Rencontre plus que déplaisante (Fe : Gabrielle)

Un voile noir s’était posé sur la ville paisible de Londres. Le ciel noir d’encre était tacheté d’étoiles formées en constellation bien connus des érudits de l’astronomie. La lune, en quart de cercle paraissait être un croc de loup. Cette dernière éclairait la capitale anglaise en cette heure de la nuit. Big Ben sonnait ses douze coups, annonçant ainsi la fin d’un jour et le nouveau d’un autre. La ville était baigné d’une lumière artificielle et pâle, celle des provenant des fenêtres sans oublier les lampadaires qui pullulaient un peu partout. Les Moldus étaient encore par centaines dehors, certains revenants d’un rendez-vous romantique dans un restaurant, d’autres d’une soirée cinéma entre amis. Dans cette foule aux habits et habitudes bien différente pour chaque personne se trouvait un homme qui lui dans le fond était bien plus différent que.
Il était habillé d’une chemise bleue ciel ainsi que d’un jeans à la même couleur. Il était un peu plus que la plupart des hommes mais ayant des épaules larges, la plupart se poussait à son passage. Il était roux carotte et son visage avait tellement de tâche de rousseur qu’on aurait crut qu’il était bronzé. Son prénom : Charles Weasley. Il avançait sans trop regarder autour de lui en direction d’un bar ou un autre endroit. Il venait du Ministère, son dernier rendez-vous professionnel venait de se finir et là, il voulait se détendre un peu. Bien entendu, il était seul, personne ou presque ne savait qu’il était revenu en Angleterre…pour de bon, pas même le reste de sa famille.
Le bruit assourdissant de la ville et l’animation qu’il y régnait perturbait l’ainé Weasley. Il est vrai qu’en Roumanie, même à la capitale, il n’y avait pas autant d’animation. Cela lui paraissait étrange de se sentir ici, dans son pays natal comme un inconnu. Presque personne ne faisait attention à lui, au moins pour une fois, Charlie avait choisit les bons vêtements. D’habitude, il prenait une tenue tellement ridicule qu’à peine cinq pas dans une ville Moldu, leurs autorité nommé « police » venait l’arrêter pour « Outre prudence affiché en milieu urbain ». En même temps, il n’avait jamais portait la même attention que son père envers les Moldus. En même temps…son père était pas plus doué que lui. Penser cette phrase au passé lui faisait mal. La famille Weasley avait déjà vu tellement de son sang coulé, tellement de ses membres morts.
Enfin, Charlie chassa ces idées de son esprit. Il avait déjà bien pleuré ses êtres chers, il devait maintenant penser au présent. Il marcha dans les ruelles cherchant un endroit où se poser mais aucun endroit ne lui convenait. La plupart des bars étaient soit trop bruyant, soit trop peuplé, soit trop dévergondé. Qu’est ce un « Go Go Girl » ? Apparemment un bar où les serveuses n’avaient pas besoin d’énormément de vêtement pour servir. Autrement dit ; Charlie eut il à peine posé un pied sur le seuil de l’établissement qu’il fit immédiatement demi tour. Les Moldus aveint quand même des idées tordus pour faire avoir de telles idées. Charlie réfléchissait un moment à son projet d’allez boire un verre du côté Moldu. Mais bon, en même temps, il ne pouvait rentrer chez lui…il n’avait plus de chez lui. Aucune chambre d’hôtel, le Terrier avait brulé avec ses parents à l’intérieur, sa famille elle n’était même pas encore au courant de son retour alors de là à ce faire inviter. Il aurait put décider d’allez boire un verre du côté sorcier, mais le seul bar qu’il connaissait était le Chaudron Baveur et la clientèle lui était familier et ce soir, Charlie n’avait pas envie de leur parler, de remuer le passé, de faire semblant d’être heureux ou intéressé par les mondanités.
Passant dans une ruelle sombre, Charlie regardait loin devant lui. Ce n’était peut être pas le meilleur chemin. La saleté et la crasse était le maître mot ici. Il risquait peut être de se faire agresser mais qu’importait. Charlie avait affronté des dragons le sourire aux lèvres, alors des truands Moldus. Il revenait à une rue principale mais presque déserte. Dans cette rue là, la pauvreté et la délinquance s’y était installé. L’ainé Weasley regardait pétrifié et outré cette misère plus qu’évidente. À ne pas regarder devant soi, il renversa quelqu’un, une jeune femme à première vu.

-Oh pardon excusez-moi, je suis désolé

Il attrapa la jeune femme par les hanches et l’aida à la remettre sur pied. Il ne vit pas bien son visage et quand enfin un réverbère l’éclaira, les yeux de Charlie s’écarquillèrent et il dit dans un souffle

-Vous !

Quinze ans, quinze longue années que tu es partie maintenant, et comme toujours je suis là, je suis venue te voir et te parler de ma vie qui n'est pas très intéressante. Comme chaque années, j'ai posé sur t'a tombe de marbre blanc, une unique rose rouge témoignage d'un amour sans limite, d'une fille à son père. Quinze ans sans toi et une vie de cauchemard, mais qui à pris enfin fin il n'y a pas si longtemps que celà.

Lançant un dernier regard vers la voute céleste, je repris ma route pour rentrer chez moi dans mon petit studio universitaire. Marchant le long de la Tamise, je regardais rêveuse les couples sortir des restaurants ou du cinéma. Moi je n'avais personne, car personne ne voulait de moi une jeune mangemorte, au contraire on avait peur de moi. Pourquoi, j'avais suivie Kelsey? Tout simplement parce que la personne qui avait fait de ma vie un enfer était une moldue, mais finalement j'étais venue à me remettre en question depuis que j'avais fait la connaissance de james, l'un des collègue de Kelsey.

Minuit sonnait à Big ben, un jour mourrait, un autre naissait, emportant avec lui bien des choses et laissant entrevoir d'autres, meilleurs ou mauvaises. Je laissais mes pas me guider dans Londres, allant de ruelles en ruelles, de quartiers en quartiers à la recherche d'une occupation pour le reste de la nuit à venir, car en général je ne me couchais qu'au levé du jour quelques heures avant le début de mes cours.

Quelque chose, ou plutot quelqu'un me heurta de plein fouet manquant de me faire tomber à terre, mais je fus rattrapé inextremis. La personne s'excusa, mais je ne trouvais pas mes mots pour répondre, car je m'étais attendue à n'importe qui sauf à lui. Je ne voulais pas qu'il vois mon regard plein de tristesse et de souffrance, mais ce fut pourtant ce regard que je levais et posais sur lui

Mes condolénces pour t'a famille

J'avais refusé de but en blanc de participer à cette mission, je ne voulais pas tuer des sorciers, en fait tuer ne me plaisait plus depuis longtemps, mais quand on est mangemort, soit ont tue, soit on est tué. Je fus sauver par mes examens mais uniquement de justesse je le savais, je ne pourrais pas fuir longtemps mon devoir.

Charlie, à cette vue, au moment même où il reconnu ce visage, cette personne, sortit sa baguette et la tenait sur le côté, le bras droit, prés à agir. Son cœur battait à sang à l’heure, son visage était concentré en un profond ressentit de haine et de dégout, ses yeux flamboyants perçait ceux delle qui était face à lui. Heureusement que de tous les Weasleys, ce fut sur Charlie qu’elle tombait, les autres rouquins auraient déjà commença l’affrontement. Mais Charlie bloqua sur le visage de la Mangemorte. Il était encrée d’en un profond mutisme et une profonde désolation. Comme la première fois qu’il l’avait vu, il fut choquer de voir un visage si douce, si triste dans le rang des meurtriers. Elle n’avait pas amorcé ler moindre mouvement offensif, elle était, raide, regardant l’ainé Weasley, dans le désarmement le plus totale. Pire que tout, elle lui dit de but en blanc, d’une voix qui sentait la compassion

-Mes condolénces pour t'a famille

La plupart des Moldus paumés dans ces rues désertes et pathétiques regardaient les deux individus. En même temps, il devait être troublant de voir un homme tenant une brindille et ayant l’air menaçant envers une jeune inconnue. Mais Charlie se fichait bien de ces derniers. Pourtant, sa colère s’apaisa peu à peu. Elle lui demandé pardon…jamais il n’avait entendu un Mangemort dire qu’il était désolé d’être dans le camp des meurtriers…jamais. A bien y réfléchir, il ne l’avait jamais vu tuer qui que ce soit, elle avait même jouer un rôle plus que mineur dans tous les affrontements où Charlie l’y avait vu. La colère du Weasley diminua peu à peu. Elle n’avait vraiment rien fait au jeune garçon, à part avoir été dans le camp opposée. Charlie détendit son bras qui tenait sa baguette, les yeux rivés toujours vers cette fille dont il ignorait le nom. Son regard était un mélange de méfiance et de doute. Etait-elle sincère ? Pourquoi n’était-elle pas effrayée ? Elle était face à un ancien membre de l’ordre, armé, il fallait un battement de sourcil pour la faire giclé, pour la mettre hors d’état de nuire. Pourtant elle restait là, impassible.

-Pourquoi ?

Les mots avaient jaillit de la bouche de Charlie sans qu’il eût la moindre envie de les prononcer. Pourquoi faisait-elle ca ? Pourquoi elle et ses confrères haïssait autant les Moldus ? Pourquoi avaient-ils été prés à tuer innocent, femme et enfant pour ca ? Pourquoi ? L’éternelle question. Charlie sentait revenir la colère à chacune des ces question. Les monstres qu’elle devait appelé ses amis avaient tuer ses parents en brulant leur demeure…il entendait encore leurs cris résonner à leurs oreilles. Il avait tué son frère avant d’en faire un vulgaire Inferi, il avait achevé le second jumeau après l’avoir obligé à affronter le cadavre de son frère. Il y avait des limites à leurs cruautés. Un vieillard à l’aspect miteux s’approcha d’eux et dit à la jeune femme tout en foudroyant du regard le jeune Weasley

-Ce jeune homme vous en…

Il n’eut pas le temps de finir sa phraser, qu’il vola tomba raide comme une planche au sol. Pour ceux de loin, au aurait put croire que Charlie l’avait frappé mais le sort était sortit tout seul. Il n’avait pas quitté Gabrielle des yeux et lui murmura presque

-Pourquoi ?

Un regard triste, affrontant un regard plein de haine. Je vis le jeune roux sortir sa baguette, moi je n'en fis rien, n'ayant pas envie de me battre se soir, n'ayant pas le coeur à cela. Je ne baissais pas les yeux face à son regard plein de haine pourquoi faire, je n'avais rien à me repproché, car je n'avais fait ni rien à me repprocher.

Plusieurs personne nous observais de façon étrange alors qu'elles passaient à coté de nous. Il faut dire que je ne faisais rien contre le jeune rouquin qui me regardais d'un air menaçant. Il sembla étonné que je parle de sa famille surtout d'une voix pleine de tristesse et de compassion.

Pourquoi fut la question qu'il me posa, question à laquelle je n'avais personnellement qu'une petite réponse pour moi seule pour me cas personelle.

Un homme d'un certain âge vint vers nous, et avant qu'il n'eue finis sa phrase il se retrouva quelques mètres plus loin raide et immobile. Je lançais un regard noir vers le jeune homme et alla voir s'il n'avait rien de grave.

Une fois certaine qu'il ne soit pas blesser je lui effaçais le ménoir et retournais vers le jeune homme.

Pourquoi lui avoir fait celà, il n'avait rien fait à personne

Pour être sur et certain qu'il n'attaque plus personne, je pris le jeune homme par le bras et l'entraina plus loin à l'abris du regard des passants et pour être sur qu'il ne recommence pas, je lançais un sort d'invisibilité sur nous puis lui répondis.

Pourquoi t'a famille je n'en sais rien, j'étais occupé par mes examens, c'est pour celà que j'ai refusé de participer à celà. Pourquoi moi je suis mangemort, celà ne regarde que moi et mon passé. Ce qu'on fait les personnes que je pensais être mes amis est incalifiable et je ne peux les pardonnés. Le reste n'appartiens pas à moi qui suis dans les plus bas et je ne suis pas la mieux placé pour répondre à tes quesions. Maintenant si tu veux me livré à l'ordre, çà m'est égal, sinon passe ton chemin et je ferais pareil.

Je sortie ma baguette de la manche de ma robe et la tendie au jeune homme et attendie qu'il la prenne ou non

Fait en ce que tu veux, et fait de moi ce que tu veux, çà m'est égal

Rien, je n'avais plus envie à me battre depuis longtemps pour une cause que je haïssais de plus en plus et qui me dégoutais de plus en plus

Charlie fut un peu surpris de la réaction de la Mangemorte. Elle jeta un regard furieux au rouquin alors que ce dernier n’avait fait que le paralysé. Il avait déjà même prévu de lui jeter un sort d’amnésie. Il est vrai que cela n’excusait en rien le geste inconsidéré de l’ancien dresseur de dragon mais en même, vu la colère qui coulait dans ses veines, vu l’antipathie que lui inspiré cette personne face à lui, il était compréhensible qu’il soit aussi…irréfléchi. La jeune femme, elle avait jeter le sort d’amnésie que Charlie avait prévu de faire plus tard ainsi que de cacher le Moldu en question. Puis, elle revint vers l’agresseur en question

- Pourquoi lui avoir fait cela, il n'avait rien fait à personne

Charlie eut un petit rire pathétique. Quelle scène ironique. Un Mangemort qui défend un Moldu et s’insurge d’une attaque fait par un ancien membre de l’Ordre du Phoenix….pathétique. L’ainé Weasley la regardait sans la voir. Qu’est-ce qu’elle avait à réagir comme ca ? Elle était une Mangemorte, pour eux la vie des Moldus ne valaient pas plus celle d’un parasite. Son visage était renfermé dans le questionnement.

-Qu’est-ce vous en avez à faire… Ce n’est qu’un Moldu comme vous dites si bien. Vous vous insurgez que je paralyse l’un d’entre eux et vous avez eu comme but de tous les massacrer, tuer femme et enfant, innocent, le sourire aux lèvres… Vous êtes des monstres, n’essayez pas d’inverser les rôles !!!

Charlie avait pointé sa baguette sur la Mangemorte mais celle-ci avait l’air de complètement s’en foutre. Elle le regardait, impassible à l’attitude menaçante du rouquin. Pire, elle répondit placitement, calmement à ce dernier

- Pourquoi t'a famille je n'en sais rien, j'étais occupé par mes examens, c'est pour cela que j'ai refusé de participer à cela. Pourquoi moi je suis Mangemort, cela ne regarde que moi et mon passé. Ce qu'on fait les personnes que je pensais être mes amis est inqualifiable et je ne peux les pardonnés. Le reste n’appartient pas à moi qui suis dans les plus bas et je ne suis pas la mieux placé pour répondre à tes questions. Maintenant si tu veux me livré à l'ordre, çà m'est égal, sinon passe ton chemin et je ferais pareil.

Elle sortit sa baguette et la tendit vers Charlie. Il la regardait sans comprendre. Quel drôle de manœuvre !!! Il regardait toujours aussi septique la jeune Mangemorte. Il baissa légèrement son bras, les yeux tournés vers les yeux de la jeune femme.

- Fait en ce que tu veux, et fait de moi ce que tu veux, çà m'est égal

Charlie était décidemment de plus en plus décontenancé face à la réaction de celle qui était face à lui. Pourquoi faisait-elle donc cela ? Pourquoi était-elle dans ce camp si elle donnait de la valeur à la vie des simples Moldus.

-Mais qui êtes-vous bon sang !!!

Je savais qu'il m'avais observé de façon surprise à vrai dire, j'étais surprise moi même par mon comportementn, moi qui était en général si égaoïste, je m'ouvrais doucement aux autres, que voulez-vous? La vie change souvent des gens et en l'occurance, ma vie je voulais la changé, je ne voulais plus être ce que j'étais devenue à 17 ans par mépris à cause d'une seule et unique personne.

Ce qu'il me dit me fit mal au coeur et je l'ignorais. En même temps il n'avait pas tord, mais moi et bien je n'avais jamais tué, de ma vie des innocents, juste ma belle mère.

Je ne suis pas comme les autres mangemorts. J'étais jeune à l'époque et aveuglé par la haine et la vangeance, mais jamais au non jamais et le jure sur me tête et que je sois tué sur place, mais je ne pourrais pas prendre la vie de personne innocente. Pense ce que tu veux de moi, mais je t'interdis de me juger à cause des autres, car tu ne sais absolument rien de moi, comme moi je ne sais rien de toi. Je n'inverse aucun rôle, je fais juste une simple constatation. Si j'étais ce que tu me reproches, au lieu de parler avec toi, il y a longtemps que l'on serait entrain de se battre en duel et pas à parler de façon assez civilisé

Je fis une petite pause avant de rependre.

Il y a des choses qui font ce que vous êtes soit par obligation, soit par désir et crois moi lorsque tu as 17 ans et tout la vie devant toi, tu penses à rester vivant quelque soit le moyen. Pourquoi moi je le suis encore, je m'enfiche complètement, mais je sais que la vie dans n'importe quel des camps n'est ni toute blanche, ni toute noire.

Je le vie me regarder de façon étrange comme si j'étais venue d'une autre planète et celà m'étais entièrement égal, car j'avais l'habitude depuis bien longtemps de tout celà. Il me demanda qui j'étais et je lui répondis tout simplement.

Une âme perdue dans un monde de brut sans le moindre but dans la vie et qui ne désire qu'un peu de douceur et une vie meilleur. Pourquoi moi je déteste les moldus, çà je peut te le dire, parce que les moldus ont fait de ma vie un enfer voilà pourquoi. Pour les autres j'en sais rien et çà m'est égal. Pourquoi je veux changé, simplement parce que parler avec certain personne me fait voir le monde autrement

Puisqu'il ne voulait pas de ma baguette, je la remis tout simplement dans la manche de ma robe sans faire le moindre geste en vers le jeune homme qui avait toujours sa baguette.

Vas-y tu meurt d'envie de me jetter un sort celà se lis dans ton regard. Tu tien une mangemorte devant, que rêver de mieux. Une occasion de te venger du mal qu'on t'a fait, des vie qui étaient chère à ton coeur et qu'on t'a arraché. Une mangemorte de moins, sera toujours une menace en moins pour les autres.

Tandis que je parlais, mon regard restait fixe et ne trahissait aucune peur face à une souffrance ou une mort imminente

Gabrielle se lança d’un speech qui pétrifia quelque peu le jeune Weasley. Criant de vérité, dur, blanchissant sa vision de l’autre cap, enfin de certains d’entre eux en tout cas, elle eut le mérite de bloquait Charlie, de le faire douter même de ses idéaux.

-Je ne suis pas comme les autres Mangemorts. J'étais jeune à l'époque et aveuglé par la haine et la vengeance, mais jamais au non jamais et le jure sur me tête et que je sois tué sur place, mais je ne pourrais pas prendre la vie de personne innocente. Pense ce que tu veux de moi, mais je t'interdis de me juger à cause des autres, car tu ne sais absolument rien de moi, comme moi je ne sais rien de toi. Je n'inverse aucun rôle, je fais juste une simple constatation. Si j'étais ce que tu me reproches, au lieu de parler avec toi, il y a longtemps que l'on serait entrain de se battre en duel et pas à parler de façon assez civilisé. Il y a des choses qui font ce que vous êtes soit par obligation, soit par désir et crois moi lorsque tu as 17 ans et tout la vie devant toi, tu penses à rester vivant quelque soit le moyen. Pourquoi moi je le suis encore, je m'enfiche complètement, mais je sais que la vie dans n'importe quel des camps n'est ni toute blanche, ni toute noire.

Charlie avait regardé complètement décontenancé la jeune Mangemorte. Se cherchait-elle des excuses ? Pas vraiment, elle expliquait simplement son point de vue, un point de vue qui commençait à défriser le jeune homme. Un jour, un philosophe a dit : « il ne vaut mieux jamais connaitre son ennemi car sinon on pourrait soit pleurer à ses douleurs soit avoir peur de ses pensées ». Charlie ne tenait plus que sa baguette à bout de bras, son esprit avait même abandonné toute vigilance, trop occupé à penser à ce que disait la jeune femme. D’ailleurs, à la question de Charlie, elle y répondit avec toujours autant de persuasion et de pertinence.

-Une âme perdue dans un monde de brut sans le moindre but dans la vie et qui ne désire qu'un peu de douceur et une vie meilleur. Pourquoi moi je déteste les Moldus, çà je peut te le dire, parce que les Moldus ont fait de ma vie un enfer voilà pourquoi. Pour les autres j'en sais rien et çà m'est égal. Pourquoi je veux changé, simplement parce que parler avec certain personne me fait voir le monde autrement. Vas-y tu meurt d'envie de me jetter un sort celà se lis dans ton regard. Tu tien une mangemorte devant, que rêver de mieux. Une occasion de te venger du mal qu'on t'a fait, des vie qui étaient chère à ton coeur et qu'on t'a arraché. Une mangemorte de moins, sera toujours une menace en moins pour les autres.

Charlie baissa entièrement son bras, comprenant l’erreur qu’il était en train de commettre.

-Je ne suis pas comme toi. Je ne ma rabaisserais pas à la vengeance ou la haine. Je la maitriserai et non ne me ferais contrôler comme toi. Tu t’insurge de mon comportement, des sentiments qui m’envahissent quand je vois quelqu’un de ton clamp. Mais quelle hypocrisie de ta part ! Tu as essayé toi aussi de te venger es malheurs fait par un autre, tu t’es laissé dominé par ta haine, tes douleurs passés. Alors ne me sermonne pas, ne me prend pas de haut comme tu le fais. J’ai le mérite moi de n’avoir pas fait cette guerre par simple vengeance. Même maintenant que je suis fasse à quelqu’un qui a fait partie d’une organisation qui ma pris mes parents et mes deux frères.

Charlie regarda la jeune fille de haute en bas et d’une voix qui trahissait quelque peu l’émotion, il dit.

-Tu n’ais pas une criminelle mais n’essaye pas de chercher ses excuses, même avec toute la souffrance du monde, on ne peut se soustraire aux conséquences de choix, de ses actes. J’ai bien des hommes et femmes souffrirent plus que toi et ne pas choisir cette voix maudite que tu as prit, je vois bien des enfants qui souffriront tout autant à cause de cette guerre que toit et les autres on provoqué.

La haine partait peu à peu, au dire même de la jeune Mangemorte, une certaine…pitié était née mais pourtant, il ne pouvait lui donner raison.

-tes douleurs expliques tes action, mais ne les justifient pas, ne les excusent. Au lieu de te plaindre, repend toit des douleurs que tu as fait. Car qui sait, pour quelqu’un dans ce monde, tu es l’image à ses yeux de ce qu’était tes bourreaux.

J'avais lui parler, m'expliquer avec lui, rien ne faisait grace à ses yeux, et c'était assez compréhensif au vue de ce qu'avait fait les autres à sa famille, mais en même temps il évitait d'avoir trop pitié de moi et intérieurement j'en fue ravie, bien que je voyais le doute s'inscrire parfois sur son visage.

Ce fut à mon tour de l'écouter parler, c'est certain qu'il n'était pas comme moi et encore heureux qu'il y est des différences entre les gens sinon la vie serait trop morne. Le mot contrôle raisonna de façon étrange à mes oreilles car cela était à la fois vrai et faux.

Je suis peut être hypocrite comme tu le dis, mais en temps de guerre bien des personnes le sont, dans bien des camps, le tien comme le mien. Je ne nierais pas un certain controle, mais je suis encore assez libre je trouve quand je vois d'autre. Pourquoi on ne m'a pas encore tué parce que j'ai refusé plusieurs missions, j'en sais rien et je m'enfiche. Cette guerre comme tu dis, profite à bien des gens mangemorts ou non, sinon elle serait finie après la mort du lord noir, hors je ne vois pour l'instant nul fin.

Je le vie m'inspecter de haute en bas et de continuer à parler d'une voix trahissant ses sentiments. Oui je n'étais pas une criminel, enfin un peu, car j'avais tué ma belle mère, mais cette femme été un monstre et aurait fait si elle avait été sorcière une parfaite mangemorte. Bien sur j'ai choisie cette voix, mais à 17 ans que veux-tu faire d'autre quand le pouvoir te semble si facile à dompter, à avoir entre t'es mains.

Je suis ce que je suis, rien ne peut excuser cette marque sur mon bras, mais jamais on ne m'a donné de missions pour tuer et tant mieux. Certain se vange en devenant mangemort, d'autre n'on pas besoin de devenir mangemort pour se vanger. La seule personne que j'ai tué c'est ma belle mère et c'est tout. Je vie à Londres dans le quartier chic moldus, et je vais à l'université moldu alors je te dit zut [ hj: restont poli] Sais tu ce qui à provoqué cette guerre sincèrement? La première? La seconde? Et surement celle qui va encore arrivé? Moi non mais c'est sur qu'en disant toujours les autres et pas soit même on continura dans se cercle vicieux de combats, de haine, de mort, de violance et de bien d'autre chose encore. Les mangemorts c'est vrai nous avons les mains tachés du sang de nos victimes, mais du coté du bien à ton avis, quand est-il vraiment?

Il continua sur sa lancée, mais semblait doucement s'embrouillé dans ses dires, mais je ne lui dit rien écoutant ses arguments

Me repentir mais de quoi? Toi qui est un ancien m'embre de l'Ordre, que me reprochez-vous à part le fait d'avoir une marque sur un bras et d'avoir pris la vie de celle qui m'a fait ainsi? On ne confie rien à quelqu'un sans aucune importance comme moi et qui ne cherche plus rien nul part. Moi je veux être tranquil qu'on me fiche la paix, je n'ai plus rien à perdre dans cette guerre, à part ma vie, car je n'ai personne autour de moi qui me donne envie soit de changer de camp, soit de rester et de me battre. Alors fait toi ton opignon sur moi, mais ne me juge pas sans me connaître à cause d'une marque sur mon bras.

Je regardais le jeune homme une dernière fois dans les yeux, avant de reprendre tranquillement ma route, car pour moi il n'y avait plus rien à dire d'autre, s'il voulait encore parler il m'arrêterait déja sinon il repartirait lui aussi.

La jeune Mangemorte démontrait un point de vue des plus mordants certes mais au quelle Charlie ne pouvait que critiquer.

-Je suis peut être hypocrite comme tu le dis, mais en temps de guerre bien des personnes le sont, dans bien des camps, le tien comme le mien. Je ne nierais pas un certain controle, mais je suis encore assez libre je trouve quand je vois d'autre. Pourquoi on ne m'a pas encore tué parce que j'ai refusé plusieurs missions, j'en sais rien et je m'enfiche. Cette guerre comme tu dis, profite à bien des gens mangemorts ou non, sinon elle serait finie après la mort du lord noir, hors je ne vois pour l'instant nul fin.

Elle s’embrouillé dans ses arguments. Charlie se fichait des autres, ce qui comptait c'était la persnne en face de lui. On ne peut excuser son hypocrisie sur la base que les autres le sont aussi La guerre continuait car le mal existait encore. Charlie n’avait jamais crut à une paix possible et éternelle, il n’était pas naïf à ce point. Pour un bien, il fallait un mal, ces deux notions ne pouvaient disparaitre. Mais là n’était pas la question !

-Je suis ce que je suis, rien ne peut excuser cette marque sur mon bras, mais jamais on ne m'a donné de missions pour tuer et tant mieux. Certain se vange en devenant mangemort, d'autre n'on pas besoin de devenir mangemort pour se vanger. La seule personne que j'ai tué c'est ma belle mère et c'est tout. Je vie à Londres dans le quartier chic moldus, et je vais à l'université moldu alors je te dit zut Sais tu ce qui à provoqué cette guerre sincèrement? La première? La seconde? Et surement celle qui va encore arrivé? Moi non mais c'est sur qu'en disant toujours les autres et pas soit même on continura dans se cercle vicieux de combats, de haine, de mort, de violance et de bien d'autre chose encore. Les mangemorts c'est vrai nous avons les mains tachés du sang de nos victimes, mais du coté du bien à ton avis, quand est-il vraiment?

Là encore, elle s’éloigné du sujet. On se contre fiche du contexte, des excuses, des notions, de ce qu’aurait fait les autres, des sentiments qui nous dominez, de nos états d’âme, de nos tentatives de fuite ou de pardon. Seul notre acte comptait. Elle n’avait certes pas tué d’autres personnes que sa belle-mère mais elle avait rejoint les forces obscurs et pour Charlie aucune excuse ne pouvait pardonner cela.
-Me repentir mais de quoi? Toi qui est un ancien m'embre de l'Ordre, que me reprochez-vous à part le fait d'avoir une marque sur un bras et d'avoir pris la vie de celle qui m'a fait ainsi? On ne confie rien à quelqu'un sans aucune importance comme moi et qui ne cherche plus rien nul part. Moi je veux être tranquil qu'on me fiche la paix, je n'ai plus rien à perdre dans cette guerre, à part ma vie, car je n'ai personne autour de moi qui me donne envie soit de changer de camp, soit de rester et de me battre. Alors fait toi ton opignon sur moi, mais ne me juge pas sans me connaître à cause d'une marque sur mon bras.

(H.s : désolé mais je vois pas comment continuer notre rencontre vu l’état de nos deux personnages. Vaudra mieux si ‘lon veut se revoir commencer un autre rp^^ Ah moins que tu es une idée dés plus convainquante) Charlie la regardait partir mais son bras refusé de l’arrêter, d’utiliser son pouvoir pour stopper sa course. Il l’avait sut dés qu’il avait croisé son regard, elle n’avait pas une essence maléfique, elle s’était sans doute trompé de chemin…mais cela n’excuse en rien. Tant d’autres ont souffert mais non pas choisit la voix de la facilité. Charlie ne se retournait même pas quand elle passa prés de lui pour continuer sa route mais dés qu’elle fut à son niveau, il susurra

-Tu n’as pas tué quand bien même. Tu as regardé ces meurtriers tuer sans agir…sans réagir plutôt. Ne rien faire, c’est consentir, ne pas protéger l’innocent, c’est comme tenir la baguette du coupable, abdiquer, c’est commettre un meurtre.

Charlie baissa la tête, une unique larme coulait le long de sa joue. Etrangement, il sortait d’une sorte de speech idéologique où il n’arrivait pas à pardonner à son adversaire mais il n’arrivait pas à lui en vouloir. Du gris subsistait dans les deux camps mais être face à ce doute ambulant qui frappe en plein cœur c’est conviction, c’est voir son monde qui s’écroule presque. Mais Charlie restait sur ses positions. Elle n’avait rien fait, elle avait consentit, elle ne méritait le pardon de qui que ce soit.

[ hj: j'ai une idée je pense]

Il m'écouta parler longuement, sans rien dire, m'obsersvant, me détaillant comme si j'étais un tableau, ou une personne venue d'une autre planète. Seul ses yeux semblaient parler pour lui et je tentais du mieux que je le pouvais de les comprendre.

Il me laissa m'éloigner et j'écoutais ce qu'il avait à me dire, et il n'avait pas tord là dessus et je fis alors demi tour. Je le vie la tête baissé, une larme roulant sur sa joue. M'approchant de lui, je passais délicatement ma main sur sa joue pour sécher cette unique larme.

Deux missions voilà ce que j'ai due faire, et sur ses deux là, je n'ai vue personne tuer ou etre tuer, sinon j'aurais réagit que je sois tué sur place si je ment.

D'un geste délicat je soulevais sa tête pour qu'il soit face à moi et vois dans mon regard, sur mon visage la vérité vis à vis de la suite de mes dire.

Si je te demande de l'aide pour quitter ce monde infame, m'aideras-tu? Je veux reprendre une vie calme sans risqué ma vie. Je sais que se sera dur mais avec de la volonté çà devrait être possible tu ne crois pas? Seul on est faible, mais à deux on est bien plus fort

Charlie le sol intensément, de concentrant sur le flot de larmes qui voulait sortir mais qu’il devait contenir. Il n’avait pas le droit de succomber à sa peine, à ses sanglots. Ses parents étaient morts ainsi que deux de ses frères, la famille Weasley, elle, était éparpillé un peu partout. Il était l’ainé Weasley maintenant, il devait régler cela, il devait être fort pour les autres, passer sa souffrance et réunifier ce qui rester de sa famille. Les larmes étaient superflus, interdites. Mais alors qu’il concentrait sa pensée sur cela, une main vient essuyer la goutte salée qui coulait le long de sa joue tachetés de tâches de rousseur.

-Deux missions voilà ce que j'ai due faire, et sur ses deux là, je n'ai vue personne tuer ou être tuer, sinon j'aurais réagit que je sois tué sur place si je mens.

Charlie ne répondit pas à la jeune femme. Pour lui, c’était déjà deux missions de trop. Elle pouvait de celle qu’elle voulait, lors de ses deux missions, elle n’avait pas distribué des bonbons aux passants. Elle avait servit les volontés de Vous-Savez-Qui. Elle n’avait pas tué mais elle avait aidé d’une manière ou d’une autre. Après tout, le vendeur d’arme n’est pas un meurtrier mais quand le revolver qu’il a vendu tuer un innocent, n’était-il pas d’une certaine façon coupable ? Charlie avait déjà dut mal à accepter ceux qui par lâcheté n’avait nullement agit alors une partisane de la magie noire quels que furent ses actes ou intentions, ne pouvait valoir mieux à ses yeux.

-Si je te demande de l'aide pour quitter ce monde infâme, m'aideras-tu? Je veux reprendre une vie calme sans risqué ma vie. Je sais que se sera dur mais avec de la volonté çà devrait être possible tu ne crois pas? Seul on est faible, mais à deux on est bien plus fort

L’ainé Weasley la regarda un instant sans comprendre.

-…tu…tu me demandes mon aide

Que disait-elle ? Elle voulait quitter ce camp ? Bien sur qu’elle le désirait, le Seigneur des Ténèbres était mort, les Mangemorts paniques, fuies, se défont, cachent leurs cagoules et leurs tatouages et évitent comme la peste les Aurors ou toutes autres autorités. Pas mal d’entre eux avaient déjà abdiqué, s’était rendu, fuyez de toutes leurs forces les conséquences de leurs actes. Pourtant, Charlie ne voyait pas dans les yeux de la jeune Mangemorte la panique de l’effondrement de son camp, ni la peur de se faire arrêter, encore moins une envie de tromper celui qui était face à elle…seule la sincérité brillait. Charlie voulut lui cracher au visage, enfin, au sens figuré bien sur. Lui dire non, qu’elle se débrouille. Elle s’était foutu dans ce bourbier, avait consentit. Elle ne méritait pas une seconde chance, en aucune façon. Mais ses mots « Plutôt mourir » ne sortirent pas de sa bouche, pas plus qu’une autre phrase de ce genre. L’ainé Weasley était bloqué par une once de morale, de doute. Il n’avait pas le droit de cracher sur une main qui appelait à l’aide. Et puis, après tout, Rogue aussi s’était repentit, Drago aussi avait essayé…Alors pourquoi pas cette jeune femme ? Un vrai dilemme fessait rage dans son esprit. Que faire ? Ecouter cette voix qui disait de là laisser à ces malheurs, qu’elle avait contribué à la mort de ses proches, qu’elle ne mérité en rien une seconde chance ou alors cette autre voix qui elle clamait qu’il ne devait pas la juger, qu’il devait accepter sa demande d’aide et comme pour Eryn, la lui tendre de bon cœur. Complètement figé par se combat de moralité qui faisait rage dans son cerveau, Charlie restait là, muet, pensif…

J'attendie patiament une réponse qui ne vint pas, au contraire il sembla étonné de ma demande, en même temps on voyait pas souvent des mangemorts vouloir un peu de liberté et d'une autre vie. Je m'enfichais d'être poursuivie d'un coté ou d'un autre, je voulais rien que petite vie tranquille.

Oui

Comme il ne semblait pas se décider, je le regardais une dernière fois dans les yeux, puis abaissa ma main qui lui avait séché sa larme et fait en sorte qu'il me regarde. Laissant tombé ma main le long de mon corps, je n'ajoutais rien, car il n'yavait plus rien à dire d'autre.

Je comprenais son refus, après tout que méritais les gens comme moi à part la mort pour leur crime ou la prison à vie, rien aucune seconde chance aucune vie meilleure, c'était ainsi que devait se passer et dérouler notre vie. Soupirant de tristesse, je décidais de laisser tomber ma demande et de laisser le jeune homme tranquil.

Oublie ce que je t'ai demandé, les gens comme moi ne mérite pas de vivre et ne mérite rien d'autre que la prison ou la mort seront les seuls los de nos vie. Je me débrouillerais seul et je ne t'arriterais pas des ennuis en voulant m'aider.

C'est le regard sombre plein de tristesse et de souffrance, le pas lourd et hésitant que je m'en allais doucement à l'érance de ma vie, de mon avenir et quel avenir? Et bien rien de beau, rien de bien qu'une vie de solitude et de rejet de la société sorcière. Peut être que dans le monde moldu j'aurais plus de chances, mais là aussi je doutais quelque peux

La jeune Mangemorte regardait Charlie se débattre intellectuellement sur la bonne marche à suivre. Quelle décision prendre ? Il ne savait s’il devait l’aider ou la laisser là. La notion de bien et de mal se mélangé dans sa tête, effaçant même la frontière, ne laissant que des nuances de gris. La morale, les sentiments, tout, tout se mélangeait dans l’esprit de l’ainé des Weasleys. Par respect à sa famille, à leur combat, Charlie se sentait d’avis de refuser tout net mais après tout, n’est ce pas être comme eux que de ne pas accorder de pardon, la possibilité de faire pénitence. Il ne savait que dire, que faire mais, plongé dans le mutisme, Gabrielle, elle, n’attendit plus et répondit à Charlie

-Oublie ce que je t'ai demandé, les gens comme moi ne mérite pas de vivre et ne mérite rien d'autre que la prison ou la mort seront les seuls los de nos vie. Je me débrouillerais seul et je ne t'arriterais pas des ennuis en voulant m'aider.

Charlie était incapable de bouger. Il laissa la jeune Mangemorte partir, sans savoir ce qu’il voulait et devait faire. Elle s’éloignait sans se retourner. Il ne connaissait ni son nom, ni où elle vivait…mais le plus important, il ne savait qui elle était en profondeur. Comment prendre une telle décision en ce contexte…
Elle avait disparu au coin d’une ruelle, plongé dans l’obscurité de la nuit et dans l’ombre des rues mal éclairé de Londres. Il l’avait laissé partir, avait laissé fuir un Mangemort, un criminel de guerre. Encore troublé par son geste, par l’entretien qui venait de se passer, Charlie restait là, debout, ne sachant quoi faire. Il jeta un regard en direction du pauvre homme qui Charlie avait stupéfixé. Il devait être là, encore touché par le sort d’invisibilité de la Mangemorte, amnésique de l’attaque magique de l’ainé des Weasleys. Son acte ne manqua pas de le dégouté, il avait attaquer un Moldu emporté par le colère. Certes il n’était pas blessé et n’aurait de ce soir ni trace physique ni psychologique de cet agression magique mais là n’était pas la question. Charlie s’était laissé emporté part sa haine, sa colère.
Il ne valait peut être pas mieux que c’est gens là, que ces hommes, de dit il, de ses monstres. Charlie serrait les poings à s’en les faire saigner. Il tenait toujours sa baguette d’une main et quelques étincelles rouges en sortaient. Ses dents serrées couinaient, ses yeux perçaient l’obscurité, ses bras tremblés de froid, en même temps, sa tenue était légère pour la saison mais était-ce l’explication ?
Le même débat, le même dilemme se jouait à son esprit. Que devait-il faire ? Avait-il déjà bien fait de la laisser partir ainsi ? Elle ? Une Mangemorte en liberté ? Ses remords, ses dires, ses arguments avaient eu l’air sincère et pures mais ces êtres là sont doués pour sa cacher derrière des masques, pour jouer la comédie. Comment la croire ? Comment lui faire ne serrait-ce confiance ?
Et puis, pouvait-il l’aider ? Comment déjà et puis le méritait elle seulement ? Autant de question, que Charlie ne put répondre et qui surement, le turlupinerait toute la nuit.

[ CLOS]

» L'aube d'un printemps [Gabrielle W.]
» [-16] Gabrielle, gentille ? Non... Quoique... [Fe]
» Badaboum dans les escaliers(FE Gabrielle Westerman)

Rencontre plus que déplaisante (Fe : Gabrielle)

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