Une ambiance peu commune. ( Pv Artémidor )

Aujourd’hui j’avais décidé d’aller faire quelques achats au chemin de traverse. Il me fallais un nouveau chaudron et j’avais aussi l’intension d’aller acheter des produits pour ma chouette. Il fallait bien évidemment que je sorte de mon lit, ce qui était une masse à faire. Après un, deux, trois essais, je réussis à me tirer du lit. Je pris un déjeuner léger, et parti pour le chemin de traverse. Il n’y avait personne, pas un rat. Cette ambiance me terrorisa à moitié, mais finalement je m’y habituai, Certaines boutiques étaient fermées, d’autres les vendeurs surveillaient par les vitrines. Je commençais vraiment à me demander pourquoi toute cette peur. Peut-être Lord Voldemort allait apparaître là, maintenant, Pouf ! Mais bon je n’y croyais pas. Quand me vint l’idée que des mangemorts seraient peut-être au rendez-vous. En vérité ça ne m’effrayait pas le moins du monde. J’avais envie de les voir, j’avais envis de connaître leur force. Pourquoi t’en de force ? Tous cela m’intriguait au plus haut point, et si je devais quitter Poudlard pour l’apprendre ça ne m’aurait vraiment pas gêné. Je ne savais rien d’eux, mais leur magie me fascinait. Loin de la l’idée d’en devenir un. Non ! Enfin… Ce qui me gênait dans l’idée de devenir un mangemort, c’est d’être sous les ordres de Lord Voldemort. Pourquoi avoir peur d’un mage noir ? Il faut avouer que c’est un grand sorcier et plutôt taré. C’était la partie de folie qui m’intéressait chez lui. Bon il fallait que j’arrête de penser à toutes ces histoires morbides. J’allais finir par attirer ces adeptes.
J’étais enfin arrivé devant l’échoppe de farce et attrape. Mais elle était fermée et en mauvais été. Cela me fit bizarre de voir ce magasin qui était plutôt multicolore, et toujours en activité. Je ne comprenais vraiment pas. Qu’est ce qui avait bien pus ce passer ici. Peut-être un attentat. Je divaguais encore sur des propos hilarants et incrédibles. Mais tout de même. Pourquoi t’en de remue méninge pour finalement rien. Rien je n’en étais finalement pas si sûr. Le doute s’installa quand je vis passer une personne recroquevillée sur lui-même. Il était assis dans un caniveau. Je m’avança pour lui demander ce qui c’était passé, lui tapota l’épaule droite. Et d’un geste brutal, l’homme se leva et partit en courrant, et surtout, ce qui m’avait le plus choqué, en pleurant. Suite à cette action, j’étais les fèces dans le caniveau.
Pour voir s’il y avait encore quelqu’un qui pouvait m’entendre, je demanda si quelqu’un était là. Et une petite voix se fit entendre près de deux grosses-caisses. Je la salua et lui demanda donc ce qui s’était passé. Elle me répondit que des mangemorts avaient surgi et avaient détruit quelques échoppes. Elle m’avait aussi affirmée qu’ils pourraient revenir d’un moment à un autre. Je sorti ma baguette près à agir au moindre mouvement suspect. Je remerciai la jeune femme et reprit ma route, la baguette en main.
Il n’y avait toujours aucun bruit, quand soudain plusieurs bruits se firent entendre…

- Qui est là ?

Deadric était assis sur le comptoir du chaudron baveur. Il était calme et tranquille. Mais en fait, il se préparait à éxécuter une mission que Lord Voldemort lui-même lui avait donner. Il paraît qu'un jeune garçon de 16 ans avait attiré le seigneur noir. Selon les informations qu'avait reçu Deadric, le jeune homme était redoutable. Il serait parfait dans les rangs disait-il. Mais Deadric ne le croyait pas une seconde. Il détestait recruter des élèves. Surtout que celui-ci était un Gryffondor! Mais comme il était puissant, il avait sûrement soif de pouvoir et ainsi il sera facilement corruptible. Deadric ne passa pas une seconde de plus sur le comptoir puis il se leva rapidement. Il alla dans le fond du bar puis il enfila une cape noir qui lui cachait le visage puis il pris soin garder sa baguette à portée au cas il aurait à s'en servir avant de quitter les lieux par la sortie de derrière. Il parcourut le chemin de traverse en observant chaque recoins. Il avait eu l'information que le jeune homme parcourait à l'instant les rues du chemin de traverses. Il remarqua plusieurs boutiques détruites. Une oeuvre qui l'étonna guère vu qu'il en était participant. Au bout de 5 minutes de marche rapide, Deadric aperçu un jeune homme, une baguette serrée à la main. C'était bien lui selon les description qui lui était donné. En plus c'était le seul élève de Poudlard présent au chemin de traverse par ce jour. Deadric sortit aussitôt sa baguette et courut se cacher dans un recoin sombre. Le jeune homme se tourna et demanda qui était là. Deadric sortit de sa cachette et cria:

- Expelliarmus!

Aussitôt la baguette du jeune Gryffondor virvolta dans les airs avant d'atterrir plus loin.

- Accio!

La baguette du jeune garçon vint aussitôt se loger dans la main du jeune Mangemort. Deadric s'avança vers Jason puis il enleva son capuchon qui lui couvrait le visage.

- Et dire que le seigneur te reccomandait...je n'irai pas par quatre chemins...le seigneur lui même te veux dans nos rangs. Il te promets gloire, force et richesse si tu te joins à lui. J'ai aussi entendu dire que tu était fasciner par lui, c'est vrai? Et si tu refuse je vais me voir obliger de t'éliminer...

J’avais vu cet homme au capuchon noire. Après avoir jeté son sort, ma baguette virevolta, et par le deuxième sort, vînt dans les mains du mangemort. Je n’étais pas naïf, j’avais bien vu que c’était un mangemort. Il n’avait pas l’air commode. A vrai c’était propre à tous les mangemort. Je sourie quand l’homme m’avait dit : « - Et dire que le seigneur te reccomandait...je n'irai pas par quatre chemins...le seigneur lui même te veux dans nos rangs. Il te promet gloire, force et richesse si tu te joins à lui. J'ai aussi entendu dire que tu étais fasciné par lui, c'est vrai? Et si tu refuses, je vais me voir obliger de t'éliminer... ». Sur ces mots, j’eus envie de reprendre ma baguette et de lui mettre une bonne correction, bien que j’étais sûr de perdre. Il avait vraiment l’air puissant. Quelques mots me titillèrent l’oreille, gloire, force, richesse. Tout ce que je cherchais. Puis de toute façon jamais on me laisserait traîner dans Poudlard s’ils apprenaient toute la noirceur de mon âme. Dans un élan de folie, je répondis au mangemort ici présent :

- Tu viens de prendre ma baguette, je suis très impressionné. Que vaux-tu vraiment dans un combat loyal, je ne sais pas. Peut-être rien. Je ne pense pas. Je ne vais tout de même pas t’énerver, mais tu ne me fais vraiment pas peur.

Je me mit à rire. Ce rire était sadique. Je continua :

- Pourquoi ne me tue pas maintenant ? Et rejoindre les rangs d’un sorcier, pourquoi pas… Si tous ce que tu dis est vrai je suis d’accord. Mais rends- moi baguette. Cela ne me plait vraiment pas.

Je lança un regard au mangemort. J’avança près de lui, il tenait toujours ça baguette en main. Mais, ça ne me faisais pas peur, en effet, la mort ne me faisait pas peur. Je tendis ma main pour qu’il me rende ma baguette. Je ne comptais pas contre attaquer, je savais très bien que je n’avais aucune chance.

- Je rejoindrais vos rangs à une seule condition. Je veux apprendre les sort les plus impardonnables, les plus affreux et meurtriers du monde des sorciers. Apprenez- moi à être puissant et vous ne le regretteriez pas.

Contrairement à n'importe qui d'autre, Jason ne semblait pas avoir peur. Même qu'il semblait amusé. Il semblait toutefois ne pas apprécier le fait de voir sa baguette entre les mains d'une autre personne. Deadric le regarda pendant un long momment avant que le jeune ne dise "Tu viens de prendre ma baguette, je suis très impressionné. Que vaux-tu vraiment dans un combat loyal, je ne sais pas. Peut-être rien. Je ne pense pas. Je ne vais tout de même pas t’énerver, mais tu ne me fais vraiment pas peur."Puis par la suite il se mit à rire. Un rire sadique et froid. À ce moment là, Deadric voulais le tuer mais il s'abstint et ne fit que répondre:

- Fais attention à ce que tu dis jeune homme. Je pourrais te tuer à l'instant et ne laisser que des os de toi, même si tu avais ta baguette en main. Sois plus reconnaissant envers les gens qui te laisse la vie sauve.

Puis le jeune mangemort lui lança un regard terrifiant. Malgré tout, Jason sembait indifférent. Il n'avait même l'air un peu craintif. Il répliqua aussitôt "Pourquoi ne me tue pas maintenant ? Et rejoindre les rangs d’un sorcier, pourquoi pas… Si tous ce que tu dis est vrai je suis d’accord. Mais rends- moi baguette. Cela ne me plait vraiment pas." Il s'avança vers Deadric comme si celui-ci était un vulgaire clochard puis il tendit sa main pour reprendre sa baguette. Il dit "Je rejoindrais vos rangs à une seule condition. Je veux apprendre les sort les plus impardonnables, les plus affreux et meurtriers du monde des sorciers. Apprenez- moi à être puissant et vous ne le regretteriez pas." Deadric éclata d'un rire froid sur ces mots. Il lui rendit sa baguette et lui dit :

- Bien, je vois que tu ne manque pas de noirceur dans ton coeur. Tu es sûre que le choixpeau ne s'est pas trompé en t'envoyant à Gryffondor? J'aurais cru que tu aurais montrer...comment dire...de la résistance!

Un sentiment de folie me vint dans ma tête. J’avais envie de rire. Bien sûr je ne me retins pas. J’éclata de rire. J’étais passé de l’élève tous beau, tous gentil. A l’être le plus sadique et paranormal de tout le monde des sorciers. Je restais indifférent aux menaces du jeune mangemort. Je répliqua même :

- Aucune menace ne me fond peur, étant donné que je n’ai pas peur de la mort. J’imagine que tu veux me tuer. Je le comprends. Mais que dirait ton maître ?

Le sorcier m’avait redonné ma baguette que je pris soin de ranger soigneusement dans ma veste. Le faite d’être mangemort ne me gênait plus du tout. J’avais une nouvelle ambition, le meurtre, la destruction et le pouvoir. Et seul les mangemorts pouvaient m’assurer ceci. Je voyais bien que le jeune homme était surpris par mes réactions peu communes chez lui. Effectivement son quotidien était la peur des autres. Je regarda le ciel et m’imagina l’un des leurs. C’était magnifique. Mais très sombre.

- Je rentrerais sous vos ordres quand vous le désirerez. Je sais que tu ne m’apprécie pas… Mais la vie est tellement belle quand aucune personne vient vous embêtez… Le choixpeau ma envoyé à Gryffondor car je voulais devenir auror, mais c’est pauvres sorcier pas capable de se défendrent me fond bien trop rire, ils sont faibles et désordonnés. Alors comme ça, Voldemort veut que je rentre dans vos rangs.

Je le regarda longuement en attente d’une réponse. Je savais que je ferais de grandes choses si je devenais mangemort. Il fallait que j’accepte mais il fallait absolument que je reste encore un peu à Poudlard. Je lui proposa donc que j’acceptais cette invitation, mais que je resterais à Poudlard pour le moment, et aussi que je serais partant pour toutes escapades meurtrières ou destructrices. J’étais devenu quelqu’un de mauvais. J’en étais plus qu’heureux.

Mais quelle insolance. Deadric bouillonnait intérieurement. Comment est-ce qu'un simple élève de Poudlard osait lui rire en pleine figure. Le jeune mangemort serrait sa baguette très, un peu plus et elle éclatait entre ses doights. Après avoir entendu "Aucune menace ne me fond peur, étant donné que je n’ai pas peur de la mort. J’imagine que tu veux me tuer. Je le comprends. Mais que dirait ton maître ?" Deadric devint rouge de colère. Il allait le tuer mais se calma une nouvelle fois en frôlant le fait qu'il voualit le massacrer. Deadric lui sourit puis le jeune gryffondor lui dit "Je rentrerais sous vos ordres quand vous le désirerez. Je sais que tu ne m’apprécie pas… Mais la vie est tellement belle quand aucune personne vient vous embêtez… Le choixpeau ma envoyé à Gryffondor car je voulais devenir auror, mais c’est pauvres sorcier pas capable de se défendrent me fond bien trop rire, ils sont faibles et désordonnés. Alors comme ça, Voldemort veut que je rentre dans vos rangs." Deadric sourit aussitôt et lui dit:

- Hé bien bienvenue parmi les mangemorts, fidèles serviteur de Lord Voldemort le plus grand sorcier du monde. Malheuresement pour moi, et pour toi, je suis obligé de te prendre sous mon aile pour te former. Je te dis que je n'accepterais aucun acte d'irespect et chaque remarque de ta part sera suivit de conséquences. Ah oui et j'oubliais...ENDOLORIS!!!!

Deadric avait mis tellement de puissance dans ce sort que Jason s'effondra par terre dans hurlements déchiorant. Deadric le pris par le collet puis le releva et lui fit signe de le suivre.

- Voilà un avant-goût de ce que tu reçevra lors tu me manquera de respect comme tu viens de le faire...

J’avais vraiment mal. Je n’acceptais vraiment pas que l’on me traite comme ceci. Après une intense douleur, je suivis le mangemort. D’après ce qu’il m’avait dit, je devais être son maître. Je n’aimais pas être sous les ordres de quelqu’un, mais après tout je n’avais pas le choix. Ce qui est sûr c’est que plus tard je me vengerais. Le sortilège doloris m’avait fait très mal. Mais j’étais vraiment impressionné par la force de ce pouvoir. Je l’avais déjà lancer sous le coup de la colère. Je n’allais pas lui dire que j’avais fait ça à un mangemort ou il m’aurait tué pour de bon. J’allais enfin devenir mangemort. J’allais pouvoir semer le cahot, tuer et torturer des personnes. A Poudlard je serais crains et personne ne m’embêtera. La vie de rêve. Pendant quelques instants je me rappela de ma très cher cousine qui m’avait défendu contre ces hommes. J’hésita, et repris ma course derrière le mangemort. Elle ne serait vraiment pas fière de moi, mais je n’avais plus le choix. Maintenant Ménolly était mon ennemi, et si elle se dressait sur mon chemin, je devais la tuer. D’ailleurs, comme toutes les aurores ou autres personnes veuillent s’interposer entre moi et le pouvoir. Je devais éliminer toutes les personnes qui pouvaient nuire à Voldemort. Pour tout dire, je ne ferais pas ça pour lui mais pour ma simple satisfaction.

- J’aime ce sortilège, pourrais-tu me l’apprendre ?

Le ton s’était calmé, je ne rigolais plus et j’étais redevenus sérieux. J’étais fière de faire partie de leur communauté. J’existais enfin et, dans tous les journaux on parlerait de moi comme un terrifiant mangemort psychopathe ayant une folie meurtrière. Je ne comptais pas rester longtemps dans Poudlard en effet si mon entraînement se finissait assez rapidement, je ne serais plus obligé de fréquenter cette maudite école. Contrairement aux autres mangemort je n’avais pas cette manie du sang pur et du sang impure autrement dit les sangs de bourdes.

- Par quoi allons-nous commencer ? J’ai hâte…

Depuis plusieurs jours maintenant, parmi les partisans du Seigneur des Ténèbres, on murmurait le nom de Jason Lork comme celui d'une future recrue particulièrement prometteuse. Quelques rumeurs circulaient sur son compte : Il était un élève de Gryffondor mais aspirait à un avenir bien différent de celui qui s’offrait habituellement aux sorciers de cette maison. Le mal, sous toutes ses formes, le fascinait, et certains Mangemorts allaient même jusqu’à affirmer qu’il tuerait père et mère pour une parcelle des pouvoirs du Mage Noir.
Artémidore ne cachait pas son scepticisme quant à intégrer dans leurs rangs un Gryffondor d’à peine 17 ans qui n’avait jamais fait la preuve de sa valeur. Etre attiré du côté obscur était une chose. Savoir s’y faire un nom en était une autre.

C’était pourtant à lui, ainsi qu’à un autre Mangemort appelé Deadrick, qu’incomba la tâche de trouver le garçon et d’en faire un nouveau partisan de Lord Voldemort. Il en était flatté, et ne pu faire autrement que d’avoir confiance en son maitre : Peut-être voyait-il en Lork des choses qui lui échappaient.

C’est donc masqué et encapuchonné qu’il transplana sur le Chemin de Traverse, où sa proie se promenait, inconsciente encore de ce qui l’y attendait. Deadrick était partis du côté du Chaudron Baveur tandis qu’il avait opté pour la ménagerie magique. La terreur qu’il inspirait dans le regard des passants croisant son chemin lui procurait un plaisir quasi-surnaturel. Les boutiques d’accessoires de Quidditch, de farces et attrapes et de baguettes magiques s’enflammaient mystérieusement sur son passage. Plus le carnage grandissait, plus Artémidore jubilait.

Approchant de la boutique d’Ollivander, toujours bredouille, il fit machine-arrière et décida de rejoindre Deadrick. Il fut à la fois ravi de le trouver en compagnie de Lork, et aussi un peu déçu d’avoir été pris de vitesse. Sa vigilance redoubla en s’apercevant que l’adolescent ne résistait pas le moins du monde. Et même, il semblait bavarder avec un ami ! Artémidore ne pu s’empêcher de penser qu’un tel comportement était louche et ne pouvait que confirmer sa méfiance initiale.

Il transplana devant Deadrick, baguette pointée sur la poitrine de Lork.

-Félicitations, Travers, je vois que tu as trouvé notre petit ami.

Un petit sourire satisfait fendit son visage toujours masqué.

-Curieux qu’il n’ait pas cherché à se défendre, pas vrai ? Si j’étais toi, je le mettrais hors d’état de faire quoi que ce soit jusqu’à ce qu’on l’ait remis au Seigneur des Ténèbres. Après, il en fera ce qu’il voudra, ça ne nous concernera plus.

Il jeta un regard suspicieux au jeune garçon et continua de parler comme s’il n’était pas là.

-Vaut mieux être prudent. Je le répète : C’est pas naturel, de coopérer aussi rapidement avec l’un d’entre nous. Même les sorciers déjà ralliés à notre cause montrent toujours un peu de réticence avant de se soumettre. Soit le gosse est vicieux, soit il est stupide…Soit c’est un piège.

Je n’avais vraiment pas apprécié l’arrivée de ce mangemort pathétique. S’il cherchait les ennuis, il les trouverait. J’avais vraiment envie de répliquer. Mais je ferais peut-être une erreur. L’envie était grande. Je voulais le tuer, le faire souffrir avant. Mais bon la vie n’est pas toujours comme on le croit. Bien dommage. J’avais vraiment envie de devenir mangemort, il ne fallait donc pas m’énerver, je crains fort que ces deux mangemorts sous-estimassent mon âme. Je ne me laissa pas faire par la réplique du mangemort :
Vaux mieux être prudent. Je le répète : C’est pas naturel, de coopérer aussi rapidement avec l’un d’entre nous. Même les sorciers déjà ralliés à notre cause montrent toujours un peu de réticence avant de se soumettre. Soit le gosse est vicieux, soit il est stupide…Soit c’est un piège. Sur ces mots, je répliqua :

- Si vous pensez vraiment que c’est un piège pourquoi ne pas me tuer maintenant ?

Je me mis à rire, comme les précédant rire, froid et sadique. Non ils n’oseraient pas me tuer… D’après ce qu’ils ont l’air de dire, je suis bien trop précieux. Je saisis ma baguette brusquement ce qui alerta les mangemorts et ils se tenaient près à me tuer.

- Ah ! Vous voyez quand vous voulez. Pourquoi ne prenez-vous pas cet insigne, pour me le jeter sur moi ! Accio !

L’insigne de l’échoppe vint ce briser par terre je commençais à tomber dans la folie. Utiliser ces pouvoirs était pour moi une source puissante. À Poudlard, je ne peux pas utiliser ces sorts comme je le souhaite. Toutes ces règles qui ne servent strictement à rien ! Pourquoi s’embêter la vie si on peut s’amuser.

- Pourquoi ne pas me faire souffrir grâce au sortilège Doloris comme tu viens de le faire. Vous êtes des mangemorts et je ne vois aucune noirceur profonde dans votre âme… Est-ce normal ? Sachez très cher que je n’ai pas peur de vous, au contraire, je vous envie, mais serais près à faire bien plus de choses que vous ne l’imaginez. Ne me sous-estimé pas !

Je pris un air sérieux, en les regardant. Je savais très bien qu’ils allaient me torturer mais après tout, D’après le premier des mangemorts j’allais souffrir donc autant m’y habituer tout de suite. Mais je n’étais pas décidé à me faire mal traiter tout de suite, je pointa donc ma baguette sur mon coup.

- Torturez- moi et je me tue… A vous de décidez.

Je me mis à rire sadiquement

Visiblement, l’adolescent était au bord de la crise de nerfs : Il éclata d’un rire sans joie, leur conseilla de le tuer s’ils avaient le moindre doute quant à son désir d’être Mangemort et fit venir à lui l’enseigne du Chaudron Baveur, qui se brisa en dizaines d’éclats de bois sur le pavé.

Artémidore baissa les yeux vers lui, hilare en l’entendant dire que son âme « n’était pas noire ». Ne ressentant pas le besoin de prouver quoi que ce soit, il ne répondit pas. Lork était presque attendrissant, à force de candeur. Il ressemblait à un enfant capricieux, provocateur, faisant le plus de bruit possible pour attirer l’attention de ses parents. Le voilà qui menaçait maintenant de se suicider. Amusé, Artémidore s’adressa directement à lui pour la première fois.

-Ne te donne donc pas tant de peine : te torturer ne nous intéresse pas.

Il comprit alors ce qui avait attiré l’attention de Lord Voldemort chez ce garçon : Il était une véritable brûlée, autrement dit de la chair à canon dont il pourrait disposer librement.

Il se tourna ensuite vers Deadrick, attendant de savoir ce qu’il pensait de la marche à suivre. Sur son bras, le reptile aux yeux noirs s’était réveillé.

Je voyais très bien qu’ils ne me prenaient pas au sérieux. Je n’allais pas me suicider après tout pour une bande de psychopathes dégénérés. Non ! Il valait mieux les ignorer. Je m’étais demandé pourquoi un mage pareil voulait que je rentre sous ces ordres. Ceci m’étonna beaucoup. Que représentais-je pour lui ? Je n’allais pas risquer ma peau pour un simple mage noir ayant été puissant. Je leur répondis donc :

- Et bien en fait, je ne suis plus sûr de rien. Vous n’êtes vraiment pas effrayant, et si je n’ai vraiment pas envie de jouer à la dînette. Non, il est plus sage pour moi que je parte. Je trouverais bien quelqu’un capable de m’apprendre les sortilèges qui me fond envie. Je veux bien me battre pour Lord Voldemor mais ne me traiter plus comme de la vermine, je serais votre égal. Ma soif de tuer et de vengeance est grande. Vous ne me connaissez pas le moins du monde. Donc ne pas juger trop vite. Sois vous me laisser faire mes preuves, sois je pars étudier dans une école de sang de bourbe. A vous de choisir.

J’avais pris un air sérieux. Je voulais vraiment que les choses soient bien claires. Je n’aurais aucune sympathie pour des sois disant mangemort qui se moques de moi. Je les tuerais jusqu’aux derniers. Je n’avais pas le cœur à tuer aujourd’hui, je voulais apprendre. Et jusque-là, qu’avons-nous fait ? Parler… Je ne suis pas très tolérant et pas très patient non plus, il y a des limites à ne pas franchir. Après avoir rangé ma baguette, j’attendais fortement une réponse des deux mangemorts. Je savais que je les énervais mais ils n’avaient pas e choix. J’allais me faire accepter dans cette communauté et j’allais tuer, torturer, rire.

- Quelle est votre réponse ?

Lork feint de vouloir partir, visiblement blessé par leur indifférence, mais Artémidore ne tenta pas de l’en empêcher : S’il leur faussait réellement compagnie, c’était que son désir d’être Mangemort n’était pas assez fort pour résister à quelques vexations.
L’adolescent, bien que continuant à clamer sa puissance potentielle, resta, et prouva ainsi qu’il souhaitait viscéralement devenir partisan du Mage Noir.
Artémidore cessa donc de le tenir en joue, baissa sa baguette et, en guise de réponse, il lança d’une voix monocorde :

-Toi, au moins, tu es raisonnable, tu sais de quel côté il est bon d’aller.

Puis, comme pour lui-même :

-Les autres sont des fous…Ils ne savent pas qu’ils n’ont aucune chance…

Il revint au moment présent et ne pu s’empêcher de penser que Lork, quoi qu’il en dise, n’était pas en position de négocier ni même de poser des conditions. Servir ou mourir étaient les deux seules alternatives possibles, mais ça ne devait pas poser de problème puisque tout le monde, au final, tombait d’accord sur ce qu’il restait à faire :

-On va quitter le Chemin de Traverse ensemble, par transplanage d’escorte. Je sais que tu peux y arriver seul, mais notre lieu d’arrivée est hermétique aux non-Mangemorts.

Un sourire éclaira son visage tandis qu’il pensait à l’accueil qu’on leur réserverait, à lui et à Deadrick. Autour d’eux, tout était d’un calme terrifiant, sans doute à cause de l’aura du Seigneur des Ténèbres qui accompagnait toujours ses ambassadeurs.

Comme par curiosité et avec une brutalité contenue, Artémidore saisit le poignet de Lork puis remonta la manche de sa robe de sorcier jusqu’à son coude. La peau ainsi dévoilée était diaphane, d’une troublante douceur, vierge de la funeste tête de mort. Il glissa ses doigts à l’endroit exact où elle aurait pu se trouver lentement, presque sensuellement…Soudain effrayé par son propre émoi, il relâcha le garçon, les yeux toujours rivés sur son bras gauche.

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Une ambiance peu commune. ( Pv Artémidor )

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