Un gars... une fille [PV]

Le jeune homme arriva à l'Auberge des Trois Balais avec un air ruiné. En éffet, il venait de sortir de la maison de l'ordre et s'était fait poursuivre par trois mangemorts. Ne pouvant transplaner, il a été obligé de les combattre un par un. Ce fut épuisé qu'il arriva dans l'auberge donc. Il se dirrigea vers la gérante et lui demanda une petite Bierraubeur. Le temps que la petite bierre arrive, il s'assit sur un grand tabouret du bar et regarda l'auberge. Il aimait beaucoup le décor, il donnait une athmosphère détendue et joyeuse, c'était un très beau pub. Il s'immagina les générations d'étudiants qui étaient passés par là et il regarda les élèves qui s'amusaient en groupe. Il souriait... il avait été comme ça, insousiant des problèmes de la vie adulte, insousient de ce qui le guette...

Il fut coupé de ses rêveries par la serveuse qui lui servit une Bierreaubeur. Il lui souri en lui donnant l'argent.

( j'ai pas d'inspiration... )

Elle avait été obligée de sortir de son appartement par un temps maussade, pressé par son colocataire qui allait bientôt recevoir de la visite. Génial. Elle se faisait mettre à la porte! Et ce simplement parce que monsieur avait omis de lui dire qu’il avait invité une amie à venir . Bien sûr, étant peu soucieux des détails, une pile de vaisselle et un fouillis indescriptible l’attendrait à son retour. Alors elle devrait faire le ménage et s’occuper de tout…Hey! Stop! Elle n’était pas la femme de ménage !! Elle avait un métier, qui était, sois dit en passant, très difficile à exercer, des préoccupations et une vie! Alors copain ou pas, il allait s’occuper lui-même de son fouillis! Point la ligne! Et avec un peu de chance, il trouverait dans tout ce désordre un cerveau ancestral, et irait à St-mangouste pour se le faire greffer, en remplacement à celui qu’il avait perdu il y a de cela quelques centaines d’années.

Oui, Fynlie voyait rouge. Sans qu’elle ne sache exactement pourquoi, elle était très fâchée contre cette personne qui partageait son logement. Elle avait de bonne raison, non ? À peine avait-elle eu le temps d’enfiler un pull en cachemire, un jean taille basse et des breloques diverses autour de ces poignets, que la porte se refermait en claquant derrière elle. Résultat? Elle avait louper un délicieux gratin au fromage et au ricota et elle devait maintenant se trouver un endroit sympa où elle pourrait souper avec comme seule présence, sa propre existence. Certes, elle avait toujours été une fille solitaire qui préférait être seule plutôt que mal accompagné, mais elle n’était pas contre l’idée de passer la soirée avec un ami, histoire de discuter un peu. Car ces jours-ci, elle voyait surtout des mangemorts, et autres bonhommes tout aussi sombre. Bref, rien de très enthousiasmant. En faite, elle avait surtout besoin d’un petit remontant.
Détrompez-vous : Fynlie n’était pas du genre à se soûler. Elle avait en horreur toutes les sortes d’alcool et buvait un whisky seulement lorsqu’elle était véritablement au bord de la déprime. Ce qui était très rare. Non…elle était plutôt une accro à la caféine. C’était ridicule, mais elle était faite ainsi. Et puis, c’était bien meilleur que ce liquide ambré qui ne fait que piquer la gorge…Beurk!

Poussant la porte à l’encolure en forme de V qui se dressait devant elle, Fynlie pénétra dans l’établissement chaleureux, d’on les arômes appétissants de la bierraubeurre et des cappucinos se répandaient avec délices, faisant saliver même les plus difficiles. Portant peu d’attention aux regards qu’on lui lançait, parfois peu courtois, elle se dirigea vers le bar où elle pris place, à côté d’un jeune homme qui lui rappelait vaguement quelque chose. Sans doute une connaissance. Passant sa commande, elle glissa ensuite son regard sur le comptoir de bois, jouant d’un air distrait avec les échardes dorées qui s’en échappait. On posa finalement devant elle une tasse fumante, qu’elle prit avec délicatesse. Ce ne fût qu’à ce moment qu’elle se souvenu enfin de l’adulte dénommé…Jack? Se retournant vers lui un large sourire aux lèvres, elle dit :

- Vous courrez souvent les pubs à ce que je vois.

Jack ne savait pas quoi faire quand il eut fini son verre. Il ne voulait pas commander son dîner dès le début car si il y avait quelqu'un qu'il connaissait qui arrivait, il serait préparé à manger avec. Pour éviter de manger seul. Malgré son nom de famille, Jack n'aime pas la solitude. Pourtant, c'est cette dernière sa pire énnemie... et il ne le voulait pas. Pourtant il s'occupait comme il le pouvait, mais rien à faire, il n'aime pas la solitude. Il chercha donc un passe temps... Il réfléchit à ce qu'il se passait en ce moment à travers le pays en écoutant la radio du Pub que la propriétaire écoutait très fort, il pensais aux élèves qui avaient pris du bon temps lors de l'après-midi puis étaient retourné au chateau, il pensa a tout... il pensa a la jeune femme qu'il avait vu au bar Des Amis (trou de mémoire ). Puis, désespéré, à bout de force et d'espoir, il pensa à se lever, payer l'addition pour sa Vodka et se dirrigeer vers la sortie du pub. Il n'eut pas le temps de faire la moindre chose de ce qu'il avait prévu qu'il vit une jeune femme très belle arriver. Il l'admira, la scruta, avant de se rendre compte qu'il s'agissait de la femme de l'autre bar ! Il fit semblant de ne pas la voir car elle était méchante avec lui. Il baissa les yeux a son approche. Et elle s'assit à côté de lui. Il semblait que personne ne voulait parler et ce fut elle qui rompit le silence. Ainsi donc cette jeune femme avait retenu son prénom ! C'était très étrange vu l'animosité qu'elle avait éprouvé pour lui. Il dit tout de même :

- Bonjour Madame... puis-je savoir votre nom ? Vous avez malhereusement omis de me le dire hier...

Il savait que la jeune femme allait se rendre compte de ce qu'il voulait dire par là : elle l'avait ignoré, repoussé et carrément "cassé" dès qu'il avait ouvert la bouche. Ce n'était pas un bon souvenir dans la tête du jeune homme qui commanda... un whisky pur feu !

En entendant ces mots, qui cachait peut-être des reproches informulés, la jeune femme eu un sourire qui soulignait davantage ces deux fossettes. Elle se rappelait très bien de la soirée précédente qui avait été, et de loin , le plus étrange moment de sa vie. Sans être soûl, Fynlie était très fatigué ce soir-là, et ces nerfs avaient été mis à rudes épreuves. Ainsi, lorsque l’homme s’était mis à la courtiser ouvertement, elle s’était montrée austère. Mais n’était-ce point normal? Après tout, peu de personne à moins d’être en manque d’attention, apprécierais de se faire questionner et reluquer ainsi, alors que les mangemorts couraient que les rues et que le soleil était couché depuis longtemps. Méfiante, elle s’était donc contenter de se montrer la plus indépendante possible, question de sécurité. Car elle ne pouvait savoir à qui elle avait à faire.Or, maintenant, les choses étaient différentes. Car non seulement il faisait encore jour mais en plus, rare était les partisans des ténèbres qui fréquentaient le Pub Des-Trois-Balais. Et puis…ce jeune homme semblait tout de même sympathique. Néanmoins, elle ne comptait pas se répandre en excuse pour son comportement de la veille qui, selon elle, était tout à fait approprié.
Sans répondre immédiatement à la question qui lui était posé, elle prit la cuillère d’acier qui avait été posé devant elle et la saisissant entre ces doigts fin, s’en servit pour prendre quelques carrés de sucres qu’elle fît ensuite glisser dans son café en quasi-ébullition. Levant finalement la tête vers le jeune homme, elle dit :

- C’était volontaire. Auriez-vous ne serai-ce qu’un intérêt pour moi si je vous aurais décliner mon identité le premier soir?

Il en était ainsi avec Fynlie. Celle-ci s’exprimait bien souvent avec des phrases incomplètes, laissant planer autour de la question une aura de mystère qui n’existait pas. Pourquoi ne pas préciser davantage? Tout simplement parce que, souvent, les détails empêche les idées générales. Or, ce sont de telles conceptions qui permettent l’épanouissement de notre intelligence, et notre soif de connaissance sur l’autre. Mais bon…c’était un peu trop scientifique à son goût, cette réflexion.
Retournant sans cesse dans sa tête son plan d’attaque pour son arrivé au logement, car elle comptait tout de même y retourner, histoire de démontrer à son colocataire qu’il était important de prévenir l’autre en avance, la jeune femme consulta sa montre d’un air distrait. Pour certains, ne pas discuter davantage avec l’homme à sa droite pourrait paraître impoli, voir même grossier. Mais tous ceux qui souhaitent devenir amis avec Miss Walf doivent tout d’abord comprendre qu’elle n’était pas du genre à avoir la notion du temps. Elle répondait lorsqu’elle le voulait. En aucun cas on ne devait quêter sa réponse. Car dans une telle situation, le refus serait immédiat. Voyant que le silence avait assez duré, elle finit néanmoins par dire, non sans s’être pourvu de son sourire :

-Fynlie Walf.

Et voilà. Il y était. Car la partie la moins intéressante d’une conversation était sans doute ce moment : le début. Il lui semblait que les présentations étaient tous les mêmes : morne, triste, sans couleur. Qu’un vaste défilé de nom commun, sans agrémentation ni touche personnel qui pourrait égayer un peu son intérieur. Bref,la monotonie au plus haut point!

Le jeune homme fut interloqué par Fenlye. Cette jeune femme l'avait supris : c'est pourquoi il était interloqué (faut bien remplir une vingtaine de lignes ^^). Il lui sourit quand elle lui déclara qu'elle avait été arrogante pour être plus sympatique a l'avenir. Elle lui donna même son nom ! Il rougit légèrement et dit :

- Ainsi donc, vous avez un coeur ? Hier, au bar de l'amitié, vous m'aviez prouvé le contraire. Mais il me semble que je me suis trompé sur votre personne, vous n'êtes pas la femme arrogante que j'ai cru cotoyer. Je suis enchanté de vous connaitre mademoiselle... heu, Fenlye !

Il laissa son regard se perdre dans les iris magestueux de Fenlye et lui dit :

- Puisqu'on est ici tous les deux, ça vous dit de manger avec moi ?

hj:Je suis désolé...par manque de temps, je vais répondre seulement mercredi. J'éditerai ce message...et en passant, c'est FYNLIE!

» jeune fille perdue, snif [ou]
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