[terminé] Une nouvelle rencontre? Pourquoi pas... [Matthieu Brenel]

Ce matin là Mickaëla se réveilla de bonne heure et de bonne humeur pour une fois. Elle jeta dés le réveil un œil par la fenêtre histoire d’évaluer le temps qu’il allait faire aujourd’hui. Apparemment le soleil ne serait pas au rdv, comme bien souvent ses temps si d‘ailleurs. Mais comme il ne pleuvait pas encore elle décida tout de même de vouloir sortir dans le parc, histoire de prendre un peu l’air, il ne faisait pas si mauvais que cela. Elle se leva donc et alla directement en direction de sa douche, qu’elle prit rapidement contrairement à l’accoutumée. Une fois avoir tout de même passé le temps règlementaire sur ses cheveux qu’elle effectuait chaque matin depuis des années, elle estima qu’elle était enfin prête à quitter le dortoir.

Une fois habillée de son uniforme de griffon or donc, ne voulant rien porter d’autre aujourd’hui malgré le fait que ce jour fut samedi, elle se rendit à la grande salle histoire de prendre son petit déjeuné, qu’elle expédia aussi rapidement que possible, elle ne voulait surtout croiser personne se matin voulant être quelque peu seule et ne cherchant à parler à personne, elle voulait passer pour une fois une journée à peu près normale sans que quiconque ne viennent perturber quoi que ce soit. Une fois son petit déjeuné fini donc elle prit immédiatement le chemin du parc, sans s’arrêter pour dire bonjour à qui que ce soit. Après avoir franchis la porte du château, elle s’arrêta brièvement respirant à grand poumon l’air pure et bénéfique de ce parc, jetant un regard vite fait aux alentours. Elle appréciait ce silence, personne ne sortant tellement il faisait froid, elle avait beau aimer la compagnie des gens de temps en temps cela lui faisait le plus grand bien possible de se retrouver seul de temps à autre.

Et justement il n’y avait quasiment personne ce matin dans le parc, chose à peu près normal car soit les autres dormaient encore à point fermé, soient ils étaient trop frileux pour oser mettre le nez dehors. Elle repéra un arbre un peu plus loin qui lui semblait parfait pour se poser et ne penser à rien. Elle se dirigea vers celui-ci d’un pas tranquille, profitant de chaque bouffée d’air frais lui arrivant dans les narines en gonflant ses poumons à pleins régime. Une fois arrivé à l’arbre elle s’adossa contre celui-ci ne s’asseyant pas par terre, ayant quelque peu peur de se salir. Elle ferma les yeux un moment, profitant du silence, enfin presque car elle pouvait entendre bien distinctement le vent, les oiseaux et tout autres choses susceptible de faire le moindre bruit dans cet immensité où il était très agréable de se perdre de temps à autre.

Elle sentit soudainement une ombre se poser sur elle, ce qui lui fit ouvrir les yeux immédiatement se demandant qui pouvait bien venir la voir, car cela était très rare bien qu’elle fut quelqu’un de très sociable. Elle dévisagea l’inconnu/ inconnue se disant qu’elle avait passé assez de temps seul pour ce matin et qu’une conversation serait la bienvenue.

-« Bonjour, tu souhaites quelque chose ? »

Elle lui parla d’une voix qu’elle se connaissait peu en vérité, ce qui la fit sursauter quelque peu en s’entendant parler, et eut immédiatement pour effet de la faire rougir. D’habitude elle aurait abordé n’importe qui d’une autre manière mais là elle n’avait rien trouvé d’autre à lui dire. Aussi elle attendit la réponse de cette personne qu’elle ne connaissait pas encore, espérant se faire une nouvelle amitié ce jour.

Il était encore tard mais Matthieu n’arrivait plus à dormir. Tant de chose était arrivé ce week-end : la lettre de son ancien professeur de magie noire de Dumstrang et ses révélations, la discussion qu’il avait eue avec son père, sans oublier la découverte de son grand père et de sa cousine, Kaede. Il n’avait pas put encore tout dire à Hécate et attendait leur prochain rendez-vous avec impatience. Dans l’obscurité de sa chambre, il s’habilla rapidement, elle sortit sans faire de bruits. Il avait dans la main le livre peu recommandable que son prof lui avait donné en héritage. Mais il n’avait toujours pas eu le courage. Il ne savait pas pourquoi mais il présentait que si il le lisait, il accomplirait fatalement son horrible forfait.
Matthieu sortit dehors mais fut surpris de la météo. En effet, il avait espéré qu’il pleuve pour se rafraichir mais les nuages gris n’avaient pas encore versé leurs nectars. Il avança dans le parc désert, ce qu’il espéré, cependant, il vit quelqu’un d’allongé plus loin. Etait-ce encore quelqu’un qui était tombé dans les vapes. Matthieu se précipita prés de l’inconnue, se demandant si son hypothèse était là bonne. Mais il fut rassuré de voir la fille redresser la tête à son arrivé et lui demander

-« Bonjour, tu souhaites quelque chose ? »

Un peu gêné par son arrivé qui était passé de chevaleresque à ridicule, il dit calmement, essayant de cacher la gène qu’il éprouvait

-Non, rien, j’avais crut un moment que…Non, rien, oublie.

Il voulait s’éloigner de celle ci car en la dévisageant, il avait remarqué qu’elle portait du rouge et or, symbole de la maison Gryffondor. Or, bien que Matthieu était nouveau chez les verts et argents et même s’il se fichait royalement de la guerre entre les serpents et lions, Matthieu avait appris à éviter les Gryffons et leurs attaques.

Mickaëla attendit sa réponse qui la surpris quelque peu. Le jeune homme était apparrut en courant, la surprenant totalement. Il avait l'air quelque peu mal à l'aise. C'était un serpentard, qui apparemment ne voulait pas trop discuter avec elle car elle était une griffondor. Elle trouva cela bizard et cela la mis quelque peu sur la défensive directement.

-"Si tu ne veux pas trainer avec une griffondor dit le tout de suite, au lieu de rester planté là à ne savoir que faire."

Il était rare qu'elle agresse les gens, mais elle ne supportait pas du tout les veilles idées de guerre entre les serpentards et les griffondors. Son ennemie juré était bien une griffondor aprés tout. Elle attendait de voir la réaction du jeune homme avec impatience.

-"Tu sais ce n'est pas parce que j'appartiens au rouge et or que je suis du genre a mordre les gens ou que je ne suis pas sociable."

Elle avait ajouté ceci sur le même ton que sa précédente phrase, qui se voulait vexant quelque peu, mais pas trop pour ne pas le faire fuire tout de meme.

-"Si tu ne veux pas trainer avec une griffondor dit le tout de suite, au lieu de rester planté là à ne savoir que faire. Tu sais ce n'est pas parce que j'appartiens au rouge et or que je suis du genre a mordre les gens ou que je ne suis pas sociable."

Il se retourna vers elle, le regardant droit dans les yeux, comme à son habitude et dit calmement, froidement avec une teinte d’ironie dans sa voix.

-C’est bizarre, j’aurais toujours cru qu’être sociable, c’était déjà de ne pas agresser le premier venu. De plus, je n’aimerais pas imposer ma présence qui à déjà l’air de t’embarrasser. Mais je comprends tout à fait ton point de vue !

Non mais ! Il n’avait rien faite de mal, il était même accourut croyant être utile et elle, elle l’envoyait bouler comme cela. Elle était d’apparence aussi sociable qu’un ours affamé pouvait l’être avec un homme déguisé en steak.

-"Tu ne me dérange pas le moions du monde. Puis-je savoir ce qui te fait penser cela? C'est toi qui te pointe là en courant, seul Dieu sait pourquoi, et qui repart sans même te présenter. Comment veut-tu que je te parle correctement après cela?"

Mickaëla avait quelque peu changer de ton, espérant que celui-ci ferait de même. Elle n'aimait pas se faire des ennemis. Elle préférait bien s'entendre avec les gens. Elle qui était douce et calme généralement. Elle baissa les yeux de honte, elle n'apréciait pas beaucoup qu'on la prenne de haut comme le jeune homme était entrain de le faire. Elle trouva donc soudain un intéret spéciale pour ses chaussures. C'était beaucoup plus simple que de le regarder dans les yeux et de se sentir dévisagée de cette manière.

-"Tu ne me dérange pas le moions du monde. Puis-je savoir ce qui te fait penser cela? C'est toi qui te pointe là en courant, seul Dieu sait pourquoi, et qui repart sans même te présenter. Comment veut-tu que je te parle correctement après cela?"

Il est vrai mais bon, Matthieu n’avait pas trop envie de lui donner les motifs de son arrivée. Il ne voulait pas paraitre ridicule. Matthieu avait sentit que le ton de la jeune fille avait radicalement changé, en plus, elle avait baissé les yeux. Peut être était-ce le regard intense du Serpentard qui la dérangeait. En même temps, Matthieu n’arrivait pas à s’empêcher de regarder les gens dans les yeux. Il avait l’impression ainsi de lire dans leurs pensées. Mais, il ne fallait pas être un génie pour voir que son interlocutrice se sentait gênée.

- Pardonne-moi ! Je manque à mes devoirs. J’ai oublié de me présenter avant de t’offenser. Je me nomme Brenel, Matthieu Brenel.

Mickaêla releva la tête au nouveau ton que le jeune homme venait d'employer à son égard. Tout comme elle il s'était adoucis. Elle le regarda de haut en bas, puis pour ne pas paraître impolie chose qu'elle détestait par dessus tout, elle se releva et lui tendit une main tout en lui disant:

-"Je me prénomme Mickaëla Albany, et comme tu la déjà remarqué j'appartient à la maison griffondor. Pardonne moi de t'avoir mal parler juste avant, je ne suis pas comme cela d'ordinaire, mais le fait que tu es essayé il me semble de me fuir ma mise hors de moi..."

Des excuses, elle lui avait présenté des excuses, chose qu'elle n'avait pas vraiment habitude de faire sachant qu'elle en avait très rarement l'occasion. Elle était d'habitude très sociable avec les gens et ne leur parlait jamais mal, mise a part a cette peste de Chris qui ne cesse de l'enquiquiner à longueur de journée, mais au moins avec elle elle n'avait pas besoin de s'excuser.

Elle pensait bien que le jeune homme ne voudrait certainement plus lui adresser la parole après ce qu'il venait de se produire, mais bon elle avait également une part de responsabilité dans tout ce qui venait de se produire, elle n'aurait pas du l'agresser dès son arrivée et lui parler de manière plus calme et posée. Enfin elle attendit la main tendu une réaction du beau jeune homme, espérant qu'il n'allait pas la laisser comme cela trop longtemps (les crampes ça fait très mal...xd).

Elle se leva, lui tendit une main amicale et dit plus chaleureusement que tout à l’heure

-"Je me prénomme Mickaëla Albany, et comme tu la déjà remarqué j'appartient à la maison griffondor. Pardonne moi de t'avoir mal parler juste avant, je ne suis pas comme cela d'ordinaire, mais le fait que tu es essayé il me semble de me fuir ma mise hors de moi..."

Il regarda la main ainsi tendu, un peu méfiant mais après avoir vu qu’aucune bouillie informe ou autre gag stupide du même genre était ainsi tendue avec cette main, Matthieu la serra délicatement. Toujours le regard viré sur les yeux de la rouge et or, il dit le plus simplement du monde.

-Ce n’est rien, tu n’as pas à t’excuser, j’ai moi-même réagit sur les apparences mais bon, comprend moi, ceux de ta maison généralement se font un plaisir d’humilier des gens comme moi. Et vu que généralement je plus du genre à me défendre verbalement que physiquement, le nombre de farce dont je suis la victime sont devenu incalculable. Quoique je dois avouer qu’ici, c’est déjà moins violent comme blague qu’à Dumstrang.

Il avait essayé de démarrer une conversation banale, chose qu’habituellement Matthieu ne faisait pas, voir même détestait. Mais bon, cette fois ci, les mots sortirent tout seul. Hécate avait-elle réussi à l’adoucir, à le sociabiliser ? Surement que oui car Matthieu n’était plus aussi solitaire et imbu qu’à son arrivée, chose que sa mère aurait tant aimé voir de son vivant.

Mickaela écouta attentivement les explixations du jeune homme. Celui-ci n'avait pas tord, mais elle n'était aps comme cela loin de la.

-"Je comprend ta méfiance, mais tu sais tout les Griffondors ne sont pas aussi terrible que cela, tout comme moi je pense que tout les Serpentard ne sont pas comme le pense les autres Griffy. Enfin, sache que moi je ne fais aucune différence entre les maisons, pour moi toutes personnes faisant partie de l'école est pareil, même séparer dans des maisons. Pour tout te dire, ma pire ennemie dans l'école est une griffy alors, tu na pas de soucis a te faire."

Elle avait ajoutée sa dernière phrase dans l'espoir de mettre le jeune homme à l'aise et de détendre l'atmosphère, car il avait vraiment l'air de se méfier des griffondors. S'il avait subit plusieurs de leurs attaques elle comprenait pourquoi.

-"Ca te dit de marcher quelque peu dans le parc à mes côtés? Ou tu à quelque chose de plus interressant à faire? C'est juste histoire de faire connaissance qi cela t'interresse comme cela tu verra que tout les griffy ne sont pas des monstres!!!."

Elle le regarda en lui souriant, espérant le faire changer d'avis sur les griffy, et s'en faire un ami, s'il le voulait bien évidemment.

-"Je comprend ta méfiance, mais tu sais tout les Griffondors ne sont pas aussi terrible que cela, tout comme moi je pense que tout les Serpentard ne sont pas comme le pense les autres Griffy. Enfin, sache que moi je ne fais aucune différence entre les maisons, pour moi toutes personnes faisant partie de l'école est pareil, même séparer dans des maisons. Pour tout te dire, ma pire ennemie dans l'école est une griffy alors, tu na pas de soucis a te faire. Ca te dit de marcher quelque peu dans le parc à mes côtés? Ou tu à quelque chose de plus interressant à faire? C'est juste histoire de faire connaissance qi cela t'interresse comme cela tu verra que tout les griffy ne sont pas des monstres!!!."

Il réfléchissait à sa demande. Il se demandait ce que dirait. Hécate s’il le voyait là, seul avec une inconnue (et pas laide pour un sous) mais bon, il aurait été grossier de refuser. Il fit donc oui de la tête. Bien qu’elle avait l’air gentille, Matthieu se sentait un peu gêné. On ne pouvait pas dire que leur « rencontre » avait bien démarré mais bon ! La Gryffondor prit la tête de la marche et le Serpentar la suivait en silence. Il ne savait pas trop quoi dire, la conversation n’était décidément pas son fort. Enfin, après un petit silence pénible, Matthieu lui posa la première question qu’il lui passait par la tête.

-Tu m’as dit que ta rivale était dans ta maison ? Qu’est-ce qu’elle a bien put te faire pour que tu es une telle dent contre elle ?

Ce n’était peut être pas le meilleur sujet de conversation.

Après un bref moment d'hésitation, le jeune homme accepta son offre de se promener quelque peu dans le parc. Elle avait entammé la marche et il l'avait suivie. Elle sentait qu'il était gêné en sa présence et elle ne savait si cela était du à son aversion quelque peu marqué pour sa maison ou pour une quelconque autre raison.

Après un bref moment de silence celui-ci lui demanda pour quelle raison sa rival faisait partie de sa maison. Elle y réfléchis un petit moment et ne trouva rien à répondre. En fait, il ne s'était rien passé entre elle et Chris de particulier pour qu'elle se déteste comme cela, mais elle ne s'aimait pas. Comment allait-elle bien pouvoir expliquer cela au jeune homme sans passer pour une folle.

-"Ben vois-tu, je ne peux te donner d'xplication précise en fin de compte. Autant que je me souvienne, il n'y a pas vraiment eu d'élément déclencheur, on ne s'aime pas c'est tout. On ne peux pas se voir, chaque foi que l'on se croise, c'est pour se prendre le bec. Mais maintenant j'y suis tellement habituée que cela fait partie de mon quotidien, et je ressentirai certainement comme un vide si du jour au lendemain nous venions a nous entendre elle et moi..."

Elle s'arrêta brièvement regardant le visage du jeune homme pour essayer de voir comment il la juger à ce moment précis.

-"Tu dois certainement me prendre pour un folle, je suis en guerre avec une fille qui ne ma jamais rien fait, et elle me manquerait si nous étions amis... Je ne sais si tu as compris ce que je voulais te dire, mais je ne vois pas comment te l'expliquer autrement."

Elle tourna son regard à nouveau droit devant elle, sentant ses joues se rosir légèrement. Elle avait vraiment la sensation de passer pour une folle à lier à ce moment précis à ne pas savoir expliquer une chose qui lui paraissait tellement simple pourtant, mais tellement compliquer a dire...

Elle mit un certain moment à répondre. Ce lapse de temps avait surement dut être mit à profit par la Gryffondor à chercher ses mots. Enfin, elle répondit

-"Ben vois-tu, je ne peux te donner d'xplication précise en fin de compte. Autant que je me souvienne, il n'y a pas vraiment eu d'élément déclencheur, on ne s'aime pas c'est tout. On ne peux pas se voir, chaque foi que l'on se croise, c'est pour se prendre le bec. Mais maintenant j'y suis tellement habituée que cela fait partie de mon quotidien, et je ressentirai certainement comme un vide si du jour au lendemain nous venions a nous entendre elle et moi..."

Ses éclaircissements étaient étranges pourtant Matthieu comprenait très bien ce qu’elle disait. Lorsque l’on a avec quelqu’un des liens forts, qu’ils soient haine ou amour, ont à une beaucoup de mal après à vivre sans. Elle avait dénié regarder Matthieu mais elle eut sans doute regretté son geste car elle regarda à nouveau devant elle. Se sentait-elle gênée de ces révélations ? Surement que oui car elle se justifia

-"Tu dois certainement me prendre pour un folle, je suis en guerre avec une fille qui ne ma jamais rien fait, et elle me manquerait si nous étions amis... Je ne sais si tu as compris ce que je voulais te dire, mais je ne vois pas comment te l'expliquer autrement."

En effet, elle était gênée d’avoir dit cela mais Matthieu ne la prenait nullement pour une folle. Si elle avait dit que toutes les nuits, elle rêvait se tuer sa rival, encore et encore, d’en d’atroce souffrance, là…Il regardait toujours Mickaëla, de profil car elle regardait toujours devant elle.

-La haine est une chose bien étrange parfois.

Cette phrase très philosophique n’avait pourtant aucun intérêt, il reprit

-Enfin, je veux dire que le monde serait bien ennuyeux sans haine et colère…malheureusement

Encore plus philosophique la précédente mais toujours d’aucun intérêt.

-Mais qu’est-ce qui t’exaspère en elle ? Enfin, si ce n’est pas trop indiscret ?

Encore une question auquelle Mickaëla aurait beaucoup de mal à répondre. Qu'est-ce qui l'exaspérait chez Chris? Elle n'en savait trop rien en fait, elle ne se souvenait même plus comment leur animosité avait commencé. Elle regarda Matthieu d'un air quelque peu perdu et surprise. Décidément ce jeune homme savait poser des questions à vous faire réfléchir comme une dingue. Qu'en savait-elle ce qu'elle lui reprochait? Son arrogance peut-être, ou la manière que celle-ci la regardait de haut constemment. Qu'allait-elle bien pouvoir répondre à ce jeune homme?

-"Heu... Je vais peut-être encore paraître bizard, mais je ne me souvient même plus comment Chris et moi nous avons éprouvé de l'animosité l'une pour l'autre. Heu... Chris c'est le prénom de ma rival au cas ou tu te le demande."

Elle marqua un temps de pause, la elle allait réellement passer pour une gourde, bien sur qu'il savait que c'était le nom de sa rival puisqu'elle était le sujet de conversation.

-"Une chose dont je suis sûr c'est que je la trouve arrogante et elle à une manière de me regarder de haut qui m'exaspère au plus haut point. Mise à part ca j'ai beau chercher je ne me souvient pas qu'elle m'ait fait quelque chose de particulier pour que je la déteste a ce point, je pense que si tu lui posait la question elle te répondrait la même chose de moi. On ne se supporte pas tout simplement. Dans la vie y'a des gens avec qui tu va super bien t'entendre et d'autre avec qui jamais aucun courant ne passera jamais."

Elle termina là dessus, se demandant, si le jeune homme aurait encore beaucoup de question comme celle-ci, elle aimait réfléchir à ne savoir quoi répondre en fait. Elle s'arrêta de marcher un instant, puis repris sa marche.

-"Et toi, tu dois bien avoir un rival dans l'école également? Ou tu t'entend bien avec tout le monde. Enfin si j'en juge ton comportement de tout à l'heure, je dirai que les griffy ne sont pas tes meilleurs amis déjà..."

Elle avait ajouté cela sur le ton de la rigolade espérant que le jeune homme ne le prendrai pas mal. Elle sentait qu'elle n'était toujours pas très à l'aise avec ce jeune homme et elle voulait détendre quelque peu l'atmosphère.

-"Heu... Je vais peut-être encore paraître bizard, mais je ne me souvient même plus comment Chris et moi nous avons éprouvé de l'animosité l'une pour l'autre. Heu... Chris c'est le prénom de ma rival au cas ou tu te le demande.(pause)Une chose dont je suis sûr c'est que je la trouve arrogante et elle à une manière de me regarder de haut qui m'exaspère au plus haut point. Mise à part ca j'ai beau chercher je ne me souvient pas qu'elle m'ait fait quelque chose de particulier pour que je la déteste a ce point, je pense que si tu lui posait la question elle te répondrait la même chose de moi. On ne se supporte pas tout simplement. Dans la vie y'a des gens avec qui tu va super bien t'entendre et d'autre avec qui jamais aucun courant ne passera jamais."

Matthieu trouvait cela amusant. C’était comme les vieilles querelles de famille, ils ne savent même plus pourquoi ils sont fâchés mais continu quand même à se manifester de l’amertume et de la haine. C’était parfaitement compréhensible bien que Matthieu n’eut pas un tel lien avec qui que ce soit. D’ailleurs Mickaëla posa une question à ce sujet

-"Et toi, tu dois bien avoir un rival dans l'école également? Ou tu t'entend bien avec tout le monde. Enfin si j'en juge ton comportement de tout à l'heure, je dirai que les griffy ne sont pas tes meilleurs amis déjà..."

Il réprimât un sourire, en réalité ils ne haïssaient personne, enfin il ne considérait personne comme son rival. Pas qu’il soit aimé de tous et inversement. C’est juste que Matthieu n’était pas du genre à créer le contact avec les autres. D’ailleurs à bien réfléchir, si sa douce Hécate ne l’avait pas un peu « sociabilisé », il doute qu’il serrait là avec la Gryffondor.

-Je ne peux pas dire avoir de rival. Pas que j’aime te me fais aimé de tous. Seulement, il est rare que je communique avec les autres. Alors si en plus, c’est pour démarrer des joutes verbales, non merci. Quoique il ya une petite Poufsouffle que je ne peux pas supporter. Le genre propre sur soi et résumant le monde à son nombril.

Matthieu se tut, il trouvait bizarre le fait qu’il se soit confié ainsi, sans retenue, sans gène. Il se sentait plutôt bien avec la rouge et or. Comme quoi, la première impression n’est pas toujours la bonne. Repensant à son arrivé, il dit toujours avec le même calme.

-Il est vrai qu’il est rare que j’aille à la rencontre des autres, d’ailleurs si je suis venus à ta rencontre, c’est parce que je…je croyais que tu faisais un malaise.

Il se sentait un peu gène de dire cela mais bon, le ridicule ne tue pas.

Maintenant que Mickaëla connaissait les raisons de son arrivée un peu rapide auprès d'elle losqu'elle était près du lac, elle se sentit encore plus bête de l'avoir agressé. Après tout, il avait cru faire bien et elle, elle l'avait traité comme un sale jeune qui ne pensait qu'a lui, alors qu'en faite c'était tout le contraire.

-"C'est très gentil à toi de t'être inquiété pour moi, peu de jeune serait venu vers moi si ça avait vraiment était le cas. Maintenant je regrette réellement la façon que j'ai eu de te parler tout à l'heure."

Elle baissa les yeux vers ses chaussures leurs trouvant une fois de plus un intérêt soudain. Elle apprécait maintenant beaucoup ce jeune homme, elle comptait bien s'en faire un ami, et si pour cela il fallait qu'elle s'excuse jusqu'à la fin de sa vie de lui avoir mal parler, elle le ferai.

-"Je ne t'ai pas souvent vu te balader dans l'école tu ne sort jamais ou quoi?"

Elle avait mis une pointe d'ironie dans sa phrase, elle voulait encore détendre l'atmosphère qu'elle sentait encore quelque peu tendu entre eux deux. Tout en continuant de marcher, elle le regarda, tout en lui souriant, celui-ci venait quelque peu de se confier à elle et elle lui en était reconnaissante. Peu de gens serait capable de faire connaissance aussi rapidement sans gêne et retenu comme ils le faisaient tous les deux.

-"C'est très gentil à toi de t'être inquiété pour moi, peu de jeune serait venu vers moi si ça avait vraiment était le cas. Maintenant je regrette réellement la façon que j'ai eu de te parler tout à l'heure."

Elle regarda à nouveau ses chaussures, décidemment…

-"Je ne t'ai pas souvent vu te balader dans l'école tu ne sort jamais ou quoi?"

Pour dire cela, elle avait relevé la tête et prit un ton amusé. Elle avait parfaitement raison sur sa remarque. Matthieu était nouveau et ne plus il passait ses journées dans deux endroits : la bibliothèque, la salle commune et le parc à l’abri des regards. Il y avait donc peu de chance qu’elle l’a donc déjà croisé.

-En effet, je préfère la compagnie d’un livre seul qu’être avec des individus qui m’exaspère et me répugne.

Il se tourna vers cette nouvelle connaissance et dit avec humour

-Tu remarqueras que je ne suis pas en train de lire et donc que tu ne fais pas partit de ces individus exécrables.

Il lui accorda son premier sourire, décidemment, elle était bien plus gentille et intéressante qu’il ne l’aurait crut

-En effet, je préfère la compagnie d’un livre seul qu’être avec des individus qui m’exaspère et me répugne.

En entendant cette phrase, Mickaëla réprima un rire. Décidémment elle avait plus de chose en commun avec ce serpentard qu'elle n'aurait pu le penser. Elle aussi aimait beaucoup la compagnie des livres à celle des humains la plupart du temps mais cela ne l'empêchait pas d'appréciait le moins du monde sa compagnie à ce moment précis.

-"Décidément, nous avons plus de chose en commun que je ne l'aurait cru et que tu ne l'aurait cru. Moi aussi j'aime beaucoup rester seul avec un bon livre au lieu d'être avec des personnes physiquement présente. Je ne sais pas ce qui te plait le plus dans les livres mais moi j'aime beaucoup car lorsque je lis un livre, je m'imagine vivre l'histoire que je suis en train de lire. Cela me permet d'échapper quelque peu à la réalité en quelque sorte..."

Elle s'arrêta là, se demandant si le jeune homme ressentait la même chose qu'elle lorsqu'il lisait un livre ou non. Si cela n'était pas le cas, elle espérait qu'il n'allait pas lui demander pour quelles raisons elle voulait échapper à la réalité.

-"Ce sont quels genre de livre que tu aime lire, pour moi personnellement rien ne vaut un bon livre de science fiction ou de romance."

Bien entendu qu'elle aimait les livres de romance après tout c'était une fille, alors les histoires d'amour parfaite elle en rêvait bien souvent... Mais malheureusement ne les vivaient jamais en vrai.

-"Décidément, nous avons plus de chose en commun que je ne l'aurait cru et que tu ne l'aurait cru. Moi aussi j'aime beaucoup rester seul avec un bon livre au lieu d'être avec des personnes physiquement présente. Je ne sais pas ce qui te plait le plus dans les livres mais moi j'aime beaucoup car lorsque je lis un livre, je m'imagine vivre l'histoire que je suis en train de lire. Cela me permet d'échapper quelque peu à la réalité en quelque sorte..."

Matthieu comprenait bien plus qu’elle ne le croyait. En effet, Les livres étaient pour son esprit une porte le guidant dans les décors sublimes du passé ou de l’imaginaire.

-"Ce sont quels genre de livre que tu aime lire, pour moi personnellement rien ne vaut un bon livre de science fiction ou de romance."

Matthieu hésita un moment. Ces livres préférés sont impossible à trouvé dans une librairie qui se qualifie de sérieuse : des livres de magie noire. Mais bon, il ne voulait pas attirer des remarques, des idées qui gêneraient le nouveau lien qui l’unissait à Mickaëla. Il préféra donc parler de sa deuxième passion.

-Je dois avouer que j’aime beaucoup la poésie, enfin plutôt les vers des grands auteurs moldus que sorciers. Ils nous surpassent et de loin dans ce domaine. L’harmonie des mots et des rimes sont de loin plus magiques que les petits tours de passe-passe qu’on nous apprend en première année.

Il avait répondu le plus honnêtement possible. La poésie était pour lui la meilleure chose qu’un homme pouvait produire.

-"Je suis tout à fait d'accord avec toi, rien ne vaut de bon vers de moldu. Il y en a un qui ma toujours touché c'est, je ne sais pas si tu le connait, Paul Verlaine. Il a une manière de décrire les choses qu'il voit ou imagine."

Enfin elle trouvait quelqu'un avec qui parler livre, poesie, et toutes ces choses que les élèves trouvent généralement ringard, pour des jeunes de leur âge. Elle ne savait trop quoi lui dire de plus sur le sujet, généralement elle aurait polémiqué des heures entières sur le sujet des livres, mais là rien, elle ne trouvait rien d'autre à dire. De plus elle commençais à trouver le jeune homme quelque peu attirant. Mais elle ne pouvait se permettre de penser cela car elle le connaissait à peine. Elle se forçat à penser directement à autre chose, car elle sentait le feu lui monter au joue, et lorsqu'elle rougissait cela ne passait pas inaperçut sachant qu'elle avait une peau très blanche.

-"Je suis tout à fait d'accord avec toi, rien ne vaut de bon vers de moldu. Il y en a un qui ma toujours touché c'est, je ne sais pas si tu le connait, Paul Verlaine. Il a une manière de décrire les choses qu'il voit ou imagine."

Un petit sourire apparut sur ses lèvres.

-En effet, je connais Verlaine et te félicite pour tes goûts. Mais à ce dernier, je préfère nettement Baudelaire. C’est mon poète préféré. Son vers sont un mélange de passion de mélancolie digne des plus grands génies.

Elle n’avait pas l’air de vouloir le regarder dans les yeux. Son regard lui était si désagréable que cela. Certes, il savait que sa manie de regarder les gens dans les yeux étaient généralement peu apprécié par la gente féminin mais à ce point. Voulant un peu détendre l’atmosphère, il récita de mémoire son poème préféré, celui de son auteur adoré.

Mon enfant, ma soeur,
Songe à la douceur
D'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Des meubles luisants,
Polis par les ans,
Décoreraient notre chambre ;
Les plus rares fleurs
Mêlant leurs odeurs
Aux vagues senteurs de l'ambre,
Les riches plafonds,
Les miroirs profonds,
La splendeur orientale,
Tout y parlerait
À l'âme en secret
Sa douce langue natale.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Vois sur ces canaux
Dormir ces vaisseaux
Dont l'humeur est vagabonde ;
C'est pour assouvir
Ton moindre désir
Qu'ils viennent du bout du monde.
- Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D'hyacinthe et d'or ;
Le monde s'endort
Dans une chaude lumière.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Mickaëla n'arrivait toujours pas à regarder le jeune homme dans les yeux, elle ne savait pas pourquoi, mais quand celui-ci se mit à lui réciter en y mettant du coeur, un poème de son compteur préféré, elle ne put faire autrement que de le regarder droit dans les yeux. Celui-ci n'avait pas peur du ridicule apparemment, elle aurait pu lui rire au nez, si elle même n'avait pas était friande de poèmes et de vers bien tournés. Elle admira beaucoup sa manière de le réciter, il y mettait le ton, et elle sentait bien qu'il aimait beaucoup ce poème en particulier. Elle réfléchissa un moment lorsque celui-ci eut terminé, il s'attendait peut-être à ce qu'elle lui en dise un qui lui plaisait beaucoup également. Le seul problème était que les seuls poèmes qu'elle connaissait par coeur était ceux qu'elle faisait elle même, car notre miss en écrivait beaucoup également.

-"Je te dirai bien l'un des poèmes que je préfère mais ce n'est pas d'un auteur que tu connais... Enfin si, il est en face de toi, les seuls que je retiens sont ceux que je fais moi même. Je veux bien t'en dire un, mais ne juge pas trop, car je ne suis pas une pro."

La chanson des anges

Dans la nuit ingrate
J'entend un bruit étrange
C'est la plume qui gratte
La chanson des anges
Là haut dans le ciel
Rempli de merveilles
Ils chantent ce cantiques
De leurs voix angéliques
Il faut y croire
Encore en cet espoir
Une lueur dans leur yeux
Qui rappelle le ciel bleu
Mais quand le soleil apparait
Soudain la chanson se tait
Il faut attendre la nuit
Pour entendre la fin de leur vie
Mais toi soleil luit toutes les journées
Quand va tu te coucher?
Que reveinne la mélodie
Des anges de la nuit
Il faut y croire
A la chanson du soir
Que chante les être purs
Dans la nuit obscure

-"Ce n'est pas du Verlaine, ni du Charles Beaudelaire mais bon je l'ai fait moi-même, j'espère que ça ta plu."

Elle attendait une réaction quelconque du jeune homme, espérant qu'il n'allait pas lui rire au nez.

[C'est vraiment un poème de ma composition je ne savais que mettre dans le post, alors sois indulgent tout de même!! xd]

-"Je te dirai bien l'un des poèmes que je préfère mais ce n'est pas d'un auteur que tu connais... Enfin si, il est en face de toi, les seuls que je retiens sont ceux que je fais moi même. Je veux bien t'en dire un, mais ne juge pas trop, car je ne suis pas une pro."
La chanson des anges

Dans la nuit ingrate
J'entend un bruit étrange
C'est la plume qui gratte
La chanson des anges
Là haut dans le ciel
Rempli de merveilles
Ils chantent ce cantiques
De leurs voix angéliques
Il faut y croire
Encore en cet espoir
Une lueur dans leur yeux
Qui rappelle le ciel bleu
Mais quand le soleil apparait
Soudain la chanson se tait
Il faut attendre la nuit
Pour entendre la fin de leur vie
Mais toi soleil luit toutes les journées
Quand va tu te coucher?
Que reveinne la mélodie
Des anges de la nuit
Il faut y croire
A la chanson du soir
Que chante les être purs
Dans la nuit obscure

-"Ce n'est pas du Verlaine, ni du Charles Beaudelaire mais bon je l'ai fait moi-même, j'espère que ça ta plu."

Il lui adressa un sourire cependant ce dernier n’était nullement moqueur. Décidément, il ne rencontrait dans ce château que des amoureuses de la poésie et aussi compositrices à leurs temps perdus.

-Certes, ce n’est nullement du Verlaine ou même du Baudelaire…mais cella à le mérite d’être entendu. Juste, un conseil, ne t’auto flagelle pas.

Il voulait être gentil et aurait aimé réciter lui aussi à la Gryffondor un poème de sa composition mais il ne put. Celle aurait été synonyme pour lui d’ouvrir son cœur et il ne la connaissait qu’encore très peu.

-Certes, ce n’est nullement du Verlaine ou même du Baudelaire…mais cella à le mérite d’être entendu. Juste, un conseil, ne t’auto flagelle pas.
Celui-ci trouvait que son poème avait le mérite d'être entendu. Mais elle ne comprenait pas la fin de sa phrase, pour s'auto-flagellerai-t-elle?

-"Que veux tu dire par ne t'auto flagelle pas? Je ne suis pas sur de t'avoir bien comprise."

Elle avait beau réfléchir, tourner et rretourner sa phrase dans sa tête, la signification de celle-ci ne lui venait pas pour autant. Etait-ce de l'humour propre à lui, si c'était le cas, Mickaëla s'en voudrait quelque peu de ne pas avoir compris le jeune homme.

-"Que veux tu dire par ne t'auto flagelle pas? Je ne suis pas sur de t'avoir bien comprise."

Matthieu fronça des sourcils. Enfin, le mot auto…mais non ! Quel imbécile

- Pardonne-moi ! C’est un terme d’un de mes anciens professeurs. Pour lui, la flagellation, c’est de ridiculiser, de diminuer, de rabaisser le travail de quelqu’un. L’auto flagellation donc, c’est de rabaisser son travail.

Il est vrai que si Matthieu employait des termes et expressions que seul lui pouvait comprendre, il aurait un peu de mal à discuter avec Mickaëla

- Pardonne-moi ! C’est un terme d’un de mes anciens professeurs. Pour lui, la flagellation, c’est de ridiculiser, de diminuer, de rabaisser le travail de quelqu’un. L’auto flagellation donc, c’est de rabaisser son travail.

Mickaëla se sentit bête en entendant l'explication du jeune homme, car elle se rendit compte qu'elle connaissait en faite la signification de se terme, et elle ignorait pourquoi elle n'y avait pas pensé.

-"Ce n'est pas grave, il se trrouve que c'est moi qui vais te demander de me pardonner, car vois-tu en entendant ton explication je me suis rendu compte que je connaissais le terme. Je t'ai donc mis mal à l'aise pour rien."

Mickaëla se mit à rire nerveusement, décidement ce genre de chose n'arrivait qu'à elle. Il fallait qu'en toute circonstance elle arrive à se mettre dans des situations plus embarrassante les unes que les autres.

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