Nostalgies et retrouvaille[Fe Juliette]

C'était une journée comme les autres dans les rues de Pré au Lard, le soleil était déjà au Zénith et les sorciers marche sans regarder à côté d'eux. Un jeune garçon pas très grand de taille mais de taille moyenne marcher seul parmi la foule, tout le monde se parler et lui comme à son habitude les regarda parler. Il s'arrêta en plein milieu du village tout le monde s'écarta une sorte de bulle c'était former autour de lui qui lui donner l'impression qu'il y avait une bulle autour de lui et les autres marcher en le déviant il se souvient du premier jour où il a était à Pré au Lard, c'était à sa troisième année de sa scolarité et il fréquenter une fille plutôt petite de taille et un garçon dont il ne se souvenait pu du nom.

~Flash~

C'était une journée recouverte de neige, les jeune élèves en troisième année de poudlard était partit pour la première fois à Pré au Lard, il y avait de tout dans les élève. Hibiki n'avait que 12 ans à ce moment là et aller sur ses 13. Personne ne rester avec lui pourtant il était toujours en train de parler aux autres et il essaye de leur régler leur problème. Une fille petite en taille n'ayant pas beaucoup d'ami vit Hibiki seul, elle alla à ses côté et ils marchaient tout les deux un peu distant du groupe. Ils ne se parlaient pas beaucoup mais il lui avait prit la main pour rester à ses côté. Il ne sourit que très rarement mais devant elle il n'arrêter pas c'était agréable pour lui de rester à ses côtés. Après que tout le monde se retrouver "quartier libre" tout le monde aller dans des magasins ou des endroit assez sympathique eux deux resta ensemble et ils se présentaient l'un et l'autre. La fille s'appelle Juliette, et d'ailleurs c'était la première personne véritablement ami avec lui.
C'était depuis ce jour qu'ils étaient presque devenu inséparable, mais plus les année passe et plus les sentiments qu'Hibiki ressent pour elle avaient grandie. C'est alors que à leurs sixième année Hibiki avait décider de prendre ses distance avec elle et essayait même de l'oublier.

~Fin du flash~

Il s'arrêta sur le même banc qu'il s'était assis pour se présentait à elle sans ce rendre compte qu'il venait de s'asseoir exactement au même endroit, il regarda les gens partir chacun dans leur direction sans attendre personne en particulier, si quelqu'un venait il discuterait avec cette personne volontiers mais sinon. Un vieille homme regarda Hibiki et lui dit en faisant un grand signe de la main

"Que la lumière éclairci ta route, et que l'obscurité ne te dévore pas dans le passé !"

Il n'avait pas comprit sa phrase mais il s'était mit à sourire. En faite la phrase voulait dire : "Oublie le passé et vie ta vie"

Prés au Lard, cela faisait bien longtemps que je n'étais plus revenue dans se petit village sorcier, en fait depuis la fin de mes études. Ce me faisais drôle d'être là, car plein de souvenirs remontaient du fond de ma mémoire, comme mon première ami, hibiki un jeune japonais que tout le monde semblait évité, mais que moi j'appréçais beaucoup. Nous étions en troisième années et dans la même maison, c'est moi qui était venue vers lui, car je ne trouvais pas juste de le voir seul.

Nous sommes devenu très vite amis lui et moi, il était comme un frère de cœur et me rappelait souvent les garçons de mon village. En grandissant, j'ai commencé à le voir sous un autre angle, de façon différente, mais avant d'avoir réussi à comprendre ce que je ressentais, l'année de nos 17 ans était terminé et jamais plus je ne le revis.

Il m'arrivait encore de regarder quelques unes de nos photos d'école et de me demandé pourquoi il m'avait laissé sans nouvelles.

Le soleil brillait aujourd'hui très haut dans le ciel et j'étais de retour à Prés au Lard, car je devais faire des retouches sur l'une des robes d'une de mes clientes. Cette dernière avait arraché toute la dentelles et il fallait reprendre tout le bas de la robe. J'avais mis presque tout la matinée, car à chaque fois, elle changeai d'avis sur le style de la dentelle. Il était pas loin de onze du matin, et je n'avais pas envie de rentrer pour le moment à Londres, je voulais profiter du soleil et de se petit jour de détente.

Je déambulais dans les ruelles repassant dans ma tête les souvenirs du passé, mes années de Poudlard me manquait cruellement, car j'étais toujours seule à la boutique, et je n'avais que très peu d'ami, à part Cielle une jeune élève de serdaigle qui était souvent chez moi pour des stages, même olivier je l'avais perdu de vue. Chacun d'entre nous avait suivie une route différente oubliant jusqu'à l'existence des autres. J'avais une impression au plus profond de moi, me disant que cette journée allait changer une partie de ma vie.

Tout était clair dans le ciel, il n'y avait aucune nuages visible. Le soleil donner une merveilleuse vu et Hibiki se releva soudainement, il ferma légèrement les yeux et les ouvrit ses yeux sa vue se troubla et il vit de la neige, il mit ses mains sur sa tête ayant un gros mal de tête subitement et il se remit droit ne ressentant plus la douleur. Il se mit à marcher et ses pas déplaça la neige, devant lui il vit un groupe de personne et en les regardant bien il vit que c'était des élèves à Poudlard, il y avait un peu de tout. Gryffondor, poufsouffle, serdaigle, serpentard, il voulus les rattraper pour faire la route avec eux et se met légèrement à courir en disant :

"Hey ! "

Mais personne ne se retourna vers lui, il s'arrêta de courir et serra les poings il entendit une voix de jeune fille derrière lui qui disait d'une voix à la fois triste et joyeuse.

"Hey ! Mais pourquoi tu est seul !! Pas sympa ceux là... On fait la route ensemble ?"

Hibiki la regarda froidement sans rien dire il serra sa main qui tenait la sienne mais elle ne ressentit rien. Elle ne lui demander même pas de la lacher, elle s'assit avec lui sur un banc dégageant la neige et lui disant :

"Moi c'est Juliette et toi c'est quoi ton petit prénom ?"

Hibiki ne lui répondit pas et elle dit quelques seconde plus tard.

"Enchanté Hibiki ! Je te trouve bien isoler au groupe pourquoi ne reste tu pas avec les autres "

Hibiki répondit d'un ton sec :

"Les autres ne valent rien pour moi..."

Et elle reprit en même temps baissant la tête elle avait l'air un peu contrarié mais ce n'était pas de sa faute.

"Ah... Je vois... Moi personne me parle car ils disent que je suis petite et ça me blesse beaucoup ! Tu est le seul garçon m'adressant la parole et surtout qui me sourit. Avec toi j'ai l'impression d'être comme les autres fille "

Elle avait un grand sourire au lèvres, Hibiki ferma les yeux et elle disparut en réalité il n'avait pas bouger de son banc et était encore assis, il ouvrit les yeux et se releva regardant les rues qui étaient pas bombé d'une foule comme tout à l'heure, Hibiki mit une sorte de capuche sur la tête et marche faisant le tour réfléchissant à où aller, il marcha sur une tuile glissante et le fit tomber sur une vitre et il dit simplement :

"Je ne savais pas que ça faisait aussi mal."

Personne ne faisait attention à moi et moi je ne faisait attention à personne, de toute façon je n'avais envie de voir personne. Ma vie se résumait maintenant à ma boutique et mon travail ni plus, mais ni moins.

Certaines images de moi enfant et d'Hibiki me revinrent en mémoire, et je préférais les chasser en secouant vivement la tête. Il n'était pas bien de vivre dans le passé, il fallait aller de l'avant. Hibiki, Oliviver et tout les autres étaient partie de ma vie, et certains souvenirs eux même commençaient à s'effacer au fil du temps.

Le soleil était légèrement trop fort pour moi et je réajustais quelque peu mon chapeau pour me protéger les yeux de toute agression solaire. Je marchais là où mes pieds me guidaient, car je n'avais pas de but, ni de destination précise, je voulais juste oublier ma vie le temps de quelques heures.

Je fus sortie de mes pensées nostalgique par une voix qui semblait revenir du fond de mon coeur et de ma mémoire, celà ne pouvait être lui, c'était impossible, mais pourtant une partie de mon coeur voulait y croire.

Décidant d'en avoir le coeur, je pressais le pas pour me rendre la direction de venait la voix, et là je le vie, toujours aussi maladroit et les fesses sur le sol, m'avançant vers lui, je fis un léger sourire radieux et plein de joie

Et bien, a ce que je vois, tu ne tien toujours pas sur tes pieds hibi-kun

Hibiki était vautré sur une vitre mais ça c'était sans vraiment le vouloir. Il se poussa légèrement de la vitre et se tiens en équilibre faisant attention au pavé glissant, heureusement personne ne l'avait vu sinon ça aurait était la honte. Il entendit une jeune voix de femme ou plutôt une voix de jeune femme. Quand il entendit la voix il s'arrêta de bouger le temps c'était arrêter, il tourna légèrement les yeux vers la gauche et se retourna lentement vers la direction de la voix

Et bien, a ce que je vois, tu ne tien toujours pas sur tes pieds hibi-kun

Sur le coup Hibiki se dit : c'est un rêve... Cela ne pouvait pas être elle. Pendant toute ces année Hibiki a essayer de la fuir mais cette fois il ne pouvait pu fuir nul part, il la regarda et sourit en même temps il essaye de réfléchir et la phrase qui lui sortit de sa bouche était :

"C'est pas ma faute... Ce pavé m'aime pas"

C'était exactement la même excuse qu'il avait sortit quand ils étaient plus jeune, et oui Hibiki est tomber plus d'une fois sur ce pavé là et il a toujours dit la même blagues, mais cette fois il voulait la taquiner comme elle le taquiner a cause de cette maladresse qui lui arrive très souvent :

"Toujours aussi petite Juliette ?"

Il se mit à rire et s'approcha d'elle puis la serra dans ses bras la regardant et regardant le ciel qui était d'un magnifique bleu turquoise.

"Cela va faire... 5 ans qu'on ne s'est pas vu ? Mais tu n'a pas changer, toujours la Juliette que je connais et que j'aime comme quelqu'un de ma famille."

Cette phrase était assez triste car il se souvient qu'il avait une soeur mais qu'elle avait disparut de la circulation... Il était partit dans le monde moldu mais n'a jamais retrouver sa trace. Mais actuellement le fait est qu'il est avec celle dont il se sent le mieux et qu'il connait aussi bien que sa petite soeur. Il recula légèrement en disant avec un sourire enfantin :

"Tu ma beaucoup manquer... Je... Tu deviens quoi depuis le temps?"

Je souris en voyant Hibiki se chercher un excuse, toujours la même, mais décida plutôt de me taquiner à son tour sur ma petite taille, je lui tirais la langue avant de lui répondre.

Je reste fidèle à moi même que veux tu?! C'est vrai ce pavé ne t'aime toujours pas déclarais-je plus amusé par la situation que toute autres choses d'ailleurs

Je fus surprise qu'il me prenne dans ses bras, mais en même temps celà me faisait un bien fou, car cette étrainte et cette présence m'avait terriblement manqué. Il n'avait pas changé, juste grandi et devenue plus mature. Cinq ans oui, cinq longue année dans le solitude de mon coeur et de mon âme.

Et oui cinq longue années, où toi comme les autres m'avez laisser seule à la fin des études. Pourquoi, dit moi pourquoi tu es partie si vite à la descente du train? Je veux savoir?!

Je parlais d'une voix pleine de douleur et de chagrin, car je n'avais jamais cessé durant ses cinq dernières années à le chercher partout quand je le pouvais.

Toi aussi, toujours le même. Qu'est ce que je deviens? Et bien j'ai ouvert une boutique de vêtements et je commence même à me faire un nom assez important dans ce milieu, et toi que deviens-tu?

Il semblait être à la fois heureux et triste, heureux de se retrouver, mais triste par ses pensées. Il semblait vouloir me dire quelques chose d'autre .

Toi aussi tu m'a manqué, cruellement d'ailleurs. Je t'en ai voulue longtemps de ce que tu m'avais fait et maintenant, enfin aujourd'hui encore je t'en veux un peu

Mon regard n'étais que river sur Juliette, celle avec qui je m'étais accrocher très vite mais sans le savoir mon coeur avait battus pour elle pas comme je le voulais. Mes sentiments ont eu raison de moi, moi qui m'étais jurer de ne jamais tomber amoureux d'une personne... Mais Juliette n'étais pas une fille comme les autres, elle était naturel marrante... Elle même quoi, elle lui confier des fois des petits secret et lui aussi lui confier quelques petits secret mais ils n'ont jamais parler niveau sentimental. Juste ils se donnent des petits conseils et se taquine. Je lui sourit toujours avec le même sourire, elle commença à dire des paroles assez émouvante je dois l'avouer. Rien que la voir triste me rendait aussi triste, je tourna la tête l'écoutant attentivement et puis après quelques seconde de réflexion je trouva une excuse valable.

"Il faut dire que je ne l'aime pas non plus..."

Je décida d'entamer ou plutôt m'expliquer sur le pourquoi de pourquoi je suis partit sans dire au revoir ni rien. Mais j'avais un peu peur d'être méchant sur ce coup là ou du moins plus que d'habitude :

"Si tu veut savoir les raisons qui m'ont pousser à partir très rapidement du train c'est que j'avais besoin de me sentir seul un peu... M'isoler à la fin des années que je termine et un bon moyen pour décompresser, j'étais partit à la recherche de mon passé et surtout je ne pouvais pas envoyer de lettre. Je n'avais pas à te dire au revoir ni même adieu car je tiens énormément à toi et si je suis partit aussi vite c'était pour pas avoir trop mal... Mais en réalité c'était pire je n'ai pas arrêter de culpabiliser de ne pas tout te dire la vérité sur moi... "

Je referma légèrement les yeux et respira lentement et puis je lui avoua la vérité ou du moins ce que je pouvais lui dire :

"Si tu veut savoir la vrai raison c'est parce que je ne t'avais pas dit ce que je voulais te dire, et je ne te le dirais pas maintenant car il est trop tard. Ce que je deviens ? tu veut le savoir... Je ne deviens qu'une ombre, un simple homme qui a mentis sur tout ce qu'il ressent pendant tout ce temps, celui qui a dit qu'il était heureux hors qu'il était triste et qu'il voulait pleurer, et celui qui..."

J'avais toujours les yeux fermer et je décida alors de lui avouer d'une façon clair et net ce que je ressentait pour elle ou du moins...j'essaye :

"Je voulais te dire que même si m'en veut ça changera pas ce que je ressent pour toi"

Sur le coup je l'embrassa sur la bouche et puis je recula, je tourna la tête a gauche et à droite et dit d'une voix désolé :

"Je... Je suis désolé je voulais pas t'embrasser sur la bouche..."

Je mit mes mains sur mes lèvres et je me mit légèrement à courire un peu confus de la situation.

Une petite pointe d'humour, dans une voix brisé et pleine de souffrance. Les années ne semblaient pas l'avoir épargnés, il était triste et sombre. Enfin il tenta de m'expliquer le pourquoi du comment de son départ. L'isolement, je veux bien pour un temps, mais pas l'oublie total d'une personne pour des raisons inconnus.

Ce n'est pas une raison, on peut dire au revoir, sans pour autant que celà soit un adieu. Tu dis en savoir souffert, mais tu penses que celà à été quoi pour moi? Un cauchemard, un coeur brisé d'avoir perdue la personne la plus important de sa vie, de se retrouver complètement seule du jours au lendemain?!

Ma voix s'était quelque peu brisé sur les derniers mots et des larmes commencèrent à couler le long de mon visage. J'eue du mal à comprendre ce qu'il me dis, mais je retenais une chose beaucoup de souffrance dans son coeur et dans sa vie. J'avais mal de le retrouver, car toute la souffrance accumuler ses dernières années revint avec l'effet d'un boomerang, mais en même temps, je ne voulais plus le quitter

Moi, je suis plus que l'ombre de moi même, personne dans ma vie, personne dans mon coeur pour effacer la présence d'un petit nippon, juste le travail et toujours le travail

Il voulait me dire quelque chose, et c'est ce qu'il fit, enfin me montra plutot en m'embrassant sur la bouche, chose qui me surpris vraiment beaucoup, car je ne m'y attendais absolument pas. Une excuse, un simple pardon pour avoir regretter en fait ce geste qui n'était qu'une erreur. J'avais espérer une fraction de seconde que c'était vrai, de vrais sentiments, mais je venais de me tromper en beauté.

C'étais ce que tu voulais me dire, mais en fait non, tu t'es juste trompé.

Hibiki partie et moi je restais sur place, figé par tout celà, ne sachant pas quoi faire? Fuir, ou le rejoindre. Je sentais juste une violente douleur dans mon coeur, car ce que j'avais toujour éprouvé pour lui ne semblait absolument pas réciproque vue qu'il prenait la fuite

Je me suis mis moi même dans un état de choc pas possible, je suis amoureux de Juliette... Mais je voulais l'embrasser sur la joue et encore une fois mon coeur à contrôler mes actes et ne m'a pas dévier comme je l'aurais souhaiter. Enfin bon le mal est fait tout ce que je sais à présent c'est que j'ai encore déçu celle que j'aime plus que tout encore une fois... Je ferma un peu les yeux quand elle s'expliqua sans la regarder je pouvais ressentir sa tristesse c'était un peu comme de l'empathie ! A ses côtés je pouvais me sentir un peu plus humain et surtout un peu plus vivant. Quand elle s'expliqua sans la regarder je me sentait assez mal, je ressent chez elle de la colère pour moi. Mais aussi de bons sentiments, je suis tellement habituer à sa voix que rien qu'au son de sa voix je sais ce qu'elle ressent actuellement ou presque. Sa voix était comme cassé derrière ses larmes, je ferma lentement les yeux puis fit un léger soupire et je me retourna la regardant les larmes aux yeux.

Tant d'année je fut séparer d'elle que je commencer à me mettre dans ma tête qu'elle me détester et qu'elle m'avais oublier mais en regardant ses larmes je vit autres chose. Elle avait mal au coeur quand je suis partit après l'avoir embrasser, et elle ne m'avais pas repousser ! Je commence à comprendre mais j'ai peur de me tromper, je m'approcha d'elle et je la serre dans mes bras fermant un peu les yeux, elle était un peu plus petite que moi j'en profita donc pour tirer sa tête et la coller sur mon torse et je murmure à son oreille :

"Je crois... Avoir comprit tes sentiments pour moi... Ou du moins je pense, mais une chose est sûr..."

Après quelques seconde de réflexion je me pencha légèrement vers elle et je décida par un geste simple mais qui explique tout de l'embrasser, je mit mes mains sur sa taille sans m'arrêter pour autant de l'embrasser et je m'arrêta brièvement lui avouant mes sentiments pour elle :

"En vérité si je suis partit si vite c'était pour t'oublier... Pourquoi me dira tu ? Je vais te l'avouer clairement : mes sentiments pour toi sont devenu tellement fort que je n'arriver pu à les cacher, pas par honte. Mais parce que j'ai peur que tu ne ressente pas la même chose que moi, mais... Voila je t'aime et je ne veut pu jamais te quitter."

Elle était toujours dans mes bras... Et au fond de moi même j'aimerais rester comme ça.

Je ne dit rien, n'avais ni bouger, ni tenté de le rattraper, car j'avais mal au cœur très mal. Pourquoi je l'ignorais, mais ses sentiments étaient très profond et à la fois douloureux suite à la fuite d'Hibiki.

Mon cœur était en miète et complètement détruit, parce qu'il s'était éloigné de moi. Se baisé avait été si agréable et si doux, je l'avais tellement apprécier, mais il avait laissé une marque plus douloureuse quand il avait pris la fuite. Je ne comprenais absolument plus rien et je n'avais vraiment pas envie de comprendre quoi que se soit.

J'espérais seulement qu'il comprenne ce que je ressentais pour lui depuis si longtemps. Il m'avait pris mon cœur durant nos années d'écoles et l'avait réduis en miète en partant, pour lui redonner un brin de vie et le détruire à nouveau.

Les larmes ne coulaient plus, car il n'y avait plus de raison qu'elles coulent, car elles n'auraient pas suffit à montrer toute cette douleur. Tout cela semblait avoir durer plusieurs heures, mais enfaite juste quelques minutes. Sa voix me sortie de ma léthargie, car il semblait avoir compris ce que je ressentais pour lui. Il me serra doucement contre lui, et l'avantage de ma petite taille, me permettais de poser sa tête contre son torse.

Je crois qu'il n'y a pas grand chose à détailler de plus...

Il m'embrassa à nouveau, j'avais peur qu'il reparte, qu'il me laisse à nouveau seule, mais il ne le fit pas, loin de là, il continua son baisé et posa ses mains sur ma taille. Je répondis timidement au baisé, car j'avais un peu de mal à y croire. J'écoutais ce qu'il avait à me dire, apparemment il avait pris la fuite suite à la découverte de ses sentiments.

Tu es vraiment un idiot. Si tu avais parlé, tu aurais su que j'éprouvais quelque chose pour toi. Tu m'as fais si mal. Moi aussi je t'aime depuis bien longtemps, mais t'a fuite à détruit quelque chose dans mon coeur, mais je t'en pris, ne part plus jamais comme tu l'a fait.

Je n'avais pas bougé, ni quitté la sécurité de ses bras

Si je devais faire un bilan de ma vie avant de la rencontrer je dirais que les seuls sentiments que j'avais ressentit jusque là c'était de la tristesse de la haine, et une envie de solitude. Cette envie était incontrôlable, je n'avais ni famille ni ami réelle juste plein de connaissance. L'amour, je ne connaissait pas. En faite je dois dire que le seul sentiment que j'ai eu jusque sa rencontre était des sentiments de solitude et de froideur, depuis sa rencontre je me sentais heureux et je voulais vivre une vie dans l'espoir. Au départ je ne voulais pas de relation affectif et c'est peut être l'une des raisons qui m'ont pousser à m'éloigner brusquement d'elle. Je ne voulais pas m'attacher à elle pour ne pas être triste au moment des adieu comme toujours... Mais je ne gagne rien, l'amour était déjà encrer sous une autre forme depuis bien longtemps. Sa rencontre a réveiller tout les sentiments que j'avais perdu. Je lui doit beaucoup, elle m'a ouvert les yeux et aussi ouvert le coeur. C'était désagréablement agréable d'échanger un baisé surtout avec celle que je considère comme ma moitié. Elle m'avoua à son tour ses sentiments à mon égard, à ce moment là je voulait encore plus la serrer dans mes bras de peur qu'elle s'en aille ou alors que je m'en aille bref qu'on se sépart de nouveau ! C'était hors de question, pour rien au monde je me séparerez plus d'elle, finis les excuse bidons et surtout finis de se cacher . Elle me dit que je suis un peu idiot voir beaucoup, c'est vrai d'un certain côté je l'ai fait souffrir et je suis sûrement la cause principal de sa tristesse... Ou peut être une des raisons, mais ce que je voulais maintenant c'était la sentir prêt de moi rien d'autres.

"Je suis bien idiot... Pour ça... Mais si je peut te rassurer, je suis bien Hibiki Kanto et je ne suis pas une illusion, il est vrai qu'avec le recule maintenant c'était un peu ridicule voir beaucoup de ne pas t'avoir avouer mes sentiments. Et je te rassure tout de suite, je ne te lâche pu ! Je ne partirai pu comme je l'ai fais et je ferrais tout pour te rendre le sourire de la Juliette que j'ai connus autre fois, je ferrais aussi en sorte de réparer ce que j'ai brisé."

Je la regarda et mit mes lèvres sur les sienne fermant légèrement et soufflant un peu sur ses lèvre en disant d'une voix douce :

"Et si on rattraper le temps perdu ?"

Si je regardais en arrière, dans mon passé, je n'avais envie que d'une chose l'effacer et tout oublier. Le présent, voilà vers quoi je devais me tourner, le présent et l'avenir. D'ailleurs j'avais en cet instant un moment de pur bonheur et de tendresse infinie. J'écoutais ce qu'il avait à me confier d'autre. Il reconnus avoir été très idiot, mais aussi à ne plus vouloir partir, et moi je ne voulais plus le voir partir, jamais plus.

Je t'en supplie, je veux laisser derrière moi une bonne fois pour toute ce passé de douleur et de souffrance pour aller de l'avant. Les erreurs du passé sont ce qu'elle sont, mais le bonheur présent et actuel me suffit amplement. Je veux retrouver le garçon que j'ai commencé à aimer à mes treize ans d'un simple regard. Je t'ai retrouvé et je te garde moi aussi à mes cotés

Son souffle sur mes lèvres me fis quelques peux frisonner, c'était doux et agréable à la fois, et j'avais enfin l'impression de revivre à nouveau

Si tu savais comme j'ai envie, tu m'a tellement manqué

Le passé était une chose de bien pour certaine personne. Pour moi ce n'était qu'une suite d'erreur et tout comme Juliette que j'ai retrouver et qui n'avait pas changer enfin non elle a changer et est devenu bien plus belle. Pour moi c'était une princesse maintenant, une perle rare que je me devais de conserver le plus longtemps possible. Elle me demanda de "faire revivre" celle qu'elle à connus à ses 13 ans et celui qui avait toucher son coeur par sa gentillesse et son sourire. Je ferma légèrement les yeux me suis de nouveau rappeler de notre première rencontre à pré au lard sous la neige hivernal, ce jour était simplement inoubliable, mais surtout il était si bon... Et je lui fait un sourire plein de joie, et je lui répondit d'une voix douce :

"Juliette, je t'ai fais souffrir avec mon départ, moi aussi j'ai souffert. Mais aujourd'hui est un jour nouveau, nous allons... JE vais réparer la souffrance que je t'ai fais subir, avec du pansement fait par mes lèvres et mon étreinte pour pu qu'on se quitte."

Je sortit alors un ruban de couleur blanche que s'enroula autour de mon bras droit puis sur le bras gauche de ma bien aimer, je la serre de nouveau contre moi et sourit puis je lui dit :

"Ce ruban est magique, il lie deux personne !"

A 13 ans j'ai étais réputer comme cancre de gryffondor, pour moi ce ruban avait une signification importante, mais en réalité ce ruban était pour détecter l'amour... Si je l'aime autant que je lui dit, son ruban se serrera un peu plus et l'envahira d'une chaleur agréable dans tout le corps. Si au contraire je ne l'aime pas... Le ruban se retire de son bras même si je l'ai attacher. Le côté de Juliette se serre assez fort et mes doute disparaissent, je savais maintenant que mon amour pour Juliette n'était pas un simple coup de foudre mais un amour... Avec un grand A. Je me baissa vers elle et je l'embrassa avec plein de tendresse. Je regarda de nouveau le ruban et si comme je le pense elle m'aime à la folie ce ruban va se détruire et nous téléporter dans un endroit calme et romantique je luit dis simplement.

"Moi aussi, j'ai envie de toi, en faite... Je ne veut que toi, personne ne me ferra paritr de toi, je veut qu'on aille partout ensemble, on visitera le monde et on apprendra de nouvelles choses à deux ! Au faite... Tu as réussi à réaliser ton rêve ?"

Devant toute cette tendresse et cette douceur, mes souffrances ne pouvaient que partir et s'enfuir pour ne laisser place qu'a la joie, au bonheur retrouvé, au simple fait de pouvoir sourir à nouveau et d'espérer changer pour une vie meilleurs.

Son sourire, ce sourire là que j'aimais plus que tout m'avait cruellement manqué, tout comme lui Hibki, petit rayon de soleil de mon enfance dans une vie très sombre, était devenue très vite mon soleil, et ma chaleur, avant de s'effacer rapidement, sans savoir s'il reviendrait un jour et pourtant, il était là, devant moi et j'étais dans ses bras.

Il avait compris toute la peine qu'il m'avait fait et c'était fait à lui même aussi, tout celà inutilement et juste pas crainte de ne pas être aimé en retour.

Le passé est dernière nous, le présent est le fait d'être à nouveau avec toi et de t'avoir retrouvé, et l'avenir est à nous deux, et à nous de créer notre bonheur et à effacer les erreurs du passé

Je le vis sortir de sa poche deux rubans de couleur blanc imaculé, il en noua un à son bras et noua l'autre au mien. Aussitot je sentie une douce chaleur se diffuser de mon bras vers mon coeur et tout mon corps, avec une sensation de bien être intérieur. Le bracelet se serra quelque peu, mais pas de façon douloureuse, juste comme une étrainte pleine de tendresse. Je sentie un lèger mouvement de la part d'Hibiki, et sentie rapidement qu'il m'embrassait à nouveau avec une tendresse infinie.

Il me dit ensuite qu'il voulait de moi, être toujours avec moi, mais j'avais peur que ce n'était qu'une passade et qu'il allait me quitter après

Je veux aussi être avec toi, je l'ai toujours voulue. Merlin sait combien je t'aime, mais aussi combien j'ai peur maintenant que tu me quittes. Pour mon rêve? Ho oui il sais réalisé, j'ai une petite boutique qui commence à se faire connaître partout grace à une commande faite par une équipe de quidditch

J'étais merveilleusement bien comme celà, mais mon ventre en avait décidé autrement, car il se rappela à mes bons souvenirs par des gargouillis en tout genre, ce qui eue pour effet de me faire rire.

Si tu permets, avant de passé par la case voyage, j'ai envie de passé par la case déjeuné, alors que dirais-tu d'aller manger quelque chose et de continuer à être rien que toi et moi?

Je ne me suis pas sentie aussi bien après plusieurs année maintenant, Juliette était apparemment la seule clef existante à mon bonheur. Rien que de pouvoir la sentir dans mes bras me donnait des envie de la serrer très fort et ne pu la lâcher mais j'ai pas envie de l'étouffer non plus. C'était comme je l'avais dit un jour nouveau, un jour ou toute mes souffrance part comme par magie, mais là c'était par la magie de l'amour ! Une magie bien plus forte que la magie des sorciers. Surtout quand l'amour entre deux personne est réel les liens se serre rapidement et surtout les joies et les fous rire. Notre relation était pendant toute ces année de l'amour... Un amour cacher par un mensonge, un amour qui aurait dû se révéler bien avant ! Mais le principal dans tout cela, c'est que c'était bien Juliette... Ma Juliette, celle que j'ai considérer pendant tout ce temps comme une sœur, mais qui était un lien très fort qui s'était noué et ça à notre première rencontre. Peut être en réalité que ce lien n'était pas tout à fait présent ou plutôt qu'il n'a pas était comme prévus. Le ruban avait comme prévus serrer plus fort, mais ce n'était pas douloureux bien au contraire...

"On ne peut pas effacer le passé, nous ne pouvons que le rendre meilleurs... Enfin... On ne peut que rendre le futur agréable, l'amour qu'on éprouve l'un pour l'autre... Personne n'aurait pu dire si il était sincère sauf nous même, nous avions eu dès la naissance un lien invisible qui nous rattache... On a tous droit à l'amour, enfin... Ceux qui ont un cœur surtout"

Je l'embrassa de nouveau quand elle dit qu'elle avait réalisé son rêve, c'était tout simplement heureux ! Je savais au plus pronfond de moi même qu'elle le réalisera un jour et c'était arriver... Mais pour moi, mon rêve n'a toujours pas était réaliser. Je rêve d'un monde meilleurs, ou tout le monde viveraient dans l'harmonie la plus total. Mais je sais que l'homme ne pourra changer à cause de l'heure histoire, ou encore de leur religion ! Ou encore parce que ce sont des sorciers et ils aiment pas les moldus ou alors les moldus qui savent qu'il y a des sorcier et ils en ont peur. Mon deuxième rêve était de retrouver mon passé et je pense l'avoir retrouver... Juliette... Mon passé,mon présent et mon future. Dans ce moment romantique le ventre de ma tendre se mit à grogner, je me mit à rire avec elle tout en la gardant prêt de moi et je dit :

"Juliette... Tu es à présent... Redevenu celle que je cherche, oui, c'est toi que je cherche en réalité ! Mon passé... Mon présent... Et mon future, et comme je t'ai dis je pense : Hors de question qu'on se quitte et ça quoi qu'il arrive, je suis fière de toi voir heureux ! C'est tout simplement génial. Mais ton ventre je risque de le manger ! Il a gâcher notre discutions et..."

Mon ventre se mit aussi à gargouiller et je me mit de nouveau à rire en disant :

"Cela tiens toujours de manger en tête à tête pour qu'on sois seul tout les deux ?"

J'étais bien maintenant, heureuse et sourtout vivante, vraiment vivante et avec la joie au coeur. Il était temps d'oublier le passer et d'aller de l'avant vers un meilleur avenir et un avenir à deux, plus toute seule comme avant, c'était celà qui comptait le plus pour moi. Notre amitié avait toujours été très forte et bien plus qu'une simple amitié passagère, un lien très fort nous unissait tout les deux, pas qu'un lien comme un frère et une soeur de coeur, ce qui avait toujours été au départ, mais bien évidament de l'amour.

Ecoutant ce qu'il avait à me dire, je ne pus que le confirmer d'un signe de la tête et de répondre à mon tour.

Je suis d'accord avec toi. Rendons notre avenir meilleur ensemble, juste toi et moi. C'est vrai, l'amour un lien qui apparait à la naissance et qui grandi avec nous, et lorsque l'on a rencontré la personne qui nous ai déstiné, notre coeur sera avant nous reconnaitre notre destiné. C'est vrai on a tous le droit à l'amour et tout le monde à un coeur, même les plus méchant, car avoir un coeur c'est etre vivant

Décidément il ne se passait plus de m'embrasser, et moi je ne me passais déja plus de ses baisés et de sa présence à mes cotés. Cinq années de solitude et de souffrance venaient de prendre leur envole loin de moi, pour faire place à la vie, à la joie, au bonheur et à tout ses sentiments très tendre et agréable. Il sembla heureux pour moi et ce qu'il me dit me toucha au plus profond de mon coeur.

Oui, mais le second rêve et le premier avant tout, c'est toi, c'est de t'avoir retrouver, de savoir pourquoi tu m'as laissé, mais de savoir que maintenant tu ne me laisseras plus jamais. J'ai un petit appartement à Londres, je serais contente que tu viennes me voir très souvent.

Il me fit rire en me disant que mon ventre venait de tout gâcher, mais le sien se fit entendre aussi.

Tu n'es pas mieux que moi sur ce coup. Oui je suis partante et ainsi tu m'expliqueras pourquoi tu m'as mis se bracelet

En sa présence je ne pouvais m'arrêter de la regarder d'un regard tendre, malgré sa petite taille c'est un chef d'œuvre vivant. Je n'avais jamais éprouver cela pour quelqu'un autre que elle. Pourtant j'ai eu beaucoup d'ami garçon comme fille, mais jamais personne n'a jamais était aussi haut dans mon estime. Moi qui penser avoir retrouver celle que j'aime, non j'ai retrouver ma vie... Une vie que je voulais abandonner lâchement, cette vie je l'ai maintenant ! Et je suis décider à croquer la vie avec plein de joie, même si des fois je sentirais quelque tensions je les estomperais en trouvant quelque chose pour qu'elle puissent me pardonner. Jamais plus je ne quitterais quoi que ça sois, la fuite n'est pas une solution bien au contraire. Elle m'avoua vouloir me retrouver et cela était son rêve le plus fou, moi aussi... Mais je voulais retrouver mes origine et surtout retrouver mes sources. J'ai retrouver ma soeur biologique et elle est morte... Elle était atteinte d'une grave maladie que les docteur avaient pas pu soigner, cette maladie lui faisait atteindre les 48 C° et aucun remêde pour la soigner. Une triste fin pour ma petite soeur... Je suis donc l'héritier maudit d'une famille maudite, toute ma famille était dans une tombe maintenant sauf moi, mais ce n'est pas une raison pour déprimer ! Je viverais ma vie comme je l'entend et surtout avec celle que j'aime c'est ça le plus important. Elle m'invita à venir la voir souvent à Londre, le problème c'est que je veut pas la voir... De temps en temps mais tout le temps. Je veut être avec elle pour toujours mais c'est trop tôt, nous avions a peine de nous avouer nos sentiments, il ne fallait pas être trop brusque et tout vouloir d'un coup. Donc je répondit clairement :

"Je viendrais te voir très régulièrement, maintenant que je t'ai retrouver compte pas sur moi pour te lâcher."

Je recula mais je prit sa mains et regarda un coins calme pour aller manger en tête à tête mais le problème c'est que je n'étais pas revenu depuis longtemps... Bientôt 10 ans... Je marcha avec Juliette main dans la main et je finis par trouver un coins tranquille pour manger et discuter tranquillement pour qu'on ai quelques explications. Ou plutôt pour lui révéler tout ce qu'elle veut savoir. Je sais qu'elle a beaucoup de questions à me poser et moi aussi.

"Bien... Je vais t'expliquer pourquoi je t'ai donner ce bracelet, elle a une signification pour moi... Assez importante d'ailleurs."

Je chercha une place toujours en la tenant par la main et je m'assit en premier puis je la tire délicatement vers moi faisant en sorte qu'elle sois assise sur mes genoux. Je décida de mieux lui expliquer pourquoi lui avoir donner ces bracelet

"Ces bracelet m'ont était offert par ma petite soeur avant de mourire, elle ma dit. Si tu donne un bracelet et que tu met l'autre, tu sentira la précense de celle qui à l'autre moitié. Même si elle est à des kilomètre de toi tu la sentira... C'est pour qu'on sois...Lié encore plus fortement par ce liens nous somme à présent*

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Nostalgies et retrouvaille[Fe Juliette]

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