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![Le soleil brille mais pas dans mon coeur[FE] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: Le soleil brille mais pas dans mon coeur[FE] Jeu 25 Sep - 22:33 | |
| - La vie, la vie est censée être quelque chose de magnifique, quelque chose qu’on aime revoir dans son esprit par la suite, dans le futur mais bon, cela ne se déroule pas vraiment comme sa pour un jeune homme. Oui, pour Dolce c’était différant, une histoire tros différente ! Déjà, ce jeune homme était né dans ce château même, oui, à Poudlard il avait vu la vie mais avait connu la mort tout aussi vite. Sa mère, Mirella, morte en donnant naissance à un fils qui plus tard s’en voudra énormément. Le jeune homme était la, couché dans son lit, regardant le plafond de son air mélancolique et rêveur en même temps. Tans de choses c’était passé depuis qu’il était né, la mort de ses proches, l’éloignement de sa famille, la solitude, les flashs. Maintenant, qui était-il ? Peut de chose à vraie dire, juste lui, juste un jeune homme intelligent et gentil… Tout simplement Dolce… Le jeune homme se redressa s’appuyant sur ses bras, regardant le dortoir calmement tous le monde était parti manger et lui ? Ben lui était toujours le dernier. Un soupire s’échappa de ses lèvres, ses yeux vairons se posèrent sur une photo de famille. Cela ne le faisait jamais sourire, cette photo le ramenait en arrière, cette photo le rendait peineux. Silencieusement, Dolce se leva et alla chercher des habits, on était Samedi aujourd’hui donc il n’avait pas cour. Il prit un jeans simple et un tee-shirt noir sans manche, le soleil brillait dehors mais celui-ci ne réchauffait jamais son cœur. Il alla ensuite dans la salle de bain pour se laver, se rafraîchir un minimum en tout cas. Une fois fait, il s’habilla et sorti de la salle commune de Gryffondor, ne posant pas son regard sur les gens qui l’entouraient. Il avait peur du regard des autres, c’était peut-être bête à dire, mais c’était se que lui ressentait.
Déambulant dans les couloirs, il regardait le sol songeur, mystérieux. Il sentait quelques regards se poser quelques fois sur lui, cela le gênait, il avait l’impression d’avoir une étiquette dans le dos qui disait qui il était. Plongé dans ses pensées, il repensait à la mort de son père, ce jour ou tout a commencé, ce jour ou tout c’est terminé. Oui, il était mort ce mardi la, pas physiquement mais mentalement il vacillait entre la vie et la mort. Sombres pensées hantait son esprit, douce rêverie apparaissait dans ses pensées et pleure la nuit en silence dans son lit… Dolce ne vit pas une personne devant lui et fonça droit sur celle-ci, vacillant faiblement en arrière il leva les yeux vers cette dernière. Poli, il ne la connaissait pas, il dit de sa douce voix, honteux de sa maladresse habituelle
« Désolé…je suis vraiment désolé… »
Celle-ci l’excusa rapidement et il pu reprendre sa marche solitaire comme toujours… Accompagné il ne l’était jamais, il avait tout abandonné à la mort de sa grand-mère, la dernière personne qu’il aimait, dont il était fière. Dolce se retrouva alors dehors, le soleil brillait mais lui, il avait l’impression d’avoir froid, si froid… Il secoua légèrement la tête, il avait mal, encore une migraine. Il se remit en marche, se massant légèrement le crâne, essayant de faire passer la douleur aussi infime soit-elle. Il se dirigeait vers le bord du lac, un endroit ou il allait souvent. Il contemplait pendant des heures la surface lisse et luisante de l’eau admirant ses courbes dansantes au gré du vent. Marchant dans l’herbe, il regardait une nouvelle fois le sol, rarement était les moments ou il regardait devant lui. Le jeune homme arriva près d’un arbre, il s’y adossa et son regard se redressa pour se poser vers son spectacle favori, l’eau. La surface du lac dansait doucement, accompagné du vent, un rare sourire vient se poser sur ses lèvres. Certes, devant les autres il souriait sans cesse mais seule, il ne souriait jamais. Solitude, tu hantes son âme comme aucun autre sentiment, tu t’empares de son cœur tout doucement le fermant à double tour… Ce cœur qui souffre depuis tellement temps, ce cœur qui crie ce manque d’amour, ce manque d’attention. Dolce prit une fleur qui était à ses cotés, il l’observa entre ses mains quand il se paralysa, un flash, une grande migraine, il ne bougeait plus. Il voyait une personne floue, celle-ci était à ses cotées, assise près de lui. Il entendit une voix, une voix lui dire
« Il fait beau aujourd’hui ? »
Rien de plus…Dolce vacilla et du se retenir avec une de ses mains pour ne pas tomber sur le sol, il avait mal à la tête… Qui était cette personne ? Au moment ou il se demanda cela, il entendit un bruit de pas. Il n’osa pas regarder, il se redressa faiblement, son visage pâle baissé, ses yeux vairons fixés vers le lac.
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