Cela faisait longtemps que je n'étais pas venus la voir, elle m'avait manqué. Ma mère, ma chère mère qui avait disparus depuis si longtemps. Elle me manquait énormément. Je marchais dans les dédales de petit chemins crée par les foules. Je me dirigeais vers un mausolée. Rien que ça! En même temps il avait l'argent, et il fallait qu'il le montre. Ma mère avait toujours était simple, mais le mausolée était à la hauteur de sa beauté, au moins cela on ne pouvait le lui reprocher. Il était en marbre blanc, un magnifique marbre, avec des aspérité émeraudes, comme ses yeux. Tout autour, il avait fait planter des lis qui étaient arrosées tous les jours sous peine de licenciements... Le pourtour de la balustrade était dorée et le tout reposé sur une herbe qui paraissait tendre. A l'intérieur, le marbre était sculptés, des lierres se répandaient de part et d'autres, occupent tous les murs, c'était du lierres en or. Le cercueil de ma mère reposait au centre, il était enfermée dans une élévation. Au dessus, la silhouette de ma mère avait été représenté sur du cristal. Sa beauté resterait toujours intacte. Je tournais autour et je m'arrêtais. Je baissais la tête et lui dit:
-Je suis désolé de ne pas être venus maman, mais il y a eu tellement d'histoires. Je ne me suis toujours pas réconcilier avec père. Isen est devenus une petite peste bien que je ne l'ai pas revue depuis deux ans, mais je ne me fais pas de soucies pour elle, elle deviendra comme lui. Désolé de parler d'eux de la sorte. Tu sais que ça n'a jamais marché entres nous.
Je prenais une grande inspiration puis ajoutais, plus sereine:
-Tu te souviens de ce que tu ma dis, un soir, lorsque j'étais petite? Et bien, ça c'est réalisée. Il s'appelle Matthieu, il est beau, gentil et poète, si tu avais vu comment tout à commencer, tu rirais. Il s'est assis à côté de moi et tu connais mon aversion pour les Serpentards? Je lui ai envoyer des vannes sanglantes et finalement je l'ai vraiment mis en rogne. Il n'y avait plus aucuns bruit dans la bibliothèque et il a réciter une poésie maman. Et nous avons échanger, chacun à notre tour, du Baudelaire. Et finalement, je ne peut plus me passer de lui. Il a une vengeance à accomplir et je serais avec lui. Il rejoindra Tu-sais-qui si il en a besoin. Ce n'est pas ce que tu voulais pour moi mais c'est ce que tu avais vu, n'est-ce pas? Je l'aime maman, je n'ai jamais aimer quelqu'un d'autre comme cela. J'ai besoin de son contact et même là alors que je suis avec toi, il me manque, mon corps brûle de son absence. C'est normal? Oui, ça doit l'être.
Tu me manques maman, terriblement, j'aurais tellement besoin de toi dans ce moment là. Je sais que tu l'aurais aimer malgré tout.
J'embrassais la joue de cristal et sortait du mausolée. J'errais dans le cimetière comme un fantôme lorsqu'un nom attira mon attention: "Brenel Yunalesqua née le 11 Juin 1964, avec un sourire tu es née et tu en as fait ton leitmotiv" Etait-elle la mère de Matthieu, je m'agenouillais et regardais la tombe:
-J'aurais aimer vous rencontrer dans d'autres circonstances mais voilà, le sort en a décidé autrement. Je prendrais soin de votre fils. Je l'aime, croyez en mes sentiments pour lui. Je ne le laisserais pas quoiqu'il advienne. Vous étiez magnifiques et je comprend d'où vient la beauté de Matthieu. Merci, même si je ne vous ai pas connus, vous prenez une grande place dans mon coeur...
Je me relevais et prenait la direction de la sortit lorsque je vit Isen devant moi, mon père derrière elle. Elle ne m'accorda qu'un seul regard qui ne ressemblait pourtant pas à ceux que je connaissais, mon père, lui, aucun. Je partis, la tête haute, sans me retournée mais je sentie le regard de ma petite soeur pesée sur mon coeur. Que voulez dire ce regard presque suppliant?