Une lettre envoyée, un souvenir de plus [Libre]

Félix venait de revenir à Poudlard pour la rentrée. Il entamait sa 7ème et dernière année. Ce qui provoquait en lui un profond air de mélancolie. Il se rappellait de la première fois où il avait empruntait les couloirs près des cachots pour se rendre à son dortoir avec les autres Serpentards. Il se rappellait même de sa première bêtise ici, et Dieu sait qu'il y en avait fait. Il se tenait en ce moment même sur son lit. Il était assi et regardait devant lui. Son regard était vide. Il ne ressentait aucune expression à ce moment là. Il pensait à tous ses bons souvenirs qui resteraient gravés dans sa mémoire. Il baissa doucement la tête et eut un léger sourire. Il se leva et se dirigea machinalement vers une chaise près de son lit. Dessus, il y avait ses affaires. Une écharpe avec les couleurs de la maison Serpentard, ainsi que des gants et tout ce qui allait avec. Il attrappa sa longue Robe noire qu'il se mit sur le dos. Il admira le blason de sa maison en souriant d'un air fier. Sur son lit se trouvait une lettre qu'il avait écrite pour prévenir ses parents de son arrivée à Poudlard. Il passa devant une des nombreuses glaces du dortoir et passa une main dans ses cheveux pour les remettre à leur état naturel. Par la suite, il marcha à un rythme rapide en ayant à sa main cette fameuse lettre qu'il comptait envoyé depuis la volière. Il monta les nombreux étages qu'il y avait et se trouva à l'intérieur de la volière. Cette pièce circulaire donnait une vue impressionante et magnifique. Elle compait de nombeaux hiboux et chouettes qui étaient perchés en hauteur. Félix redressa son poignée et une belle chouette rayée déplia ses ailes pour voler et se retrouver sur le bras de son maître. Félix adorait sa chouette. Il l'avait eu lors de sa 2ème année, après la mort accidentelle de son rat. Sa chouette avait un magnifique plumage blanc. Des lignes bien parallèles se dessinaient sur son dos. Ses lignes étaient de couleur chocolat. Il lui caressa doucement le dos et s'approcha doucement pour lui murmurer son prénom qui n'était autre que " Plume ". C'était un prénom peu original mais dès qu'il le murmurer à sa chouette celle-ci répondait en hululant. Ce qui avait toujours fait sourire Félix. Il lui donna sa lettre et s'approcha de la fenêtre où il la laregarda pour la dernière. Elle allait bientôt partir pour aller donner ce courrier à ses parents. Lui était toujours inquiet, il avait toujours peur qu'elle se perde ou qu'elle ne revienne jamais. Mais cette fois-ci il ne montra aucun de ces signes et la laissa voler. Il la regarda déployer ses belles ailes rayées qui allaient de haut en bas pour l'aider à voler.

Que de souvenirs qui hantent la septième année... Revenue depuis peu des vacances, elle harpente les couloirs en se rapelant chaque détail de sa vie a Poudlard.
*Dire que c'est ma dernière année ici... j'en ai torturé des gens...*
Ellie est en face de l'infirmerie, un regard melancolique s'affiche sur son visage.... Une pointe de sourire apparait tranquilement.
*C'est ici que j'ai torturé mon premier élève, en première année... Il trempblait de tout son être, pauvre petit Barry.... a 11ans il fut traumatisé... Je ne l'ai plus revu depuis..* Puis ele se retourna... Non pas de sourire, juste une petite pensée amusée pour ses ''bonnes années'' .
Par la fenêtre, l'ont peut voir les nuages... Il semble faire frisquet.. Mais est-ce assez pour arrêter notre jeune femme? Bien sur que non... Puisqu'un désir fou de torture l'envahit.
Alors elle enfile son manteau qui depuis le début était sur son bras gauche et se dirige vers dehors.
*Ou pourrais-je bien trouver une fillette sans déffences?...*
Et comme de fait, une petite rouquine se dirige vers la volière.
A l'entrée, Ellie la prend par les cheveux et la lance en bas des marches.

-T'as voulu envoyer une lettre au mauvais moment ma ptite.

L'enfant devait être en première année... En tout cas, elle était terrorisée en bas des marches... Eleanore vint la rejoindre... lui tendit la main... pour ensuite la lancer dans des défections d'hiboux.

-Voila ce que les enfants dans ton genre méritent.

Pourquoi la verte a t'elle dit ceci? Car elle souffre pas mal du manque de famille et d'amis... Même si elle dira toujours le contraire...

Et miss Graham remonta les marches 4 a 4, en ayant aucune crainte que la fillette parle puisqu'elle tremble encore et peine a se relever.

Au sommet... Un jeune homme se tient dans la volière...
*Mignon...*
Mais chut, cela ne doit pas paraitre... Mais qui est-il? Qu'a t'il vu et entendu?
Ellie le regarde tranquillement, aucune émotion ne parait sur son visage de porcelaine. Seulement, l'ont peut sentir la méfiance... Et elle lui lance un regard meurtrier.

-T'as rien vu et t'as rien entendu... C'est compris?

Son ton est glacial et pas du tout a la plaisanterie... Même s'il est mignon, elle n"hésiterais pas a lui éclater la cervelle s'il parlait.

- Si tu crois que ça m'amuse de répéter tout ce que je vois. Mais si tu ne veux pas que je le dise c'est que tu as honte. Honte qu'on voye ce que tu as fais. Ca fait pitié. Franchement quand on commence à grandir faut apparendre à assumer ses actes. Enfin même si cet acte est pathétique comme celui que tu viens de faire.

Ellie ne se sentait pas vraiment intimidée par son regard... BAh en faite oui mais elle ne démontra rien puisqu'elle le soutint jusqu'à la fin.
La brise faisait voler ses cheveux noirs.... Ses yeux étaient couleur cendre.

-Au pire... Crois ce que tu veux, je n'ai pas honte des mes actes... Si j'aime faire souffrir les gens, t'as rien à redire. Toi, tu crois que c'est mieux de rester enfermé dans la volière? À ruminer dans tes pensées noires? Et essayer de te souvenir des moments qui, je suis sure, te font pleurer?

Miss Graham n'aime pas se faire dire qu'elle est pathétique et que ses gestes n'ont pas de sens... Non mais quand même!! Elle a une rage en dedans et cela l'Aide de voir les autres souffrir à sa place.
*Mais pour qui il se prend lui avec ses airs de Don Juan? Il est peut-être mignon sauf que son côté défenseur m'agasse.

-Pourquoi t'es serpy alors si t'as autant de sentiments qu'un pouffy?

Son ton avait été amusé, mais son regard cendré lui voulait dire tout autre chose.

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