Une heure avant l'aube... [ou]

Le meilleur moment de la journée pour Warwick.
Il n'avait rencontré personne sur le chemin qui menait de la salle commune des Gryffondor jusqu'au chataîgner sous lequel il était adossé.
L'athmosphère était fraiche et humide, un nuage de condensation se formait à chacune de ses respirations. Il ne sentait pas le bas de son uniforme mouillé, trop occupé à profiter de cet instant de calme et de volupté.
Les étoiles étaient encore visibles dans le ciel mais les premières lueurs du soleil chassaient progressivement le ciel d'un noir profond.
Quelques gouttes de rosée tombaient à intervalle régulier des feuilles éparses du grand arbre sous lequel il se trouvait. Plus loin, certainement dans la forêt interdite, quelques bruits trahissaient le réveil progressif de la faune peuplant l'étendue verte.

Warwick, perdu dans ses pensées, commençait à frissonner. Il replia ses jambes et passa ses bras autour afin de conserver la chaleur qu'il dégageait. Le matin allait bientôt reprendre le contrôle du ciel, il soupira, un café brûlant ne lui ferait certainement pas de mal, mais il lui était bien difficile de quitter la félicité de cet instant, aussi éphémère soit-il.

(HJ : c'est mon premier RP, soyez indulgents!)

Patrok Nazari avait dormis toute la nuit dans la forêt interdite. Il était couché là sous un bosquet d'un viel érable malade. C'est alors qu'il y eu un grondement, comme un petit ventre qui crie famine. Puis des gouttes mouillées, comme si il pleurait. Le ciel était triste, c'est cris de rage et ces pleures réveillairent Patrok qui était devenus tout mouillé. L'homme ouvrit les yeux, et se retrouva face à face avec un escargot barbue. Il se redressa subitement surpris par sa fameuse découverte, puis se fracasse le crane contre les racines de l'arbre qui l'avait enveloppé toute la nuit. À peine avait-il reprit conscience de l'incident il c'était endormit.

Puis avec une lueur d'espoire, il se réveilla tranquillement. Patrok inspira tranquillement l'air humide et soyeuse de son lit permanent. Il s'assura de ne pas refrapper la branche qui lui avait été fatale, puis il se redressa silencieusement. Le ciel était toujours aussi sombre, mais sans pleure et cris de rage. Malgrée tout, une légère brise fraîche c'était installé pendant son départ dans le monde du sommeil. L'air rentrait dans ces poumon comme de l'eau glaciale, la circulation facile n'était pas à son avantage. Il prit la décision d'aller prendre une petite marche, rien de plus ni de moins.

Alors qu'il emboîtait le pas, il sentit une précense chaleureuse mais solitaire. Il aboutit hors de la forêt interdit et aperçus le merveilleux chateau de Poudlard, cette école qu'il avait tant aimé.. Il aperçus alors un jeune homme, qui s'auto réchauffait de toute ses force.. Patrok approcha malgré lui l'étranger, il monta dans l'arbre pour avoir une vue complète de son étranger.Puis, il saisi une pomme de l'arbre pour la jeter stupidement sur son interlocuteur.

Warwick s'était enfin résolu à se lever. Il étira ses membres engourdis et fit craquer ses articulations douloureuses, "un vrai grand-père" se dit-il pour lui-même. Le ciel avait perdu son éclat presque surnaturel, la journée avait véritablement commencé.
Warwick eut une impression bizarre, le ciel parraissait s'être légèrement assombri, il regarda l'arbre qui l'avait abrité pendant ce long moment de solitude, juste à temps pour ... voir une pomme lui arriver droit dessus. Trop tard pour l'éviter, il se contenta de dévier sa course.
De là où venait le projectile, un jeune le regardait, goguenard.
Warwick ramassa la pomme, elle était rouge, pas tout à fait mûre encore mais juteuse et ferme, il la frotta pour lui donner tout son éclat et tout en continuant à contempler le fruit, il lança au jeune homme dans l'arbre :
"On la partage"
Puis il se tourna pour le regarder, un sourire au coin des lèvres :
"Tu as l'air aussi frigorifié que moi"
Il ne percevait aucun danger mais il avait machinalement vérifié la présence de sa baguette dans sa poche, ce garçon n'était pas ou plus un élève il en était certain.

Patrok qui avait attendus sagement la réaction de l'élève, ne fût point surpris de le voir réagire calmement. Le ciel devenait d'un mauve envoutant, le vent froid frigorifiait l'arbre. Patrok descendit brusquement lorsque l'élève lui offrit de partager sa pomme avec lui, il accepta d'un signe de tête affirmatif.

Lorsque l'élève lui demanda si il y était gelé, Patrok fit un signe de tête silencieux affirmatif. Puis, il prit la pomme et la découpa à l'aide d'une lame bleu très brillante. Il lança la deuxième partie à son invité puis il prit la parole

-Je suis Patrok Nazari, Rebelle et tu es ?

Il prit une bonne grosse bouchée dans la pomme puis attendit sa reponse en mastiquant lentement.

Warwick attendit de voir Patrok croquer la pomme avant de faire de même, son couteau lui donnait un étrange impression, pour s'y être lui même beaucoup intéressé, il savait ce que certaines lames étaient capables de faire.
"Warwick, Warwick Lawton. Elève ici à Poudlard comme tu dois t'en douter"
Il ne voulait pas poser directement à cet individu la question qui lui brûlait les lèvres, de plus pour leur sécurité respective, il valait mieux sortir du champ de vision direct du chateau. Les intrus n'étaient pas très bien vus à Poudlard.
Warwick termina sa pomme d'une bouchée et cracha les pépins au sol
"Faisons quelques pas ensemble, veux-tu" ?

Patrok respirait tranquillement en reguardant Warwick qui semblait songeur. Il se redressa tranquillement en jetant le coeur de pomme au bout de ces bras, puis il se retourna vers Warwick qui lui demanda si il voulait bien aller prendre une marche.

-Biensûre

Il s'étira tranquillement puis commença à marcher pas à pas, vers la forêt interdite. Comme Warwick, Patrok était sûre que les professeurs n'apprésairent guère de la visite inconnus et armé. Mais Warwick n'avait rien à craindre, Patrok ne lui voulait aucun mal.

Ils commencèrent à marcher, s'éloignant peu à peu du chateau. Warwick se décida à le questionner sur la raison de sa présence, même si il n'imaginait pas vraiment voir le jeune homme se confier au premier venu.
"Alors mon cher Patrok, je suppose que tu n'es pas venu ici uniquement dans le but de partager une pomme avec un élève du chateau ?"
Il regarda intensément l'individu, attenrif à sa réponse où à tout geste de sa part.

Patrok qui emboîtait le pas derrière Warwick arriva finalement à son niveau, alors qu'ils marchaient paisiblement Warwick posa une question à Patrok:
Alors mon cher Patrok, je suppose que tu n'es pas venu ici uniquement dans le but de partager une pomme avec un élève du chateau ?.. Non effectivement, il était venus se ballader lorsqu'il l'a tout simplement croisé.

-Je marchais tout simplement, alors je t'ai vus et tu avais l'air sage alors je suis venus te voire

Il reguarda Warwick songeur, comme si il attendait quelque chose. Puis il passa par-dessus une roche pour ne pas trébucher en continuant sa marche.

L'expression amusa Warwick, "sage" l'était-il vraiment ? Si on faisait référence à son comportement dans le chateau, peut-être pas mais la vraie sagesse, celle qui permet de mieux ressentir les choses lui parraissait pouvoir correctement le qualifier.
Le garçon parraissait songeur, presque nonchalant, Warwick continua l'interrogatoire, sur le même ton aimable :
"Et que fais-tu de tes journées, à part marcher là où bon te semble ?"
Il soupira
"Bien que j'envie la liberté qui semble t'habiter"

Patrok reguardait Warwick qui semblait troublé par le fait de la sagesse. Bref, il ne s'en préocupa pas, car il devait continuer à reguarder droit devant lui. Évitant toute attaque imprévus, peu importe il conaissait bien cette forêt. C'est alors que Warwick lui demanda si il passait ces journées à marcher, Patrok ricana.

-Pas du tout, aujourd'huit j'avais le goût d'être tranquille

Il baissa la tête en soupirant puis détourna son reguard vers Warwick qui soupira une autre phrase "Bien que j'envie la liberté qui semble t'habiter"..
Patrok reçus ces mots comme des compliments, il adorait être libre, sans chef mais dans un clan.

-Oui j'adore être dans le clan des rebelles, nous n'avons pas de chef mais nous sommes bien organisé

Warwick éprouva soudainement un sentiment d'excitation, mais n'en montra rien. Les rebelles, entité difficile à cerner que bien des gens critiquaient sans les connaître : il avait devant lui un de ses représentants qui paraissait prêt à se confier, du moins en partie.
Warwick avait toujours vu son avenir au ministère, en tant qu'auror médicomage, mais les rebelles était un sujet qui le captivait principalement de par la liberté qui émanait de leur groupe.
"Comment peut-on organiser un groupe sans système de grade ou de responsabilité ?"
Cette question était sincère, Warwick accordait beaucoup d'importance à la structure de toute chose, le chaos d'un système sans grade l'effrayait et l'attirait à la fois.

Patrok sentit l'excitation soudaine de Warwick, comme si il était très curieux et qu'il voulait savoir quelque chose à tout prix. Patrok fût agacé par son anonyma, une certaine accommodation à un changement de personnalitée.
Il se tourna vers Warwick et dit tranquillement
-Je suis le chef des Rebelles en personne
Il prit le temps de bien penser à se qu'il allait dire puis poursuivit calmement
-Nous avons un code d'honneur, une manière de faire que je ne te révèlerer pas
Il continua à marcher en reguardant la forêt; ils s'enfonçaient de plus en plus loins dans la forêt interdite, et le temps avait vite passé. L'obscuritée s'installait tranquillement tandis que l'atmosphère se réchauffait.

Warwick s'engouffra dans la brèche qui venait de s'ouvrir, cela commençait à devenir intéressant, très intéressant même. Un léger sourire au coin des lèvres, il fit remarquer à Patrok :
"Je croyais que les rebelles n'avaient pas de chef ?"
Son but n'était cependant pas d'indisposer son compagnon, il continua sans attendre la réponse de Patrok :
"Comprends bien mes propos, vous avez beaucoup d'ennemis, je n'en fais pas partie. Au contraire je cherche à comprendre votre mouvement et à définir son rôle. Si je le considère comme légitime tu trouveras en moi un allié de choix"

Le soir c'était completement emparé du ciel, la noirceur envahissait le moindres son, moindres geste. Peu importe le temps se refroidissait encore plus et la lune était lumineuse dans le ciel. Les branches craquaient comme des os, les feuilles mortes gisaient là, sur le sol de terre et de racine. Alors que Patrok marchait calmement, la voix de Warwick le ramena à la réalitée
"..n'avaient pas de chef ?..", "comprends bien mes propos, vous avez beaucoup d'ennemis, je n'en fais pas partie. Au contraire je cherche à comprendre votre mouvement et à définir son rôle. Si je le considère comme légitime tu trouvera en moi un allié de choix"

Patrok fronça légèrement les sourcies, il cherchait quelque chose mais il ne savait pas trop comment s'y prendre. Patrok coupa sincèrement le lien de confiance en disant simplement

-Écoute nous avons un chefs qui a été choisit par démocratie, tout les rebelles ont votés pour ma candidature. Alors je suis se que je suis, Patrok Nazari chef des Rebelles

-Nous n'avons pas autant ennemis que tu le crois, nous avons un plan. Sans vouloire te sous-estimer nous n'avons pas besoins de consideration de la part d'un élève de Poudlard

Ils continuèrent un certain temps sans qu'aucun d'eux ne parlent. Warwick n'avait pas été vraiment étonné des propos tenus par Patrok, il comprenait les réticenses de celui qui se présentait maintenant comme le chef des rebelles. Le sujet était en partie clos, les incohérences du discours de son compagnon lui avait donné envie de passer à autre chose.
"Bien, je comprends ta position et n'insisterai pas"
Quelques minutes s'écoulèrent, Warwick reprit la parole :
"C'est une très belle lame que tu possèdes, équilibrée et acérée à ce que j'en ai vu"
Ils s'étaient profondément enfoncé dans la forêt et les ténèbres avaient envahi les lieux ainsi que les coeurs des deux individus. Warwick avait, par sécurité, rapproché sa main de sa baguette car la forêt n'était pas interdite par hasard

Warwick et Patrok s'immobilisèrent au même moment. Sur leur gauche, un cri étouffé venait de retentir. Les profondeurs de la forêt étaient dans les ténèbres, il était impossible de distinguer quelque chose de leur position.
Les sens en éveil, Warwick dégaina sa baguette et se baissa légèrement, le visage tendu.
Il se déplaça juste à côté de Patrok et lui chuchotta, le visage toujours fixé vers la source du bruit :
"Quoique ce soit, on le contourne et on va voir ce qui se passe, c'est peut être un élève"
Il attendit confirmation du rebelle.

Patrok qui sentait le froid envahire brusquement la forêt reguardait tout autour de lui. Il observait Warwick tranquillement en réflechissant, puis le vent glaciale se mis à s'acharner sur eux d'une manière anormale. Il allait accellerer le pas alors que Warwick répondis à sa méfiance, Patrok fût ravis par la politesse qu'il avait employé face à sa personne.

Alors qu'il respirait lourdement l'air inconfortable, le jeune élève lui fût une remarque plaisant sur sa magnifique dague qu'il aimait tant. Il la sortit brusquement, la lame de sa dague était brillante et scintillante de mille feux. Un bleu nova envahissait la lame en fesant sortire de la petite fumée bleu. Patrok pointa alors une petite ouverture sur sa dague et dit d'une magnaire heroïque

-Tu vois sa ? J'insere ma baguette dans se trou et ma dague ne deviens pas qu'uniquement une arme blance, mais également ma baguette en même temps.

Le vent se fesait de plus en plus froid, des voix étranges grondaient à travers les arbres.Alors qu'ils marchaient pas à pas, Patrok sentit son compagnon porter sa mains à sa baguette;bon réflexe car Patrok sentait le danger.

Warwick avança d'un pas, Patrok à ses côtés. Le son qu'ils entendirent alors leur glaça instantanément le sang : un hurlement aigü et long, comme une plainte surnaturelle. Plus aucun doute ne subsistait sur la nature de la créature qui se trouvait quelque part devant eux.
Warwick se replaça à quelques centimètres de l'oreille de son compagnon, qui lui aussi semblait avoir compris ce que signifiait le hurlement :
"Il doit être à 200 mètres, peut-être moins. Ca va compliquer le plan, impossible de contourner un loup-garou."
Le garçon sentait ses entrailles se glacer, il se retrouvait au milieu de la forêt sans possibilité de prévenir le chateau, en compagnie d'une personne dont il ne connaissait pas les capacités et face à un loup-garou. Il essaya de garder la tête froide et de trouver des solutions. Warwick avaient certainement beaucoup de capacité intellectuelles et grâce à elles il avait toujours pû se sortir des pires situations, cependant malgré toute la théorie qu'il avait accumulé sur l'art du combat il n'avait jamais eu à mettre en pratique son savoir. De plus la majorité de son entrainement avait été axé sur les sorts défensifs et de soin, il ne connaissait que quelques sorts d'attaques dont l'efficacité pouvait être mise en doute dans cette situation. Son cerveau tournait à toute vitesse et jugeait tous les scénarios qui lui semblaient possibles. Il arriva rapidement à une conclusion
"Je ne pense pas qu'il soit sage de se battre en terrain inconnu face à ce monstre, trop de menaces potentielles. A mon avis on l'immobilise et on se replie"

Patrok qui avait été alerte tout au long de la promenade ne s'attendait pas du tout à tomber sur un loup-garou. Il aurait peut-être dût prévenire le fait possible d'une attaque, mais il était trop tard. Mais bon, il ne pouvait pas reculer. Il ricana asser fortement et dit simplement

-Je n'ai pas peur de se loup garou

Patrok pointa sa dague bleuté et brillante vers le loup garou qui grognait, stupéfait d'une certaine manière car Patrok crût voir un morceau de chaire pendre des crocs luisant de sang du loup-garou.(J'ai le droit, j'ai le débloqage sort informulé)

Sans que Patrok parle, un jet vert sortit de sa dague pour aller se fracasser contre le loup garoux qui émit un léger gemissement, il se tourna vers Warwick pour voire sa réaction face au sort inpardonnable qu'il avait utilisé.

(HJ : rhoo dézinguer un loup-garou en un coup, c'est un peu facile là )
Ah ces rebelles, présomptueux et téméraires... Tout le contraire de Warwick. Son compagnon venait d'attaquer de face la créature, le sortilège impardonnable qu'il venait d'utiliser sous sa forme informulée semblait avoir fonctionné. Ce comportement aurait beaucoup amusé, voir plu à Warwick dans d'autres circonstances, mais au milieu de la forêt interdite cela relevait de l'inconscience. La bataille n'était pas achevée car les bruits provoqués par le combat avaient attiré d'autres espèces et l'acte de Patrok risquait de transformer cet endroit en bourbier pour les 2 sorciers. A quelques mètres, on entendait déjà résonner le bruit de quelque chose qui courait vers eux.
Le comportement dangereux de Patrok avait fait perdre tout sentiment de confiance à Warwick, il décida de couper court. Peut-être se retrouveraient-ils sous de meilleurs hospices.
"Protego totalum"
Warwick lança le sortilège là d'où venaient les bruits afin de ralentir ce qui s'y trouvait.
"Il est temps de nous séparer je pense, ce fût un plasir Patrok, j'espère à une prochaine fois. Il faudra que tu me remontres cette lame"
Il n'attendit pas la réponse de son companon et fila en direction du chateau, la baguette levée.

» Ton heure est venue?[FE Lupin`]

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