Vive le vent, vive le vent...[ OU ]

Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hivers… Lalala-lalala….Les chants se perdaient dans les aires, les gens souriaient et étaient joyeux. Tout le monde était d’humeur à la fête et tout le monde avait des cadeaux aux mains….Quel triste paysage !
Noel ! La période la plus attendue de l’année et la plus joyeuse autant chez les sorciers que chez les moldus...Une fête sainte destiné à honorer la mémoire d’une certaine personne et qui sert à ressemblé les familles au cours d’un bon dîner. Idée stupide !
Malicia avait horreur de cet période, elle se demandait vraiment à quoi elle servait. Passée des heurs à table s’offrir des cadeaux qui nous plait pas… Cela était plus une perte de temps.
Alors qu’elle se baladait tranquillement à Près-Au-Lard la jeune femme n’en pouvait plus de voir les gens grouillés de partout alors elle alla dans l’allée des Embrume qui était un peu plus calme et pourtant il y avait encore l’esprit de noel…

N’ayant que d’autre choix, la jeune femme se contenta d’être confronté à cet esprit joyeux la jeune femme continua son chemin doucement. Elle avait mit sa capuche qui recouvrait son visage d’une ombre pour que personne ne la reconnaisse puis elle s’engagea dans une ruelle pour entré dans un bar miteux.
Elle y passa toute sa journée quand le jour sombra peu à peu pour faire place à la nuit la jeune femme se décida à sortir.
Elle sortit dans le froid glacial de la nuit et pu constaté une ruelle vide et froide, son univers ! Alors elle arpenta doucement la ruelle quand elle sentit soudainement une autre présence...Comme si elle était suivit.

« Oh Malicia... »

La voix avait été rauque, pleine de cet Allemand accent qui était le sien. À quelques pas derrière elle se tenait Alvin, ses lèvres dévoilant son terrifiant sourire, les mains dans les poches d'un pantalon sans prétention, aux genoux usés par le temps. Un chandail de laine, tricoté par sa mère de son vivant, cachait son corps maigre. Il ne semblait pas avoir froid. D'où venait-il, où allait-il ? Nul ne le sait, nul ne veut le savoir. Il était là. Comment connaissait-il la jeune Mangemort ? De sa personne, il connaissait tout le monde du côté sorcier. Il l'avait vu sortir du bar, un des nombreux bar louches qui peuplaient l'Allée des Embrumes, et n'avait pas hésité à la suivre. Il connaissait bien les Mangemorts... et ils le lui rendaient bien. Doucement il s'avança, diminuant l'écart entre la demoiselle au visage redoutable et sa personne. Sa main glissa sur sa taille, avant qu'il ne la replace dans la poche de son pantalon.

« La lune flatte ton visage, mais te découvre aux yeux des dangereux. Des gens peu recommandables traînent ici,

rakkaus. »

Mot doux en finlandais, un petit « chérie » qui sonnait étrangement bien dans sa bouche, le R roulé et le K adouci. Un clin d'oeil acocmpagna ses paroles. Elle était peu recommandable elle-même, disciple du Lord Noir. Lui ? Oh, qu'elle pense ce qu'il lui plaise... Alvin n'y portait guère d'attention. Il se stationna à côté d'elle, réglant ses longues enjambées sur les siennes, une mince distance les séparant, son visage souriant pas même tourné vers le sien. Dans le noir et le froid, on ne voyait de lui que ses dents blanches et parfaites.

Quelques pas de plus dans le froid qui pourtant était si doux en cette nuit bleuté. La lune qui éclairait la ruelle et rendait les lieux mystérieux et plus intéressant puis ce silence, chose presque impossible à avoir et chose qui berçait Malicia dans sa petite route. Elle profitait enfin de sa journée car c’est à ce moment que personne ne traine dans les rues… Un pure bonheur pour elle !
Mais pendant tout chose calme, il y a toujours une autre chose venant pour troublé son repos et là c’était un étrange bruit qui résonnait étrangement dans la tête de la jeune femme. Quelqu’un venait de l’appeler, quelqu’un qui connaissait son prénom…
C’était pour elle impossible, la jeune femme ne disait jamais son prénom et son nom encore moins. Il n’y avait que le Lord noir qui le savait et le reste ce comptait sur les doigts de la main… La mangemorte stupéfaite se tourna intrigué bien décidé à savoir qui était le mystérieux homme qui semblait la connaître alors qu’elle non…

-On se connaît ?!

Demande t’elle d’un ton sec mais sans une once d’agressivité, juste ce qu’il faut.
Elle était là sans bouger regardant le jeune homme alors s’approcher en faisant de grande enjambé, l’homme semblait être un peu plus vieux qu’elle, il était vêtu de noir et semblait plus tot ténébreux avec un regard captivant mais impénétrable sans oublié sa voix sensuelle avec un accent. Un accent d’un pays qu’elle ne reconnaissait pas. Le jeune homme avait donc tout pour éveiller la curiosité de la jeune Mangemorte qui s’avança vert lui après une nouvelle phrase qu’elle ne comprit pas vraiment mais qui sonnait bien… Plus tot bizarre tout ça….

-C’est vraiment très beau tout ça mais je ne comprend pas vraiment… Sauf le fait que des gens peu recommandable traine ici… Mais toi qui connaît mon nom tu devrais savoir que je ne le suis pas moi même… Et toi alors beau brun n’as-tu donc pas peur ?

Dit elle en le regardant de ses yeux mystérieux pouvant maintenant distinguée le jeune parfaitement, elle savait que ce n’était pas un Aurore sinon il l’aurait attaqué, ce n’est pas non plus un Mangemort elle l’aurait ressentit… Alors un de ces Rebelles qui n’ont aucun camp définis mais qu’on peut toujours convaincre pour venir vers l’un de ses camps non ?Malicia commença en douceur afin d’être sur alors elle lui posa gentiment…

-Je ne te demanderais pas ton camps n’est ce pas ?...

Il avait cette faculté de donner l'impression de lire dans les esprits, de déranger avec son regard pénétrant, de surprendre avec ses connaissances. Il leva ses yeux au ciel quand elle lui demanda s'ils se connaissaient. Il ne prit même pas la peine de répondre à cette stupide interrogation. Elle ne le connaissait, mais lui... c'est ce qui arrive, quand on sait où écouter.
Dans les yeux de la Mangemorte, il voyait ce qu'il avait tant vu dans les yeux des femmes. Et même dans ses mots. Beau brun... c'est qu'il avait touché le gros lot, ce soir. La loterie sorcière était de son côté. Alvin leva de nouveau sa main et effleura, avec plus de conviction cette fois, la taille de la sorcière, haussant un sourcil invitant. Oh, allez, il rigolait... il baissa la main, croisa les bras et éclata d'un rire rauque. Lui, peur ?

«

Peur ?

Pense avoir peur et tu craindras. »

Un juron en russe, une parole philosophique, tout juste ce qui fait d'Alvin un des êtres le splus étranges de ce monde sorcier. Son sourire prit une note mystérieuse, un peu condescendante même, alors qu'il voyait la jeune femme penser. Elle devait bien justement se demander ce qu'il était... il vallait mieux qu'elle ne le sache pas. Sa question lui indiqua qu'il avait tout vrai. Ses longs doigts de pianiste passèrent dans sa chevelure sombre, l'enlevant de devant ses yeux. Un léger rire bas, un regard de biais, un hochement de tête de façon négative.

« Quiconque a un camp a peur des autres qui peuvent exister. »

Essai sur la peur ce soir, dites donc ? Façon subtile de dire qu'il était indépendant. Vivant. Seul.

.Bon nous somme face à E.T ! Le jeune homme avait pourtant une allure humaine… La jeune mangemorte qui d’habituel cernait les gens facilement face à cet énergumène elle se sentait comme nul. Il était là à sortir de belle phrase, bien qu’il répondait au question d’une manière plus tot étrange la jeune femme préférait de loin une réponse franche et direct mais bon après tout un peu de changement ne tue pas…
Malicia l’observa, elle jugea son regard en l’aire qui pour elle voulait dire cherche pas je te connais c’est tout. Question qui lui paraissait stupide, c’était un peu vrai oui ! Mais extraordinaire aussi enfin t’en qu’il ne l’avait pas appelé par son véritable prénom tout allait bien… Quant à son geste, elle ne put s’empêcher de pensé aussi tot « Pense me toucher et la tu toucheras plus grand chose… » mais devant lui elle ne fit rien et se contenta d’y jeter un regard éclaire. Elle pouvait semblé une proie facile mais hélas ce n’était guère la vérité…Après tout elle joue le rôle qu’elle désire et bientôt le jeune homme pourrait s’en apercevoir…

-D’accort...Juste tu parles toujours de cet façon ?Ne le prends pas mal c’est juste un peu étrange.

Dit elle avec sincérité en fixant l’inconnu qui dévoila un peu plus son visage à la lumière de la lune. Voulait-il montrer sa sublime beauté ?…
Malicia restait tout de même ébahit devant c’est être qui pourtant ressemblait à tout le monde. Il avait deux yeux, un bouche, des cheveux et bien sur un nez au milieu de la figure mais ce qui était sur c’est que c’était le premier homme aussi mystérieux ou étrange qu’elle put rencontrer et de plus il n’avait pas de camp…

-Ok...Mais ce que tu affirmes n’est pas forcément vrai…Craindre quelqu’un c’est ce croire moins fort que lui et donc quand on est moins fort il inutile de faire parti d’un camps où l’on risque de mourir...

Comme si le foudroyant qu'elle venait de lui jeter allait le retenir. Il possédait un sans gêne plutôt effarant, une capacité à se foutre de tout incroyable. Il n'hésitait pas à aborder les autres et toucher la jeune fille, ne serait-ce qu'à la taille ou l'embrasser directement - chose déjà faite, cela ne le gênait pas. Il était ainsi. C'est pour cela qu'il n'affecta rien sous ce regard, son sourire s'étirant plutôt encore.
Et il lui réservait encore bien des surprises.
Toujours pas de réponse. Il était toujours ainsi. Partagé entre le philosophe intelligent - il n'est pas un ancien Serdaigle pour rien - et le vulgaire buveur de bar, il étonnait et détonnait. Alvin détourna simplement la tête, regardant les murs sombres et parsemés de neige collante. Elle comprendrait. Sur les murs, on voyait des photos de Mangemorts recherchés. Connus. Oh, pas elle... Il vit bien Travers - son autre profil était mieux - et Bellatrix, mais jamais cette charmante Malicia.

« Quand vous prendrez votre photo pour ces charmantes affiches, peu importe l'angle de vue, le résultat sera splendide. »

Autre indice pour indiquer qu'il connaissait son camp, ainsi qu'un compliment. Cela ne fait jamais de tort. Les femmes sont si faciles à charmer... Il baissa vers elle un visage mince, souriant, les mèches rebelles retombant sur son regard. Oh, elle se prenait à son jeu ? Charmant. Sa soirée allait être excellente. Peut-être même se laisserait-il tenter à l'inviter à prendre un verre... il était un rebelle, mais il fréquentait tout sauf ses camarades. Il caressa ses lèvres d'un regard, savourant le regard volontairement mystérieux, céouta ses paroles dans un silence religieux.

« C'est charmant, de se croire invincible... »

Léger murmure.

« Bien que vous ayez passé votre journée dans un bar de fond de ruelles, accepteriez-vous de prendre un verre avec moi ? La Rose Enchantée n'attend que nous. »

La Rose Enchantée. Ce bar portait mal son nom. Il était réfugié dans un sous-sol de maison, était vieux et délabré et plusieurs tueurs à gages et Mangemorts y passaient leurs soirées. Mais le service, assuré par quelque chose qui ressemblait à un croisement entre un homme et un dragon, était excellent, la tranquilité assurée et les boissons hors de prix. Inviter une dame là-bas indiquait une chose : l'argent. Alvin avait baissé la voix, s'arrêtant de marcher, invitant sans se retenir la Malicia. Quand il désirait quelque chose... Il s'était fait plus doux, plus accessible. Quoi que toujours le même.

Pas un bruit, le regard papillonnait d’un seul coup. Le jeune homme venait une nouvelle foi de passé la question qu’elle lui avait posé… Une de plus en réalité. Le jeune homme semblait vouloir répondre qu’à ce que bon lui semble, ce qui veut dire presque jamais.. Comme si il jouait une sorte de jeu...Enfin le principal c’était qu’il garde la conversation, ce qu’il faisait à merveille avec ses belles phrases philosophique qui faisait bourgeois… C’est donc pour cela qu’elle peinait à comprendre.
Et en plus malgré le regard qu’elle avait jeté après son geste celui-ci semblait ne pas y prêter attention, comme si le jeune homme était permis de faire tout ce qu’il voulait, comme si elle n’était qu’une vulguère marionnette peut être que pour lui tout les filles ce laissaient faire…
Il était vrai qu’il avait beaucoup de charme mais pour le moment la marionnette ne se laissait pas dompté !
Quelques pas de plus, la neige recommençait doucement à tombé faisant voir que l’esprit de noel était toujours là avec la beauté de celle-ci et pourtant ce que regardait le jeune homme était les affiches. Elle n’était pas inconnue par la jeune femme mais elle n’y était pas encore, une chance pour elle et puis pour le moment elle n’était connue que sur un autre nom… Une chance pour elle. Pourtant le jeune homme venait de lui faire un étrange compliment, d’un côté il disait qu’elle y aurait sa tête et de l’autre c’était gentil…Plus tot étrange !
Non seulement il connaissait son nom mais savait qu’elle était Mangemorte, c’était un devin ou quoi ???!!
Malicia fit de même, elle ne répondit pas et se contenta de sourire avant de posé une question qui lui trottait dans la tête.

-Toi qui connais tout de moi puis-je au moins savoir ton nom ?

Dit-elle avec politesse. Chose remarquable venant d’elle mais vue qu’elle était en compagnie d’un jeune homme plus tôt intelligent et aimant les belles phrase, il fallait faire un minimum d’effort !
Celle-ci regarda de le nouveau puis détourna le regard pour venir marché au milieu de la ruelle et regarder le ciel avant de revenir vert lui après son humble constations .

-Je ne parlais pas d’invincibilité mais juste que tout le monde meurt un jour…

Ce coup si elle le fixa d’un regard perçant en étant proche de lui avant d’afficher un large sourire pour son invitation sauf que le nom de l’auberge l’étonna un peu. C’était un endroit chère mais bon cela expliquer ses façon de parler et puis elle n’allait pas rechignée des occasions comme celle-ci, il faut profité et puis elle avait du temps à tuer…

-Je serais plus que ravis de t’accompagné… La soirée risque d’être fort intéressante.. dit elle dans un murmure

Il faillit ne pas répondre à sa question sur son nom, mais il fallait tout de même être poli. La faire mariner aurait été tout de même amusant, il faut l'avouer. Il n'était pourtant pas de cette cruauté.
Pas ce soir, dans tous les cas.

« Alvin. »

Pas de nom de famille. Le moins d'informations possible. Ce que les autres savent déjà. Ce que l'on retient rapidement.
Il avait noté son effort de politesse et l'apprécia. Son éducation et sa culture lui permettait de parler correctement, qu'on en fasse de même était parfait.
Un signe de tête quand elle accepta sa proposition. Le bar était à quelques mètres. L'enseigne délabrée pendait. Une rose rouge, peinte maladroitement, avec le nom en lettres gothiques, sur du bois presque pourri. Pas d'autre indication. La neige recommençait à tomber et égayait les cheveux de l'homme d'étincelles blanches, comme pour contrer les ombres qui planaient sur sa silhouette. Sans plus se gêner que précédemment, Alvin posa sa main dans le bas du dos de la jeune femme, pour qu'ils avancent vers le bar d'un pas commun, et lui ouvrit la porte avec galanterie. Les jolies dames, il se permettait bien de les respecter.

« Après vous. »

Une fois Malicia entrée, il referma la porte. Un escalier descendait à leur droite. Ils s'y engagèrent et débouchèrent dans ce qu'une de ses camarades de classe avait déjà qualifié de « puits des culs-terreux ». Pourtant. Les murs étaient de pierres, la pièce clairée de quelques flambeaux sur les murs, les tables éparpillées. Il y faisait néanmoins chaud, un puissant feu ronronnant dans l'âtre, et le barman essuyait les verres derrière son comptoir. Al lui fit un signe, que Yass, le dit barman, lui rendit. Étrange homme. Presque trois mètres, une peau rougeâtre et étrangement cuirassée, un goût fort pour l'alcool et une grande gentillesse. Et fort habile en sortilèges.
Le sorcier passa devant la demoiselle et alla vers une table du fond, lui tirant une chaise pour qu'elle s'asseoit. Les chaises étaient recouvertes de coussins de velours et la chandelle brûlait sur la table, depuis un trop long moment vu la quantité de cire sur le bois. Cela faisait le charme de l'endroit : le côté négligé et le côté coûteux se côtoyaient.
Elle assise, il prit place juste devant elle et enleva son chandail de laine, montrant une simple chemise noire. Il semblait totalement dans son élément et sa voix était un peu plus rauque, son accent plus coupant.

« Yass va venir. »

Et bien c’était si difficile de dire son prénom ? Il est vrai que c’est bien de garder un mystère sur soie même afin que personne ne vous connaisse vraiment bien mais bon il y a des choses que l’on peut révéler quand même…Lui connaissait bien son prénom alors que peu de personne le sache.
Enfin bon elle savait son prénom maintenant c’était déjà ça et puis elle était bien décidé à faire dénouer la langue de cet homme afin d’en savoir plus sur lui et quand Malicia veut qu’elle que chose, elle l’obtient toujours…

C’est sur cette pensée la jeune femme que la Mangemprte ferma sa grande bouche pour ne pas dire des petits mots qui flotteraient dans les aires comme le dis une belle phrase « Si ce que tu as à dire n’est pas plus profond que le silence alors tait toi ! » Pourtant la jeune femme était habitué à parler souvent… Enfin bref elle se contentait pour le moment de l’accompagné en réfléchissant à toute les façons de faire pour faire parlé le jeune homme de lui.
Une femme….C’est une femme ! Ben oui si les hommes arrivent à charmer aussi bien les femmes aussi savent le faire ! Il suffit de séduire un peu et le tour est joué et après l’homme bizarrement à la langue plus pendu pour parlé…
Attention la soirée risque d’être mouvementé !
Alvin posant sa main dans le bas de son dos la jeune femme sourit de plus belle. D’un pas lent et distingué les deux jeunes gens arrivèrent à La Rose Enchanté un bar très connu pour être malfamé mais bon cela était loin de la déranger et le jeune homme n’avait pas l’aire si innocent alors tout était parfais.
Bien que les gens qui se trouvant à l’intérieur n’était agréable les lieux eux l’étaient. Il y avait à la foi la simplicité et le goût de luxe.
Un piano se trouvait dans un coin, une scène pour les soirées spécial et des bougies sur tout les tables donnait une ambiance intime très sympathique. C’est sur l’une de ses tables qu’ils s’installèrent, le avait été galant puis il appela le serveur.
Malicia le regardait dans les yeux. de son regard de braise puis s’effleura ses lèvres du bout des doigts avant de laisser sa retombé sur le bout de la table.

-Alors...Toi qui est libre comme l’aire tu fais quoi de ta vie ?

Demande t’elle sur un ton bas afin de voir si il répondrait et si il passait encore à côté la jeune femme devra sortir le grand jeu…
Elle attendit sa réponse tout en papillonnant un peu du regard. C'est alors qu'elle apperçut une personne avec qui les paroles n'éxistaient pas mais les combats étaient plus tot s'en fin...Malicia ne dis rien et remit son intention sur Alvin puis un orchestre qui commença à jouer. Un aire endiablé...Une petite idée.

-Toi qui a osé m'inviter, puis-je osé moi t'invité sur la piste ?

Il semblait avoir bon nombre de talent la danse n'en serait qu'un de plus pour lui..Se disait elle.

Ce qu'il faisait ? S'il lui répondait rien, il serait foutu et il aurait perud une excellente chance de passer une bonne soirée. S'il répondait qu'il tuait des gens, elle serait tentée de l'enrôler dans les Mangemorts, même si c'était un énorme mensonge. La sortie la plus plausible, la plus agréable et la plus commune fut alors celle qu'il prit : le silence. Il ne répondit rien, souriant simplement. Il avait l'impression de lire dans l'esprit de la jeune femme, tant elle était un peu prévisible. Ah, ces Mangemorts... ah, ces dames...
Elle l'invita sur la piste. Danser. Alvin dansait plutôt bien, ce n'était pas le problème. Son éducation avait été parfaite en ce sens, comme dans tous les autres. Un regard sur l'orchestre. Accepter ne ferait de mal à personne... en tous cas, pas à lui. C'est pour cela qu'il la gratifia d'un signe de la tête et se releva, se délestant de son chandail sur sa chaise, passant ses mains sur sa chemise pour la défriper un brin. Il ressemblait presque à quelqu'un qui ne s'entretenait pas.
Ce qu'il était, de toute façon.
Galamment, il lui tendit sa main pour l'inviter. La danse commencée était une rumba. En plein la danse qu'il fallait pour échauffer le corps et l'esprit, mes amis...

« Vous savez danser la rumba ? »

Les Sang Pur n'apprennent pas que la valse, mes amis. Salsa, rumba, charleston, tout y était. Il remonta les manches sur ses bras, comme pour se préparer, tout en guettant sa réaction. Yass lui fit un signe de la tête vers l'orchestre, pour s'il désirait qu'il change, et il indiqua que non. Chanson parfaite, mon cher...

Rien de surprenant le jeune n’avait encore pas répondu et maintenant cela n’avait guère percution sur ses pensées puisqu’elle prenait simplement l’habitude. Après tout peut être parlait elle pour parfumer l’aire de son halène fraîche ou peut être étais-se pour avoir simplement quelque chose à demander… à dire, elle la grande pipelette qui en ce jour parlait souvent pour faire flotter ses petits mots dans les aires. Peut être répondait il pas parce qu’il ne faisait rien d’extraordinaire et cela n’irait pas avec lui être qui semblait étrangement supérieur à tout homme… Homme magestueux alors il ne répondait pour ne pas ternir son image… Sauf qu’il aurait alors ressemblé un peu plus à un homme normal mais bon Malicia s’efforçait de jouer des rôles pour que personne jamais ne la connaisse alors lui aussi avait le droit de ne rien dire pour resté un homme à par qui intéresserait mille curiosité de la nature. Enfin...Une chose était sur il était galant et c’est en étant sur de sa réponse qu’elle l’avait invité et comme elle l’avait soigneusement prédit le galant homme l’accepta .
Elle prit la main du brave homme et ils allèrent vert la piste vide de personne. Tant mieux ainsi ils auront plus de place pour eux.
Une rumba, voilà une danse parfaite un aire doux pour finir par accélérer en entraînant les danseurs dans une folle aventure au son de percussion et de chant. Une danse parfaite, bien qu’elle n’était pas vraiment apte à danser se genre de danse mais étant jeune son éducation fit qu’elle apprit nombreuse danse dont celle-ci. Malgré le temps écoulé il suffit d’entendre une note pour se souvenir des pas.
Un regard et cela suffit pour lui faire comprendre que ce n’était pas un problème Il posa ses mains sur ses hanches, elle sourit et la danse commença par un pas en arrière…
Alors ils se mirent à danser sur la piste comme la flamme qui se tortille dans la cheminée… La jeune femme toujours aussi agréablement surprit lui glissa un mot dans l’oreille.

-Aurais-tu autant de talents qu’il y a d’étoiles dans les cieux pour éclairer la nuit noir ?...Belle âtre !

Elle l’avait dit d’une voix charmante dans une intensité minime pour ne pas troublé le doux son de la musique.

Hj désolé du retard

HRP :: I had soooooo much problem with my computer TT’

La rumba était la danse parfaite pour se rapprocher. Lente au début, puis toujours plus endiablée, elle permettait un intéressant rapprochement des corps et de l’esprit. Quelque chose à ne pas dédaigner, quand on désire passer du bon temps avec une jeune femme.
Ses mains sur ses hanches, c’était dans ses yeux qu’étaient les siens. C’était son sourire cette fois fin, comme triomphal sans vraiment l’être. Un pas vers l’arrière, un vers l’avant, une main qui passe au creux du dos et l’autre qui vient pour prendre sa main. Un moment lent, le temps d’avoir son visage si près du sien que cela pouvait porter à confusion. Et pourtant, rien. Que leurs souffles.
Un murmure à son oreille, juste avant que le rythme ne s’accélère brusquement. Sa main redescendit sur sa taille, alors qu’il passait derrière elle, l’enlaçant dans un mouvement de la dite danse – parfaite pour ce que vous voulez. Ce fût à lui de parler à son oreille, le coupant accent allemand se faisant caressant :

« Plus que ce que vous voulez croire. »

Le tempo se ralentit jusqu’au slow langoureux, les lèvres de l’homme effleurant l’oreille de la jeune femme, sans pourtant plus de contact. La position revint standard, donc lui devant elle et elle devant lui. Une étincelle plus vive semblait danser dans ses yeux, tout comme le sourire qui jouait sur ses lèvres. Une certaine distance, comme pour agacer les deux danseurs, était entre eux.

« À la rumba, c’est la femme qui mène la danse. »

Il l’avait chuchoté, ne précisant pas qu’à la fin – elle devait le savoir, c’était l’homme qui dominait. Mais c’était tout de même une invitation explicite pour prendre les devants.
Quel homme diabolique.

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