Juste nous[fe Juliette]

Dans les rues éclairé du chemin de traverse je marcher seul pour une raison bien précise : raccompagner Juliette, en effet étant très bon avec la mémoire je savais à peu prêt son emploie du temps par cœur. Très vite je commença à marcher a un peu plus vite pour essayer de ne pas arrivé en retard.

Aujourd'hui j'avais l'intention de l'inviter diner en tête à tête histoire qu'on se connaissent un peu mieux. je n'avais pas l'intention de lâcher ma proie je m'en doute qu'elle sois spécialement ravie de me voir mais bon fallait bien la séduire et je savais comment séduire les filles. Je fut arriver enfin à destination avant d'entrer dans le magasin je m'arrêta et regarda à gauche puis à droite si je pouvait traverser. Il n'y avait que des sorcier de type noir qui était là donc cela n'aller pas me ralentir au contraire.

Dans une démarche plutôt lente je poussa la porte et je regarda la belle Juliette, qui souris a ses client avec un sourire angélique, une cliente sortit me bousculant de l'épaule je ne la repoussa pas en faisant la même chose en faite je fit comme une porte, elle me pousse mais je fit en sorte de pivoter. Je fis un pas dans le magasin et lui fit un sourire de charmeur m'approchant du comptoir en disant :[/i]

"Je viens chercher une fleur il n'y en a pas ? Me serrais-je tromper de magasin ? Roh tant pis."

Je sortit de ma manche une fleur rose et lui offris en disant calmement :

"Accepterais tu que je te raccompagne chez toi ?"

Je souriat et la regarda attendant une réponse clair et précise.

Dure journée, pleine de rebondissement, de clientes agréable et d'autres casse pied, et encore parfois je pesais mes mots par simple politesse. Y avait des jours où je me retenais de sortir ma baguette et de les foutres dehors, mais la conscience professionnelle, était souvent la plus forte, alors je prenais sur moi et me défoulais très souvent lors de mes missions et là çà faisait un bien fou d'évacuer tout cette tension.

Il était enfin 19 heures à mon horloge, et je m'occupais de mes dernières clientes, enfin de ma dernière, car l'autre venait déja de partir, enfin c'est ce que je crue, car la porte de ma boutique venait de s'ouvrir. Levant la tête je vie quelqu'un que je n'aurais pas voulue voir se soir, enfait comme tout les jours ou presque.

Je lui adressais un sourir poli, mais mon regard en disant long sur sa présence. Ma dernière cliente partie, mon masque de politesse s'effaça pour faire place à un masque de froideur et de cruauté. Toujours son discours habituel, et barbant, qui eue pour effet un regard noir bien sentie pour toute réponse.

Comme d'habitude le même discours barbant

Il sortie encore une fleur, et celle ci alla rejoindre les autres dans le vase d'un coup de baguette. Au moins celà servait à décorer un peux la boutique. Il proposa de me raccompagner à la maison, j'avais absolument pas envie, mais avais-je le choix? Simplement non et pourquoi, protéger Hibiki et Chiyu

Attend moi là, je vais me changer, et si tu viens derrière, je t'envoie à Sainte Mangouste pour les prochains mois

Le laissant là sans autre forme de procès, je filais dans l'arrière boutique, ou je rangeais mon matériel d'un coup de baguette, puis raccrocha mon tablier avant de prendre ma cape et de la nouer autour de mon cou, puis rejoindre à nouveau l'autre ennuyeur de service.

Allons-y puisqu'il le faut

Je sortie de la boutique derière Mickael, puis la ferma à cle, avant de lancer plusieurs sort dessus.

J'étais de très bonne humeur, mais son regard froid me dis long sur ses ce qu'elle pense. En effet je suis télépathe de regard ! Je vais vous avouer que je n'ai pas vraiment ce pouvoir mais c'était histoire de dire que j'avais comprit ce que le regard froid me disait.

C'était une sorte de message codé qu'on peut traduire de différente façon : "Oh non pas encore lui", "Je suis fatigué de cette journée mais je vais être fatigué de cette nuit à cause de ce type !". "Il fait toujours le même discours ennuyant et toujours avec une rose dans la manche !".

Il était vrai que je savais ça parce que l'unique raison est qu'elle était assez occuper avec les affaire mais aussi parce que je viens régulièrement la voir. La prochaine fois j'essayerais de venir quand elle aura du monde pour qu'ils voient son vraie visage car sincèrement voir ce visage m'énerve et je vais lui rappeler qui je suis.

"Toujours aussi agressif j'aime ça ! Mais dois-je vraiment te rappeler qui je suis ? Je suis ce qu'on appelle "un maitre chanteur". En clair si tu me fais quoi que ça sois je demanderais à mon complice de retrouver les mangemort et de dévoiler a votre relation... Toi et... Hibiki ? Donc je te conseil de ne pas me pousser à bout."

Je me mit à rire en lui rappelant l'étendu de mon pouvoir sur elle.

"Tu serra dans le pétrin si je dis tout à tes confrère mais ton ami aussi...J'espère sincèrement que ton coeur a une petite place pour ce pauvre Hibiki que tu condamnera si tu venait à me blesser ou quoi que ça sois ? A moins que tu t'en fiche, mais malgré les apparence trompeuse ton cœur bas pour lui ! TU aura beau lui dire que tu le déteste mais je connais tes sentiments et sincèrement ça m'amuse de te faire souffrir. Car je sais que si tu le perd encore une fois tu deviendra folle et de ton côté les tiens ne seront pu avec toi car tu aura pactiser avec l'ordre. Et je supose que tu as un ami.... Dans l'ordre aussi, donc si je sais qui c'est méfie toi tu aura encore plus de mal à les voir ou quoi que ça sois."

J'avança légèrement et je dis :

"Suivez le guide"

Ce qu'il pouvait m'ennerver, me mettre hors de moi, avec beaucoup de facilité et surtout avec les mots qu'il fallait utiliser pour me rapeller au combien j'étais dans la mouise jusqu'au bout.

Oui je savais que c'était un maître chanteur, oui je savais qu'a la moindre anneries de ma part, je nous condamnais tout le deux à la mort dans les pires souffrances.

C'est bon, t'inquiète pas, je ferais attention à ne pas commettre d'impaires, mais attention à ne pas me pousser à bout non plus. Je ne ferais pas souffrir hibiki par ton billet ne t'inquiète donc pas pour celà.

Il se mit à rire, et moi je soupirais longuement, cette soirée allait être très longue et la nuit à venir encore plus, et en plus demain je partais en mission pour les mangemorts. Je prendrais une potion ennergistante pour être au meilleur de ma forme, mais rien ne remplacerais une bonne nuit de sommeil.

Et voilà c'était repartie pour le sernom, enfin le rappelle de mes priorité et de ce que j'avais à faire pour protéger les deux personnes lesp lus importante pour moi. Oui j'avais encore des sentiments pour Hibiki et Chiyu était un ami en or, je ne pourrais par les faires souffrir, sans souffrir à mon tour. Je ne dis pas un mot, car il n'attendais que celà, que je m'ennerve contre lui pour me briser entièrement, mais je ne lui ferais jamais se plaisir.

Il commença à avancer et je lui suivie contre mon grés, mettant un masque de bonne humeur et de politesse, un masque pour tromper mon monde, et surtout pour cacher ce que j'avais au plus profond de mon coeur à cet être ignoble.

Ou est ce que tu me conduis? demandais-je avec une certaine curiosité, car ce n'était absolument pas le chemin pour mon appartement

J'aime beaucoup Juliette pour son physique, elle est mignonne toujours souriante, avec moi c'était un peu normal car je la tire par le nez et elle savait très bien mes intention de dévoilé la vérité si elle refuse de jouer le jeu. Mais d'un autre sens elle pourrait être un peu reconnaissante en vers moi car je lui sauve la mise en la faisant passer pour ma petite amie.

Pour mon physique il n'y avait rien à dire tout est parfait sauf que j'avoue je suis une vraie plaie et j'aime énerver les autres, je leur rend en quelque sorte leur pièces qu'ils ont fait tomber sur moi. D'ailleurs j'aime beaucoup un proverbe qui dis : "Celui qui donne avec son cœur est rendu par 100". Bon ce proverbe ne serrait pas adresser à quelqu'un d'aussi mauvais que moi mais... Si on regarde la situation en sortant avec un qui est proche des mangemorts elle a moins de chance de faire du mal à ses amis les plus proche. Et je pense surtout à son chérie numéro 1 : Hibiki Kanto... Hum... J'aurais du le faire taire quand j'en avais l'occasion mais apparemment le destin ne joue pas en ma faveur, et avec elle a mes côté je sent qu'elle va bientôt tourner. Elle fit mine de rien sous un masque de gentillesse et me demanda : "Ou est ce que tu me conduis?" Dans ses mots je lit une certaine curiosité car en effet je ne la conduit non pas chez elle mais dans un endroit non loin de là pour un diner en tête à tête et je lui répondit :

"Oh, je penser être de la vieille école et toujours me répêter mais j'ai l'intention de rectifier le tire et de repartir sur de bonne base avec un petit diner en tête à tête pour qu'on puisse se parler un peu plus et surtout qu'on se connaissent un peu mieux. C'est vrai que j'étais assez brusque avec toi et je m'en excuse mais comme je te l'ai dis à notre première rencontre : Quand je veut quelque chose, il m'appartient".

Une fois arriver à destination, devant la porte je nous arrêta me retournant sur le coup la saisie par le bras et je posa de façon brutal un baiser, mais ce baiser était non pas aussi vif il était langoureux et passionnel.

J'en pouvais déja plus de cette soirée et elle ne venait que de commencer, hélas pour moi je n'étais pas prête de me retrouver seule et de pouvoir me reposer. Tout le chemin se passa en silence, d'ailleurs je n'avais pas envie de parler avec lui, juste comment trouver un moyen de protéger au mieux Hibiki et Chiyu.

Plutot que de le regarder lui, je regardais le paysage et les lieux où nous passions pour mémoriser l'endroit et savoir comment l'éviter à la suite. Il se décida hélas à me parler, moi qui pensait être tranquille un moment, domage pour moi. Apparament, il avait prévue un dîner en tête à tête, quelque chose de romantique et au fond de moi j'en grimaçais déja de dégoût, car rien ne pourrait devenir romantique avec un homme comme lui.

On verra bien, mais attend toi au plus grand silence de ma part. Tu veux dîner, soit je ne refuserais pas, mais se sera sous silence.

Pour le reste je ne lui répondit pas, et s'il croyait m'avoir déja comme çà, juste avec ses menaces, il pourrait toujours aller se faire voir, car mon coeur était à Hibiki. Une fois à destination, il se retourna et m'embrassa d'une façon délicieusement tortureuse. C'était un baisé peut être vif, mais passionnel et traitre en soit. Mon esprit me disait de le repousser, mais mon corps lui en demandait plus, encore plus, tellement c'était agréablement traitre et langoureux.

* Je voudrais le repousser, mais je n'y arrive pas! Au secours c'est tellement bon, mais dangeureux...* pensais-je au plus profond de moi

Dès notre arrivé elle me préviens que pendant le diner romantique qu'il avait concocter serrait un simple et long silence de sa part, personnellement je me fiche éperdument de ce qu'elle pense car personnellement je le savais. Je me dis à moi même ce qu'elle aurait dit si je l'aurais pas fait chanter :

"Fiche moi la paix, on se connait même pas et tu viens me voir et flirter avec moi comme si on se connaissait depuis longtemps ! " Et je savais que ce qu'elle se dit maintenant était exactement : "Si je fais ça c'est pour protéger Hibiki et moi, je ne t'aime pas du tout espèce de sale goujat " Mais pour moi la réponse est : "Si tu essaye quoi que ça sois contre moi attend toi au pire ennui que tu puisse avoir dans ta vie, tu ferra souffrir ton chérie et pour toi ça serra pire, car je peut me douter qu'ils essayeront d'avoir avantage et que vous ne le ferrez pas..."

Quand je me mit à l'embrasser je pu voir dans son regard une sorte de détresse de sa part qui était du style "au secours" ou encore "un malade mental m'agresse". Vu mes attitude assez vif et étrangement présenter on me prend pour fou c'est compréhensible mais personnellement je veut qu'ils pensent cela de moi mais tout mes fais et geste sont minisuesement calculer à l'avance. Aucun echec n'est envisageable. Je m'arrêta quelques instant pour dire simplement :

"Je peut être l'homme le plus sympatique que tu connaissent si tu veut bien être vraiment à moi pas parce que je te fais chanter mais parce que tes sentiments parle pour moi et non Hibiki ! Oublie le, et haïs le ! Il t'a fais souffrir que puis-je te dire d'autre à part la vérité ?"

Je l'embrassa de nouveau mettant mes mains autour de sa taille et l'embrassant de façon douce et délicate, tellement délicate qu'elle pourrait ressentir les frisons de mes mains sur sa taille et l'air passer entre ses cheveux.

Ce que je le détestais ce type, il me dégoûtait et je me dégoûtais de devoir faire celà, mais le courage des lions, m'avait quitté après le départ d'Hibiki, et je n'avais pas le courage de protester pour l'instant, car je ne savais pas comment la jouer le plus finement possible.

Ce qu'il ignorait, c'est qu'Hibiki savait pertinament que j'étais mangemore, mais pas Chiyu et je ne voulais pas qu'il le sache

Ce qu'il me dit augmenta ma colère, lui sympa? Agréable? Et puis quoi encore? Fallait pas non plus croire au père noël.

Au risque de te décevoir, je n'arriverais jamais à haïr ou détester Hibiki. Ce qui sais passer entre lui et moi, ne regarde que nous deux.

Il m'embrassa à nouveau et posa ses mains sur ma taille, et là je boullonnais tellement de rage, que je lui mordit les lèvres jusqu'au sang pour lui faire comprendre qu'il ne m'aurait pas avec ses baisés.

Je l'embrasser tendrement profitant de mon pouvoir sur elle, mais elle me répondit clairement que ce qui s'était passer entre Hibiki et elle c'était du passé et surtout que ça ne regarder que eux deux ! Mais elle a commise une grave erreur en faisant l'action suivante : me mordre les lèvres jusqu'au sang. Je recula et mit ma main gauche sur mes lèvres et la retire la mettant devant moi. Mon regard avait changer, une froideur incomparable se montra dans mes yeux, et elle avait réussi à me mettre en colère.

Je glissa ma main libre pour prendre ma baguette et je lui dis très clairement dans le blanc des yeux sans avoir l'air d'être aussi amoureux que tout à l'heure mon air avait plutôt ressemblance à celui de quelqu'un qui ne plaisenter pas et surtout quelqu'un de foncièrement mauvais ! Les mangemorts et l'ordre du phénix serront content ! Ils auront un(e) traitre(sse) parmi leur rang.

"Et bien ma petite Juliette, je vais te montrer ce qu'il en coute de me mordre les lèvres ! Et surtout jusqu'au sang, tu risque de ne pas t'en remettre ma vieille !"

Je commença a sortir ma baguette et la pointa vers le ciel en disant d'une voix assez froide et en colère

"Bon... Pour cette fois je ne le ferrais pas, mais si tu recommence à me repousser de cette façon je vais céder à la colère et je te laisserais même pas un clignement de l'oeil ! Je te laisserais même pas faire un mouvement de la mains ou encore des lèvres... Tu aurais pu me repousser en faisant une excuse valable du genre : "désolé c'est trop tot ou je sais pas quoi" Mais sache qu'a la prochaine enflure tu passera de l'autre côté et ton ami avec. Compris ?"

Je m'étais laisser emporter comme un nouille, et il fallait que je me rattrape, mais comment? Je n'en avais pour le moment pas la moindre idée et voir qu'il sortie sa baguette me fit frissonner de peur, mais je me ressaisit rapidement.

Je devais le faire pour Hibiki, uniquement pour lui et par amour pour lui, et par amitié pour Chiyu. Pas une seule seconde je baissais le regard devant ses yeux ses froids et plein de cruauté.

Il sortit sa baguette, çà y est, s'en était finit de moi, et d'hibiki, mais je ne compris pas pourquoi, il me mença simplement.

T'en fait, pas je ne recommencerais plus, mais continue comme çà, et moi aussi je pourrais m'ennerver. C'est pas en te comportant comme çà, que tu arriveras à m'avoir rien que pour toi et à oublier ce que je ressent pour Hibiki. Pour le moment, pour toi je n'epprouve que du dégoût et du mépris

Je fixais Mickael droit dans les yeux, je me dégoutais déja de celà, mais un regard plein de désirs et de mensonge pour moi, suffirait au moins à lui faire comprendre qu'il devrait la jouer autrement avec moi

Bon, je commence à avoir faim, alors si tu veux vraiment me connaitre fait en sorte que j'ai envie de te parler.

Je regarda Juliette droit dans les yeux quand elle me parla, apparament elle me déteste vraiment il va faloir que je fasse un remède contre l'amour pur et dur qu'elle éprouve pour Hibiki, hum... J'ai surement aucune chance d'avoir son cœur mais peut être qu'il y a possibilité il va falloir que je joue finement sans être brusque ou encore quoi que ça sois : chaque chose en son temps.

Etape 1 : Invitez Juliette d'une façon courtois et aussi comme un gentleman aborder des sujets qui l'interesse... Travaillant dans la mode et elle tiens une boutique plutôt modeste il va faloire que je la séduise en parlant de mode, m'interressant un peu plus sur ce qu'elle fait que elle même.

Je m'avança vers la porte la prenant de façon délicate la main pour qu'elle m'accompagne et surtout pour entrer comme un "vrai" couple. La tenant par la main je me dirrigea vers le gérant du restaurant et je lui demanda si il rester des places libres, il me montra une place assez proche de la vitre qui était orienté vers la boutique de Juliette un peu plus loins. Je sourit la tenant toujours par la main en avançant vers la table je l'a lâcha puis je tira légèrement la chaise pour qu'elle n'a pas à le faire, étant donner qu'elle travaille beaucoup il fallait que je l'aide un peu à se ménager. Je dis alors :

"La place de madmoiselle est avancer"

Je lui souriat sincèrement et essaya de me comporter comme un gentleman mais je n'étais pas vraiment douer pour cela, donc il va falloir que j'improvise tout. Juliette est un sacré bout de femme et je vais pas réussir à en venir a bout aussi facilement.

Apparement, les choses étaients enfin au claire, et c'était à moi de ne pas me perdre dans ce jeu dangeureux de la séduction, ou je risquerais alors de le regretter toute ma vie, et pour hibiki aussi.

Il pris ma main d'une façon très douce, comme si la colère d'avant ne venait pas d'avoir lieu. Sa main était vraiment chaude et douce et je me prennais à aimer cette sensation avant de me giffler mentalement pour avoir pensé celà.

Je le suivais docilement, affichant un masque de simple politesse et en faisant semblant d'être timide, comme si c'était mon premier rendez-vous avec un garçon. Comme par hasard, les dernières place libre étaient près d'une fenêtre qui donnais sur la rue et à ma boutique.

Il lacha ma main et je me surprise encore à ne pas vouloir que celà arrive, mais je fus étonné de le voir tirer ma chaise et de m'inviter à m'asseoir ce que je fis aussitot, car j'avais mal aux pieds. Il repoussa ma chaise et s'installa alors face à moi.

Merci

Fut le seul mot que je deignais lui adresser pour l'instant, car il avait été là vraiment poli et charmant. Pour ne pas succomber à son regard sombre et envoûtant, je laissais mon regard dériver sur la salle et la rue, mais en prenant soin, de laisser mes mains hors de la porté des siennes.

Un caractère aussi dur, tout comme lui, mais contrairement à lui elle avait sombrer dans les ténèbres les plus profond. Moi aussi j'aurais sombrer si ma conscience était aussi dépourvu de tout bon sens. La tristesse était grande pour elle, la perte de ses êtres les plus proches fut une fatalité pour elle tandis que moi c'était une victoire ! J'ai réussi à me dénouer des liens que j'avais maintenant pu personne proche de moi et je voulais faire en sorte qu'elle oublis tout ce qu'elle pense a mes côté. Elle oubliera même le mépris qu'elle éprouve pour moi et ça sans magie je pourrais le faire.

Commencement de l'étape, je devais aborder un sujet qui l'intéresserais vraiment et ça pourrait embaucher sur une autre conversation puis une autre...puis encore une autre, et quand elle aura confiance en ma bonne fois elle oubliera de reculer ses mains et je les lui prendrais et d'autre chose se produiront naturellement sans être trop brusque avec elle j'aurais une importance majeur pour elle... Elle trompera son chérie et ensuite ils se battrons à mort, moi j'aiderais évidement Juliette ! Et Hibiki mort... Pu rien ne pourra m'empêcher de l'avoir à moi et a moi seul ! Mais pour que mon plan fonctionne avec brio je dois être prudent :

"J'avoue que tes vêtement sont intéressant, c'est toi qui les as conçu ? Hum, en tout cas tu a un très bon choix et un bon coup d'œil surtout, c'est quoi tes passions dans la vie ?"

Je pris mon le menu dans les mains et je la regarda, son regard était river sur l'extérieur signe qu'elle ne voulais pas entrer dans mon petit jeu et elle avait l'air d'essayer de m'ignorer mais ne pouvant pas m'ignorer elle me réponderais surement avec passions. Je vais essayer d'être moins sombre et plus souriant, alors je fit un beau sourire chaleureux et je regarda ses cheveux bien coiffé.

La nuit était tombé depuis longtemps emportant avec mes derniers espoir de repos et de tranquillité. J'avais espérer aller voir Chiyu pour lui parler, mais j'avais été coincé par l'autre machin chose de drageur de service.

Donc autant faire contre mauvaise fortune bon coeur, j'allais apprendre le plus possible de ce mec pour le coincer à mon tour. Chaque chose en son temps et je savais que je pourrais compter sur l'aide de quelques uns des mes amis proches.

Mon regard se posa sans le vouloir sur Mickael, car il me posa une question sur ma passion. J'allais entrer dans son jeu, au risque de m'y perdre, mais j'entrainerais sa perte avec moi c'était certain.

Merci! Oui tout les modèles sont de moi et sont des pièces unique, jamais une robe ou un costume ne se ressemblera. La mode et encore la mode je dirais, et le dessin celà va de soit et toi?

Il le menu, et m'observa l'observer. Son sourire eut pour effet de faire raté à mon coeur un battement, car il était vraiment séduisant.

Tu ne m'a même pas dit quel est le genre de restaurant ou tu m'a inviter

Mon regard était très joyeux en lui parlant j'avais réussi à toucher un point sensible, je pouvais continuer mon avancer dans cette direction, évidement ce serrait pas si facile que je le pense mais chaque cas de figure et je pouvais me douter qu'elle pense que j'essaye de jouer au jeu de la séduction c'est tout a fais ce que je fais mais d'un autres côté ce que je lui disait venait du plus profond de mon cœur, c'était surement la fille avec le quelle je passe le plus de temps mais surtout la personne avec qui je parle le plus sans me soucier de ce que je vais dire. Elle avait apparemment envie de parler de passions et d'ailleurs moi aussi je voulais parler de passions. J'avais des passions très banale je dois dire mais je ne voulais pas être compliquer dans mes propos ni trop flou, les meilleurs réponse sont les plus courte.

Je respira lentement et puis je parla normalement à Juliette avec le menu dans les mains avec un sourire angélique :

"Mes passions sont les photos... Enfaite j'étais élever parmi les moldu et j'ai toujours voulus savoir qui était ma famille, je veut dire enfaite on ma toujours cacher mes origine et étant trop restrinct je commença à devenir un rebelle orgeuilleux et toute les pires des choses qui puisse exister, en faite je crois que c'est pour me faire remarquer... Je suis devenu un peu voyou et ça a déplus a nombreuse personne d'ailleur. J'ai continuer à devenir de plus en plus sombre me mettant tout le monde a dos. Mais je pense que ma vraie passions c'est le voyage, connaitre de nouveaux décor, de nouveau visage et coutume. J'ai... Longtemps photographier des paysage dans le monde moldu."

Je me mit légèrement à rire en disant :

"Depuis je suis de mauvais poil presque tout le temps car je ne voyage pas assez"

Ce type était vraiment bizare, il pouvait passer d'une colère noire en quelques seconde à une certaine sympatie. Une passion pour la photo? C'est le genre de chose que j'aime beaucoup voir, se sont des photos, des expositions de photos du monde.

Je parcourais le menu de long en large pour ne pas le regarder dans les yeux, et celà marchait pour le moment plutôt bien. Il était devenue méchant si l'on peut dire çà uniquement pour se faire remarquer, drôle de façon d'agir.

Si tu aimes voyager, pourquoi ne pas continuer sur ta passion? La photographie est devenue maintenant un métier à part entière. C'est sur qu'avec le comportement que tu as permet moi de te dire que tu n'es vraiment pas un cadeau. Repart voyager, il y a encore tellement de chose à voir et je suis sûr que çà ne te fairais pas de mal.

L'entendre rire eue l'effet d'une décharge électrique, c'était agréable, car là il est loin de l'homme que je méprisais entièrement. C'est sur qu'il était souvent de mauvais poil et j'en faisait parfois les frais.

Je ne crois pas avoir besoin de confirmer ce que tu viens de dire?!

Elle regarder long et large le menu sans le quitter du regard une seule seconde, je mit mains mains sur la table prés de l'assiette et j'essaye de comprendre pourquoi elle faisait ça, la première idée qui me venait à la tête était que j'étais quelqu'un de pas mauvais à regarder. Sans vouloir me venter je pense avoir un certain charme et elle voulait surement pas me regarder pour deux raison :

La première raison est que normalement elle me méprise, elle ne sais pas me voir et elle reste uniquement pour protéger Hibiki... Elle sais que je suis un homme de parole et surtout que je n'hésiterais pas à executer mes menace, ne revenant jamais en arrière je savais exactement ce que je voulais dans la vie.
Le deuxième qui était une simple possibilité était qu'elle me trouve un certain charme malgré mon comportement assez sombre et surtout qui est prés à tout faire pour avoir ce que je désire. Et elle ne sais pas vraiment jusqu'où je peut aller, ne serrait-ce que pour la faire mal ?

Elle m'avoua un peu le fond de sa penser en disant que je n'étais pas un cadeau. C'est vrai, le seul cadeau est mon physique sinon pour le reste c'est un cadeau empoisonné.

"C'était méchant ça ! Il faut dire en faite que mon principale défaut c'est que je veut tout et tout de suite. C'est surement l'une des raisons qui me pousse à faire ce que je fais. Je sais que c'est pas bien mais comment dire... C'est plus fort que moi, et de plus voyager seul c'est pas très amusant je trouve."

Je regarda vers sa boutique et je dis calmement avec un sourire :

"Oh et en parlant de passions, à part la mode qu'aime tu faire dans la vie ? Regarder un match de quidditch ou alors.... Je sais pas moi, mais la vraie question que je voulais te poser c'était depuis combien de temps travaille tu dans la mode ? Enfin je veut dire...Dis moi les démarche que tu as fait, les difficultés et autres."

Il fallait que je la connaissent un peu mieux et je savais que mon comportement serrait décisif, je me mit à rire et je lui raconte une anecdote qui m'étais arriver.

"Tu sais, en parlant de passions ça ma rappeller un pont... Enfaite j'étais dans un bus en moldu et je regarder les gens passer et y en a un qui était tout nu et il était marquer : "I love chocolate", je me suis mit à rire tout seul dans le bus et tout le monde riait car ils penser que j'avais vu un clown. Et tu sais quoi ? c'était un clown ! "

J'en pouvais plus, mais j'arrivais à tenir bon et à ne pas le regarder dans les yeux. Après avoir vue tout le menue, je décidais de regarder dehors et de laisser mon regard vagabonder loin d'ici, ainsi qu'une partie de mon esprit.

Il me traita de méchante, mais je ne l'étais pas du tout, j'étais simplement réaliste.

Méchante absolument pas, mais réaliste oui. Moi j'aime bien voyager seule, c'est agréable. Tu as qu'a te trouver un partenaire de photographie

Je soupirais quelque peu avant de répondre à sa question.

Rien, rien ne m'intéresse vraiment dans la vie. J'aime créer de nouveaux vêtements, j'aime dessiner mes créations. J'aime surtout quand je peux voyager, mais en ce moment c'est devenu impossible, car j'ai de plus en plus de monde à la boutique et comme je suis sele à y travailler, je ne peu pas me permettre de prendre des vacances. Après Poudlard, j'ai pris des cours pas correspondance pour décrocher mon diplôme de styliste, pendant que je travaillais à coté pour avoir l'argent necessaire pour avoir mon commercer, après c'est un tat de démarches au ministère, très très ennuyeuse

Il me parla ensuite d'une histoire qu'il avait vécue et qui me fit rire je l'avoue

Les moldus sotn étrange avec leur goût

Mon regard la fixa sans aucune nervosité ni quoi que ça sois, mon regard était on ne peut plus calme. Je me releva légèrement remetant bien ma chemise, et m'installa à ma place de nouveau cette action ne prit que 2 seconde à peine mais pendant ces deux seconde j'eu le temps de réfléchir un peu à une sorte d'hypothèse logique. J'aller la contraindre à me regarder dans les yeux et à succomber à ce qu'elle ne voulait pas succomber : Mon charme. Elle tombera très vite dans mes bras si j'arrive à la faire tourner la tête mais avec une façon naturel... La seule façon que je connaissait était : "Quand quelqu'un te parle tu lui tourne souvent la tête ? Regarde moi, ça fait plus polit car la j'ai plutôt l'impression que tu évite de me regarder... Je te dégoute à ce point ?"

En pensant à cette phrase cela me donna une petite idée de comment la convaincre de me regarder droit dans les yeux et surtout à faire ce qu'elle évite : Moi. Je dit en souriant assez calmement :

"Oui, le ministère... Un tas de paperace... Et tout le tralala qui l'accompagne, je n'aime pas vraiment ce temps, mais j'aimerais savoir un truc."

Je met mit à rire mais brièvement pendant quelques seconde a peine et j'enchainai directement.

"Je trouve que les moldus on un sens de l'humour assez vagues, mais eux au moins ils m'écoutent avec attention. En te regardant je me dis qu'enfaite tu veut que le temps se passe plus vite et que tu ne me regarde pas parce que je suis la pire des mocheter, ou encore que je suis dans le menu et que tu rêve de me manger pour ne pu m'entendre parler; Je suis devant toi, en chair et en os ! Rien de plus réel que moi. Regarde moi s'il te plait, juste une fois.... Histoire de me réchauffer le coeur car j'ai l'impression qu'enfaite je parle à un mur.

Mon esprit était enfin partie loin d'ici, vue que mon corps ne pouvait pas le faire. Il m'arrivait souvent de rêvasser de façon éveillé, mais il fallait que je reste attentive à la moindre de ses paroles, car celà pourrait toujours me servir, ou me détruir selon le point de vous où l'on se plaçait.

Le ministère est ce qu'il est et on ne le changera plus

Il se mit à rire et à expliquer qu'au moins les moldus le regardait et l'écoutait. Il voulait que je le regarde soit et ce fut alors un regarde vide de tout sentiments, amplie d'une infinie tristesse.

Voilà je t'écoute, je te vois, je te regarde.

Oui je le regardais contre mon grés et c'était sur je me perdis automatiquement dans son regard sombre et ennivrant. C'est vrai qu'il était beau, rien à avoir avec les autres hommes que j'avais déja vue, ou croiser. Il avait un charme hypnotique et envoûtant que je me surprise à aimer.

Si tu étais dans le menu, tu ne serais pas devant moi mais entrain de cuire dans un four à 280 ° avec des oignons, et des carottes. C'est vrai tu es en chaire et en os devant moi et çà me suffit amplement, j'ai pas besoin du reste

Et voilà, mes paroles dépassaient maintenant mes pensées et mes envies.

J'eu enfin ce que je voulais : son regard se pose sur moi, il était certes vide de toute émotion et peut être qu'elle regarder un point derrière moi bien précis mais elle n'aller pas réussi à toujours m'éviter, je suis comme le vent je la suivrais jusqu'à ce qu'elle craque. Je fit un petit sourire charmeur, mettant mes mains sur mes couverts, regardant mon assiette vide pendant quelque instant et surtout je la regarde avec mon regard habituel. Aucune animosité malgré mon regarde sombre que j'avais depuis poudlard. En effet il n'avait pas disparut et est rester le même depuis tout ce temps. Il est fort dommage qu'on ai eu l'occasion de se parler plus tôt... J'aurais peut être réussi à la séduire d'une façon quelconque. Elle me parla nourriture après ma plaisanterie de sur le fait que j'étais pas dans le menue, et sa petite remarque me fit rire pendant quelques secondes, enfin nos regard se croiser c'était un peu comme une victoire et je pouvais lui parler un peu plus sérieusement :

"Juliette, hum... c'est un très beau prénom"

Je la regarda toujours dans les yeux et je me mit à sourire de façon qu'elle sois encore plus "hypnotiser" sous mon charme sombre et surtout pour qu'elle sois plus vulnérable à moi. en disant très calmement :

"Parle moi un peu plus de toi, j'ai trop parler...je veut entendre le son de ta voix."

Me mit mes coudes sur la table et joins les mains entre elle et je les mit sous mon menton me donnant un air intéresser et surtout moins sombre.

J'avais cédé à sa demande, je n'arrivais plus à quitter ce regard et pourtant tout mon être criait au danger. Pour une fois rien qu'une fois, j'avais envie de me faire désirer, je profiter de l'instant présent, mais une vision d'hibiki souffrant à cause de moi me vint à l'esprit et je secouait vivement la tête pour remettre mes idées au claire.

Merci. Le tien est le même que l'archange Mickael, mais comparer à lui tu n'a rien d'un ange, et je dirais plutot que tu es un démon tentateur

Il voulais que je parle? D'accord mais de quoi, je n'avais rien à dire et surtout rien à lui dire à lui à part tout le mépris que j'avais pour lui, mais celà aurait engendré alors des ennuis pour moi, pour hibiki et à plus long terme pour Chiyu.

Parler? Mais de quoi? Que dire sur moi pas grand chose, tu connais ma passion, tu sais ce que j'aime faire le plus dans ma vie, et surtout à qui appartient mon coeur.

Je fit signe à l'un des serveurs de venir et lui commanda une bouteille d'un exellent vin blanc pour commencer enfin ce dîner.

Faut bien commencer par quelque chose puisque tu m'as inviter à dîner lui dis-je avec une certaine malice, puisqu'il fallait avoir l'air d'un couple, autant se lancer, au risque de tomber dans l'enfer de la passion. Ne dit-on pas de que de la haine à l'amour il n'y a qu'un pas

Je sourit en voyant que Juliette n'arrête pu de me regarder à présent, j'avais hélas réussi à la séduire d'une façon quelconque sans vraiment user de mon charme. A vrai dire je n'avais donner aucune potion ni quoi que ça sois pour la faire tomber amoureuse de moi et surtout je n'avais était que moi même enfin presque j'ai essayer de rester correct et ça a payer. Comme je le dis toujours : "Si tu veut quelque chose il faut que tu insiste et surtout que tu sois sûr de toi" et la preuve c'est que mon souhait était réaliser. Tout était calculer à l'avance en faite.

J'avais calculer toute les possibilité ou presque, quand je l'ai embrasser et qu'elle m'a mordus elle m'avais surpris mais elle s'est rattraper. D'un sens tant mieux car son coeur aurait était brisé surtout si je faisais comme je l'ai menacer. Pour la place dans le restaurant j'avais déjà réserver, l'accueil m'a dit qu'il en rester que une table disponible mais si je tourne un peu le regard vers la gauche à l'opposé de la vitre je voyais qu'a 3 table il y avait une table de disponible. Et pour finir elle a céder à ma demande tombant elle même dans la folie de la tentation, elle m'avoua aussi que mon prénom venait de l'archange Mickael mais que dans mon cas précis.... J'étais pas un ange mais un démon ! Le démon de la tentation. Cette phrase voulait tout dire et j'avais compris le sens d'ailleurs mais je fis comme si de rien n'était et je dis calmement d'un air toujours aussi souriant :

"Et bien... Mickael le démon de la tentation, ça sonne bien je trouve.

Je sourit toujours à Juliette quand elle dit qu'elle ne savait pas de quoi parler, au fond de moi même je connaissait bien ses sentiment en mon égard : du mépris...seulement du mépris mais étant donner qu'elle avait dit que je serrais un démon de la tentation cela voulais dire qu'elle n'avait pas réussi à ne pas tomber sous mon charme et c'est surement pour ça qu'elle ne me regarde pas. Je dis simplement :

"Hum...Je sais pas moi, parlons exactement de tout ce que tu veut, je suis tout ouïe."

Je m'arrête de sourire quelque instant et je la regarde dans le blanc de ses yeux couleur noisette quand elle se retourna légèrement pour appeler un serveur. J'avais remarquer qu'on avait pas commander depuis le début. Elle demanda une bouteille de leur meilleur vin blanc, cette soirée n'était donc qu'au commencement et elle m'a tendus une fine perche ! A moi de l'attraper et je la laissa faire en disant :

"Oh mince...j'avais complètement oublier ! En même temps devant une si jolie fille que toi... Qui ne serrait pas perturber ?"

Il fallait bien la flatté pour ne pas avoir l'air idiot et surtout moi qui parle beaucoup il fallait que je sois à la hauteur. Si elle ne supporte pas le vin.... Elle serra à ma merci, il fallait que je tire toute mes chance à partir de maintenant.

Voilà, j'étais entrain de me perdre, de me perdre dans se regard si sombre et si mystérieux, dans se sourire plein de charme et de douceur, que je me voyais apprécier. Il faut dire que lorsqu'il n'était pas méchant et plein de mépris, je le trouvais bien plus séduisant et agréable.

Il sembla apprécier ma remarque et ma comparaison, et bien tant mieux pour lui d'ailleurs.

C'est sur, çà te ve comme un gant

Son sourire me donnais envie de fondre sur place, et mon coeur ratta plusieurs battement à cause de celà, car il n'y avait pas de mépris, juste de la douceur, une douceur trop forte pour moi.

Il voulait parler, moi je n'avais pas envie, je ne voulais pas entendre cette voix ennivrante, et hypnotique, je ne voulais pas succomber, mais pourquoi pas après tout? Se serait rendre la monnaie de sa pièce à hibiki pour tout le mal qu'il m'avait fait subir.

Un sujet? Parce que moi je suis à cours d'idée

Le serveur nous apporta la bouteille de vin, et nous servis un verre pendant que j'écoutais mickael déblaterrer une autres de ses anneries.

A d'autre, mais avec moi çà ne marche pas. Bien essayé dommage.

Je demandais au serveur de m'apporter comme entrée du foie grois poilé au girolle, avec du saumons en suite et je verrais plutard pour le dessert, après tout si Mickale voulait parler sans manger, libre à lui, mais moi j'avais faim

Je la regarde commander et puis je ne dis rien, je ne voulais pas commander maintenant, enfaite je voulais juste manger normalement. Je voulais savoir ce qui serrait bien pour accompagner ce délicieux vins blanc qu'elle a commander et qu'elle nous a tout les deux servis. la regardant servir je ne pouvais qu'admirer ses délicate mains et son petit sourire angélique qu'elle dissimule. Aurait elle une idée derrière la tête ? Hum, ça m'intéresserai de savoir à ce qu'elle pense actuellement. N'ayant aucun sujet de conversation je pu me reposer tranquillement sur mes deux oreille et apparement dans son regard je voyait qu'elle était un peu ennuyer de ma manière d'être. Il fallait dire que depuis le début j'essaye de devenir gentil ou plutôt plus tendre avec elle mais je n'étais pas un cadeau comme elle avait si bien dis. Je me mit à réfléchir et je commanda à mon tour de quoi me nourrir car cette soirée aller être mouvementer et surtout relaxante ! Je vais lui faire passer l'idée qu'elle a de moi comme d'un être manipulatoire, calculateur froid, mauvais. Mais qui a un charme de démon. Elle aller succomber avec la danse du démon. Je prit le verre qu'elle m'avait servis et je réfléchis à une idée, je voyait une sorte d'écart au table vers le millieu de la salle, il y avait des gens qui danser au rythme du slow. Et cela me donna une idée, je changa de regard il avait l'air plus gentil et doux que tout à l'heure, je sourit en disant d'une voix moins froide que tout à l'heure :

"Je t'en remercie !"

Je prit le verre et je le bus de suite prenant légèrement une respiration lente pour déguster du vins, puis l'idée me vint de l'inviter danser. Je n'avais pas encore était servis et en la regardant dans les yeux je me releva, je lui tandis la mains quand le slow avait changer et je dis en souriant :

"Juliette... Les gestes sont plus explicite que les mots, et j'aimerais que tu m'accorde une danse."

Je respira fortement expriment une certaine joie et dit d'une voix très joyeuse :

"Voudriez vous être ma cavalière madmoiselle ?"

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Juste nous[fe Juliette]

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