Aubergiste! Une bière!!! [pv Davis! ]

Cette nuit était délicieuse , et pleine d'intrigues ? Qui aurait pu penser qu'à l'instant même notre Summy trop empressée allait entraîner dans son baiser de chute son petit ami avec elle ?
Heureusement le tapis assez long et large avait amorti leur chute. Leurs fessiers étaient donc encore flambants neufs.
Miss Milles s'attaquait aux parties accesibles de se compagnon de chambrée. Toujours aussi nus l'un que l'autre.
Tandis que la serpentarde l'embrassait de partout assez toridement. Davis titillait à l'aide de mains caresseuses , les parties clés féminines du corps de Summer.
Bien cachés derrière le lit contre le sol , un spectateur X qui serait rentré en ce moment dans la pièce ne les aurait pas remarqué.
Mise à part , les quelques rires , soupirs , cris de joies , murmures et autres exclamations assez moyennes qu'un couple échangeait dans sa dernière phase de rapprochement.
"Confidences sur l'oreiller" , voilà un titre qui aurait pu collé avec la scène qui se déroulait devant nous.

- Alors je me laisses faire douce guerrière.

En attendant l'armistice semblait être signé , car après qu'ils se soient embrassé avec passion , elle voulait déjà se blottir dans ses bras avant que le summum de leur passion. Elle voulait être sienne.
Qui oserait tenir têtes aux décisions d'une femme ?
Pas Davis et surtout pas en ce moment. Pas maintenant qu'ils s'étaient enfin trouvés autrement qu'amicalement.
Leur relation évoluait , allait prendre d'autres tournures. Mais cela ne déplaisait pas au jeune homme.
Après tout il avait souvent été au contact de sa la jolie blonde aux yeux blonds. D'amis ils devenaient des amants.
Ils seraient plus ensemble , pourraient partager de meilleurs intants de convivialités.
L'image parfaite du bonheur en perspective.
Leurs peaux s'accordaient , se plaisaient. Où était le mal d'en profiter ? Il n'y avait pas.
Et dès demain ils seraient mariés secrètement.
Quel duo idyllique avait-il eu la chance de le faire , sans mourir 24 ou 48 heures après. Personne sauf eux.
Demain serait un autre jour. Aujourd'hui en était un autre. Et des éclats de voix se faisait entendre de la part des tourteraux , en train d'atteindre un certain état de joie. Toujours était-il qu'une cascade ce cheveux blonds dépassait l'horizon des draps.
Summer montait au front.

Censure.

Toujours était-il que les voisins avaient eu du mal à s'endormir avec des jeunes aussi actifs à coté.
Les dames ayant même pour certaines , chronométré le temps de résistance de Summer en train de prendre son pied.
Ceratines hypothèses de simulation étaient émises dans la chambre 412 alors que d'autres pensait que vraiment le jeune garçon savait s'y prendre pour apprendre à une fille à se donner aussi bien.
D'autre encore disaient que les blondes avaient ce sacré don , de vous faire lever la grue en moins d'une minute avec leur charme légendaire.
Quel que fût les véritables capacités de Summer et de Davis dans cette histoires. Les deux verts et argents étaient endormis l'un contre l'autre dans un lit de fortune à coté du luxieux qu'ils avaient à disposition.
La jeune femme avait dû avoir froit et bien que son chevalier servant dégagait de la chaleur. Quelques couvertures en plus ne devait pas être refusables.
Le soleil lui filtrait à travers les rideaux orangés qui se répercutait sur les cheveux jaunes-électriques de Summer avant d'atteindre les cheveux bruns de Davis.
Le visage de la descendante d'Eve tenait en équilibre contre le torse de son homme. Bougeant à travers les inspirations et expirations que produisait sa cage thoracique.
Le coq n'avait pas chanté (comment en pleine ville ?) , le réveil n'était pas en marche et nos amoureux s'offrait un nouveau moment de repos à deux.
Les bras de la jeune adulte autour de son cavalier , tandis que lui tenait sa taille.
Un oreiller tenait la tête du chéri pour ne pas qu'il ne se brise la nuque sous l'effet aphrodisiaque des embrassades de sa fiancée.
Les prêtres du mariage express pouvaient attendre. De toute façon , ils étaient là à toute heure (presque du 24 heures/24).
Mister Burningham dormait comme un bébé dans les bras de sa mère. Ses narines ne pouvant se passer de l'odeur corporelle de Summer.
Peut-être se réveillerait-elle avant lui. Allez savoir.