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 Romantisme et confusions [Valentina]

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MessageSujet: Romantisme et confusions [Valentina]   Romantisme et confusions [Valentina] Play211Mer 27 Aoû - 21:03

Une odeur d'encens, une brume tiède et vaporeuse, totalement étrangère à la chaleur saisonnière, flottait dans cet espace confit, vague et mystérieux, d'où semblait peser une atmosphère douce et tranquilisante. Le bruit extérieur, mélanges de cris infantiles et de discussions miévreuses, se trouvait atténué par les vitres en plexiglas qui plafonnaient les limites spatiales du bar des amoureux. Lointains donc résonnaient ces braillements puérils et futiles, insouciants et indignes d'attention, ne parvenant plus que par échos dans cet univers isolé de tout, et ne paraissant plus que comme un rêve mélancolique pour quiquonque les entendrait. Seules quelques lumières, rosées et maussades, perçant par quelques faibles rayons, le nuage de fumée artificielle flottant dans toute l'étendu dela pièce, empêchaient qu'on ne plongeât dans l'inconnu et l'indiscernable obscurité. Les chaises et les tables habituelles, vides, avaient été repoussées sur le côté, disposées d'une telle manière qu'ils fussent tous tournés vers le milieu de la pièce, centre de toutes les attentions. Seules deux chaises, apparemment dépoussiérées pour l'occasion, cirées à la perfection, et sur lesquelles reposaient chacune, un mince coussin rouge, élégant, aux dentelles dorées, et encadrant de part et d'autre, une table copieusement décorée - des roses rouges et blanches accrochées à chaque coin, des filins de tulle violacées, au maillage serré, dépassant des bouquets ainsi ornés, deux chandelles fraichement allumées, s'élevant chaleureusment au milieu de table, une vaisselle en porcelaine parfaite, rigoureusement apprêtée, trop propre afin qu'elle puisse déjà être utilisée auparavant - représentaient ce décor subliminal et romantique qui, on le constatera bien assez tôt, allait donner lieu à un dîner intime, entre deux êtres, confrontés à la réalité de leurs sentiments.

- Personne...
- ... ne vous importunera durant ces prochains moments, Sir. Oui, je vous l'assure.
- Quant à ce qui est...
- ... des préparatifs? Encore une fois monsieur, veuillez bien me croire, j'ai pu réaliser tout ce que vous m'avez demandé sans la moindre faute. Je pense que vous pouvez le constater par vous-même.

Une petite femme blonde, grassouillette - sans doute la gérante du bar - vêtue d'un tablier de cuisine, ses yeux bleus innocents et alertes, et ses membres, en particulier ses mains, dont elle voulait au mieux dissimuler les tremblements, comme si la présence qui s'imposait à elle ne lui était pas des plus agréables, se tenait toujours immobile, l'oeil fixé vers l'obscurité. Craignait-elle qu'un faux mouvement, un maladroit geste de sa part puisse irriter, à ses dépends, le mystérieux intervenant qui lui faisait face?

- Vous pouvez vous retirer.

N'allant pas se faire prier une seconde fois, la gérante s'éclipsa, laissant derrière elle, ce monde de magnifiscience qu'elle avait elle-même créé de ses propres soins, pour l'individu, dominateur et mystérieux, dont la silhouette moyennement robuste et grand, se morfondait maladroitement à la pièce au sein de laquelle, désormais, il se tenait seul. S'étant avancé de quelques pas, ses yeux gris, plus éclatants que jamais, guettant l'entrée de la porte avec anxiété, ses cheveux blonds, parfaitement coiffés, ne laissant que quelques mèches rebelles découper son regard, un teint toujours aussi blême et froid, malgré la grimace qui s'étendait sur son visage et qu'il voulait faire passer pour un sourire, William Enfield, de son deuxième prénom Charles, avait pour l'occasion cédé à un costume tout à fait gentlemanesque : une chemise bleue marine, rayée sur le haut des ses manches par d'étroites bandes turquoise, le tout surmonté par un veston noir, formel, pantalon apprêté, sa tenue avait été complétée au dernier moment par des chaussures classe, telles qu'on pouvait en voir défiler, dans les soirées mondaines. Si élégant, si soigneux dans son apparence alors que ce n'était en aucun cas son habitude, l'on soupçonnera l'importance de ce rendez-vous galant pour le Mangemort. Ayant donc convié l'un de ses plus proches fréquentations, l'une des rares envers lesquelles il accordait sa confiance, son amitié, son affection, voire plus, probablement même, en ce cas, Wille ne désirait pour rien au monde, gâcher ces instants précieux, les suls durant lesquels, il pouvait profiter de ce dont il aspirait dans sa plus profonde intimité, des objectifs d'un ordre totalement différent, à ce que l'on puisse attendre d'un Mangemort tel que lui : le coeur d'une femme. Etpour cause, son coeur à lui, battait très fort à ce moment-là, rongé par la peur de décevoir, porté par la secrète ambition de plaire à sa compagne.

Huit coups, graves et languissants, venaient dêtre sonné dans quelque église ou quelque campanile du coin. Espérons. Espérons, oui, qu'elle ait pu recevoir la missive qu'il avait rédigée et envoyée au dernier moment, celui-là même, qui, après une mûre réflexion, la conviait à se rendre en ce lieu mystique et romantique, mais tant dérisoire à ce que lui, désirait lui offrir. Valentina, auras-tu consenti à venir en ce lieu, afin d'écouter ce que j'ai de si important à te confier? furent probablement les dernières pensées de Will en cet instant d'attente, lourd d'appréhension.
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MessageSujet: Re: Romantisme et confusions [Valentina]   Romantisme et confusions [Valentina] Play211Jeu 28 Aoû - 22:46

    Il y a quelques heures. Un hibou vint à frapper à la fenêtre du manoir perdu dans une sombre forêt à l’abri des curieux. Mais surtout à l’abri de ces idiots de moldu que sa propriétaire n'appréciait guère. Le manoir s’étendait dans une prairie au milieu des chênes, sapin, boulot et autre type d'arbre. Il paraissait comme venir d'une autre époque, là où être sorcier voulait dire aller au bucher. Dans un style médiéval. Le manoir paraissait vieux, usé et repoussant mais pour sa propriétaire il était magnifique. Malgré les nombreuses pièces du Manoir. La belle blonde y vivait seule avec ses nombreux elfes de maison, sa cuisinière cracmol et son major d'homme. La jeune femme du nom de Valentina Isabelle Parkerson était une mangemorte à plein temps. Celle-ci avait récupéré la lettre de la patte du hibou et l'avait laissé partir s'envoler au milieu des tours du manoir médiéval. Valentina ouvrit alors la lettre. Celle-ci provenait d'un de ses amis les plus proche William Charles Enfield lui demandant de le retrouver à 20h00 chez Madame Piedodu. La belle blonde ne pu s'empêcher d'étirer un sourire sur son visage parfait. Elle n'était pas vraiment pour les marques d'affections comme les sourires discrets et tout mais s'était différent. La jeune femme déposa la lettre sur une commode et se rua vers une pièce remplie de vêtements en tout genre. Voilà le problème d'avoir trop de tenue. On ne savait jamais quoi mettre. Elle passa presque une heure à choisir ses vêtements et à faire sa toilette. Bien qu'elle avait souvent droit à des rencards avec des hommes. Celui-ci lui tenait bizarrement à cœur. Après être sortie de sa douche, elle regarda sa montre et fut étonnée qu'il soit déjà 19h47. Allait-elle être en retard ? Mais c'était une femme et il fallait bien qu'elle se fasse attendre non ? Bien qu'elle était impatience de retrouvé son "collègue" pour dîner. La jeune femme durant sa scolarité et tout le long de sa vie avait collectionné les hommes avec de fort tempérament mais il se trouvait qu'elle avait toujours rêvé que William et elle pourrait être un peu plus que de simple amis. Il était clair que ses cheveux blonds toujours en bataille et ses yeux gris ne la laissaient pas indifférente. Valentina faisait depuis longtemps des rêves qu'elle garderait secret jusqu'à la fin de sa vie où elle et son collègue avaient une relation qui n'avait rien avoir avec le mot platonique. Valentina Isabelle arrêta de rêvasser et s’habilla en espérant qu'elle avait choisis la bonne tenue et qu'elle ne le regretterais pas dans la soirée.
    La belle blonde enfila une cape et descendit les grandes marches qui menait au rez-de-chaussée et sortit dans le parc pour transplané dans un *crac* sonore à Pré au Lard devant le restaurant. Devant la porte de cher Madame Piedodu. Valentina retira sa cape noire et la fit disparaitre d'un coup de baguette. Elle poussa la porte du restaurant révélant au peu de monde sa robe bouffante verte émeraude lui arrivant en dessous des genoux et ses talons doré assorties aux quelques reflet doré de sa robe. Ses cheveux blonds avaient été détachés en cascade autour de son visage et ses yeux bleus étaient entièrement maquillés de noir. Voyant que le seul client du restaurant était son ami. Valentina s'autorisa un sourire et s'avança d'un pas sûr vers la table magnifiquement décoré. Deux chandelles se dressait au milieu de la table sur une nappe de rose rouge et blanche et donnait un aspect romantique. William se tenait assis sur l'une des chaises dans une tenue élégante. Valentina se sentis sa robe un peu trop courte à côté de la tenue de son ami. Lorsque son regard croisa la sien, elle se sentit rougir malgré qu'elle essayait de cacher son entrain


    Bonsoir Will

    Réussit-elle à dire en restant impassible à son cœur qui battait la chamade. Elle s'avança vers l'habituelle chaise recouverte d'un coussin rouge aux lignes doré. Elle s'y assied et plongea son regard dans celui de son ami. Valentina s'empêcha de lui prendre les mains se sentant ridicule.

    J'ai été surprise de recevoir ta lettre. J'espère que tu me pardonnera mon retard

    Risqua t-elle auprès de lui, ne le quittant pas des yeux. Elle se sentait comme dans l'un de ses rêves avec un aspect encore plus romantique qui devenait irréaliste.
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MessageSujet: Re: Romantisme et confusions [Valentina]   Romantisme et confusions [Valentina] Play211Sam 30 Aoû - 19:54

Faible lumière du crépuscule qui s'estompait peu à peu à l'horizon lointain; la face du soleil, devenue rougeâtre, sanglante, comme si l'astre devait encore une fois, une éternelle fois, subir et assister malgré lui, à son propre massacre, afin que s'ensuive ténèbres et obscurité; la nuit encore une fois, belle et brillante, de par les étoiles qui illuminent son manteau, mystérieuse et inconnue, de par la sobriété et l'inconnu qui émanaient de sa noirceur, semblait s'être imposée encore une fois en vainqueur, au terme d'une longue journée de dur labeur. L'homme qui se tenait derrière cette vitre, le regard vague et l'esprit perdu, et qui assistait impuissant, aussi mortel et insignifiant humain qu'il était, à ce spectacle mélancolique et languissant, n'avait pourtant rien à envier à ce mouvement récurrent de la nature. Lui aussi un jour ou l'aure, il le savait, dans quelques instants, demain ou au terme de plusieurs décennies, subirait cet acte involontaire et inévitable, preuve de la faiblesse corporelle, chair dépérissant au fil du temps de manière inconsciente, que ses semblables appelaient mort. Après tout lorsque l'on y repensait, l'épuisement d'un journée, ainsi que celle de la vie humaine, n'étaient pas si indissociables: torpeur, fatigue, étourdissement, sommeil, tous teintés d'une certaine majesté et qui ne laissait transparaitre dans l'un comme dans l'autre des cas, qu'un vide, un néant dont chacun essaye vainement d'en discerner la contenance et qui ne représentait en réalité qu'une limite imaginaire et inconsistante entre un univers, celui physique et matériel, et un autre, partagé cette fois-ci en deux sections bien distinctes - le rêve que l'on appelait paradis, et le cauchemar, que l'on appelait enfer - et dont les seuls à en avoir fait l'expérience, étaient ceux que l'on désignait de dormeurs : les morts eux-mêmes. Bref, ce n'était que l'achèvement naturel d'une vie pami dautres, mais dont pour l'instant, le jeune homme aux cheveux blonds semblait bien vouloir échapper.

Et de fait, il s'éait fixé une mission dont l'importance dépassait de beaucoup celles dont il avait coutume d'accomplir sous ses traits de Mangemorts. Cette tâche qu'il allait devoir efffectuer, plus personnele et intime que tout autre chose, allait probablement bouleverser définitivement sa vie dans un sens positif. Non pas qu'il allait basculer dans le camp des défenseurs des opprimés - idée risible - mais ce sentiment dont il avait étudié les moindres aspects, dont il avait retourné et reretourné la question plusieurs fois dans sa tête, cette attirance non pas seulement physique mais aussi psychologique, qu'il ressentait envers la jeune femme, si belle et si radieuse, lui paraissant drole, jolie, intelligente, cette boule qui naissait dans son ventre et cette allégresse qui envahissait son esprit lorsqu'il se trouvait à ses cotés, lorsqu'il l'effleurait des doigts minces et frêles et qu'un frisson lui parcourait tout de suite le dos, lorsque ses cheveux frolaient sa propre peau et lorsque son parfum ennivrant s'imprégnait d'une manière douce et soyeuse dans ses propres narines, qu'il jugeait trop indignes afin de gouter à cette odeur paradisiaque, ce sentiment, disait-on, qui faisait de Will un homme heureux et passionné, le jeune homme avait voulu le faire partager, le faire découvrir dans toute sa pureté et sa splendeur à sa Valentina, l'élue de son coeur. Aurait-il voulu lui en jeter plein la vue qu'il ne s'y serait pris autrement: la table apprêtée, le lieu romantique convenablement choisi, et le costume, élégant et charmant, tout fraichement dégoté d'une boutique de vêtements, Will Enfield voulait plaire à celle qu'il admirait plus que tout, à celle à qui il se livrerait sans hésiter tout entier afin de lui donner sa vie, son amour, et d'obtenir une chance de pouvoir la cotoyer, la contempler, l'embrasser, s'abandonner à elle tous les jours, sans jamais cesser de lui prouver à quel point le ressentiment qu'il hébergait en son corps et en son esprit était fort et innomable. Pourtant, au delà de toute cette passion, une certaine peur compressait son estomac, faisait en sorte même, que des gouttes de sueur perlaient de son front. Jamais pareil jour n'était survenu dans sa vie, jamais pareille situation, si noble mais si appréhensive, ne s'était présentée à lui jusqu'à maintenant. Cette angoisse de ne pas voir la réciprocité de ses sentiments confimée, ou de ne pas plaire suffisamment à celle pour laquelle l'on état prêt à tout, l'oppressait plus que tout au monde, voilà quel était l'état d'esprit du jeune homme lorsqu'enfin, elle le rejoignit.

C'est à peine s'il avait remarqué l'entrée de la jeune femme, enfin plutot l'acte en lui-même, car plus subjugué qu'autre chose par la créature qui venait d'entrer, vetue d'une somptueuse robe verte, et chaussée de talons dorés, il sembla que le jeune ne puvait s'intéresser à autre chose qu'à la contemplation de sa bien aimée. Plus que d'habiude, la jeune femme semblait entourée d'un certain halo de beauté duquel Will avait toujours jugé irrespecueux de s'approcher. Ses yeux gris, devenus plus quejamais éclatants, et ses cheveux blonds coiffésselon une extrême perfecion semblaient pâles face à ce quela jeune femme représentait pour lui en ce moment là: jamais plus peut-être de sa vie, il ne pourrait profiter de cette vision de béatitude et sans doute fut pour celaqu'il restait là à imprimer dans son esprit l'image de cette entrée si simple maspourant si fracassante de sa bien aimée à ses côtés. réveillé soudainement par le salut de cette dernière, il lui falaut plusieurs scondesafin de réagir et s'exécter dignement comme il l'avait répété de si maintes fois auparavant dans son esprit. faisant donc virevolter sa cape derrière son dos, et effecuant une révérence enevrs sa valentina, presque genoux à terre, il porta sa main au niveau de sa bouche et la baisa tendrement.

- Miss Parkerson ,c'est moi qui devrais me faire pardonner de vous avoir pressée ainsi.

Sur ce, il se leva subrepticement, et d'une manière gentlemanesque, conduisit sa cmpagne jursqu'à la chaise qui lui était réservée, la tira, et l'y fit s'asseoir délicatement, avant de s'interposer face à elle, débouchant une bouteille de champagne, ses yeux plongés amoureusement dans les siens. Jamais Will n'avait éprouvé de remords à dévisager une personne en la fixant dans les yeux. Avec Valentina pourant, rien que le contact visuel, lui procurait d'intenses frissons etjamais il n'avit réussi à tenir pluieurs instants afin de baisser la tête, non par soumisssion, mais par une étrange gêne.

- J'espère que je n'ai pas trop été excessif dans les décorations, j'ignore ce qui t'aurait plu le plus.

Enfin, hésitant, il profita d'un temps de réflexion afin d'aller s'asseoir à son tour sur sa chaise avant de conclure, un sourire tmide esquissé sur le visage:

- ... néanmoins vu la mise en scène que je t'ai prévu, je suppose que tu as déviné que ce soir... est une occasion toute particulière pour moi.

Ni une affirmation ni une question, plutot quelque chose qui baignait entre les deux. Le teint étrangement rougissant, ce fut avec une certaine timidité non coutumière chez le Mangemort, qu'il versa un peu de champagne dans chacune des deux coupes présentes, et dont la mousse légère et vaporeuse, s'élevait déjà jusqu'à déborder du récipient. Un sourire vague mais triste, qui refléait bien lanxiété que couvait le jeune prétendant, au vu de sa future déclaration, dessinait d'ores et déjà, un sillon creux, et doux, le faisaint paraitre comme un enfant embarrassé d'une betise qu'il aurait faite, sur son visage, envahi d'appréhension.
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MessageSujet: Re: Romantisme et confusions [Valentina]   Romantisme et confusions [Valentina] Play211Sam 6 Sep - 19:46

    Comment décririez-vous l'amour en un mot ? Impossible vu qu'il y en a beaucoup trop pour ne mettre qu'un seul mot. Se sentiment qui nous donnait des frissons dès qu'on frôlait l'être aimer. Dès que son regard se pose sur vous on se sent tous petit. Seule cette personne peut vous faire vous sentir mieux. Vous donne l'envie de vous surpasser à chaque fois que vous le voyez. Vous seriez prêt à mettre votre vie en péril pour cette personne et douter souvent de vous lorsqu'il ne vous fait pas comprendre qu'il à les mêmes sentiments à votre égard. Une confusion et une certaine adrénaline vous pousse à faire des choses que vous n'auriez jamais fais. En effet. Beaucoup de personnes feraient n’importe quoi par amour ou juste pour que l'être aimé vous remarquer, vous lance un sourire, un regard ou autre qui vous donnerait un sentiment de pouvoir traverser tout les océans du monde ou de courir un marathon. Un sentiment de confiance en soit. Voilà se qu'on dirait de l'amour.
    Valentina Isabelle Parkerson n'était vraiment une personne à montrer ses sentiments. Elle les cachait au plus profond d'elle, s'empêchais d'être amoureuse. Ce n'était qu'un jeu pour elle. Un jeu qui avait finit par la rattrapée et qui s'appelait William. Ce jeu auquel elle aimerait tant cerner ses sentiments et enfin démarrer quelque chose de stable et de romantique. La belle blonde avait accepté le rendez-vous de William Charles Enfield. Un gentleman avec qui elle partageait une relation amicale mais celle-ci aurait voulu que sa aille plus loin. Une relation purement platonique avec lui n'était sûrement pas envisageable lorsque votre cœur s'accélérait dès que vos regards se croisaient. Qu'un frisson parcourait votre corps rien qu'avec un petit frôlement. Qu'un sentiment d'être invincible vous parcourait dès qu'un sourire se formait sur son visage et qu'il hantait tout vos rêves. Enfin bref. La belle blonde se trouvait maintenant devant la porte de cher Madame Pieddodu. Lieux qu'elle n'aurait jamais fréquentée auparavant mais que devons nous faire pour séduire un homme. Elle fit alors son entrée dans le restaurant vêtue d'une simple robe de cocktail verte émeraude un peu courte ainsi que des talons argenté. On pouvait dire que la belle Valentina Parkerson avait le sens de la serpentardesquerie vue les couleurs qu'elle portait se soir. Ses yeux bleus étaient plus brillant que jamais et dès qu'elle vit William. Elle sentit son cœur s'accélérer. Jamais elle n'avait ressentis ce sentiment. Elle avait toujours cru que les garçons n'étaient que des accessoires qu'on jetait dès qu'ils n'étaient plus à la mode. Mais on pouvait dire que son rencard de se soir était I.N.D.E.M.O.D.A.B.L.E. Celle-ci le salua, un peu gênée et il la guida à sa chaise. Valentina avait remarqué l'ambiance romantique qui y régnait. Elle n'aurait jamais cru cela de son ami. Elle s'excusa de son retard mais celui-ci s'excusa de l'avoir pressée. Elle lui adressa un sourire plein de malice mais ses yeux étaient aussi pétillants que les étoiles qui bordaient le ciel en ce soir d'été. Le jeune homme déboucha une bouteille de champagne pour en servir un verre à Valentina qui le remercia. Après sa remarque sur la décoration. Valentina le coupa.


    J'ignorais que tu étais un romantique William. Tu me caches beaucoup de choses.

    Il lui dit alors que ce soir était un soir spécial. Valentina l'interrogea du regard intriguée. Que voulait-il dire. Elle leva son verre en disant.

    Et que fêtons nous ?
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