Une journée comme les autres ? C’est quoi ça ? Les journées ne se ressemble jamais, il se passe toujours quelque chose. Pourtant aujourd’hui l’Asiatique espère vivement que tout ce passe bien, cependant la normalité ne se mariera jamais avec son caractère.
Tant pis ! La matinée ne fut pas très longue, le garçon vient de terminer un cours très intéressant avec le professeur de Shima, il enseigne sa matière préférer et en même temps c’est son directeur de maison. Malheureusement le Serdaigle à eut le malheur de lancer un sortilège qu’il ne fallait pas, en plus il aurait put blesser la jeune préfète de Gryffondor. Quel idiot ! Kyo se maudit un peu intérieurement pas pour avoir faillit blesser une élève mais peut-être avoir déçut son directeur.
Bref ! Il ne va pas pleurer pour cette mince erreur tout est bien fini, la prochaine fois il réfléchira plus pour choisir son sortilège, c’est tout !

Le garçon se retrouve quelques instants après le cours de sortilège dans la bibliothèque. La dernière fois c’était avec Angel, ils avaient des recherches pas très recommandé d’ailleurs. A cet instant là, il se demande vraiment si elle était allée voir Shima. D’un côté il espère que non !
La bibliothèque qui était habituellement calme, aujourd’hui se trouve être rempli. Le garçon pousse un long soupire, ou est passé le calme et la tranquillité de ce lieu.
D’un pas non joyeux le préfet prit la direction d’une étagère, sa main ricoche pendant quelques secondes sur un livre concernant les sortilèges. Il le fit glisser sous son bras, en partant à la recherche d’un endroit alors il pourrait l’étudier à tête reposé. Un gamin de Poufssoufle, un deuxième année certainement, eut le malheur de faire le malin en compagnie de ses deux amies. Kyoschiro ne se fit pas prier pour les remettre à leurs places, un peu méchamment comme d’habitude mais au moins le gosse s’était tut. D’ailleurs le calme est revenu subitement dans la pièce, la bibliothécaire surcharger eut un mince sourire.
Le garçon auquel le préfet s’est était prit, fuit la bibliothèque au bout de quelques secondes, certains firent de même.
Kyoschiro ne les regarde même pas d’un air un peu supérieur et méprisant l’Asiatique s’assoit à une table devenu libre comme si rien n’était. Calme et tranquillité est revenu ! Tant mieux ! Le jeune homme ouvre son livre silencieusement…