Cassie se demandait bien ce qui avait put la réveiller. Elle se releva en sursaut et entendit immédiatement ce qui l'avait tiré du sommeil. Dehors, le vent soufflait avec force. Cassie se laissa tomber sur ses oreiller et parvint à se rendormir quelques instants plus tard. Lorsque la jeune Serpentarde se réveilla à nouveau, il était neuf heures et le vent soufflait encore. Le ciel était noir mais il ne pleuvait pas. Pas encre en tout cas. Cassie entra dans la salle de bain, prit une longue douche bien chaude, s'habilla d'un jeans noir moulant et d'un T-Shirt blanc moulant. Elle descendit prendre son petit déjeuner, remonta se laver les dents et se maquiller. La salle commune était bondée et bruyante. Une sortie à pré-au-lard était prévue cet après-midi, mais peu d'élèves avait prévu d'y aller. Cassie faisait partie de ceux qui avait envie de braver le vent uniquement pour sortir un peu du château. Elle prit donc son grand manteau gris en tweed et sortit du château. Elle marchait d'un pas rapide, les mains enfoncé dans ses poches. Elle entra dans les Trois Balais. Le pub était plein à craqué et les rires résonnait de partout. Les conversations allaient bon train. Elle s'installa à la seul table de libre. Elle commanda une bierraubeurre et en but une gorgée. Un élève à qui elle n'avait jamais parler mais qu'elle savait à Serpentard s'installa devant elle et, sans lui demander, tira la chaise en face d'elle et s'installa. Lily était un peu étonné mais ne dit rien. Le Serpentard la fixait en souriant.
- Quoi ?
- Rien, je te regarde, j'ai pas le droit ?
Cassiefaillit répondre "Non." mais elle se retint, tourna la tête et regarda ailleurs. Apparemment, le Serpentard était avec ses amis qui étaient accoudé au bar. Le jeune homme s'approcha d'elle et lui déposa un léger baiser sur les lèvres. Cassie voulu se lever se foutre une baffe à ce jeune impertinant, mais elle sentit des mains la forcer à se rassoir. Les amis du jeune homme étaient venu s'assoir à la table où Cassie se trouvait. La jeune Maxwell avait beau être courageuse, elle n'était pas assez débile pour s'attaquer à six garçons de septième année. Elle resta donc bien sagement assise, sans pour autant sourire. Elle tirait plutôt une tête pour leur faire comprendre qu'elle ne voulait pas qu'ils passent leur vie ici.