Un garçon entre et nous salue. Je l'ignore, me comptantant de lui jeter un regard sombre. Faudrait que je retienne les tête des gens de ma propre maison, un jour.
Et puis, pourquoi y'a autant de monde d'un coup? Retenant un soupire, je me cale un peu plus confortablement dans le canapé. L'entrée de la salle commune s'ouvre une nouvelle fois. Mais c'est pas possible, encore un !
Wahou c'est la fête ici ou quoi?
je ne peux m'empêcher de répliquer :
trop, on s'éclate à mort, ça se voit pas ?
humour de glaçon, que voulez-vous.