Citation :

Tu sais ici tout est normal, les matinées sont douces et ensoleillées, les
oiseaux bourdonnent et les abeilles gazouillent, le soleil brille dans le ciel
tel le fléau qui s’abat graduellement sur ces misérables humains que nous
sommes…

« T’en penses quoi? »
« Tu veux que je te réponde franchement ou non? »
On se demande qu’est ce que faisait Julian? Et bien tout simplement, il écrivait pour la ième fois une lettre à sa mère, qui ne pouvait que s’inquiéter de la vie son fils prit de la malédiction (et ainsi pour dire, l’enfant du milieu) dans un château comme Poudlard -qu’elle n’avait bien-sur jamais visité…-
« Bon déjà, enlèves le fléau, changes de place le "bourdonnent" et le "gazouillent" et remplaces misérable par adorable. »
Julian chiffonna sa première esquive de lettre écrite sur papier lignée pur à 100% moldu et recommença sur une nouvelle feuille avec son super stylo trois-dimension Bic rouge (Mmm, désolé pour le coup de pub). Être pareil aux autres était affreusement dur pour lui, surtout quand ses profs lui demandaient de sortir un parchemin et une plume comme tout le monde, c’est toujours un coup bas.
Se trouvant dans le hall d’entrée avec son copain Arthur, Julian regardait les jeunes filles passer, sans avoir la moindre parcelle de confiance pour aller en approcher une. Serpentard de préférence, les conversations étaient toujours plus animées dans ses cas si. Voyant son ami plongé dans la lune et regardé un groupe de fille de Serpentard un peu plus loin parler de leur nouveau verni à ongle, Arthur décida de laissé Julian seul, quand il faisait son pathétique, il le faisait jusque bout.
« Allé, finit ça et vient me rejoindre pour le déjeuné dans 10minutes. »
Aucune réponse du coté Julianien, on est parti en affaire!
Voilà une matinée normale dans le monde Kelly’s.

Encore dans les vapes , la jeune Cathialine était assise sur les marches du grand hall , s'amusant a regarder les gens passer. Les garcons la lorgnaient presque du coin de l'oeuil tous ages confondus. C'est vrai qu'elle était belle meme magnifique. detaille moyanne et mince. Elle était appuyée a la rampe et avait les yeux dans le vague. De longs cheveux blongs tirants sur le cendré parfaitement bouclés qu'elles avaient réunis en une queue de cheval. De grands yeux verts d'une paleur incroyable. Et une petite perle au coin de son oeuil droit. Son beau regard balaya la salle et vit un garcoin de serdaigle dans la lune. Elle sourit et se leva pour s'appprocher de lui. Et lui dit sa voix chantante tintée d'un accent hispanique prononcé :

-Bonjour !

-Bonjour !

Et vous croyez vraiment que Julian allait répondre à quelqu'un? Même si le jeune homme avait eu a coté de lui la fille la plus jolie de Poufsouffle ou le mec le plus canon de l’équipe de Quidditch de Serpentard (Pas de discrimination des sexes en!) il n’aurait pas bouger d’un cil, d’un poil, ou même d’un orteil, c’est selon les goûts. Il aurait pu se faire tirer un bombabouse en plein poire, il aurait pas tourner l’œil pour voir d’ou elle venait. Il écrivait et c’était tout. La concentration était primordial car il essayait de ce morfondre dans la pensé d’un article… plus précisément un écrivain. Un CHAT écrivain. Bon je sais, on ne voit pas souvent de chat écrivains, mais comme on dit que de tout existe, il doit bien en avoir un quelque part. La seule chose en ce moment qui aurait pu lui faire perdre son point fixe sur sa feuille blanche aurait été l’odeur miraculeuse d’un bon Firewhisky froid. Pour ça, il n’y avait pas moyen, on avait toujours Julian à nos trousses.
Le jeune fanfaron continuait à fixer sa feuille sans toutefois écrire quelque chose dessus. Il devait trouver les bons mots pour dire à sa mère comment étaient les matinées de Poudlard. Réfléchissant pour lui même, il laissa échapper les mots suivant, dans un murmure à peine audible
« comment le chat aurait-il dit?… Mais oui! »
Il écrivit quelque chose sur sa feuille de papier avec sons super stylos trois dimensions rouge et enfin, il se retourna vers la demoiselle qui devait sûrement être tanné d’attendre là comme un poire sucrée;
« Le poisson ça plait à tout le monde ou seulement à une quantité infime de personne? »
puis il rajouta, un peu pour lui même dans un rire doux mais apeurant qui pouvait laissé penser à de subtiles tentatives de meurtres… antérieurement bien-sur;
« J’ai bien dit poisson en, pas poison...! »