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| Sujet: Retour au foyer et retrouvaille (Fe : Victoria) Sam 4 Juil - 13:15 | |
| Le soleil venait à peine de se lever dans cette belle ville de Londres et les rues pavés étaient peu éclairés de cette lumière naturelle. Dans cette pénombre sortit un homme. Il était d’âge mûr, son visage bien qu’imprégnait par les rides et ses cheveux d’un blanc pur, on pouvait voir dans l’expression de son visage et son pas lent et fier que la vitalité et de l’énergie débordé encore en lui. Il portait un smoking à la manière des Moldus et un petit sourire en coin s’affichait sur son visage.
Arrivé à une cabine téléphonique, Bern entra et fit le rituel habituel pour que celle-ci descende direction le Ministère de la Magie. Il franchit le Hall d’un pas conquérant et arriva à l’accueil. Ne se présentent même pas il se dirigea vers l’ascenseur pour se rendre à l’étage où se trouvait le bureau du ministre. Il sortit de cette cage de fer s’en avoir adressé la parole à qui que ce soit et se dirigea de ce même pas fier vers le bureau de l’actuel Ministre de la Magie. C’était un poste qu’il avait tant convoité et qu’il convoité toujours mais pour l’instant il se contenterait de ce qu’on lui donnerait.
En effet, Bern connaissait ce Ministère comme sa poche. Il avait travaillé plusieurs années ici. Il était partit en perdant mais en revenait en héros car si il était là, c’est parce que on lui avait demandé de revenir. La situation était-elle que les anciens gros bonnets, il fallait les sortir de la retraite et Bern était un candidat parfait de volonté et de motivation. Plusieurs heures passèrent et Bern sortit du bureau du Ministre avec un poste des plus importants : Directeur du Département des Oubliators. Département aussi primordial que les Aurors à l’heure d’aujourd’hui car sans eux, le secret des sorciers serrait révéler au grand jour. Bern avait ainsi plus d’une cinquantaine d’homme sous ses ordres. Mais il n’allait pas en rester là. Un poste l’intéressait et était dans son collimateur. Il fallait juste trouver le moyen d’expulser l’autre.
Bern avançait vers le Hall, il prenait ses fonctions que demain. Il était arrivé ici en visiteur et en repartirait en haut membres du Ministère. L’homme jubilait intérieurement et pour achever cette douce journée parfaite, il vit une des ses intimes connaissances. Ce blond d’or, cette démarche et cette prestance. Nul doute de l’identité de la jeune femme. Il s’approcha d’elle par derrière et arrivé à un mettre de celle-ci, dit de sa voix calme et imposante
-Victoria Van Perterburg, quelle heureuse coïncidence de vous retrouver ici le jour de mon retour. Comment allez-vous ? Et comment va votre si charmant père ? |
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| Sujet: Re: Retour au foyer et retrouvaille (Fe : Victoria) Lun 31 Aoû - 11:10 | |
| Londres, merveilleuse Londres. Un lieu que la blonde chérissait plus que tout puisqu’il était sans doute le tremplin pour qu’elle se hisse dans un monde célébrité et de gloire. Ambitieuse ? Evidemment mais qui n’a pas d’ambition ne réussira rien. Mais passons, nous parlerons de cette personne plus tard. Parlons tout d’abord de Londres. En ce beau matin, vers onze heures, Londres était depuis longtemps éveillé et s’animait au gré des habitants. Il faisait beau, la température était chaude et douce, pas étouffante. Quelques cumulus passaient dans le ciel mais ils étaient agréables à regarder. Ils étaient comme une décoration dans le ciel bleu, les boules de noël dans le sapin et le soleil, était sans conteste, l’étoile qui s’illuminait en haut de l’arbre… Les enfants s’amusaient à trouver dans les nuages, toutes sortes de choses amusantes. Les filles voyaient un château de princesse, les garçons, une voiture de course. Mais déjà, ils devaient arrêter leur contemplation pour éviter un passant, suivre la vitesse de leurs mères qui partaient chercher leur mari au travail pour passer le déjeuner de midi ensemble, en famille. Les vielles dames sortaient en tenues du dimanche par ce beau temps au bras de leur mari. Ils marchaient jusqu’aux rues commerciale pour acheter de quoi faire un bon repas. Les femmes partaient faire les courses tout en rencontrant des connaissances qu’elle saluaient tout en parlant d’anecdotes. Les hommes, eux, rentraient dans un bar et se prenaient un petit remontant en retrouvant leurs compagnons de tous les jours.
Oui, Londres était magnifique malgré le bruit des bus, des taxis et le tremblement du métro. De toute façon, les gens étaient habitués et cela faisait parti du charme de la ville. C’était agréable, anodin. Et parmi toute cette foule se trouvait notre ambitieuse blonde, j’ai nommée Victoria Van Perterburg. La jolie jeune femme était adossée près d’une cabine téléphonique rouge tout à fait banale et regardait autour d’elle. Pas qu’elle n’est rien à faire, au contraire, elle était même en retard mais on la pardonnerait. On la pardonnait toujours, il suffisait qu’elle affiche un joli sourire sur son beau minois et le tour était joué. Bref, Victoria profitait de la ville car elle devrait bientôt repartir.
Elle n’était pas Londonienne, non. A son grand regret. Elle venait du Grand Nord, la Bulgarie, dans ce coin là. Elle aimait son pays mais elle préférait Londres. Ou peut-être si la Grande Guerre avait eu lieu à Paris aurait-elle préféré Paris ? Mmmh, sans aucun doute. La sorcière était passionnée par la puissance, la magie et la gloire. Et quoi de mieux que cette guerre. Mais son dilemme était de choisir son clan. Voldemort ou Harry Potter ? Peu importe le bon ou le mauvais côté, ce qu’elle voulait c’était le gagnant. Et pas question de mettre un pied dans chaque, à trop vouloir, on perdait tout. Non, elle devait bien réfléchir, voilà tout.
En attendant, elle s’était promise de ne pas mettre un pied dans le Londres sorcier pour ne pas être influencé. Ou ne pas trop être tenté. Il lui restait encore un an à Durmstrang et ensuite, elle pourrait venir s’installer à Londres, en attendant, pas question d’y mettre un pied. Ce serait un moment important. Mais, la jeune femme avait déjà bien enfreint cette règle en venant passer une journée à Londres pour faire du shopping. Néanmoins, elle avait évité tout contact avec le monde sorcier. Sauf qu’aujourd’hui, elle se voyait devoir enfreindre encore cette règle, pas qu’elle s’en plaigne.
Ce matin, alors, qu’elle dormait comme une enfant dans son lit, son père était venue la réveillée. Enfin, disons qu’il voulait la réveiller en douceur mais la blonde l’avait entendu et c’était donc éveillée. Mais elle avait feint de dormir pour voir ce qu’il allait faire. Et elle avait dû mal à jouer la comédie puisque que son père avait passé près de vingt minutes à l’admirait dormir. C’est vrai qu’elle était belle à regarder. Dans son lit entièrement blanc, les draps, les oreillers, la couette et le lit lui-même, elle offrait un contraste magnifique. Elle portait une nuisette rouge qui contrastait énormément avec la literie. Elle avait aussi des lèvres rouges pulpeuses qui ressortaient sur son visage pâles. Et ses cheveux blonds s’étalaient comme une couronne d’or autour de sa tête. Oui, elle était belle. Et son père avait profité du spectacle de voir sa fille chérie endormie, loin de tous les problèmes de la vie.
Il lui avait fallu tout de même la réveiller et elle avait satisfaite d’être sortie de son sommeil. Elle avait un élan de tendresse pour son père qu’elle n’avait pas ressenti depuis 7 longues années. Au début, il n’avait rien dit puis, il avait fini par lui avouer qu’il partait en mission en France pendant deux semaines, une affaire compliquée qu’il lui avait expliquée sans qu’elle n’y comprenne quelque chose. Le seul problème, c’est que dans une heure, il devait être parti et ce matin-même, il devait donner des papiers au ministère de Londres à 10h30 précise. Mais il ne pourrait malheureusement s’y rendre et sa femme n’y connaissait rien en paperasse. Il souhaitait donc lui confier tout en lui disant que tous le ministère l’adorait. Cette réplique était sans aucun doute dans le but de convaincre la jeune femme de cette tâche disgracieuse. Mais dès que le mot Londres fut prononcé, Victoria sut qu’elle irait. Son père lui confia donc les précieux papiers, l’embrassa, lui dit au revoir, la ré-embrassa et partit sur un dernier signe de la main.
Victoria ne tarda pas trop au lit et se dépêcha de s’habiller. Elle mit une robe rouge bordeaux à manches trois quarts dénudé dans le dos qui lui arrivait aux genoux. Elle était serrée et faisait à la fois professionnelle et sexy. Elle mit une ceinture noire fine autour de sa tailler et coiffa ses cheveux. Une heure plus tard, la jeune femme, était à Londres et était en retard pour le rendez-vous d’une demi-heure. Elle finit par se décider à y aller. Elle entra dans la cabine téléphonique et arriva dans le ministère. Il était presque identique à celui du Grand Nord. La jeune femme ne s’attarda pas trop et se rendit dans le bureau où elle était attendue. Dix minutes, plus tard, elle était assise, une tasse de thé dans la main tout en discutant d’elle avec les employés et le ministre de la justice. Comme elle l’avait prévu, elle avait été pardonné, accueillie comme une reine et passait un bon moment, évidemment puisqu’elle était le centre d’intérêt.
Encore dix minutes plus tard, elle était dans le hall et se dirigeait vers la sortie, pensant manger à Londres, dans un restaurant moldu excellent puis se baladait un peu avant de rentrée chez elle et de se plonger dans un bouquin ou alors de contacter une de ses connaissances de Londres pour qu’il lui parle de l’avancement de la guerre lorsqu’une voix qu’elle connaissait que trop bien l’interpella :
- Victoria Van Perterburg, quelle heureuse de vous retrouvez ici le jour de mon retour. Comment allez-vous ? Et comment va votre si charmant père ?
La blonde sourit en reconnaissant la voix de son interlocuteur, et se retourna un sourire radieux aux lèvres. La blonde se rapprocha de lui en lui offrant son plus beau sourire.
- Je vais bien, merci, et vous comment allez-vous ? C’est vrai que cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas vus. Vous m’avez manquez vos savez, j’ai toujours aimé parler avec vous. Papa vient de partir pour la France, une histoire à régler. Ne me demander pas de quoi s’agit-il, je n’en ai aucune idée, dit-elle en riant tout en faisant un signe de la main pour montrer son ignorance sur le sujet.
Elle passa une main dans ses longs cheveux avant de demander sur le ton de la conversation :
- Vous êtes donc de retour, vous revenez travailler au ministère ? [Hrp : Je suis vraiment vraiment désolée pour le retard, j'ai aucune excuse valable et je suis désolée de mettre fait attendre, j'ai aucune excuse à part ma flemme légendaire donc vraiment désolée >.<] |
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