Diner prés-mariage éclipsé par une nouvelle (FE : Hécate)

Le train venait à peine de d’arriver en gare. Le Poudlard Express crachait ses panaches de fumée habituels et les élèves sortaient tous pour rejoindre leurs parents. De ce train magique aux couleurs rouge et noire flamboyante sortit un jeune homme asiatique de la maison des Serpentards, une valise à la main. Il se trouva sur le quai, regardant les enfants rejoindre leurs parents. Le jeune homme, nommé Matthieu, ne s’attendait pas lui à être accueillit par son paternel. Il avait à moitié raison. Traversant la foule et les retrouvailles entre des élèves et leurs familles, Matthieu voulut sortir prendre un taxi mais un homme attendait devant le passage magique qui amenait du quai 9 ¾ à la gare Moldu. Il était grand et chauve, portait un smoking noir et une casquette de chauffeur et tenait un panneau marqué « Matthieu Brenel ». Matthieu s’approcha de l’inconnu et dit calment.

-Oui, c’est moi

Le jeune homme baissa sa pancarte et dit d’un ton formel.

-Bonjour Monsieur, je suis envoyé par votre père pour vous ramener. Il s’excuse de na pas l’avoir fait lui-même mais il prépare les préparatifs du repas de ce soir.

Matthieu regarda l’homme qui n’était que son chauffeur et pensa à ce qu’il venait de dire. En effet, son père lui avait demandé de venir manger ce soir à la maison mais pas pour rien. Il avait aussi invité Hécate et pour parler du mariage. Fort heureusement, il savait que le père de sa douce se réjouissait de cette union. Pourquoi ? Parce que Matthieu était riche, de Sang Pur, lui comme le reste de sa famille sont allés à Serpentard (Enfin pour ceux qui sont allés à l’école de Poudlard) et de plus, la famille Brenel était une famille connu en Grande Bretagne et considérait comme des détesteurs de Moldu. Toutes ses raisons faisaient que le père d’Hécate se réjouissait. Pour lui, vu ce que lui avait dit sa bien aimée, Hécate était un poids et une déception. Alors un tel mariage était une aubaine. Mais Matthieu ne comprenait pas la réaction de son père. Celui-ci n’avait plus adressé la parole et son attention à son fils depuis des mois. Alors pourquoi était-il enjoué à l’idée que Matthieu se marie ? Pourquoi son caractère avait-il aussi radicalement changé ? Il avait envoyé à son fils un chauffeur, une lettre où il l’invitait au repas en disant qu’il était heureux de revoir son fils et celle qu’il aime.

-Si Monsieur veut bien me suivre.

Le chauffeur prit gentiment la valise des mains du Serpentard et invita le propriétaire à traverser le portail magique. Matthieu le fit. Il était maintenant dans la gare Moldu et le chauffeur qui passa après lui emboita la marche. Le futur marié le suivit, ne faisant pas attention à son entourage. Il était bien trop occupé à réfléchir à ce repas et aux motifs de son père. Il arriva bien vite à sa limousine. Le chauffeur mit sa valise dans le coffre et ouvrit la porte pour que Matthieu puisse entrer. Le voyage se déroula dans le silence le plus totale. Arrivé chez lui, le chauffeur amena la valise sur le seuil de la porte de chez Matthieu et lui serra la main avant de prendre congé. Matthieu frappa à la porte, il était une tellement embrouillé et pensif qu’il avait oublié que c’était chez lui et qu’il n’avait en aucun cas besoin de frapper avant d’entrer. La porte s’ouvrit bien vite. Matthieu avait naturellement baissé la tête s’attendant à voir son elfe de maison mais il ne vit que des pieds. C’était son père. Celui-ci ne lui laissa pas le temps de réagir et l’enlaça de toutes ses forces.

-Ah…je suis heureux que tu sois enfin arrivé, mon fils.

Matthieu n’en crut pas ses oreilles. Un moment, il crut même que c’était un Mangemort déguisé tellement sa réaction était étrange et mal venu vu le comportement qu’il avait avant adopté. Il lâcha enfin son fils.

-Tu as fait bon voyage fiston, j’espère que…non d’un écrabouille, il est tard, nos invités ne vont pas tarder, monte changer et mettre une tenu à la hauteur de la situation.

L’elfe de maison arriva dans le hall d’entré. Elle prit la valise devant la porte et la monta au premier. Matthieu la suivit, toujours à l’ouest. Il ne comprenait plus rien. Son père depuis la mort de sa mère n’avait à l’agar de Matthieu que de l’indifférence voir de la haine. Mais là, il avait changé du tout au tout. Qu’est-ce qui pouvait bien se passer dans sa tête. Il entra dans sa chambre avec son elfe de maison, Darbora. Celle-ci ouvrit la valise de son maitre et commença à sortir les affaires et à ranger les propres et mettre au lavage les salles. Matthieu lui s’approcha de son lit et prit une grande robe d’un noir de jais posée sur les couvertures. Il commença à retire la robe qu’il portait pour mettre la neuve que lui avait acheté son père mais il ne put s’empêcher de poser la question à Dabora.

-Sais-tu pourquoi père et ainsi.

L’elfe de maison répondit au tac o tac.

-Le maitre est simplement heureux de cette union et il aime son fils, Monsieur.

-Nan, je veux dire pourquoi a-t’il changer de comportement à mon égard ?

Un silence s’installa dans la pièce. Matthieu jeta un regard à sa chambre. Elle était vide de style personnel, d’aménagement, de poster ou même de photo. En même temps, le Serpentard n’y avait encore presque jamais été. Puis, son elfe de maison brisa le silence.

-Il avait peur et maintenant il est rassuré.

Matthieu regardait Dabora sans la comprendre. Comment ca son père avait peur ? Mais de quoi ? Et qu’est-ce qu’il le rassuré ? Le mariage ? L’elfe de maison se tourna et dit timidement.

-Le maitre n’a pas eu une vie très simple. Il hait la magie noire et la vengeance qui le rattache à sa famille, cette institution qui a brisé le cœur du maitre. Il ne voulait plus en entendre parlait ? Mais depuis la mort de maitresse, il vous voit sombrer dans la magie noire, la haine, le mal et le désir de vengeance. Il avait peur que vous deveniez quelqu’un de mal.

Matthieu regardait toujours Dabora sans comprendre. Son père ne lui en voulait pas d’avoir laissé sa mère sans aide de sa part. Il en voulait à son fils de vouloir se venger ou plutôt de sombrer dans la mal pour cela. Mais alors pourquoi un tel revirement de situation. Matthieu n’avait toujours pas abandonné ses projets. Comme à son habitude, le futur marié cru que Dabora lut dans ses pensées car elle reprit aussitôt

-Mais le maitre voit cette union d’un bon œil. Il vous voit heureux et épanouit. Et même s’il trouve la décision un peu hâtive. Il veut à tout prix vous voir combler et puis lui aussi c'est marié rapidement avec la maitresse.

L’elfe de maison termina de ranger les affaires de Matthieu avant de s’en aller. Ce dernier ne bougea pas d’un pouce toujours étonné des révélations qu’il venait d’apprendre. Alors c’était pour ca que son père avait été aussi distant avec lui. C’était aussi pour ca son changement de comportement. Mais une sonnette au hall retentit sortant Matthieu de ses réflexions. Sa douce était arrivée. Il courut descendre dans le Hall. Son père attendait avec Dabora. Arrivé au seuil, l’elfe de maison ouvrit la porte.

Hécate était rentrée chez elle le vendredi midi. Bien que son père l'accueil à bras ouverts, il restait tout de même un malaise entres eux. Elle entra avec sa valise et vit sa petite soeur qui lui sauta au cou.

-Hécate, comme je suis heureuse!
-Moi aussi Isen! Comment tu vas?
-Bien, il n'y a eu aucuns problèmes jusque là! Son comportement avec moi est redevenus celui d'avant!
-J'espère que tu ne changeras pas pour autant!
-Non ne t'inquiètes pas!

Leur père entra dans la pièce et en frappant des mains leur dit:

-Allez! Préparez-vous! Surtout toi Hécate! Nous allons partir dans une heure!

Hécate regarda sa soeur légèrement étonnée puis parti dans sa chambre. Elle cherchait dans sa garde robe une tenue qui serait de rigueur mais n'en trouvait pas. Son père frappa à la porte et entra après le « oui » d'Hécate.

-Tu n'es toujours pas habillé? Ta soeur est presque prête...
-Je ne sais pas quoi me mettre!
-Ce n'est qu'un dîner! Tu n'as qu'a mettre l'une de tes robes que tu utilisais lors des Brunchs!
-Elles sont toutes trop petites...

Hécate s'était retourné, les cheveux mouillés encadrant son visage. *Elle ressemble tant à Eli* se dit-il. Il attrapa alors la main de sa fille et l'emmena dans une pièce ou des robes de femmes étaient exposés.

-Ce sont là toutes les robes de ta mères! Choisit celle qui te plaît.

Hécate les regarda avec émerveillement, son père sortit, laissant sa fille seule. Elle regarda chaque robe, les toucha, les humecta. Elle s'étonna même de sentir sur l'une d'elles l'odeur de sa mère. Elle s'arrêta sur celle-ci, la contempla et la revêtit. La robe était dans les tons émeraudes. Elle avait une ceinture pour cintré la poitrine. Le col était haut, juste en dessous du cou et les manches était rattachées par une perle argenté, elles se fendaient en deux et tombé sur les épaules. La robe était courte, elle s'arrêtait au dessus du genoux. Elle se maquilla, se coiffa et sortit enfin de la pièce où sa mère se préparé autre fois. Elle descendit les grands escaliers de marbres de la demeure et lorsque son père entendit les talons résonnaient sur les marches et qu'il se retourna, il en eu le souffle coupé, Hécate ressemblait tant à sa défunte femme. L'elfe de maison ouvrit la porte et une voiture les attendait. Une belle limousine noir. Son père avait beau détesté les moldus, ici, il ne pourrait pas y échapper. Il était dans une ville de moldus. Il y eu environ une heure de route pendant laquelle personne ne parla. Nous entrâmes dans la fameuse ville de moldus où Matthieu habitait, le chauffeur s'arrêta devant une grande maison. Le chauffeur s'arrêta devant une grande maison. Le chauffeur ouvrit la porte aux Sinatra et il repartit aprés que Mr Sinatra lui ait dit quelques mots. Il revint auprès de ses filles et sonna. Ce fut une Elfe de maison qui leur ouvrit la porte.

-Bonsoir! Dit-elle. Si vous voulez bien me suivre, mon maître vous attend dans le grand salon.

Lorsqu'elle eut finis sa phrase, Matthieu achevait de débouler dans les escaliers, il eut un grand sourire en voyant sa douce, quand à elle, son sourire rayonna. Il serra la main du père d'Hécate qui se présenta:

-Eowin Sinatra, le père d'Hécate et voici Isen.

Il montra sa seconde fille qui fit la bise à Matthieu. Quand à Hécate, elle l'enlaça oubliant les tracas qui l'assaillaient depuis qu'elle l'avait vu.

-Bonsoir! Si vous voulez bien me suivre, mon maître vous attend dans le grand salon.

L’elfe de maison les conduisit au salon. Matthieu les suivait derrière eux, silencieux. Sa douce était vraiment belle ce soir, cette robe lui allait à ravir. Mais Matthieu se sentait quand même un peu gêné. Etait-ce parce qu’il était face au père qu’Hécate avait mainte et mainte fois critiqué et dont il se faisait une image démoniaque si l’on peut dire ? Ou était-ce l’impression qu’il avait que quelque chose n’allait pas pour Hécate ? En effet, il la sentait distante ? Etait-ce la présence de ce père qu’elle avait tant hait ? Ou le stress de rencontrer le père de Matthieu. Il n’en savait fichtrement rien et ne serrait pas au bout de ses surprises. Arrivé au salon, le paternel de la futur jeune marié se présenta.

-Eowin Sinatra, le père d'Hécate et voici Isen.

Matthieu fit la bise à Isen et se fit enlacé promptement par sa bien aimé. Il suffoqua à moitié mais il était un peu rassuré. Puis le jeune homme arriva au niveau du père de ce dernier et ce fut le père de Matthieu qui fit les présentations.

-Eh bien, je vous présente mon unique fils, Matthieu Brenel et je me présente également, Sin Brenel.

Matthieu serra la main de son beau-père et le père du Serpentard fit un baisemain aux deux jeunes filles avant de serrer la main au paternel d’Hécate. Puis il reprit avec un grand sourire sur les lèvres.

-Je vous remercie d’avoir accepté mon invitation d’en ma modeste demeure. J’avais si hâte de rencontre la demoiselle qui a volé le cœur de mon jeune fils, ainsi que de partager la joie des futurs noces avec la belle famille. Après tout seront nous aussi bientôt lié par leur union. Mais laissons cela de côté, me feriez-vous l’honneur de vous asseoir à ma table, le diner est prés et il ne faudrait pas qu’il refroidisse.

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Les protagonistes allèrent s’asseoir à une table en chêne vernie et présentent des moulures dignes d’une table de roi. Matthieu se trouva d’un côté de la table, Hécate et Isen étaient en face de lui et à chaque bout étaient assis les deux pères. L’elfe de maison amena bien vite les plats sous des cloches à chaque invité : c’était du canard à l’orange aux épices d’orient accompagnés d’un gratin de pomme de terre sauté. Mais Matthieu n’avait vraiment pas faim et il avait eu du mal à détournés son regard de sa bien aimé. Les hôtes mangèrent et discutèrent. Matthieu avait l’impression que son père et celui d’Hécate s’entendaient à ravir. Leurs coupes disparaissaient à vue d’œil et bientôt les deux hommes s’appelèrent par leurs prénoms et échangèrent quelques politesses. Mais Matthieu regardait Hécate toujours avec insistance et il avait l’impression que quelque chose n’allait pas. Il jeta des regards un peu interrogateurs à sa sœur mais celle-ci lui fit des signes de la tête lui faisant comprendre qu’elle ignorait ce qui pouvait bien ainsi la tourmenter. Le père de Matthieu s’était levé son verre à la main et clama fort.

-Je porte un toast à nos deux enfants qui vont bientôt s’unir à jamais par des liens sacrées que nul homme ne pourra briser et souhaite faire par de mon enthousiasme face à cette union. Je ne vois pas qu’elle événement pourrait être plus importante que celui-ci dans la vie de nos enfants.

Tous se passait pour le mieux. Le repas se déroulait sans embuches et le père d'hécate et de Matthieu discutaient ensembles, ils buvaient encore et toujours. Hécate mangeait discrétement, la tête baissé. Matthieu ne cessait de jeter des regards à cette dernière et à sa soeur.

-Je porte un toast à nos deux enfants qui vont bientôt s’unir à jamais par des liens sacrées que nul homme ne pourra briser et souhaite faire par de mon enthousiasme face à cette union. Je ne vois pas qu’elle événement pourrait être plus importante que celui-ci dans la vie de nos enfants.

Hécate faillit s'étouffer lorsque le père de Matthieu se leva et porta ce toast. Hécate se tenait droite, la tête baissai. Matthieu s'était précipité vers Hécate, Isen aussi. Quand aux pères ils ne bougaient pas. ce qui pouvait être plus important? Hécate le savait elle...Elle regarda Matthieu les yeux mouillé et mit sa main sur la joue de son fiancée.

-Je... Je... Je suis enceinte!

Le mot avait claqué dans l'air tel un fouet. Plus personne ne bougeait. Hécate se leva et sortit dans le jardin, elle se mit à pleurer. Dans la pièce de précédemment, Matthieu était tétanisé. Hécate savait, elle se remémora tout, le jour où il l'avait fait, son retard dans ses menstruations et l'infirmerie... "Vous êtes enceintes!" ses mots se répercutait dans la tête d'hécate depuis le vendredi midi où Madame Pomfresh le lui avait annonçé après les quelques examens qu'elle lui avait fait passé. Hécate s'en voulait terriblement... Elle ne voulait même pas savoir comment ils réagissaient, elle voulait juste être seule...

Les pères chatonnaient presque mais Matthieu ne fit pas attention à cela. Hécate lui faisait peur. Pourquoi ne bougeait-elle pas ? Puis elle baissa sa tête si rapidement que Matthieu se précipita à son chevet. Il voulut marmonner un petit « sa va ? » mais Hécate avait déjà posé sa main sur la joue du Serpentard. Son regard était si triste, si implorant. Matthieu était parcourut de frisson et plus que tout autre chose, il paniqué. Qu’est-ce qui pouvait bien mettre sa douce dans un tel état. Le verdict tomba comme la hache du bourreau.

-Je... Je... Je suis enceinte!

Matthieu ne bougea pas. Quel était son état d’esprit ? Imaginez que le sol s’ouvre en deux et vous aspire, que le chaos, l’infinie, le vide vous envahisse, que le froid se mêle à la solitude, à la crainte et au désespoir. Imaginez cela et vous serrez encore loin du ressentit du futur père. Il ne bougea pas quand sa douce s’en alla dehors, il ne bougea pas non plus quand Isen posa sa main sur l’épaule de la statue sans vie et sans force qu’était devenu Matthieu. Rien, rien en lui ne bougeait. Il ne tremblait plus, ne cillait plus. Son cerveau s’était comme déconnecté à la nouvelle. Père…il allait devenir père. Il s’assit par terre, machinalement sans y penser, sans le remarquer. Se yeux étaient certes rivés vers le sol mais il ne voyait rien. Certes des murmures envahissaient la salle mais il n’entendait rien. Son cœur ralentit, sa tension descendit. Son cerveau était concentré que sur une chose : la petite voix qui disait « Père…père…père…père ! ». Matthieu se sentait partir dans le vide. Il avait l’impression que tous ses sens le lâchèrent. Il les avait toujours mais ils ne lui transmettaient plus rien ou plutôt Matthieu s’en fichait. Quels mots auraient put expliquer son état d’esprit. Peur…non, la peur fait fuir, ce qu’il ressentait l’empêcher même de réagir. Le désarroi, non plus, ce n’est pas qu’il ne savait quoi faire, il ne savait plus rien du tout. Son monde, sa réalité, tout ce qu’il croyait fixe s’était détruit à ses pieds. Il se laissé plongé dans les méandres de son cerveau mais une main le happa et sortit des ténèbres. Matthieu eut l’impression de se réveiller d’un long sommeil. Celui qui l’avait secoué ainsi n’était autre que son père.

-Matthieu !

Son paternel secoué celui-ci. Puis voyant à nouveau une lueur dans ses yeux, il reprit.

-Matthieu, qu’est-ce que tu fais ! Lève-toi ! Tu vas être père ! Réjouit toi bon sang et va rattraper ta future femme.

-Mais…

-Il n’y a pas de mais qui tienne. Je t’ais eu deux plus tard que toi. J’ai paniqué comme toi, j’ai été déboussolé, effrayé. J’ai eu peur d’être un mauvais père, que tout change d’en ma vie mais j’ai passé tout cela maintenant et c’est à toi de le faire. Fils, sache que pas une seule fois, j’ai regretté d’être père. Tu ne le serras pas non plus. Vas maintenant, elle aussi est perdue. Elle a besoin de toi, tu as besoin d’elle.

Matthieu eut beaucoup de mal à tout intégrer puis il se releva doucement et regarda Hécate à travers la fenêtre. Elle était assise là, seule. Matthieu fit un signe de tête à son père et avance vers le jardin. Ses jambes tremblaient et chacun de ses pas était un miracle d’effort et de volonté. Père, il allait être père. Il allait devenir le protecteur d’un nouveau né. Celui qui éduquerait, défendrait, chouchouterait, ré consolerait mais surtout aimerait. Il allait devenir …papa. Bizarrement, plus il se murmurait ses mots, plus le courage s’insufflait en lui. Il s’approcha d’Hécate et l’enlaça. Décidemment, elle état incroyablement belle ce soir. Le silence se fit entre eux. Aucun des deux n’avait assez de courage pour le briser. Que pouvait-il bien dire ?

-Je t’aime…je t’aime comme un fou depuis le premier jour. Dans un mois, nous allons nous marier, nous unir pour toujours. Ce cadeau que tu me fais sans l’avoir prévu est un don de la vie et un présage. J’aurais certes voulut qu’il arrive plus tard mais il est déjà là.

Il retourna Hécate et la prit par les épaules. Ses yeux émeraude scintillaient dans la nuit d’encre. Cette lueur, cette chaleur, cette lumière que son regard diffusait balaya tous les doutes de Matthieu avec une facilité incroyable.

-Hécate, je t’aime, j’élèverais ce bébé avec tout l’amour que je pourrais. Et lui comme toi, je ferais tout pour vous deux. Je suis jeune mais pas avare d’amour.

Il l’embrassa. Ce baiser n’était pas charger de passion ou de désir, juste d’amour, d’amour pur. Et jamais, non jamais, elle et celui qui attendait patiemment son heure dans son ventre, ne seront abandonnés de son attention, de son affection et de son amour.

Matthieu l'avait rejointe dans le jardin. Il l'avait enlacé et lui avait dit qu'il l'aimait. Matthieu l'avait attrapé par les épaules, l'avait retourné puis lui avait dit:

-Hécate, je t’aime, j’élèverais ce bébé avec tout l’amour que je pourrais. Et lui comme toi, je ferais tout pour vous deux. Je suis jeune mais pas avare d’amour.

Sa réponse réchauffa le cœur d'Hécate et elle ne pu s'empêcher de mettre sa tête dans le creux de l'épaule de Matthieu, s'était, bizarrement, à cet endroit précis qu'elle se sentait en sécurité. Elle parla faiblement.

-J'ai eu tellement peur... Tellement peur que tu soit en colère, que tous cela d 'effondre... J'ai cru que jamais je ne réussirais à le dire. Mme Pomfresh a dit qu'à ce stade rien n'était vraiment encore joué mais que ses analyses ne mentaient pas et qu'elles étaient toujours sûres à 100 pour 100. Tu ne peut pas t'imaginer à quel point j'ai redouté ce moment! J'ai eu si peur...

Matthieu avait resserré son étreinte et Hécate avait reprit:

-Si peur... Si peur... Je suis tétanisée, je ne sais pas comment m'y prendre, je ne sais rien! Je ne ferais pas une bonne mère! Regarde comment j'ai traité ma propre sœur! Il ne vit même pas que je m'inquiète déjà pour lui et notre avenir! Tu...

Matthieu venait de l'embrasser pour qu'Hécate se taise! Pourtant celle-ci n'avait pas à avoir peur. Elle quittait l 'école, l'année était terminée. Elle avait eu ses ASPICs avec mention, elle s'était réconciliée avec sa sœur et tout indiquait que l'atmosphère régnant entre son père et elle se déchargeait. Elle allait se marier à un être extraordinaire à ses yeux et la cerise sur le gâteau, elle allait être mère et Matthieu restait.
Toutes ces pensées en une fraction de minute, le temps qu'avait durée leur baiser. Sans criait garde elle frappa du poing l'épaule de son fiancé:

-Ça t'apprendras à me faire taire dans un moment pareil!

Elle regarda Matthieu dans les yeux, le sourire aux lèvre et lui dit:

-Nous allons être parents! Je pense que c'est la troisième chose la plus incroyable de toute ma vie!

Matthieu la regarda perplexe:

-Oui! La première: Notre rencontre, la deuxième: Notre mariage et la troisième: L'enfant à venir. Qu'espères-tu avoir? Une fille ou un garçon? Tu préfèrerais quoi?

Matthieu avait trouvé ses mots dérisoires face aux sentiments qui l’envahissaient. Certes il avait encore peur de l’avenir, il était toujours aussi terrifié face au mystère et aux épreuves qui l’attendait de pied ferme. Mais il s’avait maintenant que ces épreuves il les passerait avec sa douce, sa chère et tendre. Celle-ci s’était blottit au creux de l’épaule du Serpentard. La voir ainsi démunit et perdu donnait un peu plus de courage à Matthieu. Il doit être fort.

-J'ai eu tellement peur... Tellement peur que tu soit en colère, que tous cela d 'effondre... J'ai cru que jamais je ne réussirais à le dire. Mme Pomfresh a dit qu'à ce stade rien n'était vraiment encore joué mais que ses analyses ne mentaient pas et qu'elles étaient toujours sûres à 100 pour 100. Tu ne peut pas t'imaginer à quel point j'ai redouté ce moment! J'ai eu si peur...

Matthieu ne savait pas quoi dire. Lui aussi éprouvait crainte et doute. Mais elle ne serrait pas seule et Matthieu resserra son étreinte. Un certes de signe pour dire « Tout vas bien, je suis là ». Il en profita pour respirer la délicate odeur de vanille qui émanait de sa chevelure. Sa belle avait reprit

-Si peur... Si peur... Je suis tétanisée, je ne sais pas comment m'y prendre, je ne sais rien! Je ne ferais pas une bonne mère! Regarde comment j'ai traité ma propre sœur! Il ne vit même pas que je m'inquiète déjà pour lui et notre avenir! Tu...

Elle commençait à paniqué, à trembler de peur. Matthieu ne savait pas quoi faire pour la rassurer, la calmer. Ses lèvres qui tremblèrent, furent comme un appel aux siennes et Matthieu n’y résista pas. Il l’embrassa avec ferveur. Un baiser qui voulais dire tout à la fois : « calme-toi ! », « je suis là », « ne t’inquiète pas, « je t’aime ». Mais celle-ci se retira de son étreinte pour frapper son futur mari à l’épaule

-Ça t’apprendra à me faire taire dans un moment pareil!

Elle sourit enfin. Matthieu se réjouit intérieurement. Il avait gagné un sourire et il sentit que sa belle était plus assurée que tout à l’heure. C’est assez étrange comment un si petit être peut tout chambouler. Faire passer ses futurs parents des pleurs aux rires en quelques secondes alors qui ne les a pas encore vus.

-Nous allons être parents! Je pense que c'est la troisième chose la plus incroyable de toute ma vie!

Troisième ?

-Oui! La première: Notre rencontre, la deuxième: Notre mariage et la troisième: L'enfant à venir. Qu'espères-tu avoir? Une fille ou un garçon? Tu préfèrerais quoi?

Matthieu n’en savait fichtrement rien. Son esprit avait encore du mal à assimiler la nouvelle de sa paternité alors qu’en au choix du sexe du bébé. Il répondit donc au tac o tac.

-Une fille…je ne sais pas trop pourquoi mais une fille me plairait bien. C’est plus doux, plus calme.

Il regardait sa douce. Son sourire et ses yeux doux réchauffait le cœur et l’âme de Matthieu. Il allait se marier et devenir père. Il avait de quoi avoir peur. Il se lier à quelqu’un qu’il connaissait que depuis quelques mains par le mariage et par un enfant. Mais Hécate était la chose la plus précieuse qu’il avait, quoique dans neuf mois, cela allait peut être changé. Il regardait sa douce. Il bénissait le jour où il est entré dans cette bibliothèque et où il avait fait cette rencontre. Il souriait à repenser aux débuts pourtant mal partit et aux poèmes merveilleux qu’il s’était lancé avec passion, comme un langage que seul eux pouvait comprendre.

-Mais qu’importe son sexe, qu’importe son nom, qu’importe sa couleur de peau, e cheveux, de yeux. Je me fiche de tout cela. C’est notre enfant et tant que je serais à tes côtés et que ce bébé serra le fruit de notre union, de notre amour, je m’en suffirais.

Il mit ses mains sur ses hanches et susurra à son oreille.

-Je sais que ces mots n’ont plus aucunes valeurs, qu’ils ont été dit à tant de femmes et sans souvent de autant conviction ou de force que ceux que je veux te transmettre. Ce que j’éprouve pour toi n’est pourtant pas réductible à quelques mots mais il n’y a que ceux là : Je t’aime mon ange. Je t’aime de tout mon cœur, de toute ma chienne de vie. Je suis le plus heureuse des hommes à chacun de tes sourires et je m’étonne de tenir encore debout après l’extase que tu m’as fait subir en voulant devenir ma femme et en m’offrant un bébé. Je t’aime.

Il l’enlaça, l’embrassa lui susurrant ses trois mots des milliers de fois, ci ce n’est plus. Il voulait passer sa vie entière à lui dire ces mots et à en faire ces preuves. Mais de l’animation sortit le Serpentard de ses rêveries. Les autres les attendaient encore à l’intérieur. Les deux pères avaient l’air inquiet mais Matthieu leurs fit signe de ne pas s’inquiéter et le visage d4isen s’illumina à regarder le couple batifoler et ce réconforter. Matthieu avait de la chance d’avoir Hécate comme futur femme, beaucoup de chance. Il le savait et il ne la laisserait pas partir.

-Une fille…je ne sais pas trop pourquoi mais une fille me plairait bien. C’est plus doux, plus calme.

Une fille... Hécate voulait un garçon, elle... Mais elle ne dit rien, il n'aurait pas été bons de se disputer maintenant alors qu'ils venaient juste d'apprendre une grande nouvelle qui les avaient réunis encore plus...

-Mais qu’importe son sexe, qu’importe son nom, qu’importe sa couleur de peau, de cheveux, de yeux. Je me fiche de tout cela. C’est notre enfant et tant que je serais à tes côtés et que ce bébé serra le fruit de notre union, de notre amour, je m’en suffirais.

Cela rassura Hécate. Il s'en fichait du sexe. Par contre d'un côté cela lui faisait peur car il parlait de couleur de peau... Imaginait-il que ce ne soit pas le fruit des ses entrailles?

-Je sais que ces mots n’ont plus aucunes valeurs, qu’ils ont été dit à tant de femmes et sans souvent de autant conviction ou de force que ceux que je veux te transmettre. Ce que j’éprouve pour toi n’est pourtant pas réductible à quelques mots mais il n’y a que ceux là : Je t’aime mon ange. Je t’aime de tout mon cœur, de toute ma chienne de vie. Je suis le plus heureuse des hommes à chacun de tes sourires et je m’étonne de tenir encore debout après l’extase que tu m’as fait subir en voulant devenir ma femme et en m’offrant un bébé. Je t’aime.

Voila pourquoi Hécate l'aimait, pour toutes ses petites attentions, tous ce qu'il disait, tous ce qu'il pensait... Ils s'embrassèrent longuement lorsque Matthieu cessa. Hécate tourna la tête vers la fenêtre et vit son père, sa soeur et le père de Matthieu qui attendaient un peu inquiets mais avec un grand sourire sur leurs lèvres. Hécate posa une main sur le torse de Matthieu et se recula un peu pour voir les yeux de son époux:

-Nous devrions peut-être les rejoindre?

C'est ce qu'ils firent. Hécate entra et sa soeur posa ses yeux sur le ventre de celle-ci. Elle la serra fort dans ses bras ety lui dit:

-Je vais être Tata!

Son père lui lançat un timide sourire et Hécate lui sauta dessus, comme elle en avait si souvent rêvée.

-Tu va être grand-père...
-Je m'en réjouis Hécate... Il aura fallut 17 ans, un mariage et un bébé pour que tu me pardonne et que nous soyons une vrai famille.

Isen rejoignit sa soeur et son père dans leur étreinte.

-Nous devrions peut-être les rejoindre?

Matthieu acquiesça de la tête. Les pauvres ! Eux aussi venaient de recevoir un choc et de tels réactions de la part des protagonistes de l’histoire n’avait du en rien les rassurer sur l’heureux événement mais aussi sur les noces futures. Mais le sourire des jeunes tourtereaux avaient déjà rassuré quelque peu les autres. Matthieu sentit son cœur se réchauffer lorsqu’il voyait dans les yeux de son père de la fierté et du bonheur. Cela faisait si longtemps qu’il n’avait plus vu cela dans son regard et Matthieu avait l’impression que la période de froid entre eux était décidemment révolu. Mais pas que pour lui d’ailleurs. Arrivé devant la porte, Isen, la sœur d’Hécate dit

-Je vais être Tata!

Un enlacement fraternel se fit puis sa belle se tourna vers son paternel.

-Tu va être grand-père...

-Je m'en réjouis Hécate... Il aura fallut 17 ans, un mariage et un bébé pour que tu me pardonne et que nous soyons une vrai famille.

La famille Sinatra s’enlacèrent. Matthieu regardait ce beau spectacle avec un sourire fin et effacé, son père lui avait posé sa main sur l’épaule de son fils et admirait comme le futur marié les réconciliations. Un mariage et une future naissance peut faire bien des miracles. D’ailleurs, en parlant de famille, Matthieu se tourna vers son père et dit.

-Père, j’ai omis de te dire quelque chose.

Son père l’observait t avec un regard mi inquiet mi soupçonneux mais Matthieu reprit.

-Quand je suis allez voir mon grand-père, j’ai fait la rencontre de ma cousine Kaede. Elle n’aura plus que nous comme famille bientôt et j’ai pensé que…

-Qu’elle pourrait venir vivre chez nous…bien sûr. Sache que j’en avais déjà parlé avec ton grand-père, que je n’apprécie pas d’ailleurs, et que tout à déjà était planifié.

Matthieu sourit et se retourna vers la famille Sinatra. Dés que leur câlin se termina, Sin reprit.

-Je me réjouis de cette union ET de cette enfant qui arrive. Mais pour l’instant, je pense que notre diner nous attend.

Matthieu s’exécuta et cette fois ci, il avait bien plus d’appétit. Dans un mois, il allait se marier et dans neuf mois, il allait être père. Décidemment, Matthieu était née sous le signe de la précocité et du bonheur.

-Qu’elle pourrait venir vivre chez nous…bien sûr. Sache que j’en avais déjà parlé avec ton grand-père, que je n’apprécie pas d’ailleurs, et que tout à déjà était planifié. Je me réjouis de cette union ET de cette enfant qui arrive. Mais pour l’instant, je pense que notre diner nous attend.
-Oui en effet, les plats vont être froid!

S'exclama le père d'Hécate, celle-ci rit de bon coeur, les larmes aux yeux... Elle était tellement heureuse de tous ce qui se passait là, sous ses yeux. Sa petite soeur s'approcha d'elle et la serra en l'attrappant par les épaules.

-Hey! Cath', pleure pas...
-Ce sont des larmes de joies...
-Je comprend ma loutte. Allez séche moi ces larmes!

Hécate passa sa serviette en papier sous ses yeux et sourit à l'assemblée. Elle se rassit en face de Matthieu et mangea un peu moins tendue que les minutes qui avaient précédées.

-Donc Kaede va venir vivre chez vous? Depuis sais-tu que c'est ta cousine? Non, ne réponds pas, tu l'as dit!!

Elle fit un signe de tête qui voulait dire "qu'elle imbécile je fais!". En tout cas ça réplique ou sa mimique fit rire tout le monde, elle fit semblant de s'en offusquer et ria avec les autres. Ce repas ressemblais à présent, plus à un repas de famille qu'a un repas formelle. Hécate s'en réjouit et après une bouchée, elle souria à Matthieu, lui faisant ainsi le bonheur qu'elle éprouvait de faire partie de sa famille.

-Oui en effet, les plats vont être froid!

Matthieu s’était rassit et le repas avait reprit. Les conversations étaient intéressantes, les rires éclatèrent tout le long, des regards complices s’affichait, bref un vrai repas de famille. Matthieu baissa la tête. Famille…c’est tout ce qu’il lui avait manqué. Il n’avait jamais eu que sa mère et son père. Maintenant, bien que sa mère soit partie, il avait un grand père, une cousine, une femme, une belle famille et bientôt des enfants. Quelques larmes de joie perlèrent sur ses joues. Il était si heureux. Il essuya discrètement ces larmes avec sa serviette et reprit son repas comme si de rien n’était. Il se mit même a fredonné une petite chanson à voix si basse que seul lui pouvait entendre.

-Papillon de lumière, sous les projecteurs, papillon de lumière, revit dans vos cœurs, papillon de lumière, garde tout son mystère, papillon de lumière, n'a plus rien d'éphémère.

Le bonheur fait faire parfois des choses étranges. Puis quand le plat principal fit place au dessert qui n’était autre qu’une tarte au citron meringué, le père su Serpentard dit à son homologue de la famille ses Sinatras.

-Maintenant, parlons de chose sérieuse. Nos enfants vont se marier. Il faut savoir où, quand, qui serra invité etc. C’est très important !

Il prit bouchée du dessert et reprit avec humour.

-Après tout, l’amour ne fait pas les noces

-Maintenant, parlons de chose sérieuse. Nos enfants vont se marier. Il faut savoir où, quand, qui serra invité etc. C’est très important ! Après tout, l’amour ne fait pas les noces.

-Oui vous avez raison! Pour les invités, je pense que nos enfants seront les mieux placé pour faire la liste. Ensuite, je propose qu'on le fasse dans ma maison en Irlande, à moins que vous ayez déjà une idée.

Il regarda l'assistance et vu qu'on ne lui répondait pas il reprit:

-Ma maison est grande là-bas, j'ai un grand terrain qui sera parfait pour faire la fête, si il fait beau bien entendus, sinon cela se passeras dans le grand salon... Oui, j'y est grandement réfléchit Hécate. Je veux que tous soit parfait. -Dit-il en voyant le regard qu'Hécate lui lançait.- Te souviens-tu du petit temple qui se trouve non loin de la maison?
-Oui! Dit Hécate.
-Et bien, je pense que la cérémonie pourrait se faire là-bas. Quand à la dernière question, les enfants... Hum... Futurs mariés, seront à même de répondre.

Il lançat un regard à Hécate qui se retourna vers Matthieu, Hécate n'arrivait pas à croire que son père ait pensé à a peu près tout...

-Matthieu n'aura 17 ans qu'en Août et la législation en vigeur dit que les gens mineur n'ont pas le droit de se marier, donc, il faudra attendre que Matthieu ait 17 ans...

Sa voix avait légèrement diminuait car tout le monde avait tourné son regard vers elle. Elle regarda de droite à gauche et dit:

-Ba quoi?

Le père d’Hécate avait visiblement déjà prévu tout car il répondit directement

-Oui vous avez raison! Pour les invités, je pense que nos enfants seront les mieux placé pour faire la liste. Ensuite, je propose qu'on le fasse dans ma maison en Irlande, à moins que vous ayez déjà une idée.

Le père de Matthieu ne dit rien, il n’avait l’air de n’avoir aucune objection à cela. Le paternel de la mariée reprit donc

-Ma maison est grande là-bas, j'ai un grand terrain qui sera parfait pour faire la fête, si il fait beau bien entendus, sinon cela se passeras dans le grand salon... Oui, j'y est grandement réfléchit Hécate. Je veux que tous soit parfait. Te souviens-tu du petit temple qui se trouve non loin de la maison?

-Oui!

-Et bien, je pense que la cérémonie pourrait se faire là-bas. Quand à la dernière question, les enfants... Hum... Futurs mariés, seront à même de répondre.

-Matthieu n'aura 17 ans qu'en Août et la législation en vigeur dit que les gens mineur n'ont pas le droit de se marier, donc, il faudra attendre que Matthieu ait 17 ans... Ba quoi?

Tout le monde autour de la table avait tournés leurs regards vers la jeune mariée. Cette dernière rougit face à autant d’insistance. Matthieu était assez étonné qu’elle sache cela. Avait-elle fouillé et fait autant de recherche pour leurs noces, à propos de recherche, Matthieu était aux anges car hier, il avait trouvé la bague parfaite pour Hécate mais il voulait lui faire la surprise. Il dit donc

-En effet, mais il y a autre chose d’important qu’on a oublié…les alliances. J’ai déjà prit soin d’acheter celle d’Hécate.

Le père de Matthieu lui sourit, en fait, c’est ce dernier qui lui avait envoyé autant de magazine pour trouver la perle rare.

-En effet, mais il y a autre chose d’important qu’on a oublié…les alliances. J’ai déjà prit soin d’acheter celle d’Hécate.

Hécate se sentit mal, elle n'avait toujours rien trouvé... Elle se sentait nul... Elle voulait tellement que tout soit parfait, qu'elle en venait à ne rien trouver à son goût... Elle fit comme si de rien n'était.

-Hécate? Tu voudras que je vienne avec toi?

Elle regarda sa soeur avec un regard meurtrier...

-Oui, je veux bien!
-Hum... d'accord...

Elle fut la seul à remarqué le regard d'Hécate. Son père quand à lui, parla de la robe:

-Il y a une robe dans laquelle j'aimerais te voir pour le mariage, celle de ta mère. -Il regarda Matthieu et lui demanda:- Avez-vous pensez à faire un mariage avec un thème spéciale? Ou allez-vous le faire traditionnellement, en robe blanche, le riz, les costard noir.... Parce que je pense que cela pourrait être bien, un thème pour un mariage et ainsi cela vous éviterez de vous étaler, enfin ce que je veux dire par étalé c'est en faire trop! Et puis avec la demeure en Irlande je pense qu'un thème pourrait faire encore mieux! Hécate t'as déjà parler de la maison en Irlande?

Matthieu hocha négativement la tête. Eowin reprit donc:

-Elle se situe près d'un lac, dans le Cork Sorcier. Elle est immense, c'est un manoir....
-Ca suffit père...

Hécate l'avait interrompue, elle n'aimait pas qu'il fasse ainsi l'étalage de leur fortune. Elle regarda Matthieu et le père de celui-ci et sourie, un sourire timide.

-Vous n'avez qu'à passer faire un tour pendant les vacances. Je pense que ce sera plus simple... Ou même pour ce week-end, si cela vous tente. Il y a un raisaux de cheminée...

-Hécate? Tu voudras que je vienne avec toi?

-Oui, je veux bien!

-Hum... d'accord...

Matthieu regardait sa belle comme hypnotisait. Il entendait à peine le père d’Hécate déblatérait sur ses biens matériels.

-Il y a une robe dans laquelle j'aimerais te voir pour le mariage, celle de ta mère. -Il regarda Matthieu et lui demanda:- Avez-vous pensez à faire un mariage avec un thème spéciale? Ou allez-vous le faire traditionnellement, en robe blanche, le riz, les costard noir.... Parce que je pense que cela pourrait être bien, un thème pour un mariage et ainsi cela vous éviterez de vous étaler, enfin ce que je veux dire par étalé c'est en faire trop! Et puis avec la demeure en Irlande je pense qu'un thème pourrait faire encore mieux! Hécate t'as déjà parler de la maison en Irlande?

Matthieu fit non de la tête. A vrai dire, il n’aurait jamais crut que sa douce soit si…fortuné.

-Elle se situe près d'un lac, dans le Cork Sorcier. Elle est immense, c'est un manoir....

-Ca suffit père...

-Vous n'avez qu'à passer faire un tour pendant les vacances. Je pense que ce sera plus simple... Ou même pour ce week-end, si cela vous tente. Il y a un raisaux de cheminée...

Matthieu voyait bien que sa belle était gêné de voir ainsi son paternel faire l’inventaire de ses biens. Mais son propre père rattrapa les choses.

-Je suis sûr qu’elle est magnifique, merveilleuse. Et l’idée du thème et je trouve aussi, une très bonne idées. Mais il faut trouver lequ…

-La poésie.

Matthieu avait sortit ces mots sans même y réfléchir. Tout le monde avait tournés leurs regards dans sa direction, seule Hécate avait compris.

-Lorsque j’ai rencontrés Hécate, on a eu quelques…disons…problèmes de communication. Puis, on a partager des poèmes et c’est ainsi qu’on s’ait…charmé.

Matthieu se rappeler ce jour là, comme si c’était hier. Lui et sa belle avaient lancés des poèmes de Baudelaire les uns après les autres et la passion des mots fit place à la passion des tourtereaux. Matthieu voyait des larmes coulaient des joues de son père. Pourquoi ? Yuna, sa femme et la mère de Matthieu, était une adepte des poèmes. Pour elle, la poésie était si belle et si douce qu’elle pouvait guérir n’importe quels maux par des mots. Alors voir Matthieu devenu ainsi heureux grâce à cela…c’était comme un coup de pouce qu’elle avait fait du paradis. Enfin, c’est comme cela que l’avait vu Matthieu et c’est surement comme cela le voyait son père.

-Je suis sûr qu’elle est magnifique, merveilleuse. Et l’idée du thème et je trouve aussi, une très bonne idées. Mais il faut trouver lequ…
-La poésie. Lorsque j’ai rencontrés Hécate, on a eu quelques…disons…problèmes de communication. Puis, on a partager des poèmes et c’est ainsi qu’on s’ait…charmé.

Hécate s'en souvenait très bien et avec un sourire complétement gaga elle répondit à son fiancé:

-Oui! La poésie sur une note de Louis XVI...

Pourquoi avait-elle sortit Louis XVI? Elle n'en savait rien losqu'elle se rapella la robe qu'elle avait vu au chemin de Traverse. Elle se reprit et s'excusa.

-Parfait, nous avons un thème! La poésie, et Louis XVI, je ne sais pourquoi mais Louis XVI sera très bien!!

Elle regretta desuite car pour fair un thème sur Louis XVI, il faudrait fabriquer beaucoup de chose et cela couterait dix fois plus chère. Elle voulut dire non mais Isen imaginait déjà les robes, les fleurs.... Elle discutait avec son père et Hécate était déjà ailleur. Elle n'arrivait pas à s'imaginer mariée et enceinte... Elle ne comprenait pas non plus pourquoi il avait fallut autant de temps à sa famille pour reconstruire des liens. Elle ne pourrait pas non plus rentrée dans l'ordre, ce qui l'attrista un peu car c'est ce qu'elle avait toujours voulus... Elle sourit cependant en pensant au petit être qui se trouvé dans son ventre, certe il n'était qu'à l'état foliculaire mais il était là, bien là, dans son ventre qui deviendrait tout rond au fur et à mesure des mois. Son ventre grossirait jusqu'à ce qu'elle accouche, alors elle tiendrais l'être le plus merveilleux qui exista sur terre avec Matthieu bien entendu, et le meilleur de tout, c'est qu'il ressemblerait à l'homme qu'elle aimait.

Sa douce affirma

-Oui! La poésie sur une note de Louis XVI...

Louis qui se dit Matthieu ? Mais il ne préféra rien demander. Lui ? N’était-ce pas francais comme nom ? Sans doute. Il se promit intérieurement de chercher plus tard. En tout cas, l’idée plaisait beaucoup à la jeune mariée.

-Parfait, nous avons un thème! La poésie, et Louis XVI, je ne sais pourquoi mais Louis XVI sera très bien!!

Les conversations débutèrent mais Matthieu et Hécate, les deux protagonistes pourtant de l’histoire, ne se mêlèrent pas à la conversation. Il ne savait pour elle, mais Matthieu repensait à son futur, enfin à ce qu’il pourrait être maintenant. Plus que jamais, le Serpentard devait être fort et courageux mais surtout. Matthieu baissa la tête. Il avait prit sa décision. Maintenant qu’il avait une femme et un enfant, il devait…il devait oublier pour toujours ses projets de vengeance.

-Ca ne vas pas ?

-Hein ? Euh si, ca va bien, très bien même.

-Hein ? Euh si, ca va bien, très bien même.

Pensait-il à sa mère? A sa vengence? A tout ce qu'il lui avait dit. Hécate se mit à y repenser, qu'allait-il bien pouvoir faire? Allait-il continuer sur ce chemin ou allait-il se rettracter et rester auprès d'Hécate et de leur enfants? Hécate eu peur soudain. Un effroie la parcouru de haut en bas, parcourant son échine, elle eut un terrible frisson.

-Vous venez demain ou dans la semaine? En Irlande!

Son père avait posé la question mais déjà Hécate n'entendais plus, tout était flous. Qu'allait-il se passer maintenant? Elle se força à rester lucide, elle voulait juste passer une soirée tranquille sans angoissez, elle réussit à reprendre conscience. Les discussions allaient bon trains et Hécate regardait autour d'elle. Elle s'excusa et se leva de table, elle prit la direction de la salle de bain où elle se passa de l'eau dans le cou. Elle se regarda dans le miroir et cru y voir sa mère juste derrière elle, elle ferma les yeux pendant quelques instants et les réouvrit. A la place de sa mère se tenait Matthieu, il l'a prit par la taille et l'embrassa sur son cou humide.

-Tu va m'abandoner?

La phrase était sortit comme ça. Hécate ne lui laissait aucune échapatoire, elle vit un voile de tristesse passer dans ses yeux. Hécate se retourna et passa sa main sur le visage de son futur mari.

-Désolé d'être aussi franche mais, il faut que je sache...

Elle le suppliait de ses yeux emeraude. Elle laissa une main sur le visage de Matthieu et elle passa l'autre derrière sa nuque.

Son père lui jeta un regard soupçonneux avant de reprendre la conversation avec le père d’Hécate.

-Vous venez demain ou dans la semaine? En Irlande!

Les conversations restèrent mondaines. Matthieu retombait dans les méandres de son esprit. Il était fatigué, si fatigué. Toute cette journée fut chargée en émotion, en rebondissement, en réflexion. Son esprit voulait le repos et ne pensait plus qu’à aller dormir, fermer les yeux et succomber aux doux bras de Morphée. Mais son père n’en décida pas ainsi. Il n’arrêtait pas de lui poser des questions, sans cesse des questions, obligeant le Serpentard à remettre à chaque fois en route son cerveau si épuisé. Des questions simples pourtant, mais il n’avait plus le courage de réfléchir. Puis sa belle pris congé et se retira de ce diner. Elle partit droit dans la salle de bain, complètement livide. Inquiet, Matthieu la suivit. Il s’était à peine approché pour la tenir à la taille et l’embrasser dans le cou qu’elle se retourna et dit affolé

-Tu va m'abandonner?

Matthieu se bloqua.

-Désolé d'être aussi franche mais, il faut que je sache...

-Je ne t’abandonnerais jamais seulement…seulement…

Matthieu savait que prochainement, le notaire qu’il avait déjà vu une fois lui amènerait une lettre, la lettre de son défunt professeur. Celle-ci contient le nom de l’assassin de sa mère.

-…seulement, je crois que je devrais déjà allez à Dumstrang. Je n’ai nullement projet de terminer mes ambitions de vengeance, en tout cas plus maintenant. Mais je dois mettre un nom au visage de l’assassin de ma mère. Tu comprends ?

-Je ne t’abandonnerais jamais seulement…seulement… seulement, je crois que je devrais déjà allez à Dumstrang. Je n’ai nullement projet de terminer mes ambitions de vengeance, en tout cas plus maintenant. Mais je dois mettre un nom au visage de l’assassin de ma mère. Tu comprends ?

Les larmes perlaient déjà sur le visage d'Hécate. Elle comprenait parfaitement mais elle avait peur qu'une fois qu'il sache, il fasse le mauvais choix, elle savait combien il était facile de déraper, de faire le mauvais pas, de se diriger dans la mauvaise direction même en aillant une volonté de fer parfois le chagrin prenait le dessus...

-Je comprend parfaitement mais j'ai peur... Peur que même toutes les volontés du monde ne t'empêche pas de te venger... Tu aura un nom sur un visage mais cela ne calmera en rien tes envies... Je le sais...

Elle embrassa Matthieu, un long baiser tendre. Elle voyait qu'il était fatigué tout comme elle, elle ne tenait plus.

- Ne t'abandonne pas trop à Morphée... La lune ne serait pas contente. Je sais combien elle est capricieuse quand on lui préfère la déesse des rêves...

Elle sécha ses larmes et retourna dans le salon, elle allat vers son père et lui murmurra quelques mots celui-ci sourit alors et se leva:

-Nous allons y aller Sin, ne m'en veux pas, la futur mariée est fatiguée!

Il serra le père de Matthieu dans une poignet de main amicale et une tappe dans le dos.

-Vous venez donc Dimanche!

Ils échangèrent encore quelques acolades. Hécate dit au revoir à son futur beau père et embrassa Matthieu en lui souhaitant une bonne nuit. Isen dit au revoir poliment et félicita Matthieu pour l'enfant à venir. Elle prenait son rôle de tatie très à coeur.

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Diner prés-mariage éclipsé par une nouvelle (FE : Hécate)

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