Préparatifs de mariage (Fe : Hécate)

Matthieu était épuisé. A part le soir de son retour chez Hécate, Matthieu n’arrivait plus à dormir. Il arrivait à s’endormir quelques minutes par ci par là, mais jamais une nuit de plus de trois heures. Chaque fois qu’il fermait les yeux, il revoyait le regard de l’assassin. Il avait passé ses jours derniers jours chez Hécate. Celle-ci le couvrait de mille attentions et de mille tendresses pour essayer de lui remonter le moral. Il la remerciait de cela et l’aimait plus si c’était possible. Isen était elle aussi adorable. D’ailleurs cette dernière et Hécate passaient le plus de leur temps à parler du futur mariage. D’ailleurs aujourd’hui, Matthieu devait être impliqué dans la préparation des noces, il l’avait promis à sa douce. Il descendit en direction du salon, au même moment que son futur beau père montait ce même escalier. Le sourire en coin, il lui dit

-Bon courage fiston.

Bon courage ? Pourquoi bon courage ? Matthieu comprit aussitôt arrivé au salon. Isen et sa douce Hécate était assit prés de la table du salon, sur cette même table était posé au moins une centaine de magazines et de catalogue de sujet divers et variés : robe de mariage, serviette de fête, dj, traiteur… Matthieu était complètement figé. Il y a autant de chose à faire et à choisir. En effet, il lui faudrait beaucoup de courage.

-Me voilà mon amour.

Il s’assit à côté et lui adressa un petit baiser avant de reprendre.

-Alors, par quoi on commence ?

Hécate s'était réveillée tôt ce matin là et avait préparé avec sa soeur tout les magazines qu'elle avait pu trouver. Elle les avait étalé sur la table et parlait avec Isen. Elles parlaient ensemble depuis déjà un certain moment. Hécate avait sa tasse de café dans les mains et buvait de temps à autres. Elle avait des énormes cernes sous ses yeux. Elle avait dormi avec Matthieu tous les jours. Et elle se réveillée à chaque fois lorsqu'elle s'entait Matthieu bouger. Il se réveillé toujours toujours au même moment, de la même manière...

Hécate attendait donc qu'il se réveille ce matin là pour enfin parler du mariage.

-Me voilà mon amour.

Il s’assit à côté et lui adressa un petit baiser avant de reprendre.

-Alors, par quoi on commence ?

Elle regarda Matthieu dans les yeux et lui dit:

- Il faut qu'on commence par le thème que nous avons déjà prés définie. Il faut que l'on sache si on accorde la musique au thème ou si on décompose la journée... Ensuite on s'attaquera aux invités, pour savoir combien il faudra prévoir pour le traiteur et les tables, les couverts, les chaises, la disposition...

Sa belle le regarda dans les yeux. Matthieu remarqua pour la première fois que sa belle avait d’énormes cernes. De plus, le vert émeraude de ses yeux paraissait délavé, usées. Elle avait l’air si fatiguée. Mais pourtant c’est avec entrain qu’elle démarra les hostilités si l’on peut dire.

-Il faut qu'on commence par le thème que nous avons déjà prés définis. Il faut que l'on sache si on accorde la musique au thème ou si on décompose la journée... Ensuite on s'attaquera aux invités, pour savoir combien il faudra prévoir pour le traiteur et les tables, les couverts, les chaises, la disposition...

Matthieu étonné demanda du tac au tac.

-Il y a tant de chose que ça ?

Isen lui jeta un regard assassin, comme ci il avait offensé sa divinité. Il avait oublié que le mariage était tabou chez les jeunes filles. A l'avis de Matthieu, les filles étaient bien trop bercés dans les contes de fée dés leurs enfances. Résultat des courses. C'est les maris qui payent la facture de leurs extravagances pour leur noce. Mais bon, là n'était pas la question. Préfèrent ce rattraper tout de suite, il reprit tout de suite.

-Bon, vu qu’il y a du pain sur la planche. Il vaut mieux s’y mettre tout de suite. On commence par quoi ?

-Il y a tant de chose que ça ?

Isen lui lança un de ces regards qui tuent que Hécate explosa de rire. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas rit. Elle poussa de son épaule sa petite soeur et lui fit des gros yeux comme pour lui dire d'arrêter. Elle reporta son attention sur Matthieu qui dit à son tour.

-Bon, vu qu’il y a du pain sur la planche. Il vaut mieux s’y mettre tout de suite. On commence par quoi ?

Cette fois-ci elle fit les gros yeux à son fiancé. Etait-il sourd ou faisait-il semblant? Elle reprit cependant:

- Le thème... Faut-il accordé la musique avec ou plutôt faire différente partie. J'entend dire, découpé la soirée. Par exemple: Pour la cérémonie, mettre des musiques en rapports au théme. Le repas se fera dans une ambiance un peu plus féstive et le reste de la soirée, complètement explosive... Un dj, de la house, de l'electro... Je suis fan des musiques moldu... Ou alors, engagé un groupe qui reprend les tubes des stars sorcières, mais ce ne sera pas pareille... Et comme la plupart des gens invités auront notre âge...

Elle regarda Matthieu qui avait, semblait-il décroché...

- Mon chéri? Tu m'entends?

Matthieu était fatigue et l’énergie débordante de sa femme et de sa sœur avait le dont de l’épuiser encore plus. Mais Hécate n’avait pas eu l’air de déceler ce moment de fatigue, ce coup de barre et avait attaqué directement.

- Le thème... Faut-il accordé la musique avec ou plutôt faire différente partie. J’entends dire, découpé la soirée. Par exemple: Pour la cérémonie, mettre des musiques en rapports au théme. Le repas se fera dans une ambiance un peu plus festive et le reste de la soirée, complètement explosive... Un dj, de la house, de l'electro... Je suis fan des musiques moldu... Ou alors, engagé un groupe qui reprend les tubes des stars sorcières, mais ce ne sera pas pareille... Et comme la plupart des gens invités auront notre âge...

Matthieu était resté bloqué aux mots « dj » « house » et « électro » et encore, il avait du mal à comprendre entièrement ce qu’il y avait avant. Hécate eut l’air de remarquer son moment d’égarement puisqu’elle demanda.

- Mon chéri? Tu m'entends?

-Je t’entends parfaitement…mais je ne comprends rien. Tu veux qu’un dideji fasse de la maison et de l élkétro ? Ca fait pas mal au moins ?

-Je t’entends parfaitement…mais je ne comprends rien. Tu veux qu’un dideji fasse de la maison et de l élkétro ? Ca fait pas mal au moins ?

Hécate regarda son fiancé et ne fit pas de remarque, elle comprenait parfaitement qu'il ne puisse pas connaître. Heureusement pour elle, elle avait rencontré Hugo... Elle reprit calmement pour expliquer à son futue marié:

- C'est un DJ pas un dideji, ensuite nous avons la HOUSE pas la maison et pour finir électro pas Elkétro...

Elle avait épelé chaque mots pour qu'il comprenne la première différence. Ensuite elle lui explique:

- Un Dj, c'est quelqu'un qui met l'ambiance, il change les musiques, les choisit, les mixes... L'électro est un style de musiques moldu et la house, de même! Je te ferais écouter si tu veux! Mais bon, comment on fait? On découpe la journée en plusieurs parties comme je l'ai suggéré?

Elle attendit la réponse de Matthieu, impatiente et en même temps, très peu... Elle s'inquiète vraiment pour celui-ci... Peut-être valait-il mieux repousser le mariage...

- C'est un DJ pas un dideji, ensuite nous avons la HOUSE pas la maison et pour finir électro pas Elkétro...Un Dj, c'est quelqu'un qui met l'ambiance, il change les musiques, les choisit, les mixes... L'électro est un style de musiques moldu et la house, de même! Je te ferais écouter si tu veux! Mais bon, comment on fait? On découpe la journée en plusieurs parties comme je l'ai suggéré?

Changer une musique ? Depuis quand une musique remplit des couches ? Comme les bébés ? Mixer ? Matthieu avait vu un jour chez un ami de son père en Bulgarie, un mixeur Moldu. Pourquoi et comment mettrons-nous des musiques dans un mixeur. Matthieu ne comprenait plus rien. Il avait l’air d’un sacré abruti à être assis là à écouter des mots Moldus qui n’avaient pour lui aucun sens. Toujours aussi perdu, il répondit tout de même à Hécate.

-Bah, ce serrait pas plutôt à ton DiJi de faire ca ? Ca à l’air d’être un professionnel lui en musique. Et puis d’abord, comment tu sais autant de chose sur les Moldus ? Ton père n’est pas un adorateur des Moldus, loin de là et tu ne les as pas étudié à Poudlard.

-Bah, ce serrait pas plutôt à ton DiJi de faire ca ? Ca à l’air d’être un professionnel lui en musique. Et puis d’abord, comment tu sais autant de chose sur les Moldus ? Ton père n’est pas un adorateur des Moldus, loin de là et tu ne les as pas étudié à Poudlard.

Hécate regarda Matthieu et lui dit franchement:

- J'ai connus un moldu avec qui je suis sortit et je l'ai revu il n'y a pas longtemps, nous avons discutés et nous avons parlé du mariage, il m'a souhaité un bon mariage et voilà!

Elle regarda le fond de sa tasse et se leva pour aller la mettre dans la cuisine et sa soeur la suivit:

- Mais pourquoi tu lui as dit?
- Quoi pourquoi? Je ne vois pas pourquoi je ne lui dirais pas, Hugo est mon ami!
- Mais, t'es folle! C'est ton ex!
- Laisse moi!

Elle retourna auprès de Matthieu et regarda les magasines:

- Celui-là, il parrait qu'il est bien!

Hécate le regardait dans les yeux et lui répondit.

- J'ai connus un moldu avec qui je suis sortit et je l'ai revu il n'y a pas longtemps, nous avons discutés et nous avons parlé du mariage, il m'a souhaité un bon mariage et voilà!

Puis elle s’en alla dans la cuisine accompagnée de sa sœur. Hugo ? Elle parlait d’Hugo ? Son grand premier amour, celui qui l’avait séduite, celui qui avait marqué son cœur au fer blanc et imprégnée son passé à tout jamais, cet Hugo ? Revu il n’y a pas longtemps ? Quand il était à Dumstrang apprendre la nouvelle ? Elle avait renoué avec son passé amoureux quand Matthieu lui voulait en finir avec les tragédies du sien ? Pendant que lui voulait totalement se libérer de son passé pour elle et ses futurs enfants, sa douce n’avait sans mal rejoint son ancien amant ? Elle n’avait pas dut s’inquiéter autant que ca de lui lorsqu’il était disparut.
Une vague de colère et de jalousie envahissait le Serpentard. Lorsqu’Hécate lui avait parlé d’Hugo pour la première fois, Matthieu avait eu du mal à gérer le fait qu’il est autant compté pour elle. Il avait l’impression d’être que le deuxième sur la liste, le remplaçant, l’ébauche du premier. Mais il n’avait rien dit, rien fait qui aurait put témoigner sa fureur. Ce n’était pas de la faute de sa douce après tout. Mais rien que savoir qu’elle l’avait revu. Il imaginait Hécate courir dans les bras de Hugo dés que Matthieu lui serrait trop insupportable, chose qu’il était de plus en plus souvent ces temps ci. Il ne pouvait supporter l’idée de savoir que perpétuellement cet homme qui avait été si cher à son cœur et qu’il l’était peut être encore puisse être aussi prés d’elle, surtout en ce moment difficile pour eux. Et si les anciens sentiments refaisaient surface ? Si elle retombait amoureuse de lui et lui amoureux d’elle. Ne dit-on pas que le passé à tendance à se répéter ?
Ca douce revint enfin et se posa à côté de lui. Matthieu était en proie à une fureur émotionnelle intense qui déchirait son cœur et ses entrailles. Celle-ci n’eut pas l’air de le remarquer et tendit un magazine au Serpentard

- Celui-là, il parrait qu'il est bien!

Il répondit avec une certaine lassitude dans la voix et certain aggacemment

-J’en sais rien, je ne connais rien au Didji moi. Comment veux-tu que je te donne mon avis sur un truc dont je ne comprends le moindre mot. J’ai l’impression d’être une souris à qui on demande d’expliquer les règles de l’apesanteur.

-J’en sais rien, je ne connais rien au Didji moi. Comment veux-tu que je te donne mon avis sur un truc dont je ne comprends le moindre mot. J’ai l’impression d’être une souris à qui on demande d’expliquer les règles de l’apesanteur.

-Qu'est-ce que t'as grogné ? C'est pas ma faute si j'en connais plus que toi sur les moldus!

Matthieu jete un regard accusateur. Hécate comprit.

-Ah, c'est Hugo qui te met en rogne?

Hécate lâcha le magazine. Le rouge lui monta aux joues, elle était énervée. Elle se calma et posa une mains sur la joue de Matthieu avec laquelle elle lui tourna le visage pour qu'il soit en face du siens. Elle dit calmement et gentiment:

- Matthieu, tu es celui que je vais épouser. Celui avec qui j'ai décidée d'unir ma vie à tout jamais, celui avec qui je vais avoir des enfants. Je t'aime TOI et pas un autre... Hugo est du passé, nous nous sommes revue une fois et nous ne nous sommes même pas fait la bise ou serré dans les bras l'un de l'autre. Même si il a compté autre fois, il ne compte plus, c'est toi. Toi qui as pris sa place, toi qui à occupée toutes mes pensées durant la dernière semaines. Tu es celui pour qui je n'ai pas mangé ni dormit, celui pour qui j'ai mis en danger ma vie et celle de notre enfants. Tu es le SEUL et le sera toujours. C'est toi que j'aime, pas lui... Je suis désolée que tu te sente mal ou peut-être même trahis mais il n'y a rien eu entres lui et moi et il n'aura jamais rien! Je t'en supplie fais moi confiance... Crois-tu que je serais dans cet état, affaiblit, blanche, cernée si je ne m'étais pas inquiété pour toi. Lorsque je t'ai vu franchir la porte, j'ai cru que j'allais défaillir, mes jambes ne me portait même plus et pourtant je suis restais forte pour nous deux. C'est toi que j'aime. Et même plus, je t'aime plus que l'amour lui même. Je n'arrive même pas à exprimer ce que je ressent pour toi. Tu es toute ma vie...

Matthieu était assez furax et ce ne fut pas difficile pour Hécate de le percevoir

-Qu'est-ce que t'as grogné ? C'est pas ma faute si j'en connais plus que toi sur les moldus!

Matthieu la foudroyait du regard. C’était assez maladroit de dire cela vu les raisons d’un tel savoir et aussi vu les raisons de l’énervement de Matthieu.

-Ah, c'est Hugo qui te met en rogne?

Matthieu ne répondit rien et Hécate comprit bien vite que son silence voulait dire oui. Elle s’empressa de poser son magazine pour prendre la tête du jaloux dans ses mains et de clamer

-Matthieu, tu es celui que je vais épouser. Celui avec qui j'ai décidée d'unir ma vie à tout jamais, celui avec qui je vais avoir des enfants. Je t'aime TOI et pas un autre... Hugo est du passé, nous nous sommes revue une fois et nous ne nous sommes même pas fait la bise ou serré dans les bras l'un de l'autre. Même si il a compté autre fois, il ne compte plus, c'est toi. Toi qui as pris sa place, toi qui à occupée toutes mes pensées durant la dernière semaines. Tu es celui pour qui je n'ai pas mangé ni dormit, celui pour qui j'ai mis en danger ma vie et celle de notre enfants. Tu es le SEUL et le sera toujours. C'est toi que j'aime, pas lui... Je suis désolée que tu te sente mal ou peut-être même trahis mais il n'y a rien eu entres lui et moi et il n'aura jamais rien! Je t'en supplie fais moi confiance... Crois-tu que je serais dans cet état, affaiblit, blanche, cernée si je ne m'étais pas inquiété pour toi. Lorsque je t'ai vu franchir la porte, j'ai cru que j'allais défaillir, mes jambes ne me portait même plus et pourtant je suis restais forte pour nous deux. C'est toi que j'aime. Et même plus, je t'aime plus que l'amour lui même. Je n'arrive même pas à exprimer ce que je ressens pour toi. Tu es toute ma vie...

-Nan, j’en suis qu’une partie de ta vie.

Matthieu baissa la tête.

-Excuse moi d’être ainsi jaloux mais…tu vois, si je me suis ainsi vite lié à toi, c’est parce que je voyais que tu me comprenais, tu avais toi aussi souffert : un père absent, une mère défunte, isolé du reste de la famille, des douleurs dans ses souvenirs. J’avais l’impression d’avoir mon homologue en féminin. Mais maintenant, tu t’es réconcilié avec ton père, tu n’as jamais été aussi uni avec ta sœur, tes anciennes douleurs de ton passé ont l’air d’être révolu et tu ne vois que du rose dans ton ou notre avenir...

Matthieu regardait toujours la table, résignait à ne plus regarder sa douce

-Alors que moi…mon père et moi sommes encore plus désunis, ma mère défunte hante mes cauchemars, mon passé est toujours si noir à mes yeux et mon avenir est toujours taché de sang.

Une larme coula sur la joue blanche du futur marié

-Je t’aime mais plus le temps passe, plus j’ai peur que nos points communs disparaisse et qu’un jour en te levant, tu me vois plus comme un étranger que comme ta vie.

Il se releva brusquement de sa chaise et cette fois se fut avec force qu’il clama

-Je sais ce que tu vas me répondre, je connais tes sentiments à l’heure d’aujourd’hui et je ne doute pas sur leurs intensités. Mais comme moi, tu ne connais pas l’avenir. Et j’ai bien peur que mon passé l’entache. Je veux des garantis l’a où il ne peut en avoir, je cherche des réponses qui n’existe pas encore…j’ai peur. Tu es blanche et cerne rien qu’à cause de moi, tu ne dors plus de ma faute. Mon mal-être est comme une maladie contagieuse qui pénètre en toi peu à peu. Alors imagine pour plus tard. Aujourd’hui tu supportes et tu m’aimes…

La pression retombait peu à peu.

-…mais demain…qui sait. T’es sentiment pourrait eux aussi s’estomper, tu me quitterais, trouverais l’amour ailleurs et tu dirais lui aussi à cet homme qu’il est ta vie et que je suis du passé.

-Nan, j’en suis qu’une partie de ta vie. Excuse moi d’être ainsi jaloux mais…tu vois, si je me suis ainsi vite lié à toi, c’est parce que je voyais que tu me comprenais, tu avais toi aussi souffert : un père absent, une mère défunte, isolé du reste de la famille, des douleurs dans ses souvenirs. J’avais l’impression d’avoir mon homologue en féminin. Mais maintenant, tu t’es réconcilié avec ton père, tu n’as jamais été aussi uni avec ta sœur, tes anciennes douleurs de ton passé ont l’air d’être révolu et tu ne vois que du rose dans ton ou notre avenir... Alors que moi…mon père et moi sommes encore plus désunis, ma mère défunte hante mes cauchemars, mon passé est toujours si noir à mes yeux et mon avenir est toujours taché de sang. Je t’aime mais plus le temps passe, plus j’ai peur que nos points communs disparaisse et qu’un jour en te levant, tu me vois plus comme un étranger que comme ta vie. Je sais ce que tu vas me répondre, je connais tes sentiments à l’heure d’aujourd’hui et je ne doute pas sur leurs intensités. Mais comme moi, tu ne connais pas l’avenir. Et j’ai bien peur que mon passé l’entache. Je veux des garantis l’a où il ne peut en avoir, je cherche des réponses qui n’existe pas encore…j’ai peur. Tu es blanche et cerne rien qu’à cause de moi, tu ne dors plus de ma faute. Mon mal-être est comme une maladie contagieuse qui pénètre en toi peu à peu. Alors imagine pour plus tard. Aujourd’hui tu supportes et tu m’aime…mais demain…qui sait. T’es sentiment pourrait eux aussi s’estomper, tu me quitterais, trouverais l’amour ailleurs et tu dirais lui aussi à cet homme qu’il est ta vie et que je suis du passé.

Isen s'était eclipsée. Hécate regarda Matthieu dans les yeux, ce qu'il disait était vrai mais il ne fallait pas doutée ainsi. Le doute engendrait souvent des problèmes. Elle ouvrit la bouche et lui sourit, un sourire franc et compréhensif.

- Mon chéri, si tu doute aujourd'hui de notre avenir, ce que je peut comprendre, comment arriverons nous à vivre le présent. Mon passé est toujours le même que le tiens. Le présent change, regarde nous! Tu as le bonheur devant toi! Même si tu vis aujourd'hui dans la haine, tu baigne dans l'amour d'une futur femme et d'un enfant. Je t'ai promis de ne jamais te quitter! Je tiendrais ma promesse. Pas parce que c'est une promesse, juste par ce que je tient à toi et je sais que mes sentiments ne changeront pas, ils grandiront encore sûrement lorsque l'être qui grandit en moi ouvrira les yeux pour la première fois et qu'il aura ton visage. Fais ce que tu as à faire et ne pense pas au passé... Pense à nous, au bonheur que nous vivons chaque jours. Tu es celui qui a changé ma vie. Ma mère avait un don... Elle voyait le futur et elle m'a parlé de toi! TOI et toi seul. Je t'attend depuis longtemps, sans toi, ma famille n'aurait jamais pu se reconstruire! Mon père est revenus vers moi lorsque je lui ai dit que tu était un Serpentard et que tu venais de Drumstrang... Crois-tu sincèrement que si je lui avait dit que tu étais un gentil Gryffondor il serait revenu vers moi? Et tu as Kaede... Ta cousine... Ne me dit pas que tu ne t'entends pas bien avec elle... D'après ce que tu m'as dit, elle veut aussi se venger! Vous avez des points communs, tout comme moi et ma soeur! Ne renie pas ce qui t'arrive... Ne l'oublie pas, ne Nous oublies pas, moi, ta cousine et l'enfant qui grandit dans mon ventre... Ton futur n'est pas si noir que tu veux le croire... Je ne me lasserais pas de toi, crois moi. Tu n'as jamais été un étranger pour moi et tu ne le sera jamais non plus!

Elle attrapa les mains de Matthieu et les serra dans les siennes avant de les passer dans les cheveux noirs de son bien aimé. Elle essayait de le recoiffer mais en vain, elle ne voulait ni montrer ni admettre qu'elle avait peur qu'il la quittes! Si lui n'était pas assez fort alors elle le serait pour eux deux, pour son bonheur à lui. Elle s'accrocherait au moindre bout de corde ou de bois pour maintenir un bonheur constant et si lui avait peur de leur futur, elle n'avait aucun doutes dessus. Son bonheur était en face d'elle. Cet asiatique brun aux yeux magnifiques et aux lèvres douces. Cet asiatique poète, ce serpentard, anciennement de Drumstrang, Baudelairiens! Son poète, son fiancé, son futur mari et le père de son futur enfant. Non, elle n'avait aucuns doutes, d'autant plus qu'elle avait la parole de sa mère. Elle mit une main sur le pendentif en forme de goute qui prônait sur son cou et le détacha. Elle passa la chaîne autour du cou de Matthieu et l'y attacha.

- Ce pendentif m'a été donné par ma mère, c'est la seule chose qu'il me reste d'elle auquel je tiens vraiment. Je te le donne.

Malgré les révélations de Matthieu, malgré qu’il est fait par de ses doutes, de ses craintes, de ses peurs, Hécate ne parut pas le moins du monde effrayé. D’en un sourire magnifique, elle lui répondit.

-Mon chéri, si tu doute aujourd'hui de notre avenir, ce que je peut comprendre, comment arriverons nous à vivre le présent. Mon passé est toujours le même que le tiens. Le présent change, regarde nous! Tu as le bonheur devant toi! Même si tu vis aujourd'hui dans la haine, tu baigne dans l'amour d'une futur femme et d'un enfant. Je t'ai promis de ne jamais te quitter! Je tiendrais ma promesse. Pas parce que c'est une promesse, juste par ce que je tient à toi et je sais que mes sentiments ne changeront pas, ils grandiront encore sûrement lorsque l'être qui grandit en moi ouvrira les yeux pour la première fois et qu'il aura ton visage. Fais ce que tu as à faire et ne pense pas au passé... Pense à nous, au bonheur que nous vivons chaque jours. Tu es celui qui a changé ma vie. Ma mère avait un don... Elle voyait le futur et elle m'a parlé de toi! TOI et toi seul. Je t'attend depuis longtemps, sans toi, ma famille n'aurait jamais pu se reconstruire! Mon père est revenus vers moi lorsque je lui ai dit que tu était un Serpentard et que tu venais de Drumstrang... Crois-tu sincèrement que si je lui avait dit que tu étais un gentil Gryffondor il serait revenu vers moi? Et tu as Kaede... Ta cousine... Ne me dit pas que tu ne t'entends pas bien avec elle... D'après ce que tu m'as dit, elle veut aussi se venger! Vous avez des points communs, tout comme moi et ma soeur! Ne renie pas ce qui t'arrive... Ne l'oublie pas, ne Nous oublies pas, moi, ta cousine et l'enfant qui grandit dans mon ventre... Ton futur n'est pas si noir que tu veux le croire... Je ne me lasserais pas de toi, crois moi. Tu n'as jamais été un étranger pour moi et tu ne le sera jamais non plus! Ce pendentif m'a été donné par ma mère, c'est la seule chose qu'il me reste d'elle auquel je tiens vraiment. Je te le donne.

Elle lui avait accroché un pendentif autour du cou. Matthieu sourit et l’embrassa.

-Tu as raison mon ange. Allez on s’attaque aux préparatifs.

Isen était revenu et ils se mirent enfin aux choses sérieuses. Sur ce coup là, Matthieu ne fut pas d’une grande aide, au contraire. Isen et Hécate se faisaient des envolés lyrique, sortaient des magazines à tout va, sortaient des mots inconnus au Serpentard. Celui-ci ne faisait qu’acquiesçait bêtement aux propositions de sa belle ou en ponctuant le débat par des « Ta raison » ou « Faisons comme cela ». Matthieu avait autre chose en tête, quelque chose de bien plus funeste que son mariage. Hécate avait raison, il devait arrêter de se morfondre dans son passé. Mais pour cela, il devait régler ce qui devait être régler…dés demain.

» Vava pour un mariage

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