Cours et explications (Fe :Lizzi)

Un Hurlement de lion résonnait dans le parc du château, des flammes minime, rétrécîtes par magie jaillirent en tous sens, des battements d’ailes fendant l’air et des petits bruits sortant des bouches mi-intrigué mi-effrayé des élèves. Voilà un juste bilan du cours du professeur Helbentaure. Le charismatique professeur avait encore une fois joué sur le spectacle pour cette heure si, pour ce cours ci. Sujet du jour, les Chimères, objectif du cours, comment ne pas mourir dans d’atroces souffrances face à un tel monstre. Tim avait en effet put faire venir d’Egypte cette créatures plus que fascinantes pour des travaux pratiques et montrait à ses élèves comment amadouer la bête, s’en protéger…s’en débarrasser dans le pire des cas. Passé le premier stade de la peur et de la surprise, la créature était assez belle avec sa crinière rouge feu, ses dents de sabre, ses cornes gracieuses, sa queue de serpent émeraude, ses grandes ailes et ses pattes félines.
La créature enchaîner, tentait vainement de se libérer de ses chaînes, regardant le ciel avec envie. Tim n’aimait pas vraiment emprisonner ces merveilles de beautés. Mais pour la sécurité de son cours, il fallait mieux (vous n’imaginez pas la paperasse qu’il faut faire pour en amener à un cours, alors ceux engendrés par un accident de Chimère chez les Moldus…). Il venait d’appliquer son dernier sort, celui de « Gèle-flamme », sort assez efficace et pouvant vous sauvez la vie quand vous êtes en face d’une créature cracheuse de feu.

-Voyez-vous ?…Si vous n’avez pas pour vocation de finir en sorcier rôti, je vous conseille de vous rappelez de cela si jamais un jour vous êtes face à un tel titan et maître des flammes…Mister Johnson, vous pourriez écouter. Lui ne crache plus de feu, mais moi, je pourrais aisément vous flamber les touffes qu’ils vous servent de sourcils…Suis-je bien clair ?

Puis, soudain, la sonnerie résonna, le cours était finit. Tim d’un mouvement de tête fit signe aux élèves de ranger leurs affaires et de partir, il les exemptait pour une fois de devoir, il en avait déjà bien assez comme ca. Quelques uns des élèves rangeait leurs attirails dans leurs sac à dos, les yeux toujours fixé sur la créature enchainé et dépourvut de moyen de se débattre de sa captivité. D’un mouvement de baguette, la chaine bougea par magie et emmena en tirant comme une laisse, le Chimère dans le sous bois, dans un enclos prévu à cet effet.

-Mister Johnson, vous nettoierais le tableau et les déjections du sujet de ce jour pour vous faire pardonner de l’insolence ouverte que vous avez manifesté, merci beaucoup d’être aussi volontaire, Miss Annalevis, j’attend toujours votre devoir sur les Angelots, Miss McKenna, pourrais-je vous parlez un instant s’il vous plait ?

La jeune Gryffondore avait déjà rangé ses affaires et arriva à l’appel du professeur. Tim lui adressa un petit sourire doux et charmeur pour la rassurer mais avant de débuter la conversation, il dit amuser au nouvel employé des excréments animaux

-Non Mister Johnson, par des moyens Moldus, laisser votre baguette…euh quand je disais par des moyens Moldus, je parlais de pelle et de brosse, pas de vos mains…

Tim était atterrait par le fait qu’un imbécile comme lui puisse être arrivé aussi haut dans sa scolarité, mais bon, passons. Il reporta son attention sur la Gryffondore

Il fait noir, très noir.Il fait froid, c'est lugubre et marécageux.Je me promène dans la forêt, le hurlement des loups m'effrait malgré la présence quelque peu rassurante de ma baguette.Je marche, parfois je cours quand je sens un danger me guetter.Je vois mon père mais il cours toujours plus vite, plus loin je ne peux l'atteindre.Ma mère est à ses côtés.Elle est aussi rapide que lui.Ils me manquent et ils partent malgré mes cris de désespoir.Je pleure, je m'écroule et j'ai le goût de perdre la vie.Des cris se rapprochent, mes larmes, déclanchés par la peur, m'aveugle.J'ai peur je suis seule.La vie m'est égal pourquoi rester ainsi?

Un hurlement sauvage me fit réveillée de mon cauchemar.Je cligna des yeux et me frotta les tempes.Elles me fasaient souffrir.Je me retourna et apperçus deux gryffondors masculins qui éclataient de rire.Les mêmes qui m'avaient donner un collier.Lorsque je reconnue l'odeur, je reconnue une potion gazeuse qui avait pour effet d'endormir celui ou celle qui allait respirer le gaz.Je les regarda avec mépris et ils se turent.Je n'avais pas l'habitude d'être ainsi et mon regard meurtrier glaçait le sang de plus d'un.Des garçons disaient que mon père était fou et que ma mère était une assassin.Cela me rendait triste car j'étais la victime dans ses idiossis.Je ne savais même pas ce qu'ils étaient ,en fin de compte, mes parents.Comment aurais-je pu les défendre.Je regretta ma naïveté devant le présent des deux garçons.Les cours du proffesseur Tim m'étaient indispensables.J'adorais tout du proffesseur et j'était sa plus grande fan.Je ne sais pas pourquoi mais sa manière d'expliquer la matière et la manière qu'il avait de parler me fascinait.Il gardait son calme en tout temps et était passionné dans ses explications.

-Voyez-vous ?…Si vous n’avez pas pour vocation de finir en sorcier rôti, je vous conseille de vous rappelez de cela si jamais un jour vous êtes face à un tel titan et maître des flammes…Mister Johnson, vous pourriez écouter. Lui ne crache plus de feu, mais moi, je pourrais aisément vous flamber les touffes qu’ils vous servent de sourcils…Suis-je bien clair ?

-Oui, monsieur, dis-je machinalement comme les autres élèves

L'un des deux farceur avaient été avertis par le proffesseur Tim.Il allait peut-être avoir un leçon celui-là.La cloche retentit et je rangea à regret mes livres.J'avais manqué mon cour favoris et cela m'attristait beaucoup.

-Mister Johnson, vous nettoierais le tableau et les déjections du sujet de ce jour pour vous faire pardonner de l’insolence ouverte que vous avez manifesté, merci beaucoup d’être aussi volontaire, Miss Annalevis, j’attend toujours votre devoir sur les Angelots, Miss McKenna, pourrais-je vous parlez un instant s’il vous plait ?

Je me mordis la lèvre inférieur, croyant avoir un remontrance.Je laissai mes affaires sur la table et m'approcha de mon proffesseur favori.Avec un sourire forcé, je m'approcha du proffesseur Tim.

-Non Mister Johnson, par des moyens Moldus, laisser votre baguette…euh quand je disais par des moyens Moldus, je parlais de pelle et de brosse, pas de vos mains…

J'eue un sourire en coin à la réplique du proff.Il faut dire que certains garçons n'avaient pas toute leurs têtes.Lorsqu'il reporta son attention vers moi, je sentis un poid se poser sur mes épaules.Le silence du prof me mit mal à l'aise.Je préféra avouer que du subire son regard.

-Je n'ai pas fait par exprès, commençais-je, ils m'ont donné un collier qui contenait un gaz qui endormait, continuais-je, je vous jure que je n'y suis pour rien, lui dis-je

Le proffesseur Tim avait toujours ce genre de faculté sur moi.Je ne sais pas pourquoi mais c'était le seul proffesseur à qui je ne pouvais mentir.J'étais plutôt pousser à la vérité à vrai dire.

-Je suis désoler je ne voulais râté votre cours, je m'en veux d'être si naïve, continuais-je, mais croyez-moi, vos cours sont bien plus interessant que cet horrible cauchemar que j'ai eu droit, c'était tout simplement .. horrible.

Mais quel imbécile d’élève, incroyable, la bêtise de certains n’a d’égale que la surprise que souvent, elle engendre chez les autres. Enfin bon, passons cela. Tim reporta son attention sur la Gryffondore qu’il avait convoqué en fin de cours, une élève assez brillante et sérieuse. Pourtant, il sentait dans le comportement de la jeune fille et dans ces devoirs que quelque chose n’allait pas, que sans doute, un truc l’agissait. Il avait espéré en lui parlant à la fin de l’heure pouvoir l’aider. Il était vrai que Tim maniait bien les mots mais il ne savait vraiment pas jouer les confidents. Un plus, maintenant que la jeune élève était face à lui, il avait l’impression qu’elle allait se liquéfier devant lui. Le professeur, d’une voix qui se voulait rassurant

-Miss McKenna, je voulais vous…

Mais apparemment, un poids lourd pesait sur le cœur de la jeune femme car il n’eut pas même le temps de finir sa phrase qu’elle explosa presque devant les yeux surpris du professeur Helbentaure.

-Je n'ai pas fait par exprès, commençais-je, ils m'ont donné un collier qui contenait un gaz qui endormait, continuais-je, je vous jure que je n'y suis pour rien

Tim lui adressa un sourire rassurant et charmeur. Elle se m’était donc dans des états comme ca parce qu’elle a souffert de somnolence. Le tiers des élèves dormaient généralement, la seule façon de les garder réveiller, c’était de les menacer de mort avec une créature monstrueuse. Enfin bon, Tim lui répondit chaleureusement

-Ne vous mettes pas dans des états pareils, ce n’est pas grave. Je vous donnerais mon cours d’aujourd’hui par écrit. Quand aux deux énergumènes, disons que sans raisons apparentes, demain, ils se chargeront de la même tâche ingrate que ce cher Johnson.

Ce dernier d’ailleurs regardait la pelle et la brosse d’un œil inquisiteur. On pouvait clairement voir dans son regard la question : « Mais comment ca marche ? ». Cela en serrait hilarant si ce n’était pas aussi triste à voir.

-Je suis désoler je ne voulais rater votre cours, je m'en veux d'être si naïve, mais croyez-moi, vos cours sont bien plus intéressant que cet horrible cauchemar que j'ai eu droit, c'était tout simplement ...horrible.

Tim était touché par la gêne qu’il occasionnait pour si peu de chose. Il essaya de continuer à la rassurer

-Mais ce n’est rien vous dis-je…mais cette histoire de cauchemarde, ce n’est pas grave au moins ?

C'est plutôt étrange lorsque les gens avec qui vous avez votre totale confiance exerce une forte attraction sur vous pour vous faire tout avouer.Mon intention n'était pas de livrer les deux gryffondors au proffesseur mais bien de tout oublier ainsi que de passer à autre chose.Je savais que j'allais avoir des problèmes en sortant du cours et ça, ça me décourageais d'avance.

-Ne vous mettes pas dans des états pareils, ce n’est pas grave. Je vous donnerais mon cours d’aujourd’hui par écrit. Quand aux deux énergumènes, disons que sans raisons apparentes, demain, ils se chargeront de la même tâche ingrate que ce cher Johnson.

Je baissa les yeux.Je me sentais un peu beaucoup hystérique en ce moment.Il faut dire que je voulais plaire à tout le modne et m'éviter des problèmes.Comme il était aimable ce prof.Je crois que c'était pour cela que je l'appréciait tant.Je crois que je le prenais pour un parent ou tout simplement une source d'inspiration pour me faire oublier mon passé, mes problèmes.

-Vous me laissez sans mots proffesseur, vous êtes si bon avec moi que je ne peux qu'apprécier le geste et vosu ne faire part, commençais-je, je sais que je suis de nature hystérique mais je ne voulais pas que vous pensiez des choses mauvaises de moi, terminais-je

Je crois bien que je me trouvais ridicule à ce moment.Cependant, je n'émanais que vérité dans mes paroles.J'étais sérieuse et franche dans mes paroles.Je ne tournais pas autour du pot comme certaines de mes collègues pour éviter un sermont.Moi, c'était tout de suite et j'assumais la suite.

-Mais ce n’est rien vous dis-je…mais cette histoire de cauchemard, ce n’est pas grave au moins ?

Je soupira de douleur.Les souvenirs, les monstruosités et les fausses esperances faisaient surface en moi.Je m'assis a une table sachant que mon discours allairt être dur et long.J'avais besoin d'en parler à quelqun.Je crois bien que le proffesseur Tim avait les qualités necessaire pour écouter ce que j'avais à dire.Cependant, je ne recherchais aucun réconfort ni conseil de sa part.Seulement une oreille attentive me suffirait.

-J'espère que vous avez du temps car cela risque d'être long en paroles et dur à encaisser, l'avertis-je

Je lui relata mon histoire.Je lui dit qu'il avait peut-être entendu parler des rumeurs qui couraient à mon sujet.Je lui assura que c'était faut et me lança dans mon récit de puis le début.Je lui raconta l'épisode de mon père qui avait assister à la mort de ses deux amis, qu'il était devenu alcoolique après et qu'il était mort.Des larmes coulaient sur mes joues mais je continuais à me libérer de mon histoire.Je lui ids que ma mère était portée disparu et que je n'avais plus de famille.Je lui dit aussi que j'allais de familles en familles passer les fêtes mais que je n'avais jamais le bonheur de rentrer chez moi.Lorsque, je termina mon récit, je leva les yeux vers mon proffessseur favoris.

-Je sais que c'est dur à encaisser mais je ne saisse de faire des cauchemards aux sujets de mes parents et ça me tut littéralement, lui avouais-je en essuyant mes larmes.

Apparemment, la jeune Gryffondore n’était pas enclin à lui donner les deux noms. C’était tout à son honneur. Elle n’était pas une pleurnicharde qui venait verser ses larmes dans jupons des professeurs. De toute façon, rien que de visage, cela se sentait, se devinait qu’elle avait déjà passé de lourdes épreuves. Il aurait voulut lui dire que les épreuves font les êtres. Qu’un homme dépourvu de blessures n’était qu’une ébauche, qu’un brouillon. Mais bien qu’il les pensait, il savait qu’aucun mots sensés et réconfortants ne franchissaient le mur de douleur qui s’était battit dans nos cœurs. Tim n’aimait pas ne pas être capable d’alléger les souffrances de ses élèves. Pourtant, elle avait eut l’air d’apprécier déjà la démarche vers elle du professeur.

- Vous me laissez sans mots proffesseur, vous êtes si bon avec moi que je ne peux qu'apprécier le geste et vosu ne faire part, je sais que je suis de nature hystérique mais je ne voulais pas que vous pensiez des choses mauvaises de moi

Tim avait acquiesçait, il ne pouvait en être autrement. Lizzie n’était vraiment pas de « la mauvaise graine ». Cela se sentait de suite. Après des années de service d’enseignement, le professeur Helbentaure avait acquière le don de décelé chez les élèves les honnêtes des malotrus. Et la première catégorie venait sans hésitation à Lizzie. Puis, quand Tim lui avait proposé de se vider, de raconter son histoire, de se confier, elle avait sauté sur l’occasion. Apparemment, elle n’attendait que cela…pouvoir se confier

-J'espère que vous avez du temps car cela risque d'être long en paroles et dur à encaisser

Tim lui adressa un petit sourire qui se voulait réconfortant, protecteur et dit d’un ton rassurant

-Dans ces temps où les drames sont aussi rependus que la grippe en hiver, les histoires dur deviennent malheureusement banale. Si tu veux une oreille attentive, je t’en donne deux.

Elle se lança dans une histoire dés plus navrantes, sentant à chauqu’un de ses mots des larmes nouvelles naitre dans les yeux tristes de la jeune Gryffondore. Elle avait donc perdu ses deux parents, l’un part la faucheuse, l’autre par la disparition. Tim se voyait un peu dans les yeux de la rouge et or. Ses parents le voyaient comme l’un des êtres les plus abjectes qu’est porté cette terre, parce qu’il n’avait put sauver son frère des griffes des Mangemorts, des griffes de la mort. Mais Lizzie était trop jeune pour pouvoir encaisser sans broncher tant de douleur

-Je sais que c'est dur à encaisser mais je ne saisse de faire des cauchemards aux sujets de mes parents et ça me tut littéralement

Elle essuyait ses larmes et Tim ne savait que dire

-Je suis désarmé fasse à une telle souffrance. On vous l’a dit souvent mais si je peux vous aider de quelques manières que ce soit. Je vous ordonnes de m’en faire part

Voilà tout était dit, fait et entendu.Cependant, je savais que ses informations allaient peut-être changer le comportement de ce cher proffesseur Helbentaure à mon égard, ce que je voulais éviter.C'était comme si j'avais tout raconter pour me faire consoler.Je considérais cette méthode comme chouchou et contraire à ma personnalité.Je n'avait voulu qu'une oreille digne de confiance qui n'allait pas tout raconter aux autres élèves.Il faut dire que pour moi, les amis de confiance, c'est plutôt rare.Je ne ferai pas la même erreur deux fois ça c'est sur. J'avais remarqué que le proffesseur ne faisait qu'hocher la tête lors de mon discours.Je connaissais bien ce mouvement habituel que faisait sa tête.Il écoutait attentivement ce que je lui disais.Pourquoi je savais ça?Il faut dire que j'avais la manie ou peut-être bien le don de pouvoir déceler les sentiments des autres, comme s'ils étaient tous des livres ouverts.Plutôt agaçant la plupart du temps, je dois avouer.

-Je suis désarmé fasse à une telle souffrance. On vous l’a dit souvent mais si je peux vous aider de quelques manières que ce soit. Je vous ordonnes de m’en faire part

Lorsqu'il parla ainsi, je me sentis mal à l'aise.Plutôt bizzare son air de bon samaritin.Étrangement, j'étais la source de cette gentillesse bien connu de ce cher proffesseur Tim.Toujours aussi aimable avec tout le monde, le proffesseur était un homem bon.J,étais toucher par son aide mais n'était tout à fait sur que j'avais besoins de tant d'aide que cela.Je crois bien que souffrir un peu moin dans l'ignorance était beaucoup mieux que de souffrir attrocement en sachant la vérité.Cependant, je croyais fortement que le destin essayait de m'envoyer des messsages avec ses rêves.J'avais trouver la possibilité que cela ne pouvait être que le fruit de mon imagination.Mais qui pouvait bien le savoir?

-Je ne crois pas que ce sera nécesssaire proffesseur Tim, commençais-je, votre oreille attentive m'a enlever plus de poid que vous l'imaginez.À vrai dire, continuais-je, je ne sais pas vraiment en quoi vous pourriez m'être utile, sans vous offensez.

Je soupira, un peu embarrasser par ses aveux et ses résultats.Loin de là le fait que cela me gênais de demander de l'aide, seulement, c,était un peu contre ma personne de demander de l'aide.Mais s'il voulais m'aider, peut-être pourrait-il changer quelques souffrances nocturnes.

-Cependant, si vous avez des trucs, potions ou sortilèges pour chasser des cauchemards de ma tête, j'en serai vraiemnt reconnaissante, lui dis-je, si ce n'est pas le cas, je vous remercirais de votre écoute et partirait un peu plus légère, terminais-je en regardant avec détermination mon proffesseur fitiche.

(un peu moin long, désoler)

La jeune demoiselle parut assez décontenancée de la réaction de Tim, enfin le mot exacte serrait gêné. Elle ne voulait sans doute que parler sans réponses en retour ; un monologue, une conversation à un seul sens. Le principe du journal intime : on parle, on se vide, on étend ses doutes et ses souffrances juste pour l’extirper de son être sans attendre de conseil, de réconfort, de remarque… Le professeur ne parut pas se tromper sur ce point car la Gryffondore lui répondit

-Je ne crois pas que ce sera nécesssaire proffesseur Tim, votre oreille attentive m'a enlever plus de poid que vous l'imaginez.À vrai dire, continuais-je, je ne sais pas vraiment en quoi vous pourriez m'être utile, sans vous offensez.

Il ne s’en offusqua nullement. Le professeur comprenait parfaitement. Lui qui avait passé pas mal de temps en solitaire, il avait bien comprit que la douleur nous suivait partout, qu’on ne pouvait ni la berner, ni l’abandonner et encore moins la confier à quelqu’un d’autre. Il était même présomptueux de sa part de croire qu’il avait la moindre capacité d’alléger quelque peu le tourment de sa jeune élève. Il répondit condescendant

-Certes, certes, mais on ne sait jamais, si vous avez encore besoin d’une oreille attentive, d’un conseil de martyre, d’un bon chocolat chaud…

Mais apparemment, c’était les cauchemardes, le vice de la nuit qui la gênait le plus. On voyait très bien les cernes sous ses yeux, témoignages de ses insomnies et de ses réveils sans doute brutaux. Elle ne devait surement plus supporter cela car elle demanda au professeur s’il connaissait un remède.

-Cependant, si vous avez des trucs, potions ou sortilèges pour chasser des cauchemards de ma tête, j'en serai vraiemnt reconnaissante, si ce n'est pas le cas, je vous remercirais de votre écoute et partirait un peu plus légère

Elle était tombée sur le bon cheval. Cela faisait des années que le professeur de Soin aux Créatures Magiques souffrait des rêves douloureux et indésirables. Les nuits étaient devenues des calvaires et pour résoudre cela, Tim avait tout essayé : remède de grand-mère, potion en tout genre, sortilèges spéciaux, tout ! Mais, rien ne valait un sommeil naturel et réparateur. Et puis, si le cerveau se torturait ainsi, c’est qu’il essayait de résoudre les soucis qui pesaient sur l’inconscient et qu’il était impossible de faire le jour. Mais bon, l’envie de fuir ses cauchemardes étaient souvent que la nécessité et le courage d’affronter ses peurs et ses doutes.

-J’ai un petite marmite dans mon bureau d’une potion de sommeil. Très puissant, très costaud, pas de rêve à tous les coups mais pas beaucoup de repos.

Les temps n'avaient jamais été roses pour moi, vous savez.Les séquelles que laissent la colère, la haine, la peur et la tristesse peuvent tout rammasser la moindre parcelle de bonheur au bout du compte.Ceux qui auraient sombrés dans la dépression, probablement mais pas moi.Pourquoi en finir avec la vie lorsqu'elle vient seulement de commencer?La mienne n'avait peut-être pas partit du bon pied masi je pouvais toujours m'en remettre.Mes amis trouvaient ma franchise et mon sens de la détermination, une vraie perle rare chez moi.J'avais peut-être le look de la petite file renfermée et qui se faisait insulter mais au fond j'étais loin d'être la fille modèle hors des classes.Je ne m'attirais pas beaucou de problèmes car,moi, je pouvais me défouler au Quidditch, cependant, les joggings matinales quand tout le monde dors et les fêtes cachés étaient quelque-uns de mes passes-temps.Cependant, j'aimais mieux trouver une solution à mon insomenie de torture.

-J’ai un petite marmite dans mon bureau d’une potion de sommeil. Très puissant, très costaud, pas de rêve à tous les coups mais pas beaucoup de repos.

Je souris aux paroles de mon proffesseur.Il avait toujours un mauvais côté aux bonnes nouvelles.Il nous l'enseignait chaques jours.Certains élèves trouvaient ça démoralisant, c'était surtout ceux qui allaient aller comme juge ou avocat dans le grand conseil des sorciers, selon-moi.D'autres le trouvait dingue ce cher proffesseur Tim.Mais d'autres comme moi le trouvait fascinant et intelligent.Je n'étais pas la fille qui allait pleurer sur l'épaule du prof.Non!Jamais de ma simple vie!Cependant, les conseils judicieux des profs m'aidaient beaucoup, voyez le résultat par vous même.Il allait m'aider après touté!Je le suivit jusque dans son bureau ou une marmite était bien là.

-Je vous remercie proffesseur, pour tout ce que vous faites!, lui dis-je avec franchise

Je regarda un peu partotu dans le bureau, intriguée par les cadres qui bougeaient.J'avais toujours eue ce sentiment de surprise en les voyants.Il faut dire que ce n'était pas fréquent lorsque j'habitais chez moi.Je vis un fermier qui enleva son chapeau pour me saluer.Je baissa dignement la tête avec politesse.

-Je ne veux remettre vos talents en question mais cela est-il efficace, lui demandais-je en regardant la potion qui amrmittait sur le feu.

Ah, sa jeune élève sourit enfin. Il avait été si peiné de la voir ainsi se morfondre que la voire à nouveau rayonnante, c’était une flamme qui réchauffait son cœur las. Il lui rendit son sourire, espérant ne jamais revoir sa frimousse tristounette. Il lui fit signe de le suivre vers son bureau. Il avance à pas long et avec prestance, jetant des regards derrière lui pour bien vérifier que la jeune Gryffondore la suivait bien. Quelques minutes plus tard, à traverser les couloirs du château sous les regards inquisiteurs des autres élèves, Tim arriva devant la porte de son bureau et l’ouvrit pour laisser entrer Lizzie. La pièce était baignée d’une lumière pâle. On pouvait aussi voir sur son bureau une pile de copie à corriger qui n’attendait que lui, tout autour, des étagères remplis de livres mais surtout de figurine animés des milliers de créatures magiques, des portraits de grands zoologues sorciers étaient accrochés sur tous les pants de mur libre et dans un coin une marmite reposait sous un petit feu magique. Tim en préparait à chaque fois une d’avance, pour ne pas être pris à l’improviste. Lui aussi ne pouvait plus supporter les vices de la nuit et était prés à redoubler d’effort pour échapper aux griffes des cauchemardes trop prenant à l’esprit. La jeune Gryffondore fut heureuse apparemment d’une telle attention car elle dit ses mots

-Je vous remercie proffesseur, pour tout ce que vous faites!

Tim adressa un nouveau sourire avant de retirer sa veste noir pour l’accrocher à un porte-manteau et dire d’une voix modeste

-Ce n’est que trop peu à vrai dire

Le professeur Helbentaure n’aimait pas se sentir inutile et lorsque quelqu’un venait demander une aide quelques soit, il avait toujours l’impression à vrai dire de ne faire que trop peu de chose. Puis, sa jeune élève, d’un regard soupçonneux, demanda à son ainé

-Je ne veux remettre vos talents en question mais cela est-il efficace
Tim fit la moue à sa question et répondit tout aussi honnêtement

-A vrai dire, il y a souvent des interactions avec la lune. Etrange potion que celle-ci. Elle vous videra de tous cauchemardes quand le ciel et sans sphère lunaire mais les nuits de pleine lune, si vos rêves sont bien trop fort… A vrai dire, tout dépend de l’intensité de vos cauchemardes…

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