle s’effondra sur lui alors qu’il tombait en arrière et lâcha la jeune femme pour reprendre son équilibre. Le cercle était brisé, mais elles disposaient de très peu de temps pour réagir.


- Joyce ! Dépêche !
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Ven 24 Avr - 19:07

    Mathew et ses hommes fixait Edwyna et Joyce d’un regard malveillant. La jeune sorcière savait parfaitement que cette histoire finirait mal, très mal. Et elle en avait peur. Depuis sa naissance jusqu’à aujourd’hui, sa vie avait était un véritable conte de fée que n’importe qu’elle personne saine d’esprit aurait envié, si l’ont excepté les quelques passages obscurs comme la mystérieuse disparition de Tamara ou encire le meurtre de son frère et de son père. A part ça, la jolie blonde avait une vie magnifique ! Mais aujourd’hui, tout avait commencé à déraper !! Ce n’était pas normal, la journée n’aurait pas dut se passer comme ça ! Tout aurait dut aller aussi bien que d’habitude ! Mais non. Miss Johanson ne croyait absolument pas à l’existence d’un destin inéluctable, elle ne croyait pas que tout était déjà fait, déjà choisit, et que peut importe ce qu’elle ferait elle ne pourrait rien y changer. Donc elle e croyait pas non plus que son destin était de mourir ainsi, oublier de tous. Donc elle ne se laisserait pas tuer. Elle l’avait décidé. La situation aurait presque put paraître comique, mais la menace d’une fin trop proche aux yeux de la jolie blonde ajouté un peu de noirceur à la journée. Et si elle mourrait aujourd’hui, qui se souviendrait d’elle ? Qui serait là pour pleurer sa triste fin précoce ? Ses frères ? Et en dehors de ça, qui ?! La jeune femme se rendit alors compte qu’elle, qui pensait être bien entouré, était en faite seule. A part sa famille, elle n’avait plus personne. Sa meilleure amie, si elle était toujours en vie, était introuvable et ne daignait pas donner de ses nouvelles, ses amis... Pouvait-on réellement appelait ça des amis ? Elles les aimaient bien, mais, ils ne la connaissait pas, et était incapable de la comprendre comme Tam la comprenait. Combien de temps faudrait-il pour que les autres se rendent compte qu’elle n’était pas rentrée et que personne ne savait où elle se trouvait ? Combien de temps avant que son corps soit retrouvé ? Une petite voix siffla alors dans sa tête, d’un air sévère. *La ferme ! Tu ne vas pas mourir ! Tu n’as pas le droit de mourir avant d’avoir vu Tamara ! Tu dois le dire ce que tu pense des vacances qu’elle à oser prendre sans te prévenir !!* La penser que Joyce devait dire à son amie le fon de sa pensée lui donna un étrange courage. Pas question pour elle de mourir aujourd’hui. Déjà elle était trop jeune, et ensuite elle ne se laisserait pas tue par un abrutit du genre de Mathew. C’était une sorte de principe. Mais comment sortir de cette situation pour le moins embarrassante ? Transplaner ? A tout les coup, les autres aurait prévus le coup... Et inconsciemment, la belle n’avait aucune envie de fuir. Elle savait bien qu’elle n’était pas prête à affronter toute une équipe d’auror tel que Mathew et ses acolytes, et elle n’avait pas prévu de le faire ; mais si la fuite était une réaction normal face à un tel danger, elle n’était pas dans les habitude de la verte et argent. Elle toisé le vert et argent d’un regard de mépris, ne voulant pas céder sous le regard haineux dans il la fixait.

    Edwyna eut alors une réaction des plus approprié. Mais c’était une solution à laquelle Joyce n’aurait jamais pensé. Et elle s’en voudrait sans doute toute sa vie de ne pas y avoir songer ! La médicomage rousse lança son sac sur un homme qui se tenait en face d’elle. De haute taille, blond et musclé, on aurait put penser qu’il régirait autrement, mais non, au plus grand plaisir des deux sorcière, il se baissa pour éviter le sac, mais après tout, c’est ce que ferait tout être humains normalement constitué. Elle attrapa de bras de la Serpentard en fonçant sur un autre homme, lui jeta un sort qui l’envoya loin, et tomba sur l’homme qui c’était prit son sac dans la face, se releva vivement et se tourna vers la jolie blonde qui était épaté par tant de réflexe. Elle avait peut-être mis son plan au point pendant que Mathew et Joyce «discutait», ou alors elle avait agit à l’instant. Dans les deux cas, ça avait plutôt bien marcher vu que les cercle que les aurors formaient auparavant était brisé. C’était le moment où jamais de s’enfuir. Cette fois, il ne fallait pas faire la difficile, elle pourrait combattre plus tard. La voix d’Edwyna la fit redescendre sur terre.

    « - Joyce ! Dépêche ! »

    Effectivement, ce n’était guère le moment de lambiner. La sorcière hocha la tête et s’élança à son tour, rejoignant la médicomage. Toute les deux s’élancèrent alors dans une course folle, slalomant entre les arbres. Derrière elles, déjà, les hommes tentaient de les rattraper. *J’espère qu’ils ont le cœur bien accroché...*

    « - Plus vite ! Il faut la rattraper ! Je suis pas venu ici pour rien ! »

    Joyce adorait courir ! Elle courait vite et sans trop se fatiguer. En tant que Ballerine de talent, elle avait l’habitude de fournir un imposant effort, elle était souple, légère, rapide... Les autres balourds pouvaient s’accrocher, elle ne se laisserait pas battre si facilement, elle accéléra, un sourire naissant bien involontairement sur son visage. Elle avait toujours aimé cette sensation, un peu de danger, un peu d’excitation, un peu de peur, mais elle s’amusait quand même. Derrière, les aurors s’essouffler déjà, elle pouvait les entendre souffler comme des bœufs ! Si elle n’avait pas était si occupée à courir, elle aurait éclaté de rire devant tant de ridicule. Elle regarda plutôt si Edwyna arrivait à suivre et elle vit que oui, elle se débrouillait même plutôt bien. Cependant, et contrairement à Joyce, à une tel allure elle ne tiendra pas longtemps, la blondinette elle-même ne pourrait pas tenir ainsi deux heures... Alors ils fallait vite trouver une solution, sans compter que des racines pouvait les faire trébucher à tout instant... Il fallait transplaner, mais où ? La jolie blonde, toujours en courant, s’adressa à Edwyna.

    « - On ne peut pas rester ici ! Je ne veux pas fuir mais là, c’est la seule solution ! On ne tiendra pas longtemps ! Vous avez une proposition ? »

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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Lun 27 Avr - 20:56

La jeune femme avait finit par sortir de la lutte visuelle avec son ennemi intime en voyant la médicomage entrer en action. A dire vrai, Ed ignorait même pouvoir agir de cette façon. Mais son action, aussi inattendue soit elle, avait permis une ouverture qui leur donnait l’occasion de sortir du piège qu’avait crée les agresseurs.
Joyce courait avec aisance, même dans le terrain pour le moins inégal de la forêt. Visiblement, elle était entrainée et savait garder son souffle. Ce n’était pas le cas de la médicomage. Ed suivait, ayant pris soin au cours de sa vie de garder la forme, mais n’avait ni l’âge ni la forme de sa camarade de fuite. Si elle suivait pour l’instant, la rouquine savait que ça ne durerait pas. Elle ne pourrait pas soutenir longtemps l’allure, meme sans son sac. D’ailleurs en parlant de son sac, elle n’aurait plus qu’a tout ramasser de nouveau. A moins qu’elle ne se décide enfin à aller acheter ses ingrédients dans une boutique. Mais malgré le nombre de fois ou elle avait pris cette décision, elle continuait d’aller chercher elle-même les plantes dont elle avait besoin. Dans une autre situation, elle aurait sans doute maugrée, mais pour l’instant elle avait besoin de tout son souffle pour suivre la foulée de Joyce.
Comment en était elle arrivée, fille des gens les moins partisans du monde magique, qui avait toujours reussi à se tenir à l’écart de toute faction, qui avait donné à ses enfants ce gout de la sécurité (pour vivre bien vivons cachés), à se battre aux coté de l’Ordre du phénix et de courir pour échapper à …. A qui déjà ? elle ne le savait même pas !


« - On ne peut pas rester ici ! Je ne veux pas fuir mais là, c’est la seule solution ! On ne tiendra pas longtemps ! Vous avez une proposition ? »


Ed s’arreta soudain, tentant de saisir la jeune fille par la manche pour la stopper également.

- Attendez …. Attendez attendez attendez ! D’abord …


Elle regarda derrière elle. Les hommes de Matthew continuaient à leur courir après. Il fallait avant tout se mettre à l’abri.

- Qui sont-ils ? pourquoi vous courent-ils après ?

Après tout, avant de savoir ou aller, il fallait bien savoir ou ne PAS aller !

- Chez moi. Mon cabinet est referencé mais ils ne savent pas qui je suis donc …
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Lun 4 Mai - 18:42

    [ :evanou J'ai aucune excuse, j'ai honte de moi ! Shame on me ! J'avais même pas vu ta réponse !! Mille fois désolé et en espérant que tu me pardonne cet oubli ainsi que mon bouletisme !! Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] 789392 ]

    Avec un regard derrière elle, Joyce constata que les poursuivants des deux sorcières avaient du mal à suivre la cadence imposé par la plus jeune. Si la situation avait était plus propice, elle leur aurait rit au nez avec un bon "Ah la hoooonte !!!" bien sentit. Mais ce moquait ainsi d'adversaires aussi redoutable n'était sans doute pas la première chose à faire pour rester en vie. La jolie blonde s'abstint donc de tout commentaire,e se concentrant plutôt sur les branches basses des arbres. Elle en esquiva une, manqua de tomber mais, ayant un excellent équilibre, se rattrapa souplement à la branche, s'élançant ainsi de plus belle. Miss Johanson savait qu'accélérait le rythme n'était pas la meilleure solution, ni pour Edwyna, ni pour elle, mais c'était plus fort qu'elle. Elle se sentait poussé des ailes, stimulé par le danger, l'adrénaline, et la liberté soudaine qui faisait pulser son sang dans ses veines. En son fort intérieur, elle ne pouvait pas s'empêcher de bien s'amuser. Elle était en train de ridiculiser une bande d'auror qui soufflait comme des bœuf alors qu'elle même avait envie de rire aux éclats. Et ses lourdaud prétendaient être capable de l'arrêter ? Il auraient au moins put se renseigner sur le passé de la demoiselle, ils auraient ainsi sut qu'en tant qu'ancienne danseuse, il en fallait beaucoup pour la fatiguer. Et puis, la belle avait toujours aimé bouger, elle ne supportais pas de rester passive. Alors elle faisait de la danse, de la course, de l'équitation... Et quand elle ne s'adonner pas à divers activités sportive, elle sortait avec ses amies, jouait du piano ou de la batterie. Alors ils auraient dut se douter que la défier ainsi à la course était une mauvaise idée. Quel manque de professionnalisme ! Et ça, sa se dit auror ? Les gens ne manque pas de toupet... Mais Joyce fut tiré de sa rêverie un brin moqueuse par la médicomage qui ses stoppa soudaine t la tira par la manche pour que la jeune sorcière s'arrête à ses côtés. Avait-elle déjà besoins de reprendre son souffle ? Ce n'était guère le moment mais comme la blondinette ne se sentait pas de la porter, elle s'arrêta à ses côtés, tout à surveillant d'un regard critique, l'avancée de leurs "amis". Cependant, quand la femme parla à la jeune sorcière, elle ne semblait pas si essoufflé que ça. Intrigué, la demoiselle écouta attentivement les raisons de cet arrêt.

    « - Attendez …. Attendez attendez attendez ! D’abord …
    - Qui sont-ils ? pourquoi vous courent-ils après ?»

    Joyce ouvrit de grand yeux, en regardant la sorcière comme si elle était folle. Toute les deux avait, à leur trousse une bande de pseudo sorcier qui voulait la mort d'une gamine de dix-sept ans, et elle, elle voulait savoir de qui ils s'agissait et pourquoi il s'acharnait ainsi sur ce que le ministère appelait une "sorcière de premier cycle". Mais Serpentard se rendit soudain compte que, pour quelqu'un qui n'avait pas suivit l'histoire depuis le début, on pouvait facilement perdre le fil. Et puis la médicomage voulait peut-être savoir aussi où elles seraient en sécurité... Et pour ça, il faudrait connaitre l'identité de ses hommes. Mais quand même... La blondinette jeta un regard peu rassuré sur Mathew et ses hommes.

    « - C'est si pressé que ça ? Je vais faire court. L'année dernière, mon père et mon frère on était tué par ses homme. Mathew dit que mon père à tué sa mère quand il était enfant, et maintenant, il se venge sur ma famille, et surtout sur moi parce qu'il est fou et aussi parce que je suis la cadette des Johanson, la seule fille de la famille ou je ne sais quoi encore ! Ils sont auror et travaillent pour le ministère, mais ils auraient plus leur place à Ste Mangouste...»

    Joyce avait volontairement omis de dire que son chère père et son défunt frère, ainsi que ses deux frères encore en vie, étaient des mangemorts. L'information n'était peut-être pas indispensable... Quand au lieu ou aller... On ne pouvait pas transplaner dans l'enceinte de Poudlard, aller chez la jeune sorcière était exclu, elle n'allait tout de même pas mené une médicomage chez ses mangemorts de frangins ! Après tout, elle ne savait rien d'Edwyna et ne lui faisait bien entendu pas confiance. En tout cas pas assez pour ça.

    « - Chez moi. Mon cabinet est référencé mais ils ne savent pas qui je suis donc… »

    Joyce réfléchit à la proposition une seconde. Une seconde, pas plus. Le temps pressait et Mathew et ses sbires se rapprochaient déjà, leur baguette à la main. La demoiselle pouvait voir le rictus méprisant sur le visage haineux de son ennemi, il semblait croire qu'il avait gagner la guerre. Un sourire en coin étira les lèvres de la belle. Un sourire un peu vicieux, moqueur... Elle murmura alors, plus pour elle même qu'autre chose :

    « - Pauvre Mathew... Tu n'as rien gagné, crois moi. Cette histoire n'est que le début... d'un long combat. Je sais que je gagnerais. »

    Quand l'auror vit les lèvres de la jeune sorcière remuait silencieusement, il accélérât la cadence, et la haine de ses yeux s'accentua encore avec l'air moqueur de la blondinette. Il n'avait aucune intention de se laisser faire. Mais Miss Johanson n'avait pas abdiquer non plus. Elle reverrais Mathew, elle serait prête quand elle se trouverait face à lui et là, avant de l'envoyer pourrir à sa place, en enfer, elle lui fera payer toute les souffrance que les Johanson ont dut endurer en silence par sa faute.

    « - Je propose qu'on ne traîne pas là. Si vous voulez d'autre explication, je vous les donnerais, mais une fois en sécurité... »

    Par précaution, et parce qu'on ne sait jamais, Joyce sortit sa baguette et la serra étroitement entre ses doigts fins, prête à lancer à un sort en une fraction de seconde.

    [On continue le Topic ailleurs ? =)]
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MessageSujet: Re: Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.]   Un sourire, une aide précieuse. [Fe Edwyna A.] Play211Jeu 7 Mai - 4:40

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