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![Une lettre qui a tout brisé...[fe] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: Une lettre qui a tout brisé...[fe] Sam 6 Juin - 17:21 | |
| Pour la première fois de ma vie, je recevais une lettre à Poudlard. Etrangement, elle venait de ma petite soeur Isen, je l'avais lu et dans un premier temps, j'avais crus qu'elle se fichait de moi:
« Hécate, je sais que cela va te paraître bizarre mais s'il te plaît, lis jusqu'au bout.
Je n'avais pas réaliser jusqu 'alors combien la vie était dur. Depuis que je suis toute petite tu me hais parce que c'est de ma faute et que père n'avait d'yeux que pour moi par la suite, mais si tu savais à quel point je souffre aujourd'hui! Je devrais être à Poudlard depuis deux ans, je sais que tu n'y a pas fait attention et je ne t'en tiens pas rigueur. Je voulais vraiment connaître Poudlard mais au lieu de cela, je me retrouve à Drumstrang et j'ai peur Hécate. Père n'est plus le même. Il a faillit me frapper, il ne ne dors plus, ne mange plus... Il est devenus incontrôlable. Même qi je n'aime pas Drumstrang, je préfère être ici plutôt qu'à la maison. J'ai besoin de toi. Je sais que j'ai été horrible pas le passé mais nous sommes soeur et je ne peut le renier. Hécate, tu es la seule vers qui je peut me tourner. L'autre fois, au cimetière, j'aurais tellement voulus te serrer contre moi. Je veux partir de Drumstrang mais je n'ai pas la force ni le cour ge de me dresser contre père. Il serrait capable de me tuer. Toi seule peut m'aider. Au nom de notre lien, au nom de notre mère, je t'en supplie, Hécate, Réponds moi.
Ta petite soeur Isen.
Ps: Personne n'est au courant pour la lettre, essaie de me l'envoyer à la maison sous le nom de Misha Stanford, notre elfe de maison saura quoi en faire... »
Et puis en la relisant plusieurs fois, j'avais compris qu'Isen ne me mentait pas. Je voulais montrer la lette à quelqu'un mais en même temps, si je la montrais, Isen courrait un danger. Peut-être que Matthieu pourrait m'aider, il était aller à Drumstrang. Je décidais de lui répondre, elle avait raison, maman aurait voulu que nous nous entraidions. Je pris un parchemin et une plume que je trempas dans l'encrier, je commençais la première phrase:
« Isen, au début je n'y ai pas crus et puis j'ai relus et relus ta lettre et je me suis souvenue de ton regard au cimetière, et là j'ai été convaincu... »
Je m'arrêtais en cours de route car il était l'heure pour moi d'aller manger. Je posais donc ma plume et mit la lettre écrite par ma soeur ainsi que la mienne en sureté dans une poche de ma robe et me dirigeais vers la grande salle. |
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