Tragique volière ... (fe)

Doze était préoccuper depuis plusieurs jours, il se demandait si il arriverait à piéger les mangemorts qui avaient tués ses parents. Il n'avait rien à envier question méchanceté à ces idiots à cagoule. Il connaissait même leurs identités et certains avaient même des enfants scolarisés ici à Poudlard... Mais comme faire ? Il n'avait qu'une envie tuer ces mangemorts et leur famille entière par la même occasion. Comme faire ? Cette question ne cesser de tourmenter Doze.

Le vent c'était levé, fessant tournoyer les feuilles mortes dans le parc et au loin un jeune élève qui courait près du lac se trouva déséquilibré et tomba dans ce dernier.

Avec un peu de chance il va ce faire bouffer par le calamar pensa Doze avec un sourire cynique tout en remettant en place ces long cheveux qui virevoltaient suivant la danse du vent.

La densité d'élève qui était regroupé au parc commençait à énerver Doze, il n'aimait pas cette foule, ces rires, ces conversations pitoyable, il avait deja fait tournoyer dans les airs deux élèves depuis le début de l'après midi et se sentait surveillé par tout les préfets présent dans le parc.

Il décida de monter dans la volière de la haut il pourrait réfléchir tranquillement et se calmer tout en regardant l'ensemble de Poudlard. Il y'avait beaucoup de marche pour atteindre la volière mais Doze les parcouru en courant sa cape virevoltant derrière lui ... Arrivé en haut il se cogna a une petite silhouette qui venait de sortir, c'était un élève de première année, Doze le reconnu de suite c'était un des fils des mangemorts qui avaient assassinées sa famille. Il portait une chouette au plumage noir et ras qui prise de panique lors du choc s'envola, un fin écrin de cuivre contenant un parchemin accroché a sa patte dansait dans le vide.

Doze jeta un regard noir a l'élève, il savait que ce dernier était aussi pourri que son père, il sortit sa baguette et la pointa sur la chouette qui était déjà à une bonne distance d'eux.

-J'imagine que c'est une lettre pour ton père dit'il d'un ton froid au jeune sorcier sans cesser de fixer la chouette qui s'éloignait encore ...

Il rajusta sa baguette d'un mouvement rapide.

Sectumsempra Maxima chuchota t'il,

le sort frappa la chouette en plein vole, la coupant net en deux, Doze regarda les deux bouts distincts tomber au sol avant de rajouter

Je ne pense pas que ton père reçoive de lettre de toi aujourd'hui, a part si tu sait recoller une chouette, mais la prochaine fois oublie pas de lui mentionner que sa seras lui que je couperais en deux et lorsque j'aurais finis sa sera ton tour.

La baguette de Doze projetait des fines étincelles rouges qui laissaient des marques de brûlures sur la robe du première année qui s'enfuyait en courant.

C'est ça court, rajouta t'il a mit voix en le regardant détaller, je sais bien ou te trouver de toute façon rajouta t'il sur une voix monocorde.

La volière était agité, un lourd objet était tombé à terre, provoquant la panique chez les oiseau, Doze ne s'intéressa pas a l'origine de ce bruit et ne dedeigna même pas regarder. Il regarda plutot les nuages qui commençaient a recouvrir les éclats du soleil avant de s'asseoir sur le rebord de la tour les jambes dans le vide ...

(hj : T'es sadique Razz

)

Eléa Cats s'ennuyait dans la salle commune de Gryffondor. Il n'y avait personne et le feu dans la cheminée était la seule chose qui bougeait dans cette atmosphère silencieuse et calme.

Mais la jeune fille aimait le bruit, bouger, courir et Rester seule en compagnie d'un feu solitaire n'était pas ce qu'elle avait rêvé de mieux.

Elle se leva et sortit de la salle commune. Vagabondant dans les couloirs durant plusieurs minutes pour ne pas rester sur place, elle arriva aux pieds de l'escalier menant à la volière.

La jeune Gryffondor commença à gravir les marches. Elle n'avait personne à qui envoyer un hibou et ce n'était pas ce qu'elle voulait faire, mais elle se dit qu'au moins, elle trouverait peut-être quelqu'un là haut.

Environ à mi-hauteur, un première année de Serpentard passa à côté d'elle en courant, la bousculant. Il tourna la tête vers elle, les yeux pleins de larmes, il dit : C'est pas ma faute si mon père est comme ça !

Intrigué, Eléa voulu lui demander de quoi il parlait, mais celui-ci détala plus vite que son ombre. La jeune fille continua son ascension quand elle vit un autre garçon, penché à la fenêtre de la volière. Elle s'adressa à lui :

"Salut" dit-elle "Qu'est-ce que tu lui as fait ?"

Elle montra les marches qu'elle venait de gravir, parlant d'un ton neutre, sans reproche ni compassion.

Doze ne regarda pas la jeune fille qui venait d'arriver, il continuait de fixer l'horizon sans ciller, il repensa à ce mangemort le père du gamin, c'est lui qui avait tué son propre père après l'avoir soumis à l'Endoloris. C'est eux qui avient rendu Doze ainsi, avide de sang et de vengeance il n'était pas comme cela au fond ils avaient changés sa nature profonde. Il n'avait pas besoin de se retourner pour savoir que la jeune fille était toujours là, son regard lui brûlait le dos, il n'essaya pas de faire taire la lueur assassine lorsque il se retourna brusquement et fixa son regard dans celui la nouvelle venue.

-Quelle bonne surprise, une Gryffondor dit'il en regardant l'écusson des sangs et or. Qu'est ce qu'il m'a fait ? Questionna t'il Lui rien de spécial, il va juste mourir avec son père pour ce que ce dernier a fait rajouta t'il sur un ton glacial.

Il cherchait le nom des autres fils de mangemorts sur les tablettes de cuivre indiquant le possesseur de telle ou telle hiboux et lorsque il tombait sur les bons leur sang se rependait sur les murs. Doze ne cessa de regarder dans les yeux la jeune sang et or lorsqu'il lançait les maléfices.
Sa tache était finis il savait très bien que chaque gosse raconterait a ses parent que c'était lui qui avait tué les hiboux, il devinait les pensées de la gryffondors au regard qu'elle lui portait.

En deux enjambées il était a ses cotés, la bouche contre son oreille.

N'aie pas peur lui chuchota t'il avec un sourire.

Il glissa sa main a la recherche de celle de la jeune sorcière. Ses doigt effilé saisirent celle de la demoiselle et l'entraînait déjà dehors avant qu'elle eu le temps de protester

En voyant le Serpentard tuer les hiboux, elle ne compris pas. Elle eut surement un regard involontairement dégouté car le garçon lui dit de ne pas avoir peur. Il lui pris alors la main et l'entraina à l'exterieur.
La jeune fille était resté dans l'ombre et la lumière du jour l'éblouit quelques secondes.
Quand elle pu enfin voir quelque chose, elle se rendit conte que le garçon lui tenait toujours la main. Pourquoi l'avait-il amené dehors, de cette façon ? Intrigué, elle lui demanda simplement :

"Qu'est-ce qu'il y a ?"

Elle était incapable d'en dire plus. Le regard du jeune homme était tellement décalé par rapport à son comportement vis-à-vis des hiboux. Elle se demanda quel genre de personne il pouvait bien être.
Il avait surement une raison pour avoir tué tous ces hiboux. Elle aurrait aimé la connaître, pas par curiosité, mais plutôt pour comprendre, et elle du se l'avouer, pour ne plus avoir peur.

[Faut que je trouve de l'inspiration là -_- ... Branche A perfect circle... Sa va déjà mieux]

Le soleil commençait à faire moins le fier dans le ciel, le vent avait apporté avec lui de gros nuages noirs qui se démarquer dans ce ciel si bleu. L'orage n'était plus trop loin maintenant, le vent c'était encore durcis, la majorité des élèves présent dans le parc commençaient à rentrer seul ou par petit groupe. Doze remarqua que sa main tenait toujours celle de la jeune sang et or, il plongea son regard dans le sien, les pupilles noirs de Doze était remplie d'une haine froide et implacable et il le savait très bien.

Qu'est ce qu'il y'a ? Répétât t'il. Tu va le savoir bientôt répondit'il en portant son regard sur les nuages de plus en plus noirs. Je sais la question qui te brule les lèvres jeune Gryff. Pourquoi est je tuer ces hiboux ? Pour une simple et bonne raison, ces hiboux apparatiennent à des fils de mangemorts et des mangemorts très important a mes yeux continua t'il tout en serrant plus fort la main de la jeune sorcière. A défaut de ne pas pouvoir leur faire mal, je me défoule sur leurs hiboux finit'il par dire avec un sourire méchant.

Le soleil avait disparu, une noirceur anormal couvrait le ciel, le parc de Poudlard était maintenant vide de présence humaine seul quelques feuilles rebelles continuaient à danser une valse avec le vent. Un éclair zébra le ciel et un grondement sourd emplis l'air. L'orage était maintenant belle et bien là. Doze qui tenait toujours la jeune gryff par la main l'entraîna à sa suite, une petite corniche d'une vingtaine de centimètres défiait le vide, doze y monta, la dans le vent, ses cheveux et sa cape virevoltant allégrement, debout sur une corniche de vingt centimètre face au vide. Il lança un regard à la sorcière, sorte d'invitation muette de le rejoindre. Il l'aida à monter près de lui, ils était maintenant là tous les deux debout sur cette corniche main dans la main, la pluie coulant sur leurs visages et leurs cheveux. Un seul coup de vent plus fort que les autres pourraient leur faire perdre leur équilibre et les entraînaient dans le vide. Mais la scène avait quelque chose d'étrange ...

-Et toi que fessait tu as la volière ? Tu n'a pas de lettre chuchota Doze a l'adresse de l'inconnue debout à coté de lui ...

Quand Doze lui fit ses aveux, Eléa ne su pas quoi répondre. Elle fixa le jeune homme dans les yeux, lui faisant voir qu'elle comprenait.
Elle avait eu raison, le jeune Serpentard avait bel et bien tué ces hiboux pour quelque chose. Elle savait bien que tuer de pauvres hiboux inocents n'était pas la solution à ses problèmes, mais comment se contrôler quand on a perdu sa famille ?

L'orage menaçait, mais le garçon, la tenant toujous par la main, l'emena à l'opposé, sur une corniche. Il lui demanda alors pourquoi elle était monté à la volière. Pourquoi ? Elle ne le savait pas elle même. Il n'y avait pas vraiment de raison ...

"Je ... Je voulais voir quelqu'un" répondit-elle "Je me sentais seule, et j'avais raison de penser que je pourrait rencontrer un élève là haut !"

Ils étaient là, tous les deux face au vide, main dans la main. Si le jeune homme l'avait voulu, il aurrait pu la faire tomber dans le vide, volontairement ou non, mais la jeune Gryffondor lui faisait confiance. Ils ne se connaîssaient que depuis peu, mais quelque chose se dégageait de ce jeune homme qui lui inspirait confiance.

Le vent soufflait désormais très fortement et Eléa avait les cheveux qui volaient sur son visage. Elle se sentait bien ici, avec Doze. Malgré le dangé apparent, elle se sentait en sécurité.

L'orage était vraiment devenu violent, le vent était d'une force incroyable, la pluie tombait a grosse goutte et les éclairs déchiraient le ciel. Malgré cela la jeune Gryff et le serpendard étaient toujours là main dans la main sur leur corniche a lutter contre les éléments. Cela fessait tellement longtemps que Doze ne c'était pas sentit aussi bien, toute ces pulsions meurtrière et ses envie de souffrance c'était enfuie emporté par ce vent si violent. Ils restèrent là encore quelques minutes a se regarder tandis que des litres d'eau leur coulait dessus et que chaque bourrasque menaçait de les faire tomber.

Finalement, doze lâcha la main de la jeune Gryff et retomba de son perchoir pour rerentrer dans la volière. Il regarda les murs souillé du sang des hiboux et pointa sa baguette.

Récurvite prononça t'il et regardant les cadavres des hiboux continua avec : Fera Verto

Aussi tot les taches de sang maculés ne furent plus qu'un mauvais souvenir et les cadavres des deux hiboux firent place a deux magnifiques verre a pied

Doze regarda par la porte et fixa le dos de la jeune sorcière toujours sur sa corniche seul face à la tempête les bras écartés. Bien que Halloween était passé il transforma quand même deux trois hiboux en citrouilles qu'il transforma aussi vite en citrouille d'halloween. La volière avait un petit coté joyeux ainsi, il prit une vielle caisse qui traînant pas terre et se posa dessus regardant sans ciller la jeune gryff qui maintenant le fixer....

Le Serpentard dessendit de la corniche. Elle ne le retint pas, laissant clisser sa main dans la sienne. La jeune fille resta là sans bouger, regardant les retardataires regagner le château en vitesse. Elle sentait le regard du jeune homme dans son dos.
Elle l'entendit alors lançer des sorts. Elle se retourna et vit que Doze tentait de nettoyer les taches de sang qui gissaient sur le mur. Il transphorma ensuite les restes des hiboux en verres à pieds. Il en transphorma également deux ou trois en citrouilles et bien qu'Halloween était passé depuis plusieurs mois, la volière parraissait plus joyeuse ainsi.
Il se posa sur une caisse et la regarda dans les yeux. Elle le fixa de la même façon pendent plusieurs minutes, ne sachant pas quoi dire. Il avait de beaux yeux, elle le remarqua en plongeant son regard dans celui du jeune homme.
Au bout d'un moment, elle murmura, sans détourner les yeux, plus pour elle même :

"Il est tard ..."

Mais elle ne bougea pas, ne sachant même pas pourquoi elle avait dit ça ...

La tempête commençait à s'éloigner en même temps que laccalmie dans la tête de Doze, Les questions et ces envies revenaient et cette fois si en force. Il regarda le dernier éclair tombé au loin, figure arrogante d'un adieu d'orage. Le vent avait cessé en même temps que la pluie, Les nuages c'étaient dissipés le soleil était revenu certes un peu faiblard, prémices de la nuit. C'était comme si ce moment en compagnie de la jeune fille mains dans la mains sur une corniche à cent mètres du sol n'avais jamais existé.

Doze se releva d'un mouvement brusque, projetant au loin la caisse d'un coup de pied. Il regarda la jeune Gryff en sortant de la volière. Il fit voltiger sa cape sur ces épaules et lui tourna le dos avant d'engager la descende d'un pas décidé. Il stoppa sur la première marche il s'aretta sans se retourner et une pensée fugitive pour la jeune sorcière lui traversa la tête ...

A une prochaine fois dit' 'il Peut etre continua t'il en hésitant

Eléa restait figée, incapable de bouger. Elle dit simplement :

"Oui ... peut-être !"

Elle commençait à reprendre ses espris, se demandant qu'est-ce qu'il s'était passé. Le moment passé main dans la main avec ce garçon qu'elle ne connaîssait pas lui parraissait suréaliste, et pourtant ... il avait bien eu lieu.
Elle se rendit alors conte qu'elle était attiré par ce garçon, qu'elle connaîssait à peine, mais avec qui elle avait déja eu une grande complicité, durant quelques minutes.
Elle resta là, sans savoir que faire, sans savoir que dire, seulement en pensant ...

» a la voliere [OU]

Tragique volière ... (fe)

Tragique volière ... (fe)

Sujets similaires

Sujets similaires