Qu'il faut donc aimer quelqu'un pour le préférer à son absence !

Qu'il faut donc aimer quelqu'un pour le préférer à son absence ! Bbic610

Ça n'est peut-être pas lui, ce n'est certainement pas lui

James !

Un an de souffrance sentimentale pour James, un ans qu'il envoyait des lettres sans savoir si elle prenait le temps de les lires mais aujourd'hui tout était terminer, il lui écrit comme quoi enfin il serait à Londre dans l'unique but de lui faire douter quelques peu et de lui donner la sensations de surprise. Lentement ce matins la il faisait un de ses froid de canard dans la stations qu'ils appelaient Centre de Taxis... Apparemment cet endroit faisais apparaître des véhicules rouge au style vieille voiture et reconduisait la ou vous le vouliez. Alors James se renseigna ou Galya habitait pour finalement garder son but de la revoir en tête... Depuis la fois du restaurant il avait longuement repenser à lui dire ce qu'il éprouvait mais jamais il n'avais trouver les mots...

Mais cette fois il avait trouver les mots pour éprouver ce qu'il ressentait pour elle et il allait lui annoncer coute que coute! Car il l'aimais plus que tout depuis ce jour. Une fois installer dans ce qu'on appelle Taxis, il indiqua l'adresse au chauffeur et resta pas mal silencieux le long du voyage à regarder, comme un petit enfant, le monde des moldus. Leur sens architecte était de toute beauté. Il regardait aussi les moldus qui marchait dans les rues et les formes des maisons. Le chauffeur indiqua que le voyage serait d'environs une heure de route. James soupira mais il serait prêt à tout et n'importe quoi pour retrouver celle qu'elle aime. Alors il sortit son calepins de notes et se mit lentement à écrire des notes personnelle sur le monde moldus.

Le temps en voiture passa quand même assez rapidement étant donner qu'il écrivait sur tout ce qu'il voyait ou presque. À un moment le taxis ralentis lentement et s'arrêta devant l'adresse donner. James lui donna de l'argent moldus et sortit lentement du taxis en regardant la maison avec des yeux impressionner... C'est donc ici que se trouvais la femme de son coeur... Derrière cette porte à probablement ignorer COMPLÈTEMENT que James était la. Lentement il s'avança vers la porte mais se rappela qu'il devait faire bonne impression. Alors il se repeigna lentement les cheveux avec des mains et replaça ses habits en soupirant. Puis lentement il déposa son doigt sur le bouton ce demanda ce que sa faisais et appuya.

Apparemment au lieux de cogner au portes les moldus appuyait ce petit boutons pour faire venir les gens à la porte puisque, ce ne fût pas très long qu'un déclic retentit à la porte et il pût voir lentement la poignée se faire tourner... Il stressa un peu à l'idée d'avoir cogner à la mauvaise porte mais non... Il reconnus le visage de celle qu'elle avait aimer et rattrapa son chat avant qu'il ne se sauve. Il resta silencieux devant elle et lorsqu'elle prononça son nom il lui fit lentement un sourire.

-J'ai crus que tu aurais oublier avec toutes ses années... Galya... Pardonne moi d'être partis si rapidement et bêtement... J'ai tellement été imbécile...

Lentement il avança doucement et la prit dans ses bras en la serrant lentement et ressentit des frissons le traverser... Les frissons d'amour qu'on appelait.

Galya se rendit compte qu'elle haletait, lorsque James parla. Elle serrait les poings à s'en faire mal. Certes, elle n'avait aucune raison d'être aussi nerveuse. Il était là, devant elle. Pourtant, la jeune fille avait peur. Peur qu'il ne soit qu'un mirage, un rêve sortit de son imagination malade et solitaire. Peur qu'il disparaisse, comme la dernière fois. Peur de se retrouver seule. Peur de ne pas être dans la réalité. Son cœur battait de plus en plus vite au fur et à mesure qu'elle pensait.

Comme si elle flottait, la jeune fille se sentit partir vers lui. Oui, c'était ça, elle flottait. Elle rêvait. Rien de tout cela n'était vrai. Galya hallucinait, rêvait. Ou plutôt, semblait rêver. La chaleur que dégageait James suffit à lui ouvrir les yeux. Il était là, vraiment là. Soudain, la jeune fille sentit qu'elle allait craquer. Et, effectivement, elle craqua. Ses mains, nerveuses et fébriles, parcouraient le dos et le visage du jeune homme, cherchant un recoin qu'elles n'auraient pas explorer ; ses lèvres frémissaient, sortant des bribes de prières disparues ; son regard se brouilla. Des sanglots la secouèrent, et il en fallait pour la faire pleurer.

« J'ai crus que tu aurais oublier avec toutes ses années... Galya... Pardonne moi d'être partis si rapidement et bêtement... J'ai tellement été imbécile... » fit-il, tout bas, en la serrant contre lui.

Galya leva un visage heureux vers lui. Sa main droite chercha la sienne. De l'autre, elle caressa sa joue, geste inédit pour elle. Durant un an, elle l'avait imaginé, ce retour inopiné. Elle avait rêvé à ce jour, qui, pour elle, relevait du miracle plus qu'autre chose. Jamais, durant cette année qui venait de s'écouler, la jeune fille n'aurait pu penser qu'un tel trouble aurait pu s'emparer d'elle. Sournoisement, une vérité s'imposa à elle. Elle l'aimait.

Galya se mordit la lèvre. Il était trop tôt pour le lui dire. Lui avouer ses sentiments, c'était risquer de le perdre, risquer qu'il parte, effrayé par l'attachement qu'elle avait pour lui. Les hommes avaient tellement peur des sentiments !

« Je ne t'ai pas oublié » chuchota-t-elle, comme on dit un secret. « Tu m'as manqué James. »

Se mettant sur la pointe des pieds, elle effleura ses lèvres d'un baiser timide. Pour ça, il était peut-être trop tôt aussi. Mais Galya souhaitait prendre le risque. Sans risque, il n'y pourrait rien avoir entre eux. Elle le tira à l'intérieur de l'appartement et referma la porte d'un habile coup de pied. Le bruit qui en résultat la fit sursauter. Ce qui eut pour effet de la faire éclater de rire. Un rire nerveux, aux limites de l'hystérie. James Anderson avait un ascendant certain sur la jeune fille, c'était indéniable.

« Tu veux prendre quelque chose ? » demanda-t-elle, se rappelant des principes de l'hospitalité. « Thé ? Café ? Soda ? Des pan-cakes ? »

Galya était nerveuse et redoutait de lui demander pourquoi il était venu. Il pouvait avoir plusieurs réactions : soit il lui dirait de but en blanc qu'il n'était pas là pour elle, ce qu'elle avait du mal à croire depuis qu'il avait parlé ; soit il se vexerait, en pensant ce qu'elle-même avait pensé. Souriant devant ses circonvolutions, la petite brune se rapprocha de nouveau James, et tendit son visage vers lui, heureuse. Il était là.

L'avoir dans ses bras, lui révéla et approuva ses sentiments pour elle, l'avoir dans ses bras c'était comme un nuages dont ont ne veux jamais en redescendre. Mais lorsqu'elle lui chuchota les mots lui donna tant envie de l'embrasser. Mais le coup qui enchaîna son coeur au siens pour le reste de son existence fût le bisou sur ses lèvre... Il ressentit une allée de frissons parcourir sa peau et se retins pour ne pas pleurer de joie et l'embrasser. Il passa sa mains dans ses cheveux en ne comprenant plus mais le temps de revenir à lui il sursauta de la porte qui claqua derrière lui pour la regarder lentement. Elle avait tout une force de pied il faut croire.

-Non je suis ici pour prendre quelque chose d'assez... particulier si je peux dire... et je ne crois pas que tu peux m'en donner en grosse quantité...

Lentement il enleva ses chaussures pour discrètement aller la rejoindre en regardant les objets moldus autour de lui... Nombreux était ceux qu'il n'avait jamais encore même pût voir, mais comme le proverbe dit si bien: Chaque chose en son temps. Pour le moment il était la pour décrocher le coeur de la femme qu'il aimait et ensuite il pourrait les regarder avec elle. Lentement il arriva derrière elle et entoura ses bras autour de sa taille en la ramenant doucement vers lui et posa sa tête sur son épaule

-J'ai retenus mes mots depuis trop longtemps pour qu'il plonge de nouveaux dans le silence je... J'ai quelque chose à t'avouer qui... je suis désoler ne peut plus attendre une minute de plus car j'ai essayer de te le dire dans le passer mais j'ai lamentablement échouer... Depuis qu'on se connais j'ai toujours trouver que notre liens était particulier et que je m'entendais bien avec toi mais c'est que je ne me doutais pas qu'au final... je... Je t'aime Galya... Je ne peux pas me séparer de toi à nouveau, ni faire semblant que mon amour n'es pas la pour toi je t'aime... et je veux passer ma vie à t'es cotés.

Lentement il la retournant la prenant par les mains et la colla doucement contre lui pour finalement lentement approcher son visage et l'embrasser passionnément en la serrant contre lui. C'était comme-ci toute sa vie il n'avait qu'attendus ce moment et qu'enfin il se réalisait. Il la serrait contre lui et posa lentement sa tête contre la sienne en inspirant doucement l'air de la liberté, de l'amour et même de la joie. Enfin il avait trouver le calme intérieur avec celle qu'il aimait et il ne lâcherait jamais se moment même si pour cela il devait en mourire.

-J'ai déjà eu l'idiotie de partir loin de toi, de souffrir et de me rendre compte qu'au fond je t'aimais... pour décider que je vais passer ma vie avec toi Galya... Je suis fou amoureux de toi et je veux que tu sâche à quel point... car auparavant... je n'aurais pas sût te le dire... mais maintenant j'en suis sur... Je te veux toi dans mes bras pour l'éternité et t'aimer pour la fin du monde si il faut...

James eut même une larme qui coula le long de son visage en même temps qu'il lui parlait tellement il était à fond en amour. Puis il la regarda de nouveau dans les yeux

-Je veux que tu devienne ma femme... je veux qu'on vivent ensemble et qu'on ait des enfants et qu'un jours je les regardes avec des yeux de fierté... je veux qu'on sois pour toujours ensemble car je t'aime...

Il l'embrassa de nouveau.

N'osant pas y croire, la jeune fille goûtait simplement au bonheur d'avoir contre elle un être aimé. Il y avait eu trop de peine, trop de décès autour d'elle pour qu'elle n'accepte pas ce cadeau que lui faisait la vie à sa juste valeur. Elle ne rêvait que de ça depuis des semaines, ne pensait qu’à lui, nuit et jour. Y avait-il une raison pour qu’elle cesse d’être heureuse en cet instant paisible ? Non, il n’y en avait aucune. Pas une seule chose n’aurait pu entacher sa joie presqu’enfantine éprouvée par la venue d’un homme. De son homme.

Galya rougit à cette seule pensée et, pour masquer son trouble, elle rit doucement er lui prit la main, geste qu’elle ne se serait jamais permit dans des circonstances normales. Mais après tout, qu’était la normalité ? Etait-ce d’être, comme le commun des mortels, trop absorbée par sa propre vie pour faire réellement attention aux autres, affairée à de futiles tâches qui étaient appelées à disparaître avec le temps ? La brunette n’en avait stricement aucune idée et n’éprouvait absolument pas le besoin de faire de philosophiques réflexions alors qu’elle se trouvait dans les bras d’un homme qu’elle aimait et qui, manifestement, l’aimait aussi. Ne lui avait-il pas déjà dit ?

Bercée par sa voix chaude et grave, elle n’écoutait pas vraiment ce qu’il disait, ne saisissant que des bribes de phrases. Galya ne voulait pas paraître impolie, aussi leva-t-elle le visage vers le sien et l’écouta, tandis qu’il reprenait. Elle mit un temps infini à comprendre le sens de ses mots. Les morceaux de phrases qui lui étaient parvenus précédemment semblaient être inscrits en lettre de feu dans son esprit lorsque James l’embrassa. Elle se laissa faire, passive.

Galya restait silencieuse face à cette demande à demi-voilée qu’il venait de formuler. Elle avait toujours été contre le mariage et tout ses principes, du temps où le père Robbins était en vie. Certes, ça n’était pas sa mort qui aurait pu la faire changer d’avis, mais, elle commençait à envisager l’idée qu’être mariée pouvait rendre heureuse. A plus forte raison, si c’était avec un homme que l’on aimait. Mais elle ne pouvait s’empêcher de repenser à sa tante, à son malheureux mariage. Non, elle ne pourrait pas. Qu’aurait-elle dit devant sa nièce, en cet instant ? Mariée à dix-sept ans, mère à dix-huit ? Ah, Dieu ! Je ne veux pas ça, songea Galya, mais je l’aime.

Elle leva les yeux vers James et soupira. Comment le lui expliquer ? Elle se détacha de lui, attrapa Asian qui ronronnait sur le plan de travail. Il fallait qu’elle s’occupe les mains, afin de garder son calme. Elle craignait de le blesser, de provoquer sa colère. Elle avait peur qu’il parte.

« James.. Je.. Je suis trop jeune pour ça » bredouilla-t-elle, en caressant le chat.

Galya se détourna, passa au salon et se laissa tomber sur son sofa. Elle s’était levée à peine plus tôt mais se sentait soudain très lasse. Ce flot d’émotions y était probablement pour quelque chose. Jamais elle n’aurait pensé se trouver dans un tel état face à James. D’ailleurs, où était-il ? Elle n’avait pas entendu la porte se refermer, ce qui était plutôt bon signe. Non ?

« Humphf.. James ? » fit-elle.

N’entendant pas de réponse, elle se leva, soucieuse. Pourvu que je ne l’ai pas blessé, pensa-t-elle. Mais non, il était là, dans la cuisine. Elle lui adressa un regard brillant, mais ne s’approcha pas, restant sur le seuil de la porte.

« James.. Je t’aime mais.. Comprends-moi » dit-elle, tout bas.

Elle baissa la tête, n’osant pas le regard. Galya n’avait aucune idée de la manière dont un homme prenait un refus à sa demande en mariage. Après tout, il était le seul à le lui avoir demandé.

[HJ : Désolée, j'ai pas réussi à faire mieux.]

Lentement James regarda la fille sortir de ses bras... Il ne semblait pas que les deux ai été sur la même longueur de penser... Il ne comprenait pas, pourtant il était persuader que ce baiser lui ferait comprendre qu'il était venus pour être un couple et la marier à ses vingt ans... Mais il était clair que quelque chose avait été mal compris ici de la manière dont elle le regardait. Puis elle lui dit être trop jeune pour ça et il lui fit un regard d'incompréhension... Puis d'un coup dans sa tête, c'est comme-ci un coup le frappa et il comprit tout d'un coup avant de lentement rire discrètement, elle avait comprit de travers... Il ne voulait pas la marier mais simplement être avec elle et créer un petit couple mignon, pas qu'elle soit sa femme... Non mais James aurait passer pour quoi après, le sorcier reconnus pour sa pédophilie?

-Galya je ne crains qu'on est un petit malentendus ici je... Comment je peux expliquer cela, je ne veux pas te marier... Enfin peut-être un jour mais pas pour le moment du moins... NON je ne veux pas te marier avant que tu ne sois prête... Argh comment l'expliquer... tu me donne quelque seconde?

Il se mordilla une mains et de l'autre la glissa dans ses longs cheveux en tournant sur lui-même lentement cherchant ses mots, puis il mit ses mains ensemble, comme si il allait prier et la regarda d'un regard plus assurer

-Je suis ici pour venir te demander si tu voulais être ma petite amie... C'est comme ça je crois qu'il faut le dire... Je ne suis pas douer niveau amour... J'enseigne nombreuse choses et j'en apprend encore à mon âge mais je ne saurai jamais comment faire dans les situations amoureuse... J'ai sûrement mal choisis mes mots la... Le mariage est une chose qui se fait quand un couple est prêt, pas quand il commence... Et justement je veux commencer le couple, enfin avec toi...

James soupira ne trouvant pas ses mots et il se frustrait à essayer de les trouver. Il se tira une chaise et prit lentement place en glissant ses mains sur son visage et soupirant... Toute sa vie, il avait attendus ce moment pour finalement arriver au but et tout foutre en l'air. Il avait sérieusement de quoi être fièr car la il était en trains de non seulement tout foutre en l'air mais également éliminer la seule parcelle de chance qu'il avait de même retenter l'expérience et de passer pour un vrais fou. Lentement il releva la tête en fixant Galya. Il se leva, toujours en la regardant et glissa ses mains tranquillement autour de sa taille en l'embrassant une dernière fois sur les lèvres.

-Pardonne moi d'être aussi pourri avec les mots... Mais je ne voulais pas dire m'épouser mais être ma petite copine quoi... Je ne vais pas repartir de nouveau sans toi... Je veux rester avec toi et vivre ma vie en la découvrant à t'es coté... Trop de chose me sont encore à vivre... Dont l'amour que j'ai pour toi, que je veux passer avec toi enfin... si tu veux... Tout à l'heure l'émotion à parler et j'ai dit les mauvais mots... Pardonne moi

Il laissa un dernier baiser sur ses lèvre et des larmes lui se dessinèrent lentement sur ses petit yeux et il perdus son sourire romantique et sa bonne humeur habituelle pour tendrement serrer Galya contre lui en appuyant sa tête sur son épaule

-Trop longtemps j'ai attendus pour te dire que je t'aimais en face, ce ne sera pas aujourd'hui que je vais devoir rentrer chez moi les bras vide dit moi... Je t'ai attendus tout ce temps la ne perdant jamais amour pour toi et je viens de gâcher le moment encore une fois... Je suis tellement désoler de ne pas être à la hauteur de la situation... Si seulement des fois je pouvait un peu plus faire attention à mes mots au lieu de dire ce qui me passe par la tête.

Lentement il se recula pour l'embrasser encore du bout des lèvre cherchant son amour.

» Il ne faut pas de courage pour sauter, juste se pencher un peu trop [Jasper]
» Il va les aimer, il les aimera, ce sont les MEILLEURES ! || LIBRE

Qu'il faut donc aimer quelqu'un pour le préférer à son absence !

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