[FE Mat et Eli] conversation salé...

Le jeune John entra dans sa salle commune, et comme à son habitude les murmures cessèrent et des regards se posèrent dans sa direction hostiles, craintifs, admiratifs, jaloux, timides il y en avait pour tous les goûts. Le serpentard sourit mi agacée mi amusé, après 6 années passé à Poudlard sa réputation le précédait toujours ou devenait même de plus en plus terrible, il balaya la salle d’un regard mauvais et hautin s’attardant sur de tierces personnes, la plupart baissèrent les yeux ou rougissaient violement. Après avoir fini son observation, il s’assit dans un confortable fauteuil vert qui se trouvait près du feu et, comme si cela était un signal les murmures reprirent leurs cours et l’on pouvait presque penser que rien ne c’était passée sauf si l’on remarquait certains regards furtifs et l’atmosphère légèrement tendue de la pièce. Un de ses « amis » s’approcha de lui mais John lui pria sèchement de s’en aller et pensa qu’il n’avait pas le temps pour les imbéciles.

C’est décidément toujours la même chose pensa-t-il en souriant malicieusement mais le garçon ne voulait pas que cela change, certains le craignaient d’autres l’admiraient et d’autres encore manifestaient des sentiments différents, ils y en avaient tellement qu’il ne pouvait tous les nommer.

Le vert et argent prit dans son sac une plume, un parchemin, et de l’encre noire, il se souvenait qu’il avait un devoir en défense contre les forces du mal à rendre pour demain, pour l’instant il inscrivait de longues phrases de son écriture masculine mais élégante tout de même, une expression de concentration sur le visage consistant à avoir les sourcils froncés et le regard certains et fixe, cette expression faisait souvent craquer certaines filles, puis se désintéressa vite de son devoir il pouvait le faire en un quart d’heure si il le voulait, il était très doué en magie et apprécié par beaucoup de professeur, il aurait sûrement été envoyé à serdaigle si il n’aurait pas eu ce caractère si particulier.

Ses affaires se trouvait toujours sur la table, mais lui, n’était plus penché dessus, comme à son habitude il s’amusait à faire apparaître et disparaître une petit flamme orange sur le bout de sa baguette. Beaucoup de gens l’observait, surtout lorsqu’il faisait cela mais le jeune homme s’en fichait il savait la curiosité que l’on lui témoignait et n’y faisait attention que lorsqu’il y en avait la peine.

Il repensa qu’il devait aller s’entraîner sur son balai, non pas qu’il était dans l’équipe de quidditch, il se voyait une profession beaucoup plus noble dû à quelqu’un de son rang, mais il aimait la sensation que procure le vol sur balai de plus, il aimait aussi être bon dans toutes les matières…

Le vert et argent s’ennuyait ses temps si, il fallait qu’il trouve une occupation sinon pour camoufler son ennuis il en serait réduit à s’occuper de ses affaires lui-même à la place de ses « amis » affaires, dont il trouvait que cela ne valait pourtant même pas la peine qu’il le fasse lui-même. Tiens, un journal, sans aucune gène et de toute façon personne ne lui ferait la remarque il prit la gazette du sorcier, distingua le regard étonnée d’un garçon aux cheveux noirs d’environs 14ans et devina que le journal lui appartenait, ce dernier blêmi lorsqu’il remarqua que John le regardait et s’en alla dans les dortoirs. Après ce petit épisode anodin il se mit à lire les nouvelles tout en prenant son expression de concentration, il ne le faisait pas exprès, elle venait toute seule.

[je sais pas pourquoi, j'ai l'impression que le titre est super en accord avec le rp qu'on va faire...]

Comme chaque soir, le jeune homme rentrait dans sa salle commune, tranquillement car de toute façon personne ne l’attendait, c’était une chance de pouvoir prendre son temps tout en sachant qu’arriver en retard ou non n’aurait aucune conséquences sur les autres. On le regarderait de travers mais sinon il n’avait à rendre de compte à personne, mentant très facilement aux élèves comme aux professeurs mais ne préférant pas le faire devant eux, se sont des personnes adultes après tout. Tout en ouvrant la porte qui le mènerait dans une salle peuplée d’adolescents en train de brayer, il se fit une dernière image de son passé. Tant de choses avaient changé depuis, il n’était plus comme avant et tout le monde pouvait l’affirmer ici, en arrivant dans ce collège, sa bonne humeur et ses sourires commençaient déjà à s’estomper et avec les années, personne n’aurait pu croire que le gentil et mignon petit garçon était devenu un parasite de la pire espèce. Il n’avait rien contre les moldus car même si sa vie antérieure était loin dans son cœur, elle l’était encore plus en réalité, un univers les séparait et pourtant ses anciens amis lui manquaient. Matthew en avait tellement eu que les prénoms se mélangeaient mais chaque visage, chaque expression et chaque expression était dans un coin de son esprit, si précieuse à ses yeux. La plupart, il ne les avait pas connut plus de deux mois mais l’enfant savait se faire des liens très rapidement, le lendemain de la rentrée, la classe et lui était déjà de grands amis à toute épreuve. On lui avait souvent demandé comment il faisait pour être aimé de tous, maintenant on lui demanderait sûrement faisait t-il pour être hait de tous. Quand on ne connaît pas, c’est plus simple de critiquer et de dire que la personne concernée n’en vaut pas la peine, pourtant on ne peut réellement le savoir. C’est une excuse parmi tant d’autre.

La salle à sa portée, il la jugea du regard, neutre comme à son habitude mais n’en pensait pas moins. Ce type de personne lui était indifférent. Plus loin, il y avait un jeune homme installé confortablement sur l’une des chaises, il lisait un journal. Rien de bien anormal en d’autres termes, son regard se tourna dans une autre direction mais rien n’était agréable à voir ici. Une place dans un des fauteuils était libre alors avant que quelqu’un ne lui prenne, il traversa la salle la tête droite et alla s’asseoir directement sans prendre en compte les personnes autour de lui, observant le feu, lasse de ce temps dérisoire et sans grand interêt.

Elisabeth entra comme à son habitude dans la salle commune des Serpentards qu'elle affectionnait tout particulièrement. La jeune femme jetta un coup d'oeil circulaire à la pièce et le brouhaha habituel envahit alors ses délicates oreilles. La préfète s'avanca alors dans la salle de son air froid et hautain habituel réprimendant au passage quelques jeunes élèves un peu trop bruillant à son gout. Bien que la salle commune était un des rares endroit dans ce château où le bruit était toléré, Eli estimait que certaine limite ne devait en aucun cas être dépassée.

La verte et argent se dirigea alors de sa démarche princière et sensuelle vers le centre de la pièce. Elle jetta alors un coup d'oeil du coté de l'atre diffusant une douce chaleur dans l'atmosphère. Elle réajusta son nouveau sac à main sur son épaule, carra sa farde sous son épaule et se dirigea vers son sofa préféré. Un jeune élève occupait sa place et elle eu vite fait de la récupérer. Presque personne n'osait s'opposer à elle surtout pas les petits nouveaux.

La jolie jeune femme esquissa un sourire malveillant en voyant le petit dégèrepir tête baissée. La préfète s'installa alors con fortablement dans son sofa et sortit une plume verte et argent de son sac à main ainsi qu'un morceau de parchemin sur lequel elle se mit à écrire frénétiquement sans preter la moindre attention aux personnes l'entourant. Cependant, elle sentit un regard poser sur elle et insistant.

John lisait le journal, rien de bien intéressant en vue, toujours les mêmes choses, il soupira et remis le journal sur la table, juste à ce moment le garçon de 14ans revint prendre son journal et John le regarda en haussant un sourcil, le garçon blêmit et s'en alla en presque en courant en laissant son journal. Un sourire satisfait traversa les lèvres du jeune homme, que les gens étaient impressionnables ! Tiens, il remarqua que deux personnes s'étaient assis juste tout près de lui, la préfète et un garçon Matthew que John connaissait de réputation, réputation qui consiste en un grand changement de caractère et le beau gosse de service, rien avoir avec John... Avec un sourire mauvais il se dit qu'en effet des beaux gosses ils y en avaient à serpentard, hélas pour ses pauvres filles, tous n'étaient pas très fréquentables. Il l'observa juste un instant, car il s'en fichait complètement de ce garçon et remarqua non sans esquiver une grimace que le serpentard fixait la préfète, alors là il les regarda tour à tour, que c'était drôle à voir, un jeune homme qui fixe une fille et la fille qui fait semblant de ne rien voir...

Alalala, que le monde est bizarre, le serpentard avait pourtant entendu parler que ses deux jeunes gens se détestaient, et à la réflexion c'était peut-être pour cela qu'il la fixait, John se demanda soudain pourquoi il s'intéressait à cela, sans doute parce qu'il n'avait rien d'autres à faire. Il bailla d'ennuis et passa une main dans ses cheveux.

Décidément que les gens étaient ennuyeux, il observa tout le groupe qui se trouvait dans la salle commune, lui en y venant avait dérangé la tranquillité, ensuite Matthew et puis la préfète ce qui était moins grave car c'était son rôle mais John se demanda si les pauvres gens arriveraient à s'en remettre... Mais en faite, il s'en fichait pas mal, tout ce qui comptait pour lui était lui et son bon plaisir. Mais bon, pourquoi pas justement pour son plaisir essayer d'instaurer une conversation entre eux trois, John prit donc le journal et dans un mouvement qui se voulait maladroit le fit tomber aux pieds du jeune homme.

Allez, relève la tête histoire de voir ce qui se passe s'adressait mentalement John à Swann, en attendant il ne repris pas le journal au pied du jeune homme et même si celui si lui rendait il ne se remettrait pas à le lire... Et oui, John pouvait aussi être manipulateur, enfin il l'était mais ne le montrait pas souvent, car lorsqu'on manipule, la personne ne s'en rend justement pas compte, mais là même si il ne reprenait pas son journal on ne pourrait même pas penser qu'il là fait exprès car, sa paraissait peur probable et de toute façon on expliquait pas souvent les gestes du garçon.

Le serpentard détourna donc le regard vers le feu et attendit de voir la suite...

[bon, voila lol]

[ HJ:J’avais dit que je ne voulais pas être celui qui l’a regardait mais tant pis, je ferai avec ^^]

Les yeux dans le vague, le jeune homme regardait droit devant lui, ne sachant même pas qu’il s’agissait de l’une des personnes pour laquelle il avait le plus de mépris dans cette salle. D’un point de vue extérieur, cela pourrait paraître à elle mais pas du tout, le feu était juste à côté et si on l’observait un peu mieux, cela se voyait aisément. Mais que personne s’amuse à le faire sinon le feu n’abriterait pas que du bois. Il ne savait que faire, cet endroit était trop Ennuyeux, si sa condition n’en était pas ainsi, l’adolescent aurait fermé les yeux et profité des bénéfices de la cheminé, mais malheureusement cela était impossible, il se mit juste à fixer un point et se plongea dans une réflexion lourde sur un sujet bien sympathique à ses yeux, les filles. Etres humains dotés d’une intelligence pour la plupart inexistante et ayant une sensibilité plus que pitoyable. Ceux de cette maison disent que ce n’est pas bien d’aimer, que c’est une faiblesse mais ils le disent sans savoir ce que c’est. D’ailleurs Matthew n’était pas mieux, à s’amuser avec toutes les filles potables mais il n’y avait aucun sentiment car des jolies adolescentes, il y en avait tellement que cela devenait lassant. Il était plus qu’exigent en cette matière et personne ne répondait à ses critères pour l’instant. Entendant le froissement d’un journal, il ne bougea pas, le regard toujours sur cette jeune fille sans le savoir, sachant que l’objet ne lui était pas destiné vu que personne ne lui avait adressé la parole. Le matin était un moment où il décompressait mais le reste, il lui fallait plus que de la force pour pouvoir rester éveillé. Ses mots de tête reprenaient de plus belle alors que la préfète n’avait toujours pas vu et que celui qui devait être derrière lui venait de faire fuir un jeune Serpentard, pour le moins trouillard, il y a tout dans cette noble maison tout de même.

Il soupira et tourna la tête vers le feu, hypnotiser par la couleur de celui-ci, si étrange et en même temps diabolique au possible. Son regard n’ayant pas réellement croisé celui d’Elisabeth, Matthew ne su pas qu’elle était juste en face de lui.

Elisabeth avait perçu le bruit pratiquement inaudible du journal tombant aux pieds du jeune homme situé juste à ses cotés. La jeune femme se leva et se dirigea vers ce jeune Serpentard. Bine qu'elle ne l'appréciait pas plus que ça, la préfète désirait que sa salle commune soit d'une propreté méticuleuse. La verte at argent arrêta alors d'écrire frénétiquement sur son parchemin et se leva pour se diriger vers le sofa occuper par le jeune homme. Elle s'arrêta juste devant lui et s'inclina avec grâce et élégance pour ramasser le journal qui n'était autre que le chicaneur dont elle était une des rédactrices.

"Je pense que tu as fait tomber ceci, la salle commune doit rester propre si tu n'y vois pas d'inconvénient bien sur" Lui susurra-t-elle froidement en lui tendant son journal.

Eli se détourna alors pour retourner s'installer confortablement dans son sofa et se remettre à écrire. La préfète redoutait quelque peu une nouvelle confrontation et elle n'était pas d'humeur à se quereller de bon matin. Soudain, elle entendit du bruit dans son dos. La préfète des verts et argents se retourna pour voir ce qu'il se passait.

[J’avais pas vu :arrow: ]

Et bien, le jeune homme ne paru rien voir de ce que John venait de faire, et il s'en irrita passablement... Mais après tout, ce n'était pas quelqu'un comme lui qui allait changer son humeur. Il se détourna donc des deux jeunes gens et contempla le feu, mais alors qu'il ne s'y attendait plus la préfète s'adressa à lui d'un ton sec, lui faisant bien comprendre ce qu'elle pensait de lui. Il lui prit donc le journal des mains sans se soucier plus de cela, que la salle commune était ennuyeuse ! Tiens, un peu d'animation, en effet deux jeunes gens se disputait plutôt bruyamment, décidément ils sont de plus en plus exaspérants pensa John, de plus c'était surprenant une bagarre alors qu'il était présent dans la salle, la préfète ne paraissait ne pas remarquer et continuait à écrire sur son parchemin, John se leva et lança d'une voix froide mais pas agressive

" Hey ! Vous voulez que je vous aide ?

En disant cela il croisa les bras et leur lança une expression moitié hostile moitié amusée.
Il ne lançait jamais des menaces clairement, mais quand il adressait la parole a quelqu'un pour lui dire quelque chose dans ce genre là et surtout avec ce ton, seul un imbécile ne pouvait comprendre, par contre les personnes qui recevait ses paroles pouvaient prier pour qu'il n'ai pas de poursuite...
Tout en disant cela, la préfète c'était levée mais trop tard, l'affaire était déjà fini, en effet, un des garçon avait était à deux doigts de s'évanouir et l'autre était devenu rouge comme une tomate, puis ils s'en étaient allé bras dessus, bras dessous, John se demanda pourquoi il s'en était mêlée d'habitude il ne faisait pas attention, mais là il voulait du calme, ce n'était pas compliqué non ?

Mais apparemment toute la salle avait compris son désir parce que brusquement après ce coup de sang du serpentard, plusieurs personnes partirent, d'autres se taiserent et des filles le regardèrent d'un air amoureux. *pitoyable* pensa-t-il en souriant...

Oh, la préfète la regardait, il lui sourit, il savait qu'il ne fallait pas énerver ce genre de personne, il savait qu'il ne devait pas chercher les ennuis, ils étaient manipulateur et ne servait que ses intérêt personnelles, bien que ne se laissant pas marcher sur les pieds, il ne cherchait pas bagarre pour une question de point de vue !

"Je t'ai évité une future migraine..."

Tout en disant cela, il se passa une main dans les cheveux…
Après cette phrase destinait à Elisabeth Swann, il se rassit et continua de la regarder dans les yeux en souriant d’un air mi moqueur, mi amusé.

Comme la dernière fois, il fut prit d'une grimace en voyant que la personne qui était en face de lui n'était qu'autre que sa chère préfète. Pas que le jeune homme ne l'aime pas non mais elle était trop stricte pour un adolescent qui a soif de pouvoir et de liberté. Tel un étalon qui gambaderait dans le désert, pour l'attraper, il faut plus que du courage. Enfin, il ne fit pas d'autres commentaires même mentaux et tourna la tête vers le feu, ignorant les bruits incessants venant de la salle commune qui était très nombreuse, comme à son habitude. Pourquoi l'inconnu de derrière lui avait lancé un journal, heureusement Elisabeth ne l'avait pas remarqué. Heureusement? Il s'en fichait pas mal mais bon, vu que les deux compères étaient ensemble dans la même et unique pi-ce, il n'avait pas envie de se disputer encore une fois avec cette charmante jeune fille. Bon oui, il faut l'avouer que même s'il n'aimait pas son caractère, physiquement elle était pas mal... pas mal du tout même. Retirant sa dernière pensée, Matthew poussa quelque peu le fauteuil pour voir qui était installé à une table derrière lui, en train de gronder ceux qui faisaient tant de bouquant. Pour une fois que c'était une fois d'homme et non de femme, ça faisait juste étrange. Il a qu'a devenir préfet lui aussi s'il se croit tout permit. Rectification du tir, non une ça suffit amplement!

Puis après, le jeune homme dit juste une petite phrase à la préfète et Mat' détourna le regard, et se plongea dans les flemmes. Parler, ce n'était pas le moment et puis ils avaient qu'a le faire tous les deux.

Elisabeth entendit deux étudiants se disputer dans son dos mais avant même d'avoir pu finir la phrase qu'elle écrivait sur son parchemin, un jeune homme se leva et remit de l'odre dans la salle. La préfète des verts et argents en était extrêmement contrariée. Pour qui se prenait-il, pour un préfèt?? Elle e tourna vers le jeune homme en question qui lui souria La jeune femme ne répondit pas le moins du monde à ce sourire, elle n'éprouvait que de l'exaspération en ce moment.

Elle lui jetta un regard enflammé prouvant le niveau élevé de ses sentiments. Le jeune homme en question, auquel elle n'avait jamais adresser la parole lui dit une seule et unique phrase qui fit bouillonner la colère dans ses veines. Voici ce qu'il osa lui dire: "Je t'ai évité une future migraine." C'était bien gentil de sa part d'essayer de prendre soin d'elle mais depuis le nombres d'années qu'elle avait passée en tant que préfète, elle connaissait ce que l'on pouvait considérer comme sont travail. La jeune femme n'allais pas se gène pour le lui faire remarquer.

"Je n'ai aucunement besoin de sous fifre. Je me débrouille aisément seule comme préfète dans cette maison depuis des années. Je n'attrappe pas de migraine pour une vulgaire dispute. Je te prierai de ne pas te prendre pour plus que tu n'es et de ne plus te mêlr des affaires de préfèt." Lui répondit-elle d'un ton à glacer le sang à un vampire.

Avant cette phrase cinglante, elle vit le jeune homme se passer la main dans les cheveux comme si il était irrésistible. En se détournant de lui, la verte et argent croisa le regard d'un autre garçon qui n'était autre que Matthew avec qui elle avait eu une altercation quelques jours plus tôt. Il était vrament pas mal, seul son sale caractère n'acceptant aucune remarque dérangait la préfète. Elle esquissa un petit sourire avant de retourner s'assoir dans son sofa pour terminer ce quelle écrivait sur son parchemin.

La préfète l'insulta copieusement, mais John ne prit pas la peine de répondre, ce n'était pas une fille comme elle qui allait le blesser, son seul but dans la vie de cette fille était de montrer qu'elle était une bonne préfète et qu'elle pouvait terroriser des petits de 1er, le jeune homme haussa les épaules mais se sentit tout de même insulté lorsqu'elle lui dis qu'elle n'avait pas besoin de "sous-fifres" répondre ? Ne pas répondre ? Le serpentard opta pour la 2ieme décision, lui répondre voudrait dire que les paroles de la serpentard avait une importance à ses yeux, hors il n'en était rien, se prendre pour supérieur qu'il était ? Ainsi, c'était interdit de ne pas vouloir qu'il y ai une dispute dans le salle commune, il eu un petit rire et un sourire narquois, puis leva les yeux aux ciel, ce qui venait de se passer ne mêlait pas que les préfets mais l'entière communauté qui se trouvait à l'intérieur de la salle commune, mais bien sur il n'accorderait pas d'importance à ses paroles, cela lui importait peu, de plus, il faisait encore ce qu'il voulait de sa vie...

Il s'était rassis avant qu'elle ne lui fasse la remarque, il tourna son visage vers le jeune homme, qui à ce qu'il avait entendue s'appelait Matthew, John s'ennuyait, bien sur, il aurait pu chercher les ennuis avec la préfète, mais il n'était pas un de ses serpentard sans cervelle qui s'animait dès qu'on insultait ce qu'il disait être leur honneur. John décida donc de faire un peu de conversation au serpentard.

"On est dans la même année non ?
Tu as légèrement changé depuis la dernière fois que j'ai entendu parler de toi, mais oh bien sur ! Je ne critique pas."

Non, il ne critiquait pas, il trouvait le changement plutôt meilleure qu'avant, pour lui, personne n'était réellement gentil, tout le monde servait ses propres intérêt de temps en temps, lorsqu'il voyait ce serpentard plaisanter avec tout le monde et pour rien, il trouvait cela pitoyable et se disait que sa cachais certainement quelque chose. Le serpentard ne savait pas trop quoi dire, à vrai dire, il s'en fichait des conversations du second degré, c'est à dire pour lui, qui ne servait à pas grand chose, sauf à parler. Il douta que le serpentard lui répondrait d’une manière aimable, en faite, John n’avait pas cherché à l’énerver, c’était juste pour lancer la conversation, mais il espérait intérieurement que Matthew ne commencerait pas à lui dire de la fermer ou à lui casser les oreilles pendant 3 heures sur les questions d’honneur et de caractère, tout c qu’il cherchait c’était un semblant de conversation.

Oh non, pas une nouvelle dispute qui allait se mettre en route, même s'il n'était pas dedans cette fois-ci, regarder en était aussi éprouvant. On n'avait jamais la même vision de la conversation en l'observant. Ce n'était pas pareil, des choses y étaient insérées et les concernés de les voyaient pas, lui aussi avait dut être dans ce cas dans le passé, même ce matin tient. Quand un garçon un peu plus vieux que lui, en dernière année lui avait prit la tête et que les deux avaient faillit se retrouver chez le directeur. Des habitudes idiotes et sans conséquences, on en a tous plusieurs chaque jours mais les adolescents n'en tiennent pas comptent, au pire les rumeurs sont dans tous les couloirs pendant quelques semaines, cela dépend de la popularité de l'élève. Et alors? Ce n'était rien, il avait l'habitude que l'on parle de sa petite personne même si ce n'était que très rarement en bien. Si les autres croyaient qu'il était impoli et insolent, eux n'étaient pas mieux envers les élèves. Et oui, c'était à peu près la même chose que d'insulter et tenir tête à un professeur mine de rien. Enfin, ce n'était pas le sujet de la discussion mais vu qu'il n'en faisait pas partit, autant réfléchir pour passer le temps. Oh tient, ce jeune homme qui était juste derrière lui venait de répondre à la préfète, mince il allait devoir se justifier pour qu'elle le laisse tranquille, le pauvre! Que de mauvaises intuitions juste dans la salle commune. La suite lui dirait si cela c'était passé comme prévus.

Oh tient, John lui adressa la parole, non avant de répondre il vérifia que c'était bien à lui car de dos, le jeune homme ne pouvait pas savoir s'il était seul ou non. Et la préfète qui n'avait pas encore montré qu'elle avait vu sa présence, d'un sens tant mieux car si c'était pour se confronter à nouveau, il n'en avait pas envie, du tout.

" Peut-être bien que oui ... Heureusement, si je restais le même, cela ne serait pas marrant, non? "

Sourit-il malicieusement, maintenant c'était sur Elisabeth l'avait entendu parler mais ce petit jeu était finit, à peine commencer mais tout de même ... Ca dépendait quand on lui avait parlé de lui mais si c'était il y a plus de quatre ans alors c'était tout à fait normal. Il n'y avait pas d'agression alors le jeune homme ne lui répondit pas violemment. Son regard se posa sur la jeune fille en face de lui avant de vite tourner la tête dans une autre direction, pointant John du doigt. Oui, ce visage lui disait quelque chose.

Elisabeth était retournée à sa place et à ses occupations pendant que le jeune homme se dirigeait vers quelqu'un d'autre. La jeune femme détestait qu'on conteste son autorité. Si le directeur lui avait confié le précieux insigne de préfète, c'est qu'il la jugait capable de faire reigner l'ordre, la loi et l'autorité au sein des Serpentrds.La verte et argent entendit lors John poser une question à un autre jeune homme. La jeune femme se retourna et vit que ce n'était autre que Matthew, un élève un an plus jeune qu'elle avec qui elle avait eu un différent à propos des cours et dee son attitude. Elle ne lui avait plus jamais adressé la parole depuis l'or évitant ainsi une nouvelle dispute. Le jeune homme croisa son regard et le soutint u moment avant de se détourner. Elisabeth décida cependant de ne pas relever l'attitude du june homme, une altercation dans la soirée était bien suffisante.Cependant, la préfète continua à fixer les deux jeunes hommes en silence. Elle en voulait énormément à John d'avoir voulu prendre sa place de préfète le temps d'une dispute de momes.

hj:Pas beaucoup d'inspi pour le moment .... Désolée !

John se rendit compte que les deux jeunes gens se connaissaient, et à son avis, ce ne devait pas être très amical, pourtant la préfète ne disait rien, mais continuait à les fixer... Cela horripilait le serpentard, si elle devait dire quelque chose autant leur faire la remarque, parce que là côté regards mauvais, c'était réussi ! John en avait marre de ses disputes pour rien, les gens ne savent pas se préoccuper de ceux qui est important...

Matthew, lui fit une remarque pertinente, "si je restais le même ce serait moins marrant" John, s'en fichait pas mal que ce garçon change, puisqu'il ne le connaissait pas, cela faisait juste des ragots à colporter en plus, et John s'en fichait pas mal, en faite, sa vie à Poudlard ne se résumait pas comme les autres adolescents, à raconter des rumeurs de couloirs, à penser à ce qu'il ferait lorsqu'il serait grand, maintenant qu'il y pensait, même si il était encore à l'école, sa vie se résumait à ce qui pouvait lui profiter, c'était pour sa qu'il était insensible à certaines remarques et ne répondait pas lorsqu'on essayait de l'énerver... Mais là, le regard noir se montrant de plus en plus perçants, le jeune homme leva les yeux au ciel et céda, il allait justifier son geste pour qu'elle cesse des les observer...

"Bon, on va mettre les choses aux clairs, je n'ai nullement envie de t'avoir sur le dos pour le reste de l'année à venir, si j'ai dit à ses gosses d'arrêter, ce que oh, je n'aurais pas dû, c'est parce que nous nous trouvons dans un endroit publique et lorsque l'on est dans un endroit public et que l'on voit des gens se battrent, on ne reste pas là à les regarder, j'ai autant le droit que toi de m'occuper de cela, lorsque cela me dérange.

Je n'ai pas cherché à contester ton autorité et encore moins à t'aider.

Cette dernière phrase il là déclara en la regardant dans les yeux, elle comprenait ou pas ce qu'il voulait dire ? Mystère, si elle comprenait il n'y avait pas de raison de ce battre, à moins que Elisabeth soit de ces gens pour qu'il l'honneur compte plus que tout.
Après cette phrase il se retourna vers Matthew pour lui répondre

"En même temps, si tu fais sa pour être marrant je ne vois pas l'intérêt, enfin, je suppose que tu es assez intelligent pour ne pas l'avoir fait pour amuser la galerie.

Le serpentard pensa que si la conversation se limitait à cela, elle serait décidément bien ennuyeuse...

"Hey, Elisabeth ! Tu ne m'en veux pas au moins ? Sa serait ridicule !"

Le serpentard savait s'y prendre pour tourner les choses à son avantage, là si elle s'enflammait, suivant la phrase de John "se serait ridicule" et le jeune homme supposait que la préfète se trouverait sûrement blessé dans son orgueil si elle réagissait de manière intempestive...

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