Trois petits tours de Bouffondor. [Fe Aena I.]

Trois petits tours de Bouffondor. [Fe Aena I.] 23

Aena and Joyce.
Comme un éclat de rire
Viens consoler tristesse.
Comme un souffle avenir
Viens raviver les braises.
Saez Jeunesse Lève toi.

Joyce tournait comme un lion en cage dans la salle commune des Serpentard. A tel point que plusieurs fois on lui fit remarquer qu'elle donnait le tournis à tout le monde et qu'elle s'épuisait pour rien. Mais Miss Johanson était comme ça. Elle avait toujours besoins de bouger. Et rester assise ainsi sans rien faire n'était pas dans ses habitude. Si les autres voulait jouer les légumes et bailler au corneille toute la journée en ce Dimanche pluvieux, libre à eux. Mais la jolie blonde, elle, avait plus d'ambition que ça. La pluie qui avait menacé de tomber toute la semaine, et en particulier hier c'était faite attendre. out le monde attendait ce petit rafraichissement, ne tenant plus l'air lourd, par la chaleur et la menace. Une pluie diluvienne et soulager tout le monde, mais qui avait l'inconvénient de priver Joyce ce ses mouvement. Qu'aurait-elle put faire ? Courir dans le château ? Monter et descendre les escalier le plus vite possible ? On ne faisait rien de plus ennuyeux ! La pluie avait commencé à tomber dès le matin, cognant avec force contre les fenêtres du dortoir des filles. Et depuis, en ce début d'après-midi, elle ne c'était toujours pas arrêté. Peut-être les nuages avait-ils besoins de déverser complètement leurs eaux... En tout cas le tonnerre s'y mettait aussi. On pouvait l'entendre des cachot, où était "dissimulé la salle commune des disciple de Salazar Serpentard, cet illustre sorcier qui avait donné son nom à sa maison. La vert et argent n'osait pas imaginer dans quel état devait se trouver le plafond de la grande salle qui reflétait toujours avec exactitude le temps à l'extérieur des murs du château. La demoiselle finit par se laisser tomber devant un fauteuil et replia ses jambes sur elle même. Les yeux dans le vague, fixant le feu de la cheminée sans même le voir, elle pensa aux relation entre les maisons. Plus précisément aux relations entre Salazar Serpentard le serpent, et Godric Gryffondor, le lion. Dans les livres d'Histoire et en cours d'Histoire de la magie, en raconte que tout les deux étaient des amis inséparable lors de la création de Poudlard. Mais peu à peu, leurs idée se sont opposé, entraînant les querelles. Querelles dont le sujet le plus fréquent étaient les nés-moldus, ces sorciers dont on ne connaissait aucun parent possédant des pouvoirs. Comment une amitié pouvait-elle briser simplement à cause de ça ? La question avait-elle une si grande importance ? Après tout, les nés-moldus étaient des sorciers comme les autres. Et Joyce ne jugeait pas les gens sur leur lignés mais sur leur capacité et leur caractère. Et depuis tout ce temps, les deux maisons se détestait, de génération en génération. Mais la blondinette avait ses propres raisons pour haïr les rouge et or. D'abord il y avait ce prétendus courage qui les faisaient croire meilleure que d'autre. Puis il y avait cet homme. Celui qu'elle avait croisé quand elle était en première année. Ce Gryffondor de dix-sept ans qui lui avait lancé un regard chargé de haine et qu'elle avait retrouvé six ans plus tard. Sauf que cette fois, celui-ci était auror et la menaçait de sa baguette, sauf que cette fois, l'ancien Gryffondor avait tué son père et son frère aîné, détruisant ainsi la famille de Joyce. Donc la Serpentard considérait qu'elle avait de bonne raison de ne pas porter les lions dans son coeur. Elle réagit à peine quand un jeune homme de la même année qu'elle s'installa sur l'accoudoir de son fauteuil.

« - Bouh. Tu espère voir quoi dans le feu ?

- Quand on à les yeux dans le vide, c'est que le cerveau fatigue.

- J'ai du mal à croire que ton cerveau puisse se fatiguer... »

La Lady haussa les épaule mais ne répondit rien de plus, bien trop perdue dans ses pensés. Le vert et argent claqua des doigts devant son visage mais elle ne réagit toujours pas. Elle se contenta de pousser un profond soupir, sortant finalement de sa léthargie. Elle chassa de ses pensée les relation qu'elle avait avec les Gryffondor et surtout les souvenir de son passé. Elle savait que de toute façon elle reverrait la scène cette nuit, si l'orage continuait. Pas besoins d'y penser en plus dans la journée, elle avait déjà bien assez peur du moment où elle reverrait les corps de son père et de son frère tombé à terre, le moment où elle se verrait, hurlant de douleur, les larmes coulant sur ses joues, maintenant par son tortionnaire. Elle se leva donc de son fauteil en plaquant une bise sur la joue de son camarade qui sourit. Joyce était de retour ? Pour le meilleure... ou pour le pire ? Elle sourit se sentant soudain un peu plus réveillé. Elle monta dans le dortoir des filles et prit une veste courte d'un geste de la main. Elle l'enfila en sortant de la salle commune et ne regretta pas son geste. La différence de température entre les couloirs des cachot et la salle commune était plutôt stupéfiante, sans être glaciale non plus. Joyce se balada alors quelques instant, flânant entre les cachot. Elle était heureuse de pouvoir enfin faire autre chose que de tourner en rond. Elle entendit alors des pas qui arrivait dans sa direction. Qui pouvait bien être allé faire un tour dehors, ou même dans le château alors que tout les élèves semblaient d'un seul coup être atteint de "flémagite aigüe" ? Elle sortit sa baguette et la pointa devant elle. Elle se fit le plus discrète possible, avançant à pas de loup dans le couloir sombre. Elle avait l'avantage d'être chez elle et donc de connaitre l'endroit pas coeur. Elle savait qu'a trois pas devant elle, le couloir formait un angle. Pas manqué. Les pas semblait se rapprocher. Ayant toujours eut une bonne vue et ses yeux s'étant sans peine accoutumé à l'obscurité, elle distingua une silhouette non loin d'elle. Elle parvint même à distinguer les couleur rouge et or de l'uniforme. Un sourire mauvais s'étira sur les fines lèvres roses de la belle. Un Gryffondor seul dans les cachots. Il était bien téméraire... Elle pointa sa baguette sur lui, décident de s'amuser un peu. *Levicorpus !* Qui lui avait donc enseigné la technique de ce sort ? Sans doute Liam à ses heures perdue, songeant que sa petite sœur en aurait toujours l'utilité. Il avait eu raison. Un cri de surprise s'échappa de la gore du jeune homme qui se retrouva pendu en l'air par les pieds de la façon la plus ridicule qui soit. Joyce ne put s'empêcher de ricaner quand elle le reconnut. Tamara, sa meilleure amie, était sortit avec lui à une époque ! Et lui, jugeant sans doute que la belle Tamara n'était pas assez bien pour lui, était allé voir ailleurs, ridiculisant ainsi l'amie de la jolie blonde. Elle avait d'ailleurs juré que cette histoire n'était pas finit. Les gens avaient finit par oublier. Pas Joyce. Le Gryffondor de sixième année regardait autour de lui d'un air stupide, puis trop étonné pour crier ou faire quoi que se soit, dépensant toute son énergie à trouver une solution pour se sortir de cette embarrassante situation. Sa baguette tomba alors de sa poche, roulant à terre. C'était vraiment trop drôle de le voir se débattre ainsi,s e demandant d'où venait l'attaque.

V

E

A

L

E

Pointant toujours sa baguette sur le Serpentard, Joyce était secoué d'un fou rire silencieux. Ce petit imbécile présomptueux avait enfin ce qu'il méritait ! Il y réfléchirait à présent à deux fois avant de s'en prendre à quelqu'un qui comptait aux yeux de la jeune sorcière. Il avait même de la chance que la jolie blonde haïssent les Gryffondor au plus au point sinon sa punition aurait était encore pire ! Par exemple la demoiselle serait sortit avec lui, le temps d'une soirée puis l'aurait ridiculiser en s'affichant dans les bras d'un autre dès le lendemain. Ce n'était pas les prétendants qui manquaient. Ainsi il aurait vu ce qu'être cocufié pouvait causer comme dommages intérieur ! Mais si Tamara avait fait l'erreur de sortir avec un de ses moins que rien, ce ne serait pas le cas de Miss Johanson qui eut des nausée rien que de s'imaginer pendus au coup d'un pareil abrutis ou en train de l'embrasser. La vision donna des frisson à la belle qui se ressaisit. Le Gryffondor regardait de tout les côtés, essayant désespérément de récupérer sa baguette magique sans aucun succès. La scène était d'un ridicule absolument tordant ! Peut-être pas pour l'acteur mais le spectateur, dans le cas présent, la spectatrice, avait les sentiment d'assister à un petit spectacle. Un jus de citrouille aurait était le bienvenu. Mais comme elle doutait qu'un pichet et un verre arrive en courant dans ce couloir désert, elle abandonna sa gourmandise, tout en se demandant ce qu'elle pourrait faire faire au jeune homme qui gesticulait toujours en silence. Peut-être bien que lui faire avaler quelques nids de cafards seraient une très bonne idée... Ou même lui faire prendre une belle couleur roses fuchsia... Trois petits tours de Bouffondor. [Fe Aena I.] 261117

Trois petits tours de Bouffondor. [Fe Aena I.] 261117

En si peu de temps, Joyce avait apprit des sorts plutôt pas mal... Au moment où l'idée de le renvoyer dans sa salle commune rose devenait très tentant, un sort fut lancé dans le dos de la demoiselle. Un sort qui atteignit ce qui semblait être son but, le Gryffondor. Ses lèvres se teintèrent de rouge vif pendant une ou deux secondes, brillant ainsi dans l'obscurité du couloir des cachots. Le sort avait était murmuré par une voix féminine que la Serpentard reconnut avant même de s'être retourné. Une voix qu'elle avait entendus quand elle était dans la salle commune et qui lui avait dit que tournait ainsi en rond était insupportable. La voix de leur préfète : Aena Imoen. La jolie blonde se tourna pour faire face à la préfète tandis que le Gryffondor commencé à parler. Un flot interrompus de paroles. Il parlait très vite en marmonnant si bien qu'on ne comprenait pas tout à fait ce qu'il essayait de communiquer au monde... Il commencé par se plaindre de sa situation, puis il enchaîna, par une mystérieuse transition, sur le jus de citrouille, puis sur sa petite soeur et commencé vraiment à divaguer en parlant du sort des pingouins sur la banquise Nord ! Quand elle lui jeta un coup d'oeil, la demoiselle éclata de rire.

Elle se tourna une nouvelle fois vers Aena. De septième année, brune, très jolie, elle aurait put être une rivale pour Joyce. Mais non ! La blondinette l'aimait bien. Certains Serpentard commençait à fréquenter les Bouffondor. Aena était fidèle au tradition. Tout comme miss Johanson. Les deux vipères échangèrent un coup d'oeil complice. La blondinette avait déjà vu ce sort mais elle avait du mal à se souvenir où. Elle avait le vague souvenir de sa chambre, d'un livre et d'un combat... Elle eut alors une sorte de Flash Bac comme elle en avait si souvent depuis un an. Mais cette fois elle ne voyait pas la mort. Elle se revoyait, à douze ans, assise sur son lit, son frère aîné à ses côtés. Il lui lisait un livre puis enchainait avec ses propres duels à Poudlard et ses plus belle réussite. C'est là que Ryan avait du parler à sa cadette de ce sort si utile. La lady revint à l'instant présent et adressa un sourire en coin à Aena.

« - Bravo ! T'as le coup de mains dis donc ! J'aurais pas fait aussi bien ! Je n'aurais même pas pensée à ce sort ! Toi aussi tu à des compte à régler avec cet abrutis ou tu veux juste t'amuser ? »

[H.J : Désolé c'est pas super comme post... =s]

Aena était quelques pas derrière la Serpentarde. Elle aurait aimé informuler ce sortilège mais la jeune demoiselle n'excellait pas encore dans ce domaine et le sort aurait moins bien fonctionner. La Préfète avait aussi toujours eu des idées farfelues dans les combats. Elle se souvint d'une fois...

_FLASH BACK ON*

Elle s'était perdu, voilà deux ans, dans ses pensées ce qui l'avait ammené à prendre le mauvais tournant d'une rue.Elle s'était retrouver dans une allée sombre. Une allée pas rassurante et connue : l'allée des Embrumes. Elle aurait dû partir, retourner sur ses pas, mais la jeune fille était d'une curiosité maladive.

Un homme, avec une cape sur la tête qui ne donnait franchement pas envie, avait été gentil avec la jeune fille. il l'avait d'abord bousculer, mais la jeune demoiselle de 5ème année n'avait rien eu. Il s'était excuser, son ton n'avait pas été froid. Oui, la jeune fille se souvenait. Aena se souvenait aussi qu'un homme c'était approcher d'elle et, l'étranger, à l'époque, l'avait fait partir. A partir de ce moment la Verte et Argent eu une confience totale en ce jeune homme qui, plus tard, lui dit son nom : Wyatt Peters. Son ange gardien la fit sortir de la ruelle et bien vite, trop vite, ils arrivèrent au chemain de Traverse.

Ils auraient dû se séparer mais Wyatt proposa un verre à la jeune demoiselle. Aena, sous le charme de l'inconnu accepta. Ils étaient allés dans un petit bar au detour de quelques ruelles, elle gardait un souvenir manifique de ce pub. Ils échangèrent leur nom et l'ange gardien de la belle Aena se revela être un Mangemort. Mais quel importance. La future Préfète était tombé amoureuse. Le sentiment avait été réciproque et il proposa même à la jeune fille de devenir son mentor. Elle n'eu qu'une leçon... Ils ne se revirent plus après.

Mais je voulais en venir à cette leçon. Ce moment où Wyatt avait été surpris par le sort lancé par la jeune demoiselle : Furunculus. L'Aurore qui avait reconnu Wyatt avait été désarsonné par la jeune 5ème année. Depuis ce jour elle aimait les sorts au quel on ne pensait pas...

_FLASH BACK OFF*

Son premier amour... Disparue... Aena l'avait pleuré longtemps... Un sourire se dessina sur les lèvres de la Préfète suivit d'une larme coula sur sa joue. Oui, elle l'avait aimé. C'était un adulte, un Mangemort mais Aena n'en avait pas grand chose à faire.

Mais revenons à nos moutons : ses combats, ses nombreux combats... Elle avait toujours alterné sort complexe et simple. Et elle avait toujours gagné. C'était Joyce qui tenait le Gryffondor du bout de sa baguette.

"Merci, ce n'est que pour m'amuser, je n'ai rien contre celui-là. Mais ils sont tous pareil ses Bonfons."

Sa pire ennemie était la Préfète des Gryffondors. Aena était même sortit avec certains Gryffondor mais tous avaient été des jouets.

« - Là, ce n’est pas moi qui te contredirais ! Tous des abrutis prétentieux... Mais lui sans doute plus que les autres ! C’est une bonne leçon qu’on lui donne. Il se rend enfin compte que tout ceux qui s’en prenant à mes amis le payent un jour ou l’autre. »

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