Un peu de lumière? [ charlie]

Une semaine s'était écoulé depuis ma rencontre avec l'un des ainé Weasley. Après une légère prise de tête je lui avais demandé son aide pour pouvoir quitté les mangemorts, mais même s'il n'avait rien dit, je comprenais son refus, car après ce que les autres avait fait à çà famille il était logique qu'il ne veuille pas m'aider.

Une semaine aussi à réfléchie sur les conséquences de ma fuite, et je savais que j'encourais la mort si je croisais l'un ou l'autre de mes « anciens amis ». Si Kelsey n'avait pas été envoyé à Azkaban, je n'aurais pas voulue une seule seconde changé de vie, mais ma rencontre avec James, puis avec Charlie m'avait convaincue que ma vie valait la peine d'être vécue.

En cette belle après midi sans cours, je décidais de profiter du soleil pour aller me promener dans le parc et surtout pour me changer les idées sur le monde des sorciers, donc rien de mieux que le monde moldu insouciant de tout pour prendre l'air et se vider l'esprit tout.

Vêtue d'une longue robe bleu nuit et coiffé d'une longue tresse noire, je déambulais dans le parc, regardant les enfants jouer entre eux ou avec leur parent. Munie d'un calepin et d'un crayon à dessin, je décidais de m'asseoir sous un grand chêne pour dessiner librement.

Devant moi une petite marre aux canard avec des nénuphars me servie de modèle, ainsi que les enfants jouant avec eux. C'était agréable de pouvoir oublié le temps d'une après midi cette guerre qui torturait encore et toujours le monde des sorciers.

Je me sentais libre et paisible en ce moment rien ne pouvait gâcher de vivre ni ma joie d'être ici libre de tous, mangemorts, cours, devoirs... juste moi, le parc, l'air pur et mes affaires à dessin. Soupirant de bien être, je rendis à un petit garçon sa balle lorsqu'elle atterrie vers moi et lui fit un sourire plein de douceur pour lui faire comprendre que je lui en voulais pas de m'avoir déranger. Il me rendit son sourire et courue rejoindre ses amis. Cela me laissa rêveuse, car depuis bien longtemps je rêvais d'avoir une famille, mais pour moi à cause de mes choix et de mon passé, ce rêve était inaccessible.

Dans le monde sans magie, sans miracle des Moldus, un jeune homme roux habillé d’un jeans et d’une chemise rouge se ballade dans les rues ensoleillé de la ville de Londres. Il se nommait Charlie Weasley et s’il était là, c’était pour trouver une certaine personne. Il ne savait trop rien d’elle, à part qu’elle vivait du côté Moldu et qu’elle était universitaire. Pourquoi se donnait-il tant de mal à retrouver une inconnue ? il l’avait émue, elle lui avait même demandé son aide. Mais lui, aveuglé par le haine et la colère avait sur le moment refusé. Mais maintenant que c’est idée était redevenu clair, que la colère était parti pour laisser la place à la morale et à la raison, Charlie essayé de rattraper son erreur. On ne doit jamais refusé d’aider quelqu’un qui cherche à s’en sortir, à rattraper sa faute.
Il venait de chercher un peu au hasard les différentes universités, les alentours, demandant aux étudiants s’il connaissait une jeune femme au look gothique avec un tatouage assez spéciale sur l’avant bras. La plupart l’avait regardé avec des gros yeux, en même temps, vu la description… Il commençait à perdre peu à peu espoir, en même temps, il connaissait vraiment rien à cette jeune inconnue. Mais, heureusement, un jeune garçon eut enfin une autre réponse que « ah bah non »

-Ah, je crois que je sais de qui tu parles. Je connais de vue une fille du nom de Gabrielle je crois. Elle traine souvent prés d’un parc à quelques pas d’ici.

Charlie remercia le jeune homme et alla dans la direction dite. Le parc en question était verdoyant, fleuris et rempli de monde. Les Moldus couraient dans tous les sens, des éclats de rire résonnait, les enfants s’amusaient de milles facéties. L’ainé Weasley regardait les alentours, cherchant du regard cette fameuse Gabrielle.
Elle était là, adossé à un arbre, un bloc note à la main. Il s’approcha vers elle, se demandant si sa décision était la bonne. Arrivé face à elle, il dit doucement

-Bonjour

Je me plongeais dans mon dessin qui prenait vie au fur et à mesure des coups de crayons et de gomme. Le dessin l'un de mes autres passions avec la littérature et l'histoire. Je pouvais rester soit des heures à dessiner, soit des heures à lire, des livre aussi impressionnant les uns que les autres, avec 600, ou 800 pages voir parfois plus, ou rester assise durant des heures à dessiner une scène quelconque de la vie humaine et moldu de préférance. Pourquoi moldu? Simplement parce que ses gens savaient pour certain ce contenter de peu de chose pour être heureuse ou savoir s'amuser.

Je n'avais pas conscience du temps qui s'écoulait librement, j'étais dans mon monde, dans ma bulle à des milliers de lieux d'ici, loin de tout et de tous, sans le moindre tracas par rapport au fait que j'étais mangemorts, ou sorcière. Ici chez les moldus, j'étais une simple personne au look un peu effrayant, qui vivait librement sa vie.

Je n'entendie pas la personne venir vers moi, et je sursauta quelque peux lorsqu'un voix douce me sortie de mes pensées.

AHhhh

Levant les yeux de mon carnet de dessin, je cherchais qui avait eue l'idée stupide de me déranger et surtout de m'effrayer, et je croisais alors le visage roux d'une personne que je n'aurais jamais pensé voir ici, et encore venir me parler.

'Jour!! Je suis étonné de te voir ici et surtout devant moi

Je rangeais mon crayon dans ma boite à dessin et referma mon carnet avant de reposer mes yeux sur se visage au trait étrange, car cette fois ci il n'y avait pas la moindre haine, mais plutot autre chose que j'arrivais à pas identifier

Gabrielle sursauta lorsque Charlie brisa le silence

-AHhhh

La jeune étudiante parut surprise que quelqu’un lui adresse la parole, la sorte de son œuvre, de son dessin. Mais quand elle vit le visage de l’homme qui avait ainsi troublé sa créativité, elle en fut que plus surprise encore. Ses yeux devinrent deux larges O. Rien de bien étonnant, la dernière et seule fois qu’elle avait vu Charlie, il avait sortit sa baguette et lui avait vomi des monstruosités. Elle lui avait même demandé de l’aidé, s’était justifié et excusé pour sa famille mais ce dernier avait refusé. Mais depuis, il avait bien réfléchit et laissé de côté ses préjugés et sa colère instinctive.

-'Jour!! Je suis étonné de te voir ici et surtout devant moi

Charlie ne parut pas plus étonné de la réaction de la jeune femme. Il l’avait quand même envoyé valsé. L’ainé Weasley regarda un peu gêné la jeune femme et dit calmement

-Oui, je comprends ca…

Charlie ne savait pas trop quoi dire. Il avait passé tellement de temps à la chercher qu’il en avait oublié de préparé la discussion. Comment peut on démarrer cette conversation : « Salut, sa va ? Comment sa va dans ta tentative de fuite du clan sanguinaire des Mangemorts ? ». Au moins, c’était original comme début de conversation. Les enfants Moldus eux, jouaient sans même savoir que deux représentants de la magie était là, face à face.

-…euh, sa va ?

Le début était déjà naze mais la suite n’était pas mieux. Charlie n’avait jamais été doué pour les discussions, les speechs. Il était de nature à agir, à rabaisser les paroles et à placer les actions au dessus de tout. Alors quand il fallait avoir les mots, comme en ce moment même, il se sentait aussi incapable qu’un manchot au poste d’attrapeur.

Je ne savais pas quoi faire où dire devant le jeune homme, après tout l'autre soir il m'avait bien faire comprendre que je n'étais pas la bienvenue dans le monde moldus enfin d'une certaine manière et qu'il ne voulait pas m'aider à quitter les mangemorts et le voir ici brisait tout ce que j'aurais imaginé, mais en même temps je restais sur mes gardes.

T'es venue pourquoi? Voir si je ne torturais pas les moldus? Pour me surveiller discrètement?

Et oui j'enchainais le dialogue de façon pas très agréable, mais en même temps, il m'avait menacer avec sa baguette pour une raison obscure, alors je ne pouvais pas être gentille avec quelqu'un qui ne l'avait pas été et qui avait sans le moindre scrupule pointé sa baguette sur moi? En même temps cela était plus ou moins logique, ce n'est pas tout les jours que l'on se retrouvait face à une mangemorte qui ne pointait pas sa baguette sur vous.

Je restais adossé contre le chêne, mes yeux plongés dans ceux du jeune rouquin attendant une quelconque réaction, question ou toute autre chose. Il me demanda comment çà à allait. Bien serait mentir, mal pas loin de la vérité, mais je n'avais pas envie de sa pitié pour moi.

On ne se pleins pas, et toi?

Que dire pas grand chose et quoi faire encore moins, mais bon fallait bien débuter par un bout ou un autre, mais en même temps je n'avais pas envie de parler avec quelqu'un qui ne me voyais nul part ailleurs qu'a Azkaban ou bien six pieds sous terre.

Charlie était déjà plus que gêné d’être ainsi, planté face à elle, vu comment il l’avait traité la dernière fois, en même temps, on pouvait comprendre sa réaction. Il avait tout perdu avec cette guerre alors quand il voit quelqu’un avec le symbole sur l’avant bras, il réagit au quart de tour. Comment pouvait-il savoir que celle-ci cherchais la rédemption.

-T'es venue pourquoi? Voir si je ne torturais pas les moldus? Pour me surveiller discrètement?

Charlie ne releva pas la remarque. Il n’avait pas envie de commencer. S’il était ici, ce n’était pas pour remettre une couche de leurs speechs de la dernière fois. S’il était venur icic, s’il s’était donné autant de mal pour la retrouver, c’était simplement pour essayer se rattraper le tout, pour l’aider.

-On ne se pleins pas, et toi?

Charlie ne sut trop que répondre

-Ouais…moi non plus.

Charlie se grattait la tête d’un air distrait et embarrassé. Il prenait bien soin de ne pas regarder Gabrielle dans les yeux. Des Moldus couraient dans tous les sens. L’ainé Weasley n’avait qu’une envie en cet instant précis : courir loin de là ou à la rigueur s’enfoncer profondément dans le sol.

-Je…

Les mots lui brulaient la langue, ils ne voulaient pas sortir. Ses points étaient serrés, les yeux fermés

-Je viens m’excuser…

Il ne bougeait plus, attendant le verdict. Il savait qu’il s’était comporté comme un imbécile et à sa place, il s’enverrait valser comme il l’avait fait précédemment avec Gabrielle.

Le jeune homme ne sembla pas relever ce que je venais de dire, mais semblait au contraire très mal à l'aise par la situation, comme si quelque chose le bloquais. Il semblait aller bien d'après ce qu'il me répondit, malgrés une certaine gène et un peu de mal.

J'eus un certain mal à comprendre qu'il avait enfaite fait tout ce chemin pour s'excuser d'il y avait plus d'une semaine, mais comment lui en vouloir, tout le monde haïssait de près ou de loin les mangemorts.

Je t'ai déjà pardonné et je ne t'en veux pas, après tout, qui pourrait aimer quelqu'un comme moi? Une mangemorte qui prend temps bien que mal ses distances avec ses « amis », surtout après ce que t'a famille et les tiens on vécu?

Je lui fis un pauvre sourire en signe d'encouragement et pour tenter de détendre l'atmosphère, puis je décidais de me lever, et fit face au jeune homme qui je le remarquais me dépassais d'une bonne tête environ et avait des yeux plein d'une tristesse comme je n'en avais jamais vue. Je le pris pas le bras et l'entraina plus loin, bien décider à ne pas me laisser m'appitoyer sur moi.

Allé viens, j'ai envie de manger une crêpe, et je t'en offre une et si tu dis non je te donne à manger au canard dis-je amusée pour détendre une bonne fois pour toute l'ambiance un peu sinistre de notre seconde rencontre, comme çà tu m'expliqueras plus en détail, le pourquoi du comment de ma recherche. Au fait, je m'appelle Gabrielle

Charlie resta là, toujours aussi droit qu’un piquet…à croire que le moindre mouvement entrainerait une mort lente et douloureuse. Gabrielle, elle, regardait le jeune homme un peu déconcerté par son attitude. Puis, elle dit enfin

- Je t'ai déjà pardonné et je ne t'en veux pas, après tout, qui pourrait aimer quelqu'un comme moi? Une mangemorte qui prend temps bien que mal ses distances avec ses « amis », surtout après ce que t'a famille et les tiens on vécu?

Charlie ne sut que concéder cela à Gabrielle bine que cela ne justifiât rien. Il ne faut jamais juger un homme par son apparence ou les erreurs de son passé. Seuls ses actes présents comptent. Enfin, c’était le point de vue de Charlie. Il savait qu’il y avait des brebis galeuses chez les bons comme des saints chez les mauvais. Mais il est toujours difficile d’allez à l’en contre de ses préjugés et d’admettre ses fautes de jugement.

-Allé viens, j'ai envie de manger une crêpe, et je t'en offre une et si tu dis non je te donne à manger au canard, comme çà tu m'expliqueras plus en détail, le pourquoi du comment de ma recherche. Au fait, je m'appelle Gabrielle

Charlie répondit aussi sec

-Oui je sais….enfin je veux dire, quelqu’un me l’a dit pendant que j’ai passé la journée à te chercher. Quand à la crêpe, ce serra avec plaisir mais les Moldus savent faire ca ?

L’ignorance de Charlie sur le monde des Moldus étaient assez pitoyable surtout quand on a un père comme le sien, aussi passionné. Mais après tout, en dehors de sa famille, des dragons et du Quidditch, rien n’avait trop compté ou intéressait le jeune homme, surtout pas un monde qui lui paraissait aussi plat et aussi inintéressant. Il trouvait assez ridicule que les Moldus ne sachent rien d’eux, de leur monde, de ce qui les entoure. Ils s’enferment dans leur train-train quotidien rêvant parfois d’un monde qui pourtant côtoyé le leur tous les jours, en chaque instants

-Par contre, c’est moi qui offre

Charlie pouvait être parfois vieux jeu mais qu’en de rare occasion. Il était plutôt d’habitude d’un naturel cool-cool.

Et je peux savoir pourquoi tu as passé t'a journée à me chercher? J'avais crue que tu ne voulais plus me revoir après l'autre soir?! Je comprend pas pourquoi tu fais tout celà

C'est vrai, je ne comprenais absolument pas pourquoi il se comportait ainsi avec moi, à la fois froid et distant, à la fois timidé et géné, il semblait être deux personnes complètement différente dans un seul corps.

Bien sur. Si tu savais ce qu'il peuvent faire parfois avec presque rien c'est très intéressent. D'accord si tu offres, mais tu as de l'argent moldu?

Je conduisie au travers du parc Charlie et m'arrettais ensuite devant la cariole d'un vieux monsieur que je connaissais depuis bien longtemps. Il avait été l'un de mes premiers amis ici à Londres.

Bonjour Charles, çà me fait plaisir de te voir.

Le vieil homme leva la tête de sa cariole et me fit un sourire plein de tendresse.

Mais c'est ma petite Gabrielle, il y a si longtemps que je ne t'ai pas vue

Je suis désolé, mais les études m'on pris du temps, mais je te promet que dès demain je reviendrais t'aider comme tout les apres midi.

Mais dit moi, te voilà bien accompagné. Je te sert quoi ma belle?

Ho euh oui, c'est un ami que j'ai retrouvé il y a peu de temps et qui découvre Londres. Deux crèpes au sucres s'il te plait

Pendant que Charles faisait les crêpes, j'observais discrètement le jeune homme qui m'accompagnait pour voir comment il allait s'en sortir avec l'argent moldu. Une délisieuse odeur de sucre se mit à embommer l'air se mélangeant au doux parfum de la nature. C'était très agréable et celà me rappelais certain moment de mon enfance, lorsque mon père était encore vivant et qu'il me faisait des crêpes. Une fois les crèpes sopoudré de sucre et plié, je décidais de payer, car je me doutais bien que ce chère jeune homme ne se sentait pas à l'aise.

Merci Charles à bientot

Je lui fis un sourire plein de douceur et entraina mon vis à vis un peu plus loin pour discuter de la raison de se recherche.

Se sont les meilleurs crêpes de tout Londres. Charles est mon premier ami, et tout les après midi quand je n'ai pas cours, je vien travailler pour lui. Bon et si tu m'expliquais la raison de t'a venue?!

Tout en marchant tranquillement dans le parc, je savourais ma délicieuse crêpes

-Et je peux savoir pourquoi tu as passé t'a journée à me chercher? J'avais crue que tu ne voulais plus me revoir après l'autre soir?! Je comprend pas pourquoi tu fais tout celà

Charlie ne sut pas trop quoi répondre. A vrai dire, la raison, les arguments, son coeur même était toujours en conflit sur ce qu'il devait ou non faire. Mais il s'était fait violence. L'aider serrait prendre le risque de s'être trompé, ne pas l'aider serrait prendre le risque d'avoir laissé une âme en peine. Entre la déception et le remord, il avait chosit la déception, celà torturait l'esprit dans une moindre période. Puis, les deux sorciers s'approchant du vendeur de crépe en question et étant donné que Charlie avait proposé d'offrir la crépe à Gabrielle, celle ci demanda suspicieuse

-Bien sur. Si tu savais ce qu'il peuvent faire parfois avec presque rien c'est très intéressent. D'accord si tu offres, mais tu as de l'argent moldu?

Charlie répondit affirmativement d'un signe de la tête. Il en avait toujours sur lui mais à vrai dire, il avait toujours du mal à s'en servir. La monnaie Moldu était si compliqué. Arrivé prés du vendeur, ce dernier commenca la conversation avec le jeune "gothique" et apparement, ils se connaisaient assez bien.

-Bonjour Charles, çà me fait plaisir de te voir.

Le vieil homme afficha un visage réjouit quand il vit son interlocutrice et dit d'un ton qui trahissait sa joie

-Mais c'est ma petite Gabrielle, il y a si longtemps que je ne t'ai pas vue

Charlie étouffa un petit sourire. Savait-il seulement que celle qui lui avait tant manqué avait rejoint, certes maintenant avec regrets, un groupe de mage noire n'ayant pour but d'asservir ou de massacrer ceux de son éspéce ? Il aurait été surement moins en joie à la revoir. Mais bon, apprarement la jeune femme disait vrai, elle ne partageait pas la haine des Moldus comme tous ceux pourtant qui avaient prétés allégence au Seigneur des Ténèbres.

-Je suis désolé, mais les études m'on pris du temps, mais je te promet que dès demain je reviendrais t'aider comme tout les apres midi.

Elle étudit donc. Il était déjà assez loufoque de voir un Mangemort échanger avec plaisir des politesses avec un Moldu mais alors étudier dans leurs systéme scolaire, celà relevait de la farce. Il était même étrange que Vous-Savez-Qui est pris une telle recrue sous son aile. Mais son avant bras ne mentait pas

-Mais dit moi, te voilà bien accompagné. Je te sert quoi ma belle?

Charlie fit semblant de ne pas entendre le compliment et l'allusion du vendeur. Il n'était pas géné, il en fallait bien plus. Mais à vrai dire, l'idée qu'on puisse le croire en rendez-vous gallant lui était risible.

-Ho euh oui, c'est un ami que j'ai retrouvé il y a peu de temps et qui découvre Londres. Deux crèpes au sucres s'il te plait

Le vendeur les prépara bien vite, avant que le jeune roux eut le temps de s'en sortir avec la monnaie locale. Mais que pouvait bien représenter ses pièces. Un peu géné du regard inquisiteur que lui adressé le vendeur, il fut secourut si l'on put dire par Gabrielle qui paya les deux crépes

-Merci Charles à bientot

Elle lui tendit sa crépe et l'ammena un peu plus loin.

-Merci pour la crépe, je ne suis pas un as pour ce qui est de me dépatouiller de la monnaie Moldu. Mais elles sont bonnes les crépes Moldu ?

Gabrielle répondit au jeune homme tout en dégoupillant le sujet principal de leur entrevu.

-Se sont les meilleurs crêpes de tout Londres. Charles est mon premier ami, et tout les après midi quand je n'ai pas cours, je vien travailler pour lui. Bon et si tu m'expliquais la raison de t'a venue?!

Charlie regarda la jeune femme dans les yeux, la trancepersant presque de son regard et dit avec une certaine pesanteur dans le ton

-Cherches-tu toujours de l'aide ?

Il ne répondit pas une seule fois à ma question et j'en fue quelque peu peiné. Bien qu'il semblait toujours aussi mal à l'aise il accepta que je le sorte de la misère en payant les crèpes.

J'avais aussi du mal au début avec l'argent, mais on si fait vite. Si tu veux savoir, Charles est un vieux sorcier à la retraite et à décider de vivre parmis les moldus

Il me fit rire lorsqu'il me demanda si les crêpes moldus étaient aussi bonne que les notres.

Je ne suis jamais morte, allé goûte, c'est meilleur chaud que froid

Alors que nous marchions dans le parc, le jeune homme dont j'ignorais même le nom ne sembla pas décider à parler.

Tu sais, aucun des mangemorts n'est au courant de ma vie ici, ou de mes études, à part ma meilleure amie d'enfance et quelque mangemorts de ma confiance, enfin confiance passé. Lorsque je suis passé devant Tu-sais-qui, j'ai argumenté le fait que de vivre parmis les humains me permettais de connaître encore plus mes ennemis de mes amis, et celà semblait avoir suffit. Je n'ai jamais compris pourquoi personne n'a rien dit, mais c'est pas maintenant que je m'en soucirais

Enfin il se décida à me poser une question, celle que je lui avais indirectement posé l'autre soir.

Bien sur, mais en attendant je me débrouille seule

Je soutenais avec vigeur se regard perçant et sondeur, comme s'il semblait chercher un quelconque mensonge

Un peu pitoyable, Gabrielle essaye de le rassurer face à sa risible performance sur la manipulation de l’argent Moldu. C’était assez amusant de ce dire que Charlie était capable de combattre des dragons de dix mètres ou même de voler à plus de cent kilomètres heures sur un balai mais il était incapable de se débrouiller avec la monnaie locale…pitoyable.

-J'avais aussi du mal au début avec l'argent, mais on si fait vite. Si tu veux savoir, Charles est un vieux sorcier à la retraite et à décider de vivre parmis les moldus

Puis, quand il avait posé sa question sur le goût des crêpes Moldus avec une nuance de doute dans sa voix, Gabrielle répondit amusé

-Je ne suis jamais morte, allé goûte, c'est meilleur chaud que froid

Il prit une bouché avec suspicion et apprécia le goût. Ils sont plutôt doués pour cuisiner les Moldus. Il avait pensé que sans magie, il aurait du mal à faire même la plupart des tâches les plus évidentes mais apparemment, il s’était planté. Puis, la jeune Mangemorte parla d’elle-même. Charlie écouta sans l’écouter, poliment.

-Tu sais, aucun des mangemorts n'est au courant de ma vie ici, ou de mes études, à part ma meilleure amie d'enfance et quelque mangemorts de ma confiance, enfin confiance passé. Lorsque je suis passé devant Tu-sais-qui, j'ai argumenté le fait que de vivre parmis les humains me permettais de connaître encore plus mes ennemis de mes amis, et celà semblait avoir suffit. Je n'ai jamais compris pourquoi personne n'a rien dit, mais c'est pas maintenant que je m'en soucirais

Puis, lorsque l’ainé Weasley lui avait à nouveau proposé son aide, Gabrielle accepta volontiers avec un sourire

-Bien sur, mais en attendant je me débrouille seule

-Personne ne devrait rester seul

Il avait répondu sans trop réfléchir, sans penser à ses paroles. Pourtant, il le pensait. Charlie a toujours crut être seul mais sa famille était toujours là. La jeune femme face à lui avait vécu seule si longtemps, c’était passé de famille, d’amis… Un courage que le rouquin n’aurait certainement jamais eu ou jamais put avoir.

Il me laissa parler sans m'interrompre et il ne rendait pas compte du bien que celà pouvait me faire, me libérer un peu, pouvoir parler librement sans être juger, de dire ce que j'avais sur le coeur.

D'après lui personne ne devrait rester seul, et bien moi si, j'étais seule sans famille, j'avais perdue tout mes amis et les gens me fuyais comme la peste. J'avais juste Charles, et il comptait autant pour moi que mon père.

Sauf que parfois on vous exclus à cause d'un passé que vous avez choisis, même si vous n'avez pas de sang sur les mains. J'ai perdue mes amis pour avoir voulue changé de camp, et je n'ai aucune famille. La seule personne que j'aime comme un père est Charles. Au moins être seule me permet de ne jamais devoir quelque chose à quelqu'un, mais c'est aussi souvent douloureux.

Je m'arrêtais et fixais le jeune rouquin droit dans les yeux, je n'avais nul honte d'être ce que j'étais devenue, je me débrouillais comme je pouvais, avec ce que j'avais. Oui j'avais parfois mal de voir tout ses gens heureux et de n'avoir personne pour m'aider ou me consoler, mais en même temps personne pourrait me faire du mal ou me décevoir.

On pouvait voir dans les yeux de la jeune femme la solitude et la douleur. Une souffrance qui faisait mal au cœur. Mais qu’était-il plus douloureux ? N’avoir jamais été proche de qui que ce soit ou avoir perdu des membres proches et aimés de sa famille ? Là était la question.

-Sauf que parfois on vous exclus à cause d'un passé que vous avez choisis, même si vous n'avez pas de sang sur les mains. J'ai perdue mes amis pour avoir voulue changé de camp, et je n'ai aucune famille. La seule personne que j'aime comme un père est Charles. Au moins être seule me permet de ne jamais devoir quelque chose à quelqu'un, mais c'est aussi souvent douloureux.

Décidemment, la guerre avait fait mal à tout le monde. Le bon comme le mauvais camp. C’était assez effrayant de se dire que peut être chez les monstres, il y avait peut être des anges, des êtres plus bon que les défenseurs des Moldus.

-Oui… mais l’inverse peut l’être aussi.

Il baissa un moment la tête puis il la secoua comme pour chasser cette pensée. Il adressa un fin sourire à Gabrielle avant de regarder autour de lui le monde Moldu

-C’est vraiment pas fidèle au BD de Sorcier. Ils sont où les fous avec leurs entonnoirs sur la tête ?

Je terminais ma crêpe d'une dernière bouché, c'était vraiment agréable ce genre de simple petite chose qui fait que l'on peut éprouver ne serrais-ce que quelques minutes un brin de bonheur dans une existance sombre et dénué de joie ou tout autres sentiments agréable.

L'inverse dis-tu c'est fort possible, mais moi j'ai décider de ne plus me prendre la tête de vivre au jour le jour, les gens que je croise, soit il m'accepte comme je suis avec mon passé pas très glorieux et mon caractère de cochon, soit il passe leur chemin.

Je le vie un instant baisser la tête et la secouer à croire qu'il voulait effacer certain chose de son esprit et que par ce simple mouvement celà était possible, allé savoir. Il me fit un sourire, et je lui répondit par un autre sourire qui ressemblait plus à une grimace. Je poussais un soupir résigné, même sourire je ne le savais plus. Il me parla des bd socière, une sorte de moyen de me faire un peu rire et ce ne fus pas dur

Je sais pas, mais s'il nous voyait vraiment soit ils auraient peur et partiraient en courant, soit ils tomberaient dans les pommes ou nous prendrais pour des fous à faire enfermer dans un asile et camisolé

Le jeune gothique, ex-Mangemorte eut l’air de réfléchir un moment à l’hypothèse du jeune homme, mais conclut bien vite par

-L'inverse dis-tu c'est fort possible, mais moi j'ai décider de ne plus me prendre la tête de vivre au jour le jour, les gens que je croise, soit il m'accepte comme je suis avec mon passé pas très glorieux et mon caractère de cochon, soit il passe leur chemin.

Charlie trouvait cela assez spécial. A vrai dire, il ne s’était jamais posé la question de comment réagir face à quelqu’un qui ne l’accepterait pas. Il n’avait eu que peu souvent ce problème et il n’avait jamais été jusqu’à la totale exclusion dont souffrait Gabrielle. Mais de toute façon, l’ainé Weasley s’était toujours un peu fichu de ce que l’on pouvait dire de lui.

-Je sais pas, mais s'il nous voyait vraiment soit ils auraient peur et partiraient en courant, soit ils tomberaient dans les pommes ou nous prendrais pour des fous à faire enfermer dans un asile et camisolé

-Ce serrait assez amusant à voir une fois comment il réagirait. Je n’ai jamais compris vraiment pourquoi se cacher. Maintenant, c’est sur que la parfaite cohabitation à l’air presque irréalisable mais si on n’avait pas séparé nos deux mondes dans le passé, qui sait, une parfaite harmonie aurait subsisté et ces guerres que l’on a vécut n’aurait pas eu lieu d’être.

Décider à ne plus déprimer, ou faire en sorte que je ne déprime plus, il décida de changer de sujet un peu et de parler du monde moldu. C'est vrai personne n'avait jamais su le pourquoi du comment de la séparation des deux mondes, mais si je me souvenais de certain cours, celà remontait à l'époque de la chasse aux soricères.

Je crois que celà remonte à la période de la chasse aux sorcières. D'après moi c'est pour protéger les moldus innocents d'une mort inutile et surtout fausse, mais en fait personne ne sait vraiment le pourquoi du comment. Une harmonie, j'ai un doute au vue de la puissance de certain sorcier qui s'en serait servir pour asservir les moldus ? Une guerre peut être ou pas? En fait se sont des questions sans réponses et pleine d'hypothèses.

Regardant le jeune homme avec un sourir espiègle, je lui demandais une question qui me brûlais la gorge depuis un moment et surtout pour le taquiner.

Alors cette crêpe? Tu n'es pas mort tu vois? Dit voir, je ne connais même pas ton prénom c'est fou, tu connais le mien, mais si tu dois m'aider, j'ai le droit au moins à celà tu ne crois pas?

La jeune femme exposa son point de vue, enfin le point de vue presque aux mots prés transmis à l’école Poudlard en Histoire de la Magie.

-Je crois que celà remonte à la période de la chasse aux sorcières. D'après moi c'est pour protéger les moldus innocents d'une mort inutile et surtout fausse, mais en fait personne ne sait vraiment le pourquoi du comment. Une harmonie, j'ai un doute au vue de la puissance de certain sorcier qui s'en serait servir pour asservir les moldus ? Une guerre peut être ou pas? En fait se sont des questions sans réponses et pleine d'hypothèses.

Charlie lui condescendait ce fait

-Tu as surement raison.

Puis la jeune gothique se moqua quelque peu du jeune homme sur ses réticences à se risquer à gouter à la cuisine Moldu

- Alors cette crêpe? Tu n'es pas mort tu vois? Dit voir, je ne connais même pas ton prénom c'est fou, tu connais le mien, mais si tu dois m'aider, j'ai le droit au moins à celà tu ne crois pas?

Charlie Weasley répondit un petit sourire au coin

-Oui, elles ne sont pas mauvaises, je le reconnais. Au oui, Weasley, Charlie Weasley

J'aime même pas envie de réfléchir à la question, parce que je vois déja un ennorme mal de tête à la clé alors vraiment très peu pour moi
Finalement j'étais ravie qu'il est apprécier de manger quelque chose fait strictement de façon moldu et sans magie. Alors lui c'était Charlie, enfin j'arrivais à mettre un visage sur un autre membre de la famille.

Enchanté de te connaître, faut dire que j'avais du mal à mettre un visage sur un simple nom, parce qu'a mon niveau on va dire qu'on est quasiment au courant de rien. C'est on te dit de faire, tu executes et sans question... Bref, moi je veux plus de cette vie là, mais où j'irais je serais un ennemis. Au yeux des mangemorts pour trahison et au yeuxv du ministère et du reste parce que j'ai cette marque, en un mot comme en cent où je vais et qui je rencontre, je suis soit morte ou morte, super perspective dis-je un brin ironique Au moins vivre dans le monde des moldus est un peu plus tranquil et au moins on te pause pas trop de question

Doucement le soleil commençait sa longue descente vers une partie de notre monde plus éloigné de nous et quelque peu inconnue pour moi

Au moins, j'ai trouvé de quoi faire pour m'éloigner le plus d'ici, car lorsque je ne suis pas en cours, qui eux ne me prennent pas vraiment beaucoup de temps, et que je ne travaille pas avec Charles, je voyage. Je suis une passionné de quidditch depuis très longtemps et je ne sais pas si tu connais Math Luretei-Ben, mais je ne loupe jamais l'un de ses matchs et je suis à la tête de son fan club. Ca me permet de tout oublier, mes tracas, mes soucis, mes ennuis et de m'évader le temps d'un match, ou d'un petit voyage pour suivre toute l'équipe

L’ancienne Mangemorte avait balayé le débat d’une réplique.

- J'aime même pas envie de réfléchir à la question, parce que je vois déja un ennorme mal de tête à la clé alors vraiment très peu pour moi

Elle avait surement raison. Et puis, il n’allait pas refaire le monde juste en discutant. Surtout sur un sujet qui avait été vu et revu. Puis, la jeune demoiselle répondit quand Charlie se présenta à elle

- Enchanté de te connaître, faut dire que j'avais du mal à mettre un visage sur un simple nom, parce qu'a mon niveau on va dire qu'on est quasiment au courant de rien. C'est on te dit de faire, tu executes et sans question... Bref, moi je veux plus de cette vie là, mais où j'irais je serais un ennemis. Au yeux des mangemorts pour trahison et au yeuxv du ministère et du reste parce que j'ai cette marque, en un mot comme en cent où je vais et qui je rencontre, je suis soit morte ou morte, super perspective. Au moins vivre dans le monde des moldus est un peu plus tranquil et au moins on te pause pas trop de question

Charlie fut peiné d’apprendre le train de vie de la pauvre jeune femme mais l’ainé Weasley quand à lui, essaya d’enjoliver le constat

-Je suis là moi. Et si t’as réussit à me convaincre que tu n’es pas quelqu’un de mauvais, tu pourras en convaincre d’autres.

- Au moins, j'ai trouvé de quoi faire pour m'éloigner le plus d'ici, car lorsque je ne suis pas en cours, qui eux ne me prennent pas vraiment beaucoup de temps, et que je ne travaille pas avec Charles, je voyage. Je suis une passionné de quidditch depuis très longtemps et je ne sais pas si tu connais Math Luretei-Ben, mais je ne loupe jamais l'un de ses matchs et je suis à la tête de son fan club. Ca me permet de tout oublier, mes tracas, mes soucis, mes ennuis et de m'évader le temps d'un match, ou d'un petit voyage pour suivre toute l'équipe

Math Luretei-Ben ? Oui, il le connaissait de Poudlard

-Je l’ai déjà vu au temps où je faisais mes études mais je ne l’ai jamais vu jouer. Mais qui sait, peut être que quand je serais enfin dans mon équipe, j’aurais l’honneur de jouer contre lui.

Ce qu'il me dit me toucha beaucoup et me fis pour une fois vraiment sourire de bon coeur, d'un sourire venant du coeur et pas l'un de ses sourirs de facade que j'utilisais souvent pour feinté mon entourage.

Merci Charlie, ce que tu viens de me dire me réchauffe le coeur et me fait beaucoup de bien, plus que tu ne l'imagine. Moi qui vivait dans l'obsucurité, tu m'as tendue la main vers la lumière et pour çà je te serais reconnaissante tout ma vie

Je m'approchais de Charlie et l'embrassait sur la joue pour le remercier. Apparement lui aussi semblait vouloir jouer au quidditch et celà me fit sourire.

J'espère que tu y arriverais et je serais plus qu'heureuse de vous voir jouer l'un contre l'autre et je suis certaine à l'avance que se serait un match en puissance

Le ciel commençait doucement à se teinté de rose, bleu sombre, violet et autres couleurs digne d'un couché de soleil, couleur que j'adorais beaucoup. La première étoile était déja sortie, il s'agissait de vénus, l'étoile du nord

C'est magnifique ses couleurs, j'adore vraiment ce que la nature peut nous offrir come spectacle

Gabrielle eut l’air d’apprécier la remarque de l’ainé des Weasleys. En effet, elle répondit

-Merci Charlie, ce que tu viens de me dire me réchauffe le coeur et me fait beaucoup de bien, plus que tu ne l'imagine. Moi qui vivait dans l'obsucurité, tu m'as tendue la main vers la lumière et pour çà je te serais reconnaissante tout ma vie

Puis, quand Charlie lui avait annoncé qu’il comptait entrer dans la première division dans le domaine du Quidditch, elle parut là aussi ravit

-J'espère que tu y arriverais et je serais plus qu'heureuse de vous voir jouer l'un contre l'autre et je suis certaine à l'avance que se serait un match en puissance

Charlie modéra les propos. Il était que suppléant à ce jour, ce n’était pas encore demain la veille où il pourra jouer avec les professionnels, surtout avec une équipe aussi bien classé que les Faucons de Falmouth.

-Enfin, ce n’est pas encore demain le jour « j »

Puis, la jeune femme s’extasia devant le décor formidable qu’offrait la nature

-C'est magnifique ses couleurs, j'adore vraiment ce que la nature peut nous offrir come spectacle

-La magie est partout même là où on ne l’attend pas

Charlie sembla être quelque peut hésitant vis à vis de son talent, et je trouvais celà domage de voir des gens douter d'eux.

Je suis sur qu'avec détermination, tu arriveras à te hisser au plus haut niveau, il suffit juste de vouloir y croire, après tout quand on veux et bien on peu. Donne toi à fond et toujours le meilleur de toi même et je te fais confiance pour y arriver

J'adorais plus que tout dans mes journées, le lever et le couché du soleil. Ayant envie de profiter de son moment encore et le plus possible, rien de mieux que de l'immortalisé dans une photo. Je sortie de ma poche, une petite boite en forme de cube qui était en fait un appareil photo numérique que je braquais vers le ciel avant de prendre une photo, puis une autres, jusqu'a ce que j'ai mon compte.

Ce petit machin en forme de cube est un appareil photo numérique, très pratique et discret, ainsi pas besoin de sa baguette pour lancer un sort de photo et être détecter par les moldus, et celà fait aussi d'incroyable photos.

Charlie me fis un remarque très juste la magie était partout et à n'importe quelque moment.

C'est vrai. J'appelle çà la magie de l'univers, la magie du monde qui nous entour et dont certaines personne ne prennent même pas le temps de voir.

» Charlie Weasley
» On fait tous des erreurs dans la vie [Charlie]

Un peu de lumière? [ charlie]

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