Marche dans la rue de l'ombre (Fe : Flora Wayne)

La ruelle était sombre et inanimés. Les passants jetaient de regards méfient à qui l’entouraient tout en jetant des regards aux alentours comme cherchant un piège qui leurs été destinés. Rien de bien bizarre en somme pour l’Allée des Embrumes. Ici, avançait un jeune élève portant une robe de l’école neuve aux effigies de sa maison : c'est-à-dire vert et argent. Ce n’était pas la première fois qu’il empruntait cette rue pavé poussiéreuse, ce n’était pas la première fois qu’il regardait avidement les vitrines des magasins. La seule différence qui existait entre sa dernière venue ici et celle là, c’est qu’aujourd’hui, il avait un grand bandage sous sa robe autour de sa taille et surtout qu’il était ici non plus pour acheter mais pour vendre.
Enfin arrivé où il le désirait, il entra dans la librairie de magie noire avec sous le coude trois quatre livres. Le vendeur arriva au galop et souriant mielleusement demanda à Matthieu

-Que puis-je faire en cette disgracieuse matinée pour vous.

Matthieu posa les livres sur le comptoir sans un mot. Le vendeur perdit son sourire quelques instants puis le reprit pour répondre

-On ne reprend pas et on n’échange pas, désolé Monsieur.

Matthieu sourit à son tour et rétorqua

-Vous m’avez vendu des livres de magie noire alors que j’étais encore mineur, je ne pense donc pas que vous soyez en droit de me refuser une telle faveur à moins que vous vouliez que je fisse par de vos ventes illégales à un représentant de la loi. Je suis sur qu’en cette période merveilleuse de paix, il ne verra pas le mal de distribuer des ouvrages occultes à de jeunes étudiants naïf et curieux.

Le vendeur perdit immédiatement son sourire et à vrai dire, c’était tant mieux. Matthieu voulait que cette affaire aille le plus vite possible. Ces ouvrages ne lui serviraient plus à rien. Il préférait revendre ceux qu’il pouvait et brûler les autres. Maintenant, il devait tirer un trait sur cette facette de la magie. Lui avait déjà assez causé de soucis comme ca

-Quatre galions et je m’en vais les lèvres fermés à jamais.

J'avais milles choses à faire aujourd'hui, et je ne savais plus ou donner dela tête, j'avais commencer par l'allée des embrumes, un endroit que je n'aimais que très peux. Je commençais par chez Barjo et Beurk, pour lui apporter quelque vieux truc trouvé dans le manoir que mon oncle m'avait laissé en héritage, puis je continuais prs la librérie magique, spécialisé dans la magie noire.

La porte s'ouvrit légèrement en grinçant, chose qui m'ennerva, car je voulais être la plus discrète possible, mais bon tanpis.

A l'intérieur il y avait un jeune homme au prise avec le vieux vendeur rabougrit, que je détestais mais qui m'étais souvent très utile. Lorsqu'il me vie il se détourna du jeune pour s'intéresser à moi

Bonjour Miss Wayne, que puis-je pour vous?

Occupez-vous d'abord de ce jeune homme

Je le laissais retourner aux prises avec le jeune homme, dont je remarquais l'uniforme vert et argent, tien donc un serpentard ici, rien ne m'étonne, je me tournais alors vers lui

Aurais-tu un problème avec ce vieux vendeur?!

- Aurais-tu un problème avec ce vieux vendeur?!

Matthieu se retourna instinctivement pour voir de qui provenait cette proposition d’aide. Cela venait d’une jeune femme qui avait sans doute finit ses études et qui avait une chevelure d’une couleur…disons…original. Ce débordement de couleur faisait vraiment radieux face à la grisâtre boutique. Matthieu sourit donc et répondit gentiment

-Merci beaucoup de votre aide, disons que ce vendeur est en tort et qu’il ne veut pas payer mon dut.

Matthieu se tourna un mince sourire gravé au visage. Le vendeur n’avait pas l’air d’apprécié que le Serpentard prenne ainsi des gens en témoin. Matthieu en profita

-Disons qu’il m’a vendu des livres illégales et qu’il refuse de les reprendre. Je ne voudrais pas que mon innocence soit tachée de cette magie et me demande bien ce que vous ou même le département de la justice magique a à commenter à propos de cela.

J'avais raison, le jeune homme face à moi avait bien quelques soucis avec le vendeur de la librérie, je lui fit alors face et le regarda avec méchanceté et lui dit d'une voix froide

Allons, je suis sûr que l'on peut trouver un aragement à tout celà, sans crée de facheux incident pour vous même ou votre boutique

Mes paroles eurent l'effet voulue, et je vie le libraire pâlir, au point de faire conccurance à un fantôme ou moi même qui suit vampire. Je me retournais ensuite vers le jeune homme

Il est vrai que celà n'est pas rès responsable de la part du libraire, mais l'est aussi de la tienne, car acheter ses livres alors que tu n'en avais l'âge, n'était pas très malin du tout. Bref, je pense qu'il a compris son erreur et j'espère que toi aussi

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