Invité
Invité
 |  Sujet: Elle s'appelait Sarah - Tatiana de Rosnay Lun 7 Juin - 21:58 | |
| >> Elle s'appelait Sarah << Nom de l'auteur : Tatiana de RosnayDate de Parution : 2006 Éditeur : Héloïse d'Ormesson Nombre de pages : 404 pages Pourquoi lire ce livre :A la base, parce que j'avais le choix entre ce livre-ci et un autre un peu trop cru à mon goût sur un camp allemand. Et ce livre est tout simplement magnifique. Pas pour son le sujet abordé, mais la manière de décrire les choses et de parler d'une histoire peu connue, alors qu'elle est très importante. Point faible du livre : Sincèrement ? Là, tout de suite, j'ai du mal à en trouver. Petit passage du livre :"L'herbe lui chatouillait le nez et sentait bon. Elle aurait voulu y enfouir son visage et respirer à pleins poumons ce parfum vert et puissant. Elle vit que Rachel passait déjà la tête par l'ouverture, en prenant garde de ne pas se blesser. Soudain, la fillette entendit des pas lourds résonner dans l'herbe. Son coeur s'arrêta net. Elle leva les yeux. Une ombre immense se plaça au-dessus d'elle. Un policier. Il la souleva par le col élimé de son chemisier et la secoua. Elle se sentit défaillir de terreur.
"Vous vous croyez où ?""
Autre(s) ouvrage(s) de l'auteur :- L'appartement témoin
- Mariés, pères de famille
- Le Dîner des ex
- Le Coeur d'une autre
- Le Voisin
- La Mémoire des murs
- Spirales
- Moka
- Elle s'appelait Sarah (traduit de l'anglais - Sarah's Key)
- Boomerang (traduit de l'anglais - A Secret Kept)
Bref résumé :Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l’étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit. Paniquée, elle met son petit frère à l’abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible.
Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél d’Hiv.
Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie changer à jamais.
Elle s’appelait Sarah, c’est l’histoire de deux familles que lie un terrible secret, c’est aussi l’évocation d’une des pages les plus sombres de l’Occupation. |
|
