Will descendait d'un pas tranquille les marches, l'esprit légèrement embrumé. Il avait passé une nuit blanche à lire avec sa baguette, il n'avait pas exactement les yeux en face des trous. Il s'était ensuite levé avant l'aube et était monté dans la volière. Émerveillé, il avait vu l'aube se lever. L'aube d'un nouveau jour. Le soleil s'était levé sur une nouvelle rencontre, avec Matthieu Brenel. Ils s'étaient énormément appréciés l'un l'autre et, qui sait ? Peut-être avaient-ils posés les bases d'une nouvelle amitié. Mais bon, il redescendait les escaliers, se dirigeant vers le hall. Il était encore très tôt. Très peu d'élèves devaient être debout.

La tête comme serrée dans un étau, il peinait à ouvrir les yeux. Il avait du mal à réfléchir, son esprit tournait au ralentit, comme engourdi. Son corps réagissait assez violemment au manque de sommeil. Il faillit manquer une marche, tenta de se redresser. Sa tête le faisait souffrir... Il leva le bras, s'accrocha en un geste presque désespéré à la rampe, les yeux clos... Un marteau pilonnait sans relâche, l'empêchant de penser correctement... Il se relâcha un moment... Sa main toucha du bois... Une marche... En plein milieu des escaliers, il s'allongea... Il s'enfonçait dans le brouillard, accueillant le sommeil en salvateur comme un guerrier gravement blessé accueillait la mort après la bataille... Non ! Dans un sursaut de conscience, il tenta de se relever. Tous les membres le faisaient souffrir, il avait étrangement chaud. Il se leva, descendit un marche... Puis une autre... Encore une autre... Une aut-...*ZIP* Son pied dérapa sur le chêne, il se retrouva sans comprendre comment en bas des escaliers. Mais peut importe, il s'en fichait, il voulait juste... dormir...

William s'éveilla au bas de l'escalier menant à la volière, sans comprendre réellement ce qui lui était arrivé. Il était un peu mieux, il avait sans doute dormi deux ou trois heures... peut-être plus, il n'en savait rien. Il allait un peu mieux. Les paupières toujours lourdes, il se rendit compte qu'il avait de la fièvre. Dans un effort, il tenta de se remettre debout. *CRAC* Il entendit le bruit distinctement. Un quart de seconde plus tard, la douleur surgit. Sourde, profonde. Il commença à angoisser. Il sortit sa baguette de sa poche la pointa vers se cheville qui formait à présent un angle étrange, pas naturel. Juste avant de prononcer les mots, il se rendit compte que sa baguette tremblait, et que son front était perlé de sueur. Il n'était pas en état de faire de la magie, il ne ferait qu'aggraver les choses. Il se souvint d'une formule qui ne lui poserait aucun problème et qui, il en était sûr, n'aggraverait pas les choses si jamais il la ratait. Il murmura la formule : "Ferula". Une attelle apparut de nulle part et immobilisa sa cheville.

Euh... Maintenant, comment était-il censé se rendre à l'infirmerie ? Heureusement qu'il se trouvait au même étage. Il réussit, en sautillant, à atteindre l'infirmerie. Suivant les ordres strictes de Mme Pomphresh, il s'écroula littéralement sur un lit vide. Enfin. Elle jeta un rapide coup d'oeil, enleva l'attelle et tritura la blessure, ce qui lui arracha des grimaces de douleurs. Elle lui proposa ensuite le choix entre un sort réparateur, qui guérirait la cheville, cependant, elle serait encore fragile et il devrait toujours y faire attention. La deuxième solution était une potion qu'elle avait à portée de main, qui devrait l'aider à guérir totalement, mais qui mettrait quelques heures de plus. Il n'hésita pas plus de quelques secondes et choisi la deuxième option. Même si sa cheville aurait été remise, il n'aurait pas pu suivre des cours dans son état de fatigue avancée et avec sa fièvre. D'ailleurs, heureusement que Pomphresh ne l'avait pas remarqué. Il détestait faire étalage de ses blessures et maladies, quel qu'elles soient. C'était une preuve de faiblesse selon lui. En tout cas, il pourrait en profiter pour dormir.
L'infirmière lui tendit un goblet contenant une mixture jaunâtre. Pas très engageant. Il la bu d'un coup sec. Heureux, il s'allongea dans son lit, sur les draps, avec la ferme intention de dormir. Mais, malheureusement pour lui, l'infirmière ne l'avait pas prévenue des effets secondaire de la potion. Tant que ses os se remettraient en place, il ne pourrait pas dormir. C'était comme ça. Eh Merde, pensa-t-il.

C'est à ce moment qu'une jeune fille fit interruption dans l'infirmerie, le visage défait, le teint pâle avec de grosses valises sous les yeux. Elle était accompagnée de trois autres jeunes filles, et malgré son regard cave, elle était la plus jolie aux yeux du garçon. Les filles l'installèrent dans le lit adjacent, puis laissèrent Mme Pomphresh s'occuper d'elle, retournant en cours. Elle n'était pas en uniforme, mais Will pensait déjà l'avoir aperçue avec les Serpentards. Elle faisait sûrement partie de cette maison.
Non pas qu'il y attachait de l'importance. William se fichait éperdument des maisons, pourtant, elles avaient l'avantage d'aider un peu à connaître les très grandes lignes de son caractère. Bien que cela ne fut pas toujours vrai, il suffit de voir le garçon qu'il avait rencontré le matin même. Matthieu n'avait rien d'un Serpentard, pourtant il avait atterit dans cette maison. Mais qu'importe, de toute façon, les Serpentards étaient généralement aux yeux du garçon bien plus intéressant niveau caractère que leurs ennemis Gryffondors.
Pendant que Will se perdait dans ses réflexions, l'infirmière faisait son travail et ne tarda pas à choisir le traitement adéquat. L'infirmière retourna à ses papiers, laissant les jeunes gens en tête à tête. La jeune fille lui adressa un sourire et lui dit d'une voix faible :

- Salut.

Will la regarda d'un regard neutre. En fait, il était assez étonné. Ce n'était pas le genre de début de conversation lancé par un Serpentard. Mais peut-être qu'elle n'était pas comme ça. Comme il ne pouvait pas dormir, il se décida à faire connaissance avec cette brunette. Peut-être serait-ce intéressant, qui sait ? Avec un sourire doux, il lui répondit d'une voix douce :

- Salut. Pourquoi as-tu atterrit ici toi ? T'as pas l'air bien, t'as pas dormi ?

La jeune fille sur la route qui l'avait menée à l'infirmerie, n'avait cessé de chercher ce qui avait put provoquée son mal être et ses nausée, elle était appuyée sur les épaules de ses amies ainsi que sur celle de sa sœur et sa tête retenu par une main ne demandait qu'une chose:du repos,mais le sommeil lui été impossible la fièvre la rendait trop mal et les nausées étaient trop fréquentes pour l'instant. Elle ne s'était même pas rendu compte d'où on l'emmenait avant d'y arriver tant elle était concentré sur ce qui avai pu provoquer tout cela,si c'était l'une de ses filles jalouse, ou dont elle avait sans faire attention volé le petit ami dans le passé qui avait versé quelque chose dans son jus de citrouille la jeune femme n'avait qu'a bien se tenir car dès que Aude serai sur pied elle se vengerai.

Elle s'était donc retrouvée à l'infirmerie en râlant car comme je vous l'ai dit, Aude détester les lieux destiné à soigné,cela était sans doutes du à ses nombreuses crise d'asthme qui dans son enfance était bien plus forte qu'elle ne l'était maintenant. Elle avait souvent fini aux urgences sa ventoline en bouche en ayant l'impression que quelqu'un lui voler son air, son oxygène et elle en voulait en quelque sortes aux médecins de ne jamais avoir trouver de solution pour éradiquer définitivement ses crises d'asthmes. Cela n'était qu'une des raisons pour laquelle elle détester ses lieux,peut être aussi le souvenir de sa sœur avec qui elle s'était battue allongé à l'infirmerie de leur école primaire,et qui ne bougeait plus. C'était ce jour là que Aude s'était réellement calmer avec sa sœur,et qu'elle avait préférée l'ignorer plutôt que de la frapper. Bref de nombreuses raisons poussé la jeune brunette à détester ces lieux dit de soin mais qui signifiait premierement qu'on était mal et deuxièmement qui ne signifiait pas forcement une guérison définitive.

Quand les filles l'avaient déposé sur le lit,elle avait d'abord eut le réflexe de vouloir se relever,mais elle avait vite compris que cela ne servait à rien,et que le moindre mouvement trop brusque aboutirai à une nouvelle série de vomissement. Elle espérait que Mme Pomfresh lui dirai ce qui avait pu provoquée qu'elle soit aussi malade afin que si vengeance possible il y avait elle puisse réfléchir à ce que serai justement sa vengeance. En effet les vengeances de la jeune femme marqué souvent les esprits de ses victimes... Et pour cause elle voulait qu'on s'en souvienne et qu'on ose plus recommencer ce qu'on avait tenter ou ce qu'on lui avait fait.
Cependant pour l'instant il fallait bien dire qu'elle n'était pas exactement en état de réflechir à quelques chose de constructif et qui ferai souffrir en faisant comprendre à la personne qu'elle n'avait plutot pas interet à recommencer ce qu'elle venait ou avait fait. Car pour Aude la vengeance se manger aussi bien chaude voir brulante que glacée.

Quand elle avait vue le sirop rosâtres s'approchait de sa bouche elle l'avait ouverte et la couleur de ce sirop ou de cette potion elle ignorait ce que c'était exactement lui avait rappelé un souvenir joyeux de son enfance: le sirop de coquelicot qu'elle buvait diluer avec de l'eau ou de la limonade,voir lorsequ'elle avait été un peu plus grand avec le champagne que sa mère lui laissé boire,peut etre étais ce pour cela qu'elle avait eut l'impression que le gout n'était pas si infecte que cela. Elle avait demandé à Jessica de noté tout les cours et de surtout prendre les devoirs afin qu'elle puisse rattraper son absences,en effet la jeune femme voulait obtenir ses ASPIC avec la majorité de Optimal et pour cela elle travaillait dure.
Jessica lui avait alors dit qu'avec les notes qu'elle obtenait elle pouvait bien se permettre une absence de temps en temps surtout lorsqu'il s'agissait de sa santé,mais cela Aude fit semblant de ne pas l'avoir entendu elle voulait etre la meilleur et pouvait parfois parraitre prétentieuse à cause de ceci,cependant elle détester etre dans les moins bons élèves de sa classe et elle faisait en sorte que cela n'arrive pas. Elle se souvennait de sa deuxième année elle s'était crue assez brillante pour ne pas avoir à travailler ou pas beaucoup en tout cas,et elle avait vite compris qu'elle avait plutôt intérêt à bosser si elle voulait toujours etre la premiere ou la seconde de sa classe.

Bref,elle était maintenant condamné à son triste sort, ses trois camarades avaient filés en cours et elle devait resté ici jusqu'à temps que ses nausées et sa fièvre disparaisse complètement, etre sorcière avait au moins cet avantage: les maladies guerissaient en général bien plus vite avec un sort ou une potion qu'avec de simple médicament moldus qui nécessitait pour la plupart de nombreux jour de traitement intensif. Elle s'était détachée les cheveux avait de pouvoir posée son visage, rendu si pale par la maladie ,sur son oreiller sans être gênée par son chouchou. Puis elle s'était donc intéresser au jeune homme (et pas gnomme comme je viens de l'écrire ) et n'avait pu s'empêcher de le trouver très..mignon. Oui c'était étrange quand on était démoralisé et super malade de penser à son voisin de lit mais quand les choses étaient vrai selon Aude il fallait se les avouée(pas forcement les dire) et il était super mignon.
La jeune femme attrapat donc sa bouteille d'eau en plastique dont elle but une gorgée en portant le goulot à ses lèvres d'un geste gracieux. Puis elle avait adresse ce petit salut au jeune homme en question.

- Salut. Pourquoi as-tu atterrit ici toi ? T'as pas l'air bien, t'as pas dormi ?

Voila la réponse qu'il lui avait adresser,bon au moins il n'était pas bourré d'apriori envers les autres maisons et ne l'avait pas envoyer balader directement c'était déjà pas mal parceque se faire remballer et etre malade les deux en même temps,ce n'était pas très...agréables.Il lui avait même parler d'une voix douce,avec un magnifique sourire,qu'elle lui avait rendus.

-Je sais pas trop pour quoi en fait... Disons que j'ai des nausées depuis hier soir et que je suis fiévreuse mais je sais pas trop à cause de quoi... Et par conséquent je n'ai dormi que deux heures... Et toi qu'est ce qui t'amènes à l'infirmerie? T'as l'air d'avoir à peu prêt autant dormis que moi...

En effet, peut être que si elle avait été dans son état normal ce n'aurai pas été elle qui aurai entamer la conversations mais si elle n'avaitpas été ici elle ne l'aurai pas rencontr& donc le destin sembler vouloir qu'elle parle à ce jeune homme pas du tout moche à regarder avec ses fosettes magnifiques.

Elle le vit faire un chuut,en mettant son index sur ses lèvres,et elle répondit à son clin d'œil par un sourire amusée,tandis qu'elle se pencher doucement ,afin de ne pas réveiller ses nausée,vers le jeune homme. Il semblait ne pas vouloir que Mme Pomfresh sache qu'il n'avait pas dormis,et cela se comprenez,cette infirmière pouvait devenir insupportable lorsequ'elle s'y mettait,elle vous trouvez toute sorte de maladie que vous n'aviez pas alors que vous aviez simplement besoin de repos et d'une bonne potion rétablissantes ,mais bon elle faisait son boulot alors personne ne se plaignait devant elle. C'était la moindre des politesses.

- J'espère que tu vas vite guérir alors. Mais ne crie pas sur tout les toits que j'ai une gueule de déterré, je préfère que l'infirmière ne sache pas que ça fait quelques jours que j'ai pas dormi ou presque, sinon elle me lâcherais plus la botte^^. Pourquoi je suis là ? Disons que j'ai été pris d'une sorte de grande fatigue tout à coup, et je me suis gamellé dans les escaliers, me bousillant la cheville du même coup. Pas malin, hein ?

Voila ce qu'il lui murmurait,intéressant,elle n'était donc pas la seul à manquer de sommeil,et lui aussi la raison de sa venue ici avait un lien direct avec son sommeil. Et bien elle se sentait moins seule pour le coup.

-Pas malin, mais je comprend... Je ne dors pas forcement toute les nuits...Moi non plus.

Elle lui adressât un magnifique clin d'œil accompagnée du plus ravissant de ses sourires. Elle riat de son rire aiguë et cristallin si doux à l'oreille à sa remarque sur la potion et lui dit amusée:

- Rah, j'aurais vraiment pas du accepter la potion. Résultat, j'peux même pas dormir... Quelle galère...

-Positive,tu aurai pu avoir une vieille mègere en guise de seule compagnie,heureusement que je suis malade.

En effet, la jeune femme avait une certaine estime de soit, puis il n'était pas vraimment compliquée de se trouver plus jolie que Mme Pomfresh aux yeux d'un sixième année masculin,si il avait un temps soit peu les yeux en face des trous il se rendrai compte,que Aude était un canon monter sur deux magnifiques jambes,que laissait voir son short en jeans. Mais la conversations ne tournait pas encore autour de la beautée de la magnifique jeune femme. Non peut etre cela viendrait il mais pour l'instant faire conaissance semblait etre le sujet principale de conversation.

- Alors sinon, à part cette maladie, comment va la vie ? Si t'as envie de parler, lâche-toi, c'est le moment, j'écouterais ce que tu voudras bien partager avec moi.

Le sourire qui lui adressât l'aidât sans doutes à être convaincue par la franchise du jeune homme ( j'ai encore faillit écrire gnome ) Aussi elle décidât de lui en dire un peu plus sur elle,après tout son sourire lui murmurer qu'il n'irai le répéter à personne alors pourquoi se méfier. Elle prit donc une grande inspiration,et alors qu'elle allait commencer à parler,le jeune homme plantât son regard dans celui de Aude. Aude avait de splendide yeux noisette dont elle avait hérité de sa mère. On s'y perdait volontier,comme dans une foret peuplée de créature enchanteresse,ceux du jeune homme était cyan,comme un lac dans lequel on se noierai sans jamais chercher à remonter à la surface.

-Je m'appelle Aude Anderson,je suis la sœur jumelle de Solène qui est à Serdaigle en même année que toi,je suis à Serpentard,je sais être la pire des garces,mais je sais aussi être quelqu'un d'humain. Ce qui a provoqué ma venue à l'infirmerie si c'est une personne connaitra ma vengeance,mais je ne suis pas mécontente de t'avoir rencontré... Si tu veux parler,je técoutes moi aussi...

{HJ pas moi, c'est mes doigts ]

En effet l'image que Will avait en tête,celle de la goutte d'eau gelée et scintillante,correspondait à merveille à la jeune femme . Elle semblait merveilleuse brillante,mais restai très très fragile malgrè les apparences qui donnait l'impression qu'elle était robuste,dans sa glace, elle était quelqu'un de très fragile et qui quand elle était triste,l'était vraimment. La tristesse était sans doutes un des seuls sentiment qu'elle n'ai jamais simuler de sa vie... Et de façon étrange, il ne lui arrivait pas si souvent que cela.

- Rah, j'aurais vraiment pas du accepter la potion. Résultat, j'peux même pas dormir... Quelle galère...

- Positive,tu aurai pu avoir une vieille mégère en guise de seule compagnie, heureusement que je suis malade.

En effet(toujours des en effet) la jolie brune n'était pas que à Serpentard par un caprice de choixpeau qui consister à séparer tout les jumeaux depuis Fred et Georges . Non il y avait une véritable raison bien plus valables. Elle était toujours très sur d'elle qu'importait le sujet, que ce soit en cours ou dans sa vie quotidienne sa voix laissait entendre qu'aucun doute ne planait sur ce qu'elle disait.

- C'est vrai, heureusement que j'ai une superbe demoiselle pour me tenir compagnie, je me sentirais bien seul autrement.

Cette phrase sans trop qu'elle ne comprenne ou sache pourquoi lui rendit les joues légèrement rosée,ce qui se voyait vue le teint pale qu'elle arborait en ce matin de nausée... Elle sentit ses joues chauffées et portât sa bouteille d'eau à sa bouche comme pour essayer de faire disparaitre ce rougissement.

-Et heureusement que j'ai un magnifique jeune homme à mes côtés,sinon je me serai bien ennuyer moi aussi...

Le rouge avait enfin disparus et avait laissait place de nouveaux à la certitude. Elle espérait qu'il ne l'ai pas vue rougir mais si c'était le cas,elle remettrai vraiment la vue du jeune homme en question car avec le teint de cadavre qu'elle arborée il ne fallait vraiment pas bien voir pour ne pas s'apercevoir qu'elle avait rougit.*Qu'est ce qui m'arrive? Je ne rougis JAMAIS d'habitude...Ce doit etre un effet de la potion de Mme Pomfresh... ou pas...*Puis de toute façon il l'avait vue sous son moins bon jour aujourd'hui alors autant faire le tour des choses pas normal chez elle directement comme cela il partirai si cela lui semblait trop étrange. Mais étonnamment elle avait confiance en lui et espérait qu'il reste.

- Alors sinon, à part cette maladie, comment va la vie ? Si t'as envie de parler, lâche-toi, c'est le moment, j'écouterais ce que tu voudras bien partager avec moi.

Puis vint l'épisode de leur regard,le jeune homme semblât se perdre dans la foret enchanteresse où menait le regard de Aude,et Aude elle se noyait dans le lac profond et bleu cyan où l' emmenait le regard cyan du jeune homme (le gnome n'est pas passer loin xP) et elle n'avait aucune envie de remonter à la surface,comme trop bien dans cette eau si parfaite,si merveilleuse et mystérieuse à la fois...Elle ignorait ce à quoi le jeune Serdaigle pensait, mais elle ne pensait qu'a l'apaisement que lui provoquer ce regard,une sensation étrange: comme un apaisement éveillé dont on a peur qu'il disparaisse d'un instant à l'autre,c'était très très étrange et nouveau pour la jeune femme.

- Je m'appelle Aude Anderson, je suis la sœur jumelle de Solène qui est à Serdaigle en même année que toi, je suis à Serpentard, je sais être la pire des garces, mais je sais aussi être quelqu'un d'humain. Ce qui a provoqué ma venue à l'infirmerie si c'est une personne connaitra ma vengeance, mais je ne suis pas mécontente de t'avoir rencontré... Si tu veux parler, je t'écoutes moi aussi...

Elle avait dit ses paroles en restant plonger dans le regard du beau Serdaigle. Ce fut lui qui brisa le moment si magnifique qu'avait été celui de leur regard elle secouât légèrement la tête et pour retrouver plus rapidement ses repère bus une gorgée d'eau... Étonnamment l'eau lui fit penser à cet instant magique ou elle s'était égaré dans les profondeur du lac où menait le regard de William.

- Je m'appelle William Keynes. Je parle pas souvent, je préfère écouter, mais je vais faire un effort, promis^^. J'ai un grand frère, Daniel, à Serdaigle lui aussi qui est en 7ème année. Je suis assez... comment dire... ? instable ? non, plutôt changeant, imprévisible. Moi aussi, je suis content de t'avoir rencontré, tu as l'air... spéciale.

Leur regards semblaient maintenant attirer l'un vers l'autre comme se souvenant de l'apaisement que cet instant leur avait apporté. Et pourtant tout deux détournèrent leur regard ou était passé le coté si sur de soi de la jeune femme? Elle même l'ignorait au point d'en etre quelque peu déstabilisé. Le sourire qui lui adressat eut le même effet que son regard et elle le lui rendut,un sourire franc creusant deux jolie fosette aux coins de sa bouche.

- Enfin, je suis content de ne pas être ton ennemie. J'ai l'impression qu'il vaux mieux te compter dans ses amis que dans ses ennemis. Si c'est une personne qui est responsable de ton état, je lui conseillerais de courir tant qu'il en est encore temps !
Mais... tu as une idée pourquoi quelqu'un t'aurais fait ça ? Si je peux t'être d'un aide quelconque, n'hésite surtout pas !

Elle ne pu retenir un éclat de son rire cristallin et aigue. Elle lui sourit encore plus franchement et naturellement et lui répondit d'une voix douce et posée

-Je penses tout d'abord qu'on est tous plus ou moins changeant moi aussi je le suis,peut etre moins que toi mais je le suis. Ensuite je suis en effet très rancunière et j'aime qu'on se souvienne de mes vengeances. Je pense que c'est une fille dans tout les cas et que je l'aurai soit ridiculiser,soit volé son petit ami dans le passé,chose qu'en theorie je ne fais plus! J'ai compris avec le temps que l'amiour n'est pas fait pour être brisée

Elle rougit,comme ayant l'impression de devoir se justifier mais elle ne pu s'emepcher d'effleurer le regard cyan du jeune homme

[HJ: oui chef xP ]

En effet (encore un ? :O xP) Aude n'était pas le genre de fille qu'on s'attendait à voir rougir au moindres petit compliment, pourtant ce compliment lui avait parus tellement différent de ceux qu'on lui avait déjà fait,il ne sonnait aucunement faux et lui faisait un bien fou. Et surtout c'était comme si il avait de l'importance,comme ci elle avait eut besoin qu'il le lui fasse pour se rendre compte de sa beauté c'était un peu le cas actuellement. Elle se trouvait belle parce qu'il lui avait dit qu'elle l'était aucunement parce qu'elle était sur d'elle ... Cela changer de d'habitude mais c'était très très agréables et ce rougissement naturel en était la preuve.

- Et heureusement que j'ai un magnifique jeune homme à mes côtés, sinon je me serais bien ennuyée moi aussi...

C'était la seule chose qu'elle avait trouvé à dire,c'était la stricte vérité et en même temps cela la rattraper un petit peu... Mais sans doutes trop peu. Will n'était pas aveugle il avait du se rendre compte qu'elle avait rougit en entendant ce doux compliment. En effet rougir signifiait montré sa sensibilité et qui disait sensibilité disait forcement vulnérabilité ou faiblesse deux choses que la jeune brune ne montrait jamais. Justement car elle refusait qu'on utilise son point faible ou ses faiblesse pour profiter d'elle,c'était elle qui faisait cela avec les autres jamais l'inverse,car elle paraissait tellement sur d'elle et sans aucune faiblesse que la majorité des gens qu'elle faisait soufrir n'oser pas se retourner contre elle.

Était elle vraiment tombée amoureuse une seule fois dans sa vie? Oui d'ailleurs c'était une seule fois de trop... Le garçon lui avait fait croire en toute les merveilles du monde,qu'elle était justement la huitième merveille du monde,qu'elle méritait de vivre dans les plus beaux palais avec lui,qu'il ne la quitterai jamais. Et un jour il l'avait abandonné pour se faire une pétasse blonde. Elle avait mit beaucoup trop de temps à s'en remettre à son gout pour apprécier encore l'amour à sa juste valeur, on ne faisait jamais pleurer Aude sans en assumer les conséquences,et chacun des chagrins de la jeune femme lui laissait des blessures encore présentes et jamais guérit jusqu'ici.

Bref autant de raisons de vouloir parraitre forte, dure, intouchable et sans aucune faiblesse alors qu'elle en avait tant... Juste tellement bien cachée par les apparences que seule sa sœur et sa meilleure amie les conaissaient . Il y avait cette unique histoire d'amour,son asthme la boulimie dont elle été enfin guérit et d'autre sujet concernant son enfance le mal qu'elle avait pu faire à sa soeur sans même s'en rendre compte à l'époque jusq'au jour ou elle l'avait vue allonger sur un lit d'hopital en fait elle était frèle et fragile comme la fameuse goutte d'eau gelée à laquelle avait pensée William il y a quelques instants .

- Enfin, je suis content de ne pas être ton ennemie. J'ai l'impression qu'il vaux mieux te compter dans ses amis que dans ses ennemis. Si c'est une personne qui est responsable de ton état, je lui conseillerais de courir tant qu'il en est encore temps !
Mais... tu as une idée pourquoi quelqu'un t'aurais fait ça ? Si je peux t'être d'un aide quelconque, n'hésite surtout pas !

Peut être que femme qui rit à moitié dans son lit mais cela nous le verrons plus tard pour l'instant c'est surtout femme qui rit femme qui sourit. Un sourire franc un sourire comme Aude en faisait rarement tant il sonner vrai et sans aucune hypocrisie. Son sourire d'après sa mère toujours était un rayon de soleil qui réchauffait n'importe quel cœur de glace. Elle avait toujours adorée cette douce comparaison sonnant si joliment à son oreille de petite fille à l'époque et de future femme aujourd'hui. Elle n'avait pas pensé qu'un garçon qu'elle connaissait depuis si peu de temps puisse la faire sourire si franchement et rire de façon si véritable. C'était étrange comme sensation et nouveau.

- Je penses tout d'abord qu'on est tous plus ou moins changeant moi aussi je le suis, peut-être moins que toi mais je le suis. Ensuite je suis en effet très rancunière et j'aime qu'on se souvienne de mes vengeances. Je pense que c'est une fille, dans tout les cas et que je l'aurais soit ridiculisée, soit volée son petit ami dans le passé, chose qu'en théorie je ne fais plus ! J'ai compris avec le temps que l'amour n'est pas fait pour être brisée.

Volé le petit ami des filles elle l'avait beaucoup fait depuis qu'on lui avait volé le sien. Cependant il y a peu de temps elle avait cessé ce petit jeu là ne trouvant plus cela très drole et prenant...pitié pour ces jeunes filles qui comme elle l'avait été était tout simplement incapable de garder leur prince charmant ans leur lit car le prince charmant fuyait dès qu'il voyait une jolie paires de jambes en jupes courtes passait devant lui. Elle avait décidé de ne pas faire souffrir comme elle avait fait souffrir ou du moins d'arrêter cela. Et c'est aussi ce petit jeu qui lui avait valut ses nombreux ennemis.

Elle avait detourner ses yeux de lui comme honteuse de son passé de briseuse de couple et pourtant elle vit ce tendre sourire qu'il lui adressât et qu'elle prenait comme un pardon. Il ne lui en voulait pas d'avoir causé tant de mal à tant de fille et cela comme le compliment de toute à l'heure avait de façon étonnante toute son importance,elle avait besoin de savoir qu'il ne lui en voulait pas d'avoir pu faire cela dans son passé. C'était vraimment étrange comme sensation comme si savoir ce qu'il pensait lui été devenu nécessaire. Leur regard s'attirèrent comme deux aimant parfait et la jeune femme ne put s'empêche de se noyait volontiers dans le lac que formait le magnifique bleu cyan des yeux de William... Son mal de ventre était quasiment passé comment expliquer cela? Juste son regard? La potion de Mme Pomfresh? Les deux...En tout cas elle ne put s'empêcher de se rapprocher du mieux qu'elle le put de lui et laçant un sort pour rapprocher leur lit afin d'être plus proche de lui tandis que leur regard ne se quitter pas l'un de l'autre.

Le regard toujours plongé dans celui de cette magnifique jeune fille, il eut un petit rire quand il remarqua qu'elle venait de lancer un sort à leurs lits pour qu'ils se rapprochent. Enfin, ça ne le dérangeait pas tant que ça qu'ils se rapprochant... Même pas du tout... Les paupières à demi-fermées et un petit sourire aux lèvres, il profitait de cet intense moment, savourant ces yeux expressifs. Oui, il pourrait rester comme ça longtemps... très longtemps... Sans qu'il ne s'en aperçoive réellement (il était trop occupé pour ça xD), les deux jeunes gens se rapprochaient l'un de l'autre, imperceptiblement, ils tendaient la tête, ils étaient presque sortis de leurs lits, prêts à se rapprocher encore. D'un geste lent et mesuré, il saisit de sa main la couverture et la repoussa, sortant un pied puis l'autre de dessous les draps, s'apprêtant à se lever. Il ne pensait pas une seule seconde ni à la blessure, ni à la douleur qu'il éprouverait dès qu'il poserait le pied par terre et s'appuierait dessus. Non, tout ce qui comptait était ces yeux... ces yeux noisettes qui lui faisaient face, à quelques mètres de là. Elle semblait prête à faire la même chose, attiré elle aussi par la même force invisible.

C'est ce moment que Mme Pomphresh choisit pour faire interruption dans la pièce et son humeur vira à l'aigre, quant elle vit ses deux protégés qui s'apprêtaient à lui désobéir. Elle fonça vers tel une furie et tempêta :

- Bon sang, mais Mr Keynes !! Vous ne devez pas quitter le lit, car si vous marcher dans votre état, votre cheville ne se réparera pas ! Mlle Anderson ! Pouvezvous m'expliquer pourquoi vous vous apprêtiez à quitter le lit également ? Recouchez-vous immédiatement tous les deux !!

La magie de cet instant fut rompu par l'interruption intempestive, et tout honteux, ils se recouchèrent. En fait, ils n'avaient même pas remarqué qu'ils étaient à moitié-debout, prêt à aller se rejoindre. Pour faire quoi ? Will n'en savait rien, et il n'était même pas sur qu'il se sentait prêt à le savoir... Soupirant, il regagna son lit, la mort dans l'âme. Grognant dans sa barbe, l'infirmière leur faisait des remontrances et fini par ajouter :

- Bon, puisque vous avez l'air éreintés tous les deux, je vais vous faire dormir un peu. Leur servant deux verres, elle leur fourra ensuite dans la main et ajouta, confiante : Buvez ça et vous serez frais demain matin, vous avez besoin de sommeil.

Reconnaissant, Will but le verre cul sec. Comme si une armoire lui était tombée sur la tête, elle le fit souffrir, tournant. Il commençait déjà à perdre ses repères. Aucun doute, le somnifère était très puissant. Avant de s'endormir d'un sommeil de brique, Will eut le temps de poser son verre sur sa table de chevet et d'entr'apercevoir Aude qui buvait avec beaucoup plus de retenue et de méfiance que lui le verre. Il aurait aimé pouvoir se mettre un peu plus à l'aise avant de dormir, mais il n'avait plus la force de bouger. Il tendit ses bras vers Morphés, tombant dans un état presque comateux.

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Après un temps qui lui parut durer quelques instants à peine, Will se réveilla, tiré de son sommeil par les rayons de soleil qui filtraient à travers les lourds rideaux. Ou se trouvait-il ? Il regarda à côté de lui. Il y avait des armoires, il avait une table de chevet, il était entièrement habillé, et il était entouré de beaucoup de lits, dont presque tous étaient vides. C'était le matin. Tous sauf deux en fait. Le sien, bien évidemment, et celui qui se trouvait juste à côté de lui. Il était occupé par un magnifique jeune femme. Toute la matinée d'hier lui revint en tête. Oui, car il avait presque dormi 24h. Et il en avait vraiment besoin, de récupérer ces heures de sommeil.

La jeune fille, Aude, dormait paisiblement. Oui, lui était un garçon et plus solide, les effets de la potion duraient moins longtemps sur lui que sur elle. Un sourire attendrit lui vint aux lèvres. Il aurait énormément aimé continuer à discuter avec elle, poursuivre leur échange de la veille, mais il ne savait pas trop comment introduire après ce qu'il s'était passé hier. Vraiment très inhabituel. Étrange, même. Mais pas désagréable du tout, au contraire. Triste, il se résolut à partir avant qu'elle ne se lève. Ne voulant tout de même pas filer en voleur, il rédigea à la va-vite un mot, qu'il laissa sur la table de nuit à côté d'elle. Le mot était rédigé en ces termes : "Bonjour ! Je me suis levé avant toi et ne t'ai pas attendu pour y aller, excuses-moi. Réveilles-toi bien et passes une bonne journée. Salut ! Will."
Court, mais il n'avait rien à ajouter. Si, il avait des choses à dire, mais des choses qu'il vaut mieux dire en face.