Matt McKlin, quand il n'était pas au service de son maître Lord Voldemort vendait des articles ayant attraits à la magie noire dans son magasin. Sa boutique se situait dans l'allée des embrumes. L'intérieur de la boutique était remplie d'étagères où s'entassaient toute sorte d'objets qui donneraient des frissons dans le dos à n'importe quelle personne saine d'esprit si elle connaissait leurs utilités. Matt s'ennuyait. C'était un homme d'action aimant le danger, aimant se battre pour servir Lord Voldemort et là, il était assi à ne rien faire.

La dernière fois que le seigneur des ténèbres avait fait appel à lui datait de il y'a environ une semaine. Il avait eu pour mission de se débarrasser d'un sorcier défendant la cause des moldus . Matt avait torturé l'homme qui l'avait alors supplié, supplié, supplié... jusqu'à ce qu'il meurt. C'était une mission d'une simplicité! Mais bon, au moins, Matt s'était fait plaisir en torturant l'homme. Maintenant, le mangemort n'attendait qu'une chose: recevoir une fois encore un appel de son maître qu'il appréciait tant. La porte de la boutique s'ouvrit alors.

« Peut-être était-ce un mangemort qui avait des nouvelles importantes à m'apporter ? » pensa-t-il.

Mais ce n'était pas un partisan du plus puissant mage noir mais seulement un inconnu au regard sombre. L'homme fit le tour du magasin plusieurs fois, questionna Matt sur l'utilité d'un objet, l'acheta et sortit de la boutique. Le mangemort retourna alors dans ses pensées. Il était à présent 16h30, autrement dit il fermera sa boutique dans 1h30. Bien sûr, en sachant qu'il en était le propriétaire, il pourrait très bien la fermer tout de suite mais de toute manière, qu'il s'ennuit chez lui ou dans sa boutique, cela ne faisait aucune différence.

Matt était encore en train de se lamenter sur son sort lorsque la porte s'ouvrit de nouveau. Mais cette fois, Matt connaissait la personne qui se trouvait au seuil de la porte, c'était quelqu'un travaillant au service du seigneur des ténèbres. Le mangemort se redressa avec difficulté sur sa chaise. La personne se trouvant au seuil de la porte était...