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 Sauvetage de cousine [OU<4]

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MessageSujet: Sauvetage de cousine [OU<4]   Sauvetage de cousine [OU<4] Play211Jeu 1 Nov - 11:27

Gabriel avait décidé en cette chaude journée d'emmener ça très chère et tendre cousine rencontrer un de ses amis à Ste Mangouste. Cette dernière présentait en effet des troubles psychiques depuis déjà bien 4 ans. Il se devait de la faire soigner correctement. Son ami, Bill Olfi, était un des pionniers de notre ère en matière de guérison. Il n’hésitait pas à utiliser fréquemment divers créatures ou sortilèges afin de guérir les sujets les plus atteints. Sa spécialité, disait-on, était les sangsues du désert. Il les plaçait sur l’extrémité buccale du patient et ces dernières aspiraient la maladie et au passage un peu de sang du patient. Ce moyen révolutionnaire avait fait ses preuves en Roumanie, et semblait désormais la seule alternative pour les sujets les plus frénétiques. Gabriel désirait de tout son corps qu’il parvienne à soigner Jac…..un des être les plus chéri à son cœur.

Ainsi aujourd’hui, après s’être transplaner chez elle, il lui avait dit avec tout ses talents d’orateur, qu’il souhaitait lui faire rencontrer quelqu’un…un de ses amis avait-il dit. Il avait même osé rajouter, que ce dernier était un vrai Casanova. Sa cousine encore célibataire, du moins le pensait-il, accepta alors avec joie. Il se transplanèrent alors main dans la main à Ste Mangouste…et plus précisément dans le Hall à la section « arrivée ».
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MessageSujet: Re: Sauvetage de cousine [OU<4]   Sauvetage de cousine [OU<4] Play211Jeu 1 Nov - 12:13

Elle savait pertinemment qu'il lui préparait un sale coup et le soi-disant prétexte du casanova ... à ça ... elle n'y croyait pas une seule seconde ! Jac le fusillait donc du regard dans le Hall de son Manoir lui tendant la main hésitante, néanmoins sa curiosité dévorante l'emporta sur le peu de raison qu'elle avait évidement ..

A peine quelques secondes et déjà le décors et l'atmosphère avaient changés, ils se trouvaient désormais dans le Hall de l'hôpital où pas mal de mondes étaient présents, occupés à aller et venir. Jac affichait un léger sourire qui cachait évidement ce qu'elle pensait, mais elle n'allait pas s'attarder sur ce masque mais plutôt le laisser tomber, surtout à la vu du Casanova ... Mais subitement une idée lui traversa l'Esprit.


Jac - « Tu m'avais caché ce type de fréquentations hein ? ... Il ne fallait pas tu sais, je comprends et conçoit tout à fait que tu es le besoin d'éprouver .. hum .. m .. ce type de Sen-ti-Ments ! Alors comme ça c'est Olfi ? J'ai vraiment hâte de le rencontrer ... de faire sa connaissance !!!!!!!! La prochaine fois ne fais plus ton égoïste Comme ça !!! »

Lui murmura Jac tout en le regardant d'un air compatissant, insistant sur certains mots ! Ils étaient tout deux debout au centre de la pièce ou passaient plein de malades, de toutes sortes, certain pour avoir juste des épine de cactus sur tout le derrière et d'autre pour s'être fait brûler la tronche par un aimable Dragon ... N'oublions pas qu'il est INTERDIT d'en posséder un chez soi, c'est dangereux pour la communauté - des sorciers - ( des moldus on s'en fou royalement ) ... !

Jac fixait son cousin avec douceur avant de l'attraper par le bras et de se diriger sans son avis vers l'accueil où de jolies infirmieres toutes de blanc vêtues s'animaient à guider les clients ... et ... « monstres ? ». Ce mot lui était venue à la bouche à la vue d'une sorte de cheval avec une tête de brebis et des pieds d'humains. Ne s'y attardant pas elle poussa les clients qui se plaignaient ouvertement, certains sortaient même leurs baguettes l'air menaçant, quant à Jac elle se contentait de hurler :


Jac - « C'est un CAS réellement Urgent mes consoeurs les citoyens !!! Il doit être traiter dans l'immédiat et en plus ... n'aller pas vous en fuir, mais c'est contagieux qui plus est secret, je ne pourrais vous exposer sa Maladie .. mais éloignez-vous à deux bons ... kilom ... à DEUX bons Mètres !! Merci de votre compréhension ! »

Sans même attendre leurs réactions elle se retourna et se murmura à elle même ..

Jac - « Vous l'ouvrez encore une fois et j'vous emmènes dans la morgue vivant ... mais en sortirez-vous dans le même état ? Ah ça noon je ne le pense pôôh ! »

Elle fulminait intérieurement tout en s'accoudant au comptoir. Un silence incroyable régnait désormais ! Jac passa comme si de rien n'était sa main dans sa chevelure tout en souriant à la jeune femme qui leurs faisait face ...

Jac - « Mademoiselle .. ce que je vais vous dire devra rester entre nous, vous comprendrez nous sommes des Sangs-purs et ça ne doit pas se savoir. J'ai ici mon tendre cousin qui m'a fait prendre conscience de quelque chose, depuis quelques temps il me cache son penchant Homosexuel, c'est ce matin en venant chez moi qu'il a trouvé un petit prétexte pour venir voir son CASANOVA ... monsieur Olfi .. vous .. »

Avant même que Jac est terminée la femme lui coupa la parole en portant sa main à sa bouche jaugeant avec pitié son cher cousin d'amouuuuuur !!

Infirmière - « Si vous le souhaitez mademoiselle, nous avons un azzzzzile ... par contre nous allons devoir appeler ..
Seconde Infirmière - « Skoouteur ! » Dît-elle la bouche pleine ..

Infirmière - « Rita Skeeter ? Mouiii !! »
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MessageSujet: Re: Sauvetage de cousine [OU<4]   Sauvetage de cousine [OU<4] Play211Jeu 1 Nov - 13:20

Gabriel, Augustinus Balthazar Hieronymus, Valentine s’était douté depuis le début que sa cousine adorée ne serait pas dupe. Elle était intelligente et doué pour déceler les supercheries…si ce n’était pas le cas, sûrement ne serait elle plus en vie. Ainsi donc lorsque Elisabeth lui fit sa peine scène quelques peu original, Gabriel ne pu réagir qu’avec un doux sourire sur les lèvres. Qu’allait-elle donc encore inventer pour se sortir de cette situation ardue ? Le faire passer pour fou ? Quoi qu’elle ait décidé…Gabriel n’en ferait rien…il était résolu à sauver sa sœur de cœur, tant dans le besoin. Il faut parfois souffrir pour parvenir à soigner ses proches. Peut être que cette mascarade permettrait à faire tourner assez vite les méninges de Jac pour les remettre sur les railles de la lucidité et de la raison.


Lorsque Jac poussant tout le monde afin d’arriver à l’accueil, Gabriel ne tenta pas de répondre à l’insanité proféré par sa douce cousine. Cela ne servirait à rien, et de toutes manière une famille de sang noble n’a pas à régler ses affaires devant la plèbe. Cela ne les concernait en rien, et les dépassait largement. Il feint alors une maladie grave et se laissa presque totalement reposé sur Jac… Si ces pseudo-sorciers étaient suffisamment bêtes pour croire à ce mensonge, ils en déduiraient sûrement que vu la proximité de sa relation avec cette jeune fille (Jac), que cette dernière serait également atteinte. Il essaya alors d’imiter l’air ahuri de sa parente afin de renforcer les soupçons de chacun.

Puis accoudé au comptoir, enfin…à l’acceuil plutôt, il écouta attentivement ce que sa cousine dit à l’accueil, et à nouveau ne réagit pas. *Réfléchis douce cousine…peut être cela te rendra-t-il la raison* Il ne pu alors s’empêcher de sourire à sa propre réflexion…malheureusement son sourire éclaira les paroles de la Miss Von Kheist. En effet elle venait de dire qu’il lui cachait son penchant homosexuel. Par conséquent l’infirmière la crut sur parole et proposa même l’asile pour Gabriel. Or Gabriel admettait que sa cousine le traite de malade…voir même d’homosexuel…mais cette quelconque infirmière, jamais.


«Qu’ai-je entendu ? Vous souhaitez m’envoyer à l’asile ? Moi, Gabriel Augustinus Balthazar Hieronymus Valentine, descendant et héritier des Valentine ? Vous vous méprenez sur vos capacités. Appelons donc, notre cher docteur Olfi… on verra bien ce qu’il en pense. Si je ne me trompe seul un médecin en psychiatrie est capable de juger de la folie de quelqu’un. »

Gabriel sortit alors une fine et ouvragée baguette de boulot, de sous sa robe. D’une taille assez petite, elle ne semblait pas cependant moins puissante qu’une compère plus grande. Jailli alors un jais de lumière argenté de celle-ci…ce dernier bondit comme une furie en direction de l’escalier…Et quelques instants plus tard James Olfi arriva par l’ascenseur.

James : « Ah que se passe-t-il ici ? »


Gabriel : « Cette soi-disant infirmière tente de me faire envoyer à l’asile. Qu’en pensez –vous docteur ? »

Gabriel avait parlé d’un ton des plus neutres et ne semblait pas énervé. Cependant l’infirmière à côtés de lui devait être nouvelle et était belle et bien tendue par cette situation étriquée. En effet comment avait elle eut le courage de proposé à un être de sang pur d’aller à l’asile et de plus est une connaissance du grand médecin Olfi. Ellle risquait sa place en ces instants cruciaux.



James : Humm il me semble que cette personne semble bien prompte à juger de la folie des autres. Je devrais peut être moi-même l’examiner. Le fait de voir des fous partout est souvent représentatif d’une réelle folie.

Infirmière : Mais mais ..docteur…c’est…c’est …cette demoi…

Gabriel : Quoi ? Insinuez vous que ma cousine est elle-même folle ? vous non….bien sur…James, un diagnostic des plus urgent s’impose.


Le médecin l’emmena alors avec lui, convaincu d’instant en instant que l’infirmière…était malade. Tant à eux, Jac et Gabriel, ils restèrent là en face…de la seconde infirmière. La fixant droit dans les yeux Gabriel reprit alors la parole mais sa voix avait changé…elle était mielleuse et à la fois sournoise.

« On dirait que vous avez sauvé votre peau aujourd’hui… Cependant il vous reste quelque chose à faire : Appeler la brillante Rita… Je vois d’ici l’article : A force de soigner la folie, les infirmières, elles-mêmes deviennent folles. »

Il se retourna ensuite vers Jac, et avec un magnifique sourire sur les lèvres…il lui mumura…

« Regarde ce que tu as fais ma pauvre… »

Il l'entraina ensuite derrière lui, vers l'ascenseur et ils montèrent en direction du 5 ème étage
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MessageSujet: Re: Sauvetage de cousine [OU<4]   Sauvetage de cousine [OU<4] Play211Sam 3 Nov - 14:24

Lorsque Jac entendu le Nom de Rita Skeeter un large sourire se dessina sur ces lèvres. Car après tout la communauté des sorciers devaient savoir qu'un sorcier de sang-pur allait faire des galipettes dans des clubs échangistes avec des hommes dont ils ne connaissaient même pas le nom ! Selon Jac c'était un skoup qui devait être dévoilé, et son regard semblait la trahir à en voir l'étincelle d'excitation qui y était présente ...

Intérieurement elle jubilait en silence, en voyant le numéro de son cousin, auquel la pauvre infirmiere n'en sortirait pas indemne, sans séquelle visiblement ! Jac fixait ce qui se déroulait sous ces yeux avec intérêt tout en croisant les bras et s'adossant au comptoir, elle fixait l'infirmière et son cousin au fur et à mesure que celui-ci annonçait la venue de ce Olfi ..

A sa vue Jac grogna tout en lui tournant le dos se retournant totalement vers le comptoir. Tout ce qui fut dit lui passa un peu au dessus de la tête, sa plaisanterie de mauvais goût ayant lâchement échoué hélas !

Tandis que la première infirmière allait ce faire diagnostiqué les symptomes d'une folie certaine, Jac elle écoutait les dires de son cher cousin qui n'en finissait pas et dont le calme semblait la déranger, voulant peut-être le faire sortir de ces gon' ? ... est-ce son projet ? Possible ... mais dangereux peut-être ... Hélas, la jeune femme n'avait pas conscience du danger ou bien trooop peu !!


Jac - « Tu as le dont de tout inconsciemment remettre dans l'ordre, dans ton ordre plutôt ... ça m'agggggace ! »

Jacassa la jeune femme en toisant d'un air détaché le mur qui se trouvait devant elle. Puis lorsqu'elle se retrouva face à face à son cousin elle haussa les épaules innocemment comme si elle n'avait rien fait, un léger sourire malicieux aux creux des lèvres, comme une gamine ... après tout son comportement avait été puéril et elle s'en amusait, d'ailleurs c'était le genre de petite scène qui animait sa vie de tous les jours que ça plaise ou non aux gens qui l'entourait.

Jac - « Je me demande vraiment ce qu'y m'a pris, hein ? Puis après tout je suis certaine qu'il y a de la vérité dans ce que je dis, j'en suis même persuader ... et ne me demande pas pourquoi .. je l'ignore. »

Finit-elle par murmurer tout en se grattant la tête perplexe survolant du regard toute la salle d'attente ou du moins ce qui faisait guise de Hall.

Puis comme à son habitude elle suivit son cousin sans broncher pour le moment, par contre elle sortit son fidèle étui d'argent et son briquet dont la tête représentait une un dragon ailé ... elle l'ouvrit en sortie une cigarette qu'elle porta machinalement à ses lèvres puis l'alluma. Tout son attirail fit par la suite rapidement rangé dans les poches de sa cape avec minutie.

Elle tirait désormais soulagée, sur sa cigarette, finissant par exhalé de la fumée en poussant un soupir de bonheur, comme si elle avait arrêté depuis quelques années et que subitement elle cédait à l'objet de la tentation, aux fruits défendues ..


Jac - « On fait quoi d'jà maintenant ? J'vais aller faire pomper mon sang-pur par des sangsues ? J'aurai encore préfère qu'un beau vampire au charme irrésistible s'en Chhharrge Gabriel, tu pourrais pas me trouver ça par hasard ? »
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MessageSujet: Re: Sauvetage de cousine [OU<4]   Sauvetage de cousine [OU<4] Play211Dim 4 Nov - 9:23

Les remarques de sa cousine, le faisaient sourire. Bien sur qu'il avait le don de tout remettre dans l'ordre. Si ce n'était pas le cas, il ne saurait pas juge et qui plus est, le meilleur. Sa cousine en revanche affichait clairement un gôut pour le danger et l'insouciance et c'est précisément ça qu'il aimait chez elle. Sa façon de tout se permettre, de tout faire et d'étriquer un monde bien trop paisible et monotone. Peut être finalement avait il choisi d'être juge pour pouvoir voir chaque jour des gens comme elle, des fous, des inconscient ou des hommes d'audace. Cependant en le devenant, il c'était lui même renfermer dans une situation bien plus compliquer. Mais de toute manière, Gabriel ne pourrait jamais tenté le diable en public. Il se devait de maintenir les Valentine dans la plus haute noblesse, et de jamais attiré l'opprobre sur leur nom et leurs domaines. Sa naissance avait dicté sa vie......dommage??....NON....il était un Valentine et mourrait pour continuer à l'être.

Tenant toujours sa cousine par la main, il se rapprocha alors d'elle, tandis qu'elle parlait. Il pencha ensuite sa tête au creux de son épaule comme s'il souhaitait lui faire une bise, ce que bien sûr ne fit pas. En revanche il lui murmura d'un souffle:


"....bien sûr qu'il y a de la vérité dans ce que tu dis mais cependant tout homme qui m'approche d'aussi prêt n'y survit jamais....tu veux venir voir mon placard...il y en a toute une réserve."

Et une fois ces paroles prononcé, il redressa la tête et plus fort et avec un sourire manifeste, il reprit sur un ton innocent mais laissant trahir une pointe de machiavélisme:

"...tu souhaites manger un peu? J'ai une spécialité maison qui nous attend au manoir..."

Gabriel...oui, le grand Gabriel, aimait les mets fins comme il aimait la culture, l'élégance et le raffinement. Cependant l'exotisme était également un de ses entichements les plus profonds. Dans un corps et une apparence aussi droite, se cachait un esprit complexe et peut être même proche de la folie. Un jour il pouvait tendre à droite, le lendemain à gauche. Le vrai choix, est celui qu'on en peut prédire.

Il aperçu alors sa parente sortir un magnifique étui argenté, ainsi qu'un briquet finement ornementé...il aimait cet attirail. Il représentait bien ce qu'Elysabeth et lui-même étaient. Cependant, ce qu'il cachait, il le répugnait. Pas que cela puisse être nocif; il faut bien mourir par quelque chose après tout...et de préférence par ce qu'on aime; mais s'étant tellement dispersé chez les moldus...le fait de fumer faisait du fumeur quelqu'un de banal...

"Des sangsues? Sucer notre sang pur??? Ou es-tu allé chercher cette idée...jamais je ne le permettrais...oh chère cousine me prends-tu pour un monstre? Je voulais juste te présenter ce médecin car je trouvais que vos genres étaient...en harmonie."

La voix de Gabriel ne laissait transparaitre aucun soupçon sur la sincérité de ce qu'il venait de prononcer. Il semblait même réellement déçu que sa cousine puisse penser une chose aussi terrible de lui...Il ne travaillait qu'à la gloire et au bonheur des Valentine et de leurs parents. Vraiment pouvoir penser une chose aussi terrible, brisait le ptit cœur tout mou de Gabriel. C'était vraiment mal lui rendre son amour que de parler comme ça.....Cependant, la fin de sa phrase laissait néanmoins le doute car sachant le physique de Olfi, la ressemblance avec Elysabeth était lointaine. C'était un docteur en blouse blanche, assez âgé et dont les cheveux mal coiffé commençait à se faire rare. En plus de cela il portait de grosses lunettes ornementées de poils de loup garou et dont on disait qui étaient faite en os d'hippogriffe. En dehors de ça, il était souvent dans la lune et paraissait assez étrange. Un grand esprit qui ne semblait pas vivre dans le même Monde....

"Et si tu veux que je te trouve un beau et séduisant vampire....ça peut toujours s'arranger...mais en revanche tu n'auras plus le droit à mes signes d'affectivité...j'aimerais de préférence conserver mon intégrité physique."

La voix sérieuse de Gabriel s'était transformé, en douces paroles d'allégresse. Il semblait heureux d'être avec sa cousine à parler et surtout à s'amuser. Néanmoins en considérant que Gabriel ne lui donnait des signes d'affectivité que très rarement...on pouvait se demander s'il ne se moquait pas d'elle. Puis il reprit plus fort...

"Bon alors tu préfère un petit repas chez moi...ou on continue à se promener..?"

Pour sa part Gabriel préférait largement resté ici à se promener..que de rentre chez lui dans son sombre manoir. Quoi qu'il en soi, ils étaient en train de se diriger vers la caféte de l'Hopital via l'ascenseur. Et bien sûr seuls dans cet ascenseur. A chaque fois que quelqu'un souhaitait les y rejoindre, deux regards froids, le dissuadaient. Il lui faisait ainsi clairement comprendre qu'il n'y avait pas sa place et que leur conversation était privé.....

__________________________________________________
HJ: je me suis arrêté car ça commençait à faire long ^^
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MessageSujet: Re: Sauvetage de cousine [OU<4]   Sauvetage de cousine [OU<4] Play211Lun 5 Nov - 19:12

Jac - « Tout homme qui t'approche ne survit pas .. j'aimerai en dire autant pour moi . Exception faites. Pour ton placard, j'en ai déjà vu assez je pense .. Non merci. » Dît-elle raisonnable tout en lui souriant avec douceur. S'agissait-il d'un de ses masques mensongés ? Non, à première vu non.

Inutile d'aller voir son placard, pour y voir des corps en décomposition, charcutés, ou encore disséqués. Mais ce n'était pas ce qui gênait Jac c'était plutôt cette odeur cadavérique qui était peut-être la seule chose qui la faisait encore frissonner d'effroi à l'heure qu'il était. La cause ? Elle seule le sait, du moins à elle de désirer s'en souvenir. Par contre, chose étonnante le sang « frais » l'enchantait plus qu'autre chose, ça avait tout bonnement le dont de la faire jubiler d'entrain, laissant monter une vague irradiante d'excitation et d'adrénaline, si ce n'était de réel bonheur.

Jac ne put réprimer un léger rire à l'écoute de sa seconde réplique, puis tout en reprenant son calme elle reporta le mégot de cigarette entre ses lèvres tout en tirant dessus, laissant la volute de fumée empoisonner son enveloppe corporel et laisser la dépendance s'installer un peu plus .. Puis tout en expirant de la fumé dans le cou et visage de son cousin, sans ménagement, elle reprenait la parole en se rapprochant un peu plus sachant qu'il n'appréciait pas spécialement ... les clopes, et peut-être cette odeur. Du moins elle pensait ... se trompait-elle ? Il était possible, voir probable.


Jac - « Tu me demandes si j'ai faim après m'avoir fait repenssser à tes Zooooombie Gaby ? Hum ... je sais pas trop. Laisssses moi réfléchir ! »

Encore une fois Jac semble insister sur les 's' telle une vipère ... probablement ces années à Poudlard parmi les Serpentard qui à bel et bien laisser des traces sur la jeune femme. Bonne comédienne, le timbre et le ton de sa voix était plus mystérieux, laissant planer le doute, l'interrogation ... elle rallongeait certaines syllabes, de manière spontané qui avait l'air tout à fait innocente. Elle abordait un sujet ' horrible' implicitement mais tellement clair et anodin pour eux qu'ils pouvaient ainsi en parler avec légèreté ce qui aurait surpris plus d'un sorcier.
Tandis qu'elle allait reprendre la parole elle s'arrêta subitement en écoutant ses dires un sourcil arqué tout en regardant droit devant elle ... son regard s'illuminant un court instant d'une étincelle malveillante.


Jac - « Faudrait-il te préciser que nos pensées si profonde peuvent-elles être nous trahissent à certain moment ... ou peut-être s'agit-il d'une simple impression, te connaissant suffisamment pour voir tes PLANS à la NOIX arriver et presque me percuter de plein fouet ! Puis tu parles d'harmonie, j'imagine qu'il ressemble à ces chercheurs à lunette avec un balais dans le cul .. puis précision mon chou, s'il approche ses sale pattes ou ses bêtes de l'une des parcelles de mon corps .. je .. euh .. le décapite sur place. Quoique ça peut encore, changer si j'ai une idée plus brillante. »

Jac n'était pas dupe, elle connaissait son adoraaaable et machiavélique cousin autant que le camps du bien ... c'est à dire sur le bout des doigts ! Donnc elle préférait être prudente et le prévenir, ne voulant pas qu'il frôle l'infarctus à la vue de son tendre ami qui pourrait périr sous les éclairs de la demoiselle .. mais évidement, tout ça était à prendre au 100 ème degrés (quoique .. ), inutile de le préciser mais sait-on jamais ..

Jac - « Néanmoins, ravis de voir que l'Ironie te colle toujours à la peau ... quand est-il du reste ? Faudrait voir ça . » Dît-elle tout en esquissant un nouveau sourire.

Ils étaient désormais tout deux installés dans la cafete, qui était bondé de mondes, des malades comme de simples personnes venues leurs rendre visite.
Jac était face à son cousin qu'elle fixait droit dans les yeux, comme si eux ne mentait pas ? Les portes de l'âme prétendaient certaines personnes ..


Jac - « Haaann !! Quel dilemme .. tes signes d'affectivités ou ce Vampiiiire au charme irrésistible ! Pourquoi pas les deux ? ... enfin bref, on pourrait bien faire un tour dans les sous-sols de l'hôpital, ou à leur morgue ! A part ça ... où en es-tu avec le côté obscur de la force ? » Dît-elle sérieuse, ce qui était légèrement paradoxale avec les termes utilisés.
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