Comment les relations peuvent toujours servir les interêts ...

Les cloches sonnaient 20h, et Aurore s’engouffrait dans la limousine familiale, elle détestait voyager par moyens sorcier sur les courtes distances, le faire avait tendance a la décoiffé. Elle ajouta rapidement l’iris blanc qu’elle tenait a la main dans sa chevelure auburn, lissa les plis de sa robe de soie verte et attendis d’arriver a destination.
Elle se rendait a un galla de charité, auquel sont père lui avait demandé de l’accompagner, se genre de réunion de la haute société n’était souvent qu’une bonne raison pour briller en société, se qu’elle avait bien l’intention de faire.

La voiture s’arrêta bientôt et on vint lui ouvrir la portière, elle sortie toute en grâce et élégance tenant entre ses mains sa longue robe de cocktail, qu’elle lâcha d’un mouvement fluide en se redressant. Son père était là à l’attendre, il s’avança vers elle et lui offrit son bras, Aurore l’accepta en souriant et ils se dirigèrent vers les lumières de la salle de réception. En entrant dans la grande salle légèrement trop surchargée, Aurore se sentit prête à faire tourner les têtes, sa jeunesse et sa beauté étaient ses meilleures armes, elle le savait et était passé maitre dans l’art de s’en servir. Elle marchait avec légèreté au bras de son père et nombreux étaient les regards qui convergeaient vers elle. Elle prenait plaisir à entendre la musique et le doux son du froissement du tissu lorsqu’elle marchait. Son père faisant parti des plus hautes sphères de la politique il la présenta, directement au grands du ministère, si les hommes lui sourires voracement, les femmes elles, la regardèrent avec méfiance, Aurore savait qu’elle représentait une menace non négligeable pour ses femmes monotones, elle leurs adressa donc des sourires innocents, ne jamais négliger des atouts potentiels était l’une de ses règles.
Elle participa donc raisonnablement aux conversations, agrémentant les discussions purement politiques de quelques éclats de rires bien placés, qui firent fondre les craintes des femmes et allumèrent des feux malsains dans les esprits masculins. Aurore complimentait une dame sur son chapeau, lorsque la porte s’ouvrie brusquement laissant entré un courant d’air froid. Lorsque son père reconnu l’arrivant il fit signe a Aurore de s’approcher.

-Ce cher Isaac toujours aussi dur a la tache ! Fit remarquer un homme gras.

L’homme en question venait de se débarrasser de sa cape et s’approchait du groupe, lord Grey s’avança vers lui Aurore a son bras.

-Aurore permet moi de te présenté Mr. Belitum un jeune homme très prometteur. Isaac je vous présente ma fille Aurore Grey.

Aurore sourie malicieusement en tendant sa main a Isaac, elle venait de trouver quelqu’un d’intéressant elle l'avait tout de suite vu en croisant son regard.

Isaac avait été invité à un gala de charité ce soir là. Un soirée où convergeaient tout les plus grands de la société actuel...Le genre de soir où le sujet du fric n'était plus tabou, où l'on buvait du champagne à cent galions la bouteille, où l'on dégustait du vrai dragon...Le genre de soirée qu'Isaac adorait. Il y a 10 ans, jamais il n'aurait cru participer à ce type de rassemblement. Comme quoi, Isaac qui n'était pas un "fils de un tel" avait quand même réussi à se faire une place dans le monde de ceux qui pètent dans la soie. De plus, ce n'était pas n'importe qui, qui était l'organisateur de cette soirée. C'était Grey. Lord Grey. Un de ses collègues. Sans doute le seul même dont la talent en matière de diplomatie surpassait celui d'Isaac. Grey était un vrai dieu à ses yeux. Être convié à un de ses galas, c'était comme être invité dans le lit d'Eryn Peters pour certains Comment les relations peuvent toujours servir les interêts ... 37993

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C'est lorsque les cloches sonnèrent vingt heures, qu'Isaac jugea qu'il était temps d'y aller. Le balai n'était pas le moyen de transport le plus pratique, quand on était vêtu d'un costume trois pièce, et la transplanage n'était pas le moyen le plus poli. Il opta donc pour un transport moldu et monta dans une superbe voiture, une Dodge Viper GTS, un pur chef d'oeuvre de nos amis sans magie. Cela fascinait Isaac, alors que les moldus baveraient sans doute s'il savait qu'il pouvait voyager sur un balai volant.

Le trajet ne lui pris pas plus de dix minutes. A quoi bon respecter les limitations de vitesses avec une voiture qui en avait sous le capot. Il descendit, rentra dans le hall où un majordome prit sa cape pour la ranger. Isaac repéra lord Grey, et se dirigea vers lui. Il ignora totalement les salutations et les sifflements admirateurs à son passage. Il avait l'habitude de susciter l'admiration. Malheureusement l'admiration allait de pair avec la jalousie.

- Bonsoir, my lord , dit Belitum et s'inclinant bien bas.

Grey lui rendit son salut...Puis, il désigna une femme :

- Aurore permet moi de te présenter Mr. Belitum un jeune homme très prometteur. Isaac je vous présente ma fille Aurore Grey.

Ainsi c'était elle la fille des Grey. Elle était très élégante, avec son iris dans sa chevelure et sa robe verte. On ne pouvait en attendre moins de l'héritière Grey. Cette dernière tendit la main à Isaac et croisa son regard. Soudain, le lord parut moins important. Sa fille, plus. Belitum serra la main d'Aurore. Puis se tournant vers le son père :

- Je vous l'emprunte...

Isaac attira Aurore vers un coin de la pièce où il n'y avait quasiment personne. Il fallait qu'il se mette cette fille dans la poche. De gré ou de force, mais il le fallait. Un Grey de plus dans son camp, c'était très important pour grimper au sein du ministère. Belitum s'assit dans confortable siège.

- Vous êtes donc aussi ravissante que ce que l'on ma dit, dit-il en désignant Aurore. Voir même plus.

Un femme, aussi intelligente soit tel, reste une femme. Et les femmes adorent être flattées...

Isaac Belitum surpris Aurore lorsqu'il lui saisit délicatement la main mais ne la lacha pas la faisant passer sous son bras gauche et se tournant vers son père tous sourires dehors.

- Je vous l'emprunte...

Son père eu une drôle d'expression sattisfaite et ocha la tête en signe d'aprobation. Aurore quoique surprise aprécia l'audace d'Isaac a sa juste valeur, cet homme avait une idée derrière la tête et elle attendrai de voir laquelle avant de le classer dans "amis a avoir prèt de soi" ou "a évité a tout prix" beaucoup d'hommes se trouvant dans cette dernière catégorie. Aurore avait néanmoins une bonne impression concernant l'homme politique qui l'entrainait doucement mais surement, sous les regards scrutateurs de nombres dames Comment les relations peuvent toujours servir les interêts ... 37993

:, dans un endroit plus reculer de la salle de réception. Il la voulais en tête a tête, entreprenant sur de lui, elle allais désormais voir a quelle sorte d'orateur elle avait affaire. Isaac lacha son bras lorsqu'ils furent arriver près d'une aire de repos, où des large fauteuils formait des demi cercle ouvert sur les grandes baies vitré .
Isaac en gentleman attendi qu'elle se fut assise pour prendre place face a elle.

- Vous êtes donc aussi ravissante que ce que l'on ma dit, dit-il en la désignant. Voir même plus.

L'homme était bon flatteur, sous entendre qu'on lui avait beaucoup parlé d'elle et démentir les rumeurs en sa faveur, très bon coup. N'importe qu'elle femme aurait été flatté, mais Aurore était bien trop calculatrice pour apprécier ses paroles.

- J'en suis consciente, dit-elle en repoussant une mèche. Les rumeurs ne m'on jamais fait justice!

Elle sourie innocament en disant cela, contrastant consciemment avec l'egocentrisme de ses paroles. Si il se prenait au jeux alors peu être...

Aurore repoussa une mèche rousse qui lui barrait le visage :

- J'en suis consciente..., dit-elle. Les rumeurs ne m'ont jamais fait justice !

Waaaouuuh ! Carrément...mais bon un soupçon de prétention n'a jamais fait de mal à personne. Et puis, Grey pouvait se le permettre elle était vraiment splendide...Enfin, Isaac n'était pas un modèle de vertu. Il ressentait un irrésistible désir de séduire toute femme ayant un anatomie avantageuse. C'était une sorte de Casanova moderne. Mais il n'était obsédé. Non, juste séducteur. Le passage à l'acte de chair n'était pas une étape nécessaire. Voir qu'une femme était tombé sous son charme suffisait amplement. Enfin, Belitum ne savait pas s'il oserait séduire le fille des Grey...

En tout cas, on n'en était pas rendu encore là. Un serveur passa sans les voir. Isaac se leva et saisit deux verres et la bouteille de champagne du plateau du majordome. Ce-dernier regarda Belitum en fronçant les sourcils. Un seul regard de l'homme du ministère, fit baisser les yeux au serveur, et il continua sa route. Isaac retourna s'assoir et servit un verre à Aurore et à lui-même. Il trinqua avec un petit clin d'œil à Aurore.

Le champagne était excellent, l'humeur d'Isaac n'en fut que meilleure.

- Aurore, les rumeurs sur votre beauté vont bon train, mais on ne sait rien sur vos compétences intellectuelles, dit Belitum avec un regard avide. Que faite-vous exactement au Ministère ? Enfin...parlez-moi de vous, ma chère...

S'il voulait se la mettre dans la poche (et peut-être dans le lit Comment les relations peuvent toujours servir les interêts ... 663950

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), il fallait qu'il connaisse sa "proie"...

Aurore était tout a fait satisfaite de la façon dont Isaac la regardait, son physique et sa maitrise d'elle même sous tout les aspects lui avait toujours permis d'obtenir se qu'elle voulait d'un homme, et elle se plaisait a l'idée de se mettre dans la poche un homme que son père tenait en haute estime. Elle savait cependant qui si relations il y avait, le profit irait au deux partis, son père étant un homme puissant, et Isaac Belitum un homme dont l'influence au ministère pourait lui être utile.
Oui l'idée ne déplaisait pas a Aurore, l'idée était même alléchante.

Un serveur passa et voyant qu'il ne s'arrètait, en gentleman Isaac se leva et alla vers le serveur, auprès duquel il prit une bouteille de champagne et deux verres de cristal. le serveur eu l'air mécontent, mais Aurore vis passer un éclair strict sur le visage de son cavalier et le serveur parti la queu entre les jambes. Un sourire intéressé naquit sur les lèvres pourpre de la jeune femme, cet homme pouvait dégager de l'autorité a volonté, cet capacité lui avait sans doute value nombres de victoire au sein du ministère. Isaac revint vers elle et lui servit un verre de champagne. Aurore s'en saisi délicatement et ils trinquèrent, se faisant Isaac ajouta un léger clin d'oeil, monsieur se la jouait charmeur, elle lui sourit.

- Aurore, les rumeurs sur votre beauté vont bon train, mais on ne sait rien sur vos compétences intellectuelles, dit Belitum avec un regard avide. Que faite-vous exactement au Ministère ? Enfin...parlez-moi de vous, ma chère...

Cet homme était décidément très fin, il savait toucher juste et d'une façon polie. Aurore appréciat qu'il prenne son temps pour en savoir plus sur elle, et ce bien qu'elle se doutait, que son interlocuteur agissait ainsi, en partie pour son père. Mais Aurore voyais se qu'elle tirerait elle, a avoir une pareille connaissance.

- Ma foie mon cher monsieur Belitum, vous êtes bon flatteur, et si vous voulez savoir se que mon métier m'ammène a faire , et bien je vous répondrait de bonne grace.

Elle marqua une pause et en profita pour boire une gorgé de champagne, le liquide frais lui fit le plus grand bien. Elle observa Belitum qui attendai qu'elle continue.

- Je travaillais en tant que diplomate sur le terrain, jusqu'a récament, hélas un léger incident m'a fait revenir a Londres. Je vous avoue que l'idée d'être de retour ne m'enchante guère, aussi votre compagnie m'est fort agréable.

Elle finit le liquide ambré et tandis sa coupe, a Isaac une sourire charmeur aux lèvres.

- Ma foie mon cher monsieur Belitum, vous êtes bon flatteur, et si vous voulez savoir se que mon métier m'amène a faire , et bien je vous répondrait de bonne grâce.

Bon flatteur ? Sans aucun doute. En même temps son métier. Flatter les beaux, flatter les moches, flatter les érudits, flatter les cons, flatter les gentils, flatter les méchants...C'était ça la diplomatie, c'était ça la politique...

Et c'est en ça qu'Isaac avait un énorme confiance en lui à cet instant. Les monstres de l'Internationale lui cédait tout, les plus puissant Ministres eux-même avait du mal à lui résister. Alors ce n'était pas une mignonne petite rousse qui allait faire exception et qui n'allait pas tomber sous son emprise. Foi de Belitum !

La mignonne petite rousse justement bu une gorgée de champagne. Quelle succulent spectacle pour Isaac. Sa bouche trempant dans le liquide, son cou blanc révélé par sa tête légèrement penché pour boire, c'était...très charmant...Puis Aurore repris sa tirade :

- Je travaillais en tant que diplomate sur le terrain, jusqu'à récemment, hélas un léger incident m'a fait revenir a Londres. Je vous avoue que l'idée d'être de retour ne m'enchante guère, aussi votre compagnie m'est fort agréable.

Ah...Elle aussi. Elle aussi ne pouvait plus voyager. Elle aussi était condamné à rester cloitré dans un bureau. Isaac aussi avait eu la malchance de commettre une mince erreur en Bulgarie. Mince erreur qui en faisait maintenant un pays au mains des Mangemorts. Alors forcément, même si on lui disait pas clairement, il était en quelque sorte "privé de voyage".

De son côté, Grey avait fini sa coupe de champagne. Elle la tendit à Belitum, un sourire...euh...sexy accroché à ses lèvres. Isaac prit la bouteille, et sans quitter Aurore des yeux, il lui servit un vers du délicieux nectar des riches. Les gens son tellement plus docile quand ils ont abusé d'alcool. Et Aurore se pliait sûrement à la règle. Plus qu'à attendre que le champagne fasse effet. Il continua à fixer Grey et une présomption se dessina...

Cette fois, Isaac en était sûr. Il lui fallait Aurore Grey. D'abord pour son père, ensuite pour son charme. Que de qualités. Être la fille d'un lord, tout en étant sublime.

Mais Isaac avait envie de jouer...Une terrible envie de jouer. Il prit la parole d'une voix sure :

- J'ai posé les questions. Maintenant c'est à vous. Voyons comment vous allez vous sortir.

C'est très osé de sa part de dire ça. Il faut bien avouer que c'était comme une injonction, et que la femme pouvait prendre la mouche. Mais il était sûr qu'elle ne ferait pas. Avec un sourire terrible, il but une gorgée de champagne.

Il lui avait rempli son verre docilement, la dévorant des yeux, Aurore appréçiait cela. Les hommes de pouvoir était toujours interressant a côtoyer, ils avait une manière sournoise et invisible d'arriver a leurs fins, beaucoup d'entre eux était maîtres dans l'art le plus vieux du monde, a savoir lècher les bottes . Ironiquement c'était souvant la methode la plus éfficace en politique.
Aurore elle employait son charme, sa beauté et son esprit machiavélique (accéssoirement), pour arriver a ses fins, et cela fonctionnait a merveille autant avec les femmes qu'avec les hommes. Quoique dans le cas de ses dernier elle avait une forte tendance a se retrouvé dans leur lits, pour peu qu'elle les trouvent suffisament a son goût, et Isaac Belitum correspondait tout a fait a son appétit du moment. Un homme séduisant, sur de sa personne et avec de l'expérience dérrière lui.

- J'ai posé les questions. Maintenant c'est à vous. Voyons comment vous allez vous sortir.

Se cher Isaac, voulais donc jouer, Aurore laissa échapper un éclat de rire cristallin, pas quetion de se dérober a se jeu là.

- Très bien, vous l'aurer souhaité.

Elle marque une légère pause, le temps de lancer un regard provocateur a l'homme politique.

- Tout d'abord je je ne vois pas l'intêret de vous intéroger sur votre travail, le fait que vous soyez ici et que mon père nous ai présenté me suffit. En revanche je ne peu m'empêcher d'être surprise de ne trouver aucune femme au bras d'un gentleman comme vous. N'avez vous pas trouvez chaussure a votre pied ou bien votre travail est-il trop prenant ?

S'informer sur une potentiel empècheuse de vivre, était une base respectable, et elle saurait ainsi le niveau de difficulté, pour avoir Isaac, quoi que se retrouvé dans le lit d'un homme même marié, n'avait jamais été dur pour elle.
Elle posa sa joue sur son poing dans une mou adorable et attendi la réponse.

Aurore eu un éclat de rire à la suite de la question du diplomate. Au moins, cela voulait dire qu'elle ne l'avait pas mal pris.

- Très bien, vous l'aurez souhaité...

Oui, il l'avait souhaité. Mais ce genre de phrase était soit un préambule fanfaron, soit un préambule à quelque chose de pas très souhaitable pour l'interlocuteur. Aurore n'avait pas l'air d'être femme à fanfaronner, la deuxième solution paraissait plus envisageable. La belle au cheveux de feu eut un sourire provocateur. Même si c'était terriblement excitant, cela ne présageait rien de bon.

- Tout d'abord je je ne vois pas l'intérêt de vous interroger sur votre travail, le fait que vous soyez ici et que mon père nous ai présenté me suffit. En revanche je ne peux m'empêcher d'être surprise de ne trouver aucune femme au bras d'un gentleman comme vous. N'avez vous pas trouvez chaussure a votre pied ou bien votre travail est-il trop prenant ?

Oh mon Dieu ! Une question oui, mais quelle question ! Belitum avait voulu joué, et il devait reconnaître que Grey était une très bonne joueuse. En même temps la question décocha un sourire à Isaac. Si Aurore se renseignait sur cette chose, c'est peut-être tout simplement pour savoir si Isaac était libre, et quel cas elle pourrait... Mais peut-être que ce n'était pas du tout ça et qu'elle posait cette question comme une autre, juste histoire de faire la causette. Après une gorgée de champagne, Belitum se décida à répondre :

- Mon travail est bien plus que prenant ma chère. Et puis, j'ai certaines ambitions, le fait d'avoir une femme fixe, serait bien plus que gênant dans mes projets...Mais...

Isaac s'était rapproché d'une vingtaine de centimètres. Il était cependant encore loin d'elle, mais chaque chose en son temps...

- Et vous ? Le lord a-t-il un beau fils ?

Belitum aimait assez la tournure de sa question. Il faisait mine de s'intéresser au père, alors que c'était la fille le centre de ses désirs, à cet instant...

Aurore vit un éclair de surprise passer dans les yeux de Belitum, mais un sourire ne tarda pas a naitre sur ses lèvres, un sourire disons carnassier, l'homme avait vraisemblablement saisi le sous entendu de la question et la chose ne lui déplaisait pas.
Il la dévisagea néanmoins quelques instant pour être sur de ne pas se méprendre, aussi voyant ça Aurore lui lança un regard explicite. L'homme pris une gorgée de champagne et lui répondit.

- Mon travail est bien plus que prenant ma chère. Et puis, j'ai certaines ambitions, le fait d'avoir une femme fixe, serait bien plus que gênant dans mes projets...Mais...

Un drogué de travail, mais un homme tout de même ouvert au propositions hors travail ( Comment les relations peuvent toujours servir les interêts ... 37993

) elle pouvait dire cela grace a l'emploi du mot "fixe". Il devait donc chancer souvent de compagne officieusement bien entendu, un homme qui veut monter l'échelle du pouvoir ne montre pas d'instabillités a quelque niveau que se soit, si il le lui confiait c'était donc qu'ils avaient le même objectif. Isaac comme pour confirmer ses supositions, qu'elle savait véridiqueq, se raprocha quelque peu d'elle. Hum qu'allait-il faire a prèsent, il avait laisser sa phrase en suspend, il devait avoir une bonne raison pour cela.

- Et vous ? Le lord a-t-il un beau fils ?

Rusé le politique! Inclure son père dans la conversation, qu'elle délicate et inutile attention. Elle était loin d'être une prude, contrairement aux apparences.

- Je crois hélas que mon cher père n'est pas prêt de voir une bague a ce doigt, dit-elle tout en montrant son annulaire. De plus j'aime la diverssité, je n'ais donc pas l'intention de m'unir a quoi que se soi pour une longue durée, dumoins pas de jours.

Elle adressa un clin d'oeil a son interlocuteur et se redressa sur son fauteuil.

- Je crois hélas que mon cher père n'est pas prêt de voir une bague a ce doigt, dit-elle tout en montrant son annulaire. De plus j'aime la diversité, je n'ai donc pas l'intention de m'unir a quoi que se soi pour une longue durée, du moins pas de jours.

Elle fini sa phrase avec un clin d'oeil à Isaac. La diversité. Une fille pourri gâtée nymphomane. Quel beau tableau. Si elle aimait la diversité, elle ne pourrait rien refuser à Isaac. Ça la diversifierait un peu petit peu d'être avec ce nouvel homme. Oh, oui. Il en avait déjà des frissons.

Mais le moment était plus à la conversation. Isaac dénoua sa cravate, une vague de chaleur l'avait envahie depuis qu'il était en présence d'Aurore. Il but une gorgée de champagne pour se rafraîchir avant de se rendre compte que que son verre était vide. Être avec le belle rousse lui faisait de plus en plus perdre les moyens. Il se resservit un verre de champagne qu'il but d'une traite.

L'alcool, bien qu'en petite quantité pour le moment, mit une poussée d'adrénaline à Belitum. Il s'avança vers Grey, lui souleva les cheveux devant son oreille pour lui murmurer :

- Et le lundi soir...vous êtes libre ??

Pourquoi le lundi ? Parce qu'on était lundi !!!

La lueur intéressé se fit plus brulante encore dans le regard de son interlocuteur, et Aurore su que le tour était joué, elle allait avoir une nouvelle source de divertissement. A cet instant elle était plus que satisfaite d'elle même, elle s'était débrouillé en très peu de temps pour se trouver un deuxième lit dans les hautes sphère de son travail, le succè est doux sur la langue et satisfesant dans l'âme.
Isaac retira sa cravate, et Aurore en le regardant se dit qu'il y avait quelque chose de sexydans sa manière de le faire. Il avait visiblement chaux et elle se berçait dans l'iddée que le chauffage de la pièce n'en était pas la seule raison.
Il avait rerempli son verre et le vida d'une traite, il allait passer aux choses sérieuses, finit les jeux d'usage, finit les bonne manière mondaine, Aurore en eu des frissons d'excitement.

Quand soudain Isaac se pencha vers elle, qu'avait-il en tête ? Ils était certe isolé du reste de la soirée, mais se trouvai tous de même toujours dans la même pièce.
L'homme se contenta de repousser, d'une main experte, les cheveux qui dissimulait son oreille, sans doute pour mieu lui murmurer:

- Et le lundi soir...vous êtes libre ??

Il avait la galanterie de faire le premier pas, Aurore sourie, on était lundi, mr.Belitum ne perdait pas son temps, elle apréciait la franchise, et l'idée d'avoir de la compagnie cette nuit ne lui déplasait pas, loins de là.

- J'ai bien peur, d'avoir a vous répondre négativement.

Elle avait encore envie de jouer un peu, elle n'était pas une fille facile après tout, elle était libertine et mennerai donc la dance jusqu'au bout.

-La soirée est déjà bien entamé, ajouta-elle en se reculant. La nuit elle en revanche ne fait que commencer, et en se qui la concerne, je n'ai pas de couvre feu.

Elle adressa un sourire explicite a l'homme politique qu'elle s'apretait a connaitre de façon plus "intime" si tout se passait bien.

A cet instant précis, tout l'être d'Isaac criait famine. Son corps entier réclamait Aurore. Mais ses ardeurs furent vite refroidis :

- J'ai bien peur, d'avoir a vous répondre négativement.

M*erde !! Là, il n'y avait mais alors RIEN de pire que ça. Rien. Nenni. C'est ce qu'on appelait un bide. Mais des bides, Isaac en avait fait plein. Mais là, c'était la fille de Lord Grey. C'était horrible. Elle allait sûrement le dire à son père ça oui, et ce serait la mort ministérielle d'Isaac...Horrible, horrible, horrible...

- La soirée est déjà bien entamé, ajouta-elle en se reculant. La nuit elle en revanche ne fait que commencer, et en se qui la concerne, je n'ai pas de couvre feu.

Oh mon Dieu ! La coquine...Elle lui avait fait une de ses frayeurs alors. Elle eut un sourire explicite. Isaac n'en avait nullement besoin pour comprendre ce qui allait se passer.

- Ce ne serait pas très prudent de rester ici. Venez.

Il tendit une main à Aurore pour l'emmener loin d'ici. Lorsqu'ils passèrent devant le Lord, celui-ci eu un regard surpris :

- Hola mes braves ! Aurore où va tu avec Mr. Belitum comme ça ?

Isaac prit les devants :

- Euh...Elle à un malaise, my lord...Je la conduit à Sainte-Mangouste !!
- Mais je...

Isaac ne lui laissa pas le temps de répondre et s'en fut avec Aurore. Ils arrivèrent à la Dodge, et Isaac En bon gentlemen, ouvrit la porte à Aurore. Puis il monta à la place du conducteur. Il savait exactement où il allait, mais avait envie de prendre son temps. La "avant" est souvent aussi intense que le "pendant"...

- J'ai bien crû que votre père n'allait pas nous laisser partir...

Une lueur horrifié était passé dans les yeux d'Isaac entre ses deux phrases, mais la flamme ardante revint aussitôt après qu'elle ai eu finit de parler. L'homme avait donc été déconfi puis remit sur le gâteau, comme Aurore l'avait planifié. Elle espèrait tout de même que cette légère plaisanterie n'avait pas refroidit son nouveau jouet, mais elle en doutait, se genre de chose ne faisait que mettre du piment dans les préliminaires en général.
Aussi ne fut-elle pas surprise lorsque se raprochant d'elle il lui dit:

- Ce ne serait pas très prudent de rester ici. Venez.

Il se leva et lui tendit la main avant même qu'elle ne lui réponde, rapide.
Mais ils avaient suffisament parler, ils leur fallaient agir maintenant, aussi se saisi t'elle de la main de se cher Isaac. Ce dernier l'entraina vers la sortie sous les regard surpris des convives, Aurore se laissa faire tout en se donnant volontairement un teint plus blanc encore, faisant ainsi croire a un malaise. Bien lui en prit.

- Hola mes braves ! Aurore où va tu avec Mr. Belitum comme ça ?

Son père bien sur les voyant partir était intervenue, elle s'apprèta a lui répondre mais Isaac la devença.

- Euh...Elle à un malaise, my lord...Je la conduit à Sainte-Mangouste !!

Puis ne laissant pas le temps a son père de protesté il l'emmena dehors. Cet homme ne manquai pas de reccource mais St-Mangouste était peu être un peu exagèrer, elle sortie son portable (ces gadget moldu étaient bien pratique) et envoya un SMS a son père pour lui dire qu'elle rentrait chez elle, sont père habiatit dans un grand appartement près du ministère, la maison londonienne des Grey était donc "ça" maison a elle. Il ne viendrait pas fourer son nez dans ses affaires si elle lui disait y être retourner.

Isaac lui ouvrit la portière d'une Dodge, elle s'y installa, il la rejoint bientôt dans l'habitacle,
mit le contact et l'intraina a travers les rues londonienne. Après quelque minutes il se tourna vers elle.

- J'ai bien crû que votre père n'allait pas nous laisser partir...

-Oui mon père peut se révéler quelque peut gênant parfois, lorsque cela me concerne il devient vite surprotecteur. Mais je l'ai rassuré, ajouta t-elle en montrant son portable. La nuit nous appartient.

Et disant cela elle le pensait vraiment, elle pouvait sentir la tension et le désir mutuelle qui s'intensifiait dangeureusement dans l'espace clo qu'était la dodge. Allaient-ils parvenir jusqu'à un lit digne de se nom? Rien n'était moins sur...

- Oui mon père peut se révéler quelque peut gênant parfois, lorsque cela me concerne il devient vite surprotecteur. Mais je l'ai rassuré, ajouta t-elle en montrant son portable. La nuit nous appartient

"Le nuit nous appartient". Isaac en avait bien l'intention. Il affichait l'air fière de l'homme conduisant une superbe voiture avec une superbe femme à ses côtés. C'en était grisant. Belitum devait faire d'énomes efforts pour ne pas se jeter sur Aurore et la couvrir de baisers. D'ailleurs la conduite d'Isaac traduisait son excitation. Il accélérait dans les lignes droites et freinait brusquement dans les virages.

Tandis qu'il conduisait, sa main commença à glisser sur la cuisse d'Aurore. Il ne pouvait plus attendre. Il lui saisit la nuque et l'embrassa, manqua de foutre la Dodge dans un parapet. Puis il ne dit rien. Si Grey voulait protester elle le pouvait. Mais Isaac en doutait...

Un ou deux kilomètres plus tard, Isaac s'arrêta devant un chic hôtel. Il fit descendre Aurore et la prit par la main...Ensemble ils rentrèrent dans l'hôtel. Belitum paya une chambre et ils montèrent. Arrivés dans la chambre, il couvrit Aurore (encore habillé :heart:) de baisers, autant qu'il pouvait...Mais chaque chose en son temps...

[HJ] Sorry, c'est court mais je manqué d'inspi Comment les relations peuvent toujours servir les interêts ... 789392

... [HJ]

Isaac conduisait de plus en plus vite, Aurore apprecia. Au bout d'un moment elle sentie la main de l'homme lui glisser le long de sa cuisse droite, se geste lui donna des frissons, comme si un courant électrique l'avait parcouru. Il ne fallu que quelques secondes pour qu'il la saisisse par la nuque et l'embrasse fougeusement, Aurore fut surprit du geste d'autant plus qu'il conduisait, mais lui rendit son baiser avant qu'il ne remette une partie de son attention a la conduite.
L'homme après avoir failli m'être la voiture dans un parapet, se redressa et ne dit mot, mais un sourire sattisfait était perché a ses lèvres, sourire auquel Aurore faisait écho.
Ils arrivèrent finalement en vue d'un hotel de bon goût, Isaac y engagea la voiture et se gara devant l'entrer, un garçons vint chercher les clefs après qu'Isaac est aider Aurore a sortir. Il la saisit par les hanches et l'entraina a l'intérieur fier comme un paon, Aurore avait le visage lumineu et lorsque qu'ils se présentèrent a l'accueil Isaac demanda une chambre, la réceptionniste la lui donna rapidement tout en dévisageant Aurore avec envie, sa beauté suscitait toujours l'envie.
Une fois la clé de la chambre 666 en main, ils se rendirent dans l'ascenseur où Aurore commenca a déboutonné discrétement la chemise d'Isaac, elle avait du mal a ne pas rigolé avec la grand mère qui les regardait d'un oeil désaprouvateur. Par esprit de provocation Aurore enroula ses bras autour du coup d'Isaac qui se laissa faire et lui colla un baiser brûlant sur les lèvres. Aurore souri machiavéliquement a la grand mère qui se retourna l'air outragée.
Ils arrivèrent finalement et le politicien entraina Aurore rapidement vers la porte, il l'ouvrit rapidement. A peine la porte refermé il la saisi brutalement et la couvrit de baiser enflamés, de son côté Aurore avait finit de déboutonner sa chemise, chemise qu'elle ota d'une main experte révélant le torse large et musclé d'Isaac *RRRRRRRRRRrrrrrrr*

Profitant d'avoir échaper a l'étreinte brulante, elle lui prit la main l'entraina vers le lit et l'y poussa, restant debout elle détacha sa robe qui coula sur ses courbes parfaites avant de tomber au sol dans un léger froissement. Elle se dirigeat ensuite lentement vers lui retirant une a une les épingles qui jusqu'à présent retenait ses larges boubles cuivré. Isaac ne bougeait pas la contenplant avec appétit, lorsqu'elle fut suffisament proche il la fit basculer a ses côtés. Elle se redressa alors sur un coude et lui susura a l'oreille:

- A une longue colaboration.

Et... ils passèrent aux choses sérieuses.

[J'y suis peut être aller un peu fort XD]

*

Alors, heureuse ? demanda-t-il avec un éclair de fierté.

Leur ébats étaient terminés et Aurore reprenais son souffle, en effet l'expérience chez un homme avait du bon. Les américain étaient un peu rapide en besogne, les anglais eux avaient plus d'endurance et Aurore ne fut pas mécontente qu'Isaac le lui ai remémoré, tout en pensant a ça elle se dit qu'elle garderait bien Belitum sous la main quelques mois histoire de se distraire jusqu'a se que sont père la laisse repartir. Et puis cela animerai peut-être ses pauses déjeuner "Oui définitivement".

Elle sentait le souffle encore brulant d'isaac sur sa nuque, elle ne regretait pas d'avoir accepter d'accompagné son père a se gala. Les mains de son amant parcouraient doucement son corp la caressant doucement, Aurore ferma les yeux satisfaite et apprécia se plaisir moin intense, un peu de douceur ne faisait jamais de mal.

- Alors, heureuse ? demanda-t-il avec un éclair de fierté.

-Disons satisfaite, lui répondit-elle.

Voyant la fierté se faner légèrement sur le visage d'Isaac, elle se redressa et l'embrassa avec passion.

-Mon bonheur n'as rien a voir avec les plaisirs de la chair. Mais pour un anglais tu es ...

Et elle se mordie la lèvre inférieur, une lueur de plaisir dans les yeux. Elle passa la main dans ses cheveux et se rendit compte qu'ils étaient moite, elle avait besoin d'une douche où d'un bain. Elle sortie de l'étreinte de son amant tira un des drap s'en fit une toge et sortie du lit un sourire malicieu aux lèvres.

- Je vais prendre un bain avant de partir, tu te joint a moi ?

Elle se pencha pour ramasser les pend du drap qui trainait par terre et se dirigeat vers la salle de bain où elle fit couler l'eau chaude sur le savon et les sels de bain qu'elle avait versé précedament, le tou en laissant la porte ouverte.

- Disons satisfaite...

QUOI ?? Mon dieu, c'était horrible ce qu'elle venait de dire là. Il n'avait rien de tel pour briser un homme dans sa virilité et son désir d'être un mâle dominant...D'ailleurs, son visage s'assombrit, et il décida donc de s'en aller. Alors qu'il commençait à se redresser pour partir, Aurore se redressa aussi à l'embrassa avec passion. Isaac voulut la repousser, mais c'était au-dessus de ces forces. Comment lui résister ??

- Mon bonheur n'as rien a voir avec les plaisirs de la chair. Mais pour un anglais tu es ...

Elle se mordit la lèvre et une lueur de plaisir passa dans ses yeux. La fierté de Belitum se regonfla, et se laissa retomber sur le lit. Sa maîtresse se leva, se couvrant d'une drap pour protéger son corps nu avant de dire :

- Je vais prendre un bain avant de partir, tu te joint a moi ?

Tu ? C'était la deuxième fois. Mais, elle avait raison, continué à se vouvoyer alors qu'ils avaient couché ensemble aurait été ridicule.

- Non, je suis désolé, je dois vraiment partir...Bon, OK, darling...

C'était la beauté d'Aurore qui l'avait fait cédé. Elle s'en alla, et quelques minutes plus tard alors qu'Isaac quittait le lit, il la trouva dans l'immense baignoire, nue et simplement sublime. Il entra dans le bain, ses jambes caressant celle de Grey. Puis il resta muet comme une carpe, attendant juste qu'Aurore parle ce qui décuplerait son plaisir...

[HJ] Ouéééééééé !!! J'ai placé darling Comment les relations peuvent toujours servir les interêts ... 625993

[HJ]

Aurore était dans la salle de bain a se peigner ses cheveux emméler avant d'aller dans le bain qui était presque plein. Elle repensait au paroles de l'homme qui tardait a la rejoindre. Il avait hésiter avant de cédé face aux beau yeux d'Aurore, et cette dernière ne savait pas vraiment comment prendre la chose, mais il l'avait appeller "darling" elle ne pouvait s'empècher d'en éprouver du plaisir, cette appellation lui rappelait toujours la piece de James Matthew Barry "Peter Pan", et y penser la mettait toujours de bonne humeur.

Elle laissa le drap en satin retomber sur le sol et se laissa glisser dans l'immense baignoire avec délectation, l'eau chaude avait toujours fait des miracles pour elle, elle s'imergea totalement et lorsqu'elle ressortie la tête de l'eau Isaac se tenait devant l'ouverture de la porte. Il se dirigea vers elle la dévorant des yeux, Aurore elle ne le quittait pas non plus des yeux, elle venait de se trouver un nouvel amant et il dégageait une aura de pouvoir qui l'exitait comme le 24 décembre.
Isaac la rejoint dans l'eau sans un mot, se contentant de lui faire face. Quelque chose clochait et Aurore se dépêcha de le fixer, elle n'aimait pas avoir des choses qui la gênait, elle alla donc se blottir entre les bras de son politicien et se mit a jouer avec les mains se se dernier qu'il avait passer sous ses bras l'enlaçant doucement. Elle aimait les mains des hommes tellement plus larges que les siennes et toutes différentes, celle d'Isaac était large et les lignes de ses mains était bien marquer elle fit doucement passer ses doigts fin sur sa ligne de vie puis les fit passer entre ceux plus large de son amant et les referma délicatement dans un geste tendre.
Elle tourna ensuite légèrement la tête de façon a pouvoir plonger ses yeux dans les siens.

- Je n'attend rien de toi, je ne suis pas de se genre de femme qui tombe amoureuse ou exige d'être reconnue et il y a de fortes chances pour que je voit d'autres hommes sans t'en parler, mais malgré tous ça est-ce que ça te dirai de recommencer?

Aurore, n'avait jamais menti a ses amants quand a sa nature profonde de libertine, après libre a eux de l'accepter ou non. Elle avait pourtant une envie particulière de revoir Isaac après cette nuit, sa maturité agissait comme un charme sur la jeune femme qu'elle était. Elle se retourna dans l'eau chaude pour coller son torse au sien et se mit a passer doucement ses doigts sur son torse.

Aurore vint se ficher dans les bras de son amant et jouait avec ses mains. Pendant ce temps, Isaac lui embrassait le cou, puis les bras, avant qu'elle prenne la parole d'un traite :

- Je n'attend rien de toi, je ne suis pas de se genre de femme qui tombe amoureuse ou exige d'être reconnue et il y a de fortes chances pour que je voit d'autres hommes sans t'en parler, mais malgré tous ça est-ce que ça te dirai de recommencer?

Isaac cessa ses baisers, et prit à son tour la parole :

- Moi non plus, je ne peux pas te garantir que je serais fidèle. Pour que je le sois, il nous faudrait bien plus de temps.

Puis il avança sa tête avant de continuer :

- Même pour tout les Gallions du monde, je ne pourrais refuser de recommencer.

Il colla ses lèvres contre les siennes, et Grey recommença à lui caresser le torse avec ses mains si douces. Isaac lui caressait les mollets, puis les cuisses et enfin les fesses.

- Alors, lundi prochain, j'espère que tu n'as rien de prévu. Car même une réunion de la plus haute importance ne pourrait même pas m'empêcher de refaire l'amour...

- Moi non plus, je ne peux pas te garantir que je serais fidèle. Pour que je le sois, il nous faudrait bien plus de temps.

-Je n'ai jamais exigé la fidelité d'un homme, je ne suis pas dupe, répondit-elle malicieusement.

Aurore fut heureuse de découvrir que l'homme lui ressemblait, qu'il n'était pas l'un de ses hommes qui voulaient l'exclusivité ou promettait mont et merveilles sans jamais rien concrétiser. Elle se dit que leur relation se passerai sans doute très bien, pas de jalousie mal placé, pas de discussions inutiles et en plus ils y gagnaient tous les deux.

- Même pour tout les Gallions du monde, je ne pourrais refuser de recommencer.

Isaac l'embrassa après ce charmant compliment, décidément cet homme était un très bon et beau parleur. Elle sentie ses mains large parcourir son corp et elle eu alors envie de rester plus longtemp qu'elle ne l'avait prévue.

- Alors, lundi prochain, j'espère que tu n'as rien de prévu. Car même une réunion de la plus haute importance ne pourrait pas m'empêcher de te refaire l'amour...

- J'ai quelque chose de prévue maintenant, et déjeuner de temps en temps enssemble qu'en dit tu ?

Oui parce que si possibilité il y avait de se distraire un peu sur le lieu de travail, Aurore n'allait pas la laisser passer et vue la passion qu'Isaac avait en lui parlant elle ne doutait pas qu'il soit d'accord, a moins qu'elle ai sous estimé l'importance de son travail.

- J'ai quelque chose de prévue maintenant, et déjeuner de temps en temps ensemble qu'en dit tu ?

Isaac prit un faux air de quelqu'un qui réfléchit :

- Un déjeuner ? Vraiment...non, désolé, cela ne va pas être possible.

Puis il passa sa main sur la joue d'Aurore avant de continuer :

- Par contre, un autre soir comme celui-ci, il y a de très fortes chances.

Il embrassa à nouveau Aurore avec fougue et passion, puis continua son petit speech :

- Mais jamais, au grand jamais ton père ne dois nous voir. Ce serait ma mort ministérielle, voir ma mort tout court.

Il dévora Aurore de baisers, lui couvrant le corps de ses lèvres. Puis il se leva, faisant quelques vagues dans le bain :

- Maintenant, je dois y aller.

Il descendit du bain pour s'habiller. Avant de partir, il embrassa une fois de plus Aurore, avant de lui glisser :

- A lundi prochain !

Qu'il était fière en sortant de l'hôtel !! Il s'était fait un allié de poids et une charmante maitresse !

[HJ] Allez, zou on termine ! Je pense que c'est dans la logique des choses, non ? Mais promis, on en aura d'autres Comment les relations peuvent toujours servir les interêts ... 37993

Je te laisse faire le post de conclusion Surprised

[HJ]

Isaac eu l'air de réfléchir quelque secondes, puis répondie négativement, cela ne surprit pas Aurore, les politicien n'était pas nouveau pour elle, elle savait qu'il préfèraient faire les choses dans l'ombre et respectait ça.

- Par contre, un autre soir comme celui-ci, il y a de très fortes chances.

Aurore sourit a l'homme qui s'empressa de l'embrasser a nouveau, oui ils auraient sans doute d'autres nuits comme celle-là, elle y veillerai personnelment.

- Mais jamais, au grand jamais ton père ne dois nous voir. Ce serait ma mort ministérielle, voir ma mort tout court.

Aurore laissa échaper un rire cristallin, Isaac avait visiblement l'habitude des blondes, elle était aussi intelligente que belle, chose rares de nos jours, aussi l'idée de dire quoi que se soit a qui que se soi ne lui avait même pas éfleuré l'esprit. Elle rigolait aussi pour la pression qu'Isaac avait dans la voix en disant ça, il était visiblement très sérieu concernant son travail, et Aurore se dit qu'il allait être amusant de l'aider.

- Rassure toi, ce genre de détail concernant ma vie privé ne concerne que moi.

Après ça il la couvrit de baiser et ils s'étraignirent avec passion une dernière fois avant qu'Isaac n'annonce son départ et sorte du bain. Aurore approuva après tout demain ils travaillaient, elle decida néanmoins de profité encore quelques minutes de l'eau chaude. Elle entendait son amant se rabiller dans la chambre, il ne tarderait plus a quitter l'hôtel.
Il revint pourtant vers elle une dernière fois, il se pencha sur le bain et l'embrassa délicatement.

- A lundi prochain !

Il se redressa et quitta la chambre 666.
Aurore se lava doucement ses boucles rousses, inonda la salle de bain en sortant, attrapa un peignoir et se sècha pensive. Elle avait un nouvelle homme dans sa vie, une fois de plus, et comme a chaque fois elle se demanda avec appréhension quand tout cela ne l'amuserai plus.
Puis secouant la tête pour se changer les idées elle se dit qu'Isaac était une bonne prise, se rabilla et sortie de la chambre les cheveux a demi sec et un trait de col sous les yeux pour tout maquillage, cela n'empècha pas les yeux de la suivre sur son passage, ni au réceptionniste de bagayer lorsqu'elle lui demanda une voiture avec chauffeur.
Lorsqu'elle sortie pour attendre sa voiture elle vit la lune haute dans le ciel cette dernière lui rapellant l'heure tardive, ou plutôt l'inverse pensa t-elle un demi sourire aux lèvres.
"A lundi Mr.Belitum "
Et elle s'engoufra dans la mercedes dont on lui tenait la porte.

-FIN-

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