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 A l'heure où la nuit meurt... [Ou]

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MessageSujet: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Mar 4 Déc - 1:34

Cette soirée là, Junko n’avait presque pas mangé. Pas parce qu’elle n’avait pas faim, mais simplement par habitude. Cette demoiselle n’est pas vraiment une grosse mangeuse. Son père lui répétait souvent qu’elle resterait petite toute sa vie puisqu’elle refusait de s’alimenter correctement. Et qu’est-ce que cela changerait si elle avait des centimètres en plus ? Pas grand chose ! Pour elle, tout est dans la tête. Pas dans la hauteur ou la taille de son pantalon.
C’est donc avec l’estomac vide qu’elle sortit du château. Pressée visiblement. Dans sa main, un parchemin roulé. Sur son visage, une drôle d’expression sévère. Les lèvres pincées, les sourcils froncés, la petite Hitoshi est à prendre avec des pincettes. Une lueur de haine dans le regard. Il est bien rare de la voir. Ces prunelles pétillent souvent de joie et bien d’autre chose depuis peu. Mais là, il y a un truc qui ne va pas. Quelque chose qui sonne faux. Et dire qu’elle pensait être bien loin de tout ceci en venant ici… Vraiment ? Peut être qu’elle cherche des réponses après tout. Rha, tout s’embrouille !

Pourquoi est-ce arrivé maintenant ? Sur son lit en plus ! Elle qui pensait à un petit mot doux, elle fut totalement surprise par son contenu. Junko a hésité avant de se lancer hors de Poudlard. Elle sent bien qu’un piège peut se refermer sur elle. Mais là… Là, elle n’a pas d’autre choix que de suivre sa curiosité et sa volonté de connaître la vérité la poussa finalement à l’allée des embrumes.
Quel drôle d’endroit ! Le brouillard semble avoir pris possession des lieux. Il est tard. Seule la lueur de la Lune éclaire sa route. Difficile de repérer la demoiselle qui se confond avec les ombres. Junko a revêtue une cape sombre, avec une large capuche qui plonge sa bouille dans le noir. Une façon pour elle de se protéger des autres regards. Des personnes douteuses rodent dans les ruelles. Rien de bien rassurant. Non mais quelle idée ! Dans quoi s’est-elle une fois de plus embarquée ?
Le lieu marqué dans le message est très évasif. L’allée des embrumes est grande… Comment le reconnaître ? La petite Hitoshi serra fermement Alice, sa baguette magique dans sa main gauche. Bien cachée par un pan de sa cape sombre. Quelques pas se font entendre derrière elle. Est-ce bien la personne qu’elle recherche ? C’est possible. Mais elle ne s’attarde pas à se retourner pour poser des questions idiotes à la façon moldu du genre ‘Qui est là ?’. Junko trace. Accélérant sa marche pour finalement courir…
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MessageSujet: Re: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Dim 16 Déc - 15:28

[Ouhawou! Quel contexte! Dur dur de répondre >.< On va dire qu'on se connait dans ce cas, sinon je me demande bien comment ma Sukinette pourrait être là en soirée et en periode scolaire! n__n"]


Soirée ennuyante. Journée ennuyante. Cours. Dejeuner. Cours. Dîner. Rien n'interessait plus Suki, qui, ne faisait que d'arpenter les couloirs, sa salle comune, en silence. Elle ne fréquentait plus beaucoup de personnes et la plupart du temps discutait avec les fantômes ou les tableaux. Ils étaient assez sympathique en fin de compte. Mais voilà, enfin, un élément perturbateur, qui était venu aider Suki à sortir de son ennie mortel. C'est que, en remontant au dortoir, elle avait vu Junko en descendre, l'air assez furieuse.

Elle la connaissait avant tout car elle connaissait tous les japonais de Poudlard...et particulièrement les Serdaigles. Et puis surtout, elle avait largement eu le temps de la connaitre, au moins de loin, quand elle l'avait vu fréquenter petit à petit Kyo kun. Oh, bien sûr, elle avait été jalouse au début. Pourquoi ne la repoussait il pas comme il l'avait fait avec elle? Pourquoi n'était il pas à deux doigts de la frapper? Pourquoi ne lui criait il pas dessus? Pourquoi lui prenait il la main!? Suki en avait fait une vrai maladie, pour tout dire. C'était donc contre elle personnellement qu'il en avait après? Inutile de préciser toutes les questions qu'elle s'était posées durant plus d'une semaine, rongée par la jalousie. Jusqu'a un beau matin... Un beau matin où elle s'était dit que Kyo kun l'appréciait apparement beaucoup, et qu'elle n'allait pas changer ça. Surtout parce que Suki avait eût le temps de connaitre Junko et qu'elle était vraiment très gentille. Ils méritaient bien tous les deux d'être heureux.

Elle avait ainsi donc continuer d'adresser la parole à la japonaise dès qu'elle en avait l'occasion, pour lui parler, la découvrir mieux, et surtout essayer de ne pas se terrer dans son silence. Au final, l'important, c'était qu'elles s'entendaient bien. Et puis surtout, Suki doutait fort qu'il ai parlé d'elle à Junko. Il se sentait bien trop indiferent vis à vis d'elle.

Voyant donc Junko, enfiler une cape, tard dans la soirée, un parchemin à la mains, et une mine furieuse, elle avait décidé inconsiemment de la suivre. Ca l'occuperait, et puis surtout, elle était curieuse. A à peine douze ans, Suki était alors en dehors du chateau, en train de courir derrière une jolie japonaise qui semblait hors d'elle même, jusqu'a l'allée des embrunes. L'endroit était carrement inquiètant mais Suki, anesthésiée de toute sensation n'avait pas peur pour autant. Une fois ayant ratrapper la miss, Suki essouflée, marcha jusqu'a elle plutôt que de l'appeller pour ne pas l'effrayer. Seulement voilà Junko eût encore plus peur et courru de toutes ses forces. Extenuée, Suki rassembla pourtant toutes ses forces et courru de ses petites jambes avec toute la détermination qu'elle pouvait. Elle regrettait presque de ne pas être restée au chateau. Arrivant enfin à la hauteur de Junko, elle lui attrappa rapidemment le bras pour la stopper. Toutes les deux reprenant leur souffle, Suki lacha, crevée;


-Tu es très rapide toi!

Bien sûr, ce n'était qu'une réfléxion, et qui de plus, ne répondait pas aux interrogations de chacune. Qu'est ce que les deux miss faisait là?!
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MessageSujet: Re: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Dim 16 Déc - 16:25

[Hj : Hiii ! Tu m'as répondu ma tite Sukinette ! Okay pour le faite qu'elles se connaissent. C'est plus simple surtout n_n]


Qui a osé dire que l’Allée des Embrumes n’étaient pas si effrayante que ça ? Sans doute son cousin Yuë. Cet idiot avait le don de prendre tout à la légère. Junko sait à présent à quel point il avait largement exagéré ! Cette allée était totalement brumeuse. On pouvait sentir une drôle atmosphère planer dans l’air. Rien de bien rassurant. Etrangement, l’endroit était humide et froid. Un vent soufflait de temps à autre, soulevant quelques mèches brunes et piquant les joues de la jeune asiatique. Même la Lune se montrait timide et éclairait faiblement le sol et les alentours inquiétants. Un endroit certes pas fréquentable pour deux jeunes serdaigles…

Junko avait bien croisé Suki en s’échappant du dortoir. Elle ne l’avait pas reconnu sur le coup. Ce n’était pas volontaire de sa part. Si les circonstances auraient été autrement, Jun’ se serait arrêté pour lui dire quelques mots. Elles se connaissaient un peu toutes les deux. Junko avait de suite appréciée la petite asiatique à la bouille d’ange. Eloignée de Lynn et d’Emy, elle avait retrouvé en Suki une petite sœur à protéger. La jeune Kimura était gentille comme tout et semblait tellement fragile que Junko n’a pas résisté longtemps à l’envie de la prendre sous son aile.
Quant à Kyo’, il ne lui a jamais parlé de Suki. Du moins, pour le moment. Peut être qu’il le fera un jour… C’est fort possible. On ne peut rien cacher à Junko. C’est presque énervant. Elle ne connaît pas tout de tout le monde, seulement les grandes lignes. Elle risque d’étonner Suki.

Mais revenons à notre Allée et ce rendez-vous mystérieux qui a poussé les deux jeunes filles a quitté Poudlard en pleine nuit. Deux silhouettes couraient à en perdre haleine avant que l’une d’elles stoppe l’autre. Jun’ avala son cri de surprise en se pinçant les lèvres fortement. La rage et la peur au ventre. La baguette prête à faire feu. Elle pensait qu’Il l’avait rattrapé. Mais en entendant la voix de Suki, elle fut soulagée et tout sentiment de peur disparu aussitôt.
Le souffle saccadé, elle tourna sa bouille surprise vers elle. Un sourcil arqué. D’accord, elle est rassurée qu’il s’agit d’une de ses amies, mais… mais que faisait-elle ici ? Dans cet endroit hostile et dangereux ? Junko dévisagea Suki, le temps de retrouver sa respiration avant de lâcher à son tour quelques mots doux et faibles…



-Suki ! Tu m’as fait une de ces peurs ! …Mais qu’est-ce que tu fais ici ? Tu m’as suivi ?!


Elle ne voyait que cette possibilité là. A moins que la jeune Serdaigle lui aurait caché des choses. Jun’ braqua ses perles brunes sur le visage de sa camarade. Elle était jolie Suki. Eclairée par un bout de lumière de l’astre lunaire. Jun’ lui aurait sourit en temps normal mais là, vu l’inquiétude qui la ronge à ce moment même, elle se contenta de rester stoïque. Le visage fermé, attendant calmement une réponse.
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MessageSujet: Re: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Mar 18 Déc - 22:56

Quelle fatigue! Suki espera de tous ses membres de pas avoir de courbatures le lendemain. Parce qu'il fallait être réaliste, la course, s'était pas son truc du tout! Ce n'était pas pour rien après tout, que les sorciers avaient des balais. La miss savait plutôt bien voler d'ailleurs. Elle regretta de ne pas avoir prit son fidèle ami de bois pour suivre Junko qui, il fallait le dire, elle, courait assez vite!La petite miss la regarda, tout en reprenant son souffle. Junko lui faisait penser à elle... dans quelques années! Elles devaient beaucoup se ressembler, mais comment savoir après, n'était on pas différent avec chaque personne que l'on fréquente? Il était sûr que l'on était pas pareil avec ses amis et son petit ami. Dis comme cela, l'homme semble bien complexe pour Suki qui en a pourtant un jugement assez reservé... Courbée, elle se remit droite toujours en fixant la japonaise, bien que parfois pas terre également.

C'était qu'elle était très belle Junko. La miss s'étonnait qu'elle ne soit pas plus sollicitée des garçons. Pour tout dire, elle était très etonnée. La serdaigle était surement la plus belle japonaise qui lui avait été donné de voir. D'un coté elle était jalouse oui, car si elle avait ressemblé - ou plutôt été - Junko, Kyo ne l'aurait sûrement pas repoussée. Peut être la trouvait il moche? Cette idée fit grimacer Suki. Elle savait bien que le garçon avait une haute estime de sois même. Peut être ne trainait il avec des gens qu'il jugeait assez beau pour lui. Ah mais qu'est ce que c'était que ces pensées!! Suki fronca les courcils, fermant les yeux et chassa ces idées à deux mornilles.

Junko, evidemment, était etonnée de la voir ici. Assez apeurée même, mais disons, du moment avant qu'elle la voit.. Elle lui demanda même! ; "Mais qu’est-ce que tu fais ici ?Tu m’as suivi ?! " Bien sûr qu'elle l'avait suivit. Pour diverse raisons d'ailleurs. 1. Elle s'ennuyait profondemment. 2. Voir Junko furieuse l'avait abasourdie et 3. Peut être aurait eut elle besoin d'aide. Être seule, s'était dangereux, très dangereux. A sa connaissance, Suki n'avait jamais entendu parler de meutre ou pire dans la rue concernant deux personnes. A deux, on était plus fort, on était moins ciblés. La petite miss haussa les épaules et baissa la tête. Elle se sentait un peu coupable, bien que sur le moment, cela lui avait parut comme une bonne idée.


-Oui... Je t'ai vu pas contente du tout alors je me suis demandé ce que tu avais...Et je t'ai vu partir. Je pense que je m'en serait trop voulu si je t'avais vu partir sans te suivre si tu n'étais jamais rentrée!

C'était des choses assez horribles à dire. Mais Suki portait de l'interêt aux personnes qu'elle cerclait dans ses VIP, ou, ses quelques rares amis ou proches copains. Junko entrait largement dans cette catégorie. Elle s'interrogea pourtant;

-Ben toi, alors...? Qu'est ce que tu, on fiche ici? >.<
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MessageSujet: Re: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Ven 21 Déc - 1:01

Plus on est de fou, plus on rit ? Encore une expression moldu délirante qu’affectionnait Junko. Pour ce genre de situation, en revanche, elle aurait préféré se retrouver seule. Elle ne sait pas trop ce qui l’attend à vrai dire. Et savoir la petite Suki avec elle, ne l’aidait en rien à calmer son stress. Mais que pouvait-elle bien lui dire ? Elle lui aurait volontiers conseillé de retourner à Poudlard, un endroit sécurisé mais pour cela, il fallait faire demi-tour. L’idée de savoir la jeune serdaigle seule ne lui convenait pas du tout. On ne sait jamais sur qui elle peut tomber pendant le trajet du retour. Ah Suki !

Jun’ abandonna ses pensées pour revenir dans l’Allée. D’un revers de main, elle poussa sa capuche sur ses épaules, dévoilant son visage aux traits délicats et libérant ses longs cheveux soyeux bruns. Les prunelles brillantes fixaient son amie, Junko écouta attentivement les réponses de la petite Kimura. Bouille sérieuse. Elle resta silencieuse quelques secondes tout en toisant sa camarade. Repensant à ce qu’elle vient de lui confier.
‘Je m'en serait trop voulu si je t'avais vu partir sans te suivre si tu n'étais jamais rentrée!’ De l’inquiétude vis-à-vis d’elle. Junko fut agréablement surprise. Elle n’avait pas l’habitude qu’on se fasse du mauvais sang pour elle. Habituée à faire des escapades seule dans la nuit. Ne dépendre de personne. Mais quand la petite Suki lui confia ces mots, Junko ne put s’empêcher de penser à Kyo’. Son rayon de soleil. Il a besoin d’elle comme elle a besoin de lui. Si elle venait à disparaître… Il serait peut être malheureux. Rha ! Elle ferma ses paupières pour chasser ces pensées. Ces prunelles se braquèrent à nouveau sur la frimousse de Suki. Que va-t-elle bien faire de la serdaigle ? Il est trop tard pour reculer de toute façon. Serrant le parchemin dans sa main droite, elle se saisit doucement du bras de Suki pour l’entraîner dans une petite ruelle adjacente. Peu éclairée. Là, elle l’a lâcha sans geste brusque.

Un dernier coup d’œil sur l’Allée à sa droite puis son attention se fixa à nouveau sur son amie.
‘Qu’est-ce qu’on fait ici ?’ Voilà une question très pertinente. Que lui répondre ?! Junko ne sait pas trop à vrai dire… Elle a agit sur un coup de tête et commença déjà à regretter son élan. On entendit un bruit de papier froissé, le pauvre parchemin tirait une sale mine dans la main serrée de Jun’. A croire qu’elle voulait étouffer son contenu. Elle se ressaisit un instant et plongea sa main gauche dans sa cape pour retirer Alice. Elle fit un joli mouvement du poignet en direction de Suki puis d’elle-même, murmurant des sortilèges. ‘Dessilusio’ et ‘Muffliato’. Ainsi, les deux jeunes femmes n’étaient pas visibles et elles pouvaient parler librement sans qu’on puisse les entendre.
Junko baissa doucement sa baguette puis elle tendit le parchemin écrasé et fripé à Suki.


-J’ai reçu ce mot. C’était posé bien gentiment sur mon lit.

Elle eut une légère grimace. Sur son lit ! Quelqu’un avait osé pénétrer dans sa chambre !! Elle lâcha un soupire de désapprobation avant de poursuivre.

-On m’a donné rendez-vous dans cette Allée. Je ne sais pas qui en est l’auteur mais… mais il faut que je sache la vérité. C’est important pour moi.

L’idée d’un piège ne lui a presque pas frôlé l’esprit. Peut être qu’elle ne veut pas y croire tout simplement. Elle est persuadée que celui qui a signé d’une lettre A, connaît beaucoup de chose sur la mort de sa mère. Quoiqu’il en soit, elle est trop en colère pour tenter de trouver une explication à tout ceci. Les bras croisés contre son buste, la baguette toujours tenue fermement dans sa main, elle attend de voir la réaction de Suki et surtout, ce qu’elle pense de tout ceci. Après tout, son avis compte énormément puisque la voilà embarquée dans cette histoire.


Sur le parchemin, il était écrit ces quelques mots ‘’A l’heure où la nuit meurt, toi Sang Impur tu me rejoindras dans l’Allée des Embrumes. La vérité, je peux te la confier. A.’’
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MessageSujet: Re: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Jeu 27 Déc - 19:17

A la question de la miss, Junko reprenant son souffle, la saisie par le bras, l'entrainant dans une rue qui faisait l'angle, à quelques pas. La miss pensa un instant qu'elle devait avoir une tête qui disait "prend moi par le bras" étant donné que beaucoup de monde s'y afferait tous les jours. Peut être était ce à cause de sa taille. L'air enfantin qu'elle avait sur le visage semblait apparement gafeur, vu que toutes les personnes a peu pres proche d'elle se plaisaient à la trimballer. Oh elle n'aimait pas forcement cela oui, mais ça restait assez drole. Ca prouvait bien que tout le monde faisait la différence entre lui ou elle, et Suki. Grande personne et enfant. En même temps, qui rendait plus gamine que notre petite miss? Habituée, elle se laissa trainer dans la petite rue sombre, similaire à la grande Allée.

Celle ci était sombre; des murs, aux pavés abîmés par terre, à cette odeur noséanbonde et inquiètante, tout comme à cette espèce de brume qui semblait habiter l'endroit, laissant les gens se perdre. Vraiment, Suki comprenait parfaitement que cette rue, Allée, ne sois pas recommendée du tout. Elle faisait peur d'un coté, mais pas del 'autre car après tout, on a juste peur quand on a quelque chose à perdre, et la petite Serdaigle n'était pas habitée de cette sensation. Elle baissa les yeux sur la baguette de Junko, qui par deux sorts, les rendit invisibles et capables de parler sans être entendues. Decidement Jun' était prudente. Suki essaya de glisser un mini sourire. Elle se sentait tendue, à cause de l'endroit. Plus vite elles seraient parties et mieux ça sera!

La japonaise tendit alors à la petite fille un bout de parchemin, précisant qu'elle l'avait eût sur son lit - ce qui supposait que la personne qui avait écrit cela était entré dans sa chambre -. Junko grimaca, et Suki eût un peu de peine pour elle. Elle devait être inquiète et c'était normale. Bizarement, la Serdaigle se dit qu'apres tout, elle aurait préféré que ce mot soit sur son lit. Par forcement tout pour enlever la crainte de Junko, mais aussi pour lui donner une autre raison de vivre, découvrir "le mystère du parchemin sur le lit". Elle lut le mot, très bref;"A l’heure où la nuit meurt, toi Sang Impur tu me rejoindras dans l’Allée des Embrumes. La vérité, je peux te la confier. A.". Ah. Suki fronca les sourcils; evidemment elle ne comprenait pas tout de cette histoire, tout d'un coup. Les questions à se poser étaient alors; "Qui a écrit le mot?" "Junko connait elle quelqu'un au prénom commencant par A?" "Etait ce une mauvaise farce?" "La verité de quoi?" et pour finir "Où est "A"?". La nippone leva les yeux vers la belle jeune fille qui attendait un mot d'elle.


-Je ne suis pas sûre de tout comprendre Jun'... De quelle verité cet "A" parle t il? Pourquoi est ce important pour toi?

Evidemment Junko n'était pas obligée de déballer sa vie privé pour que Suki y voit plus claire. De simples petites indications n'étaient pourtant pas de refus car, qu'y avait il a comprendre dans ce mot, franchement? Sans informations supplementaires, la Serdaigle ne pourait pas vraiment comprendre et ainsi donc guider Junko sans sa brume interieure.Et pourtant elle voulait l'aider! Elle soupira, ses épaules tombants.

-Tu n'es pas obligé de tout me dire tu sais,... ni même un peu. Mais maintenant que je suis là, je vais t'aider, promis.
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MessageSujet: Re: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Ven 28 Déc - 15:40

Tout aurait pu être simple. Facile. Un rendez-vous dans un endroit charmant, comme un salon de thé ou même un restaurant. Un lieu paisible et brillant. Histoire de mettre en confiance. Hors, elles sont bien loin de ce cliché. Cela n’avait rien à voir avec un quelconque rendez-vous galant ou de politesse. Tout était mystérieux. Junko n’aimait pas. Trop de souvenir revenait hanter sa petite tête brune. Tout ce qu’elle désirait à présent, c’était que la personne ‘A’ allait bientôt venir pour s’échapper de cette Allée maudite…

Les sortilèges étaient une obligation aux yeux de la miss Hitoshi. Ne sachant à quoi s’attendre, elle préférait être sur ses gardes et jouer la prudente. Surtout que la petite Suki était avec elle. Ce n’était pas le moment de la ramener blesser, et vis-versa. Elle s’en voudrait si quelque chose lui arrivait. C’est pour cela qu’elle ne lâchait pas sa baguette, ni son attention du lieu environnant.
Junko attendit bien sagement que la petite serdaigle termina sa lecture pour reporter ses prunelles brunes sur elle. La bouille interrogative. Quand elle lui fit part qu’elle ne comprenait pas grand chose à ce mot, Jun’ ne fut pas surprise. Etant une personne extérieure, et ne connaissant pas l’histoire, il était normal pour Suki qu’elle était perdue.
Les questions qu’elle lui posa étaient censées. Qui est ce A ? Même Junko l’ignore.
Elle serra un peu plus sa baguette dans sa main avant d’ouvrir la bouche pour répondre d’une voix douce et voilée.

-Je ne sais pas Suki. Je l’ignore totalement qui est ce A. Mais lui en revanche, c’est parfaitement qui je suis. Et cela ne me plait pas du tout.

Elle marqua une faible pause, le temps de trouver les mots. Si difficile soit-il de parler de « ça ». Suki lui confia qu’elle n’était pas obligé de tout lui déballer. Mais si elle n’avait pas eu cette intention là, jamais Junko lui aurait filer le parchemin à lire. La petite brunette avait confiance en la jeune serdaigle. Elle la considérait comme sa petite sœur. Puis elle lui a proposé son aide si gentiment que Junko esquissa un faible sourire, décrispant ainsi sa bouille.


-C’est important pour moi car… car ça concerne le meurtre de ma mère.

Dit-elle enfin après avoir garder la bouche fermée pendant quelques minutes.

-C’est assez compliqué à tout dévoiler maintenant Suki. Vu le mot que le fameux A nous a laissé, je pense qu’il doit savoir qui a tué ma mère. Du moins, il doit connaître l’identité de ses meurtriers. Mais… mais c’est peut être un piège pour essayer de me choper.

Junko se sentit pâlir. Elle ne dira rien de plus pour le moment. Ses lèvres s’étirent simplement en un doux sourire. Histoire de montrer que finalement, tout n’est pas si dramatique que ça. Elle leva même une main pour la poser délicatement sur l’épaule de la petite serdaigle. Mais au moment qu’elle souhaitait lui dire quelques mots, son attention fut détournée vers un bruit extérieur. Quelques pas. Là. Tout proche des deux jeunes femmes. Junko lança un regard en biais à son amie et resta silencieuse…
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MessageSujet: Re: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Sam 29 Déc - 14:37

[Heyyyyy t'as vu? Ta maman est morte, celle de Keii aussi, et mon papa et celui de Kyo sont morts! On a pas de chance :star: Manque plus que Junette fasse mourir l'un de ses parents et on est au complet xD]


Cela semblait plus que normal que Junko se sente perturbée par l'arrivée de ce "A". Comme elle le disait, lui semblait en savoir pas mal sur elle, alors que ce n'était clairement pas réciproque. A la remarque de la petite miss, Junko garda le silence pendant quelques minutes et Suki la laissa réfléchir à comment elle allait lui annoncer ce qu'elle avait à lui annoncer. Ce n'était pas forcement facile. Elle même n'avait dévoilé quasiment à personne sa propre histoire, mais il en était ainsi, en général les gens préfèrent garder leur peine pour eux. Evidemment, comme Suki était une petite fille assez mélancolique, Junko avait put se douter qu'il y avait un truc "pas bien" dans sa vie, mais polie comme elle était elle ne lui avait rien demandé. Suki trouvait que cela était la façon la plus douce de montrer du tacte à quelqu'un et elle ne l'en avait jamais assez remercié intérieurement de ne pas avoir joué sa curieuse avec le petit coeur blessé de la Serdaigle.

Bien qu'elle se soit ainsi donc surement douté de quelque chose, la gamine ne lui avait jamais dit clairement "mon papa est mort l'année dernière", ni "ton amoureux m'a repoussé quand j'avais besoin d'aide et je me demande bien ce que tu fais avec un garçon si méchant". Grand dieu évidemment Suki n'était pas là pour faire de la peine à qui que ce soit ni semer de trouble, elle s'était donc jurer de ne jamais réveler à une jeune fille si gentille ce qu'elle pensait de sa relation amoureuse, car elle faisait bien ce qu'elle voulait avec qui elle voulait. C'était bien mieux ainsi pour tout le monde.

Le temps semblait passer très lentement, alors que Suki songeait à sa vie et à son chemin qui s'était perdu dans la brume. Elle soupira, appréhendant pourtant dans une petite partie de son cerveau à recevoir une insformation importante et surement triste de sa grande soeur, du mois de sa symbolique grande soeur, car si petite était elle que tout le monde se plaisait à être cette figure féminine. Suki ne disait pas non d'ailleurs, jamais. Elle savait bien que sa "vraie" famille ne grandissait pas pour autant, mais de l'interêt lui faisait toujours plaisir. C'est alors que la voix de Junko resonné dnas la têe de Suki qui redescendit sur terre. Oh non! Elle avait loupé l'information, étant sur la Lune, dans ses pensée... Quelle gourde! Junko avait pourtant eût du mal à lui dire! Elle ne lui ferait pas répeter. Intirieurement, elle se tritura le cerveau t particulièrement sa mémoire à court terme pour analyser les sons qu'elle eût entendut. Finalement, elle se retrouva avec la phrase entière et fut gênée.

Le meutre de sa mère? Pas cool du tout tout ça. Sa maman était donc...morte? Le petit coeur de Suki en prit un coup à penser cela pour Junko et elle du se retenir d'absoluement toutes ses forces pour empecher ses mucles de se projeter sur la Serdigle pour lui faire un calin. S'était si triste! Pourquoi fallait il que les parents meurts? Plutôt, pourquoi n'étaient ils pas immortel? Une petite fille, même une grande et puis tiens même les garçons, PERSONNE ne devrait avoir à perdre l'un de ses parents. La gamine baissa la tête. Il fallait se ressaisir. Ce soir c'étiat une dectective, elle ne pouvait pas laisser - trop - de place aux sentiments.


-Oh...
S'était tout ce qu'elle avait trouvé à dire. Même le désolé ou toutes ces famauses formes de politesses n'arrivaient pas à sortir. Rien. Le moral abattu, Suki continua d'écouter la belle jeune fille en fasse d'elle. "Nous"... Nous à laisser... Même si à vrai dire la forme correcte était "m'a l'aissé", la miss nota cette attention que Junko eût à l'introduire vaec gentillesse dans son histoire. Elle écouta attentivement se posant toujours des questions. Elle déglutit, essaya du moins de prendre un air sérieux et dit, incertaine.

-Mais Jun... Qui te dit que la verité parle veritablement de...du meutre de ta maman? Peut être que ça concerne un tout autre sujet... Je sais que ce n'ai pas fort probable mais bon... Ah oui et puis pourquoi ce "A" se manifesterait maintenant? Et puis pourquoi quelqu'un à t il fait du mal à ta mère? C'était une agente secrete?

On retrouvait bein là une enfant de douze ans mais il fallait être réaliste, on ne tuaitpa s des gens comme ça. Peut être la maman de Junko était elle quelqu'un d'important. La dernière phrase de Suki fut tout le même légèrement coupée à la fin par un regard de Junko qui semblait lui indiquer des yeux qu'elle avait entendue quelque chose. Tendue, la miss se rapprocha finalement de Junko, s'était rassurant, et observa les alentours peu éclairés, s'attendant presque à voir surgir un monstre...
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MessageSujet: Re: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Jeu 3 Jan - 12:47

[Sorry pour mon retard ma tite louloute ! <3]


A vrai dire, Junko ne voulait pas vraiment partager son passé douloureux avec la jeune Suki. Non pas par manque de confiance ou autre chose dans le même style. Mais Jun’ l’a savait fragile. C’est déjà assez difficile de se confier à quelqu’un. De partager une peine. On a peur de passer pour une martyre. On a peur des ‘Oh, comme je te plains’ Ou ‘Oh que c’est triste.’ On a peur de cette pitié qu’on redoute tant. Non, la vie est n’est pas rose. Et alors ? On tombe, on se relève. Point. Mais quand les fantômes viennent à nouveau frapper à la porte… C’est vraiment éprouvant et parfois, on craque.
Mais Jun’ ne versera pas de larme devant la petite Sukinette. Elle se doit de se montrer forte, comme à son habitude. De ne pas se plier sous le poids de cette peine qu’est la perte d’un parent. Elle sait parfaitement que la petite Serdaigle a connu la même chose, quoique sans doute différent. Ma douleur est la même. Elle ne s’en va pas, on apprend juste à vivre avec.

Alors quand son amie a tout simplement dit ‘Oh..’ après sa confession, Junko eut un petit sourire. Soulagée qu’elle n’entre pas dans des excuses, des désolées qu’elle ne supporte plus. Combien de fois elle a entendu ce mot ‘désolé’. La désolation n’apporte rien du tout. La compassion silencieuse vaut bien plus que des tonnes de mots qu’on ne pense pas vraiment.
Junko écouta ensuite Suki. Ces questions. Ces doutes. Il y a du vrai dans ses propos. Aprsè tout, est-ce que ce A parle vraiment du meurtre de sa Mère ? Elle n’y avait pas penser plutôt à cela. Impulsive, elle avait quitté sa chambre sans se poser de questions. A présent, elle regrette son élan de fougue…
Sa mère ? Un agent secret ? C’est trop chou. Difficile de ne pas retenir un sourire. Mais celui-ci est bien éphémère. C’est à ce moment là qu’elle a entendu qu’on venait vers elles.

Et Junko ne s’était pas trompée. Dans l’Allée qu’elles venaient de quitter, deux silhouettes sombres se distinguèrent. Deux hommes visiblement. Un grand et fin qui ne marchait pas droit, qui tentait de tenir tant bien que mal son camarade plus petit et gros, qui vacillait de droite à gauche. Visiblement, ils avaient un peu bu.
Un soulagement pour Junko qui avait prit Suki dans ses bras, la baguette pointée vers eux au cas où ces sortilèges n’auraient plus été efficaces. Elle attendit qu’ils s’éloignent pour reprendre la parole et murmurer.


-Suki, on va rentrer à Poudlard. C’est trop dangereux ici et je ne voudrais pas qu’il t’arrive quoique se soit.

Souffle la brunette tout en regardant sa petite sœur. Un brin souriante, comme toujours. Elle ne voudrait pas l’inquiéter d’avantage. Et elle se sentira plus rassurée en la savant en sécurité.
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MessageSujet: Re: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Ven 4 Jan - 17:36

Comparée à Suki elle même, Junko était grande. Et pourtant, comparée aux autres élèves, Junko était petite. Allez donc imaginer comme Suki était minuscule! Assez grande pour ne pas qu'on dise qu'elle fait partie de la race des nains, mais assez petite pour qu'on puisse la qualifier de minuscule... Remarque cela ne l'avait jamais vraiment dérangé. Car Suki s'acceptait comme elle était. C'était d'ailleurs comme elle était à présent - minuscule Et collée contre Junko - qu'elle respirait un pleins poumons l'odeur que la jeune fille émmanait, tout en essayant d'oublier cet endroit lugubre et ses bruits parvenus de l'Allée principale. Bien au chaud et sur cette moelleuse partie de cap, la petite miss se serait tout autre part... Dans un endroit où le malheur et la mort n'existeraient pas.

De toute évidence, elle aurait voulu rester à utopie land, la ville du chaud de la douceur, tout sa mort - vie, mais elle dut bien vite redescendre de son transplannage inconsient pour observer qui venait là. Non, elle n'avait pas le droit d'être une trouillade, elle devait regarder ses futurs possibles agresseurs - oubliant totalement qu'elle était invisible et muette aux autres - . Se retournant ainsi, retrouvant le froid, la moisissure de l'endroit et la peur, mais ne lachant pas pour autant sa grande soeur, elle appercut deux types, lents, qui ne marchaient pas bien droit, particulièrement celui qui était enrobé. De toute évidence, ce ne pouvait être A, car Suki l'avait imaginé seul, et sûrement pas vacillant dans ses pas. A moins qu'il eût envoyé deux types pour capturer Junko; qu'elle horrible pensée! Celle ci tenait sa baguette tendue vers eux très fortement, peut être trop car elle tremblait un peu.

La petite miss soupira quand l'endroit fut dégagé et qu'elles se retrouvèrent alors de nouveau seules. Soulagés toutes deux, elle s'était retournés l'une vers l'autre, Suki lachant de ses petits poignets le bout de cap de Junko qui était désormais bien froissé - oups! Que devaient elles faire à présent? Attendre une nouvelle apparition? L'idée de venir ici, il fallait tout de même l'admettre, n'était pas très bonne, mais jamais la miss ne lui en avait voulut. Elle jugeait tellement naturelle d'être poussée par la verité et même parfois la vengeance, qu'elle même aurait surement fait la même chose.

La Serdaigle murmura alorsqu'elles alaient rentrer à Poudlard. Visiblement Junko avait fait son choix mais Suki se sentait un peu mitigée. Bien sûr qu'elle voulait rentrer, se mettre au chaud et oublier cette sirée sinistre, mais d'un autre coté non, pas du tout! elle ne voulait pas, ne pouvait pas repartir! La personne qui avait posé ce mot sur son lit, aussi atteinte soit elle, l'attendait ici, et si le mot avait reelement un rapport avec la mort de sa mère, Junko regrettait à vie de ne pas être restée, et tout cela serait la faute de Suki! La petite grimaca tristement comme un bébé qui s'appretait à pleurer et murmura à son tour, bien qu'un peu plus fort.


-Mais Jun', on peut pas partir..!! Imagin A est là et que tu le loupes, tu ne sauras jamais et.. et ca serat de ma fautttee..

Elle baissa la tête, accablée de honte. Parfois elle avait reelement l'impression d'être un petit boulet!
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MessageSujet: Re: A l'heure où la nuit meurt... [Ou]   A l'heure où la nuit meurt... [Ou] Play211Mar 8 Jan - 0:50

Les sortilèges sont éphémères. Junko n’est pas encore une super sorcière douée en la matière. Elle se débrouille déjà très bien pour son jeune âge, mais les sorts qu’elle lance, surtout de protection, ne dure qu’un temps. Et pour l’heure, les deux précédents, qu’elle avait lancé, perdirent de leur efficacité pour s’estomper lentement à la lumière d’un vieux réverbère. Jun’ le remarqua aisément mais ne prit pas la peine de recommencer. Dans sa tête brune, tout est clair. Elles ne vont pas s’attarder ici.

Le passage des deux hommes ivres l’a plus que convaincu. Il ne faut pas rester là. Même si, elle sait qu’elle va manquer son rendez-vous avec ‘A’. Mais après tout, est-ce vraiment important de connaître la vérité ? Est-ce qu’elle va se sentir mieux après ? Ce n’est pas certain. Car toute la magie des mots, de la vengeance, ne feront pas revenir sa douce et tendre Maman. C’est horrible n’est-ce pas ? De vivre sans soutient maternelle. Sans cette douceur qui est là pour vous guider et épauler. Comme elle lui manque. Son sourire, la chaleur de ses bras. Son rire si spécial dont se moquait Papa… C’est vrai qu’elle souhaiterait attendre le fameux ‘A’ pour pouvoir enfin vivre son deuil et sourire en repensant à Elle.


Jun’ quitte bien vite ses pensées pour revenir dans la ruelle. Le froid pique ses joues sans pitié. Les prunelles brunes de la demoiselle glissent sur le minois de son amie. Elle a les joues aussi rouge qu’elle. Qu’elle est chou Suki. Si petite et frêle. Une petite poupée qu’on a envie de protéger. Elle doit même en avoir marre la pauvre enfant, qu’on l’a considère comme telle. Mais Jun’ ne l’a jamais entendu se plaindre. Elle perdit de son doux sourire à la grimace de la jeune serdaigle et aux mots de celle-ci. Elle approche doucement sa bouille de la sienne pour venir déposer une bise sur son front…

-Suki, Si ‘A’ devait vraiment venir, il serait là depuis un moment. Hors, nous sommes là depuis de bonnes minutes et il ne s’est pas manifesté. Je préfère que nous rentrions à Poudlard. Pas à cause de toi. Mais tout simplement parce qu’il ne viendra pas. Et de toute façon… C’est peut être tout simplement une mauvaise blague.

Murmure la petite demoiselle tout en la prenant doucement par l’épaule. Jamais elle n’a pensé une seule seconde que sa petite Suki était un boulet ! Jamais. Elle s’inquiète juste pour elle. Jun’ s’en voudrait tellement s’il lui arrivait quelque chose. Surtout dans un tel endroit. Et si elles croisaient des mangemorts ?! Oh grand Dieu ! Elle préfère ne pas y penser. C’est donc la démarche légère qu’elle entraîna le petit bout de femme à nouveau dans l’Allée des embrumes pour rejoindre leur école…
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