Entrée remarquée [ Libre à encore 3 personnes sans Eli ]

Le jeune homme venait à peine d'arriver dans la salle commune que les personnes y résidant le regardaient comme à son habitude. C'était l'un des serpentard les plus beaux mais aussi le plus mystérieux. Personne ici ne savait son passé ni encore moins la situation de ses parents mais cela aurait été plus qu'horrible. Des amis ou plutôt collègue de maison me diriez vous car oui, il s'amusait souvent aux dépends des autres et même si les garçons n'étaient pas spécialement attirés par lui, ils n'étaient pourtant pas rejeté. Mignon, malin, moqueur, Matthew avait tout l'air du parfait garçon sans scrupule qu'on adore pour ses beaux yeux. Mais croyez-le ou pas, le serpentard avait autant d'intelligence que de beauté et cela, c'était extrêmement rare dans ces lieux. Des filles à tomber par terre, il y en avait assez pour caser tous les mecs de Poudlard mais des demoiselles jolies, sympathiques et intelligences, le nombre diminuait affreusement. Comme tout autre garçon, Drew ne recherchait pas spécialement les plus faciles mais vu qu'elles lui tombaient dans les bras, que faire? On en profite et après la poubelle suit. Mais c'est une habitude dans cette école de sorcellerie de se faire jeter au bout de quelques jours, la plupart du temps, les jeunes sont si contentes d'avoir été choisit qu'elles se sentent puissantes même après avoir été larguées sans élégances. Car peut-être que la plupart des garçons le font le plus tendrement possible mais Matt n'est pas de ceux-là. Il est franc, sans trop l'être et son caractère est assez dangereux. On se demande pourquoi le jeune homme a été admit dans cette maison, aucune des autres n'aurait pu le convenir autant. Que des adolescents cherchant le pouvoir se trouvaient ici et comme eux, il cherchait avant tout d'être reconnu mais nullement envers ses professeurs ou du monde sorcier, non mais de sa famille. Chose que personne ne sait, encore moins que le serpentard est atteint d'une maladie. Ce sont des détails qu'il ne dit pas, on ne s'en vante pas sur tous les toits quand on appartient à cette maison!

Bref, l'adolescent les regarda sans trop d'attention et alla s'asseoir sur l'une des chaises vides, seul. La popularité, il en avait plus que marre, sans le montrer. Il n'y avait pas que les filles de sa maison mais toutes celles de Poudlard. Enfin, le fait d'être apprécier avait aussi des avantages... Alors que Matthew sortait un parchemin pour bâcler l'un de ses devoirs de Métamorphose, plongé dedans, une personne le regardant le fit sortir de sa rêverie et il releva la tête puis se tourna. Plus loin, une jeune fille ne le lâchait pas des yeux. Après un vite sourire narquois, il replongea dans son devoir. Qu'est-ce que travailler l'horripilait! Mais s'il voulait sortir le soir, il fallait le faire.

Juna était dans la salle commune des serpy, elle avait fini de faire son tour de l'école qui se révélait être horriblement grand, rustique mais quelque peu confortable, enfin... Elle repensa à ses escaliers fous et cette horrible fantôme débile qui avait essayer de l'attaquer mais sans succès *il y pensera à deux fois avant d'attaquer une japonaise* elle sourit en repensant à la façon où grâce à un souffle de vent l'affreux fantôme s'était retrouvés face a un autre fantôme, qui se prénommait le baron sanglant, et d'un coup peeves c'était fait tout petit. La japonaise observait un peu tout le monde, elle n'avait pas remarqué d'asiatique dans cette école. Mais s'en fichait pas mal, c'était juste pour voir si elle était la seule à venir du Japon. Un jeune homme entra dans la salle et une bonne partie de ceux qui y résidaient le regardèrent, le regard de Juna tourna donc vers ce garçon, elle ne lui trouvait rien de spécial à part qu'il se la jouait et que de nombreuse personne l'avait en admiration. La japonaise trouva cela pitoyable en voyant une fille rougir violemment en le fixant qu'elle en leva les yeux au ciel. Oui, il était plutôt mignon pour un anglais...

La japonaise fit alors comme tout le monde elle l'observa, ou plutôt l'étudia d'un regard froid et neutre, cheveux noirs, plus long que la moyenne et il avait une certaine assurance. C'était peut-être cela qui faisait que les filles le regardaient presque en bavant sans oser lui parler. *Les anglaises sont vraiment idiotes, si elle aime bien un garçon, il faut aller lui parler, bon je crois que je vais leur montrer l'exemple.*

Juna remarqua qu'il était allé s'asseoir tout seul, ce qui donnait une idée du personnage, pour y faire un devoir. On voyait bien que cela ne l'intéressait pas plus que sa, mais au moins, lui à quelque chose à faire pensa Juna amère. On lui avait donnée une semaine de congé pour s'adapter mais elle était déjà allait à un cour car ici tout était inintéressant et franchement monotone. Elle avait fait la connaissance de plusieurs filles de serpentard mais n'avait pas envie d'aller leur parler...

La japonaise remis une mèche de ses long cheveux en place et alla ce garçon, histoire de voir un peu ce qu'on lui trouvait car comme cela elle ne voyait qu'un garçon orgueilleux qui se la jouait... *toi aussi, tu es orgueilleuse et tu ne te prends pas pour n'importe quoi* pensa Juna, mais MOI je suis japonaise et de sang pur ! Comme ci cela expliquait tout. Aux 1ers abords, oui elle était orgueilleuse, mais dès que l'on avait en amie on pouvait voir ses autres facettes mais il valait mieux l'avoir en amie qu'en ennemie.

Juna se dirigea donc d'une démarche certaine vers le garçon et prit un siège vide en face de lui. Profitant d'un instant qu'il levait la tête et lui d'une voix sure avec un accent japonais

"Devoirs ?! Tu n'as pas l'air motiver ! C'est quoi la matière?"

Elle n'avait trouvé rien de mieux, c'était juste histoire d'engager la conversation, et de toute façon on voyait bien que Juna venait d'arriver.

Elisabet pénétra dans sa salle commune après avoir fini son inspection des lieux. Sa journée avait été calme et très interressante. La verte et argent avait assister à la réunion des préfèts où elle avait apprit des choses qui lui serrait bien utile en temps voulu. Son directeur de maison l'avait un peu retenue à la fin de cette réunion pour connaitre ses projets d'avenir.

En effet, la jeune femme entammait sa septième et dernière année à Poudlard. Elle envisagait sérieusement de poursuivre une formation d'Auror, de rentrer et de se faire une belle place au ministère avant de partir prêter allégence au Seigneur des ténèbres. Ses parents seraient si fiers d'elle. Toute sa famille était passée par la noble maison des Serpentards et avait une belle place dans la vie.

La préfète en était la de ses réflèxion lorsqu'elle pénétra dans la salle commune bondée à cette heure-ci. Un brouhaha d'enfer y reignait ce qui déplut grandement à la jeune femme. Elle jetta un regard circulaire à la pièce et repéra un attouppement de filles entrain de glousser en regardant un jeune homme et une jeune femme penchés sur un parchemin.

Elisabeth avait déjà vu ce garçon plusieurs fois. Il était sur de lui, arrogant au possible et très dissipé en classe. Il avait aussi une réputation de coureur de jupon même si celà ne faisait rien du tout à la jeune femme. Chacun vivait comme bon lui semblait. Le vacarme de la salle commune augmenta encore d'un cran. Prenant son rôle de préfète à coeur, la verte et argent décida d'intervenir. Elle pointa sa baguette vers sa gorge et sans prononcer la moindre formule, sa voix s'amplifia.

Elle avait la parfaite maitrise des sorts informuler depuis bien des années, c'était une des élèves les plus douées de Poudlard. Bien qu'elle était arrogante, méchante et sans pitié, elle était aussi d'une intelligence exemplaire et d'une loyauté incomparable. La verte et argent se dirigea vers un coin isoler sans se faire voir. Elle était cachée par la pénombre.

"Je veux et j'exige le silence maintenant, cette salle est un lieu de travail et non de bavardage. Si vous tenez à discuter, direction vos dortoirs ou un autre endroit que la salle commune." Hurla-t-elle d'un ton glacial.

La préfète sortit de la pénombre ses yeux noisettes lancant des éclairs. Personne n'osa répondre négativement à sa requête. De nombreux élèves saisirent leurs effets personnels et sortirent de la salle commune pour se diriger loin de la verte et argent. Elle repointa sa baguette sur sa gorge et sa voix redevint d'une tonalité normale.

Elle jetta un coup d'oeil à la salle commune qui s'était vidée. Seul quelques élèves étaient encore là pour travailler. Un sourire en coin se dessina sur ses lèvres. La jeune femme se dirigea alors vers son canapé favorit devant la cheminée, juste à coté du jeune homme qui attirait tellement de fille. Elle posa son regard sur lui.

*C'est vrai qu'il est mignon.* Pensa-t-elle avant de reporter son regard sur les flammes dansantes dans l'âtre.

L’inspiration venait instinctivement chez lui, quel que soit le sujet à traiter, il écrivait sans pouvoir s’arrêter et aussi pour fermer le clapet à ses professeurs. Quand on est un garçon, qui plus est, un dominant, on s’amuse à rabaisser les autres et c’était bien son occupation favorite parmi tant d’autres. En réalité, les filles n’avaient pas de place dans sa vie mais Poudlard était tellement ennuyé parfois qu’on se distrait avec ce qu’on a sous les yeux. Pourtant, cela l’agaçait plus qu’autre chose. Il n’y en avait pas une seule dans cette foutue école qui ne le regardait pas, accompagnée de petites étoiles scintillantes dans les yeux ou qui veuillent bien le remettre à sa place. Cela ne lui plairait pas une fille avec du caractère était déjà quelque chose que le jeune homme apprécie. Il n’aimait pas les faibles, et qu’elles soient à Serpentard ou pas n’y changeait pas vu le nombre de filles qui le continuait de le regarder, six ans après son entrée dans cette fabuleuse école, qui est pour Matthew, une véritable prison. Les fenêtres n’avaient pas de barreaux mais cela n’empêchait rien. Depuis sa première année, on le prenait pour quelqu’un hautain et d’arrogant mais il cachait avant toute sa vraie personnalité, comme tous. On préfère qu’on nous critique pour des choses fausses que l’inverse et le jeune homme ne désobéissaient pas à cette règle cruciale. Tout d’abord, s’il n’avait pas ce caractère et ce passé qui lui prodiguait cette détermination sans limite, Drew n’aurait rien à faire dans cette maison. Oui, peut-être que cela peut vous paraître idiot et sans intérêt mais on ne lui avait demandé ses origines mais il n’était pas sang pur et encore moins sang mêlé. Et bien que les demoiselles se cramponnent sur leurs chaises car il avait des origines moldus, le jeune homme aurait pu le crier sur tous les toits mais à quoi bon cela lui aurait servit ? Ah rien … Il ne jugeait pas son entourage sur son sang mais sur son caractère avant tout. Notre famille ne nous donne rien, il en faisait la triste expérience, étant presque renié depuis la naissance de son petit frère, qui maintenant n’était plus si jeune que ça. Alors que sa plume bougeait toujours, signe que l’adolescent écrivait, un bruit le sortit de ses pensées. Il lui fallait bien cela, penser car parler en tout honnête n’était pas son fort.

Levant les yeux, plus exaspéré qu’autre chose, le serpentard vit qu’une asiatique, sûrement japonaise, c’était installé en face de lui et ne lui faisait pas les yeux doux. Sa première pensée fut : « allénouiiia ! », mais il se retint de le crier. Elle n’avait l’air ni intimidé ni prise d’une quelconque gêne en l’abordant comme cela. D’ailleurs, des cris se firent entendre un peu partout dans la salle. Mais que ces filles se taisent une bonne fois pour toute, pensa t-il avec haine. Un jour, sans qu’elles ne s’y attendent, il allait en poignarder tout un groupe de ces idiotes. Quand la Japonaise prit la parole, il dut renoncer durant une courte durée d’écrire et posa sa plume sur la table sans prendre en compte les quelques gouttes d’encres qui tombaient sur la table. Matthew la regardait, l’air ennuyeux par toutes ces groupies sans aucun intérêt.

« Il faut bien les faire, hein »

Dit-il simplement, exaspéré. N’en pouvant plus des bruits incessants, il tourna la tête vers un groupe et les foudroya littéralement du regard, « Silence » cela voulait dire puis se remit dans sa position initiale et continua dans sa lancée.

« Métamorphose »

Et voilà que les bruits recommençaient mais ça n’avait rien à voir avec sa petite personne. Une préfète venait d’entrer pour faire renier l’ordre, il ne pu cacher un petit sourire narquois, montrant sa face de personnage supérieur. Celle-là, on lui en avait tellement parler, il ne fallait pas parler trop fort en sa présence, mais que quand cela lui était plaisait. Enfin, le jeune homme n’avait jamais eu de problème avec cette fille alors les soucis des autres s’envolaient comme une brindille à l’approche d’une violente tempête. Sa voix s’amplifia et le jeune homme reprit sa plume et continua d’écrire sans accorder la moindre importance aux autres.

« Faites comme moi, travailler »

C’était plus qu’ironique, bien entendu, surtout quand on le connaissait un tant soit peu. Ce n’était absolument pas l’élève modèle qu’on pourrait croire. Il se mettait toujours derrière au dernier rang ou presque et s’amuser à rabaisser les professeurs en leurs fermant le clapet.

"Il faut bien les faire,hein" c'était sur, mais Juna leva les yeux au ciel devant le peu de conversation que ce garçon avait... Enfin, il lui avait posé une sorte de question le petit "hein" à la fin. Puis la japonaise se rendit compte qu'il n'était pas exaspéré par elle, ou peut-être un petit peu mais devant tout le bruit que faisait la salle... C'était infernal, Juna leur aurait bien dit de se taire mais elle venait à peine d'arriver et se dit qu'elle devait attendre quelque jours avant de pouvoir leurs faire comprendre clairement de la fermer... Métamorphose ? Aïe une matière des plus compliquée, enfin selon son avis.
Lorsque la préfète entra et fit enfin régner l'ordre, Juna lui envoya un sourire, elle aimait l'autorité qu'inspirait cette fille et qui avait le bon sens de l'utiliser pas comme tout ses préfets qui laissaient tout faire et qui horripilaient la japonaise.

« Faites comme moi, travailler » Juna fallu avoir un rire moqueur mais se retint, elle blesserait sûrement le serpy, généralement elle s’en fichait mais comme il avait l’air de connaître tout le monde elle ne voulait pas avoir tout le monde sur son dos parce qu’elle avait blessé le « beau gosse de service » c’était comme sa qu’elle voyait le jeune homme pour l’instant, il faut dire il ne montrait pas une image très flatteuse de lui. La japonaise se pencha vers lui et lui chuchota tout en le regardant dans les yeux.

« C’est sûre que toi tu travailles énormément… »

Elle ne put réprimer un sourire en coin, mais tout de même avec un visage sérieux, le jeune homme pouvait donc comprendre qu’elle rigolait mais personne d’autres ne savait qu’elle avait dit qu’elle chose vu qu’elle l’avait chuchoté et que son visage n’avait pas changé d’expression. Après cela elle se remit confortablement dans son fauteuil et haussa un sourcil… Tout juste après cela la préfète s’assit à côté du garçon. Juna la regarda puis lui sourit… C’était extrêmement bizarre de sa part d’être tout de suite gentille avec quelqu’un qu’elle ne connaissait pas mais elle avait aimé la façon dont elle avait remis en place tout le monde. La verte et argent se demanda si elle était autorisée à la saluer, elle se demandait si la serpy n’allait pas la rembarrer méchamment en lui disant qu’elle avait ordonnée à tout le monde de ce taire, Juna l’avait déjà fait plusieurs fois, c’est pour cela qu’elle hésitait mais après tout tant pis se dit-elle ! Elle se tourna alors vers la préfète et lui dit :

« Merci pour le silence, sa fait du bien d’arrêter un peu tout ce boucan »

Après avoir dit cela, elle se tourna de nouveau vers le jeune homme qui faisait son devoir, elle regarda un peu et se rendit compte qu’elle connaissait cette matière… Elle n’hésita pas une seconde à l’embeter de nouveau, car Juna était comme cela ! Et tant pis pour ceux qui l’a rejetterais !

« Tu veux de l’aide, parce que là sans vouloir te vexer c’est plus du bâclage c’est un massacre… »

La japonaise cligna des paupières, elle ne se rendit même pas compte qu’elle pouvait blesser le serpy même si elle avait dit « sans vouloir te vexer » elle observa la réaction du jeune homme, attendant soit qu’il lui dise d’aller voir ailleurs soit il accepte son offre. Pour donner plus de poids à ses paroles elle ajouta :

« Tu bâcles ton devoir ok, mais sa cela ne sert pas à grand-chose si il est tellement mauvais que tu doives le refaire enfin, tu fais ce que tu veux… »

Suite à cela elle regarda cette fois la préfète comme pour la prendre à témoin.

Il ne releva pas la remarque, elle ne savait rien sur lui et comme tous, elle devait le juger sur de simples apparences. On lui avait dit en étant jeune qu’une personne comme cela ne vaut pas le coup mais s’il écoutait cette petite voix, alors personne ne devrait lui parler à Poudlard et la solitude, c’était bien quelque chose qu’il haïsse plus que tout. Avec cette enfance étrange et sans parents pour l’aider quand il avait des problèmes, le jeune homme a dut trouver la force de vouloir continuer, les choses ont été faites, il avait changé, son cœur s’était consolidé avec le temps. On le croyait de marbre, ils allaient être surpris, encore une fois. Lui aussi avait des sentiments, des beaux, des vrais mais comme tout on dissimule ce qui pourrait nuire et le reste importe peu au-delà des apparences. Il souffla et pivota la tête, fatigué qu’on lui pose des questions ou des ultimatums comme s’il devait automatiquement tomber du haut d’un puits. Mais ce que les autres pensaient de l’atteignait pas, ce n’était pas pour rien qu’on le traitait de mystérieux mauvais garçon. Enfin, mauvais c’était aussi apparence, il aimait prendre des risques et ne se plaignait pas, dit ce que vous voulez sur son compte mais ce n’est pas pour cela que l’adolescent vous enverra à l’infirmerie. Drew la regarda sans lui accorder la moindre haine, si c’était pour qu’on attende encore une réponse de sa part, ce n’était même pas la peine d’y réfléchir.

-Tu es bien loin du compte.

Dit-il malicieusement. Pourquoi d’ailleurs ? L’adolescent n’en savait rien, les paroles étaient sorties toutes seules tout à l’heure avec la préfète. C’était de l’ironie, rien de plus. Juste une occasion de l’ouvrir, voilà tout et rien de plus. Lui aussi savait très bien que travailler n’était absolument pas son fort mais il le faisait, c’est un devoir comme chacun a aussi des droits. La jeune fille ne s’occupa plus de lui et le jeune homme ne pu continuer son devoir pour autant, elle venait de remercie la préfète, qui s’était installée dans un fauteuil loin d’eux, comme par hasard. Drew, ne t’imagine pas encore des choses sans queue ni tête. Puis sans qu’il ne puisse dévisager plus longtemps la nouvelle venue, il fut interrompu par la Japonaise. Elle lui proposait son aide maintenant, il avait une tête à être aidé ? N’osant pas répondre sèchement, il lui fit juste un petit sourire douloureux à cause de son mal de tête incessant.

-C’est gentil mais non, j’aurais la moyenne, c’est tout ce qui compte avec ce professeur de malheur.

Il ne l’aimait pas et c’était réciproque. Toujours à se tenir tête, on aurait dit des rivales sauf que le jeune McCartney l’a trouvait mole et absolument pas de son niveau. Elle était professeur, normal que diriez-vous qu’elle soit meilleure dans sa matière mais à son âge, comme cette charmante femme devait être ? Comme les autres !

Elle continua sur la lancée et cela ne le blessa aucunement mais il prit un air contrarié en se rappelant que son professeur lui avait proposé un deale qu’il avait accepté. Mais quel idiot !

-Ce n’est pas une nouvelle qui me fera changer ma façon de rendre les devoirs stupides et sans aucun intérêt de cette femme, sans vouloir te vexer bien sur !

Rajouta-il en laissant apparaître un sourire pas vraiment amical mais loin d’être moqueur ou méchant. C’était déjà mieux qu’a son habitude.

Elisabeth était venue s'assoir à coté de jeunes gens de Serpentards assez travailleurs au premier abord. Eli plongea son regard dans les falmmes après avoir vu la jeune verte et argent lui sourire. Ses yeux plongèrent dans les flammes dansantes de l'âtre, le silence qui réignait dans la salle commune en était tellement apaisant qu'elle laissa ses pensées vagabonder où bons leur semblait.

Elle était heureuse d'être respèctée par les gens de sa propre maison et crainte des élèves des autres maisons. Son nom était connu, respècté et craint. Jamais aucune préfète avant elle n'avait eu autant d'influence sur les élèves. Les professeurs la remerciaient et étaient à sa botte. Sauf le professeur Rogue qui voyait clair dans son jeu. Elle fut tirée de ses pensées par la voix de la jeune japonnaise qui la remerciait pour le silence.

"Je ne fais que mon travail de préfète. Cette salle doit être un sanctuaire la soirée pour permettre aux élèves de se conscentrer et de travailler dans le calme et la sérénité." Lui répliqua-t-elle avec un petit sourire en coin.

La jeune femme entendit alors la japonnaise faire une remarque au jeune homme situé juste en face d'elle. Celà la fit sourire, elle connaissait le comportement de ce jeune homme, elle avait eu une discution à son sujet et MacGonagall lui avait fait part du manque de politesse dont il faisait preuve envers ses professeurs. Elle se tourna alors vers lui.

"Je désirerait te parler de certaines choses quand tu en auras le temps. Tu as eu certaines attitudes impensables venant de cette noble maison des Serpentards." Lui dit-elle d'un ton glacial.

Eli n'aimait pas particulièrement ce jeune homme imbut de lui-même et pensant qu'il pouvait jouer avec tout le monde. Seulement, il n'avait encore jamais eu affaire à elle et il en subirait les conséquences. Ses beaux yeux ne l'attendrissait aucunement et elle resterait de marbre devant lui. Personne ne défiait son autorité et ce ne serait pas aujourd'hui que celà arriverait.

Le jeune homme déclina son offre, lui souriait, si chaleureusement ni de façon hypocrites et c'était tant mieux, il souriait c'était déjà sa... Juna s'en fichait pas mal qu'il lui est dit non, elle s'ennuyait profondément et cherchait juste à faire quelque chose et voyait que le serpentard n'avait pas envie de parler la japonaise légèrement agacée laissa échapper un petit soupir discret. Après tout si il voulait avoir des ennuis c'étaient tant pis pour lui. Elle lui précisa tout de même

"Je ne te critique pas, je cherche juste quelque chose à faire... Enfin, c'est comme tu veux"

La japonaise haussa les épaules et se demanda ce qu'il répondrait à cela, si il répondait bien sur...
Alalala, la guerre avec les professeurs ! Que cela pouvait être ennuyeux des fois... C'est alors que la préfète lui répondit "Je ne fais que mon travail de préfète. Cette salle doit être un sanctuaire la soirée pour permettre aux élèves de se concentrer et de travailler dans le calme et la sérénité". Bon Juna était en partie d'accord, mais pas complètement si l'on voulait travailler autant aller à la bibliothèque mais c'était vrai que des fois cela pouvait être pénible en même temps, on ne pouvait faire de bruit quasi nulle part donc selon l'avis de la japonaise il fallait en profiter un peu dans la salle commune ! Elle préféra tout de même se taire car elle ne cherchait pas la bagarre même si elle avait son point de vue...

Des yeux la sepentarde chercha quelque chose à faire et rien ne lui vint à l'esprit... Que Poudlard était ennuyeux ! Juste lorsqu'elle se disait cela la préfète dit quelque chose qui retint l'attention de Juna "Je désirerait te parler de certaines choses quand tu en auras le temps. Tu as eu certaines attitudes impensables venant de cette noble maison des Serpentards." Après cette phrase Juna se dit que là il y aurait de la conversation ! Et ne esquiver un sourire en coin attendant la réaction du serpentard concerné. Elle pensa aussi qu'elle avait bien deviné, ce jeune homme faisait une guerre avec les profs, une plus particulièrement et devina que c'était celle de métamorphose. C'était bizarre mais ce genre d'élève ne donnait à Juna aucun sentiment, aucune sympathie, aucune méchanceté il faut dire qu'il n'était pas prédisposé aux relations sociales normalement... Mais elle pensa que généralement les élèves comme ceux ci n'était pas populaire et ne rendait pas les filles aussi idiote... La japonaise se demanda si elle chercherait à le connaître plus ou ferait comme d'habitude, c'est à dire rien du tout... La verte et argent se prit de contemplation pour le feu qui brûlait en attendant la réaction qu'aurait le jeune homme suite à cette phrase peu flatteuse et pleine d'autorité...

Il souffla à son tour. Sa façon de dire les choses n’était pas souvent prise comme le jeune homme le voudrait mais après tout, se faire détester par celles qui ne l’aimaient pas ne le dérangeait pas. Il ne leurs montrait pas sa vraie personnalité alors qu’importait le reste. C’était ses manières impolies qui ne plaisaient pas mais quand on vit avec une famille qui vous déteste et vous méprise, rien n’a plus d’importance que votre bien-être. Matthew aurait voulu s’excuser tellement de fois depuis son arrivée à Poudlard mais la réalité n’était pas si facile, chaque décision, chaque parole était jugée et c’est l’une des raisons pour laquelle l’adolescent n’avait jamais fait part de ses pensées et de ses réelles attentions. Il fut un temps où lui aussi sautait partout et rigolait pour un rien, mettant de la joie partout ou son corps passait, que travailler était un réel plaisir la nuit quand son frère dormait paisiblement mais ce temps avait changé, il avait changé surtout. Cette fille n’en savait rien, comme cette préfète et comme tous les autres. Et puis même si des adolescents étaient au courant, comprendraient –ils la douleur d’un enfant sans l’avoir vécut ? Non, c’est quelque chose d’insurmontable, surtout quand on a tellement de convictions et d’espérances, cela fait l’effet d’un plat dans une piscine.

- C’est automatique, on vient tellement me voir juste pour m’ennuyer que chaque personne s’approchant trop près n’a pas une bonne opinion de moi … je ne te dirais pas désolé car je ne le pense pas, c’est comme ça, j’ai une façon de voir le monde assez particulière.

Et une bonne réponse, le détecteur de mensonge n’aurait pas sonné ! Son parchemin toujours présent sur la table, après avoir eu affaire à une japonaise pour le moins inhabituel, il sourit intérieurement en pensant à un détail peu important mais tout de même. Sur le coup, le jeune homme n’avait pas pensé à cela mais si c’était réellement une japonaise, il espérait qu’elle ne serait pas dans la même année que lui, sinon les insultes en japonais ne passerait plus. Oui, c’était l’une des seuls choses qui lui avait servit, être trilingue. Même sous cette carapace, la culture l’intéressait toujours autant, que se soit en train de lire un livre ou d’aller à la bibliothèque pendant les heures où personne d’assez futé n’irait, normal car c’était la nuit. Le jeune homme avait eu une permission, étant insomniaque et n’aimant pas le bruit. C’était un secret. C’était cette fille qui se croyait dominatrice qui lui disait cela. Un serpentard dans les normes n’avait rien de gentil ou de polis sauf qu’ils jouaient la comédie, être sincère était-il un crime ? Surtout venant d’une vert et argent qui avait aussi des choses à se reprocher. Poser des problèmes aux autres n’était pas quelque chose qu’il n'apprécie, sauf en cas utiles. Son professeur de potion l’avait bien cerné, c’était peu dire et Matthew pensait exactement comme lui. On ne fait jamais confiance à une fille, encore mois quand celle-ci vient de sa maison.

- Tu voulais plutôt dire que je ne me défile pas comme vous, c’est ça ou j’ai mal compris ?

Dit-il le ton calme et posé, le regard fixement dans les yeux sans avoir la moindre émotion sur le visage. Qu’on vienne lui donner des ordres était déjà quelque chose qu’il n’apprécie pas mais venant d’une préfète, encore moins. Puis elle n’avait eu que la version du professeur, était-ce sa faute si son niveau intellectuel était plus haut que les autres ? Drew l’aurait foudroyé du regard s’il en avait eu l’envie, comme ceci les deux auraient pu jouer à celui qui envoie le plus d’éclairs mais sa santé n’était pas très bonne ces jours derniers. Une fatigue incontestée s’était fit ressentir et il avait encore inventer quelque chose pour ce cher professeur de Métamorphose pour ne pas qu’elle devine qu’en réalité, sa vie pourrait se stopper maintenant.

Elisabeth esquissa un sourire en coin. Son insolence plaisait grandement à la jeune femme. Les échos venant des professeurs étaient donc bel et bien fondés. Ce test avait porter ses fruits. Son rôle de préfète lui avait permis d'avoir une ascendance particulières sur ses condisciples. Peu de gens osaient s'opposer à elle et ce jeune homme le faisait d'une façon tellement désinvolte que celà la faisait bien rire intérieurement.

La verte et argent voulait le tester et par la même occasion découvrit les secrets que cachaient cette jeune personne. Ce qu'Elisabeth désirait le plus était que sa noble maison soit au sommet de sa pussance avant son départ au mois de juin. Elle devait donner son avis quand au choix de la personne capable de la remplacer quand elle partirait et elle désirait quelqu'un ayant du caractère et sachant se faire respecter.

Une seule condition était cependant demandée, que l'élève en question aie de bon nes même très bonnes notes. La jeune femme voulait tester le plus grand nombre de ses condisciples en les retranchant dans leur derniers remparts. Elle voulait vraiment quelqu'un de parfait et pouvant continuer son oeuvre.

"Je ne comprend pas très bien le sens de ta phrase. Voudais-tu insinuer que je suis une lache??" Le questionna-t-elle d'un ton glacial.

Peut-être la jeune femme s'était-elle mal exprimée lorsqu'elle avait demander à parler au jeune homme. Eli voyait bien que cette conversation inspirait et interraissait grandement la jeune japonnaise. La verte et argent aurait vraiment préféré parler au jeune homme en particulier. Mais maintenant, elle se voyait mal demander à la jeune femme de quitter la pièce ou encore demander au jeune homme de la suivre dans une pièce isolée.

Juna écouta la réponse du serpentard qu'elle jugea plutôt bizarre "- C’est automatique, on vient tellement me voir juste pour m’ennuyer que chaque personne s’approchant trop près n’a pas une bonne opinion de moi … je ne te dirais pas désolé car je ne le pense pas, c’est comme ça, j’ai une façon de voir le monde assez particulière." Elle s'en fichait qu'il lui demande pardon ou pas, d'ailleurs pourquoi devrait-il le faire ? Il ne l'avait pas insulté il lui avait répondu poliment et à part son manque de conversation, il n'avait rien à ce reprocher, du moins vis à vis d'elle...

Quand au manque de conversation c'était aussi de sa faute, elle n'avait pas cherchée à étaler plus de 3phrases l'unes à la suite de l'autre ! Juna prit le partie de lui sourire et de lui répondre en toute sincérité ce qu'elle pensait

"Je n'attends aucune excuse de toi, je ne vois même pas pourquoi tu devrais t'excuser, a moi tu ne m'as rien fait !
Je m'appelle Juna, Juna watanabe et je viens du Japon et toi?

Le jeune garçon répondit à la jeune préfète d'une manière plutôt sèche mais que Juna apprécia, c'était franchement bien jouée, elle lui aurait bien fait un clin d'oeil mais cela aurait pu être blessant pour la préfète la japonaise s'abstint donc ce genre de fantaisie. Et de plus, elle n'avait pas à se mêler des affaires des autres mais le fait qu'ils s'engeulent juste devant elle n'arrangeait en rien les choses.

La serpentard remarqua que la préfète avait compris le sens de la phrase du jeune homme, et n'avait pas du tout l'air contente, Juna comprenait cela ne l'aurait pas enchantée non plus, mais entre être lâche et avoir de l'autorité il y avait tout un monde, le serpentard n'avait dit cela que pour que la préfète réponde justement ce qu'il attendait et qu'il s'éloigne du sujet initial, Juna ne se serrait pas fait prendre mais ne se serait pas non plus empêché de lui demander des comptes...

La japonaise regarde donc le serpentard d'un autre oeil, il était loin d'être idiot et plutôt manipulateur, elle aimait bien cela, mais ne savait ce qu'elle devait faire, si elle lui souriait la préfète prendrais sûrement cela comme une insulte.

"Je dérange peut-être ? Vous voulez que je m'en aille ? On se reparlera une autre fois ?

La japonaise dit cela sans s'adresser à une seule personne précise, de façon à ne pas savoir à qui cette phrase était adressée. Elle n'avait pas envie de partir mais il ne fallait pas oublier d'être polie, elle se devait de respecter cela.

Il conclut bien rapidement qu’avec les deux personnes présentes, son devoir devrait attendre. Tant pis, sa sortie ce soir sera retardée, Matthew dormira encore moins longtemps que d’habitude et le tour sera joué. Le jeune homme ne sut pourquoi sa bouche avait parler sans demander son autorisation mais il n’avait pas réellement voulut dire cela, c’était juste que pour une fille, elle n’était pas normale et que le jeune homme n’avait pas envie d’en avoir une de plus sur le dos, l’air de rien, ignorer n’était pas si facile quand on voulait te parler. Enfin, elle se présenta rapidement et vu que sa plume venait d’être posée, il n’avait plus d’autres choix que de répondre et d’attendre de voir ce qui se passerait ensuite. Mieux vaux parler à ce genre de personne qu’aux autres de Serpentard après tout. C’est vrai qu’il ne lui avait encore rien fait, insistant bien sur le « encore » car avec cet adolescent tout peut arriver même sans que cela soit prévenu, que de surprise. A part ne lui adresser qu’une attention trop petite pour que ça soit descriptible, non rien d’autre. C’était déjà pas mal.

- Hum … Matthew. Ah, Japon ? Je connais très bien ce pays ^^

Depuis le début de la conversation, semblant signe d’intérêt, cette langue était tellement intéressante que quiconque ne pouvait que s’en imprégner et l’apprécier à sa juste valeur. Depuis petit, il était aller vivre à Tokyo et dans d’autres pays et cela lui avaient été très bénéfique. Le Japon est un pays étrange avec des coutumes tout aussi spéciales mais à part les séismes très fréquents, c’était son pays préféré en tout point de vue. La préfète ne lui avait pas plut dès le début. Non-rectification, il n’aimait pas ce genre de personne qui croyait pour dominer alors que cela n’était pas vrai. Un élève passe, un groupe ou toute une école aussi mais des professeurs. Qui serait assez idiot pour déjà la croire, elle comme tout autre élève de cette charmante maison qu’est Serpentard, réputée pour les manipulateurs. Personne d’assez sensé et le jeune homme n’avait pas été surprit de voir que tout le monde était tombé dans le panneau sauf son professeur de Potion. Il favorisait personne, et malgré les apparences, Drew se doutait bien que ceux qui avaient de très bonnes notes sans faire de gros efforts ne devaient pas être spécialement appréciés mais ils devaient représenter quelque chose d’important pour lui. Enfin, lui n’avait jamais été un favori que ce soir dans cette matière ou non mais une chose était sur : il ne mentait pas aux adultes de ce collège. Déformé un propos mais tant que le résultat est le même, le jeune homme n’y voyait aucune objection et elle avait commit une erreur fondamentale. On apprend tout que se soit rageaux ou non. C’est trafiqué mais au fond, il y une part de vérité. Comme le fait qu’il sorte avec une fille alors que le jeune homme était libre comme l’air, préférant largement sa solitude aux couinements d’une fille en détresse.

- Tu as déjà fais une erreur avec un professeur qui aurait put permettre de casser le vase une bonne fois pour toute mais apparemment cela ne t’a pas servit de leçon. Manipuler les personnes est une faculté innée mais elle n’est pas continue.

Répondit-il en la regardant avec pitié. Lui aussi serait un septième année dans un an mais même un rôle de préfet ne changeait pas la dote, ils étaient tous des élèves avant tout et donc aucun n’avait le droit d’afficher son autorité sur les autres. Juna les coupa et demanda juste si elle devait partir pour les laisser seuls mais de toute façon, la salle n’était pas vide et Matthew s’en fichait bien d’avoir un témoin ou non. Il assumait toujours ses paroles et son comportement envers les autres.

- A moins que notre chère préfète n’y voie d’objection, avoir quelqu’un qui écoute m’est égal.

D’un sourire plus malin qu’autre chose, il la regarda avec assurance sans ciller.

| HJ: Enfaite j'ai eu le temps de l'écrire XD |

Elisabeth avait écouter attentivement les propos de Matthew. Jamais aucun élève de sa propre maison n'avait oser être aussi insolent envers elle. La jeune femme incarnait la justice et l'autorité des verts et argents. Elle était crainte et respectée sauf par quelques têtes brulées qui changeaient bien vite d'avis vu les arguments qu'elle leurs soumettait. Ceux osant s'opposer à elle en subissait grandement les conséquences.

La préfète regarda le jeune homme sans ciller le moins du monde devant le regard de haine que le jeune homme lui lancait mais celà ne lui faisait aucunement peur. Personne ne l'éffrayait. Soudain, la jeune japonaise reprit doucement la parole en demandant si la préfète désirait qu'elle s'en aille. Elle n'y voyait aucune nécessité vu que la salle commune n'était pas tout à fait vide.

La préfète prit son temps pour lui répondre mais le jeune homme fut plus rapide qu'elle. Et il dit que lui n'y voyait pas d'inconvénients si la préfète n'en voyait pas elle même. Ce signe de négligence pour son autorité faisait bouillir la colère dans ses veines mais elle réussit à se maitriser pour combien de temps encore, elle n'en avait aucune idée.

"Je n'y vois aucun incovénient si ce jeune homme aime se faire réprimender devant une assisstance complète. Je te signifie cher Serpentard que je déteste le ton que tu emplois envers moi. J'estime que tu dois avoir un minimum de respect envers tes professeurs et ta préfète. Répondit-elle d'un ton glacial.

La verte et argent le regarda droit dans les yeux pour voir si il oserait encore s'opposer comme celà à elle. Jamais personne n'avait réussit à lui tenir tête et ce n'était pas demain la veille. La préfète assumait parfaitement ses paroles et ses actes. Jamais elle n'avait regretter quelque chose qu'elle avait dite ou faite.

Elisabeth vit alors la japonaise esquisser une drôle de grimace devant les paroles de la préfète des verts et argents. Un jeune insolent n'allait en aucun cas gacher sa réputation et la faire passer pour une faible. Le niveaux scolaire des Serpentards était le seul points sur lequel elle était intraitable. Les résultats de sa maison devait égaler voir dépasser ceux des Serdaigles.

Juna avait l'impression de se trouver sur un ring de combat où c'était chacun à son tour de répondre, lorsqu'on lui répondit qu'elle pouvait rester, elle se rendit compte que c'était quasi un ordre... Elle n'avait pas le choix, car la préfète voulait montrer son autorité, pour bien lui faire comprendre qu'elle ne laissait personne lui manquer de respect.

Bon, la serpentarde se sentait de trop et se disait qu'elle aurait bien aimé leur parler une autre fois, mais si il aimait s'humilier tous les deux en publics c'était leurs problème, elle leva un sourcil et se demanda ce qu'elle répondre Matthew à cette remarque. Elle aurait bien aimé mettre son grain de sel, et après tout pourquoi pas ? Elle n'allait pas les regarder indéfiniment sans rien dire, la japonaise n'était pas du genre à se laisser faire ou écouter une conversation sans rien dire. Elle répondit donc d'une voix agressive qu'elle n'arrivait pas à contrôler en une voix neutre comme d'habitude.

"Vous êtes grave tous les deux, des mauvais élèves il y en aura toujours, surtout si il le font exprès, tu es préfète, mais ne t'attends pas à du respect si tu rabaisses quelqu'un, c'est logique même si tu fais ton devoir ! Quand à toi, je suis sure que tu pourrais faire de meilleures résultat si tu le pouvais, il suffit de voir la façon dont tu travailles ce devoir, en t'appliquant un peu, tu pourrais faire mieux, et ne me réponds pas que tu fais une petite guéguerre avec la prof car si j'étais toi, je ne serais pas fière de faire cela, surtout que c'est franchement ridicule.

La japonaise après ce coup de sans fronça les sourcils en se demandant si elle ne venait pas de se faire deux ennemis et dans un geste de résignation elle soupira longuement, elle espérait qu'elle avait fait autant de reproche à l'un qu'a l'autre pour ne pas qu'ils aient l'impression qu'elle est pris le parti de quelqu'un parce, leurs petites histoires là c'était franchement fatiguant, au lieu de se lancer des petites piques comme ça il devrait mettre tout de suite les choses aux clairs.
De plus, leurs fierté à tous les deux, les empêchaient de faire des choses sensé, Juna pouvait être comme cela, mais elle mettait vite les choses aux clairs elle-même pour ne pas que quelqu'un le fasse à sa place et qu'elle est l'air un peu idiote, comme c'était le cas des deux jeunes gens ici.

"Et ne me dites pas que je ne me mêle pas de ce qui ne me regarde pas, c'est vous qui voulez que je reste ici, donc à vous d'en supporter les conséquences".

Après cette remarque elle leva un sourcil et les regarda dans les yeux tours à tours pour voir comment ils allaient réagir, elle espéraient au fond d'elle ne pas s'être fait deux ennemis, mais pensa qu'elle aurait du réfléchir avant de dire une chose pareil, mais deux anglais avait réussi à lui faire oublier la politesse japonaise et sa c'était de leurs fautes...

Alors qu’il ne pensait même plus à la présence de la Japonaise, elle lui fit rappeler qu’ils étaient dans une salle commune et non en maternelle, c’est vrai qu’en y pensant, les deux personnes s’étaient emportées mais le jeune homme n’aimait pas qu’on lui marche sur les pieds et apparemment c’était la même chose du côté de la préfète et deux personnes se ressemblants ne pouvait avoir le dessus sur et l’autre et de ce principe, les deux Serpentard s’ouvraient à une guerre sans fin. Il soupira, lasse de se faire des ennemis chaque jour mais un caractère ne se change pas, certains dissimulent les leurs mais Matthew ne pouvait ou plutôt ne voulait pas se faire traiter comme les autres. Ils se lançaient des piques mais cela n’avait aucune raison d’être mais le jeune homme se voyait mal avouer tout ce qu’il n’aimait pas dans cette fille mais avant tout, c’était son autorité. Elle n’a pas toujours été comme cela, les années l’ont changée aussi et il se demandait qui voudrait sortir avec cette jolie brune si elle était si réticente sur le règlement, chose qu’un adolescent normal n’écoute pas. Elisabeth Swann venait de lui dire clairement qu’elle ne l’aimait pas non plus mais comme dit précédemment tant qu’on a pas apprit à connaître une personne, ce sont des paroles en l’air. Pourtant cette Juna essayait tant bien que mal malgré son arrivée dans cette école, de les raisonner et pour cela, il quitta le regard froid et hautain de la préfète pour se tourner dans sa direction, en fronçant les sourcils. Elle avait du cran tout de même la nouvelle, pensa t-il directement. Sa première entrevue avec la septième année n’était pas brillante mais ce n’était pas son jour, ce n’était pas la période de le chercher. Il laissa entrevoir une profonde tristesse mais se reprit bien vite. Juna ne savait pas qu’il n’avait rien à attendre des notes, des élèves et encore moins des professeurs.

- Donne-moi une seule bonne raison d’écouter et de faire correctement mes devoirs, et peut-être que je changerai d’avis mais … c’est plus compliqué que tu ne le crois, toi qui ne sais pas les contraintes que cela impose… D’ailleurs toi non plus …

Lui dit-il calmement en parla, se rappelant qu’après tout, il ne fallait pas se morfondre sur son sort mais l’école ne lui servirait pas dans la vie vu qu’il n’avait pas d’avenir. Mauvaises pensées mais il fallait se l’avouer, son existence ne tenait qu’a un et unique fil, si sensible que le moindre choc pourrait lui coûter la vie. Les médecins lui avaient bien dit que c’était un miracle que son corps ait résisté aussi longtemps à cette maladie, mais après tout à l’époque il voulait s’en sortir, maintenant personne ne l’attendrait à sa sortie, même si l’adolescent s’en sortait indemne. Un sourire se dessina sur ses lèvres, personnellement cette prise de parole ne le dérangeait pas, sa vie était floue, il était perdu depuis bien longtemps et elle n’avait pas tort au fond.

- Je ne fais pas de guerre contre eux, le professeur de Métamorphose sait pourquoi j’ai décidé de jouer l’arrogant, tu pensais vraiment que je m’en sortirais avec « juste » des heures de colle avec tout ce qu’on a fait ? C’est ridicule aussi alors. Et tu de mêles sûrement beaucoup moins que les autres, il faut dire ce qu’on pense. Toi, je suis conscient que tu ne fais que ton rôle de préfète et que tu essaie de le faire de ton mieux mais ce n’est pas en faisant peur aux autres que tu arriveras à te faire respecter, honnêtement, la frayeur n’est pas éternelle, c’est ce que je pense et tu pourras essayer aussi longtemps que tu voudras, il y a des personnes ici qui ne sont pas près de lâcher prise car leurs égaux est trop important, ça ne veut pas pour autant dire que tu désobéis à tes principes. Echouer avec une personne ne veut pas dire que l’on a perdu, et puis on apprend des choses en étant confronter à cela. C’est en faisant des erreurs que l’on apprend à vivre.

La préfère jouait très bien son rôle mais elle en faisait un peu trop à son goût. Lui aussi avait des choses à se reprocher, pourtant son égaux lui disait qu’il avait de très bonnes raisons, on est ce que les années ont fait de nous, le pilier de notre vie c'est-à-dire notre jeunesse et notre volonté de réussir.

Elisabeth vit le jeune homme détourner son visage du regard froid, autoritaire et hautain de la jeune femme tout en continuant à lui parler. La préfète l'écouta attentivement et décela un soupson de tristesse dans la voix du jeune homme. Elle aurait aimer le rencontrer dans d'autres circonstances. Le jeune homme la trouvait apparement un peu trop froide et autoritaire mais elle n'y pouvait absolument rien, elle était comme celà et jamais rien ne la changerait. C'était son destin, sa vie.

Le jeune vert et argent lui demanda alors de citer une seule bonne raison de faire ses devoirs comme il faut. Elisabeth en avait un bon nombre en tête mais la plus importante était sans aucun doute son désir de surpasser les autres maisons à tous les points de vue. Laissa le jeune homme achever sa phrase, elle s'installa un peu plus confortablement dans son sofa. Enfin, après un moment de silence, elle se décida à reprendre la parole.

"Une des raisons principales pour faire ses devoirs correctement est que la noble maison des Serpentards doit exeller et surpasser toutes les autres maisons et j'estime que de bons élèves doivent faire un efforts poour devenir de bons étudiants. Et quant aux contraintes que donne les devoir, j'en ai également et ce n'est pas toujours évident pour moi non plus mais je fais mon maximum." Lui répondit-elle alors d'un ton calme mais toujours aussi froid.

La préfète des verts et argents n'éprouvait aucune compation ni aucune attirance envers ce jeune homme qui se croyait intouchable et irrésistibel. Si toutes les autres jeunes femmes tombaient en pamoisson devant lui, il n'en était rien pour Elisabeth. Le jeune homme reprit ensuite la parole pour lui faire remarquer qu'il ne faisait aucunement la guerre aux professeurs ce qui fit sourire Elisabeth. Il lui dit aussi qu'il comprennait qu'elle faisait son rôle de préfète mais que la terreur ne durerait pas éternellement. Il lui fit remarquer que les erreurs permettent de vivre.

Elisabeth était d'ailleur bien au courant de celà, sa vie n'avait pas toujours été rose bien qu'elle fut élevée dans l'amour de ses parents et dans la richesse mais ce n'était pas toujours facile. Bien entendu, des personnes avaient eu une vie bien plus dure qu'elle mais jamais elle n'aurait dit quelque chose de méchant ou dégradant à ces personnes malheureuses.

"Je fais mon rôle de préfète et les seuls personnes que je traumatise sont issues d'autre maison. Je fais mon possible pour que la noble maison des Serpentards soit toujours au top du top quitte à me faire des ennemis, celà ne me fait pas peur." Répondit-elle sur un ton de défi.

[Je sais pas si vous vous rendez compte, mais les réponses que vous faites, c'est un casse-tête pour moi faire du rp, c'est comme si j'étais un élément du décor :star: ]

Juna regarda de nouveau les deux jeunes gens se disputer, décidément ils étaient incorrigibles de vrais gamins ! A se faire des remarques l'un sur l'autre, je dis une phrase et après l'autre en dit une pour casser la première... Désespérant, la japonaise leva les yeux aux ciel en ce moment on ne pouvait dire qui était le plus gamin des deux.
Elle comprenait parfaitement pourquoi il faisait cela et réagirait de la même manière, mais lorsque l’on n’est pas dans la conversation, on a un regard objectif, c'était ce qui se passait en ce moment.
Le serpentard essaya de nouveau de leur faire entendre raison, ce serait peut-être sa dernière intervention pour faire cesser cette dispute stupide.

"Bon, en résumé, Elisabeth viens pour te dire de faire plus attention à tes études et puis cela dérive dans une question d'honneur et de traumatiser des élèves...
Je crois qu'en faites, si Elisabeth te le dis en tant que préfète c'est pour ne pas que tu es d'ennuis avec les professeurs, tu devrais la remercier.
Quand à toi, Elisabeth, tu viens de faire ton devoir et sa se finit là, tu viens de lui donner un avertissement, et même si il ne le suit pas tu n'auras pas de reproche à te faire puisque tu à fait ton travail, les professeurs s'en chargeront eux-mêmes..."

Là, elle se rassit dans le fauteuil et lança un énorme soupir, décidément, elle qui détestait montrer la moindre émotion et se mêler de ce qui ne là regardait pas… A cause d'eux elle allait presque avoir un mal de tête, cela l'énervait beaucoup. N'en pouvant plus de leurs réactions idiotes, elle chuchota

"De vrais gamins, si vous vous voyez, vous en auriez honte..."

Là, j'espère qu'ils vont se calmer et s'intéresser à autres choses...

[HJ: A la base, ma question était pour toi mais Eli a répondut ... enfin je trouvais cela logique vu que tu parlais de devoirs XD ... Désolé >< ]

Il n’était pas d’accord et puis de quoi se mêlait cette japonaise. Non, ce n’était pas ce qu’il fallait penser, elle essayait juste de ne plus entendre les idioties de chacun car il fallait l’avouer, regarder la scène devait être marrante au début mais là, ça devait être agaçant. Matthew ne voulait pas l’écouter pour autant ni lui donner raison, c’était un grand têtu après tout, on pourrait lui mettre en évidence que sa façon de penser était erronée qu’il ne l’avouerait pas sauf si la personne était précieuse à ses yeux et encore, c’est à voir. Et puis, personne ne l'était ici et nulle part d'ailleurs alors le jeune homme parlait quelque peu dans le vide et pour rien dire. Il soupira, exaspéré. On ne le laissait jamais tranquille!

- En traduction elle m’ordonne de changer ma façon de penser et je ne peux pas. Cette maison est excellente malgré ce que je fais, je te signale alors les raisons me semblent pas vraiment justifiées. Et je lui fais gagner des points autrement donc ça ne dérange pas.

Dit-il, lasse de cette conversation, il n’avait rien fait pour mériter cela, enfin c’est ce que l’adolescent croyait car cette préfète venait le réprimander alors que depuis son entré à Poudlard on ne lui avait jamais rien dit. Un peu tard pour faire des reproches, pensa immédiatement le jeune homme en grimaçant. Il avait fallut six ans et encore c’était car elle l’avait reconnut dans la salle, sinon il n’aurait peut-être jamais eu cette conversation douteuse et lui provoquant une violente migraine. Mais pourquoi il était entré dans cette salle alors que Juna et Elisabeth allait y être. Si on lui avait prédit l'avenir, le jeune homme ne serait, au grand jamais venut ici ce soir ni le lendemain. Mais malheureusement, il était confronté aux deux jeunes filles dont une qui était neutre dans l'histoire et l'autre qui voulait affirmer son autorité. Super, rien qui vaille!

Elisabeth était bien trop exaspérée par cette conversation des plus houleuse. Un e violente migraine s'empara alors de sa tête annoncant la fin très proche de cette discution. La préfète en avait plus que marre de ce jeune homme essayant pas tout les moyens de se faire remarquer sauf que les moyens utilisés n'étaient pas les bons. La japonnaise prit alors la parole et leur parla comme si ils étaient des enfants.

"Je pense que Juna a raison. Débrouille toi comme tu veux et si tu es expulsé de notre noble maison, ne t'en plaint pas. Sur ce, je vous laisse à votre discution de base et je monte me coucher. Bonne soirée." Répondit froidement Eli.

Sur ces dernières paroles, la préfète des verts et argents se dirigea alors vers les escaliers menant à son dortoir sans même un regard en arrière.

Juna fronça les sourcils, conversation de base ? Il n'y en avait pas ! La japonaise trouva très malpoli la façon dont la préfète s'en alla, mais ne s'en formalisa pas, les anglais et les japonais, cela n'avait rien avoir... Enfin, en même temps, vu la conversation qu'ils avaient eu c'est normal qu'elle se trouve fâchée, le mal de tête que Juna fallu avoir, s'en alla, elle fut plutôt soulagée que la conversation s'arrête cela commençait, non cela était pénible.

Tout d'un coup elle réfléchi au parole du jeune homme,leva les yeux au ciel, qu'il était vaniteux... Enfin, il défendait ses idées, même si il risquait une migraine pour cela... Et donc, malgré un petit différent qui s'était crée entre eux deux, elle ne put s'empêcher de lui faire un clin d'oeil et de lui chuchoter de façon à ce que personne d'autres n'entendent

Yoku yatta !*

Juna ne savait pas si il pouvait comprendre, mais vu le ton qu'elle avait employé on pouvait devinée que ce n'était que du bénéfique. Après cela, elle décida elle aussi d'aller se reposer, elle ne tenait pas à rester avec ce jeune homme qui paraissait avoir un caractère épouvantable, et comme elle aussi en avait un, ils ne pouvaient rester ensemble dans un même pièce.

Sayou nara ! J'espère que l'on ce reverra...

En disant cela, elle avait repris sa voix neutre, pas froide ni chaleureuse... Quand on l'entendait on ne pouvait dire si elle s'exprimait gentiment ou méchamment, de plus son visage était tout aussi neutre que son timbre de voix. Elle se leva donc et se dirigea à son tour vers les dortoirs...

Bien joué*

Il sourit à l’allusion de cette langue comprise de son cerveau. Elle ne le savait pas mais le jeune homme la parlait tellement bien, sans fautes de prononciation ni d’orthographe qu’au téléphone on le prenait vraiment pour un japonais. Après, l’art d’apprendre les signes était tout autre chose. Il les étudiait quand le temps le lui permettait, n’oubliant jamais d’ouvrir ses livres et cahiers chaque soir. Il paraît que comme un chinois, ces asiatiques ne savent jamais tous les signes de leurs langues tellement il y en a, impressionnant tout d’abord. Mais ça encore, c'était l'un de ses secrets que personne ne savait, on l'obligerait d'apprendre ses leçons correctement et d'écouter en cours, ce que le jeune homme ne faisait pas, trouvant cela ennuyeux au possible comme en primaire quand on apprenait les multiplications alors que Matthew les avait apprises il y a quelques années. Enfin, son avance avait aussi de mauvais côtés, il n'avait rien à faire de son temps en cours et pas moyen de passer une classe. De toute façon, son comportement ne lui permettrait pas et il ne voulait pas se faire de mauvais espoirs cette année encore, car s'il était envoyé directement en septième année, son cursus scolaire serait terminé après et les études plus hautes suivraient mais sa maladie reprendrait le dessus et tout serait bel et bien finit. Non, il avait assez souffert à cause d'elle mais d'un autre côté, elle lui avait permit d'avoir de l'assurance et de toujours avoir le dernier mot, juste la mort le dominait à présent. Chaque être humain était égal aux autres et donc ils n'avaient rien à lui dire comme le Serpentard en faisait de même sauf si on le cherchait.
Un beau sourire sur le visage, il se leva à son tour, près à partir de cette salle avant que la jeune fille ne lui pose plus de questions sur les dernières paroles qu'il dirait. Il dit juste un en revoir puis, se retourna une dernière fois et lui lança:

- Hai, Sayonara

Puis, son corps intégra la foule d'élèves qui revenait dans la salle commune après le départ voyant de la préfète.

[ FIN :mrgreen ]

» Par une nuit sans lune... [ou mais maxi 2 personnes en plus]
» Ballade, musique, libre... [Libre]

Entrée remarquée [ Libre à encore 3 personnes sans Eli ]

Entrée remarquée [ Libre à encore 3 personnes sans Eli ]

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