Nom de l'auteur : Chris Pascoe
Derniere date de Parution : 1/10/2009
Éditeur : Balland
Nombre de pages : 253

Pourquoi lire ce livre :

Il est rare qu'un livre provoque chez moi de tel fous rire. pourtant, je peux vous assurer que, du premier au dernier chapitre, le rire est garantie. Ah ça, a le lire dans le train, j'avais l'air malin, et tout le monde me regardait, se demandant la raison de mon hilarité. C'est simple, une fois entamé, on n'a plus qu'une idée en tête: le finir. Appréciez le par petit touche, faites durer le plaisir, ce livre en vaux vraiment la peine. Et, sitôt refermé, on a plus qu'une idée en tête: le relire.
Point faible du livre : Il se lit vite, beaucoup trop vite.

Petit passage du livre : "[NDLA: Brum tiens son journal]

Mardi 1er janvier:

05h00 Lever - réveillé maison.

05h02 Retourné me coucher.

08h00 Levé pour petit déjeuner : pâté pour chat au canard et lapin (beurk) et croquettes Félix Sénior (pour chat végétariens).

08h05 Retourné me coucher.

15h45 Levé, sorti et fait quelque chose de tout à fait fou. Eu un accident grave (tombé du mur). Beaucoup de chance cette fois.

16h00 Sieste.

17h58 Bébé et les 2 autres arrivés.

18h00 Couru dans l'allée pour les accueillir. Bébé m'a tapé dessus (très fort) avec son maillet en plastique.

18h05 Mangé mon dîner. Sheba Gold (excellent).

18h10 Parti me coucher.

18h25
Sheba Gold pas si bon quand vomi. Evacuation du Bébé et traitement de la zone à la bombe mousse "anti-accident d'animaux domestiques". Déménagé sur un autre lit.

19h10 Idem 18h25.

19h30 Idem 19h10.
"

Autre(s) ouvrage(s) de l'auteur :
Seul ouvrage connu


Bref résumé :

C’est bien connu, les chats ont toujours fasciné les artistes. Léonard de Vinci n’hésitait d’ailleurs pas à les considérer comme des chefs-d’oeuvre.
Mais qu’aurait-il dit en rencontrant Birmingham? À onze ans, ce sympathique félidé n’arrive toujours pas à grandir. Doté d’un manque d’adresse et d’agilité peu commun, allergique à la campagne, prédateur médiocre, constamment humilié par ses congénères et autres petites bestioles, « Brum» enchaîne gaffe sur gaffe.
Véritable accident ambulant, il n’en finit plus de désespérer son maître, compagnon d’infortune et néanmoins biographe, qui le trimballe au gré de sa vie amoureuse et attend, stoïque… la prochaine catastrophe, pour notre plus grand plaisir.
Ce roman, tendre et drôle, ravira les passionnés des chats comme ceux pour qui ils restent un mystère insondable.