La volière était un endroit froid en cette periode de l'hiver. Au coeur de fevrier, quelques jours avant la St Valentin, les élèves de s'attardaient dans la tour que le temps d'envoyer un mot à leur Jules et Juliette, et retournaient vite rentrer leur miches au chaud.
Pourtant, une élève faisait exception. Très pâle, ses longs cheveux bruns légèrement en bataille tombaient sur ses épaules tandis qu'elle se mordait nerveusement les lèvres. Son pieds gauche frappait le sol en un rythme éffréné: celui de l'anxiété. Oui, en ce lieu et en cette heure, Catherine Ollivander était en proie à une inquiétude paralysante.
Là où toutes les élèves au-dessus de la quatrième année ne pensaient qu'au bal de la St Valentin, toutes les pensées de Catherine étaoent fixées sur une seule infirmation: ses parents n'avaient pas donner de nouvelle depuis trois semaines.
Ce n'était certes pas longtemps, mais la famille Ollivander, ou de moins ce qu'il en restait, avait prti l'habitude d'échanger des nouvelles au moisn une fois par semaine depuis l'enlevement du grand père de Catherine, le celebre fabricant de baguettes magiques. Cela faisait trois fois que ses parents avaient manqué le rendez-vous, et ils ne repondaient pas à ses lettres de plus en plus pressantes. Habituellement, c'était eux qui s'inquiètaient pour un rien. Pourquoi ne s'empressaient-ils pas de répondre aux inquiétudes de Catherine? Leur était-il arrivé quelquechose? Leurs lettres étaient elles interceptées par quelqu'un? Peut-être n'étaient-ils plus en état d'écrire quoique ce soit...
Catherine secoua son visage, chassant ces pensées lugubres de son esprit. Elle se leva en epoustant quelques brindilles de sa robe de sorcier, et, empruntant une des chouettes de l'école, envoya une quatrième lettre à ses parents. Catherine observa la chouette s'effacer dans le ciel argenté des nuages qui menacaient de se dissiper en une tempête de neige. Ses joues terriblement blanches étaient rosies par le froid. La jeune fille se rendit soudain compte qu'elle tremblait.
Elle se retourna vers la porte pour rentrer au chaud mais celle-ci, al faisant nerveusement sursauter, s'ouvrit avant même que Catherine n'ai toucher la poignée: un jeune homme, d'au moins deux têtes de plus qu'elle, venait de l'ouvrir.