....... [FE]

Tout va si vite, pourtant Kyo est certain de bien connaître la Miss, il ne veut qu’elle et personne d’autre. Comme il a toujours était sur de lui, cette fois il ne s’agit pas de vantardise. Cette jeune personne si douce qui est Junko, on dira que c’est la fée qu’il attendait depuis si longtemps. Un ange, tombé au bon moment. C’est vrai qu’il ne devrait pas oublier dans quelle situation il est en ce moment. Plus particulièrement à propos de Valentine, elle se manifestera, un jour ou l’autre, Jun’ devra savoir, savoir le plus horrible secret de Kyoschiro. Le Serdaigle s’obstinera toujours à dire que c’est trop tôt même s’il a une très grande confiance en la jeune femme. Tout ceci il y pensera plus tard, demain peut-être… Ou les autres demain, son esprit a fait le vide depuis le premier battement de cils de la gamine. Malgré les apparences, Junko semble être la moins sage des deux, si mignonne, si douce et gentille. C’est qu’elle cache bien son jeu la petite Hitoshi… Un vrai amour. Trop mignon. Certes Kyoschiro, a fait tout pour qu’elle n’hésite plus. Son petit regard ténébreux et ses petites paroles, rien d’innocent. L’ampleur du baiser devait déterminer le reste. Cette fougue qui s’empare de Junko, quelle déesse. C’est sans aucun regret qu’il se laisse prendre au jeu, c’est parti d’elle ou de lui ? Les deux sont un peu coupable… Le Serdaigle, lui, est certain de ces mots, il est réellement amoureux d’elle, comment le sait il ? Très bonne question… Le garçon est censé ne rien connaître de l’amour qu’il soit familiale, maternel ou même avec une jeune personne. Ce changement, ce parfum, ce sentiment, ces cinq sens, tout est clairs, ce n’est pas des paroles en l’air. Il n’a pas honte de lui dire, il lui prononcera les mots qu’elle veut autant de fois qu’elle voudra. La fraicheur de la jeune fille, la rend unique, comment pourrait il lui faire le moindre mal ? Maintenant, c’est vrai il est devenu dépendant… Etrange conclusion pour une âme perdu et solitaire. Un seul sentiment le pousse à agir, les actions, les gestes, ce soir les deux tourtereaux sont gâtés. Bien qu’au début de la soirée ce n’était pas vraiment préparé de terminer de la sorte. Une belle façon de se réconforter. L’élan de Junko, entraine complètement Kyo dans la danse sous le charme de la belle. La main féminine dans ses cheveux bruns et l’autre glissant sur son torse. Ce songe de vient de plus en plus parfait. Le cœur du jeune homme fait des bonds de plus en plus prodigieux dans sa poitrine, ce désir évolue fortement. Quelle jolie façon de lui répondre. D’un très léger souffle, Kyoschiro déclare à sa compagne.

- Je suppose que la réponse est « oui »…

Il eut à peine le temps de sourire que le désir reprit son court normal. La main masculine glissant contre la joue anciennement rosi de la demoiselle pour revenir sur son cou. S’emparant de la taille de Junko avec l’autre, la rapprochant de plus en plus de lui. Continuant de s’approprié ces lèvres plus d’une dizaine de fois, sa main tombant jusqu’à l’épaule de Jun’… Il descendit pour lui offrir un baiser dans le cou… Craintive ou pas, lui en tout cas, c’est l’un de ces points faibles, Junko ne le sait certainement pas encore, lui non plus d’ailleurs… !..

Il n’y a pas de mi-mesure avec les sentiments. Ca peut aller vite. Ou doucement. Certes, dans le cas de ces deux jeunes gens, tout semble avoir été accéléré. Mais pour leur plus grand bonheur. Jun’ sait qu’il en existe Un. Et ce Un, c’est lui. Kyoschiro. Alors elle ne compte pas ralentir la cadence. Bien qu’une partie d’elle souhaite que la Miss Hitoshi mette le ‘hola’. Cette maudite conscience que personne n’écoute au final. Conscience qui prend, on ne sait pourquoi, la voix dure du paternel.
Junko oublie tout. Ces soucis. Sa vengeance. L’heure bien trop tardive. Il n’y a que Kyo’ et elle. Les mots que le jeune serdaigle lui a confiés et avoués raisonnent encore dans son esprit. ‘ Je crois que je suis amoureux de toi’ Comment ne pas fondre ?! C’est impossible. Elle ressent encore ces frissons qui l’ont parcouru quand il l’a dévisagé avec ce regard ténébreux. Le genre de chose qu’aucune fille ne résiste. Surtout pas Jun’ qui est complètement envoûtée par ce jeune McIan. Pourquoi il lui fait autant d’effet ? C’est donc ça ‘Aimer’. Sourire bêtement. Soupirer d’aise. Etre sur un nuage. Avoir des bouffées de chaleur. Et cette drôle de sensation qui chatouille le ventre, c’est le désir ? Difficile de trouver des repères. Mais c’est comme tout. Ca s’apprend. Et c’est avec lui qu’elle veut tout connaître. Tour savoir. Le bon comme le mauvais. Elle sait qu’avec Kyo’, l’interdit [comme disait son Père] sera doux et tendre.
La soirée n’est donc qu’à son commencement…
L’élan de la Belle n’est pas refusé par le jeune homme. Bien au contraire, il se prête volontiers au jeu. Ce qui ravie Jun’. Elle avait peur de passer pour une fille non sage… Bah... Elle cachait bien son jeu. Mais il ne dit pas non également. Lequel des deux à pousser l’autre à craquer ? Ils sont ‘coupables’. Point.
Deux secondes de répit. Le temps que leurs lèvres se détachent de leur jumelle pour laisser Kyo’ souffler sa phrase. Junko eut un doux sourire à ce moment là. Il a tout compris. Elle lui offre un ‘Oui’ fougueux. Belle réponse n’est-ce pas ?! Mais qu’il ne s’inquiète pas, elle finira bien par lui dire avec des mots. Mais pas de suite car le jeune homme reprend les devants. Un brin d’initiative qui ne laisse pas indifférente Jun’.
Toute fragile dans ses bras, elle se laisse rapprocher. Laissant pour le moment ses mains à leur place. A présent, ils se retrouvent bassin contre bassin. Jun’ s’emporte par les élans de tendresse de son petit homme. Répondant aux baisers qu’il lui offre avec une douce passion. Délicate. Elle frissonne à ses contacts. Ferme les paupières. Il est proche le vertige. Bien trop proche. Surtout quand il lui embrasse le cou. Grand Dieu ! Il veut la faire craquer une nouvelle fois ! Elle se crispe légèrement dans ses bras. Non pas de peur ou de douleur, mais bien de plaisir. Sa respiration n’est pas du tout régulière. Elle n’est pas craintive sur cette partie du corps, mais super sensible ! Malgré tout, elle tend son petit cou d’avantage tout en essayant d’oublier cette vague exquise qui lui pique le ventre, ondulant légèrement contre lui...
Comme l’ envie de lui dire ce qu’elle ressent pour lui devient de plus en plus fort. Des envies de crier des « Je t’aime » à en faire étouffer la pièce. Mais rien ne sort de cette bouche entrouverte. Juste des légers soupirs d’aise à faire rougir les personnages des tableaux ! Puis ses mains se réveillent. Emportée par cette douceur. Elles quittent les cheveux bruns, le contact de la peau nue pour se rejoindre sur les boutons du haut de pyjama pour les défaire lentement. Un chouilla maladroite, trop chou. C’est qu’il y a toute une ligne immense de petits boutons bien chiants… On connaît la patience de Junko. Si ça ne va pas assez vite, elle risque de tout arracher…

Certes, la soirée ne fait que commencer, et encore loin d’être encore terminer. Aucun des deux ne souhaiterais que cela se termine tout de suite. La moindre présence autre que la leur pourrait tout gâché et tout arrêter. Bien évidemment la réputation de méchant de Kyoschiro serait un peu ruiner mais cela n’est pas le plus important. Voilà, pourquoi, le garçon aurait souhaité autant que la jeune femme un endroit plus intime et plus isolé. En même temps, ils n’avaient pas prévu ce qu’il vient de ce passé et le reste de l’histoire reste à venir. La chaleur de la cheminée l’apaise qu’à peine, fait-il froid ou chaud ? Qu’est ce qu’il en sait ? L’heure à aussi arrêter de tourner depuis un petit moment, ce calme n’est pourtant pas froid, il ne le sent qu’à peine. Junko offre cette chaleur et cette ambiance si spéciale. Cette impression d’être aimer pour soi même est si agréable et touchante. Quoique très sensible Kyoschiro ne pourra jamais se lâcher en publique, il est bien trop prétentieux et fier pour ça ! … Peut-être que Jun’ arrivera à le calmer de ce côté là, mais cela risque d’être fort périlleux. Revenons à nos moutons ou plutôt aux plaisir des moutons voyeurs… [Hm… ] Entre bisous, baisers et caresses, jamais auparavant le jeune homme n’avait approuvé un tel plaisir et en vouloir plus encore plus toujours plus. C’est étrange, comme si une force venue de nulle part le pousse à agir… En même temps, le charme de la demoiselle ne doit pas en laisser beaucoup de marbre. Kyoschiro lâche un petit sourire en coin de lèvres, que la gamine sort ce fameux « oui ».. Trop mignonne ! Tellement amoureuse.. ! Le Serdaigle aurait mieux fait d’attacher sa ceinture de sécurité quand il s’est assit sur le canapé, la demoiselle s’accroche à lui en offrant un doux baiser, le gamin bouscule de travers se trouvant sur le dos dans le canapé des Serdaigle avec Junko sur lui. Exprès ou pas ? Va savoir… Jolie image, la demoiselle commence ensuite à se venger sur ses boutons de pyjama… Tient donc ! Elle aime le travail acharné la petite. Ont dirait bien qu’elle n’est pas d’une patience folle. Le préfet affiche un regard plus un sourire à faire pâlir Junko, le garçon glisse ses mains sur celles féminine relevant au peu les épaules pour baiser le bout du menton de sa petite fée. Aucune magie dans tous ces gestes et pourtant… C’est une autre sorte de magie va-t-on dire !
Peut-être aurait-il dû l’aider à détacher tous ces petits boutons, non, c’est plus marrant quand c’est elle. Le garçon se contente de fixer la jeune fille sans la lâcher du regard… Toujours ce petit sourire coquin. Caressant la paume de main doucement du Jun’ avec le doigt. Quel est chou quand elle à l’air sérieuse ! En même temps, Kyo a bien envie de faire un petit complexe masculin, c’est les gars au-dessus… Mais bons, laissons, cela ne peut d’importance pour le moment…

Qu’il est doux ce songe. La chaleur de la pièce. Le silence. Les tableaux vides. Un feu qui pétille dans la cheminée. Le cadre est presque idyllique. Tout semble s’être figé pour quelques heures inoubliables. Deux jeunes gens amoureux seuls [ou presque…] au monde. Aucun des deux n’avaient pensé qu’ils allaient en arriver là. Jun’ ne regrette pas d’avoir fuit pour se réfugier dans la salle commune. La journée qui semblait être un cauchemar sans fin, bascule enfin dans le rêve. Et quel rêve ! Son Kyo’, si envoûtant. Là. A présent allongé sur le dos. Et elle, petite demoiselle aux regards si doux, assise sur lui. [D’ailleurs, elle n’a opposé aucune résistance quand il est ‘tombé’ sur le divan, l’entraînant avec lui. Bien au contraire, elle s’est agrippée à lui d’avantage tout en souriant. Lâchant même un petit rire bien vite étouffé par un baiser qu’elle lui aura volé.]
Si quelqu’un les surprend en ce moment même, ils risqueraient gros. Des heures de colles sans nulle doute… ou pire ! Mais Jun’ n’y pense pas. Elle a tout oublié depuis un bon moment. Le lieu où il se trouve. Comment elle s’appelle ! C’est fou l’effet qu’il a sur elle. Il lui dirait ‘Viens, on s’enfuit’ Elle le suivrait sans poser de questions. Jun’ serait même capable du pire comme du meilleur pour n’être jamais séparé de son Ange. Mais revenons à ce canapé, qui abrite les deux jeunes amoureux. Junko et sa rangée de boutons. Vous n’imaginez même pas l’effort dont elle fait preuve en essayant de ravaler son impatience à chaque fois qu’elle loupe un minuscule bouton. Pourquoi il a mis ce haut ?! Un garçon ne dort-il pas torse-nu ? Dans tous les feuilletons moldus, oui. Rha. Elle est sérieuse notre Hitoshi. Lorsque que Kyo’ lui jeta un regard so…. piou ! Jun’ ne put s’empêcher de rosir. Si en plus il l’a regarde comme ça, comment voulez-vous qu’elle y arrive, hm ? Pas étonnant qu’elle rate des boutons la miss. La bouille a reprit de son sérieux. Le bout de son nez légèrement froncé. Les joues à semi-gonflées. Et la bouche pincée est mise en avant. Une moue craquante. Le baiser qu’il lui offre sur son menton lui fit manquer de peu l’un des derniers trucs ronds. Ces prunelles se levèrent pour le fixer avec une extrême douceur. Un sourire doux en prime. Puis elle reprit son travail minutieux, ce n’est pas le moment de la déconcentrer ! Malgré les caresses de Kyo’ sur ses mains, les frissons que cela lui procure, elle réussit à détacher le haut bleu du pyjama masculin et l’ouvrir doucement de chaque côté. Elle est charmée par ce qu’elle voit. Wow. Elle ressent à nouveau cette bouffée de chaleur en elle. Il est tellement beau son Kyo’, difficile de ne pas rester insensible. D’ailleurs, elle ne reste pas des heures à contempler ce torse, ces mains viennent caresser du bout des doigts la peau. Redessinant les contours des muscles. Elle se sent violemment rougir. C’est la première fois qu’elle ose toucher, du moins, aussi intimement, le buste d’un garçon. C’est doux et puissant à la fois. Après la vue et le toucher, Jun’ se penche vers lui pour venir déposer de doux baisers juste à la naissance de sa gorge. Savourant ce nouveau contact délicat. S’enivrant en même temps de son odeur…

Han ! Bien sur s’ils se font surprendre, ce rêve se terminera aussi vite qu’il est venu… Kyoschiro piquera d’ailleurs certainement sa crise si cela arrive...surtout si c’est un élève. La vie est faite pleins de « si » de supposition qui ne ce réaliserons même pas. En ce moment même, Kyo, le gamin avec des questions incomprise et renier, n’y pense même pas, difficile à croire que rien ne se mélange pour une fois dans sa petite tête. Non, tout est fluide, clair… Une caresse, un baiser, le rythme cardiaque qui s’accélère, pourtant ce n’est pas ça qui va l’arrêter… Le bonheur, l’envie d’être avec elle. Le préfet est bien loin maintenant de ses méprises envers les autres, de son arrogance et de sa méchanceté gratuite. Le souffle de cette créature l’a prit au piège. Qu’est ce qu’il doit faire ? C’est quoi la suite de l’histoire ? Personne ne l’explique vraiment… Le gamin tente de chercher une réponse dans les yeux de sa compagne malgré les signaux visuels qu’il lui jette sans arrêt… La demoiselle tente désespérément de défaire les nombreux boutons de pyjama de notre jeune Serdaigle. Le parcours du combattant. C’est étrange, mais cela le fait sourire tendrement. Quelle moue délicieuse. Kyoschiro ne semble pas vouloir simplifier la tache à Junko, au contraire, il à l’air d’apprécier amplement la situation. Il se rapproche une fois par-ci et fois par-là pour baiser le menton, le cou…de la demoiselle pendant son travail manuel. Lui qui est de nature plutôt méfiante, il se laisse complètement faire par Jun’… Si ce songe devait ce terminer maintenant, Kyo ne ce le pardonnerait pas. Au contraire, les mains féminines se jettent délicatement sur son torse, comme un petit garçon il est maintenant… Junko est si douce. Si proche, l’un de l’autre… Comme une pulsion. Junko lui offre de doux baisers, le garçon se sent presque partir, la tentation est si brutal et réel. Jun’ est la nouvelle merveille de ce monde. Kyo, est un garçon qui a vécu une enfance malheureuse, il oublie même un défaut physique dont il souhaite cacher l’existence. Comment peut-il oublier ça ? Oublier ce tatouage… Dans le bas du dos, pas un tatouage, une malédiction plutôt, lancé par ces idiots de sang purs que sont les McIan, ils détestent tous Kyo sauf sa mère qui est doté d’une grande naïveté envers sa famille. Pourquoi à t il oublier cela ? Si Jun’ "le" voit, elle va comprendre ce que veut dire ce tatouage… Du japonais… Pourtant il n’y pense pas, plus ! La belle, ne doit pas le savoir du moins pas maintenant, il aurait trop honte, si pathétique dans sa faiblesse. Pourtant il s'y risque sans s’en rendre compte. Maudit Garçon. L’eurasien se laisse emporter par sa fougue et ses sentiments envers la Serdaigle dans une vague complètement aveugle. Portant sa main, réchauffant la joue de Junko, le garçon se redresse en embrassant comme un fou sa belle. Rien ne semble vouloir le faire changer de direction. Il glisse sa deuxième main dans les cheveux rebondissant de la demoiselle toujours sans ce soucié de rien. Presque assis maintenant, Junko toujours collé à lui, d'ailleurs de plus en plus collé… Le garçon ne semble pas vouloir terminer ce baiser long et captivant. La main masculine glissant maintenant jusqu’à la taille de la jeune fille, cette chaleur envoutante…

Le baisé fou. Tout s’accélère. Enivrant. Qui aurait pensé que Kyo’ avait lui aussi des élans de fougue à partager ? Pas notre petite Junko qui, sous la surprise, répond aussi ‘sauvagement’.
Ils sont à présent bien trop proche pour pouvoir s’éloigner. Les caresses. Le contact de la peau. Tous les sens sont en alerte, piqués par un désir qui se fait de plus en plus pressant. Qui peut dire comment tout cela va se terminer ? Pas eux en tout cas. Ni l’un ni l’autre savent exactement la suite… Ca se découvre. Se cherche. C’est trop doux. Si quelqu’un a le malheur de tout briser en entrant dans leur jardin secret, Jun’ serait trop déçue, et c’est certain qu’elle accompagnerait Kyo’ dans une engueulade à réveiller tout Poudlard. C’est leur moment. C’est tout.
Jun’ est loin du protocole japonais. Le truc bien strict qu’avait instauré la famille Hitoshi depuis des décennies. Une jeune fille doit respecter certaines règles de politesse, de soumission, de respect envers la famille et surtout, de l’honneur. Junko avait grandi dans ce genre d’ambiance presque étouffante. Ecoutant les conseils de sa mère. Les obligations de son père. La pureté chez une jeune fille, symbole d’une confiance aveugle pour son futur époux. Rien que des bêtises que Jun’ tentait d’obéir à la lettre. C’était mal vu de fixer un garçon dans la rue. Ou pire ! Simplement de toucher quelqu’un… Alors ce qu’elle est en train de faire en ce moment même… Ouille. Autant dire que papa Jiro aurait la beuglante facile et Kyo’, bah, il aurait passé un mauvais quart d’heure. Mais tout ceci est bien trop loin pour qu’elle y pense. Complètement emportée par l’élan de tendresse folle que lui offre son Ange. Elle en perd tout repère. Basculant dans un vertige qu’elle ne contrôle plus. Son cœur s’emballe lui aussi. Raisonnant dans chaque membres de son petit corps comme un métronome. Guidant ses gestes, parfois maladroits, mais avec une douceur exquise. C’est sans réfléchir, et poussée par une pulsion, que Jun’ quitte quelques secondes la bouche de son compagnon pour enlever le haut de son pyjama ‘H.K’, l’envoyant valser dans un coin de la pièce. Découvrant ainsi son buste fin aux courbes délicates. Une peau satinée habillée d’un simple sous-vêtement noir aux dentelles fines. C’est en voyant la bouille de son Kyo’ qu’elle se mit à rosir légèrement. Pour ne pas prendre ses jambes à son cou et fuir la salle, elle se réfugie dans ses prunelles. C’est là qu’elle puise toute sa force, tout cet amour qu’elle a pour lui. Elle lui offre un sourire angélique avant de se plaquer contre lui et de s’emparer de sa bouche avec fièvre. Jouant des lèvres et de sa langue, l’embrassant comme jamais elle l’avait fait auparavant, ses mains glissant dans le dos masculin pour le caresser du bout des doigts…

La réponse de Junko est toute aussi fougueuse et délicieuse, l’élan qui unis ces deux jeunes est assez surprenant, car si ont les voit séparément ils n’ont pas l’air d’avoir grand-chose en commun. Pourtant le destin et les rencontres font bien les choses. Dire qu’il a encore quelques semaines de cela, le jour précis de leur rencontre Junko avait déjà sauté au cou de Kyo.. Pas dans le sens que vous penser, mais pour l’étrangler.. Hm.. Méchant garçon avec les jeunes filles *Baka..* Même Jun’ est consciente du mauvais caractère de son compagnon, faut croire qu’elle apprécie ce mauvais côté malgré tout. Peut importe les gestes, les pensées, les retournement de situation et même leur dispute furtive dans les cuisines.. L'important c'est ou ils sont, les sentiments nouveaux nées ou bien cachés et leur pulsion. Accro, oui, c'est bien le mot. Junko pourrais même s'en vanter, le préfet ne sait jamais accroché à personne, il n'a d'ailleurs même aucun ami, ..Repousser le monde et se retrouver seul, accomplir le destin imaginez par son grand père était vraiment la seule chose envisageable comme avenir. Triste et médiocre destin. Cependant Kyoschiro n'est pas un être insensible comme la plupart pense, Junko en n'est une très belle preuve.. Peut-être que grâce à elle, il pourra briser ses murs qui l'entourent. Briser cette haine!

Baiser, caresse, le garçon ne se lasse pas de toucher, glisser sa main en douceur sur la peau féminine, c'est comme toucher un songe.. Il y a encore quelques semaines, si ont lui avait annoncer ce changement, il aurait rit moqueur.. Le contact de Jun' toujours aussi doux et excitant. Plus il avance dans sa contemplation, plus la pulsion est puissante. La Serdaigle est devenu une déesse parmi les princesses, elle peut rougir sans aucune honte, lui ne pourra que l'admirer et la vouloir. Poursuivi par son sentiment de contemplation, hypnotisé par la belle. Ses mains se guidant par elles mêmes, les sens semblent s'agiter de partout sans queue ni tête. Cette bouffée de chaleur. Mon dieu, Jun'.. Tu es si belle! Ce baiser fougueux interminable, quel est le fou qui ne ressentirais rien.. Cependant pendant quelques secondes minimes la demoiselle quitte ce lien avec lui.. Sans qu'il ne puisse réagir assez vite, la Japonaise ôte son haut de pyjama fessant disparaitre ce chat avec une tête énorme en un souffle. Le cœur battant, plus brutalement et plus fort, les pommettes rougissantes de sa compagne sont si chou. Kyo à bien envie de se laisser tomber allant vers son destin, câline, la jeune femme se jette à nouveau sur ses lèvres comme sur une proie... Le Serdaigle ne se fait pas prier, il accueil cette fée comme il se doit. Comme un fou, il est maintenant, c'est malin, ce sentiment de fougue de plus en plus puissant. Les mains masculines glissant jusqu'à la taille de la demoiselle en douceur. Embrassant sans fin la belle, jusqu'à descendre en dessous des lèvres, au menton, dans le cou,… Jusqu’à atterrir prés de cette brettelle noir. Il s'arrête subitement, levant les yeux, regardant longuement sa partenaire, aucun sourire, seulement ce regard ténébreux celui du désir comme celui de tout à l'heure. Une main masculine au niveau de la taille de la jeune femme et l'autre sur la cuisse maintenant, il la fit basculer en arrière en douceur, emportant les lèvres de Junko par la même occasion. Je l'annonce le petit caprice masculin est terminé, le voilà maintenant au dessus d'elle. N'arrivant pas à détacher ses lèvres des siennes, jouant avec ce sentiment. Terminant encore une fois dans le cou de l'asiatique, ce souffle, cette respiration, ce désir..

Il fait à présent bien sombre dans la salle commune. Pour seul faisceau de lumière, les quelques rayons lunaires qui percent ici et là. Jouant avec les ombres, dessinant des voiles féériques au-dessus du canapé. Le feu dans la cheminée ne crépite plus, faute d’alimentation et de flammes. Mais la chaleur qui règne dans cette pièce devenue cocon secret, semble persister. Douce. Couvrant comme un manteau les deux corps et âmes de cet endroit.
Le maître du lieu reste tout de même le silence. Coupé de temps en à autre par des souffles incontrôlés. Guidés par un désir devenu presque insupportable…
Il est vrai que ces deux jeunes là n’ont pas grand chose en commun, mis à part leur passion respective pour les Moldus. Mais c’est peut être cette différence qui les lies. Il faut de l’eau pour calmer un feu ardent. Kyo’ a son caractère bien spécial mais cela ne dérange aucunement Jun’. Ne faut-il pas de l’Amour pour apaiser une Haine ? Quoiqu’il en soit, ils ont autant besoin l’un de l’autre. Qu’importe les disputes. Les différents. Ce sentiment est si puissant qu’il est capable de tout écraser et d’oublier. Et un couple sans chamailleries… C’est qu’il y a anguille sous roche. Un truc dans le genre…

Accro ? C’est le moins qu’on puisse dire. Depuis un moment déjà, ils se dévorent les lèvres à les brûler. Qu’importe ! La passion et la fougue sont plus fortes que tout. Sans oublier la dominante pulsion de désir qui les pousse de plus en plus vers l’interdit. Le contact de Kyo’ est toujours aussi puissant et intense. Jun’ frissonne entre ses bras. Sous ses caresses et baisers. Elle l’admire encore et encore… Le touche. Le goûte. Oui, c’est un songe tellement doux. La jeune demoiselle est complètement folle de lui. Il est si beau. Si tendre. Difficile de ne pas fondre totalement. Tout se mélange subtilement. Les mains et caresses. Les lèvres et baisers interminables. Les souffles entrecoupés. Elle ne fait pas prier et se laisse volontiers embrasser. Tout son petit corps lui appartient à ce jeune homme. Elle eut un sourire quand il a quitté sa bouche pour son menton… son cou… sa bretelle… Comment ne pas rougir devant le regard ténébreux qui lui offert à ce moment là ? Impossible. Une bouffée de chaleur l’avait envahie. Jamais de la vie, elle s’était montrée aussi dénudée devant quelqu’un. Mais elle n’a pas honte. Non. Pas même une gêne. En le voyant si envoutant, Jun’ ouvrit la bouche pour lui murmurer des mots mais elle fut à nouveau embrasser de plus bel, pour son plus grand bonheur. Agrippée à lui, petite poupée de chair, elle se laissa tomber en arrière. Le cœur battant. Il est cent fois plus impressionnant au-dessus d’elle. Oh Kyo’… Tu es magnifique !
Le baiser fou reprend de sa passion. Les mains délicates de la jeune asiatique glissent sous le tissu bleu pour caresser le dos masculin. Le bas de ses reins. Sa jambe se frotte doucement contre celle de son ami. Et le désir qui lui chatouille de plus en plus fort le bas de son ventre… Ne ressent-il pas cette envie de ne faire plus qu’un ? C’est comme un vertige délicieux que Jun’ ignore plus. Elle le désir plus que tout.
Puis il redescend à son cou. Frissons. Soupirs. Ses mains remontent sur la nuque du jeune homme pour l’agripper en douceur. Caresser ses cheveux bruns. Tendant son cou. Se cambrant légèrement sous lui. Pressant son bassin contre le sien. Comme des signaux cachés pour l’inciter à d’avantage. Puis entre deux souffles saccadés, une pulsion. Des mots murmurés qui glissent hors de sa bouche sans qu’elle puisse contrôler quoique se soit… Brisant ainsi et pour un court instant, le doux silence…

-Je t’aime…

Des mots si tendres qui résonnent encore dans sa tête. Comme un soulagement. Elle a enfin réussi à le lui dire… Les paupières s’ouvrent doucement pour baisser son regard et se réfugier dans le sien. Jamais elle ne sait senti aussi heureuse qu’à cet instant. Un sourire angélique et rayonnant à ses lèvres bien roses…

Laissant aisément, la gamine, le toucher, le caresser... C'est un comble pour une personne comme lui. Les contacts humains sont quasi inexistants chez lui. Jun' est la première en fait, il n'a pas du tout honte de ça. A vrai dire, c'est à peine si l'idée l'avait effleuré. Rien ne s'est calculé, Junko... Ouais, c'est la jeune fille qui là aider gentiment quand il s'est prit cette idiote de table basse... Elle a quelques points communs avec lui, sans plus... C'est avec l'une des très rares avec lequel, il à désobéi au règlement, oui, préfet exemplaire... Jeune demoiselle apparemment réservé, calme et plutôt sensible. Kyo aimait bien la façon dont elle à de voir les choses, de s'exprimer, et ce petit côté tigresse... Mais sans plus, après leurs aventures dans les cuisines et le départ fuyard de Junko, le garçon ne compter pas vraiment la revoir. Après tout, que peut bien faire une fille comme elle, avec lui ? Kyo n'est pas du genre amoureux et gentil comme le mérite la miss. Pourtant une mauvaise rencontre les a fait se revoir. C'est à ce moment là, que Jun' est devenue plus qu'une simple amie, c'est aussi dans ce genre de situation que l'ont apprend vraiment à connaitre ses alliés. Kyo', Jun', Junko, Kyoschiro... Aucuns des deux ne c'était exprimer sur le fait d’une attirance... Certes des gestes, cependant trop timide, jusqu'à ce soir!... Le garçon désir plus que tout son amie, il là désir en tant que femme. La japonaise glissant ses mains sous cet horrible pyjama bleu, le dos, face caché de Kyo, cette partie de son physique porte un lourd secret qu'il tente encore et toujours de caché. Bien que cette fois ci, ce secret semble avoir disparu de ses pensées. Il la laisse, alors qu'en premier temps, il aurait du la repousser... Oui, Kyo voudra, souhaitera regretter. .Jun' ne le connait pas plus que ça, Kyo à une face caché bien plus sombre que celui du méchant préfet, ça! Ce n'est qu'une façade pour se voilé la face. Téméraire, très téméraire Kyo! Bien sur, il continuera de caché longtemps cette face, seulement pour protéger Junko. Ça ne serait pas bon pour elle de savoir, et non plus pour lui de lui dire…
Leurs jeu, en deviens de plus en plus sérieux... L'interdit, semble proche et saisissable... Oui à porté de main!..
Ce baiser dans le cou, tout les sens en alerte... Histoire sans queue ni tête! Il ne comprend ce qui lui arrive, ni cette force qu'il possède avec elle, mais c'est bien là! Ça reste, ça deviens plus fort! Le rythme du cœur, continuant de plus bel. Cette chaleur deviens personnel, lui et elle, cette odeur ne fait plus qu'une.
Le silence vint à être brisé si soudainement, Kyo se stoppe si soudainement dans son élan... Baissant les yeux sur Junko d'une très grande lenteur... Il ne dit rien, pas un seul mot de sort de sa bouche, comme paralysé. L'eurasien, observe la belle avec ce regard de niais. Pathétique, mon garçon! Quand une fille dit ça, il faut faire plus vite TILT !!!!!!! Des mots rares, des mots précieux, Kyo, le sait, il ne les entend jamais... Ceux de Junko sont sincères. Le garçon est beaucoup trop fier et arrogant pour s'en rendre compte, et pourtant il possède une très grande sensibilité... Relâchant un peu ses muscles, il se penche doucement sur elle, jusqu'au niveau de son cou, le gamin remonte en douceur jusqu'à l'oreille de la jeune fille. Il dit simplement "Merci" dans un murmure. C'est un mot qu'il ne prononce jamais ou peut-être quand il sera plus mature, il arrivera à le dire naturellement. Profondément touché par l'aveu de la jeune fille, c'est la première fois qu'il reçoit autant d'amour. Et c'est aussi, la première qu'il se pense moins différent et plus proche du commun des mortels. Le garçon remonte un peu pour s'emparer dans lèvres de sa compagne. Fougueux, l'envie de ne faire qu'un est de plus en plus intense... Glissant en douceur sa main droite sous la brettelle de la japonaise...

‘Je t’aime…’ Ca résonne dans sa petite tête. Encore et encore. Glissant dans tout son corps, comme une sorte de fluide. Sincèrement, elle ne pensait pas le lui dire. Tout s’est échappé de sa bouche sans qu’elle puisse retenir quoique se soit. Ou transformer ou ajouter un mot. Comme le mot ‘bien’ à la fin. C’était si inattendu que la sincérité n’a pas été transparente pour le coup. Et la vérité est toujours bonne à entendre. Confidence, sur divan. C’est la première fois qu’une telle chose lui arrive. Et elle a aimé le lui dire. C’est ce qui compte n’est-ce pas ? En ce qui concerne le retour. Le ‘merci’ soufflé dans le creux de son oreille. Ca lui a procuré des frissons le long de son échine et une bouffée de chaleur. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il lui dise de suite. Il est bien trop … euh… garçon pour ça. Mais il aurait pu s’abstenir de la remercier parce qu’elle l’aime. Il est trop chou. Junko ne peut s’empêcher de sourire avant d’avoir les lèvres à nouveau embrassées. Pour son plus grand bonheur.
Et la ronde des baisers poursuivent la danse. Rendant le jeu beaucoup plus intime. C’est ce qu’ils cherchent non ? Découvrir l’Autre pour le regarder. Le toucher. Le goûter. Tout les sens en alerte. Le cœur qui s’emballe dans la poitrine. Le sang qui boue dans les veines. Poussant toujours plus vers l’Interdit. Oui… Il est à porter de main. Alors pourquoi ne pas basculer ? Non. Il faut prendre le temps. Ne rien gâcher. Les mains délicates du p’tit bout de femme s’éternisent dans le bas du dos masculin. Berceau d’une puissance. Elle ne sait pas qu’il y a sous ses doigts la marque que souhaite lui cacher Kyo’. Elle la caresse pourtant. Doucement. Ne se doutant à aucun moment qu’elle joue avec un secret. Il devrait pourtant se douter qu’un jour ou l’autre, tout va être démasqué. Peut être même ce soir. Quoiqu’il en soit, ils sont bien loin de tout. Loin de cette salle commune. Loin de cette école. Et des familles. Kyo’ & Junko. Qui l’aurait cru ? Pas la jeune Hitoshi. Et la surprise est d’autant plus belle. Même si parfois, elle se demande ce qu’il lui trouve. Il est préfet. Respecté de tous. Populaire malgré lui. Et elle ? C’est juste une simple élève. Une petite chose toute mignonne dont le seul souhait est de venger sa mère. Pourtant, l’amour est là. Si fort. Les unissant.

Oh Kyo’… Tu as les lèvres délicieuses ! Difficile de les quitter pour un menton. Pourtant, Jun’ s’y risque. Glissant sa bouche entrouverte sur le cou de son petit homme. Soufflant contre sa peau avant de la dévorer avec passion. La main masculine sous la bretelle lui procure une légère brûlure. C’est chaud et doux. Frissons. Mais elle n’oppose aucune résistance. C’est même tout le contraire. Ca lui donne de l’élan. Ces mains quittent la chaleur du bas des reins pour s’échouer sur le postérieur du jeune serdaigle. Non pas sur le tissu… mais sous, dans un premier temps. Car ensuite, ses mêmes petites mains remontent sur l’étoffe pour la faire glisser complètement sous les pommes masculines. De quoi surprendre le jeune McIan. Et elle aussi… Mais qu’est-ce qui lui prend ? Elle qui était si réservée. C’est Kyo’. Sa présence. Son corps et son regard si envoûtant. Il la fait fondre et perdre la tête ! Mais la petite brunette ne s’arrête pas en si bon chemin avec les mots. Ses pensées. Ses désirs. Elle décale légèrement son dos du coussin, se soulevant pour remonter sa bouche vers la mâchoire, puis la joue pour terminer sa course proche de l’oreille de Kyo’. Et c’est sans rougir qu’elle lui susurre un ‘J’ai envie de toi…’ Elle ne pouvait pas être plus explicite. Sa frimousse recule légèrement pour être face à la sienne. Sourire timide et délicat aux lèvres. Elle le dévisage sans retenu. Cherchant un signe dans ses prunelles brunes. Sa force. Il est tout simplement magnifique. ‘Faible soupir de femme trop amoureuse’ avant de se pincer lentement les lèvres l’une contre l’autre. Quant à la fameuse bretelle, elle n’est plus son épaule. Elle pend tout simplement dans le ‘vide’…

Moment d'allégresse..., il reste toujours aussi doux et chaud. La pénombre et la nuit se sont emparées de la salle commune des Serdaigle depuis un bon bout de temps déjà, même le feu de cheminée est mort... Pourtant rien n'interpellent les deux jeunes gens, même pas le vent bruyant par contre la pluie, elle à cesser depuis un bout de temps. Personne ne serais dire depuis comment de temps, ils sont là. Tout les deux! Le seul souvenir d'une junko, triste à disparu... Et d'un Kyo énervé, évaporé aussi. Maintenant coller, l'un à l'autre, situation presque animal. Les perles brunes du garçon restent figer sur sa partenaire pendant quelques secondes de réflexion... ou quelques secondes très pensives. Encore quelques heures, le mot "aimer" ou "amour" ne signifié rien du tout pour lui. C'était le simple désir des "faibles", même avoir confiance en quelqu'un, c'était... pathétique! Peut-être est ce vrai ? Alors, il était jaloux de tout ces gens heureux, de ceux qui s'aiment, de ceux qui se disent amis... Jamais, le sentiment de l'amour ne lui à était attribuer auparavant... Le secret qu'ose toucher la demoiselle, est tabou chez les McIan, l'une des raisons que Kyo à de les haïr... D'ailleurs, il ne faut pas douter, si Junko reste proche de lui, elle va finir par le connaître "ce secret", mais pas par lui, Kyo a trop honte pour avouer quoique ce soit... Son courage l'abandonne toujours dans les mots pourtant il est loin d'être lâche. La japonaise continue ses caresses, parfois en touchant légèrement le secret familial ou en passant délicatement dessus. Le jeune homme est devenu tout simplement muet, inconscient, il la laisse faire... Comment pourrait-elle deviner quelque chose ? En ce moment, elle ne peut rien voir... Dans tout les cas, c'est clair, ce n’est pas ce soir ni demain que le mystère Kyo' sera résolu!
L'eurasien frissonne légèrement quand la jeune fille quitte sa cible pour le cou du garçon. Dieu, ce qu'il est craintif! Cependant les gestes de la Serdaigle, le rende de plus en plus impulsif et désireux, de continuer plus loin. Seulement, il voudrait être sur, qu'elle le veut aussi... Bien que pour le moment, elle ne semble pas du tout contre. Kyo ne connaît rien aux voix et gestes de l'amour, il n'a même pas encore ses seize ans... C'est cette pulsion qui était encore un nombre x, avant que tout commence. Etonnamment, Junko le pousse un peu plus loin, elle tente de passer à la vitesse supérieure. Surprit mais pas tant que ça en faite, ça l'arrange... La demoiselle est très consciente de ce qu'il va se passer et lui aussi. Le petit bout de femme, se relève très légèrement dans toute sa splendeur. Admiratif de la beauté de la demoiselle. Presque bouche bée. Elle lui souffle ses quelques mots dans un profond désir, phrase courte qui signifie beaucoup... Ce regard, à en faire craquer plus d'un... Si belle, si douce... Petit pincement de lèvres. Une mini photo mémoire se symbolise dans son esprit. La réponse du garçon sera pourtant rapide, elle aura ce qu'elle désir, le gamin ne peut rien lui refuser, surtout qu'il le veut aussi. Prunelles de fée toutes chocolatées accro à lui. Kyo' profite de ce moment, ne la lâchant pas du regard, il ôte cette stupide veste de pyjama, il se rapproche du visage de Junko... Les lèvres collés au sienne au passage, un léger jeu de langues, rapide, le garçon la fait glisser à nouveau sur le cousin durant tout le long du baiser. Kyo' en toute innocence, glisse prudemment et en douceur sa main masculine dans le dos de sa compagne. Dégrafant délicatement ce tissu noir. Sa main glisse à nouveau sur l'épaule de la jeune femme cherchant aveuglement cette brettelle baladeuse tout en douceur, il ôte toute cette dentelle hors du bras de Junko, puis complètement... Le préfet fini par quitter les lèvres de la jeune femme, pour descendre au niveau du menton..du cou... Il se glisse entre la poitrine de sa partenaire la bouche entrouverte, il à aussi d'ailleurs les mains heureuses. Il s'enivre complément de l'odeur de sa partenaire. Le cœur toujours battant, cela ne va t il jamais s'arrêter ?... Il n'a pas envie que ça s'arrête, toucher embrassé le corps de sa miss. Il est accro, il aime ça. Junko, arrête d'être trop belle! Si envoûtante... Pourtant le gamin partit comme il est ne s'arrête pas là, oh que non! Glissant un peu plus bas encore, encore et toujours encore... Caressant, embrassant le corps de sa partenaire à en perdre le souffle. Kyoschiro s'attarde un peu sur le nombril de la belle, à croire qu'il souhaite faire durer le jeu plus longtemps... Il finit par tomber... non, pas sur un os, mais un petit bouton dessin imprimer d'un chat blanc aux allures angélique, il retient le bas de pyjama de la demoiselle. Au placard Hello Kitty, Kyo' gagne toujours la bataille donc, A dieu..! Hm... Le garçon avec un petit geste de la main détache délicatement ce fameux bouton.... Fessant glisser le tissu sur les jambes féminines. La petite fée comme une tigresse fondit sur lui, Oo mince, c'est lui en dessous maintenant, c'est peut-être mieux comme ça! Il apprécie largement les mains féminines glissé sur sa peau, la gamine adopte la même situation que lui, avec ses gestes à elle. Hm... Le jeune homme ne sait jamais sentit aussi comment dire... nu dans cette pièce! Elle lui offre un baiser par la suite, Kyo' se redressant un peu en profite après pour lui soufflé doucement à l'oreille "Qu'est ce que tu as attend, petite fée ? Je suis à toi...". Par la suite, le garçon et la fille, la femme et l'homme, s'enlacèrent... jusqu'a ne faire plus qu'un. L'interdit est franchit... Rien ne sert de reculer c'est trop tard, Kyo offre à la jeune femme... Il s'offre lui même : la virginité. C'est certainement de même pour elle. Le chemin de la jubilation et de l'extase, se franchit peu à peu... Le souffle accélérer... Pour le reste, tout reste intime *...

Le temps s'écoulent, le plus qu'un fini par redevenir deux... Non, deux Serdaigle tout innocent. Le souffle irrégulier, il faut le reprendre en douceur... Le garçon toujours en dessous, sa partenaire reprend son souffle s'enlaçant un peu et toujours contre lui. Quel étrange sentiment... Qu'est l'amour!...

Hj/ * Pour toutes les petites âmes sensibles qui ont osé lire... ! >.<

…Moment de plénitude. Là. Dans une salle commune. Sur un divan, imbibé d’amour. Deux corps enlacés, sous la pâle lumière de Dame la Lune. Il est doux cet instant de coton. Où les souffles se font saccadés et faibles. La tête vidée de toutes pensées. Et le cœur dans les étoiles. L’instant de l’interdit fut franchit. Offrant l’un à l’autre le petit bout de soi. Ce fut tout simplement magique.
La nuit est bien avancée. Le vent souffle toujours. La pluie a même reprit du service. Et alors ? Ca ne semble pas atteindre notre couple amoureux. Ils sont toujours sur leur nuage. Savourant les derniers frissons de l’extase. L’un contre l’autre. Comme une promesse muette. Junko a les pommettes légèrement rosées. Une joue posée contre l’épaule de son Kyo’. Un sourire faible à ses lippes mais qui rayonne comme un soleil. Ses perles brunes fixant l’imaginaire et laissant le bout de ses doigts caresser le cou de son petit homme. Soupir d’aise. Difficile de dire quelque chose après un moment aussi… unique et magique que celui qu’ils viennent de partager. La première fois sonne souvent comme une mauvaise note. Mais pas pour eux. Ce fut une danse parfaite. Bien accordée. Complètement …Waw ! Les pensées de la miss sont tournées sur l’être qui se trouve sous elle. Son Kyo’. Son Ange. Elle repense aux minutes précédentes. Leur élan de tendresse. Les mots ‘je t’aime’ qu’elle a murmuré plus d’une fois entre deux caresses. C’est donc ça ‘aimer’. Appartenir à l’Autre sans tabou. Embrasser sans retenu, à en perdre haleine. Et cette drôle de sensation qui ne quitte pas le ventre et emporte l’être tout entier vers le paradis. Le cœur qui s’emballe toujours… Elle en frissonne encore. Et pour lui ? Qu’est-ce qu’il peut bien ressentir ? Il est silencieux également. Jun’ n’ose pas lever les prunelles vers Kyo’, pour le moment. Elle se contente de regarder vaguement droit devant elle. Le corps épuisé et légèrement tremblant. Quant à la pièce, si l’on regarde de plus près, on pourrait presque croire qu’un ouragan est passé. Entre les vêtements dispersés à droite à gauche et les coussins envolés…
Les minutes passent… Belles… Miss Hitoshi reprend peu à peu ses esprits. Là. Sur le corps nu de son Kyo’. Les jambes entrelacées. Les battements de cœur similaire à ceux de son partenaire. Quelques baisers déposées sur la peau masculine, à l’aveuglette. Doux. Des gestes tendres vaguent sur lui, des caresses le long du buste pour redessiner les contours de chaque muscles. Elle pourrait rester là des heures et des heures… Oubliant le monde. Juste sentir son contact. Etre avec lui, tout simplement. Et pourquoi pas recommencer ? (xD) Elle se sent à nouveau pleine de désir pour le jeune homme… Eh bien Junko ! Calme jeune fille. Il faut lui laisser du temps. Ca reste un homme, Kyo’. Minimum trois heures de repos. (^^)
…Puis le froid de la salle commune commence à piquer les deux êtres. La chaleur des corps ne dure qu’un temps. Et c’est Jun’ qui sent la morsure glaciale en première. Zut ! Alice est … très bonne question. Pas grave. Elle se bouge un peu. Juste de quoi tendre le bras pour prendre la couverture qui n’a pas valsé au sol mais sur le dossier du divan. La jeune fille glisse sur Kyo’. Emportant avec elle le tissu en grosse laine. Son dos est ainsi caché. Le jeune serdaigle de même. Les paumes jointes sur le buste masculin, le menton posé sur ses mains, Perles brunes braquées sur lui, Junko dévisage son petit ange. Un sourire pincé. Adorable. Qui fait naître sa fossette sur sa joue. ‘Clic’ photo souvenir. Il est tellement beau sous la lumière de la Lune. Elle est complètement admirative. Ca se voit, elle a un espèce d’air niais sur sa frimousse de clown. Total heureuse !

-…Bonsoir toi…[C’est tout ce qu’elle a trouvé à dire après ce long silence !] Tu n’as pas trop froid ? [C’est mieux]

Murmure la jolie délicate tout en caressant du bout de ses orteils les chevilles du jeune homme. Bon, elle aurait pu trouver autre chose à dire. Mais elle dit souvent ce qu’elle pense à haute voix. Même si les premiers mots qu’elle voulait lui souffler était un ‘je t’aime’, mais elle s’est retenue. Faut avouer que pendant qu’ils se sont donnés l’un à l’autre, elle les a souvent susurré. De peur de le saouler ou de lui faire tout simplement peur, elle s’abstient. Tite miss. Trop chou. Avec ses pommettes légèrement rosées. Et ses prunelles pleines d’étoiles dès qu’elle le regarde. D’ailleurs, elle baisse un instant le regard… Piou Kyo’… Arrête d’être aussi sublime… Elle risque de craquer une nouvelle fois !

Le corps reposer, les yeux reste figer vers le haut va savoir ce que le Serdaigle observe… Pas Junko, à vrai dire il ne fixe rien de précis, le garçon reste pensif après cette belle et si soudaine aventure… Pourquoi n’a-t-il rien vu venir ? Non, il ne regrette pas... C’est juste, enfin c’est compliquer dans la tête de Kyoschiro, il ne se comprend pas lui-même alors on se demande ce que fais Junko, ici. C’est qu’une apparence qu’elle aime, pourtant il à bien envie de devenir cette apparence pour elle. Ah ! Que c’est compliquer, il est sensé être un corps sans âme, mort depuis déjà un bout de temps.. Et Junko arrive. Kyo pensif à tout ceci, il ne sait pas si c’est une très bonne chose pour elle. La miss pose à nouveau son regard sur lui, parfaitement épanoui, lui ne peut s’empêcher de lui sourire. Ouais enfin, faut pas qu’il devienne trop trop proche, c’est un peu raté sur le cou… Mais au bout d’un moment, il sera obligé de lui mentir et ainsi la faire souffrir. Ce n’est pas ce qu’il souhaite. Oui, ce sourire à peine joyeux, il fera croire qu’il est fatigué.. Oui, c’est ça fatigué ! Encore heureux qu’elle n’est pas remarquer cette marque… car elle en dit beaucoup sur le garçon, là, maintenant, il se sent encore plus stupide d’avoir prit un tel risque. La gamine continue à le toucher, Kyo reste silencieux, malgré lui, il n’a pas envie d’arrêter cette relation plus que naissante… Junko est différente, oui, c’est ça ! Hm… Faut avouer quand ce moment il est un peu perdu, il était bien partit pour jouer son rôle pourtant… Le garçon observe Jun’ prendre cette couverture, la fraicheur ne l’avais pas plus atteint que ça. Il essai de stopper ses pensées noires, oubliant la voix de son grand père lui disant ce qu’il doit faire ou ne pas faire… Le préfet sort peu à peu de son nuage pour être complètement avec Junko cette fois ci. Seulement il sait qu’il à besoin de réfléchir, de méditer à tout ce qu’il c’est passé cette dernière semaine… Car ça commence à faire beaucoup de choses. La jeune fille, commence à parler pour dire « bonsoir », ah bon ! Ouais, enfin on va rien dire en plus la soirée va être bientôt fini peut être, à vrai dire Kyo n’a aucune notion du temps en ce moment même. Que doit-il dire ? Il ne sait pas comment elle pourrait prendre sa réaction… Mais bon ! Il agira moins maladroitement la prochaine fois.

- Non, merci, c’est bon ! …euuhh… Jun’..

Attend stop ! Il ne va pas lui dire « Je dois partir avant que tu découvre la vérité sur moi… », Han ! Mais ça le ferais pas du tout. Il ne cherche pas à la fuir mais en même temps si… Quelle galère ! Pourquoi c’est si compliquer ?... Il s’étranglerait bien lui-même à cet instant précis. Le Serdaigle se redresse un peu…

- Je crois que tu devrais retourner à ton dortoir.. Et moi aussi… ! Oui, enfin il ne faudrait pas qu’on se fasse prendre…

Oui, c’est une excuse comme une autre pour partir. Mais en même temps c’est vrai, malgré lui, Kyo n’a pas très envie que tout ça ce sache… En plus vu la curiosité attrayante des élèves, ça craint après ! Espérons qu’elle ne prenne pas sa comme un rejet, ce n’est pas ce qu’il veut… Il a seulement besoin d’être seul, peut être qu’elle comprendra…

Lueur d’une nuit que ne tardera pas à se terminer. Des étoiles commencent à s’effacer peu à peu dans le ciel, à présent sans nuages. La pluie a cessé. Le vent a le rhume. Tout est enfin calme. Idem dans la salle commune. Enfin, pour le moment. Junko ne sait pas vraiment quelle heure il peut bien être. Tout ce qui préoccupe la petite demoiselle, c’est ce jeune homme. Là. Qui la regarde. Tout semblait si beau. Si simple finalement. Tomber dans le vertige d’un interdit. Offrir le petit de soi. Etre dans un cocon, comme flottant dans les airs. Un rêve bleu quoi. Mais le parfait n’existe pas. Et ça, Jun’ ne l’a pas encore bien compris. Car la réalité ne tarde pas à lui attraper la cheville pour la tirer à nouveau dans le froid de la pièce. Et la dureté des paroles de son compagnon. ‘Paf’ c’est comme se recevoir une gifle en pleine figure. Elle ne s’attendait pas à ces mots là. ‘Tu devrais retourner dans ton dortoir’ … ‘il ne faudrait pas qu’on se fasse prendre’… Il la voit, la bouille surprise qu’elle lui offre ? Elle ne comprend pas pourquoi il lui balance ça au lieu de dire des ‘C’était magique’ ou autre chose de plus gentil qu’un ‘Retourne dans ta chambre’… C’est quoi le truc ? Il voulait juste prendre du bon temps et puis baste Junko… Du moins, c’est ce qu’elle pense. Un peu de bon temps et hop, au placard. Si c’est de la maladresse, c’est plutôt réussi. Car la jeune Hitoshi devient bien vite pâle pour le coup. Elle aimerait lui sauter à la gorge. L’étrangler. Mais elle ne peut pas. Les sentiments sont bien présents. Et elle commence à comprendre ce que signifie vraiment l’étendu du verbe ‘aimer’…Comment peut-on avoir mal tout en aimant quelqu’un ? C’est quoi se fichu paradoxe ? Elle est passée où sa plénitude ? Envolée. En guise de réponse, elle n’a trouvé qu’à dire un petit…

-Oh…

Et c’est tout. Le mot à peine audible en plus. Et comme si elle se sentait ‘sale’, non plutôt mal, elle se redressa tout en posant un pied au sol. Couvrant son petit corps de la couverture. Puis le second pied suivi son jumeau. Jun’ se retrouve bien vite debout, emmitouflée dans le bout de tissu en laine. On lui voit juste les prunelles brunes et le haut de sa tête. Une touffe de cheveux en bordel. Elle regarde à peine Kyo’ tout en bougeant ses lèvres.. mais rien ne sort.. alors elle baisse les yeux avant de faire un demi-tour. Regagnant la cheminée tout en ramassant au passage ses fringues ici et là. Malgré la tristesse qu’elle ressent, Jun’ ne peut pas lui en vouloir… Elle aussi n’a pas spécialement envie que ça se sache. Mais il y a des manières et façon de le dire… Surtout après… voilà quoi ! Bref. Légèrement encombrée, elle se tourne une seconde fois vers le jeune serdaigle. Sa bouille entièrement visible. Une moue triste… Elle tente un sourire. Léger soit-il. Histoire de rendre le départ moins… déchirant. On lui a dit que tout avait une fin. Bonne ou mauvaise… Même si celle-ci est amère, elle se souviendra toute sa vie de ce qu’il vient de se passer sur ce divan. Et sans rajouter quoique ce soit, elle se dirige déjà vers les escaliers pour remonter en douce dans son dortoir…

Le garçon fidèle à lui-même, ne rajoute rien sur ce qu’il a dit, il ne revient même pas dessus. C’est comme ça et bien c’est tout, c’est bien naïf de la part de la demoiselle de croire qu’elle connaît déjà Kyo… Quoiqu’il en soit, le jeune homme n’avait pas l’attention de la blessée. Il n’a seulement pas utiliser le vocabulaire qu’il fallait. Maladroit certes ! Il n’en c’est pas forcément rendu compte tout de suite. C’est vrai qu’il pense rarement aux sentiments des autres, est ce de sa faute ? Ont lui à apprit à être comme ça, bien que le Serdaigle, souhaite être différent des membres de sa famille. Ce n’est pas évident à vrai dire. Pour en revenir à Junko, le gamin ne capte même pas le regard qu’elle lui porte… Oui, elle peut lui en vouloir, cependant si elle commence à agir comme ça avec lui, c’est pas la peine de continuer… Kyoschiro est toujours partager, un jour, il va vous aimer, celui d’après, il vous assassinera par derrière. La jeune fille lâche une espèce de « Oh », Kyo ne tourne qu’à peine le regard en sa direction. Il ne dit rien. Elle à l’air assez agacé ou déçu peut être… Cependant lui, il ne dit toujours rien. Tout ça n’a rien à voir avec cette soirée, seulement la Serdaigle ne la certainement pas comprit. Il ne la rejette pas, non, pas pour le moins du monde. Il serait fou de jeter la personne qui lui porte un quelconque intérêt quoique.. Kyo n’a jamais trop apprécié qu’on se rapproche trop de lui. La demoiselle prit la décision d’écouté ce qu’il a dit ont dirais… Ou c’est qu’elle plus envie de le voir pour ce soir ! Peu importe la raison pour Kyoschiro…
Il observe Jun’ faire son petit bout de chemin sans rien dire. Elle non plus ne pousse pas un mot. S’il y réfléchit bien, Junko aurait du lui sauter au cou comme la dernière fois. Arf ! C’est comme même un drôle de couple, qu’ils font !
La demoiselle essai tout de même un sourire, un peu timide sur ces lèvres… Kyoschiro lui rend à peine, se rendant compte de ce qu’il vient de faire. Elle commence à disparaître. Soupire. Tant pis, il se rattrapera la prochaine fois enfin peut-être… Quelques minutes passent depuis le départ de Junko, de nouveau sur pied et tout ce qui va avec. Le garçon avec un coup de baguette fait un rangement dans la salle commune. Histoire de voilà quoi ! Il finit par partir lui aussi…