Discution littérature (FE Hécate Sinistra)

Je déglutis. J'étais muette. Je ne savais que répondre... J'avais encore des tas de vers de ce chère Baudelaire, mais aucuns ne me venait au lèvres.
J'avais les yeux rivés sur ce Serpentard, j'avais rougie bêtement...

-Hécate Sinatra... c'est tous ce qui réussit à sortir...

Matthieu regardait avec des yeux tendres sont interlocutrice, il avait encore un peu de mal à calmer ses ardeurs. La plupart des élèves regardait dans leur direction impressionné et étonner des vers qu’ils avaient sortis avec ferveurs. Mais, il avait toujours les yeux tournés vers elle puis celle-ci d’une voix douce :

-Hécate Sinatra...

Matthieu mit quelque temps à comprendre ce qu’elle venait dire. Il croyait qu’elle lui donner le nom d’un notre poète. Mais comme aucun vers ne sortit, il comprit bien vite qu’elle lui donnait son nom. Il est vrai qu’il n’avait même pas encore sut à qu’il parlait. Elle lui avait ouvert son cœur avant de lui dévoiler son nom. Il sourit et dit d’une voix apaisante.

-Quel beau nom, doux mélange de poésie et de mythologie. Je ne peux égaliser avec le mien. Matthieu Brenel.

Il dévorait des yeux ceux de la poétique Poufsouffle.

Je sortais de ma rêverie. Je remarquais que la plus part des filles nous regardaient. Certaines avaient le coude sur le dossier et le menton en appui sur leur bras, les yeux pétillants et un sourire goguenard aux lèvres, sûrement celles qui n'avaient pas compris tous les vers mais qui savaient que c'était beau. D'autres qui ne comprenait pas ce qu'il se passait ou encore, des jeunes filles qui me souriait l'air de dire: "Allez, fonce! T'as vu ce qu'il vient de te dire?" Même la bibliothécaire avait les larmes aux yeux.

Je restais muette, non pas parce que je n'avais rien à dire à ce Matthieu, mais bien parce qu'il m'avait coupé le souffle. Je ne pouvais pas avoir rêvée le regard qu'il m'avait jeté tout au long de sa dernière récitation. Je ne pouvais pas imaginé que ce poème ne m'était pas destiné. Il l'avait dit avec tant de ferveur que même si ce poème n'avait pas existé, c'est ainsi qu'on l'aurait inventé. J'espérais au plus profond de mon être qu'il ce soit passé quelque chose à cet instant. J'avais tellement chaud que je décidais de me lever et d'ouvrir la fenêtre. Je désirais ardemment qu'il me rejoigne et qu'il fasse un geste pour confirmer que ce n'était pas un rêve. Si rien ne se passait, je partirais sous la pluie me rafraîchir et remettre mes idées en places.

De tous les garçons de Poudlard, il fallait que je tombe sur un Baudelairien Serpentard et qui venait de Drumstrang. Plus j'y réfléchissait, plus je me disais que cela m'importais peu. Qu'il était et qu'il resterait toujours Matthieu, mon poète.

Elle ne disait mot, ne fit aucun geste. Matthieu était encore surpris de la tournure qu’avait prit les événements. Il était arrivé là, seul et morne, ensuite il avait hait cette personne qu’il ne connaissait pas, il lui avait récité des vers cher à son cœur. Et maintenant, la passion de la poésie était partit pour en faveur d’un autre sentiment. Une chaleur se déversait dans tout son corps et il n’osait bouger de peur que le moindre geste change le court des événements. Tout autour de lui, il vit des filles hébété, affalé sur leurs bras à regarder cette scène : comme si ce n’était déjà pas assez dur. Elle s’était levé avec empressements et avait rejoint la fenêtre qu’elle avait ouverte en grand. Se levant doucement, il avait peur que trop rapide, elle s’en aille. Il avait l’impression qu’irrémédiablement, il lui échapperait comme l’eau qui échappe des mains inexorablement. A quelques centimètres derrière elle, il murmura ces quelques mots d’un poète sorcier oublié:

-Je ne peux dire c’est quelque mots, r petits mots que milles hommes ont dit à une femme
Car me rabaissant à cela, ce serait prendre la voix de la facilité
Et de plus, je réduirais mon sentiment un mot trop faible, ce qui serait infâme
Je ne puis donc te dire que je t’aime, car c’est mots ne sont pas assez.

Tremblant encore de tout son corps, il n‘osait pas regarder Hécate dans les yeux, petit froussard qu’il est, il avait peur de sa réaction, de sa réponse. Bien qu’il prononcé ses vers à voix basses, des gloussements des filles proches trahissaient qu’elles avaient entendu cette déclaration.

-Je ne peux dire c’est quelque mots, r petits mots que milles hommes ont dit à une femme
Car me rabaissant à cela, ce serait prendre la voix de la facilité
Et de plus, je réduirais mon sentiment un mot trop faible, ce qui serait infâme
Je ne puis donc te dire que je t’aime, car c’est mots ne sont pas assez.

Mon coeur s'était arrêté. J'avais eu un soubresaut, il avait mis sa main sur mon épaule, sûrement la réaction typique. Brusquement sans comprendre ce que mon cerveau envoyait, je me retournais et passait mes bras autour de son coup. je m'était ma tête contre son épaule, il était un peu plus grand que moi. Je lui murmurais:

-Et si ce n'était qu'une farce, qu'un sentiment moqueur?
Que ferions nous si tout s'arrêtait et que le monde changeait?
Ce sentiments serait-il toujours le même?
Les choses sont-elles ainsi ou faudrait-il que le coeur de deux amants déchiré s'arrête?

Poème sans queue ni tête qui n'avait pas d'auteurs...

Elle s’était retourné et l’avait enlacé. Une odeur enivrante le submergeait et la chaleur qui habitait ses entrailles ne cessait d’augmenter, c’était maintenant un véritable brasier. Elle lui avait susurré d’autre vers qu’il l’inquiétait et il reprit se quelques vers d’un poète dont il ne se souvenait plus le nom :

-Enfin, ma chère amie, vous me dites que vous l’aimez
Que lui aussi vous à aussi renvoyer la pareille
Et pourtant vous ne sombrer pas dans l’émerveille
De peur que vos sentiments soivent erronés

Enfin ma chère vous bloquez votre tendresse
Ayant peur de trop faire et ne sachant si vrai
Sont vos sentiments, vous vous entêtez
A craindre le pire et à ne pas succomber à la délicatesse

Mais songez plutôt au contraire
Imaginez-vous seulement que ce paire
Soit fait pour vous et que vos sentiments sont purs

Mais songez un instant alors qu’il est votre âme sœur
Ne vaut –il pas mieux tenter le tout et de tout cœur
Ne vaut-il pas mieux acceptez et profiter au-delà du sur

Car ma douce amie, il vaut mieux être déçut par des sentiments que l’on croyait fort
Que d’être seule sans avoir tenter et se demander pour toujours s’ils ont a eu tort.

Il avait posé ses mains sur ses hanches fermait les yeux attendant sa réplique.

Il avait posé ses mais sur mes hanches

-Alors mon cher et tendre,
Je poserais un pieux baiser
Sur ces lèvres...

Je le regardais et pour la première fois prenais l'initiative. Je l'embrassais avec fougue.

-Alors mon cher et tendre,
Je poserais un pieux baiser
Sur ces lèvres...

Il avait gardé les yeux fermés à ses mots et quand il entendit le dernier, il se figeât quelque peu. Un baiser ? Parlait-elle seulement de poésie ou allez t’elle vraiment l’embra… Elle répondit bien vite à son interrogation et l’embrassa fougueusement. Matthieu lui rendit son baiser par pur instinct car encore troublé par cette vague de plaisir qui déferlait à l’instant et qui faisait battre son cœur à tout rompre. Ouvrant les yeux après ce délice, il regardait les yeux étincelants de la belle Hécate qu’il tenait toujours par les hanches. IL entendait quelques gloussements derrière lui mais il n’y fit pas attention, il dévorait du regard celle qui serrait prés de lui. Et reprit avec une voix un peu troublée par l’émotion

-La poésie allume bien des feux et je ne vois pas comment l’éteindre et même si je le savais, je l’oublierai.

Il la regardait avec encore plus d’envie si cela était possible, n’ayant qu’une idée en tête, lui offrir un autre baiser.

Je me rendais compte que je ne savais rien de lui, je l'embrassais une dernière fois e lui prenait la main. Je me précipitais à l'extérieure sans prendre nos affaires et me dirigeais dans les couloirs nous arrivâmes bientôt à mon favoris.

-Où vas-t'on, il n'y a personne ici!

(le rp se continue a la salle sur demande)

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