Chiyu s’était installé tranquillement au bar de l’établissement, passant en revue la population de l’endroit plus par habitude que par réel besoin. Les 3 balais n’avaient jamais été un repaire de malandrins, même si certains aimaient à y trouver une ambiance chaleureuse. Son regard avait été attiré par l’homme en noir qui lisait donc une affichette. Quelque chose en lui faisait réagir son instinct, lui faisant remarquer l’attitude pourtant innocente de l’homme. C’était peut être son port, ou l’affichette qu’il tenait en main dans laquelle le japonais reconnaissait à présent un avis de recherche émis par le ministère, ou la façon si singulière qu’il avait de gouter son whisky, mais le jeune homme avait entendu la petite clochette dans son esprit qui disait « Prudence ! » et avait vérifié la présence de sa baguette.
L’inconnu avait du sentir l’inspection pourtant discrète dont il faisait l’objet et avait levé les yeux pour rencontrer le regard foncé et froncé du japonais. Chiyu n’avait pourtant pas détaillé l’homme plus de quelques secondes, mais ça lui avait suffit pour capter son attention. L’inconnu avait d’ailleurs semblé réfléchir un moment avant de pousser une chaise en direction du japonais. Chiyu se morigéna mentalement. Il n’avait pas été assez discret en discutant avec Mme Rosemerta, même s’il fallait admettre à sa décharge qu’il n’avait aucunement imaginé trouver ici quelqu’un de concerné. Il ne cherchait que des pistes. Rosswell avait disparu depuis un moment, ce n’était pas pour revenir bêtement au premier endroit ou le premier apprenti auror viendrait le chercher.

L’homme avait fini par pousser une chaise, dans une invitation implicite à la discussion. Après une rapide réflexion, le japonais s’avança vers l’inconnu qui devait faire une ou deux têtes de plus que lui, avait des épaules larges et donc tout laissait à penser que si ça tournait mal le jeune homme aurait intérêt à être le premier à sortir sa baguette. Il s’assit sur la chaise offerte. Sa brève carrière sur les planches lui avaient fait connaitre des invitations différentes, de femmes comme d’hommes, certaines intéressées, d’autres de fans, et celle-ci n’avait rien à voir. Il était évident que l’homme ne pouvait avoir été fan de la musique qu’il avait pu jouer. Et a moins de considérer qu’il ne s’intéresse aux hommes plus jeunes que lui, ce qui ne semblait pas non plus être le cas, et tant mieux le japonais n’étant pas intéressé non plus, il ne restait plus qu’une solution : il avait entendu la discussion et c’était ce qui avait provoqué l’invitation.

Orientant la chaise de façon à pouvoir bouger facilement, au cas où, Chiyu posa sa bière sur la table en regardant ostensiblement son vis-à-vis. Il devait avoir entre 40 et 50 ans, les traits marqués et il était évident qu’il n’était pas un amateur. La manière dont il manipulait l’avis de recherche montrait par ailleurs une habitude. Chiyu n’avait encore jamais croisé de chasseur de prime. Membre de l’Ordre du Phénix, il avait été plus ou moins intégré aux équipes d’auror du ministère avec un statu assez bâtard, étant appelé en cas de besoin. La paye était en conséquence, mais aléatoire, même si une ou deux missions par mois lui suffisait largement.
Il se décida finalement à engager la conversation, l’homme ne semblant pas des plus causants

- intéressé ?

Chiyu montrait l’avis de recherche. S’il était effectivement un chasseur, ils ne seraient pas en concurrence. Le travail de Chiyu n’était pas de toucher la prime mais de retrouver l’homme et le ramener si possible. Il serait payé de toute façon. En revanche si c’était un ami du fuyard … le jeune homme sentait dans sa poche le contact rassurant de sa baguette. IL avala une gorgée de bière en affichant une assurance qui n’était pas vraiment ce qu’il ressentait.

Le jeune japonais s’approcha et acceptas l’invitation de Ruslan. Il s’assit de façon a bougé plus vite au cas où, se qui fit rire Ruslan. Le jeune homme afficha une assurance qui n’était pas vraiment convainquent. Son apparence montra qu’il devait avoir a peut prêt entre 20 et 25 ans. Tout frais sortie d’une académie mais toutefois Ruslan pouvait discerner un certain professionnalisme qui donnait a Chiyu un air à dire, Je ne suis pas un amateur.


Le jeune homme analysa l’aspect physique de Markov puis lui demanda si il était intéresser tout en me montrant l’affiche du rechercher qu’il tenait en main. Ruslan regarda son affiche puis en regardants chiyu droit dans les yeux, il lui dit avec un certain accent russe.

« On peut dire que effectivement je suis intéressé. Je vois que toi aussi tu a l’air intéresser… »


Ruslan ne voulait effrayer le jeune homme et il dut faire attention à ses gestes. Ruslan fit signe a madame rosemerta de lui servir un autre whisky et de servir a chiyu se qu’il voulait. Puis un coup la servante partie et leurs boisons sur la table, Ruslan put enfin dire a son interlocuteur se qu’il voulait lui dire.


« Si je peux te donner un conseil, la prochaine fois même si ton intention était bonne sois un peut plus discret dans tes recherche d’information. Fait moi confiance la dessus je sais de quoi je parle…. »


Ruslan prit une gorger de son verre tout en se rappelant un bon souvenir.




(hrp:dsl pour se cours rp masi je tacherais de faire plus attention le prochain post)

Les deux hommes s’étaient jaugés en silence avant que Chiyu ne se décide à le rompre d’un simple mot. Cependant, cela avait semblé suffire pour que l’inconnu sorte de sa réserve et ne s’adresse à lui avec un accent étranger. Sans doute russe ou de ce coin la, mais Chiyu ne connaissait pas suffisamment les langues slaves pour en juger. De plus, lui-même n’avait jamais totalement perdu son accent japonais malgré les années passées en Angleterre, il n’avait donc aucun commentaire à faire sur le sujet. Si ce n’était qu’il notait intérieurement que le russe venait d’une région pas franchement réputée pour la douceur de ses sorciers.

Il hocha la tête à la question de Ruslan, prenant note qu’il le tutoyait.

- C’est mon job. Trouver les gens, ramener les gens, et attendre qu’ils s’évadent pour retourner les chercher.

Le jeune homme pouvait constater que l’homme en face de lui ne se montrait pas menaçant. Tout dans ses gestes, dans sa voix et même dans le choix des mots semblait mesuré. A chaque fois qu’il croisait ce genre de personne, Chiyu était surpris de constater combien l’aspect physique jouait sur l’idée que l’on se faisait des gens. Ainsi l’homme en noir présentait il un aspect qui n’invitait pas vraiment à la conversation. Pourtant il était évident qu’il était beaucoup moins rustre que ce que son apparence laissait supposer.

Sur l’invitation de l’inconnu, Madame Rosemerta pris de nouvelles commandes et Chiyu repris une bière. Il n’avait aucune envie de se saouler, non plus que de passer pour un blanc bec, et avait fait en sorte de trouver un juste milieu. La bière lui semblait une bonne alternative.
IL afficha un sourire en coin au cours de son professeur autoproclamé.

- Sans vouloir vous offenser, ce genre d’interrogatoire provoque parfois des réactions intéressantes de la part des intéressés.

Bon d’accord en général quand on faisait ça, on travaillait en équipe pour que les autres suivent les éventuels complices …Mais on passerait sur ce détail pour l’instant. Même si c’était puéril, Chiyu ne voulait pas passer pour un débutant devant cet homme qui se permettait de lui faire la leçon.

- Pourquoi le cherchez-vous ?

Derrière les deux hommes, un couple venait d’entrer. La jeune femme, blonde, d’une trentaine d’année, l’air hautain, était accompagnée d’un homme un peu plus grand et un peu plus vieux. Si Chiyu n’avait pas vue directe sur eux, ce n’était pas le cas de Ruslan.

Ruslan était resté un moment silencieux, regardant son verre empli de liquide ambré comme s’il était plongé dans ses pensées avant de revenir naturellement à son vis-à-vis. Visiblement, il était intéressé par l’argent. Un chasseur de primes. Ca expliquait sans doute la calme assurance qui émanait de l’homme ainsi que son attitude. Un chasseur de primes. Chiyu n’avait jamais travaillé pour l’argent. Issu d’une famille aisée, voir très aisée, même si la plupart des possessions de la famille n’était pas à elle, il n’avait jamais eu besoin de travailler pour avoir ce qu’il voulait. Quand il faisait quelque chose, c’était parce qu’il y trouvait un intérêt pour lui ou pour les autres. Mais depuis qu’il s’était installé dans son loft, puis avec Nana et que celle-ci avait risqué la mort, il avait appris à compter. Il lui fallait de quoi manger, avoir un toi et nourrir chats, chien, hibou et fiancée. Bien sur, ils avaient tous les deux des économies, mais il préférait les garder en cas de coup dur. Autant dire qu’il comprenait que l’on puisse parfois avoir besoin d’argent. Mais le gagner sur une simple « chasse » …. Chiyu aussi chassait. Mais pas dans le même sens. Il aimait a trouver une certaine noblesse dans le fait de mettre hors d’état de nuire ceux qui pouvaient menacer la vie de ceux qu’il aimait.

- Chasseur de primes …

Ruslan avait recommencé à siroter son whisky quand Chiyu avait remarqué, dans un miroir situé au dessus de l’épaule du chasseur, un visage connu bien qu’il ne l’ai jamais croisée. Mary Artley avait été ou était la petite amie officielle de Rosswell. Ca, il le savait parce que c’était dans le dossier que lui avait présenté le ministère. L’homme qui l’accompagnait inquiétait davantage l’apprenti auror. Herswedge était considéré comme le bras droit de leur proie, mais ce n’était pas ce qui inquiétait le jeune homme. L’anglais et lui s’étaient déjà rencontrés a deux reprises et le fils d’Albion connaissait son visage. Et le minois nippon du jeune ne passait pas inaperçu dans une auberge peuplée d’anglais. Le jeune homme plongea le nez dans sa bière quand l’homme passa prés d’eux, en faisant le tour de l’auberge du regard. Il se félicita d’avoir laissé repoussé ses cheveux qui descendaient à présent largement dans la nuque et finit par répondre à mi voix au russe.

- La blonde, la trentaine, port altier, et le grand type, la quarantaine, qui viennent d’entrer. La copine et le lieutenant de votre cible. Et la mienne par la même occasion.

Une confiance un peu trop spontanée sans doute, mais le jeune homme attendit que le couple sorte pour jeter le prix de sa consommation sur la table et se lever pour les suivre.

- Merci pour cette conversation mais il faut que j’aille bosser.

Le japonais vérifia de nouveau la présence de sa baguette. Sa nervosité, bien que rentrée, était palpable.

Chiyu était sortie derrière le couple, suffisamment tôt pour ne pas le perdre de vue, et assez tard pour qu’ils ne s’en aperçoivent pas. Le jeune homme, qui avait acquis une certaine expérience quant aux filatures avait vite compris que le journal avec deux trous découpés pour les yeux n’était pas la meilleur façon de faire. Il se contentait d’attendre un peu aux coins des rues, de s’intéresser, et parfois de façon réelle, aux devantures, le tout sans quitter des yeux ses cibles

Cependant dans le cas présent, il n’eu pas le temps d’aller bien loin. Ruslan eut vite de le rattraper pour lui proposer sa coopération. Ce qui aurait d’ailleurs pu l’intéresser le japonais si il n’avait eu des échos assez négatifs des façons de travailler de ces professionnels très particuliers. Chiyu lui lança un regard quelque peu courroucé. Pensait il qu’il ne pouvait pas s’en tirer seul ? Depuis quelques temps il travaillait uniquement en solo. (Même s’il ne l’avait pas dit a sa fiancée mais c’était un autre problème)

Le couple s’était engagé dans une allée moins éclairée et passant pas loin de la tête de sanglier.

** ben voyons ! Comme si quand on était de l’autre coté il fallait absolument choisir les coins les moins attrayants ! un jour je tomberai sur un type qui se refugiera dans un parc d’attraction !**

- Désolé mais moi c’est l’inverse. Je suis plus filature discrète. une fois la cible reperée je la ramène et basta ...

Ce qui allait s’avérer difficile vu l’endroit. La rue était moins large, moins fréquentée, et les sons semblaient s’y répercuter a l’infini. Ce qui finalement n’était pas si mal, puisque ça lui permettait d’entendre les talons de la femme frapper le pavé. Le jeune homme passa un angle et s’arrêta soudain après avoir passé un angle de rue. Il entendait parfaitement les pas de la femme et, en faisant attention, les siens et ceux du russe mais pas ceux du troisième homme.

Chiyu recula. Herswedge ne devait pas être bien loin …. Il tourna la tête pour avertir le russe, qui lui non plus n’était pas loin.

- Ils ses sont séparés ! Il est dans le coin faites attHYUUKS

le hyuks, entre l’étouffement et l’écrasement de trachée, était du au fait qu’une main de fer venait de saisir le col de son blouson et de sa chemise dans une même prise pour le tirer en arrière pour le projeter contre le mur le plus proche. Même s’il fallait avouer que tous les murs étaient proches des que l’on sortait de l’axe de la rue.
Herswedge lui lança un sourire qui aurait paru amical en toute autre circonstance et sur toute autre personne.

- Mizutani … décidément des que je soupçonne un museau de fouiner je retrouve le tien

Chiyu sorti sa baguette mais pas assez rapidement cependant pour que le cerbère ne le fasse avant. La baguette de cerisier du japonais sauta de sa main.

- tss tss tss je me demande vraiment ce qu’on va faire de toi.

C’était ce qui était embêtant au bout d’un certain temps passé a travailler pour le ministère : les gens finissaient par vous connaitre. Et comme la vie serait trop facile s’ils vous connaissaient en tant que sympathique collègue ; avis que peu de ses collègues avaient développé, c’était en général ceux dont vous deviez vous méfier qui vous gardaient en mémoire. Et il était certain que son apparence éminemment étrangère ainsi que son léger accent qui ne voulait pas disparaitre ne facilitait pas la discrétion.

L’homme l’avait de plus a moitié étranglé et la première priorité du jeune homme avait été de reprendre sa respiration. Ce qui expliquait sans doute qu’il ne répondait pas à son agresseur tout en lui jetant un regard noir qui promettait des réjouissances que le grand homme (dans le sens de la taille ^^) n’aurait probablement pas appréciées. Chiyu allait récupérer sa baguette pour bien faire comprendre a l’anglais qu’il n’était pas du genre a se déclarer vaincu sans se battre quand il avait aperçu, derrière Herswedge, la silhouette de Markov qui lui faisait signe de se taire. La discussion visuelle n’avait duré qu’une fraction de seconde, pas suffisamment longue pour l’anglais s’en rende compte. Il continuait donc d’agiter sa baguette nonchalamment tout en se demandant ce qu’il allait faire du japonais quand il sentit une sensation désagréable sur sa nuque. En face de lui, le jeune homme avait prit un air goguenard a la limite de la provocation.

- Un vieux truc pourtant, la filature a deux … étonnant qu’un roublard comme toi s’y laisse prendre.

Bon d’accord ce n’était pas tout a fait vrai. La vérité était plutôt « je me me suis avoir comme un bleu heureusement que l’autre était la » mais ce n’était pas le moment de discuter.
Cependant Chiyu ne s’attendait sans doute pas plus que Ruslan a la réaction de l’anglais. Blessé dans son orgueil, celui-ci s’était retourné pour asséner au russe une droite monumentale qui précipita Ruslan, pourtant solide, au sol. Chiyu fit une grimace tout en appréciant la résistance de Markov qui se relevait déjà. A sa place, il ne fait aucun doute qu’il aurait eu la mâchoire sérieusement endommagée.
Sur l’interpellation du russe Chiyu regarda dans la ruelle qu’avait empruntée la femme. Il n’entendait plus ses talons et elle n’était visible nulle part. IL faut dire qu’il avait eu un léger moment d’inattention.

- Elle n’est plus la ! et elle risque d’ameuter le reste de la bande. On va avoir des problèmes !

mais Ruslan ne l’écoutait déjà plus. Dans son combat avec Hersewedge, il affichait un sourire qui montrait qu’il n’avait jamais adhéré aux Hare Krishna Love & Peace. Il semblait même prendre un certain … plaisir ? à cette bagarre malgré sa lèvre et fendue et son nez endolori. D’ailleurs l’anglais semblait sur de sa supériorité sur le russe et lui assena un nouveau coup qui envoyait voler Markov pour la seconde fois. C’est la que la bagarre se transforma en bataille. Chiyu scrutait la rue ou s’était probablement engouffrée la femme quand un sort s’écrasa au dessus de son épaule, sur le mur. Les deux hommes se battaient à coup de sorts interdits.

- Hey doucement !

De plus, l’anglais semblait prêt a prendre des risque et multipliait les sorts. Chiyu posa un sort de protection. Si quelqu’un approchait, ils le sauraient immédiatement. Il se retourna vers les deux hommes quand Ruslan se déclara en mesure de s’occuper de Herswedge au moment ou le russe évitait un nouveau sort. [i]

- INCARCEREM !!!

[i]Des cordes se dirigèrent vers l’anglais. Si Chiyu avait le sens de l’honneur, il n’en était pas moins ancien Serpentard. La fin justifiait les moyens, surtout quand cette fin impliquait sa propre survie. L’anglais para de justesse le sort et jeta un nouvel endoloris que le japonais évita tout autant de justesse avant de se retourner contre Ruslan qu’il considérait visiblement comme plus dangereux. C’était presque vexant

– Markov ! on m’avait dit que tu exerçais mais je ne pensais pas qu’un ancien comme toi travaillerait pour le Ministère.

Ruslan Markov était connu dans le milieu. Tant pour son sens très personnel de la persuasion que pour ses méthodes. Pas étonnant, même Chiyu en avait entendu parler. Et pas seulement en bien.

– ne bouge plus Hersewedge !

Ce qui ne sembla pas inquieter l’anglais qui, en réponse, pointa sa baguette vers Markov en invoquant le sort de mort.

AVADA KEDAVRA !

ça devenait très vexant. Chiyu lança un expluso vers le bandit.

Un dur combat entre l’homme de quarantaine et l’équipe provisoire Ruslan/Chiyu fessait rage. Les murs encaissaient le trois quart du temps tous les sortilèges envoyés. Un légère tension arriva et chargea l’air qui devenait plus lourde. Hersewedge se battait vraiment bien contre les deux homme mais le fait qu’ils soient deux, aida beaucoup Chiyu et Ruslan. Chiyu avait tenter de le distraire avec un incarcerem mais le Hersewedge, dévia le sort pour la énième fois sur le mur. Puis l’homme se tourna vers le russe et lui lança le sortilège de la mort. Pour Ruslan tout était devenu lent. Comme on dit toujours, on voit sa vie défiler devant ses yeux quand on approche de trop prés la mort. Au dernier moment, Ruslan repensa à sa petit Élizabeth et utilisa son sort de protection pour bloquer le sort de la mort.


Le russe se laissa tomber a genou affaiblit par son dernier sort. Il vit chiyu attirer l’attention du vieux pour permettre à son compagnon temporaire de reprendre son souffle. Voulant en finir au plus vite, Ruslan se releva et envoya une déflagration vers Hersewedge. Ce dernier vola jusqu’au mur puis ne le laissant pas se relever, Ruslan envoya un Sectumsepra sur Hersewedge. Plusieurs plaies commencèrent à s’ouvrir et à saigner. L’homme commença à faire attendre des petites exclamations de douleurs. Pour le faire parler, le russe s’accroupit devant lui et pointa sa baguette vers l’homme au niveau de sa poitrine. Un sourire à la lèvre, le russe envoya une première vague de sortilège de l’endoloris.

« Alors va tu coopérer avec nous ou bien je continue… tu sais moi j’ai tout mon temps et si tu veux je peux te montrer quelque torture faite en Russie…. Je pense que tu aimerais sa. »

L’homme cracha au visage de Ruslan comme seul et unique réponse. Ruslan se releva, essuya du revers de sa manche le cracha puis utilisa un petit sortilège russe qui a pour effet de bruler a vif les plaies de la personne viser. Le pauvre Hersewedge n’avait pas tombé sur le bon gars pour résister à un interrogatoire. Ruslan allait relancer un Endoloris mais commença à être un peut faible donc il se tourna vers Chiyu et il lui dit.

« Tu vois la position ou ont se trouve. Ses ma préférer mais dommage pour lui je commence à me fatiguer apres tout ses sorts. Alors je te laisse continuer. Le truc si tu veux mon avis ses de continuer de remuer le couteau dans la plaie si tu vois se que je veux dire…. Enfaite tu dois observer ton adversaire et utiliser son point faible contre lui mais aussi lors de combat corps à corps, il est bon d’utiliser la force de l’autre pour prendre le dessus sur lui. »

Ruslan laissa continuer Chiyu à faire l’interrogatoire du prisonnier.



(hrp: Desoler pour l'appellation des sortileges, je les connais pas par coeur... et desoler pour el retard)